Les Epouses Interstellaires
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ACCOUPLÉE AUX CYBORGS LES ÉPOUSES INTERSTELLAIRES : LA COLONIE, LIVRE 2 GRACE GOODWIN À P R O P O S D E G R A C E G O O D W I N : Abonnez-vous à ma liste de lecteurs VIP français ici : bit.ly/GraceGoodwinFrance Vous souhaitez rejoindre mon Équipe de Science-Fiction pas si secrète que ça ? Des extraits, des premières de couverture et un aperçu du contenu en avant-première. Rejoignez le groupe Facebook et partagez des photos et des infos sympas (en anglais). INSCRIVEZ-VOUS ici : http://bit.ly/SciFiSquad Tous les livres de Grace peuvent se lire en tant que romans à part entière. Ne vous attendez pas à des « Ils-vécurent-heureux-et-eurent-beaucoup- d’enfants ». Il s’agit de mâles Alpha, et PAS de gros bêta. (Vous vous en apercevrez vite.) Mais attention... les héros sont canon et les scènes d’amour torrides. Vous êtes prévenus... TABLE DES MATIÈRES Accouplée aux Cyborgs Chapitre Un Chapitre Deux Chapitre Trois Chapitre Quatre Chapitre Cinq Chapitre Six Chapitre Sept Chapitre Huit Chapitre Neuf Chapitre Dix Chapitre Onze Chapitre Douze Chapitre Treize Chapitre Quatorze Chapitre Quinze Chapitre Seize Chapitre Dix-Sept Épilogue Ouvrages de Grace Goodwin (français) Books in English by Grace Goodwin Contacter Grace Goodwin À propos de Grace A C C O U P L É E A U X C Y B O R G S L’agente du FBI Kristin Webster a passé les huit dernières années à traquer et à faire tomber les pires ordures. Elle a vu trop de choses pour se croire capable de faire confiance à un homme humain un jour, mais la perspective de trouver le partenaire parfait grâce au Programme des Épouses Interstellaires de la Coalition la convainc de passer le test pour être appairée à un compagnon extraterrestre. Elle n’est pas accouplée à un mâle venu d’une planète lointaine, mais à deux guerriers prillons de la Colonie. Et lorsque des guerriers se mettront à disparaître, Kristin prendra les choses en main. Les Capitaines Hunt et Tyran ont attendu une compagne pendant trop longtemps pour la laisser mettre sa vie en péril en combattant le mal. Mais leur petite humaine n’en fait qu’à sa tête. Ils sont déterminés à l’apprivoiser, la revendiquer, la garder en sécurité... à tout prix. Mated To The Cyborgs: Copyright © 2017 by Grace Goodwin Tous Droits Réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique ou mécanique, y compris photocopie, enregistrement, tout autre système de stockage et de récupération de données sans permission écrite expresse de l’auteur. Publié par Grace Goodwin as KSA Publishing Consultants, Inc. Dessin de couverture 2019 par KSA Publishing Consultants, Inc. Images/Crédit Photo : Hot Damn Stock; BigStock: forplayday Note de l’éditeur : Ce livre s’adresse à un public adulte. Les fessées et toutes autres activités sexuelles citées dans cet ouvrage relèvent de la fiction et sont destinées à un public adulte. Elles ne sont ni cautionnées ni encouragées par l’auteur ou l’éditeur. C H A P I T R E U N ristin Webster, Centre de Préparation des Épouses K Interstellaires, Terre Lorsque je sentis le contact d’un sexe... là, je me figeai, le souffle coupé. Mon premier réflexe fut de paniquer. Comment savait-il ? Je n’avais jamais révélé mon secret à personne. Jamais. Le vouloir à cet endroit, qu’il m’étire, qu’il m’emplisse... C’était mal. Tellement mal. Oh, je savais que les mecs aimaient la sodomie, à en croire les films pornos. Et j’en savais beaucoup trop sur le porno après avoir travaillé pendant trois ans pour le département du FBI qui luttait contre le trafic d’êtres humains —mais l’on ne m’avait jamais demandé d’essayer. On ne m’avait même jamais pénétré là par accident. Pas même un oups, j’ai raté ton vagin et je me suis retrouvé entre tes fesses. Au lit, j’étais très conventionnelle, et je n’avais jamais avoué ce que je voulais vraiment à personne. J’avais toujours eu peur de le faire. Jusqu’à aujourd’hui. Aujourd’hui, je sentais un sexe qui se pressait contre mon entrée de derrière, et j’avais envie qu’il m’ouvre et qu’il se glisse en moi. Qu’il s’y glisse profondément et qu’il me baise. Qu’il m’étire. Qu’il me fasse un peu mal. Son membre était plus gros que tous ceux avec lesquels j’avais pu m’amuser jusqu’à présent, plus gros que je l’avais imaginé. Et il était en train de me pénétrer. Là. Contre toute logique, tout bon sens, j’avais envie qu’il se dépêche. Qu’il s’enfonce profondément et qu’il m’emplisse, qu’il m’ouvre jusqu’à ce que j’implore sa pitié. Qu’il me baise d’une façon que je n’avais jamais osé demander à aucun autre homme. Jamais. Pourquoi ? Parce qu’un sexe énorme m’étirait déjà le vagin. Mais un sexe n’était pas suffisant. Pas pour moi. Pas pour cette cochonne de Kristin. J’étais une vilaine fille. Et personne ne le savait. Personne ne s’en doutait. Mais bon sang, j’avais vraiment envie d’être une vilaine fille... Je voulais qu’il me tire les cheveux et qu’il me pousse à le supplier, qu’il me morde jusqu’à ce que j’aie mal et qu’il me pince les tétons jusqu’à ce que ça brûle. Et tous ces désirs étaient si profondément enfouis en moi que je ne les avais jamais admis. Pas une seule fois. Y compris à moi-même. Mais la moi du rêve s’en fichait. Elle désirait. Elle était parfaitement à l’aise entre ces deux corps masculins puissants. Elle n’avait pas peur de demander ce qu’elle voulait. D’admettre qu’elle voulait autre chose que le va- et-vient ordinaire en missionnaire dont la plupart des gens se contentaient. Quelque part, bien enfoui, elle savait qu’ils s’occuperaient bien d’elle. Qu’ils lui donneraient tout ce qu’elle voulait. Qu’ils la feraient crier. J’avais envie de les implorer. De leur faire confiance. De me lâcher. De me rendre. C’était un rêve. Forcément. Je n’avais jamais participé à un véritable plan à trois. Pas Kristin Webster, l’agente du FBI coincée. Les hommes avaient peur de moi, ou ils pensaient que j’étais trop dure, trop froide, trop désabusée par ce que j’avais vu sur le terrain pour vouloir être dominée au lit. Ils avaient tort. Tellement tort. Mais ce que je vivais en cet instant n’avait pas l’air d’un rêve. Non, ça semblait réel. La peau chaude de l’homme sous moi — je le chevauchais comme une cow-girl —, son sexe épais qui m’emplissait le vagin si pleinement, frottant des endroits en moi qui s’éveillaient pour la première fois. Était-ce mon point G qu’il atteignait ? Je gémis lorsque son gland l’effleura, encore et encore. Mon clitoris frottait contre lui à chacun de ses coups de reins. Profondément, si profondément qu’il tapait contre le fond. Je me cambrai et fis en sorte de le prendre au maximum. Mes mains se pressèrent contre les draps soyeux au-dessus de ses épaules, frais contre ma peau brûlante, et je m’offris à l’homme placé derrière moi. Mon corps le suppliait, lui disait ce que je ne pouvais exprimer alors que j’écartais davantage les genoux et que je contractais les muscles en espérant attirer son attention. Nous étions glissants, et je savais que nous étions enduits d’une huile quelconque à l’arôme puissant et exotique. Entêtant. Cette odeur se mêlait à celle du sexe, de la peau et de l’homme. Mes hommes. Leurs odeurs uniques m’étaient familières, à moi et à ce corps, et elles m’emplissaient la tête de désir, de souvenirs de rencontres passées, d’orgasmes. De plaisir. Ils me submergeaient de plaisir. Deux grandes mains étaient sur mes hanches pour me guider, me faire bouger selon les désirs de l’homme qui se trouvait sous moi. Une deuxième paire de mains vint jouer avec mes tétons. Ils étaient durcis, si sensibles que je me contractais à chaque pincement. Depuis quand mes tétons étaient-ils directement reliés à mon vagin ? Avec une caresse délicieuse, je gémis. — Je vais jouir, m’écriai-je. Je ne reconnaissais pas ma voix. Qui était cette femme déchaînée ? Je n’aurais pas pu me caresser le clitoris même si je l’avais voulu, car je n’en avais pas la permission, et cela ne faisait qu’attiser mon désir. Mon excitation. Je savais que mes compagnons ne me laisseraient pas faire. Je savais que mes orgasmes leur appartenaient. J’ignorais comment je savais cela. C’était un rêve. Un rêve étrange, torride et incroyable. Je ne bougeai pas, et je n’en avais pas envie. Je voulais qu’ils terminent ce qu’ils avaient commencé. Je voulais qu’ils m’ouvrent complètement et qu’ils prennent tout ce qu’ils voulaient, jusqu’à la dernière goutte de plaisir et de contrôle. Je voulais leur appartenir, totalement. Sans limites. Sans la moindre règle. Juste moi... et eux. À moi. Ils étaient à moi. La férocité de cette pensée me poussa à m’enfoncer sur le sexe de mon compagnon et à me tortiller, en frottant mon clitoris contre lui, à la recherche de ce que je voulais.