COLLECTION "LES GRANDS ROMANS-CINÉMA" Les Grandes Productions Françaises de Volumes parus : PATHÉ - CONSORTIUM ■ CINÉMA BARRABAS 6 LE TOURBILLON par MAURICE LEVEL par GUY DE TÊRAMOND Edition du 26 Mai •t Louis FEUILLADE Un fort volume .... Prix : 3 fr. > U volume 2 (r. 75 -ï- LES DEUX GAMINES La Bâillonnée L'ESSOR par PAUL CARTOUX d'après le film de Louis FEUILLADE i, JIAN PETITHUGUENIN Un fort volume .... Prix : 3 fr ■ On fort volume .... Prix : 3 fr. » de M. Pierre DECO URCELLE L'ORPHELINE SÉRIE POPULAIRE EN SEPT ÉPISODES HOUDINI. le Maître du Mystère par FRÉDÉRIC BOUTET -5- d'aprè» le Film de Louis FEUILLADE de JEAN PETITHUGUENIN Production de la Société d'Éditions cinématographiques l'ouvrage complet, illustré .Mise en scène de M. Charles BURGUET On fort volume Prix : 3 fr. » par la photos du film Prix : 3 fr. 75 Paris-Mystérieux par PAUL CARTOUX par G. SPITZMULLER E tous les écrivains favoris du grand public, celui qui atteint le plus PIERRE d'après le Film de Louis FEUILLADE d'après le Film de L. PAGLIERI profondément le cœur de la foule est incontestablement L'ouvrage complet, illustré DECOURCELLE. Un fort volume Prix : 3 fr. 50 [• | par le Film Prix : 3 fr. 50 Une nouvelle œuvre de PIERRE DECOURCELLE, c'est pour le spectateur une promesse d'intérêt poignant, d'émotion captivante, de larmes douces et pénétrantes. GIGOLETTE est un des plus grands succès que le cinématographe Volumes à paraître ait enregistrés... LA BÂILLONNÉE est assurée du même triomphe !..: La Résurrection du Bouif LA BÂILLONNÉE !... Titre évocateur s'il en fût !... Le Secret d'Alta Rocca Malgré la superbe évolution sociale accomplie depuis cent ans, il sub- par VALENTIN MANDELSTAMM (Film Pathé-Consortium) siste encore trop de familles où les préjugés de naissance dominent les par G. DE LA FOUCHARDIERE sentiments, et imposent silence aux appels les plus éloquents de l'amour et du cœur. En Mission LA BÂILLONNÉE, c'est la lutte d'une ouvrière délicieuse et coura- au Pays des Fauves geuse fille du peuple, contre une de ces familles-là. La destinée lui met sur la bouche un BAILLON que tous ses efforts (Film Gaumont) LES SEPT PERLES ne parviennent pas à arracher, et qui l'étoufferait, si dans le combat Adapté par GUY de TÉRAMOND par JEAN PETITHUGUENIN qu'elle soutient, l'enfant dont on l'a séparée n'accourait à son secours. Tout le monde pourra voir LA BÂILLONNÉE. Si passionnantes qu'en soient les péripéties, aucun détail n'en choquera personne. Dans J. FERENCZI, Éditeur, 9, Rue Antoine-Chantin, 9 • PARIS (14e) tous les milieux, dans tous les classes, on y sourira, on y palpitera, on y frémira, an y pleurera... m Les Billets de " Cinémagazine " Photographies d'Étoiles DEUX PLACES Édition de "CINÉMAGAZINE" à Tarif réduit Valables du 19 au 25 Mai I922

Ces photographies du FORMAT 18X24 sont véritablement artistiques et En aucun cas il ne pourra être perçu admirables de netteté. Leur grand format les rend propres à décorer les Ce Billet ne peut être vendu. avec ce billet une somme supérieure intérieurs. Jamais édition semblable n'a été tentée ! Nos photographies à 1 fr. 75 par place pour tous droits. laissent loin derrière elles les médiocres éditions offertes jusqu'ici aux amateurs. Adresser les commandes à "CINÉMAGAZINE ", 3, rue Rossini. Détacher ce coupon et le présenter dans Vun des établissements ci-dessous Prix de l'unité : i fr. 50 où il sera reçu aux jours spécialement indiqués pour chacun d'eux.

(Au montant de chaque commande, ajouter 0 fr. 50 pour les frais d'envoi.) PARIS LEGENDRE, 128, rue Legendre. (Il n'est pas fait d'envoi contre remboursement.) TIVOLI-CINÉMA, 19, faubourg du Temple. AUBERT-PALACE, 24, boul. des Italiens. — CIRQUE D'HIVER-PALAIS DU CINÉMA. Aubert-Journal. Cœur Jaloux, grand drame de MONTROUGE-PALACE, 73, avenue d'Orléans. l'Alaska. Jackie Coogan dans Mon Gosse. SAINT-PAUL-CINÉMA, 73, rue Saint-Antoine. ELECTRIC-PALACE-AUBERT, 5, boul. des DEMOURS-PALACE, 7, rue Demours. Italiens. :— Aubert-Journal. Kinéto scientifique. MOZART-PALACE, 49, rue d'Auteuil. LISTE DES PHOTOGRAPHIES n° 10, document. Toom Moore dans Au Voleur I CINÉMA ROCHECHOUART, 66, rue Roche- coméd. dram. Pallié-Revue. Hortense a gagné chouart. le. gros lot, comédie. FOLIES-DRAMATIQUES, 40, rue de Bondy. 1. Alice Brady 27. Norma Talmadge, en buste 52 Thomas Meighan En supplément facultatif : Dédé champion de Les billets, dans les Etablissements ci-dessus, 2. Catherine Cal vert" 28. Norma Talmadge, en pied 53 Gabrielle Robinne vitesse, comique. sont valables tous les jours, excepté les samedis, PALAIS-ROCHECHOUART-AUBERT, 56, boul. dimanches, veilles et jours de fêtes. 3. June Caprice (en buste) 29. Constance Talmadge 54 Gina_ Relly (Silvette de i Rochechouart. — Pathé-Revue. Dédé champion 4. June Caprice (en pied) 30. Olive Thomas « l'Empereur des Pau- i de vitesse, com. Hors du Foyer, com. dram. Etablissements Lutetia 5. Dolorès Cassinelli 31. Fanny Ward vres *) La Terre du Diable (1er chap.). Aubert-Journal. Le Garage de Fatty, com. LUTÉTIA, 31, av. de Wagram. — Pathé-Revue, 6. Chariot (à la ville) 32. Pearl White (en buste) 55. JackieCoogan (Le Gosse) GRENELLE-AUBERT-PALACE, 141, av. Emile- docum. Lionel Bàrrymore dans Le Héros du 7. Chariot (au studio) 33. Pearl White (en pied) 56. Doug et Mary (Je couple ! Silence. Pearl White dans Par la Force et par Zola. — Pathé-Revue. L'Idole du Cirque (1 " épis. : e 8. Bébé Daniels 34. Andrée Brabant Fairbanks-PickJord) photo : Une femme passa). Par la Force et par la Ruse la Ruse (2 épis. : L'Asile d'Alcooliques). Une (2e épis. : L'Asile d'Alcooliques). Aubert-Journal. Voix dans la Nuit. Gaumont-Actualités. Pari- 9. Priscilla Dean 35. Irène Vernon Castle de notre couverture n° 3P). Parisette (12° et dernier épis. : Le Secret des selle (12e et dernier épisode : Le Secret des 10. Régine Dumien 36. Huguette Duflos 57. Harold Lloyd (Lui) Costabella). L'Atlantide. Costabella). 11. Douglas Fairbanks 37. Lilian Gish 58 G. Signoret, dans le REGINA-AUBERT-PALACE, 155, rue de Rennes. ROYAL, 37, av. de Wagram. — La Route des — Aubert-Journal. L'Idole du Cirque (2° épis. : Alpes. La Queue en trompette. Un mari de Conve- 12. William Farnum 38. Gaby Deslys « Père Goriot » Un témoin gênant). L'Enfant, le Singe et le nance. Chariot et Fatty boxeur. Les Grandes Esca- 13. Fatty 39. Suzanne Grandais 59. Geneviève Félix Canard, com. L'Empereur des Pauvres (12e et lades. Norma Talmadge dans Oui ou Non, 14. Margarita Fisher 41. 68. Nazimova (en buste) dernier chapitre). L Atlantide. drame. Pathé-Journal. En mission au Pays des VOLTAIRE-AUBERT-PALACE, 95, rue de la Fauves (let épisode: Histoire d'un Crime). 15. William Hart 42. René Navarre 70. Max Linder Roquette. — Promenade autour de Vittel, plein LE SELECT, 8, av. de Clichy. — Pathé-Revue, doc. 16. Sessue Hayakawa 43. André Nox (sans chapeau) air. L'Idole du Cirque (2e épis. : Un témoin Pauline Frédérick dans Le Portrait de Mrs Running e 17. Henry Krauss 44. Mary Pickford 71. Jaque Catelain. gênant). La Terre du Diable (1" chap.). Aubert- Par la Force et par la Ruse. (2 épis. : L'Asile Journal. Pathé-Revue. L'Atlantide. d'Alcooliques). Palhè-Journal. Oui ou Non. 18. Juliette Malherbe 45. France Dhélia 72. Biscot GAMBETT A-PALACE, 6, rue Belgrand. — Aubert- Parisette (12e et dernier épisode : Le Secret des 19. Mathot (en buste) 46. Emmy Lynn 73. Fernand Hermann Journal. L'Idole du Cirque, grand ciné-roman Costabella). 20. Tom Mix 47. Jean Toulout 74. Georges Lannes (1" épis. : Une femme passa). La Terre du LE CAPITOLE, place de la Chapelle. — Pathé- Diable (1" chap.). Fatty cabotin, com. L'Atlantide. Journal. Parisette (12« et dernier épisode: Le 21. Antonio Moreno 48. Mathot 75. Simone Vaudry PARADIS-AUBERT-PÀLACE, 42, rue de Belle- Secret des Costabella). La Queue en trompette. 22. Mary Miles dans « L'Ami Fritz » 76. Fernande de Beaumoni ville. — Le Garage de Fatty, com. Aubert Jean Dax et Suzy Pierson dans .Son Crime. Attrac- 23. Alla Nazimova 49. Jeanne Desclos 77. Max Linder Journal. Les Sept Perles (12e et dernier épis. : tions : Les Jardys, acrobates équilibristes. Le terme du délai). Par la Force et par la Ruse (2e Suzanne Valroger. Charlie Chaplin et Jacquie 24. Wallace Reid 50. Sandra Milowanoff, (avec chapeau) épis. : L'Asile d'Alcooliques). Le marais Poite- Coogan dans Le Gosse, 25. Ruth Rolland dans « L'Orpheline > vin, plein air. L'Atlantide. LE MÉTROPOLE, 86, av. de Saint-Ouen. — 26. William Russel 51. Maë Murray Pour les établissements ci-dessus, les billets ■ de La Roule des Alpes. Le Héros du Silence. La Cinémagazine sont valables tous les jours, ma- Queue en Trompette. Attraction : Nine Pinson tinée et soirée, sauf samedis, dimanches et fêtes. Son Crime. Pathé-Journal. LYON-PALACE, 12, rue de Lyon. — Gaumont- Actualilés. Le Démon de la Haine. Parisette LES ARTISTES DES " TROIS MOUSQUETAIRES " Groupement de la Société Financière des (12e et dernier épisode : Le Secret des Costabella). Cinématographes. Attraction : Treki, chanteur comique. Le Val BAGNOLET-CINÉMA, 5, rue de Bagnolet. d'Enter, Par la Force et par la Ruse (2e épis. : 40. Aimé Simon-Girard 63. Germaine Larbaudière 66. Martinelli (Porthçs) CHANTECLER, 76, avenue de Clichy. L'Asile d'Alcooliques). (D'Artagnan) (enbuste) (Duchesse de Che vreuse) 67. Henri Rollan (Athos) GAITÉ-PALACE, 6, rue de la Gaîté. SAINT-MARCEL, 67, boul. Saint-Marcel. — La PALAIS DES GOBELINS, 66 bis, avenue des Vallée de Chevreuse, pleinair.Porise«c(12eet der- 60. Jeanne Desclos 64. Pierrette Madd 69. Aimé Simon-Girard Gobelins. nier épisode : Le Secret des Costabella). V Empe- (La Reine) (Madame Bonacieux) (à cheval) GRENELLE-PALACE. 122, rue du Théâtre. reur des Pauvres (12e et dernier chapitre). Gau- mant-Aclualilês. Par la Force et par la Ruse 61. De Guingand ( Aramis) 65. Claude Mérelle MÉSANGE, 3, rue d'Àrras. e 62. A. Bernard (Planche») PATHÉ-TEMPLE, 77, faubourg du Temple. (2 épis. : L'Asile d'Alcooliques). Attractions : (Milady de Winter) SECRÉTAN, 1, avenue Secrétan. Marcelle Dcnva, du théâtre de la Monnaie, à VANVES, 53, rue de Vanves. Bruxelles ; Paul Pallier, de l'Opéra-Comique. DELTA-PALACE, place du Delta (17, boul. Ro- L'Excentrique, com. dram. avec Douglas Fair- ^«llllItltllIlItlIlllllllllllllllIlltlIlIttltlttlIlItlItlIIIIIIIItlIllllllllllltfTl ItlllllllllllllltlllflltHIIHmillIlltllltMlllllllllllllllllllllllHltfflffUtltllllltllflfllTr chechouart). banks. Qnémagazine~— 214 215 Qflémagazine LËCOURBE, 115, rue Lecourbc. — Pallié-Revue,' CHATILLON-SOUS-BAGNEUX. — CINÉ docum. Parisette (12" et dernier épis. : Le Secret MONDIAL (Salle des Fêtes), rue Sadi-Carnot VAUXELLES-CINÉMA, rue de la Gare. Tous les des Costabella). L'Empereur des Pauvres (12e et dimanche, matinée et soirée. jours, excepté samedis, dimanches, veilles et MULHOUSE. — ROYAL-CINÉMA. Du jeudi au samedi, sauf veilles et jours de fêtes. dernier chapitre). Attraction: Inaudi, le calcu- CHOISY-LE-ROI. — CINÉMA PATHÉ, 13, ave- jours de fêtes. CHAMBÉRY. — SALLE MARIVAUX, 1, place NICE — APOLLO-CINÉMA. — Tous les jours lateur. Le Secret des Abimes. Par la Force et nue de l'Hôtel-de-Ville. Dimanche soir. sauf dimanches et fêtes. par la Rus.cM.2" épis. : fui'. d'Alcooliques). CLICHY. CASINO DE CLICHY, 51, boul. de l'Hôtel-de-Ville. Tous les jours excepté same- V As — NIMES. — MAJESTIC-CINÉMA, 14, rue Emile- Gaumont-Actualités. National. Tous les jours, excepté samedis, di- dis, dimanches, veilles et jours de fêtes. Jamais. Lundi, mardi, mercredi en soirée. BELLÊVTLLE-PÂLACE, 23, rue de Belleville. — manches, veilles et jours de fêtes. CHERBOURG. — THEATRE OMNIA, 12, rue de la Paix. Tous les jours, excepté samedis, di- Jeudi matinée et soirée, sauf veilles et jours de Gaumont-Actualités. Le Retour de Tarzan, grande COLOMBES. — COLOMBES-PALACE, 11, rue fêtes, gala, exclusivité. e Saint-Denis. Vendredi. manches, veilles et jours de fêtes. scène d'aventures. Parisette (12 et dernier épis. : OULLINS (Rhône). — SALLE MARIVAUX, rue Le Secret des Costabella). Attraction : Les deux DEUIL. — ARTISTIC-CINÉMA. Dimanche en ELDORADO, 14, rue de la Paix. Tous les jours, ex- cepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. de la Gare. Tous les jours, excepté samedis, Redams, jeux olympiques et acrobates de torce. matinée. . dimanches, veilles et jours de fêtés. La Queue en trompette. L'Excentrique. ENGHIEN. CINÉMA-PATHÉ. — Parias CLERMONT-FERRAND. — CINÉMA-PATHÉ. — OYONNAX. — CASINO THÉÂTRE. Grande FÉERIQUE-CINÉMA, 146, rue de Belleville. — de l'Amour (7 e épis.). Satan. 99, boul. Gergovie. — Tous les jours sauf samedis e et dimanches. Rue. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, Pathé-Journal. Parisette (12 et dernier épisode : CINÉMA-GAUMONT. — Empereur des Pauvres veilles et jours de fêtes. (6e chap.). Le Fils de Madame Sans-Gène. DENAIN. — CINÉMA VILLARD, 142, rue de Le Secret des Costabella). Chariot et Fatty Boxeur, POITIERS. — CINÉMA CASTILLE, 20, place scène burlesque. Par la Force et par la Ruse FONTENAY-SOUS-BOIS. — PALAIS DES Villard. Lundi. e DIJON. — VARIÉTÉS, 49, rue Guillaume-Tell. d Armes. Tous les jours, excepté samedis, di- (2 épis. : L'Asile d'AIcooiiques). Attraction : ••* FÊTES, rue Dalayrac. Vendredi et lundi soir.. manches, veilles et jours de fêtes. Trio Picrratys, acrobates comiques. La Vérité, IVRY. — GRAND CINÉMA NATIONAL,. Jeudi, matinée et soirée, dimanche en soirée. DOUAI. CINÉMA PATHÉ, 10, rue Saint- PORTETS fGirondeL — RADIUS CINÉMA. avec Emmv Lvnn et Maurice Renaud. 116, boul. National. Vendredi et lundi en soirée. — Dimanche soir. LOUXOR, 170, boul. Magenta. — Pathé-Journal. LEVALLOIS. — LEVALLOIS-CINÉMA-PATHÉ Jacques. Tous les jours, excepté samedis, di- manches, veilles et jours de fêtes. RAISMES (NordL — CINÉMA CENTRAL. Une Voix dans la Nuit. Parisette (12° et dernier 82, rue Fazillau. Tous les jours excepté samedis, Dimanche en matinée. épis. : Le Secret des Costabella). Attraction : dimanches, veilles et jours de fêtes. DUNKERQUE. — SALLE SAINTE-CÉCILE, place du Palais-de-Justice. Tous les jours, excepté RENNES. — THÉÂTRE OMNIA, place du Takio et son Film, imitateur. Le Triomphe de TRIOMPHE-CINÉ, 148, rue Jean-Jaurès. — Calvaire. Tous les jours, excepté samedis, di- l'Entêté. Par la Force et par la Ruse (2e épis. : Tous les jours, sauf dimanches et fêtes. samedis, dimanches, veilles* et jours de fêtes. EXiBEUF. — THÉATRE-GIRQUE OMNIA, rue manches, veilles et jours de fêtes. L'Asile d'Alcooliques). MALAKOFF. — FAMILY-CINÉMA, place des ROANNE. — SALLE MARIVAUX ID' Paul OLYMPIA, pl. de la Mairie, à Clichy (Seine). — Ecoles. Samedi etlundi en soirée. Solférlno. Tous les jours,-excepté samedis, di- e manches, veilles et jours de fêtes. Fessy), rue Nicolas. Jeudi, vendredi et samedi. La Roule des Alpes. Parisette (12 et dernier épis. POISSY. — CINÉMA PALACE, 6, boul. des ROUEN. — OLYMPIA, 20, rue Saint-Sever. Tous Le Secret des Costabella). Fatty à la Fêle, com. Caillois. — Dimanche. ÊPERNAY. — TIVOLI-CINÉMA, 23, rue de e l'Hôpital. Lundi, sauf lundis fériés. les jours, sauf samedis, dimanches et jours fériés. L'Empereur des Pauvres (12 et dernier^chap.). SAINT-DENIS.— CINÉMA-THÉATRE, 25, rue THÉÂTRE OMNIA, 4, place de la République. Gaumont-Actualités. Attraction: Chester'Kings- Catulienne, et 2," rue Ernest-Renan. Jeudi en GRENOBLE. — ROYAL CINÉMA, rue de France. En semaine seulement. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, ton, contorsionniste japonais. L'Excentrique. matinée et soirée et 'vendredi en soirée, sauf veilles et jours de fêtes. Pour les Etablissements Lutëtia, il • sera perçu veilles et jours de fêtes. HAUTMONT. — KURSAAL-PALACE, le mer- credi, sauf les veilles de fêtes. ROYAL-PALACE, J. Bramy (face Théâtre de» 1 fr. 50 par place, du lundi au jeudi en matinée et SAlNT-GRATIEN. — SELECT-CINÉMA. Di- Arts). Du lundi au mercredi et jeudi mat. et soirée. Les vendredis et samedis en matinée. Jours manche en soirée. Z LE HAVRE. — SELECT-PALACE, 123, boul. soir. de Strasbourg. Tous les jours, excepté samedis, et veilles de fêtes exceptés. SAINT-MANDÉ. — TOURELLE-CINÉMA, 19, TIVOLI-CINÉMA DE MONT-SAINT-AIGNAN. rue d'Àlsace-Lorraine. — Dimanche soir. dimanches, veilles et jours de fêtes. ALEXANDRA, 12, rue Chernoviz. — Tous les ALHAMBRA-CINÉMA, 75, rue du Pt-Wilson. Dimanche matinée et soirée. SANNOIS. — THÉÂTRE MUNICIPAL. Di- ROYAN. — ROYAN-CINÉ-THÉATRE. Di- jours mat. et sohv; sauf samedis, dim. et fêtes. manche en soirée. LE MANS. — PALACE-CINÉMA, 104, avenue ARTISTIC-CINÉMA-PATHÉ, 61, rue de Douai, Thiers. Tous les jours, sauf samedis et dimanches. manche en matinée. TAVERNY. — FAMILIA-CINÉMA. Dimanche SAINT-CHAMOND. — SALLE MARIVAUX, Du lundi au jeudi. soir. LILLE. — CINÉMA PATHÉ, 9, rue Esquermoise. CINÉMA DAUMESNIL, 216, avenue Daumesnil- Tous les jours, excepté samedis, dimanches, 5, rue Sadi-Carnot. Tous les jours, excepté sa- VINCENNES. — EDEN, en face le fort. Ven- medis, dimanches, veilles et jours de fêtes. Du lundi au jeudi en soirée et jeudi en matinée. dredi et lundi en soirée. veilles et jours de fêtes. CINÉMA DU CHATEAU-D'ÉAU, 61, rue du WAZEMMES CINÉMA PATHÉ, 24, rue de SAINT-ÉTIENNE. — FAMILY-TH ÉATRE, Château-d'Eau. — Du lundi au jeudi inclus, sauf Wazemmes. Tous les jours, excepté samedis, 8, r. Marengp. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. jours fériés. DÉPARTEMENTS dimanches, veilles et jours de fêtes. CINÉMA DU PANTHÉON, ; 13, rue Victor- LIMOGES. CINÉ-MOKA. Du lundi au jeudi. SAINT-MALO. — THÉÂTRE MUNICIPAL. — Samedi en soirée. Cousin (Rue Soufflot). — Du lundi au vendredi ANGERS. — SELECT-CINÉMA, 38, rue Saint- LORIENT. — SELECT-PALACE, place Bisson. en soirée, jeudi en matinée. Laud. Mercredi au vendredi et dimanche 1 "■mat. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, SAINT-QUENTIN. — KURSAAL OMNIA, CINÉ-THÉATRE LAMARCK, 91, rue Lamarck ANZIN. — CASINO-CINÉ-PATHÉ-GAUMONT. veilles et jours de fêtes. 123, rue d'Isle. Tous les jours, excepté samedis, Lundi, mardi, mercredi et vendredi. Lundi et jeudi. , il CINÉMA OMNIA. Cours Chazelles. Tous les jours dimanches, veilles et jours de fêtes. CINÉMA SAINT-MICHEL, 7, place St-Michel. ARCACHON. — FANTASIO-VARIÉTÉS-CINÉ- excepté samedis, dimanches, veilles et jours de SAUMUR. — CINÉMA-PALACE, 13, quai Matinées et soirées : places à 1 fr. 50 et à 1 fr. 25 MA (D. G. Sorius). Jeudi et vendredi, sauf veilles fêtes Carnot. — Dimanche soir. Du lundi au jeudi. et jours de fêtes. LYON. — BELLECOUR-CINÉMA, placeLéviste. SOISSONS. — OMNIA PATHÉ, 9, rue de DANTON-PALACE, 99, boul. St-Germain. Du AUTUN. — EDEN-CINÉMA, 4, pl. des Marbres. IDÉAL-CINÉMA, 83, avenue de la République. l'Arquebuse. Tous les jours, excepte samedis, lundi au jeudi, en matinée et en soirée. ' Samedis, dimanches et fêtes en soirée. MAÇON. — SALLE MARIVAUX, rue de Lyon. dimanches, veilles et jours de fêtes. FLANDRE-PALACE, 29, rue de Flandre, du BELFORT. — ELDORADO-CINÉMA. — Toutes MAJESTIC-CINÉMA, 77, rue de la République. SOUILLAC. — CINÉMA DES FAMILLES, rte lundi au jeudi. séances, sauf représentations extraordinaires. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, Nationale. Jeudi, samedi, dimanche mat. et soirée. FOLL'S BUTTES CINÉMA, 46, avenue Mathurin- BELLEGARDE. — MODERN-CINÉMA. — veilles et jours de fêtes. Moreau. Samedi (soirée), dimanche (matinée Dimanche matinée et soirée, sauf galas. MARMANDE. — THÉÂTRE-FRANÇAIS. Di- STRASBOURG. — BROGLIE-PALACE, place et soirée), lundi (soirée), jeudi (matinée). BERCK-PLAGE. — IMPERATRICE-CINÉMA manche en matinée. Broglie. Matinées tous les jours à 2 heures. Soirées GRAND CINÉMA DE GRENELLE, 86, avenue rue de l'Impératrice. — Alariage rouge. L'As, à 8 heures. Le plus beau Cinéma de Strasbourg. e MARSEILLE. — THÉÂTRE DU GYMNASE. Emile-Zola. Du lundi au jeudi, sauf représen- sommoir (3 époque). Jeudi et samedi en soirée- Tous les jours, excepté samedis, dimanches, Samedis, dimanches et fêtes exceptés. tation théâtrale. BÉZIERS. — EXCELSIOR-PALACE, avenue veilles et jours de fêtes. U. T. — La Bonbonnière de Strasbourg, rue des GRAND ROYAL. 83, avenue de la Grande-Armée. Saint-Saëns. Du lundi au mercredi, jours et THÉÂTRE DES VARIÉTÉS. Tous les jours, Francs-Bourgeois. Matinées et soirées tous les jours. Samedis, dimanches et fêtes exceptés. GRAND CINÉMA, 55 à 59, avenue Bosquet. Les veilles de Têtes exceptés. excepté samedis, dimanches, veilles et jours de Sports, docum. Par la Force et par la Ruse, avec BIARRITZ. — ROYAL-CINÉMA, 6, av. du fêtes. TARBES. — CASINO-ELDORADO, boul. Ber- Pearl White (2e épis.). Son Crime, avec Jean Maréchal-Joffre. — Toutes représentations ciné- TRIANON-CINÉMA, 29, rue de la Darse. Tous trand-Barrère. Jeudi et vendredi. Dax.Oiii'efnon.com. Interm.: Paul Gesky, diseur. matographiques, sauf galas, à toutes séances; les soirs, sauf samedis. TOURCOING. — SPLENDID CINÉMA, 17, rue IMPÉRIA, 71, rue de Passy. — Tous les jours vendredi et dimanche exceptés. des Anges. Toutes séances, sauf dimanches et MELUN. — EDEN. — Héliotrope. L'Aiglonne jours fériés. mat. et soirée, savif samedis et dimanches. BORDEAUX. — CINÉMA-PATHÉ, 3, cours (8e épis.). Jour de l'Ascension: la Glorieuse HIPPODROME. Lundi en soirée. PALAIS DES FÊTES. 8, rue aux Ours. Tous les de l'Intendance. — Tous les jours mat. et soirée, Reine de Saba. VALLAURIS (Alpes-Maritimes). — CINÉMA jours en matinée et en soirée dans les deux salles. sauf samedis, dim., jours et veilles de fêtes. MENTON. — MAJESTIC CINÉMA, avenue de place de l'Hôtel-de-Ville. Toutes les séances. PYRÉNÉES-PALACE, 129, rue de Ménilmon- SAINT-PROJET-CINEMA, 81, rue Sainte-Cathe- la Gare. Tous les jours, sauf samedis, dimanches VICHY. — CINÉMA PATHÉ, 15, rue Sornin. tant. — Tous les jours en soirée, sauf : samedis, rine. Du lundi au jeudi. et jours de fêtes. Toutes séances sauf dimanches et jours fériés. dimanches, veilles et jours de fêtes. BREST. — CINÉMA ST-MARTIN, passage MILLAU. — GRAND CINÉMA PAILHOUS. VILLENAVE-D' ORNON (Gironde). Samedi. VICTORIA, 33, rue de Passy. — Tous les jours St-Martin. Tous les jours, excepté samedis, Toutes séances. mat. et soir., sauf samedis, dimanches et fêtes. dimanches, veilles et jours de fêtes. MONTLUÇON. — VARIÉTÉS CINÉMA, 40, rue THÉÂTRE OMNIA, 111, rue de Siam. Tous les de la République. Tous les jours, excepté samedis, jours excepté samedis, dimanches, veilles et BANLIEUE dimanches, veilles et jours de fêtes. jours de fêtes. SPLENDID-CINÉMA, rue Barathon. Tous les ASNIÈRES. — EDEN-THÉATRE, 12, Grande- CAHORS. — PALAIS DES FÊTES, — Samedi, jours, excepté samedis, dimanches, veilles et ÉTRANGER Rue. Vendredi. CAEN. — CIRQUE OMNIA, avenue Albert- jours de fêtes. AUBERVILLIERS — FAMILY-PALACE, place Sorel. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, MONTPELLIER. — TRIANON-CINÉMA, 11, r. ANVERS. — THÉÂTRE PATHÉ, 30, avenue de la Mairie. Vendredi et lundi en soirée. veilles et jours de fêtes. de Verdun. Tous les jours, sauf samedis, di- de Heyser. — Du lundi au jeudi. AUBERVILLIERS-KURSAAL, 111, av. de la SELECT-PALACE, rue de l'Engannerie. Tous les manches, veilles et jours de fêtes. République. Tous les jours, excepté samedis, BRUXELLES. — QUEEN'S-HALL-CINÉMA. jours, excepté samedis, dimanches, veilles et MOULINS-SUR-ALLIER. — PALACE-CINÉ- dimanches, veilles et jours de fêtes. 16, Chaussée d'Ixclles. Tous les jours sauf jours de fêtes. MA, 12, rue Nationale. Tous les jours, excepté dimanches et fêtes. Le billet de Cinémagazine samedis, dimanches, veilles et jours de fê*es. donne droit au déclassement à toutes les nlaces. Le Numéro : 1 fr. 2e Année. — N° 20 19 Maî 1922

Hebdomadaire = Paraît = On demandez = illustré = (jjtëmagazine le Vendredi

ABONNEMENTS JEAN PASCAL et ADRIEN MAITRE ABONNEMENTS r rince t'n an *0 fr. Directeurs Étranger Un an 60 tr. — Six mois... 28 h. — Six mois. 22 fr. 3, Rue Rossini, PARIS (9*). Tél. : Quttnberg 3^2 des Jeunes premiers — Trois mois.... 12 fr. — Trois mol*. 15 h. — Un mois * fr. Les abonnements partent dul" de chaque mots — Un mois... S tr. Chique postal N° 309 08 (La Publicité est reçue aux -Bureaux du Journal) Pilimsnt par mandit-earti Intirnirmu PETIT RECENSEMENT ARTISTIQUE ET SENTIMENTAL

mfim on Q'iin/i organise entre tous ses Abonnés Cette enquête a pour but de renseigner nos lecteurs sur leurs artistes favoris en donnant la parole aux ntéressés eux-mêmes. Nous avons déjà publié les réponses de Régina Badet, Gaby Morlay, Marcel Lévesque, UltlIlayaZllIC et les "Amis du Cinéma'- un Musidora, Madeleine Aile, Sandra Milowanoff, Huguette Duflos, Léon Mathot, René Cresté, Georges Biscot, France Dhélia, Paul Capellani, Juliette Malherbe, Ginette Arcbambault, Baron.fils, Georges ( Mauloy, GinaRelly, JeanDax, Geneviève Félix, Edouard Mathé, Georges Melchior, Nadette Darson, Romuald Joubé, Simone Vaudry, Jeanne Desclos, Charles Vanel, Stacia de Napierkowska, Fèrnand GRAND CONCOURS Herrmann, Maguy Deliac, Claude Mérelle, Elmire Vautier, Andrée Brabant, Clyde Cook (Dudule), Claude France, Suzanne Bianchetti, Sabine Landray, Pierre Magnier, José Davert (Chéri-Bibi), Aimé Simon-Girard, Fernande de Beaumont, Alfred Saint-John, dit « Picratt », Planchât Armand- Bernard, Douglas Fairbanks, André Roanne, Pierre de Guingand, Monique Chrysès et Laurent Morlas. dans le but de découvrir des jeunes premiers élégants, Marquisette, Jean Devalde, FrancineMussey, Larry Semon (Zigoto), Geneviève Chrysias, LiseNelly, sportifs, réunissant, en un mot, toutes les qualités Paul Vermoyal et Louise Colliney. ,_ .. Chaque numéro contenant l'un de ces recensements est en vente au nri-x de t franc. requises pour remplir cet emploi. Tous les abonnés de " CINÉMAGAZINE " et tous les ".Amis du Cinéma" peuvent prendre part à cette LUCIEN DALSACE épreuve. Vos nom et prénom habituels? — Daïsace Les concunents doivent être âgés de 18 ans au Lucien, Lieu et date de naissance? — Chatou^(Seine- moins, et de 30 ans au plus. Ils sont priés de nous et-Oise), 14 janvier 1893. faire parvenir, le plus tôt possible, une ou plusieurs Quel est le premier film que vous avez tourné ? — La Brute. photographies portant, au verso, leurs nom, prénoms, De vos films, quel est celui que vous préférez ? adresse, date de naissance, taille, couleur des yeux — Toujours celui que je tourne. Aimez-vous la critique? — Oui, quand elle et des cheveux. est justifiée. Avez-vous des superstitions ? — Jamais trois cigarettes avec la même allumette (vieux souvenir d'aviation). Quel est votre fétiche ? — Un tout petit lulin en ivoire. Quel est votre nombre favori ? — Cinq. Quelle nuance préférez-vous? — Le mauve. Quelle est la fleur que vous préférez ? — La rose velours-grenat. - RÈGLEMENT DU CONCOURS = Quel est votre parfum préféré ? — \ Les acacias en fleurs, le soir. Une première sélection sera faite par les soins de notre Comité, et les photo- Fumez-vous ? — Oui, le cigare. Aimez-vous les gourmandises ? — Mon Dieu, graphies choisies par lui seront publiées chaque semaine par série dans Cinémagazine. oui t.... Après la publication dans Cinémagazine de la dernière série de photographies, Votre' petit nom d'amitié ? — Ah I voilà !... nos lecteurs nous feront parvenir un bulletin de vote détaché du journal et sur Quelle est votre ambition? — Devenir très grand pour aider les tout petits. lequel ils auront mentionné, par ordre de préférence, les noms des dix candidats Quel est votre héros ? — Mon père. qui leur auront semblé posséder le mieux les qualités requises. Quelle est votre devise ? — A chacun selon ses Une liste type sera établie d'après le résultat donné par le dépouillement général œuvres. A qui accordez-vous votre sympathie ? — .4 du scrutin. Les dix lauréats seront filmés par les soins de nos meilleurs metteurs ceux qui m'accordent... vraiment... la leur. en scène qui engageront par la suite, pour les faire tourner, ceux des concurrents Etes-vous fidèle? — Comme un chien, lorsque qui se seront révélés les plus aptes à tenir un emploi de jeune premier. cela m'est strictement rendu. Avez-vous des défauts ? — Plus que cela encore !!1 La publication des photographies commencera dans notre numéro du 2 juin. Avez-vous des qualités ? — Celies que mes véri- Des prix dont le détail sera donné par la suite seront attribués aux cinquante tables amis veulent bien m'accorder. électeurs dont le bulletin de vote se rapprochera le plus de la liste type. Vos [auteurs favoris, écrivains, musiciens ? — Samin, Saint-Saêns. Votre peintre préféré ? — Ziem. Votre passe-temps ? — Les sports' Avez-vous des manies? — Aimer trop l'impec- cable. Votre photo préférée? — Celle-ci. (Tnemagazine- 218 connaissons de longue date la troupe de Louis Feuillade et nous prenons plaisir à revoir nos artistes préférés au bon temps de .ludex. Mais la réalisation, à part la photo, qui sans être Certains, parmi les spectateurs d'une salle de ciné- très brillante est impeccable, le reste est néant' ma, aiment les ciné-romans et en suivent chaque c'est un film comme on en faisait il y a longtemps' épisode avec intérêt ; d'autres sont indifférents, La plus grande partie du film est composée de mais se garderaient bien d'oublier d'aller voir à chaque conciliabules devant l'appareil, et dont on repro- programme nouveau ce que deviennent les héros. duit fidèlement les paroles en des sous-titres fort D'autres enfin sont absolument réfractaires A la nombreux. vision de ces films. Au nombre de ces derniers se Malgré cela, les films de Feuillade sont bien les place notre correspondant M. Montez. Il convie, meilleurs du genre, et on ne dira jamais en sortant comme on va le voir, nos lecteurs à se déclarer pour que « c'est idiot »; mais ce qu'il y a de navrant pour ou contre le sériai. la cinégraphie française, c'est de voir des films CinémagaztSe ne voulant prendre parti, mais sou- comme Paris Mystérieux et tant d'autres que j» cieux néanmoins de connaître l'avis de ses « Amis i ne cite pas afin de ne froisser personne. On pourra et lecteurs, les invite A dire ce qu'ils pensent du peut-être, me reprocher d'être trop sévère à l'égard ciné-roman. des romans-cinéma ; mais ce que je reproche aux films de ce genee, ce ne sont pas leurs faiblesses mais c'est le nombre de pellicule que l'on use à faire de tels films. Alors qu'on l'économise au point de ne A PROPOS DES CINÉ-ROMANS nous donner que 3.300 mètres de L'Agonie des Aigles, dont le sujet, certes, est assez grandiose Monsieur le Directeur, on en dépense sans compter pour .faire de pareils banalités. Il ne faut pas que ces « Messieurs . Les quelques lignes que j'adressai dernière- continuent à vouloir « faire douze épisodes » ment à Cinémagazine m'ont valu les impressions 11 faut qu'ils « fassent un film >•, et un bon film! d'une lectrice de notre chère revue, sur les romans- cinéma : il n'y a donc pas que moi à avoir des J'aurais sans doute applaudi L'Orpheline, film idées semblables là-dessus, et c'est ce qui m'encou- de 7 ou 8 parties, mais en 12 épisodes, c'est vrai- rage à continuer do tonte mon humble ardeur la ment trop. campagne contre ce genre désuet, et qui n'ajoute Un film de longueur courante, s'il est médiocre, rien à la valeur de la filmotechnie. Je ne m'étais passera inaperçu : si vous l'avez subi dans votre permis que des généralités ; appuyons un peu cette cinéma, vous vous direz en guise de consolation MM. ZECCA ET CH. PATHÉ, DANS «CEUX DE CHEZ NOUS», CONFÉRENCE FILMÉE DE SACHA GUITRY lois, et mettons les points et les « poings » sur que i la prochaine fois ce sera mieux » ; mais un AU THÉÂTRE DES VARIÉTÉS, EN 1918. les i...dées. film de 12 épisodes retient l'attention pendant Un film, qu'il soit de cinq parties, ou de 12 semaines, et pour cela même, doit être supé- x épisodes, n'a sa raison d'être, ou si l'on préfère rieur à un film ordinaire. n'est utile que lorsqu'il représente soit une idée Voilà la théorie, elle est bien belle, mais de là DEUX PIONNIERS DU CINÉMA neuve, soit un genre, ou une réalisation nouvelle, à la pratique, il y a un monde. en un mot une manière différente. Ainsi El Pour terminer, qu'on me laisse émettre une Dorado « date » par une techniquenouvelle, Le Gosse idée que j'aimerais voir se.réaliser sous les aus- par la création d'un genre nouveau, celui de la pices de Cinémagazine : ce n'est pas grand'cliose tragi-comédie... Il est certain que chaque film ne mais c'est le mieux que l'on puisse faire pour l'ins- Petite histoire du Phono et du Cinéma peut être établi sur une Formule nouvelle, mais tant. A l'instar des revues new-yorkaises, il au moins il doit se rendre intéressant par ses faudrait organiser un référendum entre nous, lecteurs Quelques jours avec MM. Ch. Pathé et Zecca qualités techniques : mise en scène, réalisation, etc. de cette si belle revue française, xjour savoir quels Après une lecture, lorsqu'on a refermé l'ouvrage, sont les amateurs de ciné-romans. Deux questions E viens de passer quelques jours d une trop photographie,fut autre fois la propriété d'un grand on se demande ce que l'auteur a voulu prouver à poser : courte villégiature à Nice, la reine de la Côte seigneur anglais, lord Seymour, descendant sans et par quels moyens il y est arrivé: eh bien! il — Aimez-vous les romans-cinéma ? J n'en est pas autrement p'our une pièce de théâtre — Pourquoi ? d'Azur, et ma bonne fortune a voulu que j y nul doute du fameux lord qui, sous le second Em- et plus encore pour un film. Rien souvent, direz- rencontre M. Charles Pathé, le pionnier du cinéma, pire, avait acquis une célébrité un peu spéciale vous, l'auteur ne veut pas prouver grand'cliose ; Cela suffira amplement à renseigner les fabri- d'accord, mais alors son livre sera attachant par cants d'épisodes sur les goûts de ceux qui vraiment et M. F. Zecca, qui, présidant aux premiers sous le nom de Milord l'Arsouille. des descriptions merveilleuses de contrées ima- aiment le cinéma. balbutiements du nouvel art, lui fit faire si rapi- Lord Seymour avait acheté ou fait bâtir cette ginatlvcs : le sujet de L'Atlantide est assez mince, Il faudrait que Cinémagazine pose ces deux dement les pas de géant qui ont permis son magni- magnifique propriété qu'il avait appelée le «châ- mais c'est sa manière littéraire qui y suppléait. questions sous forme de simple référendum, et De même le récit, le scénario faible ou déjà connu, non de concours pour que les réponses, que j'espère fique épanouissement actuel. teau Saint-Maur », la baptisant ainsi du pseudo- peut être remplacé par une réalisation savante et nombreuses, soient franches puisque désintéressées. Des légendes se sont formées, ont couru et nyme dont il se servait pour écrire. une documentation précise. De cette manière, chacun essayerait par sa faible courentencore sur les origines cinématographiques M. Ch.Pathé, quesa santé un peu fragile condui- Or, qu'y a-t-il de tout cela dans les romans- voix à faire disparaître le roman-cinéma, si bien cinéma ? ancré dans nos programmes ; on ne viserait pas de MM. Ch. Pathé et F. Zecca. sait chaque année à Nice, achetale châteauSaint- Prenons au choix Parisette, L'Orpheline ou les à un prix cle concours plus ou moins probléma- Je fus tenté de leur demander pour Cinémagazine Maur quelque temps après la mort de son illustre Deux Gamines et voyons : on ne peut pas dire que tique, et les réponses n'auraient que plus de de les mettre au point, mais j'ai préféré user d'un propriétaire. _ ■ l'Idée soit neuve (L'Orpheline) c'est du « revu » valeur ». ( sous une autre forme ; le récit pourtant serait Soyez assuré, Monsieur le Directeur, de mon subterfuge qu'ils me pardonneront, je 1 espère. Le château est situé tout en haut deCimiez d où assez attachant, mais nombre de films le valent. sincère dévouement. Au lieu de leur proposer crûment une inter- l'œil jouit d'un panorama magnifique, et le parc L'interprétation n'est guère cinéma, mais nous Albert MONTKZ view dans laquelle, si sincère qu'il ait 1 inten- qui l'entoure est artistement planté de mimosas, de tion d'être, l'interviewé ne peut tout de même pas palmiers, de lauriers-roses et d'orangers qui— en oublier qu'il parle bour la galerie, j'ai causé sim- plein hiver — vous donnent l'impression per- plement, demandé 3es précisions, noté des points pétuelle d'un printemps précoce. intéressants et je crois avoir fixé ainsi, défini- C'est des hauteurs de Cirniez, de son clair tivement, l'histoire des débuts du cinéma. bureau dont nous donnons également une jolie C'est donc le résultat de ces « conversations » photographie, que Ch. Pathé, six mois de l'année GRAND que j'apporte aujourd'hui à Cinémagazine. dirige — sans que rien lui échappe <— la formi- cniîMii' asrss dable entreprise qu'il a créée et qui est connue splendide, buvette. Installation électrique parfaite. LA PLUS VIEILLE AFFAIRE DE LA aujourd'hui dans ie monde entier. RÉGION PARISIENNE. Bail : 19 ans. Loyer 3.300 francs. Appartement très confortable. Auparavant, qu'il me soit permis de présenter Chauffage central. Bénéfices prouvés pour 4 représentations par semaine : 45.000 francs. On Charles PaHié et le home magnifique et pres- traite avec 80.000 francs comptant. tigieux qu'il habite, à Nice, les six plus mauvais Une des légendes qui courent sur Ch. Pathé Écrire ou voir seul mandataire : mois ide l'année. veut qu'il ait eu des débuts plus que modestes. e GUILLARD, 66, Rue de la Rochefoucauld - PARIS (IX ) - Téléphone : TRUDAINE 12-69 Cei'Aomei dont nous donnons plus loin la Cette légende est inexacte. (Tnémagazine- 220 221 Qnémagazine Ch. Pathé appartient à une famille aisée, Le niveau artistique des interprètes grandit avait fait impression sur l'esprit en éveil de le boulevard dans une boutique où ils ont réuni M. Ch. Pathé. originaire de Lorraine, et qui, depuis un temps avec le succès. douze appareils. considérable, s'est fixée à Vincennes. j A Grisard s'adjoignirent des artistes réputés : Le kinétoscope, aujourd'hui presque ignoré, Tout en manufacturant des films destinés Jusqu'à son service militaire, il n'y a pas Mercadier, Mme Rollini, Charlus, Dranoël et mériterait de connaître pourtant une certaine au kinétoscope, Lumière a — à ce moment — Boyer. Ce dernier qui devait devenir un célèbre renommée, car il n'est autre que l'ancêtre du l'idée de faire projeter l'image photographique grand'cliose à dire du grand industriel actuel. < Quand il quitta le régiment, au lieu de se faire baryton était alors au Conservatoire et soldat. cinéma. sur un écran, de façon à la faire voir non plus à Vincennes la situation aisée et de tout repos qui Le soir, après la soupe, il enregistrait ses cylindres! C'était un appareil muni d'oculaires destinés par un seul spectateur, mais par une salle entière. l'attendait, le jeune homme vit grand, voulut A ce moment l'enregistrement n'avait pas acquis à un seul spectateur et dans lequel huit mètres Le premier appareil construit dans ce but fut orienter sa vie d'une façon audacieuse et, dans sa perfection actuelle et l'artiste ne pouvait de film impressionné, exactement pareil au film 1 œuvre de l'ingénieur Carpentier. Afin d'éviter l'espoir de voir et de trouver du nouveau,r'il impressionner que quatre cylindres à la fois. actuel, perforé comme lui à quatre trous, étaient les brevets d'Edison, le film n'eut qu'une perfo- Si la commande était entraînés et don- ration au lieu de se rendit en Amérique. naient, comme au- Quand il y arriva, de cent exemplaires, il quatre et fut entraîné fallait donc qu'il chantât jourd'hui , l'illusion par des griffes. Edison venait de créer du mouvement. vingt-cinq fois sa chan- Lumière loua, pour et de populariser le pre- Le kinétoscope ne mier phonographe et le son ! Cette difficulté faire connaître son considérable faisait que pouvait avoir qu'un invention, le sous-sol kinétoscope, l'aïeul du seul spectateur, c'est cinéma dont nous par- la demande était natu- du café de l'Hôtel rellement bien supé- l'unique infériorité Scribe et une bou- lerons plus tard. j qu'il avait sur le rieure à l'offre. Ch. Pa- tique boulevard Ch. Pathé comprit moderne cinéma à tout de suite l'avenir de thé résolut de prendre Saint-Denis occupée des mesures en consé- projection. actuellement par le ces deux inventions ; il M. Ch. Pathé avait quence et son premier « Pathé-Journal» (Ce acheta un phonographe également ramené soin fut de quitter le « Pathé-Journal » fut à Edison et revint en des Etats-Unis un France. cours de Vincennes, créé par M. Ch. Pa- berceau de son entre- kinétoscope, mais le thé qui voulait dé- Il fallait] intéresser?;le phonographe ayant ublic au phonographe. prise pour s'installer au montrer, et qui le 98 de la rue de Riche- donné rapidement prouva, qu'on pou- Jn seul moyen pra- des résultats extraor- tique s'offrait, que le lieu, avec un capital de vait exploiter l'actua- un million qui devait dinaires, cet appareil lité.) jeune homme n hésita en l'avenir duquel il pas un instant à em- prospérer on sait Lumière provoqua comme ! avait la plus grande un grand mouvement ployer : il fit entendre le confiance était mo- nouvel appareil dans les Il chargea deux méca- de curiosité, mais il niciens émentes, MM. mentanément tombé commit l'erreur de foires. au deuxième plan de C'est ainsi qu'on put Benzli et Continsouza, ne pas comprendre de lui construire des ses préoccupations l'importance qu'allait le voir en 1895-1896 à commerciales. la foire de Montéty. appareils phonographi- prendre le cinémato- ques sur des données Il ne tarda pas à graphe et de vouloir Tout de suite il inté- s'y intéresser à nou- resse les forains et fait nouvelles inspirées de monopoliser son ap- l'expérience. veau. Le gros écueil pareil. Comme de des recettes — colos- pour la réussite du sales pour l'époque — La perfection fut bien- tous côtés, nombreux tôt atteinte et la maison kinétoscope était son étaient ceux qui au- de 300 à 400 francs par prix élevé : 6.000 M. CH. PATHÉ à son bureau de Cimiez jour. La villa de M. CH. PATHÉ à Cimiez de la rue de Richelieu raient voulu exploiter qui resta jusqu'en ces francs avec douze la nouvelle invention Les forains veulent vues. Parmi celles-ci, il y?avait : Danses cynga- imiter leur confrère amateur qui les écoute derniers temps le siège de la Société des Etablis- et qu'ils se heurtaient aux refus réitérés de laises, Mlle Armandary étoile'de la Scala, Combat favorablement et leur vend des appareils et des sements Pathé Frères, connut des destinées sur Lumière, M. Ch. Pathé s'adressa à l'ingénieur de boxe dans un bar, etc., etc. cylindres enregistrés qu'il fait venir d'Amérique. l'importance desquelles il serait puéril d'insister. Joly et lui demanda de fabriquer un appareil Les forains constituaient une clientèle qu il Entraîné par notre récit nous avons fait une M. Pathé réussit à faire fabriquer en Angleterre permettant de projeter le film à quatre trous devenait intéressant d'approvisionner d'un réper- omission que nous avons à cœur de réparer. un appareil analogue qui ne revenait qu'à 1.000 fr., d'Edison. toire français. Ch. Pathé s'ingénie à enregistrer Nous aurions dû parler, en effet, de M. Emile mais cet appareil lui était livré sans film. L appareil fut bientôt construit et son exploi- des cylindres vierges et compose un répertoire Pathé, frère de Ch. Pathé qui, comme lui, par- Il eut alors une idée géniale. Pour onze appa- tation concurrença Lumière qui, ne possédant de chansonnettes, de monologues et de discours. tagea son enthousiasme et sa confiance dans un reils sans film qu'il faisait construire, il achetait qu un programme minime de films, ne tarda Il engage même un orchestre auquel il fait temps où le scepticisme paraissait de bon ton un kinétoscope avec douze films et vendait les pas à être battu. exécuter des marches militaires. vis-à-vis de l'industrie du phonographe. douze appareils accompagnés chacun d'un film. M. Pathé avait en effet commandé un appa- Il promettait aux acheteurs onze autres films Lui-même fait de l'enregistrement. Pour enre- ( reil de prise de vues et constitua rapidement, M. Emile Pathé est aujourd'hui à la tête de la a bref délai, et cette promesse il entendait bien gistrer des chansonnettes comiques, il s adresse partie phonographique des Etablissements Pathé ; comme il l'avait déjà fait pour le phonographe, un 1 un bien singulier interprète, Grisard, croque- la tenir, car il s'était déjà mis dans la tête d'éditer répertoire. son esprit toujours en quête de nouveau a fait des scènes pour le kinétoscope. mort de son état qui, entre deux convois, chan- réaliser à cette intéressante industrie des pro- Que pouvaient contre cela les dix bandes de tait avec succès à la terrasse des cafés de Vin- Il s adressa à une maison capable de lui four- Lumière qui mesuraient dix-neuf mètres ? grès considérables sur lesquels le cadre restreint nir du film vierge, ce fut la maison Lumière, cennes et du plateau de Gràvelle. Grisard avait de cette étude ne nous permet pas d'insister Parmi ces dix bandes qui causèrent à l'époque une belle voix qui faisait merveille à l'enregis- inventeur de la plaque au gélatino-bromure. une si vive sensation, nous citerons pour mé- davantage, aujourd'hui du moins. A ce moment, répétons-le bien haut, le ciné- trement. moire : L'Arrivée du Chemin de Fer, La Charge matographe n'est pas encore inventé, pas plus des Cuirassiers et une vue comique : L'Arroseur Il devint rapidement populaire dans un réper- par Pathé que par Lumière. i et le Gosse. toire éclectique qui partait du Trouvère pour n ne s'agit toujours que du kinétoscope que arriver à En voulez-vous des z-homards ? en pas- Au début de cette étude nous avons parlé du Laissant à son frère Emile la direction de la es frères Werner commencent à exploiter sur partie phonographique, M. Ch.Pathé se consacra sant par La Voix des Chênes. kinétoscope, la seconde invention d'Edison qu (Jjémagazine- 222 223 Qnémagazine dès lors tout entier au cinématographe auquel scientifique ; M. Pathé avait compris que c'étaient Qu'on ne s'y trompe pas. Ces scènes comiques alors sur le ventre du noyé qui rendait par la à ce moment il est presque seul à croire. les enfants et le gros public qu'il fallait conquérir. qui paraîtraient peut-être aujourd'hui désuètes, bouche un inépuisable jet d'eau. A l'Exposition de 1900, il obtient une médaille Les quatre premières scènes « tournées » par représentaient à l'époque une somme d'ingé- Zecca se rappelle avoir entendu à Marseille et prédit le brillant avenir du cinéma. Zecca s'inspirèrent de ces idées. niosité, de talent, d imagination absolument une femme s'écrier à ce moment : L'ingénieur Dussaud qui devait devenir son Nous croyons intéressant d'en rappeler les remarquable. —; Ah ! le pôvre, comme il a le ventre gonfle ! collaborateur avait eu, lui aussi, la claire pres- titres : Les « pontifes » qui s imaginent aujourd'hui Ici se place une anecdote amusante : cience des destinées du cinéma. « Ce sera, avait- La Soupière. — Un clown cassait quatre fois avoir inventé le cinématographe trouveraient sans Zecca tourne une féerie en 200 mètres : Les il dit, l'école et le journal de demain. » sa soupière dont les morceaux se recollaient doute profit à revoir ces premières scènes qui Sept Châteaux du Diable, et il a l'idée — le chaque fois, grâce au truc bien connu aujour- ont imposé le nouvel art au public. premier — d'y intercaler quelques sous-titres d'hui, mais nouveau à l'époque, du mouvement Dans ces premières scènes, en effet, on retrouve explicatifs. Depuis longtemps, M. Ferdinand Zecca colla- à l'envers. toute la technique abusivement qualifiée de Grande indignation dans le camp des exploi- borait au phonographe. Il « doublait » M. Ch. La Mégère récalcitrante, dont les premiers moderne, premiers plans, mouvements à l'envers, tants qui enlèvent les sous-titres et les retournent Pathé qui ne pouvait plans ne le cédaient en ■surimpressions, double et triple impression, etc. à la maison Pathé en disant : suffire à « enregistrer » rien aux premiers plans Citons parmi les plus gros succès à l'actif — Nous voulons bien payer pour du cinéma, les Discours du Prési actuels dits « améri- de Zecca : L'Agent Plongeur : Un pêcheur est mais pas pour des projections imprimées 1 dent Carnot » et du cains ». ■entraîné par un poisson au fond de l'eau. Les exploitants sont devenus aujourd'hui plus «Père Olivier à Notre- Comment Fabien de- L'agent survient, se jette à l'eau et, par un conciliants, trop même, car ils acceptent, les Dame ». vint architecte. mouvement à l'envers, remonte sur la berge yeux fermés, des films qui ne sont plus que de la Musicien, M. Zecca La Loupe de Grand' avec le pêcheur sur son dos. littérature à peine illustrée. «enregistrait» en cutrc Maman, aïeul lointain C'était Zecca qui faisait l'agent. Il appuyait (A suivre.) GEORGES DYERRES. des airs de mandoline du film scientifique mo- et de piston. C'est lui derne oui créa Le Muet Mélo- Mais Zecca ne se mane, la Visite du Ma- contente bientôt plus de jor et Le Fifre Bertran- ces films un peu trop dou de Cyrano. enfantins, il a la vision Il était chargé, éga- dès 1900 du cinéma- lement, de la bibliothè- théâtre et il tourne le que musicale et faisait premier « grand film », les coupures nécessaires 105 mètres! cinq mi- dans les partitions. nutes de projection ! M. Pathé songea à Histoire d'un Crime. aiguiller Zecca dans la : Aussitôt les exploi- voie du cinématographe. tants protestent contre Il avait eu la pre- cette débauche de mé- mière idée du synchro- trage ! Mais le succès nisme et fait jouer sur qui accueille le film l'écran, à Zecca, la scène, leur fait bientôt changer du Muet Mélomane qu il d'avis. avait déjà enregistrée J Encouragé par l'adhé- au phonographe. sion du public, Zecca Ce premier essai de comprend que le mé- scènes phono - cinéma M. CH. PATHÉ va partir en aulo trage n'est plus un obs- ne réussit pas. tacle et qu'un sujetinté- Zecca le reprit. 11 enregistra un nouveau ressant pourra se traiter plus longuement. cylindre à une allure plus lente et fit « tourner » A ce moment, les acteurs ne voulaient p."s la scène en la réglant au métronome. venir au cinéma parce qu'ils serefusaientàtourncr Cette opération se déroula à Vincennes, rue en pleine rue les scènes dites « de plein air », par des Minimes, sur un terrain vague muni d'un crainte du ridicule. plancher qui doit être considéré comme le pre- Zecca, auteur, metteur en scène, dut, en bien mier studio du monde, de même que celui qui des cas, se faire l'interprète de ses scénarios. « tournait » — M. Caussade — est le doyen des Il avait acquis de la sorte une célébrité ano- opérateurs. nyme (car on ne donnait pas alors les noms des La scène fut mimée et enregistrée tandis que interprètes) et son succès égalait, à l'époque, le phonographe accompagnait. celui de Chariot et de Max Linder. Le succès fut complet. En 1900, Dufayel put Un jour qu'il voyageait en Espagne, il rencon- L'ADVERSAIRE DE GEORGES CARPENTIER, KID LEWIS, passer Le Muet Mélomane en ciné-phono. tra une petite fille qui le regarda avec stupé- LE CHAMPION ANGLAIS DE BOXE ET CHARLES CHAPLIN. Ce n'était pas encore le « synchronisme », mais faction, puis s'écria en joignant les mains : cela en donnait tout au moins l'illusion. — Aqui esta cl gran magicol.(Mi\ le grand A la suite de cet essai concluant, M. Zecca fut magicien !) les numéros de CINEMAGAZINE chargé par M.Pathé de diriger la production ciné- Elle reconnaissait l'interprète d'un film qui PO! I Ff*Tin\J\IF7 ui ment érita e matographique ; il demanda quelques mois de l'avait bien étonnée : Un magiciert avait trouvé LVJLLCVJ I lUliliLéLi <» £r , / ^ répit et se mit à l'oeuvre. le moyen de se grandir, puis de se couper la clopédie du Cinéma, loua lei Le cinéma de Lumière avait surtout intéressé tête qui devenait à son tour trois fois plus grosse numéros de la première année, indistinctement, peuvent' être fournis au prix de un public d'élite qui s attachait au point de vue qu/ son corps. — Un franc chaque. = (jpmagazine Le Caractère dévoilé par la physionomie

WILLIAM S. HART

bées en dehors, indique l'indépendance de 1 esprit et de l'action ; un homme à l'es- prit fort, au jugement puissant. Les lignes fortement marquées de chaque côté de la lèvre supérieure dénotent de la philan- thropie. Cet homme nous abandonne son individualité très grande. La bouche petite, juste et affectueuse,

'œil montre de l'acuité dans les per- L ceptions ; c'est celui du détective qui aime le détail, la vie active, dont l'âme ne pour- rait jamais être rivée à un tabouret de bureau. La ligne droite, profonde, qui se dresse entre les sourcils, présage la pensée et le jugement sains, le bon sens. Les lignes bien esquissées sous les yeux sont les signes de l'humour, de l'esprit, de l'originalité. Le nez droit et long avec ses narines cour-

ndique par sa forme l'habileté dans l'art de l'observation ainsi que le sens de l'hu- mour, nettement caractérisé. La vitalité du sujet est grande. En amour, ces hommes-là sont généralement très heureux ; leur type essentiel est « la dévotion au foyer » ainsi qu'aux choses gaies qui l'en- vironnent. Ils aiment beaucoup les enfants et montrent une très grande déférence à l'égard des femmes et de ce qui les entoure. Ils ne sont pas très démonstratifs mais ils sont capables des plus grands sacrifices pour ceux qu'ils chérissent. JUAN ARROY. (jnemagazine 226 SUR HOLLYWOOD BOULEVARD

(De notre envoyé spécial à Los Angeles)

Buster Kcaton va bientôt être père... Jugez la Les Mexicains n'ont pas bon caractère. Ils ont joie de l'extraordinaire comique. Cependant un fait déclarer par leurs consuls et par la voie des sotobre pli barre son inderidable face depuis journaux à toutes les compagnies cinégraphiques quelques jours. Pourquoi ? > M de Los Angeles, qu'ils interdiraient l'accès du terri- Simplement parce qu'il ne sait pas quel prénom toire mexicain à toute compagnie cinégraphique qui d»nner à s'a future fille ou a son futur fils... viendrait tourner chez eux un film ayant tendance Les avis s'ont très partagés à ce sujet. à les ridiculiser. En outre,ils interdisent l'importation Si c'est furie fille, on la nommera : Norma Cons- dans leur pays des films de ce genre et ils vont main- tance Talmadge Keaton. tenant faire leurs films eux-mêmes et ils pensent se Mais si c'est un garçon ? suffire à .eux-mêmes. Combien de temps cela La difficulté est plus grande, car le manager de va-t-il durer ? Buster, le sympathique .Joseph Schenck tient abso- lument à donner son prénom a son iilleul et le petit garçon devra se nommer Joseph Kcaton... Pearl White vient d'être réengagée par Pathé. Buster ne l'entend pas de cette oreille et veut La jolie étoile commencera un nouveau ciné- perpétuer le nom de Buster... Alors ? roman en juillet, dès la fin de son contrat avec le En attendant, la maman Talmadge et ses trois Casino de Paris. fUles, Nathalie, Constance et Norma préparent Elle tournera son film entièrement dans là le home du nouvel arrivant. région de New-York. Inutile de vous dire que je ne manquerai pas de présenter aux heureux parents les lions souhaits des Amis du Cinéma dès que l'événement si atten- Frank Mayo, de retour de New-York, cette du se produira. semaine, vient de commencer à tourner chez Uni- vers-aï City Oui 0/ the Silent North de Drago. Le metteur en scène est William Worthington et Gloria Swanson, la star de cjiez Lasky, ne pourra Barbara Bedford jouera aux côtés de Mayo. faire son voyage en Europe que d'ici un mois, car elle vient de commencer la réalisation dc-ÏVie Gilded Cage, film dans lequel son leading-nian est David Ruth Roland a commencé aux « United Studios ► Powcl! qui vient de rentrer de Paris. son nouveau sériai The Riddle of the .Ronfle';"c'est Ernest Warde qui met le film en scène. Warde a LA MORT DE LAURENCE : M110 MYRGA ET M TALLIER. travaillé longtemps avec Warren Korrigan et Dustin Farnum, Alice ferry, la fameuse star de Metro-Pictures a épousé, il y a quelques mois, le grand metteur en LAMARTINE AU CINÉMA scène Rex Ingram. Rex Ingram, à qui nous devons Les- Quatre Après avoir travaillé quatre semaines dans la Cavaliers de VApocalypse, Eugénie Grandet, Le neige, Jane Novak est de retour à Hollywood ; Prisonnier du Zenda, etc. a eu une carrière elle tourne maintenant ses intérieurs. Son film mouvementée. Il fut tour à tour acteur, peintre, est The Snotv Shoe Trai. Chester Bennett joue à ses côtés. sculpteur, metteur en scène, puis lieutenant dans M. Léon Poirier a achevé la réalisation de «Jocelyn» la Royal Air Force anglaise pendant toute la guerre, marin, athlète « railwayman », journaliste, Winifred Westover, l'épouse de William Hart, scénariste et décorateur (et il n'a pas trente ans). est née à San Francisco et non, comme on l'a Un jour,"Ingram cherchait une jeune fille pour /~~)N Victor Hugo qui ne soit devenu un des prétendu, en Scandinavie. a quelquefois dit que le Cinéma était interpréter le rôle de Dora Woodberry dans un art romantique, et cette affirmation articles essentiels du « Credo >'• cinéma- Jïearts are Trumps. Le hasard le mena dans une crémerie de Pasadena (le quartier riche de Los est peut-être plus vraie que ne le pensaient tographique. Angeles) et il vit alors Alice Terry qui était une Pauline Frédérick a définitivement abandonné ceux-là mêmes qui la lançaient, souvent un Ne recherchons pas les raisons de ce petite étudiante. le cinéma. Elle joue en ce moment sur une scène — « Tiens, s'écria Rex, voilà la femme que je de Chicago et va partir pour une tournée en peu au hasard et pour se donner l'air de romantisme — ce qui serait un peu long, cherche pour le rôle de Dora, et immédiatement il Europe. quoique assez facile — bornons-nous à le engagea la jeune étudiante qui devint, sous la critiques hardis et renseignés. direction de Rex, une artiste merveilleuse. En effet, le romantisme donna en litté- constater et, l'ayant constaté, demandons- Alice Terry, qui est maintenant une des idoles du Harry Carrcy a^été engagé par RobertsonXole. rature le pas à la sensibilité sur la raison nous pourquoi nos metteurs en scène, public américain, est née à Vincennes (rassurez- vous,'ce Vincennes-là se trouve dans l'Indiana et en peinture à l'expression, à la passion et puisque d'une part le Cinéma est un mode ( Middle West), il ne s'y trouve pas de rue du Ciné- Billy West tourne toujours des films comiques en à la couleur sur la convention et le respect d'expression romantique et que d autre matographe, et c'est ainsi qu Alice Terry inter- deux parties pour une compagnie indépendante. part ils ne songent qu'à adapter à l'écran préta tous les films de Rex Ingram et fit la conquête La C. B. C. Film Sales Corporation. des règles. Ces caractéristiques : sensibi- du cœur du grand metteur en scène. La star et lité, expression, passion, couleur, ne sont-elles des ouvrages célèbres, ne demandent pas son directeur se sont mariés. Et ils sont heureux... N'est-ellc pas jolie cette « romance du Holly- pas exactement celles du cinéma? Si nous plus souvent à des auteurs de l'école 1830 wood Boulevard ? Max Linder, qui a achevé le montage de ses Trois Mousquetaires (Goldwyn Pictures) ira en France y ajoutons l'amour de tout ce qui est étran- de leur fournir la matière de leurs films. au mois de mai prochain. Il séjournera'quelque ger et exotique, le culte de la nature et Rares sont, en effet, jusqu'à ces derniers temps à Paris et reviendra en Californie. Dustin Farnum, William Russell et Jack Gilbert aussi le goût pour les actions violentes et mois les films qui ont été inspirés par des viennent de recommencer à tourner chez Fox. compliquées qu'affichèrent les poètes, les œuvres romantiques : on pourrait presque Doris Pawn, Ruth Renick et Renée Adorée sont leurs partenaires respectives. Shuttle Soul, tel est le nom du nouveau film'que romanciers et les auteurs dramatiques de la les compter : Marion Delorme, Les Misé- >On dit» que Jack Gilbert va divorcer ? Chut... King Vidor met en scène, c'est sa femme Florence E Yidor qui est star de cette bande. première moitié du XIX siècle et si nous rables, Notre-Dame de Paris, Les Trois jetons un coup d'oeil sur nos écrans, nous Mousquetaires, Monte-Cristo, Quatre-Vingt- nous rendons facilement compte que nos Treize et quelques autres. Depuis quelques Lucien Andriot, l'opérateur français des Fox Hobart Hcnley dirige maintenant Marie Pré- Studios, a terminé un grand film avec Emmett vost à Univcrsal-City. L'ancienne baigneuse cinégraphistes sont des romantiques attar- mois il semble que certains metteurs en Hynn. Le lendemain il commençait à tourner avec tourne en ce moment Her Night of Nights: dés. Il n'est pas jusqu'à l'amour des oppo- scène aient compris que ne pouvant avoir liuck Jones... Et il prétend qu'il n'est pas assez occupé. (Tous droits réservés). R. F. sitions que l'on a si souvent reproché à l'énergie de réaliser des films originaux, (Tnemagazine— Af.W.VlAVWVJW^-AW^VVW 228 229

ils ne pouvaient se montrer mieux inspirés la plus simple était transformée en un drame carnage révolutionnaires s'entremêlent aux faire^Jconstruire au milieu du studio de qu'en demandant aux romantiques de les angoissant. Cette action débute par un scènes de solitude montagnarde et que la rue de la Villette une immense grotte de inspirer. C'est ainsi que M. du Fresnay vient sacrifice, le sacrifice d'une vie. A vingt les uns et les autres gagnent à ce rappro- rochers et de terre à l'intérieur de laquelle ans, Jocelyn, afin de permettre à sa sœur chement une beauté nouvelle ! il avait besoin de « tourner » certains épi- de se marier suivant son cœur, lui aban- La réalisation de Jocelyn a, durant des sodes de la vie alpestre de Jocelyn, puis, donne sa part d'héritage et entre au sémi- mois, fait vivre M. Léon Poirier et ses continuant le métier d'architecte, il dut naire. Les persécutions que les révolution- collaborateurs d'une vie également pleine encore faire édifier un séminaire, une naires font subir aux prêtres l'en chassent. Il se réfugie dans la montagne, y recueille l'enfant d'un émigré qui vient mourir dans ses bras, et peu à peu il se prend pour cet enfant d'une affection sans bornes qui se transforme en un amour passionné lorsque le jeune homme découvre que cet enfant est une jeune fille, amour partagé auquel Jocelyn s'arrache pour se faire ordonner prêtre. Dès lors la vie n'est plus pour Jocelyn que dans l'austère devoir qu'il s'est fixé. Mais celle qu'il aimait est moins énergique. Elle s'est jetée dans le plaisir et use sa vie à se donner des raisons d'oublier Jocelyn. Epuisée, elle vient mou- rir près de lui... Et le prêtre, après ce dernier assaut, livré par l'amour au devoir, et victorieusement surmonté, achève sa vie dans la solitude, la prière et la charité. Ce thème éminemment romantique a fourni à M. Léon Poirier l'occasion de jouer en virtuose des oppositions : oppo- LE TVP MYRGA,'MM. POIRIER, TALLIER sitions de sentiments et oppositions de et MME POIRIER dans la cabane alpine ou ils ont vécu 3 semaines: de présenter Margot d'après Alfred de Musset, que Mme Germaine Dulac va commencer un Werther et que M. Léon Poirier vient d'achever un Jocelyn d'après L'arrivée de M. Léon Poirier et des interprètes de « Jocelyn » à Entraunes, lé dernier village de la route le ooème de Lamartine. des Alpes avant la zone blanche. De ce ooème Benjamin Godard a tiré - un drame lvrique dont une page est demeurée de contrastes comme seul le Cinéma peut chapelle, une cellule de prison, sans compter populaire. Se passe-t-il une semaine sans en procurer à ses fidèles. Partis de Paris en nombre de chambres et de salons, jusqu'au que nous entendions dans notre cour un plein hiver de brume et de pluie, M. Poirier jour où la foule révolutionnaire envahit chanteur glapir d'une voix douceâtre : et ses compagnons trouvèrent sur la Côte le studio Gaumont. Ce jour-là, la guillotine Oh! ne t'éveille pas encore d'Azur les sites presque printaniers dont était dressée au milieu d'une place qui bien ils avaient besoin pour certaines de leurs vite grouilla de sans-culottes et de tri- ou, de la mansarde voisine un apprenti vio- scènes, puis ils s'enfoncèrent dans la mon- coteuses. Accoté à l'un des montants de sa loniste étirer sous son archet les phrases tagne. Là ils passèrent trois semaines perdus sinistre machine, maculé de sang, le bour- arrondies de la fameuse berceuse ! A n'en- dans la neige, couchant et mangeant reau, coiffé du bonnet phrygien, érigeait tendre que cette page, un peu fade, nom- dans une misérable cabane de guide, dont son torse nu... De l'aube au coucher du breux sont ceux qui sont convaincus que les murs, quoique épais et voûtés, les soleil, on se battit autour du frêle et tragique Jocelyn n'est qu'un long duo d'amour. Ceux,- Une scène embarrassante aux sources du Var. protégeaient bien mal du froid, se nour- échafaudage où le couperet jetait sa lueur bla- là éprouveront en face du film de M. Léon rissant de provisions plus ou moins bien farde... Il y eut quelques blessés... Et le Poirier une véritable stupéfaction. Jocelyn cadres. C'est ainsi qu'après les tableaux accommodées, mais s'emplissant les yeux lendemain, M. Léon Poirier, pour se est, en effet,, un poème d'amour, mais ce souriants que motive la description du et le cerveau d'inoubliables tableaux de changer les idées et se reposer, introduisait n est pas un duo. Ce, poème comporte une bonheur simple de la jeunesse de Jocelyn, blancheur et de beauté, et travaillant en sous le tojt vitré du théâtre de prise de action,' une action extrêmement tendue et l'entrée, du jeune homme au séminaire plein air par 10 degrés au-dessous de zéro vues dont le plancher retentit sourdement violente, puisqu'elle se déroule à l'époque la donne lieu à une fresque austère d'une tant que l'objectif avait assez de lumière sous le pas de ses chevaux, la berline attelée plus troublée de notre histoire, en ces ligne simple et vraiment émouvante ; c'est pour ne pas gâcher de pellicule. en poste, qui devait emmener, vers la fron- années 1789-1795, durant lesquelles la vie ainsi que les épisodes de frénésie et de De retour à Paris, M. Léon Poirier dut tière et le salut, la famille éplorée de (pmagazine- 230 Jocelyn... M. Léon Poirier, j'en suis sûr, qui dirige et soutient la foi de Jocelyn. m é m a^az ï n e le jour où il aura achevé Jocelyn (et ce jour M. Blanchar casape avec bon'.ieur la est tout proche) ne silhouette de Lamar- contredira pas celui tine que l'on entrevoit s. y Actual î lés qui viendra lui dire au début du film, et que la vie d'anima- Mmes Suzanne Biar - teur cinématographi- chetti et Jeanne-Mi- que est la plus belle ne Laurent sont avec que l'on puisse rêver, un charme discret In étant la plus va- sœur et l-~ mère ç'e riée. Jocelyn. Comme à ses films Enfin tous les pe- précédents, M. Léon tits rôles, et ils sont Poirier a donné à nombreux, ont été Jocelyn une inter- confiés à des artistes prétation de premier sûrs, à commencer ordre. Le couple cé- par l'excellent Cinq- lèbre Jocelyn-Lau- Léon qui a composé rence est incarné par une silhouette de

M. Tallier et Mlle vieux berger d'un .On annonce Lanmu t. .... u m ie, iVe suvieL ut .UUSLUII VIOIIL . c wu

Prenez note que la sortie de KISMET

— Vous avez vu qu'un .chimiste — Cet enfant manque complète- Dernier espoir.— C'est entendu, En exclusivité au GAUMONT-PALACE est repoitée au o JUIN vient d'iiivenler la pellicule en alu- ment d'éducation. 3 e ne peux pas prendre part, comme minium ? — Tu vois, marran, tu ne m'em- vous, au Concours des Jeunes Pre- — Je m'en doutais... Carpcntier mènes jias assez au ciné. miers, mais j'espère avoir des chan- C'est un grand et beau film qu'il ne faudra pas manquer d'aller voir. v ient de signer un gros engagement ces quand ils organiseront,un con- pour tourner... cours de pères nobles ! 233 jyvi*w,y,u"wvu"u"u"uv^^ I'AWAWW' 232 (memagazine

marient. Une jolie comtesse, follement éprise On aurait pu, il me semble, en coupant certains du peintre, pour arriver à ses fins commande à passages, trop longs malgré leur beauté, réduire celui-ci' son portrait et vient poser à l'atelier. considérablement la bande et nous permettr LES FILMS DE LA SEMAINE La jeune épouse éprouve bientôt des doutes ; de la voir en une seule séance, elle guette et surprend un jour la comtesse Impressionné par le regard farouche d'Asca- dans les bras de son mari. Pas drôle... Mettez- nio et très inquiet sur le sort de la pauvre petite If NE FEMME PASSA. - Cette histoire Rêve de courte durée pour le télégraphiste, ^aimable et simple tétait. bien faite pour puisque la divette repart le lendemain, oubliant me reposer, un peu des drames compliqués ses amis d'un jour. Vincent est attristé d'un entrevus au travers des tranches de films à amour si vite envolé. Je comprends cela, mais épisodes avalées de force la semaine passée. Aussi qui sait si la vie en commun avec cette artiste, ai-je pris un réel plaisir à voir passer la femme, dans délicieuse mais peut-être frivole, n'aurait pas l'existence morne des trois fonctionnaires, céli- bientôt paru amère à ce pauvre télégraphiste ?.. bataires endurcis, que le scénario met en scène. Tout est bien qui finit bien ! ; Evidemment, quand on est dans leur cas et1 qu'on est obligé de 'vivre dans un petit vil-, lage perdu" en montagne, on a quelque peu la nostalgie des' plai- sirs qu'offrent les grandes cités. C'est ce qui fit que nos troisiper- sonnages,. — le chef de gare Bréauté (resté gar- çon pour éviter de subir le sort réservé, paraît-il, à ses collègues les chefs de gare ma- riés), le maire, Darmerrtière, e t l'employé du télé- graphe , Vincent Cyrille — décidè- Cliché Gaitmonl. rent de se rendre à la ville voisine Une scène de « La Vérité nue ». pour voir jouer la Dame aux Camé- vous à sa place ! Elle veut fuir, fait un faux pas, Betsy, me voici donc contraint à attendre huit lias. Séduits tous tombe, et devient aveugle des suites de la chute. jours pour savoir ce que révèle le troisième des trois par la grâce 1 1 a » ■ ■ w M >'t 11' Cette infirmité survenue chez sa femme n'em- papyrus trouvés dans l'amphore de la cité mau- de 1 interprète Cliché (ïattmonl. pêche pas, comme vous le pensez, le peintre dite. principale, Yvette Une scène de « Une Femme passa » d'entretenir un commerce coupable avec son Il joue très bien Modot ; j'aime beaucoup cet Lyris, ils déc'c- modèle ; et l'aveugle, un jour, surprenant entre artiste. rent leur flamme à 1 artiste dans une lettre A VÉRITÉ NUE. — Ce film italien est une I eux une conversation amoureuse, s'armè du collective. *~" sorte de mélo vieillot, aux invraisemblances revolver vengeur et tire : le mari s'effondre. NOBISME. — Ce film m'a plu. Il est d'abord Quelques jours plus tard, la divette voulant nombreuses et choquantes, mais bien fait tout L'émotion ressentie par son acte, rend la vue à bien joué et mis en scène avec goût. C est visiter un château voisin de la localité habitée par S de même pour émouvoir. Je suis déjà « bon l'épouse (c'est toujours ça de gagné !). une très intéressante étude de mœurs qui pourra ses adorateurs, écrivit au maire, qui, avec joie, public » quand on me montre là souffrance endu- Elle n'a rien de mieux à faire alors que de servir de leçon aux nouveaux riches, aux par- accorda l'autorisation sollicitée. rée par une femme aimante et trompée ; si l'on soigner le blessé ; ensuite elle lui pardonne venus entichés de noblesse, lesquels sont fine- Voici donc les trois compagnons servant de corse la situation en faisant de cette femme une le coup de revolver qu'il a reçu. ment critiqués. C'est très bien. guides à l'idole et faisant auprès d'elle assaut aveugle — tant pis si cet aveu vous semble Réconciliés, ils chercheront dans le travail de galanterie. Mais, bientôt, le maire et le chef ridicule de ma part ! — j'y vais de ma larme. 1 oubli des mauvaises heures passées. DARISETTE (12e épis. : Le Secret des Cos- de gare comprennent qu'ils doivent céder le C'est ce qui m'est arrivé avec La Vérité nue. 1 tabella). — Débarqué et conduit a la pas à leur Vincent, plus jeune qu'eux. Cependant, j'ai trouvé qu'on exagérait la note I A TERRE DU DIABLE. — Quelle que soit villa, Joaquim apprend que Cogolin quittera Un orage éclate, qui oblige tout le monde à en nous montrant cette aveugle maniant le l'opinion qu'il puisse faire naître, ce film les lieux, le lendemain, avec sa nièce Parisette, passer la nuit au château. Vincent profite de la revolver et s'en servant avec l'habileté ordinaire ne peut laisser indifférent ; car l'action est le brave garçon ne se souciant pas d être pris circonstance pour avouer son amour à l'artiste. Il de toute épouse moderne. Le revolver conjugal empreinte d'un caractère original et se déroule pour le complice d'un criminel. est éloquent pour lui, tout en parlant pour ses est à la mode, on le voit bien 1 dans un cadre grandiose. Je regrette néanmoins Mais, voici que Joachim raconte 1 origine camarades ; Yvette est troublée et cède à ce Ce film est l'histoire de deux artistes : une qu on nous montre en deux fois une telle œuvre. de sa fortune: il a pu, grâce aux indications de « délégué » des deux autres femme sculpteur et un peintre. Ils s'aiment et se (pmagazine- 235 Qnémagazine Candides extraire Au cours de cet épisode, on a fait la connais- enfant et que c'était plutôt aux hommes libres •des profondeurs sance d'un personnage nouveau qui semble devoir que cet appel s'adressait. Abraham Lincoln, de la mer unchar- jouer un rôle important par la suite. Attendons le futur grand Président des Etats-Unis, n'était ?gement de lingots les événements et nous verrons si je me alors qu'un simple député de Millville ; il fut d'or, coulé jadis trompe. frappé de l'ardeur patriotique de Milt Shanks, avec la •' Mère de Dieu», navire por- tugais qui fit nau- frage à l'embou- ■chure du Tage. F.t, ces explica- tions données, le T}0nheur revint •sous les toits des Costabélla. • Pari- sette pourra épou- v ser celui qu'elle -aime. Cogolin pourra, plus tard, devenir l'heureux mari de Mme Ste- fan, le banquier aidant ce projet en faisant activer son divorce. Ainsi se ter- Une scène de « Parisette » (12e épisode). Cliché Gaumon\ mine le film que, pendant douze semaines, nous avons suivi avec dire qu'il nous accomrriode toujours de rrerre un intérêt égal. On peut critiquer Feuillade et façon les aventures de ses sériais; n'empêche que tous, grands et petits, ont fait comme moi : ils n ont eu garde de passer un épisode du film, et furent également peinés aux chagrins de Pari- sette ou amusés aux divertissantes trouvailles de Cogolin-Biscot. Je souhaite ardemment à tous les gens de métier qui bâtissent des films à épisodes d'en « commettre » un semblable.

L'IDOLE DU CIRQUE (2eépis.: Un témoin *-• genani). — Celui-ci continue à tenir la Cliché Paramounl. curiosité en éveil. Eddie Polo est sympathique 11 et possède une anatomie digne de l'acrobate LlONEL BARRYMORE (à droite), dans « le Héros du silence qu'il représente. mais il lui conseilla de demeurer auprès des La semaine dernière, nous l'avons laissé aux siens, et Milt Shanks obéit. prises avec son directeur Gray, qui lui avait Quinze ans plus tard, en 1861, venait d'éclater tendu un piège; Hélène, à la suite de ce piège, la fameuse guerre de Sécession qui, pendant emmène Eddie blessé, chez son tuteur, le doc- de longues années, allait jeter le Nord contre le teur Kennet, Sud. L'humble ferme de Milt Shanks avait Maintenant que le vaillant acrobate sait prospéré, son fils Joey était un superbe garçon l'existence d'un reçu de Gray reconnaissant une I E HÉROS DU SILENCE. - Le sujet de de 16 ans. Ce matin-là, comme quinze ans forte dette envers son père défunt, il est décide " ce film, nous le connaissions pour l'avoir auparavant, Millville était en effervescence ; le à entrer en possession de ce papier qui lui assu- vu maintes fois à l'écran depuis 1914. Mais, si capitaine Harding venait encore recruter des rera la propriété du cirque. le fond de l'idée n'est pas nouveau, du moins volontaires et cette fois, comme ;1 allait s'offrir Gray n'est pas tranquille, d'autant qu'il est l'intrigue, habilement conçue, fait-elle sortir le Milt Shanks rencontra le pasteur Andrew qui, coupable de la mort de Paul Polo. Au cirque, il film de la banalité. Jerends grâce aussi au metteur avec un air mystérieux, lui remit une lettre le défend à Mary de s'occuper d'un gros chim- en scène d'avoir su nous éviter la vision, tou- mandant aussitôt à la « Maison Blanche », à panzé ; l'aversion que Gray semble ressentir pour lours pénible, des scènes de guerre. L'histoire, Washington, auprès du Président Lincoln. l'animal paraît étrange à Mary ; et, depuis la voici : A Washington, quels propos s'échangèrent quelques jours, elle sent qu'un drame se pré- C'était en 1846. La guerre venait d'éclater entre les deux hommes ? Nul jamais ne devait pare autour d'Eddie, pour qui elle éprouve une entre l'Amérique et le Mexique. Ce matin-là le savoir. Toujours est-il que, lorsque Milt grande amitié. le lieutenant Harding, originaire de Millville Shanks revint au pays natal, il se déclara brus- Revenant au Cirque en compagnie d'Hélène, était venu dons sa ville natale pour recruter des quement ennemi de la guerre, et même se lia Eddie est de nouveau assailli par la bande de volontaires. A son appel, un jeune et humble d'amitié avec un certain Lem Tollard (Richard Gray. Une bataille en règle a lieu et l'Idole roule paysan, Milt Shanks (Lionel Barrymore) vint Carlyle) que l'on savait officiellement être un EDDIE POLO. dans un ravin sous les yeux terrifiés de la jeune fille. s offrir. On lui objecta qu'il avait femme et (pmagazine——— WWW.VV.VWWVWAWWW 236 J Qpmagazine partisan des Sudistes et ennemi acharné des idées Et quarante années s'écoulèrent... Milt Shanks de Lincoln. était maintenant un vieillard cassé par l'âge Désormais la ville toute entière le considéra et le malheur. Il ne lui restait plus que sa petite- Les Films que Ton verra prochainement comme un renégat. fille Madeleine, qui était aimée par le petit- Pendant des mois, l'attitude de Milt fut fils de l'ancien capitaine Harding, à présent colonel extrêmement mystérieuse... Un soir qu'avec en retraite. .Lem Tollard il conduisait un convoi de chevaux Or, un matin surgit tout à coup Lem Tollard, destiné à l'armée ennemie, il fut pris par les grâcié après quarante années de réclusion. PATHÉ-CONSORTIUM AA ARIEZ-VOUS DONC ! — Une comédie avec soldats de l'armée de Lincoln. Lem Tollard et Il sortit un revolver de sa poche et tira sur Milt j *"* Constance Talmadge. Ce n'est rien C'est lui furent condamnés à mort. Mais au moment Shanks qui s'affaissa. [ E CARNET ROUGE. — Le classique film exquis. où on allait les exécuter, arriva un ordre de Comme la mort déjà semblait devoir faire américain. Los Angeles, un ranch, un .Washington commuant leur peine en celle de son œuvre, Milt manda aussitôt le colonel Harding assassinat, des enfants captifs, des braves gens, des 1VAON GOSSE.—Après le Gosse Infernal, Jackie ^'emprisonnement à vie. Et deuxans s'écoulèrent. et fit enfin l'aveu du grand secret qu'il avait fripouilles, le crime puni, l'innocence recon- ' * * Coogan vient de nous donner sa toute der- L'armée du Nord marchait de succès en succès... gardé pour lui seul durant toute une existence nue, un mariage. Hourrah ! nière production : Mon Gosse, Bien souvent on avait remarqué qu'embûches de martyr. Abraham Lincoln l'avait jadis Tout : réédi- ,et guet-apens tendus par l'ennemi avaient été chargé des plus délicates missions ; il avait été fantin fernai. déjoués comme par miracle. Ce soir-là la ville un des principaux membres du contre-espion- était en fête, car la victoire de Viksburg, venait nage, c'était pour mieux jouer son rôle aux yeux 'de donner un avantage énorme aux armées de de tous qu'il avait passé pour un traître. Qua- Lincoln, et Milt Shanks, qui avait été par ordre rante années auparavant, sur la Bible et sur le supérieure lâché, retournait au pays. Sa femme drapeau, il avait juré fidélité totale à son pays et l'accueillit avec froideur, presque avec répulsion. promis qu'il tairait son secret jusqu'à sa mort. Sur ces entrefaites, un soldat blessé qui revenait Aujourd'hui seulement il parlait pour que sa de Viksburg, vint apprendre que Joey, le fils petite-fille chérie put épouser le fils du colonel de Milt, avait trouvé la mort. De désespoir, Harding. sa femme Marthia succomba. Et tandis que Milt Et devant ce Héros du silence, les vieux soldats Shanks chancelait sous le poids de ce double s'inclinèrent très bas, jurant que l'exemple de malheur, le mystérieux pasteur Andrew lui Milt Shanks servirait, de modèle à l'histoire du remit un pli secret. Tout aussitôt, Milt grand pays auquel il avait sacrifié sa vie. — Shanks partit pour une destination inconnue. L'HABITUÉ DU VENDREDI.

Les Biographies de (jnémagazine

re CINÉMAGAZINE a publié dans sa l année les biographies illustrées de (i): Une scène de « Pierre et Thérèse » Cliché' Gaumont.

35.7ANDRÉYOR (Yvette)], et 33. FEUILLADE (Louis). 18 et 49. MILLES (CecilB. de). TOULOUT (Jean). 32. FISHER (Margarita). 40. MILOWANOFF (Sandra). En voyant se succéder sur l'écran les diverses ima- 30. ARBUCKLE dit « Fattv ». 42. GENEVOIS (Simone). 31. Mix (Tom). ges de Mon Gosse, je nepouvais m'empêcher de pen- 32. BAER (Jean-Paul de)." 4. GISH (Lilian). 27. MUSIDORA. GAUMONT 26. BAPTISTE (Le père). 8. GRANDAIS (Suzanne). 39. NAPiERKOwsKA(Staciade) ser : comme Mary Osborneétait espiègle, et que Ré- 24. BISCOT (Georges). 28. GREYJANE. 12. NAZIMOVA. gineDumienestdoncune admirable comédienne! 30. BRADY (Alice). 10. HART (William). 49. NORMAND (Mabel). DIERRE ET THÉRÈSE. — On suivra avec 34. CALVERT (Catherine). 13. HAYAKAWA (Sessue). 26. Nox (André). ' intérêt les difficultés que Thérèse doit sur- Jackie Coogan fut un jour engagé par Charlie 3. CAPRICE (June). 50. HAWLEY (Wanda). 23. PHILIPS (Dorothy). Chaplin, et grâce à Charlie Chaplin nous apparut 26. CASTLE (Irène). monter pour épouserPierreHountacque.son père, 34. HERMANN (Fernand). 20 et 43. PICKFORD (Marv). comme un véritable prodige... Mais depuis ! mais 41. CATELAIN (Jaque). 32. JOUBÉ (Romuald). 35. REID (Wallace). sénateur Dautremont, faisant obstacle à cetté 7. CHAPLIN (Charlie). 47. KOVANKO (Nathalie). 24. RIP et GRIGNOUX. union. Dès le mariage, les lettres anonymes affluent tout seul ! Jackie Coogan a pénétré dans le 43. CHARLOT. 11. KRAUSS (Henry). 44. ROLAND (Ruth). cinéma « par l'escalier de service ». Je ne parle 21. CRESTÉ (René). chez le sénateur ; mais la vérité se fera jour et, 25. LAEMMLE (Cari). 18. SEVERIN-MARS. pas de la délicieuse comédie qui nous a été 46. DAI.TON (Dorothy). 1. LHERBIER (Marcel). 15. SlGNORET. plus tard, la tendresse de Thérèse saura faire 22. DANIELS (Bebe). 55. LINDER (Max). 1. SOURET (Agnès). oublier à Pierre les mauvais jours passés. montrée par Mary Pickford avec un talent que 9. DEAN (Priscilla). 19. LOVE (Bessie). 24. TALMADGE (Norma). personne ne peut méconnaître. Et je devais en 28. DHÉLIA (France). 38. LYNN (Emmy). 47. TOURJANSKY. I ES TROIS PRÉTENDANTS, — Shirley parler car ce film n'a pas eu les honneurs de 4. DUMIEN (Régine). 9. MALHERBE (Juliette). 22. WALSH (George). 16. FAIRBANKS (Douglas). 27. MATHÉ (Edouard). 6. WHITE (Pearl). Mason, une charmante enfant, est très «l'exclusivité». Et pourtant, Mary Pickford en 31. FÉLIX (Geneviève). - 11 et 25. MILES (Mary). 48. YOUNG (Clara Kimball). embarrassée pour choisir, parmi trois soupirants, était la protagoniste. celui qui lui convient le mieux. Elle se marie, L'exclusivité pour Mon Gosse) Non. Il lu tente de divorcer, et finalement garde celui suffisait d'être un bon film de programme. (1) Le chifîre qui précède le nom de l'artiste correspond au numéro de Cinémagazine contenant qu'elle avait primitivement élu. la biographie. Chaque numéro est en vente au prix de 1 franc, franco (joindre le montant à la commande. Nos lecteurs peuvent également demander aux dépositaires de '« CINÉMAGAZINE », de leur procurer les numéros anciens. „,„, Les Photographies éditées par CINEMAGAZINE sont les plus recherchées / fr- 50 chaque "— c6==3 (Voir Catalogue, page 212) ;239 (pmagazine- 238 (jncmagazine •I E MAITRE DE FORGES. — Le triomphe conte éternel. Le voici, ce conte, tout entier et II NE MERE. - Parce que de Georges Ohnet devenu le triomphe de mis en scène luxueusement, pour la plus grande Pauline Frédérick nous ! ! ! joie de nos yeux éblouis. Et le voici joué de façon est apparue tragédienne admi- parfaite, notamment par deux rable dans La Femme X et TRAVERS LES INDES. — Ceci vaut qu on lui a fait un succès mé- -^T&'h'i^iô t 2 ^-, enfants de 5 et 6 ans, A infiniment mieux, car le film est docu- rité, voici sur le marché tous mentaire. Ici l'Inde est exacte, et de -j les films de Pauline Frédérick. quelle prestigieuse exactitude ! Ce -^«g Une mère n'ajoute rien à la voyage en dix étapes est une ■ réputation de cette artiste, au succession d'images fabuleu- contraire. ses, prises avec un art digne du plus enthousiaste des artistes. A ME HINDOUE. - Nous Mais que le duc de ** avions Sessue Hayakawa Connaught aime le cinéma ! japonais. Nous l'avons en japo- On le voit un peu trop sou- nais dans Forfaiture. Nous vent devant l'objectif.. l'avons depuis, en prince de je ne sais quel Orient. Le IUI ARGOT. - Per- voici Hindou. Hindou, Japo- " sonne n'ignore le nais, Chinois ou Kalmouck, conte d'Alfred de Musset Sessue Hayakawa est un peu qui porte ce titre. Etait-ce trop toujours le même. Pro- bien la peine de le trans- SESSUE HAYAKAWA dans son cabinet de travail. tecteur des faibles, ennemi poser à l'écran.L histoire des criminels, il est comme de cette petite paysanne est d'ailleurs très finement conçu, plein d'obser- e William Hart de la race jaune. protégée par une vieille vations exactes et agrémenté d'une note comique dame noble et riche qui fort plaisante. LUCIEN DOUBLON. est sa marraine et qui se met à aimer jusqu'à vou- loir en mourir le fils ■d'icelle devient bien «mélo» au cinéma. Il est juste cependant de dire que le film est très soigné grâce à M. du Fresnay et fort biei joué par Gina Palerme et Mme Jalabert. I TNE IDYLLE DANS ^ LA TOURMENTE — Un intérieur «russe» pendant la tourmente bolchevique. Ce serait poignant, si cela avail été tourné en Russie. Mais •ce film — bien fait d'ail- leurs, et qui trouvera de u, : scène des « Trois prétendants «. Cliché Gaumotit. sincères admirateurs —• a été tourné en Californie, par Géraldine Farrar J E SECOND MARIAGE DE LUCETTE. - et Lou Tellegen.. Lui est Hollandais ; elle.. Un film interprété par Constance Talmadge est toujours assuré du plus vif succès. Cela ALI BABA ET [LES QUARANTE VO- s'explique aisément par la grâce et le charme n LEURS. — Dans Petite Princesse, Mary Pick- très prenant qui se dégagent de cette jeune •ford nous avait narré, avec visions à l'appui, ce artiste au sourire mutin. Le scénario de ce film

cIcJLeur, Albums de Photographies WALI.ACE REID ET SA COMPAGNIE, TRAVAILLANT (EN CALIFORNIE) POUR REPRÉSENTER DES SCÈNES DE PLEIN AIR DANS « CHAMPION D'AMOUR ET DE VITESSE », SON DERNIER FILM DE PARAMOUNT, DANS UNE DES MAGNIFIQUES VALLÉES DES MONTAGNES DE CALIFORNIE. Nous 'venons de faire établir deux albums pouvant contenir chacun WALI.ACE P>EID EST ASSIS AU MILIEU, AYANT A SA GAUCHE SA FEMME, ET, PRÈS DE CETO DERNIÈRE, LOIS WLLSON, LA PRINCIPALE ACTRICE DU FILM. 50 photographies de notre collection : France Etranger MODÈLE ORDINAIRE., io francs. Franco n fr. 50 i2ïfr. est la pIus 811 6 et la u Cill6II13.£3Zill6 ^v * "»e * informée des revues cinégraphiques MODÈLE DE LUXE .. 15 francs. — .. 17 fr. 17 fr. 75 jvv ,v n v ,v j j r v e m 3 y o zi ne ^ ^ ^ ~"' * ~ ^ ^^^- 240 Il a montré des parisiens en haillons mendiant en train de piquer la pointe d'un sabre dans « la UN NOUVEAU CHEF-D'ŒUVRE DE GRIFFITH devant une boulangerie pendant que les aristo- partie la plus charnue » de la Frochard, qui se crates prennent des bains de vin ou de lait. trouve au premier rang devant la guillotine. De tout cela, le public a conclu que le peuple Durant la fête chez de Prailles, Griffith a Les Orphelines de la Tempête » avait parfaitement raison de se révolter et l'on également des scènes admirables et la mise en d'après les DEUX ORPHELINES d'Adolphe d'Ennery

(De noire correspondant spécial, à Los- Angeles)

/""'EST au « Mission-Theater » de Los Angeles, certaines scènes même où elle eut dû être ignoble, exactement à la même place ou deux mois elle n'est que grotesque. plus tôt j'avais vu le film Folies deFemmes de Erick Dans Orphans of the Sirom j'ai retrouvé deux von Stroheim, qu'il m'a été donné d'admirer amis des habitués des cinés-romans : Sheldon Les Deux Orphelines, le nouveau chef-d'œuvre Lewis qui joua jadis « L'Homme au Mouchoir cinégraphique de Griffith. Ce film est de la classe rouge » dans Les Mystères de New- York et du Lys brisé, c'est du super-Griffith. Creighton Haie qui, dans la même bande, inter- Le Maître s'est permis beaucoup de grandes prétait Jameson, le secrétaire de Arnold Daly, licences envers le roman de d'Ennery et, de alias Justin Clarel. Cette fois-ci Sheldon Lewis l'histoire originale des Deux Orphelines, il ne interprète le rôle de Jacques, le fils aîné de la subsiste pas grand chose. répugnante Frochard, et Creigthon Haie conti- Griffith a eu des trouvailles admirables et nuant la série de compositions comiques qu'il trois artistes principalement, méritent de réelles a commencé avec Way douln East incarne dans félicitations. Orphans of the Storm le rôle de Picard, le laquais Les deux orphelines sont personnifiées par les du marquis de Vaudray. sœurs Gish. Creigthon Haie, en qui le public avait fondé Lilian Gish dépasse toutes les bornes du pathé- beaucoup d'espoirs (enfin un jeune premier tisme et elle surpasse encore son interprétation sympathique !), est tout a fait à côté, dans sa du Lys Brisé. Nous avons retrouvé cependant création cinégraphique de Picard. Il joue Picard dans ses gros premiers plans, les jeux de phy- en clown ahuri et trépidant et il est bien loin des sionomie affolés qu'elle eut dans le Lys Brisé, traditionnels « Nous ! ! ! Nous allons nous Way doWn East, etc. Mais, d'un bout à 1 autre, marier, nous allons à Paris, nous... », qui ren- elle fut supérieure, elle fut la Lilian Gish que dirent le rôle si populaire. nous connaissons. Sidney Herbert a composé un Robespierre Plioto Hover Art Studio t Dorothy Gish dans le rôle d'Henriette se qui n'est pas tout à fait dans la note, il en a fait LlLIAN et DOROTHY GISH, les admirables interprètes des « Orphelines de la Tempête » montra fort émouvante mais l'on retrouve trop un faiseur d'embarras, qui a 1 air de marcher en son jeu les petits gestes courts et affolés qui perpétuellement sur des œufs. Griffith qui, dans a même applaudi aux scènes représentant le scène est impeccablement réglée, les costumes caractérisent si bien le talent de Lilian. Ainsi, ses sous-titres présente Danton comme un peuple en train de pendre des aristocrates à la sont somptueux, la photo est excellente. ce geste classique de Liban qui consiste à porter Abraham Lincoln français (ceci pour donner Lanterne. J'ai demandé leur avis à différents metteurs rapidement à sa bouche le bout de ses doigts aux spectateurs américains une idée approxima- Griffith est le grand maître des foules et, pour en scène présents à cette première. Tous sont dans un moment d'anxiété ou de perplexité, tive de la valeur de Danton) a presque l'air de arriver au résultat qu'il veut atteindre, il sup- d'accord pour trouver le nouveau film de Grif- fut répété trop souvent par Dorothy, qui a nous montrer Robespierre comme un Lénine prime complètement tous les obstacles. fith admirable, etcependantquelques-uns, comme unique reproche, l'accusent d'être un peu long. adopté en outre, par moment (et malgré qu elle ou un Trotsky. Les scènes de la guillotine ont été fort bien C'est vrai. D'autres disent que le public doit trop fut aveugle) la démarche sautillante de sa sœur. Les rôles tout à fait secondaires, tels que ceux réglées, mais il est regrettable que l'action se soutenir son attention pour comprendre tous Cela n'empêche pas que les sœurs Gish forment de Louis XVI. du marquis de Prailles, du chef soit passée presque entièrement dans les mêmes un couple d'orphelines idéal et d'Ennery lui- de la police et de son épouse, de Pierre le Boîteux, rues. La reconstitution d'un coin du Jardin du les faits... Ce ne sera plus exact quand le film passera même n'aurait pu qu'approuver le choix de du docteur de la Salpêtrière, etc., sont admira- Palais-Royal est fort bien comprise et l'on ne Griffith. Ce dernier a-t-il choisi les Deux Orphe- blement tenus par une troupe d élite. s'aperçoit pas du tout que le Louvre, la Bas- en France où le thème est connu. Il est vrai que Griffith donne là une admirable lines pour les sœurs Gish, ou les sœurs Gish pour La mise en scène du film est admirable et tille, et autres édifices sont des miniatures. leçon d'histoire de France quelque peu rema- les Deux Orphelines ? On se posera la question. la photographie fort lumineuse est irréprochable L'action est presque entièrement coupée de Joseph Schildkraut qui a remplacé Barthe- Pour donner aux spectateurs américains des « close-up » qui sont les bienvenus car ils sont niée à sa façon... Personnellement, je trouve que ce film est un lemess (devenu « indépendant » et qui avait lui- raisons valables sur les origines de la Révolution, heureusement présentés. Les gros premiers chef-d'œuvre cinématographique. Lilian Gish même succédé à Robert Harron: dans la troupe Griffith a procédé par un prologue de contrastes. plans de la foule pendant le discours de Danton de Griffith), a réalisé une silhouette de jeune Il a ainsi divisé la population française en deux sont merveilleux et formidablement étudiés. et Schilkraut furent hors pair... R. F. marquis absolument exacte. Sans tomber dans catégories très nettes. Les aristocrates et le bas- Griffith a fait suivre chaque action dramatique l'exagération, il a montré fort habilement, peuple, il a supprimé la bourgeoisie. Il a montré d'un passage ultra-comique. Par exemple il sous l'écorce de frivolité et de badinage du des orgies dans les châteaux des grands seigneurs sert une douche de terreur glacée en montrant N.D.L.R. — Au moment de mettre sous presse marquis de Vaudray, un cœur et un tempérament et des nobles, en coupant les scènes de bal et de le couperet de la guillotine qui va tomber sur nous apprenons que ce beau film de Griffith, d'artiste. banquet par des visions rapides des pauvres, le cou de Lilian Gish et, jusqu'au dernier mo- qui obtient un gros succès à la Scala de Londres, Enfin Monte Blue, en Danton, rendit avec mendiant du pain à la porte des châteaux. Il ment le public est anxieux. Danton sauve la vient d'être acheté pour la France par MM. Lazare justesse le personnage du grand tribun. "' nous a montré le marquis de Prailles écrasant petite fille, et le public a à peine respiré que et Jacques Edelstein, les jeunes et actifs direc- Lucille La Verne fut une Frochard horrible, une fillette dans le faubourg et donnant à la Griffith nous montre déjà Creigthon Hale- teurs des Films Erka. Le film aurait été payé mais peut-être un peu trop grotesque. Dans mère de l'enfant morte, un louis d'or... Picard, affublé d'une invraisemblable perruque, 750.000 francs. (pmagazine !43

Le Cinéma éducatif en Amérique.

« Le Bureau of Education », qui est l'officiel des LE COURRIER DES "AMIS" instituteurs aux Etats-Unis, nous révèle dans le viclusivcmerit réservé éi nos Abonnés cl aux Membres de l'Association. (Le prix de la Cotisation des Amis rapport publié par la Commission Rockefeller que du Cinéma est de 1 2 francs, payables par semestre, trimestre, ou mensualité de 1 franc). « sur 38.000 institutions d'Enseignement et d'Edu- cation yankee. 6.800 seulement ne se servent pas de cinéma ». Louis Boget. — William S. Hart : Bâtes and 3° Nous avons édité déjà une photographie de Il y a mieux : 6.000 manufactures chaque jour, liflie Streets, Hollywood (Californie). Suzanne Grandais. Consultez la liste publiée dans à l'heure du lunch, font projeter sur l'écran des Amie 1384. — 1° Je n'ai pas les titres américains Cinémagatine ; 4° Je vous remercie de votre ama- Echo de l'Exposition du Cinématographe. films instructifs et éducatifs. Il y a mieux encore : île ces films. Ils sont édités par l'Américan Co et, bilité et des vœux formulés pour notre revue. Espérons que vous continuerez à être satisfaite. M. Gaumont ayant été appelé à donner son 44.000 églises utilisent le cinéma parmi lesquelles en France, par les Cinématographes Harry ; 2° La partenaire de William Russell est Francelia L. Perrier, 1358. — Emmy Lynn, 53, rue Car- appréciation sur le nouvel appareil le « Cinoscope » 17.000 appartenant au rite catholique romain et Wellington. . , dinet. En effet, j'ai un courrier « monstre ». Mais avec lequel tout amateur ou propriétaire de cinéma 10.700 au rite méthodiste. V. L. T. 1652. — 1° Vous avez du recevoir les je ne m'en plains pas. peut photographier, cinématographier et projeter,, Et chez nous ? numéros de Cinémagazine que vous désiriez avoir ; Elaine et. Marion. — 1° Je pense=quc'VOus avez avait répondu qu'il conviendrait de voir comment ■>» Blanche Montel : L'brphelinc (rôle de Dolorés) ; reçu les emboîtages et la brochure sur L'Empereur Chichinette et Clé (rôhv'de Chichinelle) ; Son Altesse des Pauvres. Pour votre abonnement de mai, le cet appareil se comporterai^ à l'épreuve du tour. Un nouveau film religieux. nécessaire est fait : 2° Cardinal de Richelieu, dans ces derniers temps. Désireux de répondre-à cet,^argument, le Syn- Les Trois Mousquetaires,, rôle tenu par E. de Max ; La municipalité d'Oberammergau vient de faire Cogoïine. — 1° Biscotn estpasmanea J.Rollette; dicat Industriel du Cinoscope, 15, boulevard des 3° Pierre de Guingahd : - 52, avenue Kléber ; 4° savoir à la population que par ordre il est interdit 2° Pour Herrmann non ; 3° Ce film est ancien Italiens où nos lecteurs trouveront- toujours tous iîéjà, ie n'ai pas la distribution. Je crois avoir suffisamment exprimé ma façon de renseignements, démonstration et notice sur aux hommes et aux enfants de se faire couper les Mlle Delaunay, à Rennes. —.1° J'espère que vous penser. Ce que je puis vous affirmer, c'est que cheveux. presque tous mes correspondants pensent exacte- demande, nous communique la lettre suivante : avez reçu les photos ; 2" Wallaee Réid : Lasky La raison c'est qu'un metteur en scène étranger Studio, Hollywood (Californie). ment comme vous. Une petite Américaine. — 1° Nous avons bien, t Beaucourt le 4 mai 1922. va filmer les Fêtes de la Passion... pour une société René Gentil. — Les contrôleurs du Grand Casino reçu le montant de votre abonnement d'un an. (Haut-Rhin). anglaise. de Marseille ont tort de vous refuser l'entrée. Nous sommes parfaitement d'accord avec la direction Merci. Vos compliments touchant notre revue me « Nous soussignés, Japy Frères et Cie, certifions Détail assez curieux ; M. Lloyd George a com- ile cet établissement et venons de lui. adresser, une procurent un vif plaisir. Croyez que nous ferons que l'appareil « Cinoscope » qui nous a été apporté, mandé une copie et s'intéresse vivement à la réus- réclamation. Dites donc aux employés ; qui vous l'impossible pour continuer à satisfaire nos lecteurs ; a tourné dans nos ateliers pendant 55 heures sans site de ce nouveau film religieux ! refusent l'entrée de s'informer auprès d'elle. 2° Ces deux filins me sont entièrement inconnus. arrêt, à la vitesse de 265 tours à la minute. Reine des Fleurs. '— Mais non, je ne vous en veux Peut-être ne sont-ils pas encore édités ? Dites-moi e pas! 1° Vous avez parfaitement raison en ce qui vers quelle date vous les avez vus tourner, je m'in- « Au bout de la 55 heure, aucun bruit, ni aucune La Reine tourne. formerai. Très heureux de voir une aimable corres- usure anormale n'ont été constatés. » concerne Les Trois Mousquetaires ; 2° Distribution de Mathias Sandorf : Romuald Joubé (Sandorf) ; pondante s'intéresser si vivement à nos travaux. La Reine Marie de Roumanie est en route,., pour Signé : Japy Frères et*C.° ». Jean Toulout (Silas Tofonthal) ; Yvette Andréyor Miss Etincelle. — 1° Pour l'écran, il faut éviter aller tourner dans les studios d'une des compagnies (Sava) ; Mme Pelisse (Mme Toronthal) ; Vermoyal le blanc cru. Le jaune ocre et, en général toutes, Le Cinéma au Japon. les plus importantes des Etats-Unis. Elle touchera, (Sarcany) ; Gaston Modot (Carpena) ; Ristori les teintes foncées. Le rouge, le bleu foncé, le vert foncé, paraissent noir ; 2° Présentez-vous dans les. Le Japon vient de voter un crédit de 120 mil- pour sa part, 15.000 livres après la prise de vues (Marrio Ferrato) ; Armand Tallier (Pierre Ba- thory) ; Darnay (Etienne Balhory) ; Nazzio (Ladislas studios de la région et adressez-vous aux metteurs lions de yens destinés à l'installation d'appareils et conservera un pourcentage de 10 010 sur tous en scène de préférence ; 3° Envoyez-moi votre les films tournés avec sa collaboration. Zalhmar); Maillar (Andréa Ferrato) ; 3° Marié, cinématographiques dans les écoles. mais pas à une artiste : 4» Les Quatres Diables : photo ; j'en serai charmé. Mon plus gracieux sou- Au Siam, une somme très importante est égale- La fortune ainsi réalisée ira directement à la Ernest Winar. Marguerite Schlegel, Heddy Ford, rire. Aimer Simon-Girard (toujours avec un r). — Caisse des Roumains, victimes de la guerre pour Victor Colani, Vera Nansen. ment consacrée au cinématographe d'enseignement. 1° Comment donc ! J'adore les confidences de mes lesquels, en Amérique, on a déjà réuni huit millions Princesse du bled. — 1° Rôle de Rastignac dans Le progrès toujours nous est venu de l'Est. Arri- gentilles correspondantes ; 2° En effet, ce film est de dollars. Le Père Goriot: Sylvio de Pedrelli ; 2° à Nice ; 3° vera-t-il cette fois jusqu'à nous ? Les bavards au ciné ? Je suis comme vous, je les trop ancien pour que je puisse vous renseigner uti- lement ; 3» En général j'aime peu les modernes, et A propos de « la Brèche d'Enfer ». ni en ! horreur ; 4° En effet, cette artiste prend Crise ? chaque jour une place-plus grande. J'avoue aimer parmi les autres, cela dépend des œuvres ; 3" Certes. Miss Betty Carter, star anglo-américaine, venue beaucoup son jeu, qui est sincère ; 5° Ce que je Dumas me plaît ; je le relis avec plaisir dès que j'ai La même crise que nous connaissons, l'Amérique pense de ce journal ? Je crois avoir dit déjà que des loisirs. Toutes ses œuvres ou presque sont sus- il y a quelque temps en France, vient de signer ceptibles d'être adaptées à l'écran. Certaines, d'ail- un contrat avec M. Pierre Dccourcelle pour tour- l'éprouve. L'industrie de l'édition accuse un recul c'est une publication faite pour les petits entants qui n'ont pas mal aux yeux : 6" Nous avons bien leurs, sont actuellement en chantier. ner Mereédès, le plus important rôle féminin dans de production de 64 0/0 au cours des huit derniers reçu votre mandat et vous avons expédié les nu- Reine des fleurs. — Je vous pardonne bien volon- son prochain film à épisodes, La Brèche d'Enfer. mois. L'Italie, la Belgique, la Suisse demeurent tiers. lu Gina Rellv est française ; 2" Oui, tous les dans le marasme. A New-York, sur 61 studios, méros de Cinémagazine. Comédienne de talent, Betty Carter, après avoir Jeannine, à Bruxelles. — Je suis 'particulière- deux ; 3" Non, pas marié ; 4» Nous publierons pro- 18 seulement travaillent encore. A Los Angeles, sur ment heureux que notre revue et... Léon Mathot, chainement une biographie de Blanche Montel. remporté de grands succès théâtraux à New- Celle de Jane Rollette paraîtra également, mais plus York, s'était consacrée depuis quelque temps déjà 147 studios, 56 seulement sont en activité. Pen- aient pu vous faire aimer le cinéma à ce point. Je n'ose vous affirmer que Mathot vous accordera tard. , . . au Cinéma st s'est fait remarquer dans des films dant ce temps l'Allemagne travaille, travaille. Aimant Harold Lhjod. — 1° C'est avec plaisir que Elle a depuis janvier doublé sa vente de filins, et quelques minutes d'entretien. Cet artiste, est très da la « Goldwyn », « Famous Players Lasky . et occupé. Voici son.adresse : 47, avenue Félix-Faure. Cinémaga-ine vous comptera au nombre de ses elle ne pense pas s'arrêter en si bon chemin. abonnés ; 2° Nous n'avons pas encore publié sa • Sidney Drew ». Dès réception de votre mandai, nous vous inscrirons biographie : ça viendra. Mon confrère Rollini parle au nombre des « Amis du Cinéma ». Le Club du Cinéma ? En Allemagne. Zorro. — 1° En vous recommandant de nous, de lui dans le numéro 4 de 1021, page 18 ; il est né Douglas Fairbanks vous enverra sa photo ; 2° à Dernier (Nébraska). Rolin film ; 3» Pour Robert Aurons-nous à Paris un club du cinéma ? Nous Florey, adressez votre lettre dans nos bureaux ; demeurons dans l'expectative alors qu'à Londres, La National-Film de Berlin vient de porter son Non ; 3° Oui. Chaque emboîtage, pouvant relier capital à '10 millions de marks, ce qui lui donne un trimestre de Cinémagatine, coûte 3 fr. 50 pris nous "ferons suivre ; 4° Merci pour votre aimable le « kinéma-club « fondé en février — le 7 exacte- la seconde place en Allemagne, derrière la U. F. A. dans nos bureaux ; 4° Le Signe du Zorro : Douglas propagande, et apprenez qu'il n'y a aucun lien de ment — compte déjà plus de 500 membres versant Fairbanks (Zorro et Don Diego Vega) ; Marguerite parenté entre les deux artistes que vous citez. Cette puissante société s'est assuré |trois films Mono Lisa, — 1° Non, il n'est pas absolument en prenant leur inscription, une somme de 250 fr. de la Motte (Lolita Pulidn) ; Robert Mac Kim français dont Les Mille et une Nuits. On prépare nécessaire d'être une beauté parfaite, surtout si l'on chacun (5 guinées). iCapitatne Ramon) ; Noah Beery (Sergent Pedro) ; chez elle deux grands films historiques!: jLe Comte se destine aux rôles de composition. Il faut avoir Sidnev de Grey (Don Alcxandro Vega) ; Walt un visage expressif et connaître l'art du maquillage. Le Congrès de l'espéranto. d'Essex et La Marquise de Pompadour. Whitman (Frère Felipe) : George Periolat (Gou- Pour arriver au rang des vedettes, il faut, première- Les journaux allemands annoncent 'que la verneur Alvarado) ; Charles H. Mailes (Don Carlos Une conférence internationale sur l'enseignement ment avoir du talent (ce qui ne s'acquiert pas aussi U. F. A. va porter à , l'écran : Marie-Antoinette Pulido) ; Claire Mac Dowcll (Dona Catalina) ; de l'espéranto dans les écoles à laquelle seize vite qu'on le croit} ; deuxièmement, trouver un 5" Grand Cinéma, avenue Bosquet, c'est fait. Reine de France. metteur en scène qui consente à s'intéresser à une gouvernements et vingt-six pays étaient représentés N'aimant qu'Iris. — J'en suis très flatté, croyez- se terminait l'autre semaine au secrétariat de la Les Etablissements Van Goitsenhoven viennent le. 1° La tombe de Suzanne Grandais se trouve débutante. Malgré tout mon désir de vous] être agréable, je me vois' dans l'obligation de vous Société des Nations à Genève. Nous demandons d'acheter pour la France et la Belgique un Car- au vieux cimetière Saint-Vincent, à Montmartre ; avertir que je crains pour vous une désillusion, non pour le cinématographe, langue universelle bien touche qui a vu le jour en Allemagne. Cette maison 2° Jusqu'alors, je ne vois que Geneviève Félix; supérieure à l'espéranto, de connaître bientôt un a acheté aussi un film important: La Vie el la congrès international de l'Ecran réunissant tous Mort de Jésus-Christ dont la réalisation est, dit-on, ceux que le film intéresse et qui peuvent en assurer remarquable. Demandez l'Almanach du Cinéma, Prix : 5 fr. - Relié: lo la diffusion. LYNX. 245 (jnémagazine- 244 (Tncmagazine Hollan, oui ; 3" Armand Bernard a bien joué dans mettrai-je pas de me poser quelques questions V pas que je mette en doute votre talent, mais parce Filleule d'Iris. — Toujours aimable pour notre Michel Slrogafl ; 4» Généralement trois questions ; que je sais les débuts très difficiles. revue, ma chère filleule. .Je vous remercie. Comptez S'il vous faut tellement de courage pour le faire 0 mais, mes correspondants sont souvent plus exi- vous allez me faire croire que je suis un vieux D.-H. — 1 Nous avons bien reçu le montant de que, pour ma part, je m'efforcerai de continuer à geants et, parfois, je suis obligé de le leur dire: votre abonnement. Merci ; 2° Pour faire partie des mériter vos éloges. 1° Dans La Galère Infernale, le grincheux. Ça n'est pas vrai, je' vous l'affirme ; « Amis du Cinéma », il suffit de nous verser le mon- rôle de Dan Darwin est tenu par John Bowers; Aramis de Guingand. — Ecrivez-moi souvent 2° Herrmann, Studio Gaumont, chemin Saint- tant de la cotisation exigée : 12 francs par an. 2° Ils ne les envoient plus, mais vous pouvez les cl exprimez bien votre façon de penser, vous ne Augustin, Carras-Nice (Alpes-Maritimes). .Je ne Magnavacca. — Votre abonnement est renou- trouvez dans nos bureaux : 3° Nous ne connaissons m'ennuierez jamais, soyez-en sûre. Votre juge- sais s'il consentira à vous envoyer sa photo, mais, velé. Pour correspondre, vous n'avez qu'à m'adres- pas encore la distribution complète du film. At- ment, sur les artistes et les films est très j liste. A vous vous pourrez en trouver une dans nos bureaux ser vos lettres au bureau du journal. tendez ; nous la publierons plus lard ; 4° Il y a eu lire, on sent que vous êtes une fervente du cinéma, 3° Simple ressemblance avec. Mathot. 11 est vrai Polly...sonne. — Voici un aveu dénué d'artifice ! des manques provoques par la négligence de cer- je vous en félicite. Pour Vingt ans après vous nue cet artiste n'est pas obligé de nous donner des 1° Pour L'Empereur des Pauvres, je ne puis que tains artistes, qui n'ont pas répondu à notre appel. ilcvez connaître mon opinion. Je n'y reviendrai détails sur sa famille ; 4° Vous savez que vous vous inviter à consulter les programmes de cinémas Emmy Lynn, 57, rue Cardinet ; Lou Tellegen, pas pas. Absolument de votre avis quant aux scénarios pouvez vous procurer ici tous les numéros de Ciné- publiés en tête de notre revue ; 2° René Carrère, d'adresse personnelle. fi ançais. Je ne vous gronde pas puisque vous fie le maga-ine qui manquent à voire collection. Won plus 61, boulevard Berthier (17e) ; 3° Un professeur de R. P. 14. — Pour Jean Devalde, écrivez aux méritez pas. Peut-être d'ailleurs, seriez-vous gracieux sourire "i\ ma nouvelle amie. Mvosotis : danses espagnoles ? Ma foi non ! Un tel renseigne- Folies-Bergère. Oui, c'est un excellent artiste. fâchée si je le faisais, et je tiens à garder votre ne m'oubliez pas ! Je vous le promets. ment n'est plus de mon ressort ; 4° Nous pouvons Hcnriol. — 1° Je partage votre admiration pour amitié. Ami 1101, — Je pense que vous aurez satis- vous expédier un exemplaire de l'Almanach du le bel artiste disparu ; mais ne puis vous affirmer que Si Prince, ni Charmant. — 1" Rien reçu votre faction très prochainement. cotisation. Vous êtes tout excusé ; 2" Je vais faire Cinéma si vous le désirez : 5 francs broché, 10 francs nous publierons une nouvelle biographie du regretté Ami n° 2003. — Vous avez oublié d'indiquer relié, frais de poste en plus ; 5° Pour obtenir, une Séverin-Mars ; peut-être quand sortira La Roue, des recherches pour ce film ; 3° Oui, les scènes votre nom et nous ne savons auquel revient la réponse dans le «Courrier des Amis» donnez-moi le dernier film tourné par lui. Il est probable que ontétéprises surleslieux mêmes c'est cequiexplique part de cotisation contenue dans votre lettre. une quinzaine. l'on reprendra quelques-uns de ses anciens films ; que, parfois, la photo est un peu sombre ; 4» Je X 323.-—Très ingénieuse, votre idée; nous l'étu- suis comme vous, j'attends qu'on veuille nous les dierons. 2° Le Cœur magnifique n'a pas été tiré d'un roman C'est un film qui a été composé spécialement pour montrer. Espérons qu'ils ne tarderons lias. Voyez Sanglier des Ardennes. — Le nécessaire est dans le prochain courrier si vous n'avez pas satis- tait. l'écran par Séverin-Mars. A tous les « Amis du Cinéma ». — Sur présentation Mimosa. — Veuillez noter que l'adresse de faction: Cancê, à. Paris. — Vous avez dû recevoir les Jeanne Rollette est : Studio Gaumont, Nice-Carras. de votre carte de sociétaire, Deschamps Jeune, photos. Vous êtes en règle pour votre abonnement tailleur, 37, rue Gaudot-dc-Mauroy, vous fera une Chochote. — Nous tenons l'adresse de Sanglier 1° La mise en scène du film est terminée, mais remise de 10 0/0 sur le montant [des commandes des Ardennes à votre disposition, mais ne pouvons aucune date n'est encore fixée pour la présen- que vous lui confierez. Pour la publier dans le « Courrier ». tation ; 2° Oui, je crois que Diamant-Berger A un lecteur de Charlcville. — 1 ° Vous ne pourrez IRIS. les peut s'attendre à être critiqué, ainsi, d'ailleurs voir la suite des Trois Mousquetaires que la que les artistes qui incarneront, dans Vingt ans Dames saison prochaine ; 2° On a vu le Kid dans les après, les personnages si parfaitement interprétés grandes villes. Demandez au directeur du cinéma des Trois Mousquetaires. que vous fréquentez ; 3° L'Export-Film paraît Rosette Schubert. — Il y en a trop, je ne puis à Bruxelles. vous en citer auelques-uns au hasard. Si vous Mlle Baqot, Verviers. — Gina Relly, 59, rue avez YAmanach du Cinéma vous trouverez page 101, p Caulaincourt, Paris. Cette artiste est en ce moment Jack Lemoine, 33, rue Chàteau-Landon Paris (10 ) toutes les adresses que vous désirez avoir. en Allemagne. Léon Mathot, 47, avenue Félix- Léonce Trintlgndn, 51, avenue Victor-Hugo, à Mlle R. Areni, Rouen. — Jusqu'à preuve du Bessiges (Gard). Hygiène Faure, Paris. contraire, nous le croyons célibataire. Auuernai.se. — Veuillez nous faire connaître Ben Soussau Moïse. — Procurez-vous notre. a votre nom et votre adresse, afin que, selon votre Almanach (lu Cinéma, vous v trouverez les rensei- Abonnez- Esthétique désir, nous vous inscrivions au nombre des « Amis » ; gnements désirés et bien d'autres avec. 10 Dans les environs de Nice. Certaines rues ne Ilerrmannetle. — 1° Pourquoi ne vous per- vous à Cinémagazine sont que des décors admirablement faits; 2° Henri sûreté ^ - PRÉPARATION POUR LE CINÉMA - Enseignement pratique pour débuts rapides par Metteur en scène de Gillette = premier ordre == CONSTRUCTIONS ELECTRIQUES * Milady décolletée " CONSERVATOIRE SELECTA, 12, passage des Princes Ayez toujours le dessous des bras blanc S et velouté. Rasez-vous sans aucun danger FTAB - CM . FORT de coupure. ÉCOLE Professionnelle d'Opérateurs Le GILLETTE " Milady décolletée " 66, Bue de Bondy - Nord 67-52 PBOJECTION ET PBISE DE VUES BUREAUX et ATELIERS : 18, rue Gabrielle, GENTILLY (Seine). Tél. : OOBELINS 57-8fl appareil doré dans son coffret façon Ivoire, a,sa place sur la table-coiffeuse de toutes les élégantes. vous pouvez obtenir POUR RIEN un superbe flacon de Les INGÉNIEURS-CONSTRUCTEURS du CINÉ-TRANSFORMATEUR parfumerie, d'une En vente partout BREVETÉ ET DÉPOSÉ val.de 25 fr. par système de coopération; incroyable mais vrai. Enrayer adrs3îj à J. EU 3E, 21, r. d'Ai»)r, St-Qnîti.i on* présenté à l'EXPOSITION DU CINÉMATOGRAPHE (20 au 30 avril 1922) Conservatoire des Arts et Métiers, STAND 51

Leur DISPOSITIF à 6 mouvements, avec Miroir, pour Lampe à incandescence, COURS GRATUITS BOCHE O I g à courant continu et courant alternatif. 35° année. Subvention min. Inst. Pub. Cinéma, Leur CINÉ-TBANSFOBMATEUB, modèle 1922, pour courant alternatif. Tragédie, Comédie, Chant, 10, rue Jacquemont (XVII0). Noms de quelques élèves de M. Roche qui Leur CINÉ-LAMPE, — — sont arrivés au Théâtre ou au Cinéma : MM. Denis Leur TABLEAU, pour courant continu, avec Rhéostat de Réglage à rupture d'Inès, Pierre Magnier, Etiévant, Volnys.Ver- brusque et couplage en parallèle. moyal, de Gravone, Cueille, Téroî, etc., etc. Leurs RÉSISTANCES D'ALLUMAGE ET DE BÉGLAGE, à graduation continue Mlles Mistinguett, Geneviève Félix, Pier- pour Lampes de tous Ampérage et Voltage. CILLETTE SAFETY RAZOR 3 r. Scribe, PARIS rette Madd, Louise Dauville, Evelme Janney Leurs DÉMABBEUBS, Curseur Axé pour Moteur de 1/60 à 1 16. Pascalîne, Germaine Rouer, etc., etc. Leurs ENSEIGNES LUMINEUSES « CINÉMA ». Leurs MOTEUBS ÉLECTBIQUES UNIVEBSELS.

I AinrUir Ail ItlUr U I dirigée par M»' Renée CARL, du Théâtre A II A II M I r II 11 la I m ET Wffl A Gaumont, 27,rue des Petits-Hôtels. Pari.. Construction garantie. — Prix défiant toute concurrence à qualité égale. HUNUh III Itha H W Ulllk lll H = Leçons et cours tous les aprèo-mldl. Cours de diction. — Cours de danses le jeudi et le samedi soir de 9 heures à 11 heures. 247 (pmagazine Illllllllllllllllllllllllllll Illllllll llllllllllllllimilllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllHIHIIIIBIlIBg BSBSSEEEaaEEEEEEEEEEEEEEEBBEEEEEEBEEEEEEEEaEEEEEEEEEEEEE a E SI vous vous intéressez au Cinéma I ALMAMACH DU CINÉMA É n'hésitez pas à nous demander i f^^™^^"^— pour 1922 ^^^1^1^— | | INDISPENSABLE AUX PROFESSIONNELS ET AUX AMATEURS | B E a E a E g SOMMAIRE : Adresses des principaux Artistes de l'écran français et élran- g] la COLLECTION COMPLÈTE rôj gers, Auteurs-scénaristes, Costumiers, Décorateurs, Fabricants d'appareils, H S Maisons d'édition, Presse cinématographique, Studios, etc. ::::::: E ® Le Cinématographe en France de 1915 à 1920, par V. GUILLAUME-DANVERS ; g Le Bilan du Cinéma américain, par ; Etre Directeur de Cinéma, de g par Lucien DOUBLON; Le Cinéma américain, par Max LINDER; La Critique ciné- g 13 matographique, par NOZIÈRE ; Le Rôle du cinématographe, par Edmond HAHAU- H S COURT. ::::::::::::::;::::::::::' E § L'Année cinématographique, Catalogue complet de tous les films présentés en ■ jfj 1921 avec, pour chacun, indication du genre, de la firme éditrice et du métrage. B Fantaisies, Contes et Nouvelles : Un film sensationnel, par Maurice DEKO- [Ï] (jnémagazine B BRA ; Petit Manuel de l'aspirant-scénariste, par COLETTE; L'Homme-Réponse S B par IRIS : La Cinèmatologie de M. Gritume, par HÉMARD ; Confidences E : : La première année comprend U d'Artistes, par Yvette ANDRÉYOR, etc., etc. :::::::::::; £j [i] Nombreuses biographies d'artistes avec portraits. ::::::: 4 beaux volumes reliés en toile B , E B E rouge qui constituent une véritable e | " Un volume grand in-8 de 160 pages sous couverture tirée en couleurs — g BROCHÉ : 5 ïrancs -J- RELIÉ : 10 francs E Encyclopédie du Cinéma E E B E HESEHSESEaSESaaaEEaEESaSEESESESEEEaBEasaHESEEEEHEEEHEEEiïl renfermant dans ses 1.800 pages plus de 2.000 portraits d'artistes et de photographies d'après les films, 4 romans complets, plus de 300 articles biographiques ou techniques, etc. mmmmmmm»^mm>mf^mmmmmmmpmmmmmmmim iiiiiiiiiiiiii,iiiiiiiiiii»iiii»i»inii]i«iiii»i i 11 " i M I iiiiMaiiii.,iiiiiiiiiiiiiiiiiii!ii»iiiiiiiiiiii(3 ! INSTITUT CINÉGRAPHIQUE \ Place de la République (18-20, Faubourg du Temple) La Collection et l'Abonnement à l'année en cours ASCENSEURS TÉLÉPHONE : ROQUCTTE 85-65 sont vendus aux conditions suivantes : IIIIIIHIIIIIIIIIIIfinillHIIIIIHllllltlllllll»HMIIIII'll'IIMIIIItllllllllllllllllllllllllllllfnillllHIIIIII | Préparation complète «u Cinéma dansstudio moderne, paramsies, metteurs en scène Année i92i en 4 volumes reliés fr. 60 1 MM. Nat PINKERTON, F ROBERT, CONSTHANS, HUOUENET Fils, etc. Année 1922 Abonnement depuis le 1er janvier . . . 40 fr. TOTAL 100 fr. COURS ET LEÇONS PARTICULIÈRES de 14 à 21 heures = LES ÉLÈVES SONT FILMÉS ET PASSÉS A L'ÉCRAN AVANT DE SUIVRE LES COURS == FRANCS AU COMPTANT 5/ vous désirez devenir une vedette de l'écran 20 Si vous désirez savoir si vous êtes photogénique avec la commande, et le solde à raison de Si vous désirez ne pas perdre de temps et d'argent 10 FRANCS PAR MOIS SI vous désirez vous éviter des désillusions payables à la date choisie parle souscripteur S/ vous désirez savoir si vous êtes doué AU COMPTANT: 90 FRANCS ADRESSEZ-VOUS A NOUS «, , _. TOUT; Mariages, Baptêmes, etc. On peut souscrire à la première année seule aux conditions suivantes : Nnu fi mn ua TOUS, petits et grands, jeunes et vieux, amateurs et professionnels. 20 francs à la souscription et 4 mensualités de 10 francs Nos opérateurs vont PARTOUT.

J 11111 11 1 1 Adre«»er Ici Commandée à MM. le* Directeurs de CINÉMAGAZINE, 111111111111111111111111 > 1111 1 • 1 un» 11 m'i rtrrtrt1 r* ~i * ' ' ■■■<''■' '

3, Rue Roetiai, Paris. SOCIÉTÉ MODERNE D'IMPRESSIONS, .35, nie Mazariné. /.J Réducteur en Chef-Gérant: Jean PASCAL

H.Miiii| i »i . i. i ,, ,l,„ l, , ,,, i,,,, ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, ...H....MI .,.„.., .n.iinl Vt MP !lt liM M ) M w l M Mulu U 1