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APPAREILS DE 14. WILLIAM S. H ART. 15. MARY P1CKFORD. PRISE DE VUES 47. PRISCILLA DEAN. — GEORGES BBHAN entre nous Photo-Ciné SEPT, 86, avenue Kléber, Paris. 48. SUZANNE GRANDAIS. Etablissements E. Mollier, 26, avenue de la 49. OLIVE THOMAS. — Le Benjamin de,. Pour les abonnements et les demandes ABONNEMENTS : tirande-Armée, Paris. réalisateurs : PIERRE CARON. Texas-Girl. — Creighton Howard, dani "' d'ancien» numéros Frstico Etranger Vignal, Gli, rue de Bondy, Paris (Xe). 50. EVE FRANCIS. Liliane (The Gilded Lily) est Lowell Sher- adresse* correspondance et mandats à CINE numéros.. Vfazo, 33. boulevard St-Martin, Paris (3«). 51. Les meilleurs films de l'année 1920. man ; adressez la lettre que vous lui des- 26 15b. 17 h. 52. RENEE BJORLING. — ANDREW F. BRU- tinez à l'un des offices transmetteurs dé. Pierre HENRY, directeur POUR 13 naméros.. S fr. 9 fr. FILMS NELLE. lignés dans notre numéro 71. Films Usagés, pour Amateurs et Particu 53. FATTY et ses partenaires. 92,rue de PARIS Téléphone PUBLICITÉ llers, à vendre depuis 0 fr. 10 le mètre. Xcd-Hopes. — Fanie Ward réside de- S'adressât i G. Ventillard & Cie 54. MARCELLE PRADOT (photo). — CHAR- puis six mois à Londres et a définitive- Richelieu ( 2,' ) Lssrrs 41.49 TOUS Demander listes : Cinématographes Bau- LES HUTCHISON. 121 - 123. Rue Montmartre, PARIS don Saint-Lo, 345, rue Saint-Martin, Paris. 55. NUMERO DOUBLE DE NOËL (1 fr.). ment quitté Paris. — Non, P. de Guin- (Tél. : Archives 49-17). parait tout les 14 jours, le vendredi 56. LILIAN GISH, RICHARD BARTHEl.- gand a débuté au cinéma dans le rôle Films pour amateurs, pour location et vente: MESS, DONALD CRISP. d'Aramis, — Shirley Mason, même adres- Lefort-Delon, 43, rue des Petits-Carreaux, 57. MARY PICKFORD (au travail). se que W. Farnum. P«ris. 58. TO.M MIX (biographie illustrée). Old Rams. — Marguerite de la Motte Central-Union-Cinéma, 105, avenue Parmen- 59. VIOLETTE JYL : JUANITA HANSEN. est née il y a à peine vingt ans, de parents L'ACTIVITÉ iler, Paris (XI«). 60. WALLACE REID (biographie illustrée). — américains, mais d'origine française. CINÉMATO GRAPHIQUE André Antoine. L'Atlantide a déjà paru dans une dizaine APPAREILS DE 61. FANNIE WARD (biographie illustrée). — de grandes villes de province, pour lui PROJECTION Henri Roussell. — David Evremont. — série de représentations en exclusivité, Comment on a tourné les Trois masques. Occasion : APPABEIL PROJECTION cinéma Au creux des sillons, adapté d'un Tourjanski, avec André Nox. (Ermd- 62. NUMERO DOUBLE DE PAQUES (1 fr.). mais l'édition générale, tant à Paris qu'en LES PROCHAINS t>our amateurs et demi-professionnels ; com- province, n'aura pas lieu avant plusieuri roman d'Alexandre Arnoux et réalisé Jieff. — Pathé.) plet, état neuf, depuis 300 francs. 63. ANDREE BRABANT (biographie illustrée). par M. Boudrioz. Interprètes : Jacques FILMS FRANÇAIS S'adresser 36, rue du Château-d'Eau. Télé- 64. WILLIAM RUSSELL (biographie Illustrée). mois. Destinée, de M. du Plessy, avec Ga- phone : Nord 39-41, Paris. — Comment on a tourne Le Rêve. Andréa. — Je n'ai pas vu ce film de de Féraudy et Henry Roussel. (Films brielle Robinne, Paul Guidé, Mlles Mu- 65. MARY MILES MINTER (biographie illus- La Roue, composé et réalisé par « Pathé-Kok », Pa thé-Enseignement, 67, 1914. — Non, votre métier actuel est Abel Ganc'e). ranne et Legrand. e trée).— Comment on a tourné Blanchette. Abel Gance. Opérateurs : Burel et Bu- faubourg Saint-Martin, Paris (X ). certainement plus lucratif et plus sûr ; L'Ile sans amour, scène préhistori- Lés Roquevillard, d'Henri Bor- 66. WILLIAM HART (comment il tourne ses jard. Interprètes : Séverin-Mars, Ivy « Solus • , Etablissements Bancarel, 59 bis. gardez-le donc. que d'André Legrand, réalisée par Lia- deaux, réalisé par J. Duvivier et Stel- rue Danton, Levallois-Perret. films). — Ce que gagnent les vedettes. Donnithorpe. — De Griffith il ne faut Close, Pierre Magnier, Gabriel de Gra- «7. PEARL WHITE. — Article sur la Pro- bel. Interprètes : Elmire Vautier, Re- ly, avec l'interpréation de Jeanne Des- Etablissements « Union », 6, rue du Con- retenir que les grandes productions : In- vone, Georges Térof. (Films Abel Gan- servatoire, Paris: (9e). duction Triangle 1916-1917. née Sylvaire, etc. (Films André Le- olos, Van Daële, Georges Melchior, tolérunce et Wuy down East, et aussi lei ce ; Pathé éditeur.) « Phébus », 43, rue Ferrari, Marseille. 68. ANDRE NOX (biographie illustrée). — grand.) Mlle N. Martin. P. Burgi, 42, rue d'Enghien, Paris. HUGUETTE DUFLOS (biogr. illustrée). essais, inégaux, mais intéressants, que L'Arlésienne, adapté de l'oeuvre sont Le Lys brisé et La Rue des Rêves La Ruse, composé par A. de Lordt Tempête, de M. Boudrioz, avec M. i Gaumont-Matériel », 35, rue des Alouet- 69. MARGARITA FISHER (biographie Illustr.). d'Alphonse Daudet et réalisé par An- tes, Paris (19e). 70. ADRESSES INTERPRETES FRANÇAIS. — Quant aux Pauvre Amour et autres pe- et réalisé par E. Violet, avec John Mosjoukine, Ch. Vanel et Mm* Lis- dré Antoine et Denola, avec G. de Gra- E. Laval, 10-10 bis, boulevard Bonne-Nou- Edouard Mathé. — L'envers du cinéma. tites productions, il ne faut pas leur don- Warriley, Mag, Murray et Félix Ford senko. (Ermolieff. Pathé.) velle, Paris. 71. ADRESSES INTERPRETES AMERICAINS. vone, Maguy Deliac, Fabris, Ch. de Ro- ner une importance que Griffith n'a ja- pour interprètes. (Films Lucifer ; édi- Hélène Cartier, de Marcel Dupont, Radiguet et Massiot, 15, boulevard des Fil- — Séverin-Mars. — Le marché cinégra- mais songé à leur donner. — Je vois chefort, Lucienne Bréval et Ravet les-du-Calvaire. tion Aubert.) réalisé par Jean Kemm, avec l'inter- phique mondial. beaucoup mieux Gina Relly dans les rô- pour interprètes. (Sté d'éditions Cin. Etablissements E. Mollier, 26, avenue de la 72. La revue des films de l'année 1921. — Les Fleurs sur la mer, scénario prétation de Geneviève Félix, Félix les de jeune femme et de mauvaise fem- — Pathé.) (•rande-Armée, Paris. GENEVIEVE FELIX. d'André Legrand, réalisé par Liabel. Ford, et Gaston Jacquet. (Pathé.) Mazo, 33, boulevard Saint-Martin, Paris (3»). me que dans les rôles d'ingénue ; elle se Don Juan de Manara, par Marcel 73. Ce qu'il faut savoir pour devenir inter- Interprètes : Renée Sylvaire, Pierre Humanité, de M. Dieudonné, avec prète de cinéma. — Adresses interprètes maquille trop aux yeux et a tort de L'Herbier, avec Jaque-Catelain, Vanni- Delmonde, etc.(Films André Legrand.) Jean Dax, Clément et Mille Pierson. CINÉ Scandinaves, anglais, italiens, russes, porter une perruque blonde, D'ailleurs, Marcoux, Eve Francis, Marcelle Pra- allemands. Mimi-Trottin, adapté du roman de (Eclipse.) POUR TOUS vous pourrez en juger dans l'Emperïm dot, Philippe Hériat, etc.. (Gaumont.) ■ publié : Chacun de ces numéros (sauf naturellement des panures. Marcel Nadaud et réalisé par'Andréa- Le Pauvre Village, réalisé par Jean Jocelyn, adapté de l'œuvre de La- 1. CHARLES CHAPLIN (biographie). les numéros 2, 4, 5, 6, 7, 13, 21, 24, 25, 29, Tom-D. T. — La plus grande salle de ni. Interprétés : Louise Lagrange, La- Hervé et interprété par le réalisateur, S. RUTH ROLAND. 35 et 46, qui sont épuisés) peuvent être en- cinéma du monde est le Capitol, de New- grenée, etc. (S.C.A.G.L. — Pathé.) martine par Léon Poirier, avec l'inter- Mlle Rouer, Edith Blake, Maxudian et voyés franco contre la somme de 0,50 {en tim- 8. HAROLD LOCKWOOD. — l.a revue des York (8.000 places) ; ensuite vient le Gau- Fils du vent, composé et réalisé par prétation d'Armand Tallier (Jocelyn), Roger Monteaux. films édités en 191S. bres-poste, ou mandats) au nom de P. Henri/, mont Palace (6.000). Je ne connais pas la Mlle Myrga (Laurence)), Dhartigny ». FLORENCE REED. 92, rue de Richelieu, Paris (11e). M. de Carbonnat. Interprètes : Fran- Margot, d'Alfred de Musset, réalisé salle marseillaise en question. (l'Evêque). SO. Le scénario illustré de la Sultane de l'A- cine Mussey, Suzanne Talba, Mlle par Guy du Fresnay, avec l'interpré- mour. (Comment on a tourné ce film.) Gareth Daw. — Le titre américain du N'autzy, Dehelly fils et Duvelleroy. La Vérité, composé et réalisé par tation de Gina Palerme, Genica Missi- 11. BRYANT WASHBURN. COURS Sacrifice de Sato est Forbidden Paths ; Henri Roussell, avec l'interprétation a. PEARL WHITE (une visite à son studio.) « L'Hirondelle » et « la Mésange », rio et Murray Goodwin. (S.F.F.A.) ce film a été tourné en 1916, à la Para- d'Emmy Lynn, de Renaud, de Polack tt. RENE CRESTE. D'INTERPRÉTATION mount. — Aucun des films récents de scénario de Gustave Grillet, réalisé Le mauvais garçon, de M. Deval, 1S. CHARLIE CHAPLIN {comment il compose et de Violette Jyl. (Le Film d'Art ; édi- Sessue ne paraîtra ici avant au moins par André Antoine. Interprètes : Ra- réaalisé par H. Diamant-Gerger' avec et réalise ses films.) La société française R. A. C, aménageant tion A.G.G.) UJ. MAX LINDER. plusieurs théâtres de prise de vues, pour pro- un an ; rien n'est d'ailleurs décidé en ce vet, Alcover, Mlles Maylianes et Ma- P. de Guingand, Maurice Chevalier et 17. VIVIAN MARTIN. duire de nombreux et beaux films, constitue qui concerne leur acquisition ici. guy Deliac. S.G.A.G.L. — Pathé.) La Mort du Soleil, composé par An- Denise Legeay. (Pathé.) 18. CHARLES RAY. actuellement des groupements artistiques dont W. Ogle. — Lon Chaney, que vous avez Jeltatura, composé «t réalisé par G. dré Legrand et réalisé par Mme Ger- L'Ombre du Péché, composé et réa- 1». EDNA PURVIANCE 0» partenaire de une partie sera composée d'artistes ayant déjà vu dans Satan avait pour jouer ce rôle Véber, avec l'interprétation d'Elena maine Dulac, avec l'interprétation lisé par M. Protazonoff, avec l'inter- Charlie Chaplin). — D. W. GRIFFITH tourné des rôles de premier plan et dont une les jambes repliées sur elles-mêmes dans d'André Nox, Denise Lorys et Régine et ses films. autre partie sera composée de sujets, hommes Sagrary, Jean Dehelly et Nino Véber. prétation de E. Van Daële, Diana Ka- l'appareil orthopédique dont il se servait; Dumien. (Films André Legrand; édi- S0. TUNE CAPRICE. et femmes, n'ayant au besoin jamais fait ni Lucentc Stella, composé et réalisé renne et Gabriel de Gravone. (Produc- Î2. EMMY LYNN. de cinéma, ni de théâtre. vous le reverrez avant peu dans Révoltée, tion Pathé.) avec Priscilla Dean, mais au naturel cette par M. d'Auchy, avec Madeleine Ly- tion Thiemann ; édition Fox-Film.) 94. EDDIE POLO. — Léon Mathot dans l'Ami A ces derniers l'éducation nécessaire sera Fritz. risse, Andrew F. Brunelle et Claude La Voix de la Mer, composé et réa- faite pour devenir véritables artistes capables fois. M. ALLA NAZIMOVA. d'interpréter pour la Société R. A. C. tous Liliane. — Kismet n'a pas encore été Mérelle pour interprètes. dré Nox, (Films André Legrand ; édi- lisé par Gaston Roudès, avec l'inter- t7. Los Angeles, capitale du film américain, rôles dans les films dramatiques ou senti- édité en France. — Thomas Meighan est Le Doute, composé et réalisé par tion Pathé.) article de Mrs Fannie Ward. prétation de Rachel Devirys. (Gallo- mentaux. »8. HOUDINI. — C. B. de Mille, le réalisateur né à Pittsburg il y a quarante ans ; Kené Leprince. Interprètes : Jean Dax, L'Ecran Brisé, adapté du roman Film ; édition Harry.) de Forfaiture. Ecrire au Directeur Artistique de la Société marié à une actrice, Frances Ring. Jean Ayme, Arquillière, Christiane d'Henri Bordeaux et réalisé par M. Un cri dans l'Abîme, composé par M. TEDDY. R. A. C, 35, rue de Berne, Paris, qui convo- Jeanne Bourgeois. — Je n'aime pas les Delval et Mme Delaunay. (Production D'Auchy. Interprètes : Andrée Lyo- quera. — Toutes les demandes seront exa- .M. et Mme Jossouin et réalisé par Re- 11. DIANA KARENNE. — Nos grands films » Trois Mousquetaires de Pathé parce que Pathé.) nel, Mauloy, André Luguet, Mlle Vas- l'étranger. minées. ce film est trop peu, trop rarement « ci- née Cari, avec l'interprétation de E- 82. BEBE DANIELS et HAROLD LLOYD. néma ». Et croyez bien que je n'ai pas Phroso, adapté du roman d'Anthony seur et John Warriley. Van Daële, Olga Noël, Jean Valory, 83. MABEL NORMAND. reçu un centime de Douglas Fairbanks Hope et réalisé par Louis Mercanton. La Lumière sur la neige, composé Tenivella, et Renée Cari. M. MONROE SALISBURY. — Article « ména- Interprètes : Malvina Longfellow, ges d'artistes. » ACADÉMIE DU CINÉMA pour émettre cette opinion. J'ai le parti- et réalisé par André Hugon, avec l'in- Le Grillon du Foyer, d'après la nou- M. Photo d'Andrew Brunelle. — Article tut pris du cinéma et la haine de ce qui pré- Jeanne Desclos, Paul Capellani et terprétation de Suzanne Talba (Monat- velle de Dickens, adapté et réalisé par les dessins animés. tend l'être et ne l'est pas ; voilà tout. Maxudian. (Films Louis Mercanton.) Film). Jean Manoussi, avec l'interprétation 17. DESDEMONA MAZZ. —. Miss IVY CLOSE. Araniisclte. — P. de Guingand dans le Romain Kalbris, adapté du roman L'Œil de Montmartre, composé et de Sabine Landray, M. Vibert, Char- 18. BESSIE LOVE. — LARRY SEMON (Zlgoto). M" Renée CARL rôle d'Aramis. Je ne connais pas exacte- d'Hector Malot et réalisé par Georges réalisé par André Hugon. (Monat- les Boyer, Gouget, Paul Jorge, Mar- tt. MARCELLE PRADOT. — CREIGHTON ment son âge ; voici toujours son adres- HALE. — Qu'est-ce qu'une « étoile » T DU THÉATREC1NÊ GAUMONT Monca, avec le jeune Fabien Haziza Film.) celle Monthil, S. Dartès. se : Studio Film d'Art, 14, rue Chauveau, ta. JAQUE-CATELAIN — BESSIE BARRIS- □ dans le rôle principal. (S.C.A.G.L. — Neuilly-sur-Seine. Toute une vie, de G. de Buysieulx, La Poupée du milliardaire, composé CALE. Pathé.) ML GABY MORLAY. LEÇONS PARTICULIERES sur KENDEZ-VOWJ Pollyanna. — Voir, pour plus de détail, réalisé par Georges Lainé, avec l'inter- et réalisé par Henri Fescourt, avec 42. MOLLIE KTNG. et Cours, le Samedi de 3 h. à t h. l'article paru sur ce sujet dans le numéro Le Crime de Lord Arthur Savile, prétation de Jacques de Féraudy, An- Stewart Rome et Andrée Brabant. 48. IRENE VERNON-CASTLE. — Comml »a 7, rue du 29-JuIllet. — Métro : Tuilerie. 74. En anglais et dactylographié, c'esl tiré du roman d'Oscar Wilde par An- drée Brabant, Roger Monteaux, Jany (Edition Erka.) forme des « vedette» •. Tous les Jours de 2 h. à S h. indispensable. (Suite page 14) dré Legrand. Interprète principal : Gérald. (Eclipse.) Le Double, composé par M. Vally et Cecil Mannering, Olive Sloane et An- Le 15* Prélude de Chopin, de M. réalisé par A. Ryder, avec Simone s

■ Ciné pour Tous Ciné pour Tous

La Maison du Mystère, de Jules Ma- Vaudry, J. Lorette, Tania Daleyme, gon et Henri Krauss, avec d'interpré- D'après une récente déclaration de C'est principalement pour produire première sera : He who hésitâtes (Ce- tation d'Henri Krauss, Claude Mérelle, ry, réalisé par M. Volkoff, avec Mos- John Emerson, scénariste et réalisa- à meilleur compte que Doug et Mary lui qui hésite). Harout et Maillard. joukine, Vanel, Koline, Benedict, Hé- L'Espagnole, réalisé par Jacques Romuald Joubé, Armand Bernard, Gi- teur des anciens films de Douglas reviendront l'été prochain en France. Avant d'entreprendre un nouveau lène Darly et Francine Mussey pour film sous la direction de Griffith les Lasseyne, avec . nette Maddie. Fairbanks pour Paramount, ce der- Ils s'installeront sans doute sur la côte Le Femme de Nulle part, composé O interprètes. (Ermolieff. — Pathé.) nier a engagé plus de 700.000 dol- d'Azur. sœurs Gish tournent, pour s'amuser un petit film à elles deux( Her first et réalisé par Louis Delluc, avec Eve L'Empereur des pauvres, adapté du ,, de Louis Feuillade, avec lars dans sa réalisation des Trois Harold Lloyd va tourner désormais false step (Son premier faux-pas). Francis, Roger Karl et Gine Avril. roman de Félicien Champsaur et réa- Sandra Milawanoff, Herrmann, Mathé, Mousquetaires. des comédies en quatre parties. La L'Eternel amour, composé et réalisé lisé par René Leprince. Interprètes : Charpentier, Michel, René Clair, Rol- par M. Hérault, avec Pauline Pô. Léon Mathot, Henri Krauss, Gina Rel- lette, Greyjane et G. Biseot. ly, etc. (Production Pathé.) raître. En un personnage taillé vrai- Rolande, adapté du roman de Louis Roger-la-Honte, adapté par J. de Ba- ment cette fois à sa mesure, Charles Létang et réalisé par Léonce Perret, L'Aiglonne, d'Arthur Bernède, réali- roncelli, avec G. Signoret, Rita Joli- sé par Keppens ; interprètes : Andrew de Rochefort a pu déployer entière- avec Lucy Fox, H. G. Sell, Bréon. vet et Eric Barclay. ment ses qualités sportives et drama- L'Ecuyère, d'après Paul Bourget, Brunelle, Cyprian Gilles, Drain. La Fille Sauvage, de Jules Mary, Les mysfères de Paris, d'après Eu- tiques. On l'a vu là, en de fort belles réalisé par Léonce Perret, avec Angelo gène Sue, par Charles Burguet, avec scènes, lutter de vitesse, de force, et Marcya Capri. réalisé par M. Elievant, avec Romuald Joubé et Mme Lissenko pour interprè- Huguette Duflos et Gilbert Dalleu. d'adresse avec un taureau camarguais Le Diamant Noir, tiré du roman de (Société d'Edition Ciné-Pathé). et le « tomber » avec l'admirable Jean Aicard et réalisé par André Hu- tes. (Ermolieff. — Pathé.) Si l'écran français abonde en jeu- temps où, dans les studios d'avant- nes premiers a de la Comédie-Fran- guerre, il avait tourné quelques ban- sang-froid simple des « guardians » çaise », « de l'Odéon », ou « du Théâ- des avec Max Linder et Nick Winter, les plus réputés. tre de... » qui sentent leur Conserva- Charles de Rochefort, surtout après Divorces et Mariages : Première : toire à pleine gesticulation, à pleine ces deux dernières créations, était DERRIERE Le 4 janvier a eu lieu à l'Apollo- déclamation, si l'écran français abon- tout naturellement de ceux sur qui le Rien de nouveau à signaler sur l'en- Théâtre de New-York la « première » de aussi en jeunes messieurs dont choix des réalisateurs américains de- semble du front conjugal cinégraphi- L'ECRAN de Orphans of the Storm (Les Orphe- on se demande toujours, à les vait se porter. John S. Robertson, venu que, par extraordinaire. lins de là Tempête), le nouveau film voir si précieusement vêtus et si gra- tourner en Europe, pour la Cie Para- que D. W. Griffith a tiré des Deux cieusement onduler le corps, s'ils ne mount d'Amérique, une série de films Voyages : Yvette et Jean Toulout 100 se déroulant dans le cadre du vieux M. Menginou 100 Orphelines. sont point de charmantes jeunes per- Priscilla Dean est actuellement à sonnes de l'autre sexe en travesti, si Continent, ayant terminé Perpétua Georges Carpentier 50 Le succès a été considérable ; lu Londres, ainsi que James Kirkwood dont l'action se passe pour une partie Abel Gance 500 reconstitution XVIII* siècle est, pa- donc nos films ne manquent point de et Elliott Dexter, qui vont tourner cet élément... masculin, il est plus en Normandie, engageait pour son M. Dizien 10 raît-il, excellente, le jeu de Lillian et rare d'y rencontrer de vrais jeunes nouveau film notre compatriote. pour la Paramount. Louis Nalpas 100 Dorothy Gish encore supérieur à ce Henri Kolker, le metteur en scène Commencé en novembre en Espa- Bernard Deschamps 100 qu'elles avaient fait jusqu'alors ; et la gens, de simples jeunes hommes. Nous de Son plus grand amour, avec Vera avons déjà parlé de quelques-uns d'en- gne, à Séville et aux alentours, Spa- Société Régionale de Cinémato- scène finale où les cavaliers de Dan- Gordon, est actuellement en train1 de tre eux, les J. Roussel, les David Evre- nish Jade — c'est le titre du film que graphie et M. Julien Duvivier 100 ton viennent sauver Lillian de l'écha- J. Robertson tourne d'après un ro- tourner en Italie les extérieurs d'un faud révolutionnaire est si remarqua- mond, les Charles de Rochefort, etc. nouveau film. Son opérateur est Char- L. Feuillade 100 man de Maurice Hewlett, vient d'être M. Fourel et Pathé-Consorliuhi.. 500 blement réalisée et rythmée que la Le Roi de Camargue nous incite à les Rosher, dont on se rappelle le très revenir sur ce dernier, dont la car- terminé au studio Paramount d'Isling- Roger Lion 50 salle se leva et cria à plusieurs repri- remarquable travail dans far l'entrée rière devant le public, avant le ciné- ton, près de Londres. Dans ce film René Piaissetty 100 ses. Un critique dit qu'on retrouve Charles de Rochefort a pu à nouveau de service et Pollyanna. ma est une assurance de vraie virilité. Gaumont 100 dans Orphans of the Storm les quali- déployer ses qualités de cavalier, et Pathé-Cinéma 500 tés du Lys Brisé, de la Naissance Né à Port-Vendres le 7 juillet 1887, le type de jeune espagnol qu'il y in- Deuils : d'une Nation, d'Intolérance et de XVay Charles de Rochefort, fut élevé en dans LE ROI DE CAMARGUE carne ne manquera pas d'intéresser. Nous avons appris avec regret le Mais il importe pour l'hommage que down East. Algérie où son père était directeur de où il avait travaillé ensuite sous la di- Emerveillé de la précision et du décès de : nous désirons rendre à notre collabo- la Cie Générale Transatlantique. Venu rection de René Leprince, d'AIberl .soin avec lequel travaille John Ro- Georges Lévy-Lordier, directeur du rateur et ami que dans le public les A Los Angeles : en 1905 terminer ses études à Paris, OapeJlani... bertson et ses confrères anglais, Ch. Cinéma. admirateurs des rôles qu'il-a incarnes Pour une nouvelle firme,' Gallo- Nouveau ralentissement dans la pro- il ne tarde pas à succomber à l'atti- de Rochefort va sans doute demeurer Jean Dax, l'artiste bien connu, vient se joignent à nous et nous adressent rance de la scène ; il fait du théâtre, Film, Gaston Roudès allait tourner en Angleterre quelque temps encore d'avoir la douleur de perdre son père. leurs souscriptions, si modiques duction. Marthe, de H. Kistemaeckers ; Ch. de Mary Pickford se prépare, avant puis du music-hall, plutôt contre le pour la réalisation d'un autre film. soient-elles, chez M. Croze, à Comœ- llorhefort y fut Verdier. Remarque G d'entreprendre un nouveau film, à di- gré de sa famille, comme bien on pen- Puissent cependant nos producteurs dia, qui a bien voulu se charger de les par René Navarre, il est alors engagé riger la réalisation de celui que va se. Il adopte donc divers pseudony- ne point laisser partir l'un des rares Quelques amis de Séverin-Mars se centraliser. par ce dernier pour tourner l'impor- interpréter son frère Jack : The Tai- mes et, sans négliger les sports qu'il vrais jeunes hommes de nos films. sont reunis pour faire appel à tous les Nous remercions d'avance tous ceux pratique en nombre avec un égal bon- tant rôle de Corannes, dans Impéria. camarades et admirateurs du grand qui voudront bien répondre à notre lor niade man. Puis c'est la série des hornmes de Douglas Fairbanks ne tourne pas en- heur — il a même à plusieurs repri- dans SPANISH JADE artiste disparu et recueillir quelques appel et nous permettre de faire plus loi ; l'avocat Rivière de Fille du Peu- core The Virginian, mais entreprend ses, abaissé des records en diverses souscriptions qui permettront d'élever grand et plus durable le souvenir que ple, de M. Morlhon, et le substitut de auparavant une nouvelle production branchés d'athlétisme — il continue un buste à celui que, dès maintenant, nous consacrons à notre grand artiste Margemont, de Gigolette, sous la di- dont le scénario a pour auteur J. Mac a vivre l'existence qu'il s'est créée à dans le monde entier, on peut consi- disparu. rection de Pouctal. Enfin, au début Cullough, l'auteur de Zorro. la scène. dérer comme l'un des grands interprè- Abel Gance, Georges Wague, 1914. Charles de Rochefort, engagé de l'année dernière ce sont deux créa- tes cinématographiques. Alla Nazimova termine Maison de Jean Toulout. volontaire dès le début, fait la longue tions, épisodiques mais curieuses, dans Personne des fidèles du cinéma qui Poupée, d'Ibsen, pour United Artists. campagne. En 1917, nous le trouvons l'Empire des Diamants, pour Léonce ont vu La 10e Symphonie, J'accuse, Accident : Charles Ray, qui a terminé sa série à Verdun, en un régiment où, si l'on Perret, puis dans l'Empereur des Pau- Le Cœur Magnifique, L'agonie des ai- de films pour First National, va pro- se bat bien, on sait, aux rares mo- vres, pour René Leprince. gles, La Roue, n'oubliera la puissance Alors qu'elle tournait une scène des- bablement tourner une série de films L'occasion longtemps attendue par tinée à être ajoutée à son nouveau ments de repos, se distraire, aussi bien d'expression de Séverin-Mars ni les pour United Artists (Big. 4). Ch. de Rochefort d'utiliser à l'écran . film, Marie et les Fauves, Berthe Dag- que possible. Car le lieutenant Ch. de mille nuances de son si beau talent. Maurice Tourneur tourne Lornu Rochefort a là pour compagnons d'ar- ses qualités sportives va venir avec Séverin-Mars était en outre non seu- mar a été assaillie brusquement par l'Artésienne, qu'il tournait l'été der- une panthère qui lui laboura en un Doone, une légende écossaise, avec mes le revuiste Bousquet, le chanson- lement un grand artiste mais aussi un- Frank Keenan, John Bowers et Madge nier Martini, les comédiens Baron et nier (rôle de Mitifio) sous la direction grand sympathique et un grand hon- rien de temps le haut de la tête. L'au- Bellamy. Rouchand, le dessinateur-humoriste d'André Antoine et Denola. nête homme. dacieuse interprète d'Imperia et de R. Rowland, président de la Cie Mé- Mirande, le compositeur Gaubert, etc. Après Arles, c'est la Camargue — Les souscriptions déjà recueillies Marie-la-Gaité, si elle a reçu de dou- Saintes-Mariés de la Mer, Castelét — loureuses blessures qui nécessiteront tro-Film, vient d'acquérir pour. l'Amé- En 1919, Ch. de Tlochefort, rendu à sont les suivantes : la vie civile, pense tout de suite au où, sous la direction d'André Hugon, un assez long repos, n'en sera pour- rique l'exclusivité de l'Atlantide, qui Comœdia fr. 100 cinéma, qui a bien avancé pendant il tourne peu après Le Roi de Camarv tant pas défigurée, comme on l'avait passe depuis plusieurs mois, à Paris, Georges Wague 100 son absence. Comme lui paraît loin le que, de Jean Aicard, qui vient de pa- Gabriel de Gravone 100 craint. au Madeleine-Cinéma.

mt Ciné pour Tous 7

toute la matière enfin, donne un re- vage, que l'on voit aux, poignets de un decrescendo, un rebondissement, lief nouveau au thème dramatique. William Hart. Leurs premiers plans une diversion, une échappée dans le Mise en relief elle-même, cette na- résumaient la force, la colère ou la rêve ou un sévère rappel à la réalité. le cinéma est un art ture morte ou muette s'anime se- douleur, et les poings même de Rio- Il fera naître des contrastes éloquents, lon la place où l'utilise le composi- Jim, ses poings de bronze ont valu développera l'e'nvers d'une vision, li- des traces de son évolution doivent subsister teur du film. Cette mise en ayant des •souvent un beau portrait. » bérera l'âme des choses ; il coupera choses mêmes atténue la personnalité Le peintre et le musicien peuvent une scène à l'instant précis où sa tra- de l'homme, de l'acteur. Il n'est plus choisir et composer, déclare-t-on en- jectoire devra se prolonger et s'ache- ver dans ïiotre subconscient, interca- Le cinéma ne fut pas un art dès ses lisateur constituerait le principal Voir, disent-ils, tout est là. Oui, mais lui aussi qu'un détail, qu'un fragment core volontiers, alors que le cinéma- lera la leçon d'un paysage, donnera débuts, car qu'y a-t-il d'artistique dans atout. Ce fut Intolérance, ce fut J'ac- apprendre à voir, voilà le grand se- de la matière du monde. Il est une tographiste se contente de copier. le fait de photographier purement et cuse, etc.. On s'exclama tout d'abord: cret. Et voilà le grand appoint des mo- note dans la grande composition du « Quelle erreur, répondait derniè- une voix à la nature, fera entendre les simplement la vie ? « Comme c'est bien exécuté 1 », puis, destes ouvriers de l'écran, les opéra- musicien visuel. Les choses dont le rement dans le Temps, notre excel- « dialogues du vent et de la mer » ou Donc, on se contenta longtemps de à la réflexion, on en vint à regretter teurs. rôle est immense dans la vie et dans lent confrère Vuillermoz. Le cinéma- les « murmures de la forêt », puis photographier, pas même la vie, mais que tant d'art ait été dépensé sur un « Certainement, le cinéma part de l'art retrouvent leur vrai rôle et leur tographiste choisit et compose deux rattrapera au vol la scène interrom- fois. Il y a deux' actes créateurs, deux pue, à la minute subtile où ses « har- une vie déjà altérée dans un sens par- aussi mince canevas... Après s'être la nature, comme tous les arts. Et com- éloquence fatidique. Lorsque ce pre- initiatives artistiques distinctes au moniques » allaient expirer en nous, ticulier, on photographia du théâtre. aperçu que l'équilibre du buste dé- me tous les arts, il doit interpréter mier pas fut fait vers la synthèse de lui imprimera un nouvel élan et conti- Ce fut l'âge des décors de toile peinte, pendait passablement du piédestal, on la nature et la styliser et la recréer l'orchestration cinématographique, le cours de la confection d'un film. Il y a une première création véritable nuera à enchevêtrer les thèmes de sa des interprètes gesticulants et gran- convint chaque jour davantage qu'une sous un angle visuel nouveau. cinéma, art d'expression, a existé réel- dans la conception du scénario, dans symphonie plastique jusqu'à la syn- diloquents, qui venaient réciter de- fondation parfaitement solide était in- « La grande erreur des Italiens et lement. Et ce jour-là seulement vous y son découpage, dans sa mise en scène, vant l'objectif de la même façon que dispensable à l'assise du piédestal... de beaucoup de Français fut de vou- êtes venus tous, profondément, avec thèse finale. Si ce n'est pas là faire dans le choix des éclairages et des at- œuvre d'artiste, si ce n'est pas là ajou- la veille ils avaient déclamé devant le Malheureusement, la matière néces- loir faire collaborer à leurs œuvres la stupeur, avec joie. mosphères, dans l'élection de tel ou ter au modèle, il faut exclure de l'art public de leur théâtre. saire à cette fondation manquait to- nature fout entière sous forme de pay- « C'est aux Américains que nous de- tel détail expressif d'un paysage ou la peinture, la musique, la sculpture On se rendit peu à peu compte de talement. On eut donc rpcours à d'ha- sages. Vous avez vu et, je le crains vons ce miracle. Dans leurs premiers d'un visage, etc.* A moins de nier et la littérature, car leur technique est ce qu'avait de défectueux et de primi- - biles terrassiers qui composèrent un bien, vous verrez encore les brunes films du Far-West — que depuis lors l'existence de l'art dramatique, on ne exactement la même. » tif cette conception de l'art et de mortier qui paraissait devoir en tenir héroïnes passionnées aux yeux pâ- ils fabriquent en série, car il n'y a peut refuser la qualité artistique à ces l'image animée. Ce fut surtout l'insuf- lieu. En d'autres termes, ce fut l'avè- més, qui, couchées à midi et en robe pas que chez nous des mercantis du travaux préliminaires qui dépassent fisance de l'acteur de théâtre qui frap- nement de l'adaptateur de romans et du soir sur une terrasse latine, con- cinéma — dans ces films, dont le plus pa le plus vivement producteurs et de pièces de théâtre au succès éprou- templent avec de puissants soupirs typique fut certainement Pour sauver en subtilité, en variété et en puissan- Il est donc bien démontré que, par spectateurs. ce, la composition théâtrale la plus vé. Ils écartèrent tout ce "que ces der- l'horizon lumineux des collines ita- sa race, on vous a intéressés autant au l'intervention du choix des images et On fit alors appel au concours d'ar- cheval du cow-boy qu'à ce cow-boy complète et la plus hardie. Le grand niers contenaient d'intraduisible à l'é- liennes. Oh ce n'est pas tellement du rythme qui leur est ensuite donné, tistes représentant exactement le per- lui-même. Un chien est un grand per- artiste de la scène et de l'écran qu'est cran, et inventèrent des détails par- désagréable à regarder. Et il arrive le cinéma est bien un art ; art nais- sonnage qu'ils étaient, ch.ir^és d'in- faitement visuels... mais qui souvent, sonnage. Le cabotinisme reçoit un ru- Antoine ne me contredira pas. qu'on applaudit. Mais quand vous re- sant, sans doute, mais art, indéniable- carner, on en vint aussi peu à peu à hélas, accumulés, finissaient par dé- cevez une belle carte postale de Na- de coup, l'atmosphère change, il n'y O ment. ' j modifier leur maquillage, maquillage naturer sensiblement la pensée de ples ou de Taormine, vous êtes en- a plus une vedette et des figurants, il théâtral qui lui non plus ne pouvait l'auteur. chantés, aussi, et vous admirez, vous y a des hommes, des choses, pas mê- - « Mais il y a une seconde interven- C'est précisément cette enfance de convenir. Et ce fut la fin de la deuxième pha- savourez, vous dégustez le paysage si me, une vaste pâte symphonique tri- tion artistique plus subtile, et plus dé- l'art cinématographique à laquelle Ce perfectionnement relatif de l'in- se. On avait pris successivement cha- tentant. Avouez cependant que la car turée par un rythme qui n'est encore cisive, qui ne doit rien aux autres nous assistons depuis une vingtaine terprète, en regard de ce qu'avaient que partie pour le tout, et, après expé- te postale en question a bien des chan- que il'unanisme mais qui présage la techniques et qui est la vie même de d'années et dont il serait à souhaiter gardé de primitif le cadre et le scéna- rience, on s'apercevait que le détail ces de finir au panier. Un paysage de grande cadence des futures sympho- la einégraphie. Le film est composé que l'histoire puisse être retracée en rio, fit croire que c'était sur l'artiste devait rester détail, et que ce qui ve- Corot, de Courbet, de Claude Monot nies visuelles. et « tourné ». Des centaines de petits détail un jour. chargé du principal rôle que devaient fragments de pellicule impressionnée nait en premier lieu et devait com- ne finira pas au panier. Vous me direz « L'importance de ces détails ex- Or, pour cela il faudra consulter être basés tous les espoirs de réussite mander au reste était la pensée pre- sont là, devant l'auteur. Il y a des scè- que la carte.postale vaut quinze cen- pressifs est étonnante. Si étonnante d'innombrables documents ; et avant du producteur. mière, l'idée du film. C'est ainsi qu'à qu'elle paraît naturelle maintenant — nes enregistrées en plein air ou dans times et que la toile est négociable à tout les documents cinématographi- Il y eut donc des étoiles, des «stars» l'heure actuelle, on a à peu près uni- cinquante mille, voire à cent mille et indispensable. C'est l'harmonie du un studio, des jeux de physionomie comme disent les Américains. Cela versellement compris qu'il faut sans francs. Mais à supposer que votre goût vrai style. Etiez-vous choqués par le captés au vol, des dialogues, des « pre- ques eux-mêmes. commença avec Maurice Costello, Ga- doute de bons interprètes, de bons di- personnel n'estime pas à cent mille seau où boit Rio Jim, les dés qu'il miers plans », des coins de nature, Cela nous amène à nous demander brielle Robinne, Staçia Napierkowska, recteurs de réalisation, mais qu'il faut francs un tableau dont les frais de jette sur le comptoir du bar, les car- des ciels éclatants ou crépusculaires, si de telles consultations seront pos- Renée Cari, René Navarre, Suzanne aussi et surtout un auteur, qui con- toile, couleur et cadre ne dépassent tes significatives des buveurs ? Le des clairs de lune, dés lacs, çes nua- sibles, si, en un mot, il existe, même Grandaîs, Broncho Billy, Prince-Riga- cevra dans son plus petit détail le film pas positivement trois ou quatre louis, plan de ces images dépassait en pro- ges, de la neige, des fleurs... Et c'est à l'état d'embryon, une sorte de bi- din, Max Linder, etc.. pour ne faire et l'exécutera ensuite avec leur con- c'est le vœu d'une rn/tjorité ou plutôt portion la tète des héros et conden- maintenant que va commencer la vé- bliothèque cinématographique — une que croître et embellir avec Mary cours. ritable « composition ». C'est l'heure d'une minorité supérieure qui a trans- sait tout un drame sur un objet minus- cinémathèque, pour employer un Pickford, Douglas Fairbanks, Pearl cule grandi cent fois. Nous sommes du choix inspiré, de l'interprétation e formé ces quatre louis de toile et de mot plus concis. White, Nazimova, Sessue Hayakawa, familiarisés avec ces accessoires du personnelle, de la vie « aperçue à couleurs en monument de cent mille On sait que la pellicule, outre qu'elle William Hart (1), etc.. A l'origine, le cinéma dramatique francs. L'art s'est imposé. Le paysage film d'aventures, nous songeons mê- travers un tempérament ». C'est l'heu- est iminemment inflammable, se con- Cependant, tandis que la vogue de n'a donc été qu'une espèce de « théâ- de la -carte postale est peut-être le me à les abandonner ou à les em- re du « style ». Un manœuvre et un ces puissantes personnalités muettes tre des sourds », absolument indigne même que celui du peintre. Mais celui ployer à de plus hardis usages, mais artiste tireront de ces mêmes éléments serve très difficilement. continuait sans faiblir, on se rendait d'attirer l'attention de l'artiste le du peintre a un sens. Ce n'est pas de ne les renions pas. N'oublions pas deux films absolument dissemblables. Certains techniciens affirment qu'un compte que de bons scénarios bien mieux intentionné. On se bornait à la photographie. Et le cinéma est de Pour sauver sa race, Grand frère, Le premier collera bout à bout tous film négatif perd en quelques années réalisés leur étaient de plus en plus cinématographier des scènes théâtra- la peinture animée. L'auberge du signe du loup, La Con- ces fragments en suivant passivement la moitié de sa. valeur photographique, nécessaires. Si bien qu'en examinant, les jouées par des acteurs de théâtre « Il est curieux que cette instruc- quête de l'or, L'Homme aux yeux l'action et nous aurons un de ces ré- et qu'au bout de dix ans on trouve as- de près la situation, on s'aperçut que cits insipides et interminables, que dans des décors de théâtre. tion ne nous vienne pas à proprement clairs, Le serment de Rio Jim, belles sez souvent la gélatine détachée de. le piédestal sur lequel l'étoile était Le cinéma, jusqu'à ces dernières an- héures pour nos yeux et pour notre dévident jour et nuit nos marchands parler des artistes du cinéma mais de son support de celluloïd. hissée, devenu de plus en plus solide, nées n'était donc pas encore entré amour de la vie. La ceinture chargée de ruban imprimé. Le second procé- ses ouvriers, et que ce soient vraiment D'autres affirment que l'on peut pouvait parfaitement se passer du grâ- dans sa véritable voie. les photographes qui nous aient appris d'or, la table du croupier, la cruche dera à des recherches d'un tout autre cieux ornement qui le surmontait jus- « Si tout un labeur documentaire à être peintres. de grès d'où coule un file-en-quatre caractère. Il s'appliquera patiemment conserver indéfiniment un film, mais qu'alors. n'àvait pas été fait, le film dramati- « Le vrai film dramatique est né le qui fait flamber les têtes et ces pisto- à. juxtaposer, interposer, recouper, qu'il faudrait, pour cela, que, sans On résolut alors d'essayer de pro- que ou psychologique serait encore jour où quelqu'un a compris que la lets incroyables qu'on sort brusque- rapprocher, opposer toutes ces cellu- être serré, le film soit roulé avec des duire des films où la maîtrise du réa- bien loin de réaliser ses destinées, dé- transposition à l'écran des acteurs de ment de sa ceinture pour immobili- les vivantes, il calculera le rythme de bandes de papier dé soie qui empê- clarait dernièrement Louis Delluc au théâtre et de leur télégraphie plasti- ser trois douzaines de brutes, autant ces images, leur entre-croisement et cheraient les adhérences, et ensuite leurs superpositions, il dosera les im- (1) C'est intentionnellement que je" ne cours d'une conférence prononcée au que devait s'effacer devant la nature. de personnages qui nous ont conquis enfermée dans une boîte absolument cite pas Charles Chaplin, qui lui, est plus pressions visuelles et les émotions Colisée. Comme j'aimerais qu'un ap- Quand je dis la nature, je veux dire et troublé. Pensez à ces deux manchet- étanche close elle-même en un coffre et mieux qu'un interprète, puisqu'il com- prenti metteur en scène commençât tes de gros cuir, cloutées de cuivre psychologiques, créera à son gré une nature morte. Plantes ou objets, plein- à l'abri des variations de température, bine et réalise lui-même ses films. toujours par ce travail en marge ! airs ou intérieurs, détails matériels, et lacées avec une coquetterie sau- puissante « progression » dramatique, SESSUE HAYAKAWA dans et LE SACRIFICE VIVIAN MARTIN DE SATO

Alec FRANCIS

et WYNDHAM

WYNDHAM STANDING STANDING dans dans LES MORTS LES MORTS NOUS NOUS FROLENT FROLENT LES FILMS DE LA QUINZAINE

Du 2 7 Janvier au 2 Février. JACK HOLT LA DANSEUSE ETOILE Président Alvarez Wilfred Lucas et le petit Micky dans : Un cœur Teddy Paterson Frank Waûly (The Heart of a Child) d'enfant. Ciné Max-Linder, Ciné-Opéra, Rogal- MADAME BUTTERFLY tiré du roman de Frank Danby WILLIAM COLLIER W,agram, Louxor, Select, Palais des Gla- tiré du roman de John Luther Long par Charles Bryant et réalisé dans : Un fantaisiste. ces, Palais des Fêtes. et réalisé par James Kirkwood par Ray Smallwood Film Métro 1920 Edition Phocéa Film Paramount 1915 Réédition Eclipse Cho-Cho-San Mary Pickford Du 3 au 9 Février: Sally Snape Alla Nazimova LE FRANÇAIS TEL QU'ILS LE PARLENT Pinkerton Marshall Neilan Mary Murray Nell Newman (Paris Green) Alfred Stevens Eugène Klum LES MORTS NOUS FROLENT composé par Julien Josephson Charlie Peastone Victor Potel LE CRIME DU BOUIF et réalisé par Jérôme Storm (Earthbound) Lord Gilbert Ridding Charles Bryant Film Ince-Paramount 1919 sous-titres de G. de la Fouchardière, composé par Basil King et Lady Dorothy Claire du Brey Edition Paramount illustrés par H. Pouctal, réalisé par Th. Hayes-Hunter Le couturier William Irving avec l'interprétation de : Film Goldwyn 1921 Edition Erka Joë Ming John Steppling Luther Green Charles Ray Bicard Tramai Desborough Wyndham Standing Salle Marivaux, Palais des Fêtes, Pa- Ninon Robinet Ann May Mme Bicard . . . Thérèse Kolb Sà femme Naomi Childers lais des Glaces, Barbés, Métropole, De- Edith Schmidt N. Johnson Hexam .Paul Labry Sa fiUe Biillie Cotton mours. Royal-Wagram. Jules Benoit D. Mac Donald Docteur Boudon . Gerbault Rittenshaw Mahlon Hami'lton La mère de Luther Gertrude Claire Estelle Bicard Jane St-Bonnet Sa femme Flora Revalles FOLIE D'ETE Goldenmeyer Gouget Docteur Galloway Alec B. Francis tiré du roman de Cosmo Hamilton : Chennevert Charles Lamy Harvey Breck Lawson-Butt SESSUE HAYAKAWA Midsummer Madness, par Olga Printzlau Mme Hexam Henriette Delannoy Miss De Windt Kate Lester et Vivian Martin dans : Le Sacri- et réalisé par William de Mille fice de Sato. Omnia-Pathé, Pathé-Palace, Palais des L'AGONIE DES AIGLES Film Paramount 1921 Ed. Paramount Fêtes, Lutetia, Batignolles, Artistic, Pa- ' GERALDINE FARRAR adapté du roman de G. d'Esparbès : Bob Meredith Jack Holt lais-Rochechouart, Paris-Ciné. dans : Sous le Masque d'Amour. Les Demi-Solde, et réalisé par Margaret Meredith Lois Wilson Dominique-Bernard Deschamps Julian Osborne Conrad Nagel Fillm « Art et Cinématogr. » Edit. Pathé BERTHE DAGMAR LES NAUFRAGEURS DU PACIFIQUE Daisy Osborne Lila Lee dans : Marie chez les loups. Colonel de Montander .... Séverin-Mars Ketty Betty Francisco (Partners of thé Tide) Le Roi de Rome le petit Rauzena ANITA STEWART réalisé paT Irvin Willat Mme Osborne Claire Mac DoweJl Lise Charmoy Gaby Morlay dans : Le Message de la Souris. Prod. Hodkinson 1921 Edit. « Triomphe » Commandant Doguereau .... Desjardins Goguelu Gilbert Dalleu Bradley Nickerson Jack Perrin LE DICTATEUR 9 0 Le petit Bradley Marion Faducha Pascal de Breuilly René Maupré Triaire .-. Dauvilliers tiré du roman de Richard Harding Davis : CHARLIE CHAPLIN Sam Hammond Gordon Mullen Chambuque ; Mailly Soldiers of Fortune, dans : Chariot garçon de bar. Augusta Baker Daisy Robinson Fortunat Dhartigny et réalisé par Allan Dwan Fouché Légal (Quatrième réédition d'un film Grand'mère Baker .. •.. Gertrude Norman Film RealaTt 1919 Edition Harry Capitaine Ezza Titcomb .. J. P. Lockney Le Préfet de Police Duval tourné pour la Cie Keystone en Metlternick Moreno William Perxy Norman Kerry 1914). Margaret Paterson Pauline Stark L'Empereur Séverin-Mars GEORGES BISCOT Marie-Louii*e Mme Séverin-Mars Maud Paterson Anna G. Nilsson MADLEINE TRAVERSE Générai! Petit Desjardins Paterson Melbourne Mac Dowell dans : Marjolin ou la fille man- dans : Médisance. (Mêmes salles que Le Crime du Bouif). Jimenez Wallace Beery quée. 10 Ciné pour Tous

et maintenu dans une atmosphère qui crits, que sont les négatifs, la perte futur historien de l'art cinématogra- ne de quelqu'un de parfaitement vulgaire, et combien stupide, EN BELGIQUE. ne doit être ni chaude ni humide. serait, aujourd'hui, irréparable !... phique de ne pouvoir connaître, d'ici si j'ose aussi employer ce terme. Monsieur, Mais, il ne faut pas s'exagérer les Ces négatifs, à l'état d'exemplaire quinze ou vingt ans, Forfaiture, Into- Il ne faut pas, sous prétexte que votre journal «'appelle Ciné pour tous, que vous vous fassiez l'écho de « tous » les lecteurs inconvénients du film actuel, qui ne unique sont à la merci d'un accident lérance ou Le Gosse que par ce qu'en J'habite Bruxelles et le mouvement cinégraphique y est fort qui ont de telles appréciations à faire paraître, surtout quand -animé. ; .en somme le même qu'à Paris, en moins complet et sont que passagers, car de grands per- quelconque, il y a donc urgence à en ont écrit les revues cinématographi- elles sont rédigées dans un style que ne renierait pas Niai, du moins prompt. Ici aussi des cinémas mondains, des cinémas fectionnements seront apportés rapi- faire effectuer le tirage. ques de l'époque et par les photos qui boulevard de la Villette, qui aime bien « Totor », le rigolo, populaires ; le plus élégant est celui de la Monnaie, qui bat la dement à sa fabrication, pour en as- D'un autre côté, des salles spéciale- en ont été publiées. parce que... « la vie est bien assez triste comme ça grosse caisse et cela pas toujours pour offrir à son public la D'autant plus que si je reprends un numéro qui date de surer l'inihflammabilité et la péren- ment aménagées pour mettre le film fine fleur de la production. Ici, non plus pas de distinotion entre quelques mois, je trouve, concernant La Charrette Fantôme, les les films au point de vue art. Cependant, les cinémas de la rue à l'abri du feu et de l'humidité sont 11 appartient donc, soit aux gou- nité, en attendant le remplacement de mots : « ... Production tout à fait supérieure, réalisation tech- Haute (nos Batignolles), donnent des mélodrames péchés on ne vernements, soit aux producteurs, soit la pellicule par le papier inaltérable. en voie d'exécution, notamment à la nique extraordinaire, etc.. » :— ce qui est d'ailleurs la vérité. sait où, et que jamais un établissement qui se respecte ne pas- Pour le moment, nous devons aller maison Gaumont. Ces salles, vérita- aux cinéphiles de chaque pays d'agir Qu'on critique un film, soit. Mais qu'on ne le salisse pals. serait. Ils sont bravement avalés par nos bonnes femmes en che- J'espère, Monsieur lé Directeur, que vous serez de mon avis. au plus pressé, c'est-à-dire : opérer Je bles « Cinémathèques », présentant dans ce sens. D'abord rechercher veux et leurs îniôches (là censure leur a interdit le Lys brisé et R. D., Paris. non pas Fantômas ou le Sept de Trèfle). Mais par exemple Les sauvetage des films documentaires toutes les garanties désirables de sé- quels films ont successivement mar- O Trois Mousquetaires ne semblent pas remporter chez nous un existants et assurer leur conservation. curité, seront mises à la disposition qué un progrès dans l'évolution de TROP DE succès pharamineux. J'en ai vu un chapitre ; on s'écrasait dans Les films n'étant pas soumis à la des particuliers, pour la garde de leurs l'art cinématographique, et ensuite .. COMEDIE-FRANÇAISE >. ! l'établissement, mais c'était parce que l'affiche portait, en plus gros caractères Le Lys de la Vie de Loïe Fuller. En somme, M. loi sur la presse, le dépôt légal n'exis- « Archives Cinégraphiques ». Il sera d'en faire rechercher les négatifs, et iMonsieur le Directeur, Beulemans ne manque pas de goût. Un autre exemple : Marcel te pas pour eux ; c'est une grave la- loisible d'y louer des cases, comme de les conserver dans les meilleures Il existe dans le cinéma français de telles hérésies, que je L'Herbier a tant gagné dans son esprit, qu'un directeur de , cune à combler, car si les grandes mai- des coffres-forts dans les maisons de conditions possibles, des exemplaires tiens à vous les signaler. L'autre soir j'étais dans une salle de salle a donné Le Torrent sous sa signature. sons d'édition cinégraphique n'avaient crédit. positifs en étant tirés pour les ciné- spectacle bien connue. Le morceau de résistance était un grand Mais je trouve chez un de vos correspondants- un mot qui drame français en six parties. Eh bien sur l'affiche, qui conte- m'étonne : L'homme du large une ineptie ! Sans doute aucune pas gardé une partie de leurs manus- Car, il serait lamentable pour le mathèques nationales de chaque pays. nait le nom de cinq artistes, ces cinq artistes avaient leur nom connaissance du milieu, peu d'émotion humaine, mais com- suivi de : un tel de l'Odéon, un tel de la Coimédie-Française. ment votre correspondant, qui paraît plein de goût, a-t-il pu Je ne vois pas bien quels rapports il pouvait y avoir rester indifférent à la maîtrise photogénique ? Sans doute,-ni entre l'artiste de scène et-celui de l'écran. Quand se décidera- émotion, ni milieu vrai, ni armature ; abus du telntage. Mais de t-on à comprendre qu'il ne faut pas mélanger théâtre et cinéma. là à une ineptie ! La mer y est belle et il y a du caractère. Qu'il n'est aucunement besoin d'appartenir à une de nos scènes Les bonnes images animées ne s'ont pas assez nombreuses pour parisiennes pour être capable de faire du cinéma. Et juste- que je me sois ennuyée à L'Homme dû large. L'AVIS DES SPECTATEURS ment, tel artiste dont la renommée n'est plus à faire sur les La fantaisie n'est pas interdite au cinéma : Voyez planches, ne rendra absolument rien devant la prise de vues. TOUJOURS LES COUPURES même de superbes. Pour n'en citer que quelques-uns, le Penseur, Le Lys dé la Vie (on ne voudrait pas que cela recommence, mais Les compagnies éditrices qui font suivre de ces épithètes c'est très joli). Mais comme le dit fort bien M. Bailby dans Les le Carnaval des Vérités, la Xe Symphonie (et j'en oublie), sont inutiles les noms d'artiste de théâtre, laissent dans l'ombre Annales, le vrai secret du cinéma est d'être tout à fait humain, Monsieur, des films de premier ordre. Lorsqu'on a assisté à la projection l'acteur ou l'actrice de second plan qui, eux, n'ont pas l'in- et il plait déjà dès qu'il l'est un peu. (Est-ce un art ? Non, pas de films comme ces derniers, on peut dire : on vient de voir une De passage à Paris il y a quelques mois, j'avais déjà, assisté signe honneur d'appartenir au Vaudeville, au Théâtre Antoine plus que le théâtre, le cinéma n'est art en lui-même, mais comme représentation cinématographique qui en vaut la peine. C'est là à une première vision du Rêve et j'avais été charmé par l'en- uu autre. le théâtre, il peut à volonté devenir « artistique », suivant ce chaînement parfait des scènes et la grâce harmonieuse des ta- du spectacle d'art. Dans l'espoir que les années et l'expérience feront cesser cet qu'on y met. C'est son seul point commun avec le théâtre). bleaux, y Si, à Paris, on réclame contre certains directeurs de salles état de choses et qu'un jour sur l'affiche, l'artiste venu direc- Je dois ajouter que je n'ai jamais vu les Suédois, à mon vif Aussi, afin d'éprouver à nouveau ce plaisir, j'ai voulu assis- (.coupures, vitesse exagérée, etc.), ici, à Genève, ce n'est pas tement à l'écran sans passer par la scène, aura sa place bien regret. C'est une lacune que je réparerai à la première occasion. ter à une seconde vision de ce film, mais cette fois à Toulon, toujours au mieux non plus. Il y a aussi eu des réclamations de gagnée, agréez, etc. Encore une fois, Monsieur, excusez ma longueur et croyez à au ii Kursaal-Cinéma ». la part du public pour vitesse exagérée. Il y a quelque temps, SUZANNE REBIERE, - mes bons sentiments. e Or, quelle a été ma désillusion (après avoir subi avec cou- un opérateur me déclarait qu'il venait de « passer » 500 m de 75, rué Pouchet, Paris (XVII ). W. A. W'. rage le premier épisode de l'insipide Sept de Trèfle), de voir films en 10 minutes I Cela ne m'a pas surpris, ayant moi-même, qu'on avait supprimé du Rêve de nombreuses scènes que j'avais étant opérateur dans une autre ville, projeté autrefois 1.600 m. vues à Paris. Ainsi mutilé, le film perd sa valeur et les specta- en 30 minutes ! Mais j'oublie de dire que c'est sur l'ordre du teurs qui le voyaient pour la première fois, ont cru que c'était directeur que « j'en mettais » de la sorte... là l'œuvre de J. de Baroncelli, alors qu'ils étaient simplement A Genève, on a beaucoup admiré Mme Claude Mérelle et M. trompés par un directeur qui a probablement découvert qu'il Armand Bernard dans les Trois Mousquetaires. Quant à M. WILLIAM FAVERSHAM possède des talents de supervisualisateur. Aimé Simon-Girard, on l'a surtout trouvé beau gosse, mais déci- Aussi, devant de tels actes, je trouve qu'il est temps d'agir ; dément un peu trop... fille pour un mousquetaire. La scène de La plus grande partie de la carrière de William Faversham iil faut que les metteurs en scène exigent des maisons de loca- destruction de la flotte anglaise est bien pauvre. On aurait s'est déroulée à la scène. Né en 1868 dans le comté de War- tion que celles-ci exigent à leur tour des directeurs de salle de mieux fait de laisser ces bateaux. Ils prêtaient plutôt à rire... wick, en Angleterre, il suivit les cours des collèges d'Essex et 7 Mais je salue bien bas certaines scènes comme celles, par exem- projeter les films tels qu'ils les ont réalisés. Car tant que les de Hillmartin et servit dans Karmée de l'Inde, pendant une ple, du bal, où le roi constate que la reine porte tous les ferrets exploitants pourront modifier les, films à leur guise, le cinéma période de troubles particulièrement graves. de diamant. Ces passages sont découpés en main de maître. C'est ne pourra être considéré comme un Art. Et de nombreuses per- Revenu à Londres, il se prépara à affronter la scène sotis très cinéma. sonnes, que de belles et trop rares œuvres d'un Griffith, d'un le professorat de Carlotta Leclercq et, en 1885, commençait Sjôstrom, d'un L'Herbier commencent à convertir au cinéma, L'Apollo projette ces jours-ci un autre film du fameux « Kid » : modestement une carrière qui, dix ans plus tard, commençait à se détourneront déçues de ce qu'elles avaient cru un Art. le Gosse diabolique. C'est très bien. Les textes très drôles de lui donner une réelle célébrité. Quelque temps partenaire de J. C. Poulbot font beaucoup rire. Mais il manque quelque chose dans la grande actrice anglaise Mrs Fiske, il joignit ensuite les c-e film, nu plutôt quelqu'un : Chariot I Tournées Charles Frohman, paraissant tour à tour dans les E. OSCAR FLUCKIGER, principaux rôles du répertoire shakespearien et moderne. A GENEVE. fi9, rue de Carouge, Genève. En 1901, William Faversham jouait, pour la première fois Monsieur le Directeur, aux Etats-Unis, au Criterion-Théâtre de New-York. En 1903, il e épousait une artiste qui avait été sa partenaire dans plusieurs Il est vraiment réconfortant (le mot n'est pas exagéré), de SUR UNE LETTRE pièces, Julia Opp. trouver une revue cinématographique aussi sincère que Ciné DE SPECTATRICE Au cinéma, il avait été précédé par l'un de ses camarades pour Tous. de scène, qui en particulier avait longtemps joué avec lui Monsieur le Directeur, Permettez donc au simple spectateur que je suis de saluer la 7'7ie Squaw man, William S. Hart. Le succès de plus en plus devise de Ciné pour Tous : l'admiration du beau, d'où qu'il J'ai été très surpris de voir dans votre journal, sous la rubri- vif remporté par ce dernier à l'écran décida Faversham à vienne, et le contraire aussi : protestation contre les mauvais que « L'Opinion des Spectateurs », une lettre dont la grossiè- tourner une première bande en 1919 pour la Cie Paramount. films d'où qu'ils viennent également... reté a dû choquer beaucoup de vos lecteurs. The Silver King (Le Roi de l'Argent). Je ne m'attendais certes pas à voir paraître dans votre revue Assez souvent, je trouve dans votre revue, l'opinion des spec- En 1920, pour une autre compagnie, la Selznick, W. Faver- une lettre décriant — et en quels termes La Charrette Fantôme. tateurs sur l'infériorité du film français. Certes, il y a des films shaw tournait un double rôle dans The Man who lost himself Ceci pourrait encore passer sans l'énorriie grossièreté et la qui laissent à désirer, même beaucoup, mais il me semble pour- (paru en France sous le titre : Le Fantôme de Lord Barigton). vulgarité avec lesquelles sont rédigés les termes de cette lettre. tant qu'on) est un peu sévère parfois à juger la production En 1921, à la même compagnie, c'était The Sin that was his. Les mots : « Idioties », « Imbécilités < ces stupidités-là », française. que l'on vient de voir en France sous le titre : Sa Fautç. ne devraient jamais trouver hospitalité dans vos colonnes. Moi-même, je suis assez difficile à contenter. Loin de moi la Tout en continuant à paraître régulièrement à la scène, Il doit y avoir, dans les lettres que vous recevez, de» lecteurs William Faversham s'intéresse beaucoup à l'écran et, cette pensée dé porter aux nues les films français. Mais tout de même, qui vous écrivent d'une manière plus intelligente et plus déli- année encore, il travaillera pour lui. Ce sera Justice, d'après il faut reconnaître sans ambage qu'il y en a eu de beaux, voire cate, sans que vous soyez obligé de publier une lettre qui éma- le roman de Galsworthy, 12 Ciné pour Tous Ciné pour Tous 13 ==

ne leur a jamais défendu d'espérer. Qu'elle Ihon, lui faisait tourner le principal rôle de Cœur de Ga- S'il est quantité de jeunes gens et choisisse 1 L'autre se retirera. vroche. de jeunes filles qui, séduits par — Soledad, distraite, écoute les bruits loin- l'exemple de tant de vedettes, n'ont aux tains de la fête, musiciens du bal... Cloches... Puis c'est la guerre. Après une longue inactivité les rondes de fillettes dans la rue du village... pas de plus cher désir que de « tour- Fandango de jeunes gens sur la place... studios, un à un, rouvrent. A l'Eclair, France Dhélia tourne ner », en qualité d'interprètes, il est scénaristes — Visages anxieux de Réal et Miguélan. à nouveau, d'abord sous la direction de Roger Lion, dans aussi tout de même, à côté d'eux, un — < Je n'ai rien à répondre, dit Soledad ennuyée. Je ne vous hais pas, mais ne vou- une série de ciné-vaudevilles ; puis avec G. Rémond. D'au- petit nombre de fervents de l'art du lant pas vous aimer tous deux, je vous con- tres metteurs en scène de l'Eclair lui confient des rôles cinéma qui cherchent, à travers les débutants seille de vous mettre d'accord. Celui qui re- beaux filins, à en comprendre cha- viendra seul, je l'aimerai. » Visages stupé- importants ; on la voit successivement dans L'Ambitieuse, — Son pied joue — plus ou moins nu, — que jour davantage le. mécanisme, les faits des deux hommes. Rire de Soledad. avec des soieries orfèvrées. « Tirez au sort » 1 crie-t-elle. de Gérard Bourgeois, puis dans La Petite Micke, de Ch. possibilités e't qui tout naturellement — Chariots — villageois sur la route... vus Il est préférable, donc, de s'exer- Maudru. sont conduits à imaginer — c'est le de près, soudain, avec les femmes et les pay- sans, qui les chargent et qui vont vers la ville cer à travailler sous cette forme;.et i — des anecdotes où la vision se En 1916, France Dhélia entre chez Gaumont ; elle mo en fête... en riant... ou braillant..-, ou faisant lorsque vous enverrez à un produc- suftit à elle-même. hurler des instruments. tourne quelques bandes de Gaston Ravel, Feyder, puis teur européen un scénario ainsi énon- Le métier de composer des scéna- — Le bal citadin à peine entrevu... sous la direction de René Le Somptier, réformé après — Un clocher sonnant à la volée... • cé, vous lui faciliterez par avance le rios est long, difficile et rebutant ; — Visage de Soledad... Elle écoute. Elle travail long et minutieux du décou- blessure, Les Epaves de l'Amour, et Ginette (dans la dis- s'exprimer — ou presque — rien qu'a- pense. Elle évoque... page — que le. véritable auteur de tribution de ces deux films, France Dhélia est dénommée, vec l'image en mouvement est diffi- —Ces filles souples et dorées qui dansent, films doit connaître à fond et sur le- cile, et y réussir n'implique pas tou- qui dansent, qui dansent... on ne sait trop pourquoi : Mado Floréal). — Elle-même' dansait naguère. Fille quel- quel nous reviendrons d ailleurs, sans jours le succès auprès des producteurs En 1918, France Dhélia est engagée par Louis Malpas conque — presque enfant dans une maison de toutefois le recommander aux débu- et éditeurs jusqu'à présent plus danse... Public grossier... matelots... ou- tants. pour incarner dans son grand film La Sultane de l'Amour, friands d'adaptations aux multiples vriers... — Soledad sur ses tréteaux... derrière elle Autres recommandations : Inutile la princesse Daoulah, sous la direction de Ch. Burguet et sous-titres. des guitaristes, et ses camarades aux châles dé joindre à- votre envoi une lettre de Cette détermination de chercher à baroques. L'une est dépoitraillée. Une autre René Le Somptier. Puis avec ce dernier, toujours commentaires toujours superflus ; par composer des drames essentiellement met de l'argent dans son bas. Une autre arran- pour les Films Nalpas. France Dhélia tourne un ge son chapeau que le mouvement a cabossé. contre si l'envoi est accompagné d'une visuels èxiste déjà en France chez drame d'après-guerre : La Croisade. Un autre metteur en — Dans la salle, un jeune homme, Juanito, enveloppe timbrée portant votre adres- certains. Mais M faut convenir que suit des yeux passionnément la danse de se pour le retour de votre scénario, scène de la même firme, Germaine Dulac, l'engage en 1919 les premiers essais ne sont pas, en gé- Soledad... épaule nue... envol de jupes... che- vous pouvez être assuré d'une réponse pour tourner Malencontre. néral, très encourageants. De récents veux fous... — Le souvenir s'efface. Soledad, dans sa beaucoup plus prompte. concours de scénarios l'ont bien mon- Enfin, l'an dernier nous retrouvions France Dhélia dans belle maison, sur la terrasse, regarde la Enfin, si vous soumettez un scéna- tré et pour ce qui nous concerne, les route... un nouveau film d'idées de René Le Somptier, La montée rio à une. firme américaine, n'en- scénarios qui nous sont soumis de — Au loin, deux cavaliers minuscules. — Sourire énigmatique de Soledad. voyez qu'un résumé très détaillé de vers l'Acropole ; depuis lors elle a tourné, sous la. direc- temps à autre nous paraissent émaner - — Les cavaliers : Héal et Miguélan se rap- toute l'action de votre scénario; car tion du si regretté Séverin-Mars le meilleur rôle de sa car- d'esprits qui ne se rendent pas très prochent. Ce sont deux grands propriétaires les^ firmes américaines, qui reçoivent bien compte des différences essentiel- de la montagne. Réal a des troupeaux immen- rière cinématographique, celui de la mauvaise femme du ses... des bœufs... et tout un personnel éques- quantité de scénarios, désirent pou- les qui séparent le scénario cinéma- Cœur Magnifique. tre qui les garde. voir en prendre connaissance en un tographique du roman et de la pièce , — Miguélan des usines, chutes d'eau... foule minimum de temps. Ajoutons que, d'ouvriers'", voitures chargées de bois. / de théâtre. pour l'Amérique, la traduction en an- Tout d'abord posons en principe — Le visage de Soledad. Le sourire devient une moue. Ces hommes l'ennuient. glais et la dactylographie, en n'uti- que seul est véritablement un auteur — Réal et Miguélan, sur la route. Etrier lisant qu'un seul côte des feuilles, sont de films celui qui conçoit non pas contre étrier. Air un peu dur, tous deux. Réal La carrière cinématographique de France Dhélia, quoi- indispensables. une intrigue quelconque, mais bien plus ouvert, figure large, glabre, sourire for- que bien remplie, est assez brève, brève d'ailleurs comme cé-. Miguélan, visage long, petits yeux, front 11 nous reste maintenant à vous rap- une succession d'images, de tableaux sévère, mais beaucoup de gestes... peler ce que plusieurs lois déjà nous le nombre d'années que compte l'artiste. concourant à former dans l'esprit du — Causerie amicale et douloureuse... avons dit :. ne comptez pas réussir Née en en Touraine en 1898, France Dhélia fut élevée spectateur une impression donnée. On — Tous deux sont amoureux de Soledad qui n'a jamais voulu se prononcer. Par malheur, tout de suite ; tout métier — même dans un couvent de Blois. Et si elle pensait de temps à a trouvé un exemple- de ce genre de elle les voit toujours ensemble et n'a pas en- • celui-là — exige un apprentissage pdus travail en lisant le scénario de la Fête autre à vivre retirée dans un cloître, elle y songeait plus vie de choisir. Leur amitié résiste à l'amour. ou moins long. Espagnole, tel que son auteur l'a énon- C'est pourquoi, malgré cette angoisse pas- souvent encore à devenir actrice. Nombreux pourtant sont ceux qui, cé dans notre numéro 35, aujourd'hui sionnée, ils s'aiment toujours: — La vieille Paguien, loin, sur la route, une vieille folle faute de supputer avec quelque clair- Vers sa quinzième année, donc, France Dhélia débutait épuisé. Nous allons en reproduire au- malpropre et « pittoresque ». voyance la valeur de leurs œuvres, se à Paris, au théâtre des Arts, dans un superbe rôle de... jourd'hui un passage du début, pour — Réal et Miguélan — vus de loin, sans découragent dès les premiers échecs, bien montrer en quoi consiste cette doute par Soledad — manquent d'écraser la soixante lignes, du Fantasio de Musset. Puis on .la vit dans et qui, cependant, arriveraient au suc- manière de raconter une anecdote en vieille. Ecart des chevaux, ils passent à toute les spectacles beaucoup moins sévères que donnaient en allure. cès s'ils raisonnaient un peu les cau- n'énonçant que des visions, coupées 1914 le Théâtre Michel, le Théâtre Impérial. Puis au Châ- — Soledad, sur sa terrasse, éclate de rire. ses de l'échec de leurs tentatives, et Sur la route, la vieille ricane au milieu de la de rares sous-titres : s'ils se bornaient à traiter des sujets telet elle remportait un vrai succès dans La Petite Capo- Une fête populaire — danse, fleurs, rubans, poussière. — Réal et Miguélan devant la porte fie So- foule — dans l'Espagne traditionnelle mo- qu'ils connaissent bien. rale. ledad. Pied à terre. Sonner. Grille. Servante. derne. Séville... Visions rapides de rue ornée Lorsqu'un scénario vous revient, ac- Et, bientôt, ce sont les débuts à l'écran. Alors qu'un soir d'oriflammes... Procession autour d'un vieille Chiens. compagné de l'avis de non accepta- — La moue, accentuée, de Soledad. elle jouait à l'Ambigu quelque sombre mélodrame, un ca- basilique... — Vision intense du bal sous les arbres. tion, ne vous répandez pas en inju- — Cabaret gros de canaille... Dans un sentier, Juanito, le jeune homme marade lui demanda si elle ne désirait pas en sa compa- — Musiciens sur une estrade... res à l'égard de la personne à qui vous de la maison de danses, chemine, à pied, pan- — Porte d'un théâtre populaire... devez cette déception. Relisez votre gnie nouer connaissance avec le cinéma, au studio de Vin- talon et chemise blanche, veste sur L'épaule, —- Bal sous des arbres... manuscrit d'un œil impartial et criti- cennes de la Société Cinégraphique des auteurs et gens — Route uue en pleine campagne... allant à espadrilles, etc. Simplicité assez élégante. — Il ne sait où il va. 11 s'ennuie, il regarde que et cherchez à faire le départ d'en- de lettres. la ville... A Carana... l'eau d'une fontaine, un visage de femme s'y — Oasis parfaite où trône la maison blan- tre les bonnes et les mauvaises choses dessine, fugitif. France Dhélia débutait donc devant l'appareil de prise che, vaste, fleurie, silencieuse... de Soledad — Sur la terrasse de Soledad, Réal et Mi- qu'il renferme. Magri. de vues sous la direction de G. Monca, alors metteur en guélan gênés et résolus à la fois. Soledad se Même si vous n'arrivez pas encore — Vision de Soledad, belle fille fine, vôtue moque d'eux un peu... Toujours ensemble V bizarrement et harmonieusement, sur une ter- à le fairè accepter dans la suite, soyez scène des « Rigadin » et des adaptations d'Hector Malot. Elle rit... Son pied joue Ironiquement avec sa rasse de sa maison... deml-sleste... Jets d'eau... persuadé que vous n'avez pas travail- Puis, sous la direction d'un autre metteur en scène de la — Oiseaux alourdis de soleil sur leurs robe... — Des liqueurs sur la table... Des roses sur lé en'vain, car la bonne sorte de revi- S.C.A.G.L. elle tournait un rôle plus important, celui de branches ou leurs perchoirs... Chiens... le mur... Les chats qui regardent un paon... sion est exactement ce dont a besoin Chats... Servantes bien latines... Benjamine, dans Joséphine vendue par.ses sœurs. Peu après — Impression générale de volupté qui se Soledad s'étire... votre esprit pour parvenir plus tard — Réal — ou Miguélan — explique grave- à fournir son meilleur travail. un autre metteur en scène de la même firme, M. de Mor- résume par le bras de Soledad ou elle appuie ment que tous deux aiment Soledad et qu'elle son front... wuérique du Sud depuis 1920, et ne le 31 janvier 1899 à Englewood (près de taires ; vous le reverrez dans Le Mauoait lourne plus. New-York). Sa famille est d'origine Scan- garçon. G. M. — Ne comptez pas voir Les Trois dinave. Même adresse que Mary Miles Un lecteur. — Nous verrons sans doute Tombapic. — Mme Kovanko est l'épou- pas encore entièrement fixée. Nous la pu Mousquetaires de Douglas avant un an. Minter. — Je crois que la Select n'a plus Le petit lord Fauntleroy, le. dernier 'film se du metteur en scène des Mille et une Ellen Huchin. — Fannie "Ward est Mme de films d'Olive Thomas à éditer. de Mary Pickford, en mai prochain', — Nuits, M. Kovanko, Adresse : studio Er- blierons dès qu'elle sera connue. entre nous Jack Dean. — Mabel Ballin, Ralph Graves, M. Cravelle. — Non, Severin-Mars n'est Mildred Davis est la partenaire actuelle molieff, 52, rue du Sergent-Bobillot, Mon- Cinémaphile. — Vous êtes encore plus (Suite de la page 2) E. H. Herbert, Jack Gilbert et le petit pas mort à la suite d'un accident ; il avait de Harold Lloyd ; on ne l'a pas encore treuil-sous-Bois. — Elaine Hammerstein méchante que moi. — Angelo et Melchior Bob Alexander, dans La Bruyère Blan- seulement été très surmené par son tra- vue en France. — Le signalement de ce est une vedette de la Selznick ; mais c'est sont des acteurs de théâtre qui avaient che. — June Caprice ne tourne plus. vail d'auteur-réalisateur-interprète dans film est bien vague... une « star » de second, de troisième or- déjà tourné avant-guerre le premier chez depuis deux ans ; je ne connais pas son Douglette. — Le Signe de Zorro est, Le Cœur magnifique. — J. W. Kerrigan, Bernard Stamply. — Admirer égale- dre, même. — Vous reverrez Norma Tal- Pathé, le second chez Gaumont. — Angelo adresse. »vec Une aventure à New-York et Douglas Brunton Studio, 5341, Melrose Avenue, ment Joubé e*. Tom Mix, voilà qui semblt madge dans un film tourné pour la Cie a un rôle dans L'Autre, avec Elmire Vau- Suzanne P. — Biographie de Bessie tier, qui doit sortir incessamment. — Je a le sourire ce que D. F. a tourné de Los Angeles (Cal.), U. S. A. plutôt incompatib.». — Tous deux sont Select en 1919 : 17Ze déserte. Aucun de Barriscale dans le n° 40 ; de Max Linder mieux. —- Non ; peut-être confondez-vous Bruxiné. — Ce film, comme beaucoup mariés. Joubé a dépassé la quarantaine, ceux qu'elle a tournés depuis lors pour remarque que les demoiselles qui admi- dans le numéro 16. — Les Trois Mousque- avec M. Bréon, qu'on a vu dans Barrabas. d'autres bons films de 1916, 17, 18 et 19 lom Mix l'atteint cette -muée. — Sandra First National n'a encore paru en France. rent Faversham admirent aussi presque taires durent une soirée entière, comme toutes Stewart Rome. — André Habay est le partenaire habituel est maintenant oublié de tous, même des Milowanoff. Gaumontphile. — Le Moulin en feu VAtlantide. — L'Atlantide plaît ; cela de Maria Jacobini ; c'est tout ce que je éditeurs qui pourraient les rééditer avec R. Bellando. — Violette Jyl est née il n'étant pris en location par aucun direc- Yola de Nyss. — Louis Feuillade termi- ajoutera certainement à la caisse des Eta- tais. profit. y a une trentaine d'année en Touraine. teur de salle, l'autre semaine, sera offret ne actuellement à Nice Parisette ; studio blissements Aubert, mais l'art du cinéma Annie. — Je ne connais pas le nom de William Perton. — Ah ! spectatrices, — Calvert est née à Baltimore (U.S.A.) ; à nouveau à ces messieurs ultérieurement. Gaumont, chemin Saint-Augustin, Carras- n'est pas plus avancé après ce film qu'a- Nice. Leurs épouses ; tout ce que je puis dire vous êtes incorrigibles, quand on vous elle ne dit pas quand. — Gladys Leslie, — Ce film » Hollandia », comme le nom vant. c'est qu'elles ne tournent pas. — Aubert, parle talent vous répondez physique. à New-York, le 15 mars 1899. — Mary l'indique, est hollandais. César. — A l'époque où ces films out 124, avenue de la République, vous ven- Personnellement je considère l'interprète Anderson à Brooklyn (N. Y.) le 28 juin J. Lossignol. — Même réponse qu'à IV. Chimère. —■ Hollywood est à Los Ange- paru j'usais mes fonds de culotte sur les dra des photos de l'Assommoir. — Non, — la majorité, s'entend — comme un véri- 1897. — Edna Purviance en 1895, à Live- Ogle. — Satan, qui est un film intéres- les ce que Passy ou Montmartre est à bancs du lycée. — Et puis il y a eu tant de films intitulés César... — Peut-être pas d'enfants. — Pierre Magnier, Baron table pantin, que les réalisateurs manœu- lock, Paradise Valley (Nevada). — Le^ sant, a été sifflé l'autre semaine par le Paris ; pour avoir l'esprit plus en repos fils et Guyon fils dans Le Retour aux vrent plus ou moins heureusement sui- autres préfèrent garder le silence... — public snob du Colisée, avenue des mettez : Los-Angeles-HoUywood. — Jane Francis Ford dans cette série Kennedy. Champs. — Régina Badet et P. Pradier vant leur talent. — Dans La Princesse Le Tourbillon (The Whirlwind), avec Champs-Elysées. Novak est divorcée de Frank Newburgh ; Nostradamus. — Diane Ferval est, en de leur mariage elle a une petite fille. — effet, l'ancien nom de Claude France. — dans Maître Evora. — La Porteuse de Alice la petite Peaches Jackson (crue l'on Charles Hutchison. La Sirène. — Seule la Fox-Film, 17, rue pain a été tournée avant-guerre par Pa- avait dans Par l'Entrée de Service:, est J. L. Hommes. — Maciste est un artiste Pigalle, Paris, peut vous vendre des pho- La poste, pour cet envoi, vous renseignera Adressez vos lettres à ces deux interprè- mieux que moi. thé. Claudia enfant ; Claudia fillette c'est May italien qui tourne depuis peu en Alle- tos de La Dubarry, qu'elle a édité en tes américains à l'un des offices trans- Adoratrice. — Aucun nouveau film de Giracci, et Claudia jeune fille c'est Lila magne. — Le veirible partenaire de Cha- 1920 en France. .— Pour Charles Clary, L. L. R. — On a vu Thomas Meighan metteurs indiqués au n" 71. — M. Le Bar- gy, rue du Cirque, 5, Paris. — Gina Pa- Viola Dana n'est annoncé en France. — Lee. -•- Si ce directeur de salle de Rouen plin dans presque tous ses films de la adressez votre lettre à l'un des offices dans : Un Précurseur, dans L'Enfant de ïenne, S. F, F. A.. 17, rue de Choiseul, A. Simon-Girard tournera peut-être le piéfère donner des Fils de Mme Sans- série Mutual se nommait Eric Campbeli ; transmetteurs de Los Angeles indiqués la forêt (M. Pickford), dans La Mysté- Paris. rôle principal du ciné-feuilleton que L. Gêne plutôt que des Pollyanna c'est qu*il ii a péri en 1918 dans un accident d'auto. dans le numéro 71. rieuse miss Terry (Billie Burke), dans American. — Demandez cela directe- Feuillade produira après Parisette. — Le a le sens du théâtre et non celui du — G. Signoret est marié. Edith. — Nous nous basons avant tout, L'Associée (Blanche Sweet) et quantité Don Juan de Marcel L'Herbier ne paraî- cinéma. Donald Lean. — Adresses américaines pour les biographies que nous publions, d'autres films Paramount où, de 1916 à ment à la maison Petit, 19, rue Bergère, Paris, qui a édité ce film. tra pas avant trois mois au moins. — Je M. Liavres. — Il y aura bientôt deux dans le numéro 71 ; italiennes dans le sur la vogue du moment ; il est possible 1919, il jouait les rôles de partenaire Patzavoura. — Oui, M. Saillard, de 1*0- ne connais pas ce confrère. ans que Gaby Deslys est morte. — Non, numéro 73. — Veus reverrez sous peu que, ne voyant pas exactement les mêmes (leading-man). C'est une sorte de Ma- déon. R. Toulouse. —■ Claire Anderson et A. René Cresté dans , et non Jean Pearl White dans Rédemptrice, puis dans films en même temps, nos lecteurs belges thot américain ; ils plaisent — Meighan L.arewe dans Le Palais aux fenêtres ob- Dax. Par la Force et par la Ruse, son der- et suisses trouvent à redire à nos préfé- a atteint la quarantaine ; même adresse L'Amateur. — Oui, nous avons publié scures. — Ces films sont déjà parus à Un jeune Russe. — Cinquante centimes nier ciné-roman d'aventures tourné pour que Wallace Reid. — M. et Mme Carter la plupart de ces distributions. Toutefois rences ; mais il est bien difficile de Paris depuis plusieurs mois ; nous les par exemplaire, en un mandat interna- Pathé-Exchange en 1919 et paru en contenter à la fois les uns et les autres. de Haven dans Un bébé s'il vous plaît et quelques-uns des films en question ont avons annoncés en leur temps. Reportez- tional. Amérique sous le titre : The Black Secret. Vous me parlez de Constance et Norma - autres ciné-vaudevilles. été édités bien antérieurement à la date que vous indiquez. vous aux numéros antérieurs. — Ces L'Ecouteur. — Vingt ans après n'est — Norma Talmadge a quitté dernière- Talmadge, préférées, dites-vous, en Bel- S. Retlaw. — Alice Joyce, Percy Mar- adresses étaient exactes quand elles ont pas encore commencé. ment New-York et tournera désormais en gique à toutes les autres <> stars », même Dolly C. — Chariot et le mari jaloux mont et Van Seyffertitz dans Le Mons- été publiées ; depuis lors ces deux artis- Quartier latin, Claudine G., H. God- Californie. Mary Pickford, C'est possible, mais il est un film Keystone de 1914 ; cela se tre aux yeux uerts. — Ecrivez toujours, tes ont changé de domicile. dard. — Jack W. Kerrigan, Robert Brun- Renée-Léone. — Yvette Andréyor est n'en est pas de même en France où Pol- voit assez, d'ailleurs. — Oui, Max Linder, la plupart vous répondront sans doute. Charlie. — Si je me souviens bien, la ton Studio, 5341, Melrose avenue, Los Mme Jean Toulout. — Mme Léon Mathot lyanna, Petite Princesse, Par l'entrée de qui avait déjà été blessé à l'épaule par un Dona Sol. — Eléna Léonidoff est une partenaire de Tom Mix dans ce film est Angeles (Cal.), U. S. A. est cantatrice, et non artiste de cinéma. service ont unanimement plu, et où l'on fauve en tournant Sept ans de malheur, artiste italienne. On l'a vue en France a failli s'aveugler en s'approchant trop Teddie Sampson. A. O. R. — Consultez le Manuel Prati- Lewimichlly. — Non, croyez bien que voit une ou deux fois par an les sœurs dans Sappho, dans Vénus-Aphrodite, dans d'un phare électrique du studio où il tra- Chicinetle. — Partenaire de William que de Projection et d'Exploitation (2 fr.) c'est Tom Mix lui-même qui exécute )es Talmadge dans de bien médiocres pro- Le Mystère d'Osiris. Elle eût été probable- édité par Le Courrier cinématographique, acrobaties que l'on voit dans ses films, ductions, vaille. — Le Système D, avec Charles Ray Rnssell dans Jack cherche un emploi. ment une excellente Antinéa. Yuan V. — Ecrivez directement à cette 28, boulevard Saint-Denis, Paris. et non une « doublure ». Que les contra- Sin-é-Mah. — Pour 20.000 lieues sous et Vola Vale est un film Ince-Paramount Hello T. — Russes. — J'espère aussi de 1917. — Titre américain : The Son of maison, que je ne connais pas person- Jeannot. — André Roanne, Films du dicteurs prouvent plutôt ce qu'ils avan- les mers, consultez l'article du numéro 81. que Mlle Madys ne remettra plus sa fa- nellement. Fresnay, 46, boulevard Maillot, Neuilly- cent. — Sa Faute, en effet, n'a pas plu en gé- his father. — La Chanterelle est de réa- meuse perruque blonde, /. H. — Oui, dans le n° 24 ; mais ce sur-Seine. — Jean Angelo, 11, boulevard Gardénia. — C'est un fragment de Char- néral au public parisien ; pourtant la lisation beaucoup plus récente (1920). L. S. — Quelle belle écriture vous avez; Simian. — La désignation successive numéro est à présent épuisé. Photo dans Montparnasse, Paris-VI. — Georges Mel- lof fait du ciné, un film de la série Mn- thèse du scénario — passablement in- un peu fine pourtant. — Sans doute W. des tableaux serait préférable, mais les le n° 55. chior, 60, rue de la Colonie, Paris-XIIl. tual tourné après Chariot chez l'usurier vraisemblable j'en conviens — méritait Hart tournera-t-il à nouveau, la lune de compagnies américaines préfèrent un ré- C. D. — Alla Nazimova, Charles Bryant — Wallace Reid vous enverra certaine- et avant Chariot patine ; titre américain: le respect, et la réalisation était excel- miel une fois terminée. — Vous savez sumé très détaillé,' car la lecture en est et Syn de Condé dans Révélation. ment sa. photo. Behind the screen. — L'autre fragment lente. bien que les directeurs de salles préfèrent plus aisée. Le découpage est toujours Ninette P. — Aimé Simon-Girard, 66, J. Vamp. — Mais, non, je n'ai pas de est tiré des Trois Mousquetaires tournés- Lachesis. — Simone Sandré, une nou- cent fois projeter un mauvais film nou- exécuté par leurs soins. — Description chaussée d'Antin, Paris-IX. parti-pris contre la production française; en deux chapitres avant-guerre par le velle venue, était Cendrillou dans la Cen- veau et cher plutôt que de reprendre un des personnages, si vous voulez ; quoique Ed{th. — La Cie First National d'Amé- je déteste simplement ce qui n'est pas Film d'Art avec Dehelly, de la Comédie- drillon de MM. de Marsan et Maudru. bon film ancien et bon marché ; il faut le déroulement de l'action les montrera rique va installer sous peu une succur- « cinéma» ou ce qui l'est mal ; je crois Française, dans le rôle de d'Artagnan. Pour ma part, j'aime mieux Agnès Ayres, reconnaître d'ailleurs que s'ils deman- mieux encore sous leur véritable jour. sale en France. que nos producteurs ont plus à gagner à la Cendrillon du Fruit défendu, de C. B. Aux lettres qui nous sont parvenues daient un film vieux d'un an ou deux ans Hélène J. G. — Voyez pour le maquil- Sistèrs Three. — II n'est pas question écouter des critiques sincères et fondées de Mille. après le 22 janvier, il sera répondu dont dans une maison d'édition, on aurait bien lage l'article du numéro 73 ; d'ailleurs, d'un divorce Norma-Talmadge-Joseph que des compliments excessifs et intem- Raymonde Ch. — « Best Wishes » veut le prochain numéro. de la peine à les satisfaire. On annonce on doit vous apprendre tout ce qui con- Schenk ; vous confondez avec celui de pestifs. Les enfants les mieux élevés ne dire : « Meilleurs vœux ». Pour le reste un nouveau film de Hart à paraître en cerne cette question au cours d'interpré- Constance. — Justine Johnstone est née sont pas ceux que l'on gâte. — Armand vous avez dû mal recopier ; je n'y vois mars ici, c'est The Cradle of courage, tation que vous suivez. Bernard (Planchet) tourne actuellement aucun sens. INSTITUT CINÉGRAPHIQUE tourné en 1920 ; le titre français sera La TV. Steerforth. — Jane Novak est la par- Le Diamant noir sous la direction de Riri. — Lou Tellegen ne tourne plus Rançon de l'honneur. tenaire de Sessue Hayakawa dans Sa Krauss et Hugon. — Teddy du Fils de la PLACE DE LA RÉPUBLIQUE ■ SI vous cherches (Il et 23, Faubourg du Teaaple) Amateur-Ciné. — Hélène Cartier, pour dette. nuit c'est Teddy, le clown-acrobate por- paraître le 7 avril, est le titre définitif Un Lillois. — Mme Signoret ne fait pas pour votre Cinéma, ou pour tout tugais dont nous avons parlé déjà ; Dou- TWfih.n. : ROQUETTE 8S-6S - Mi il Normandie. p I U f II 1 rech. apport 40.000 fr. de Hantise, avec Geneviève Félix. — de cinéma. autre Commerce ou Industrie glas Mac Lean est une jeune vedette amé- Propriétaire V I 11 L lll H pour achat matériel en France Dhélia, André Nox et Van Daële, Tendresse. — M. Zorilla est retourné en ricaine qui ne s'appelle Teddy que parce dans La Montée vers l'Acropole. —■ Dis- que la succursale Paramount de France vue extension. Affaire de gros rapport Préparation complète aa tribution et photos de The Kid dans le Un Successeur en a ainsi décidé. Cinéma dans Studio moderne numéro 77. — Elsie Ferguson est Améri- Humble adm. — Le premier numéro de Banque PET1TJEAN, 12, Rue Montmartre, Paru par altistes et aaotteur» en «cane connu : MM. Pian* caine. Un Associé Ciné pour tous a paru le 15 juin 1919 ; M- George WAGUE HRESSOL (Nat Ptaeartea. Nltk-Cartt), F. ROBERT, R. Barrotteaux. — La distribution n'est nous paraissons tous les quatorze jours, Des Capitaux CONsVTHANS EST. Propriétaire .IMMEUBLE recherche LEÇONS D'ART le vendredi. — On reverra sans doute Lm CAMS snei atones sf passai à Tsars» ataml sis mt*B> 25.OOOfr.en 1 «HYPOTHÈQUE pour CINÉGRAPHIQUE Aimé Simon-Girard dans le t'né-feuille- La tom ton que Louis Feuillade tournera après créer CINEMA assure revenu minimnm 15°/o. AVOIR du SUCCÈS, DOMINER, RÉUSSIR. Rêv« réalisés grâce su Sachst de Niarka, parfumé, astralmagnétiaue BANQUE' PETITJEAN Parisette. — P. de Guingand débutait à MORS et UfOrtS "iJtTICULIÊRES (de 141 ZI très personnel Force, Bonheur et Réussite en Tout Notice em- Cour, de 5 » 7, le Dimanche, n ton studio V) Banque PETITJEAN, 12, Rue Montmartre, Paris plie c.O fr. 60. M"0. Niarka, 131. «i.de Paris. St-Mandé(Seine) 12. Rue Montmartre, 12 — PARIS l'écran dans Aramis des Triis Mousque- PRIX MODÉRÉ* 5, Cité PitfsUla <••) Tel i Trudsune «3-86

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