Communaute De Communes Des Trois-Pays

PROCES-VERBAL

Le seize janvier deux mille dix-sept, à quatorze heures et trente minutes, le Conseil de la Communauté de Communes Pays d’Opale s’est réuni à la médiathèque de Bonningues-lès-Calais sous la Présidence de Monsieur Marc MEDINE, à la suite de la convocation adressée à domicile le neuf janvier dont un exemplaire a été affiché à la porte du siège de la collectivité. ______

Etaient présents :

Mmes et MM.

Thierry GUILBERT (DT Alembon) Eric BUY (DT Guînes), Christiane GLORIAN (DT Andres) Marc MEDINE (DT Guînes), Jacky DUBOIS (DT Andres) Anne DECAESTECKER (DT Guînes) Ludovic LOQUET (DT Ardres), ayant procuration Eugénie PIERRU (DT Guînes), G.COTTREZ Daniel DARCHEVILLE (DT Guînes), Thérèse VASSEUR (DT Ardres), Laurence CHARPENTIER (Guînes) Pierre PREVOST (DT Ardres),ayant procuration Yves LEFEBVRE (DT Guînes), S.BONNIERE Christiane SPRIET (DT Ardres) Eric HOUDAYER (DT Guînes) Véronique FRANQUE (DT Ardres) Nathalie TELLIEZ (DT Hardinghen), Blaise de ST JUST D’AUTINGUES (DT Yves LE BERRE (DT Hardinghen) Autingues), Marie Andrée ROHART (DT Herbinghem), ayant procuration C.ANDRIEU Thierry TERLUTTE, (DT Bainghen), Matthieu CANLER (DS Hermelinghen) Jean Claude VANDENBERGHE (DT Gabriel BERLY (DT Landrethun les Ardres), Balinghem), Brigitte HAVART (DT Licques), ayant procuration D.DELPHIN Ayant procuration C.BAS BOUSEMART André CONDETTE (DT Nielles les Ardres) Christian SALVARY (DT Bonningues-lès-Calais) Jean-François LACROIX (DT Peuplingues) Antoine PERALDI (DT Bouquehault) Jean-Luc MAROT (DT Pihen-les-Guînes) Claude KIDAD (DT Boursin) Guy VASSEUR (DT Rodelinghen) Thierry POUSSIERE (DT Brêmes) François LE GALL (DT Saint-Tricat) Brigitte MARCQ (DT Brêmes) Nicole WIDENT (DS Sanghen) Pascal GAVOIS (DT Caffiers)

Bruno DEMILLY (DT Campagne-les-Guines),

Marc BOUTROY (DT Escalles) Clotilde ROBERVAL (DT Fiennes), Bernard RIVENET (DT Guînes), ayant procuration N.MERLEN

Etaient excusés :

Gilles COTTREZ (DT Ardres), ayant donné procuration à L.LOQUET Sylvie BONNIERE (DT Ardres), ayant donné procuration à P.PREVOST Franck DELABASSERUE (DT Louches), Nathalie MERLEN (DT Guînes), ayant donné procuration à B.RIVENET Céline BAS BOUSEMART (DT Balinghem), ayant donné procuration à J.C VANDENBERGUE Christophe DUPONT (DT Hermelinghen), remplacé par M.CANLER Christian ANDRIEU (DT Hocquinghen), ayant donné procuration à M.A ROHART Delphin BOULOGNE (DT Licques), ayant donné procuration à B.HAVART Jean-Pierre DOYE (DT Sanghen), remplacé par N.WIDENT

Secrétaire de séance : Jacky DUBOIS

2017/15

La séance est ouverte à 14h30.

Monsieur MEDINE accueille l’assemblée communautaire et cède la parole à Monsieur Salvary, maire de la commune.

Monsieur Salvary remercie le président et salue l’assemblée. Il explique que la médiathèque communautaire de Bonningues-les-Calais est issue d’une volonté communale portée par ses soins de développer un outil culturel favorable à l’épanouissement de l’esprit critique au sein de la population. Il est fier de cette réalisation qui a été portée par la communauté de communes du Sud- Ouest-Calaisis et qui fait qu’il se passe dorénavant chaque jour quelque chose dans cette commune de 850 hectares et 690 habitants qui dispose par ailleurs d’un autre équipement public important avec l’espace Futurum.

Monsieur Salvary rappelle que l’année 2016 a été difficile et qu’il est nécessaire aujourd’hui de tourner la page et de se familiariser avec l’acronyme CCPO pour construire ensemble notre territoire du Pays d’Opale. Il remarque que la loi NOTR(e) aura contribué encore davantage à éloigner les centres de décision des citoyens avec les exemples de sa commune qui représentait 10% de la population de l’ex-CCSOC contre 2,5% de la communauté Pays d’Opale ou de la Région Hauts-de- France en considérant les distances entre Lille et le Sud de la Picardie.

Monsieur Salvary rappelle son opposition à l’extension des communautés d’agglomération en milieu rural et déclare compter sur le Président pour construire un avenir durable pour la communauté de communes Pays d’Opale.

Monsieur Médine remercie Monsieur Salvary pour son propos. Il soumet ensuite le procès-verbal de la séance du conseil communautaire du 09 janvier 2017 à l’approbation des conseillers communautaires. Celui-ci ne soulevant pas de question, il est mis au vote et adopté à l’unanimité.

Monsieur le Président procède ensuite à l’appel puis annonce l’arrivée prochaine de Monsieur Gilles Jabob, nouveau trésorier communautaire, qui pourra ainsi se présenter à l’assemblée.

Avant d’ouvrir les débats sur les questions à l’ordre du jour, Monsieur le Président informe l’assemblée de l’ajournement de la question n° 24 relative à une convention de partenariat avec Cap Calaisis concernant la fourrière intercommunale, au motif que le Bureau communautaire a souhaité disposer de plus amples informations quant au coût comparatif du service avec ce qui se pratique sur d’autres territoires.

AMENAGEMENT

Question n°12 : - AMENAGEMENT DE L’ESPACE Association aux travaux du syndicat mixte « la fibre numérique 59 62 »

Rapporteur : - Monsieur Pierre PREVOST

Monsieur Berly demande pour quelles raisons le coût de la fibre final sera moindre que le coût initialement envisagé.

Sollicité par le Président, monsieur Ledoux, responsable du pôle technique explique que le taux de rentabilité pour les opérateurs sera supérieur dans un territoire dense comme le Nord-Pas-de-Calais qui correspond au périmètre du syndicat mixte, que dans un territoire moins peuplé et que cela justifie d’une participation plus importante des opérateurs aux travaux qui implique une économie substantielle pour les collectivités puisque le coût au branchement passe de 168 € à 68€ ; soit environ 900.000 € à charge de la CCPO contre 2.000.000 € initialement prévus pour la seule CCT-P

Vu l’arrêté préfectoral en date du 23 septembre 2016 portant fusion au 1er janvier 2017 de la communauté de communes des Trois-Pays et de la communauté de communes du Sud-Ouest Calaisis réduite aux communes de Escalles, Bonningues-les-Calais, Saint-Tricat, Peuplingues et Pihen-les-Guînes,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant statuts et siège de la communauté de communes « Pays d’Opale » issue de cette fusion,

Vu les délibérations antérieures des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest Calaisis,

 Portant association des communauté de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest du Calaisis aux travaux du syndicat mixte « la fibre numérique 59 62 » , dans le cadre de la mise en œuvre par ce dernier de ses statuts et des objectifs, principes et orientations contenues dans le schéma directeur du très haut-débit en Nord-Pas-de-Calais et de la délégation à « La fibre numérique 59 62 » par la Région Nord-Pas-de-Calais, le Département du Nord et le Département du Pas-de-Calais de la préparation sous couvert des trois collectivités et du suivi des « conventions de programmation et de suivi des déploiements des Ftth prévues par France très haut-débit ».

 Prenant acte que :

- l’association a pour objectif de créer un espace de dialogue entre le syndicat et ses membres associés afin que soient prises en compte les spécificités de ses membres associés dans l’élaboration des propositions de portées générale dont le syndicat a la charge et dans les limites des mandats reçus par ce dernier. En conséquence, cette association ne vaut pas adhésion au sens du CGCT et n’entraine donc pas de transfert de compétence ni de contribution financière de la communauté de communes au fonctionnement du syndicat.

- « La fibre numérique 59 62 » propose :

 d’accueillir les représentants du membre associé au sein des commissions et groupes de travail techniques,  dans la limite des mandats fournis par ses membres fondateurs, des statuts du syndicat et des décisions prises par son comité syndical :

 De tenir compte des spécificités du membre associé  D’apporter une assistance méthodologique pour la conception et les conditions de mise en œuvre des projets portés par le membre associé  De mettre à disposition du membre associé les résultats des études réalisées par le syndicat et toute autre information susceptible d’impacter la relation entre le syndicat et le membre associé.  De mettre à disposition du membre associé l’ensemble des documents produits dans le cadre de ces commissions et groupes de travail techniques

- Que le membre associé :

- Désigne au syndicat un binôme composé d’un représentant élu et d’un représentant disposant d’une compétence technique et communique diverses informations mentionnées à l’annexe 4 jointe. - S’engage à maintenir ce binôme dans le temps et à informer le syndicat de tout changement dans la composition de celui-ci - Pourra s’inscrire dans l’une des deux commissions (CN1-infrastructures zone publique ou CN2-Observation des déploiements zone privée) traitant du déploiement du très haut-débit et / ou dans celle traitant des services et usages du numérique (CN3). - Est invité à partir de son expérience et de sa situation locale, à participer activement et assidûment aux travaux des commissions et groupes de travail techniques. - S’engage à assurer la plus grande confidentialité sur les réflexions et conclusions développées dans le cadre des commissions et / ou groupes de travail techniques animés par le syndicat.

2017/16

Après en avoir délibéré, à l’unanimité, le conseil communautaire décide :

 De nommer membres du binôme représentant la communauté de communes Pays d’Opale : M. Pierre PREVOST et M Damien LEDOUX, responsable du pôle technique communautaire.

 D’inscrire ses représentants dans les commissions CN1- Infrastructures zone publique et CN3 services et usages du numérique

Question n°13 : - AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Droit de préemption urbain : Confirmation du Droit de Préemption Urbain sur toutes les zones U et AU du PLUI, sur les zones U ; AU ; NA des POS et PLU communaux de l’Ardrésis et des communes de Bonningues-les-Calais, Peuplingues, Saint-Tricat, Pihen-les-Guînes et Escalles et sur un secteur de la carte communale de Louches.

Rapporteur : - Monsieur Thierry POUSSIERE

Monsieur Poussière explique qu’il s’agit de reprendre à l’échelle du territoire communautaire de Pays d’Opale les compétences en la matière autrefois exercées par la CCT-P et la CCSOC.

Vu l’article L.211-2 alinéa 2 du code de l’urbanisme modifié par la loi ALUR qui dispose que la compétence d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, en matière de plan local d'urbanisme, emporte leur compétence de plein droit en matière de droit de préemption urbain.»

Vu les statuts communautaires et notamment les clauses de l’article 3 relatives à la compétence d’aménagement de l’espace,

Considérant que la communauté de communes Pays d’Opale est compétente en matière de Droit de Préemption Urbain de par les compétences qui lui ont été transférées,

Considérant la nécessité de mettre en conformité le Droit de Préemption par rapport au nouveau document du Plan Local D’urbanisme Intercommunal approuvé et sa nécessaire confirmation pour les documents existants sur le territoire des 8 communes de l’Ardrésis non encore couverts par le PLU Intercommunal,

Considérant qu’il importe que les communes puissent disposer par délégation de cet outil de maîtrise foncière pour les affaires relevant de leur compétence,

Le conseil communautaire, décide :

De confirmer l’institution du Droit de Préemption Urbain sur :

 Toutes les zones U et AU du PLUI  Les zones U ; AU et NA des POS et PLU communaux de l’Ardrésis et des communes de Bonningues-les-Calais, Peuplingues, Saint-Tricat, Pihen-les-Guînes et Escalles.  Le périmètre ci-annexé du territoire de la commune de Louches couvert par une carte communale. L’opération projetée sur ce périmètre est la réalisation d’un équipement public (Cimetière et Equipements sportifs).

Demande aux communes membres l’envoi systématique dans les 5 jours de leur réception en mairie de toutes les déclarations d’intention d’aliéner à la communauté de communes, service urbanisme, en précisant leur intention quant à l’usage éventuel du droit de préemption dans le cadre de l’exercice de leurs compétences,

Autorise le Président à déléguer par décision et sur demande formulée par le conseil municipal de la commune concernée, l’exercice du droit de préemption urbain aux communes membres pour les affaires relevant de leurs compétences qui n’ont pas été déléguées à la communauté de communes des Pays d’Opale.

Décide, dans le respect de l’article L.5211-57 du CGCT de transmettre tout projet de préemption communautaire à la commune d’implantation avant toute délibération communautaire d’application du droit de préemption urbain.

La présente délibération instituant le Droit de Préemption Urbain fera l’objet :

 D’un affichage d’un mois à l’hôtel communautaire et dans chaque mairie

 D’une mention insérée dans deux journaux régionaux diffusés dans le Département (la voix du nord et le Nord Littoral)

 D’une communication aux organismes énumérés à l’article R211-3 du code de l’urbanisme (services fiscaux, conseil supérieur du notariat, chambre départementale des notaires, des barreaux constitués près les tribunaux de grande instance de Boulogne sur Mer et Saint- Omer, du greffe des mêmes tribunaux.

 D’une transmission en Sous-Préfecture de Calais ainsi qu’aux services de la Direction départementale des Territoires et de la Mer d’Arras et de Boulogne sur mer.

Après en avoir délibéré, Le Conseil Communautaire, 45 voix pour et 2 voix contre (M.BOUTROY et G.VASSEUR) adopte la proposition du rapporteur.

Question n°14 : - AMENAGEMENT Zone du Pont sans Pareil - Régularisation d’une servitude légale

Rapporteur : - Monsieur Pierre PREVOST

Monsieur Prévost explique qu’il s’agit d’une régularisation administrative d’une servitude légale avérée.

Vu l’acte administratif en date du 30 mai 2016 régularisant la propriété communautaire des biens issus de l’ex. CCRAVH, enregistré au service de publicité foncière de Saint-Omer le 06/06/2016,

Considérant les projets en cours pour la valorisation de la propriété communautaire du Pont Sans Pareil,

Considérant la nécessité de régulariser par acte authentique l’existence de la servitude légale desservant les parcelles enclavées AZ78, AZ79, AZ80, AZ81, propriété de Monsieur Antoine Delbende,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité :

 Décide la constitution de la servitude de passage aux conditions suivantes :

o Passage à titre gratuit moyennant l’entretien régulier de la servitude par le propriétaire du fond dominant o Prise en charge de l’ensemble des frais liés à l’acte par le propriétaire du fond dominant

 Autorise le Président ou le vice-président en charge du Développement économique à signer l’acte authentique constituant la servitude.

2017/17

ENVIRONNEMENT

Question N°15 : - ENVIRONNEMENT Secrétariat Permanent pour la Prévention des Pollutions Industrielles Côte d’Opale-Flandre Désignation de délégués

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Par arrêté préfectoral du 9 Mars 1998, ce dernier a institué un Secrétariat Côte d’Opale - Flandre dont l’aire de compétence géographique comprend les arrondissements de Dunkerque, Calais, Saint-Omer, Boulogne-Sur-Mer et Montreuil sur Mer.

La Communauté de Communes des Trois Pays et la CCSOC étaient associées au S.P.P.P.I. et à ce titre, il faut désigner de nouveau nos délégués aux différentes commissions techniques.

Je vous propose d'arrêter les personnes qui suivent pour représenter l’Assemblée au S.P.P.P.I. :

- Délégué Titulaire de la Communauté : Thierry POUSSIERE - Commission “Air, odeurs et bruit : Jean-Luc MAROT - Commission “Eau” : Eugénie PIERRU - Commission “Déchets, sites et sols pollués” : Christian ANDRIEU - Commission “Risques industriels” : Jean-Pierre DOYE - Commission “Nouveaux Projets” : Marie-Andrée ROHART

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question N°16 : - ENVIRONNEMENT Parc Naturel Régional des Caps et Marais d’Opale Désignation des représentants à l’assemblée du territoire

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Le syndicat mixte du Parc Naturel Régional des Caps et Marais d’opale a objet le pilotage de la mise en œuvre de la Charte du Parc Naturel et assure, dans le cadre fixé par la charte, la cohérence et la coordination des actions de protection, de mise en valeur, de gestion, d’animation et de développement menées par ses partenaires

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant statuts et siège de la communauté de communes « Pays d’Opale » issue de cette fusion, comprenant les communes de :

ALEMBON – ANDRES – ARDRES- AUTINGUES - BAINGHEN –BALINGHEM – BONNINGUES LES CALAIS - BOUQUEHAULT – BOURSIN – BREMES- CAFFIERS – CAMPAGNE-LES-GUINES – FIENNES – GUINES – ESCALLES- HARDINGHEN – HERBINGHEM – HERMELINGHEM – HOCQUINGHEM – LANDRETHUN-LES ARDRES - LICQUES – LOUCHES – NIELLES-LES- ARDRES – PEUPLINGUES- PIHEN LES GUINES – RODELINGHEM - SAINT TRICAT – SANGHEN

Vu les statuts du syndicat mixte du Parc Naturel Régional des Caps et Marais d’Opale et notamment l’article 5.1 qui stipule que chaque EPCI a droit à deux représentants à l’assemblée du territoire.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, décide :

. De nommer deux représentants à l’assemblée de territoire du Parc Naturel des Caps et Marais d’Opale dont l’un siégera en tant que délégué au comité syndical du Parc (article 5.1 des statuts)

 Monsieur Thierry TERLUTTE  Monsieur Marc MEDINE

Question N°17 : - ENVIRONNEMENT Eden 62 Renouvellement de l’adhésion au syndicat mixte, convention de partenariat et désignation d’un délégué titulaire et deux délégués suppléants

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Espaces Départementaux Naturels du Pas de Calais (EDEN 62) a pour objet la mise en œuvre d'actions de valorisation, de gestion, d'aménagement et d'animation des espaces naturels intégrés dans la politique sur les espaces Naturels Sensibles menée par le département.

Par délibération n°11 du 21 décembre 2006, la Communauté de Communes des Trois-Pays a confirmé le principe de son adhésion à Eden 62 en approuvant ses statuts. Cette adhésion est à renouveler au nom de la communauté de communes Pays d’Opale.

Je vous propose de confirmer le principe de cette adhésion, de m’autoriser à signer la convention de partenariat ci-annexée et d’en faire application et de désigner un délégué titulaire et deux délégués suppléants.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur et désigne

- Délégué titulaire : Thierry TERLUTTE - Délégués suppléants : François LE GALL, Jean-François LACROIX

Question n°18 : - ENVIRONNEMENT Réforme statutaire du syndicat mixte de l’entente intercommunale des wateringues et désignation des délégués communautaires

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Le Syndicat Mixte de l’institution intercommunale des wateringues a pour objet la réalisation et la gestion des ouvrages permettant l’évacuation des eaux à la mer ainsi que la coordination des acteurs du polder et l’amélioration des connaissances en matière de gestion des eaux de surface sur le polder.

Le Syndicat Mixte de l’Institution Intercommunale des Wateringues était composé jusqu’au 31 décembre 2016 des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale suivants :

- Communauté de communes de la Région d’Audruicq ; - Communauté d’agglomération du Cap Calaisis ; - Communauté urbaine de Dunkerque ; - Communauté de communes des Hauts de Flandre ; - Communauté d’agglomération de Saint-Omer ; - Communauté de communes du Sud-Ouest du Calaisis ; - Communauté de communes des Trois-Pays.

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale, 2017/18

Vu l’arrêté préfectoral en date du 23 septembre 2016 portant fusion des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest-Calaisis, à l’exception des communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques et Nielles-les-Calais

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

ALEMBON – ANDRES – ARDRES- AUTINGUES - BAINGHEN –BALINGHEN – BONNINGUES LES CALAIS - BOUQUEHAULT – BOURSIN – BREMES- CAFFIERS – CAMPAGNE-LES-GUINES – FIENNES – GUINES – ESCALLES- HARDINGHEN – HERBINGHEM – HERMELINGHEM – HOCQUINGHEM – LANDRETHUN-LES ARDRES - LICQUES – LOUCHES – NIELLES-LES- ARDRES – PEUPLINGUES- PIHEN LES GUINES – RODELINGHEM - SAINT TRICAT – SANGHEN,

Considérant que la représentativité de la communauté de communes Pays d’Opale au sein du comité syndical du Syndicat Mixte de l’institution intercommunale des wateringues correspond de droit à la somme de la représentativité antérieure des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest Calaisis,

Vu le projet de réforme statutaire du Syndicat Mixte de l’institution intercommunale des wateringues ci-annexé prenant en considération la mise en application du SDCI,

Considérant que, Selon l’article L 5211-7 du code général des collectivités territoriales, la désignation des représentants au sein des syndicats mixtes fermés se fait à bulletin secret et que, si aucun des candidats n'a obtenu la majorité absolue après deux tours de scrutin, il est procédé à un troisième tour de scrutin et l'élection a lieu à la majorité relative; à égalité de voix l'élection est acquise au plus âgé.

Considérant que la réforme statutaire proposée aboutit à une sous-représentation de la communauté de communes Pays d’Opale au sein du syndicat mixte de l’entente intercommunale des wateringues,

Considérant que celle-ci n’est en tout état de cause pas opérante à ce jour,

Le Conseil communautaire, à l’unanimité, après avoir entendu ce qui précède, et après en avoir délibéré,

 Décide de se prononcer contre la réforme statutaire proposée par le syndicat mixte « Institution Intercommunale des Wateringues »

 DÉSIGNE pour représenter la Communauté de Communes Pays d’Opale au comité syndical du syndicat mixte « Institution Intercommunale des Wateringues » :

- Monsieur Bruno DEMILLY - Monsieur François LE GALL

Question N°19 : - ENVIRONNEMENT Syndicat Mixte d’Elimination et de Valorisation des Déchets du Calaisis Désignation des délégués au Comité Syndical

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Le SEVADEC est le syndicat mixte en charge de l’élimination des déchets ménagers sur l’ensemble du Calaisis ainsi que de la gestion des déchetteries.

Le SEVADEC était composé jusqu’au 31 décembre 2016 des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale suivants :

- Communauté d’Agglomération Cap Calaisis Terre d’Opale - Communauté de communes de la Région d’Audruicq - SMIRTOM du Calaisis regroupant la Communauté de Communes des Trois- Pays et la Communauté de Communes du Sud-Ouest du Calaisis.

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « Communauté de Communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Considérant que la substitution de la communauté de communes issue de la fusion au SMIRTOM s’effectue dans les conditions prévues au 2ème alinéa de l’article L5211-41 du CGCT et que l'ensemble des biens, droits et obligations du SMIRTOM sont transférés à la CC issue de la fusion qui est substituée de plein droit au SMIRTOM dans toutes les délibérations et tous les actes de ce dernier à la date de la fusion.

Considérant que la représentativité de la communauté de communes des Pays d’Opale au sein du comité syndical du SEVADEC correspond à la représentativité antérieure du SMIRTOM du Calaisis,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, décide :

. De nommer délégués titulaires au comité syndical du SEVADEC :

 Antoine PERALDI  Jean-Luc MAROT  Jean-Claude VANDENBERGUE  Brigitte MARCQ  Bruno DEMILLY  Pascal GAVOIS

. De nommer délégués suppléants au comité syndical du SEVADEC

 Yves LE BERRE  Anne DECAESTECKER  Bernard RIVENET  Christophe DUPONT  Clothilde ROBERVAL  Thérèse VASSEUR 2017/19

Question n°20 : - ENVIRONNEMENT Désignation d’un représentant à la Commission Locale de l’Eau du SAGE du Boulonnais

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

La Commission Locale de l’Eau est une instance de concertation réunissant les différents acteurs du territoire intéressés par la gestion de l’eau. Elle a été créée par Arrêté Préfectoral en date du 22 janvier 1999 et modifiée par plusieurs arrêtés.

La Commission Locale de l’Eau en charge de l’élaboration, de la révision et du suivi de l’application du Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du Bassin côtier du Boulonnais, est composée de 40 membres répartis en trois collèges représentant les élus, les usagers et les services de l’Etat ou établissements publics.

Il convient de désigner un représentant.

Je vous propose la candidature de Mme Nathalie TELLIEZ comme représentant.

Vu la loi « Nouvelle Organisation territoriale de la République » en date du 07 août 2015, et plus particulièrement son article 114-VIII,

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 23 septembre 2016 portant fusion des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest-Calaisis à l’exception des communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques et Nielles-les-Calais,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016, portant création de la « communauté de communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question N°21 : - ENVIRONNEMENT Syndicat mixte du Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du Boulonnais Approbation des statuts modifiés et désignation des délégués au SYMSAGEB

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Le Syndicat Mixte du Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du Boulonnais (SYMSAGEB) a pour objet d’intervenir dans la gestion des eaux dans les conditions prévues à l’article 31 de la loi 92-3 du 3 janvier 1992 (loi sur l’eau).

Le SYMSAGEB était composé jusqu’au 31 Décembre 2016 des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale suivants :

- La Communauté d’Agglomération du Boulonnais, - La Communauté de Communes de la Terre des 2 Caps, - La Communauté de Communes de Desvres-Samer - La Communauté de Communes des Trois-Pays, - La Communauté de Communes de Mer et Terres d’Opale, - La Communauté de Communes du Sud-Ouest du Calaisis.

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 23 septembre 2016 fusion des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest-Calaisis, à l’exception des communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques et Nielles-les-Calais,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Considérant que les communes de Boursin, Caffiers, Escalles, Fiennes, Hardinghen, et Hermelinghen, membres de la communauté de communes Pays d’Opale, sont concernées par le schéma d’aménagement et de gestion des eaux du Boulonnais,

Vu les statuts du SYMSAGEB en date du 13 août 2009 et plus particulièrement leur article 11 relatif à la représentativité des EPCI qui attribue deux délégués à la tranche de population concernée par le périmètre syndical entre 1000 et 5000 habitants,

Considérant que la population communautaire concernée est de 3711 habitants,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, décide :

. D’approuver la réforme statutaire proposée par le SYMSAGEB. . De nommer délégués titulaires au comité syndical du SYMSAGEB :

- Mme Nathalie TELLIEZ, M. Claude KIDAD

. De nommer délégués suppléants au comité syndical du SYMSAGEB :

- M Gavois et M. Bruno DEMILLY

Question N°22 : - ENVIRONNEMENT- GEMAPI Syndicat Mixte de la Vallée de la Hem (SYMVAHEM) Désignation des délégués

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

Le Syndicat Mixte de la Vallée de la Hem (SYMVAHEM) est chargé de la réalisation de travaux et d'actions visant à prévenir les inondations de la Hem, à atténuer leurs effets et limiter l'impact des eaux de ruissellement s'évacuant dans la Hem ainsi que de la mise en œuvre d'actions prévues dans le contrat de rivière,

Par délibération n°09 du 27 décembre 2007, le Conseil Communautaire de la communauté de communes des Trois-Pays a confirmé son adhésion.

Le Conseil Communautaire doit élire deux délégués titulaires et deux délégués suppléants.

Je propose à l’assemblée les candidatures de Mme Brigitte HAVART et M. Franck DELABASSERUE comme délégués titulaires et M Bruno DEMILLY et M. Delphin BOULOGNE en tant que délégués suppléants.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur. 2017/20

Question n°23 : – ENVIRONNEMENT 4ème et 5ème section des wateringues Désignation de représentants

Rapporteur : - Monsieur Bruno DEMILLY

L’arrêté préfectoral du 7 novembre 2008 a modifié les statuts des 4ème et 5ème sections de wateringues du Pas-de-Calais en précisant à l’article 7 que chaque Etablissement Public de Coopération Intercommunale concerné par le périmètre de la section est membre de droit de la commission administrative.

Il nous est donc demandé de désigner deux représentants à la commission administrative des 4ème et 5ème section de wateringues

Je vous propose :

- M. Bruno DEMILLY : 4ème section de wateringues - M. Jean-Claude VANDENBERGUE : 5ème section de wateringues

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question n°24 : – ENVIRONNEMENT : Ajournée

VIE INSTITUTIONNELLE

Question N°25: - VIE INSTITUTIONNELLE Conditions patrimoniales et financières du retrait des communes de Fréthun, Hames-Boucres, les Attaques et Nielles-les-Calais de la communauté de communes du sud-Ouest-Calaisis, demande d’arbitrage préfectoral.

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président explique que la loi ne prévoit pas de clefs de répartition du patrimoine et du passif lors d’une scission d’EPCI mais qu’elle privilégie le recours à un accord local, à défaut duquel le préfet est tenu de rendre un arbitrage dans le délai de 6 mois après sa saisine par l’une des parties. Aucun accord n’ayant pu être trouvé entre les communes au sein de l’ex-CCSOC, il revient aujourd’hui à la communauté de communes Pays d’Opale qui se substitue à celle-ci dans ses droits et obligations de par la fusion intervenue, de proposer les termes d’un arbitrage à Madame la Préfète sur des bases reprenant celles proposées initialement par le Président de la CCSOC et les maires des 5 communes ayant rejoint la communauté Pays d’Opale, mais en tenant également compte des états de créances et engagements restant attachés à la CCSOC lors de sa dissolution.

Monsieur Médine précise que les bases proposées tiennent compte de la territorialisation des actifs non mobiles avec le transfert à chaque collectivité compétente des biens immobilisés attachés à son sol (bâtiments, éléments de génie civil) et des équipements afférents (mobilier, bureautique…) et la répartition en fonction de la population des actifs et passifs non territorialisés. Il sollicite le DGS pour des compléments techniques.

Monsieur Duffy fait part que la proposition émise reprend effectivement celle initiée par la CCSOC envers les 4 communes la quittant. Il précise toutefois que celle-ci a été assortie d’une clause de remboursement préalable par la commune de Fréthun de la somme due par celle-ci à la CCPO dans le cadre d’une convention liant initialement la commune et la CCSOC pour la viabilisation du giratoire de la zone artisanale de la briquetterie sous maîtrise d’ouvrage communautaire. Le non versement de cette somme a en effet induit un solde de trésorerie insuffisant en fin d’exercice comptable pour que la CCSOC puisse honorer l’intégralité de ses engagements et notamment le versement de sa participation conventionnelle aux charges de l’école intercommunale de musique des Trois-Pays pour les cours dispensés au profit de la population de la CCSOC. Il précise également que dans le cadre de la délibération, l’Etablissement Médico-Social pour Adultes retournerait à la commune de Fréthun sur laquelle il est implanté, sachant que cet équipement a vocation à être cédé à l’AFAPEI dans le cadre d’une opération blanche puisque le loyer versé par cet organisme couvre actuellement l’annuité de la dette.

Monsieur Marot précise que l’autre partie constituée des 4 communes de Fréthun, Nielles-les-Calais, Les Attaques et Hames-Boucres conteste la prise en compte de l’actif de l’EMSA dans le calcul et que de ce fait il apparaît une distorsion entre les valeurs d’actif territorialisées et la répartition de la population de l’ex-CCSOC (60% dans les 4 communes rejoignant Cap Calaisis et 40% dans les 5 communes fusionnant avec la CCT-P pour créer Pays d’Opale), alors qu’en intégrant la valeur d’actif de l’EMSA, la répartition d’actif est corrélative avec celle de la population. Monsieur Marot précise toutefois qu’aucun texte n’indique que cette corrélation doit être respectée et qu’il est inenvisageable que la CCPO soit amenée à payer une quelconque soulte correspondant à ce différentiel établi en mettant à part la valeur de l’EMSA et qui a été évaluée par madame le maire de Fréthun à 1.800.000€.

Monsieur Lacroix précise que la commune de Fréthun souhaite ne pas considérer l’EMSA dans le patrimoine à répartir au motif que cet équipement a vocation à être vendu et que le locataire acheteur (l’AFAPEI) reprendrait à sa charge le solde de l’emprunt.

Madame Franque constate que tous les problèmes n’ont pas pu être résolus en amont de la fusion.

Monsieur Lacroix répond que l’accord local n’a effectivement pas pu aboutir alors que la valeur des actifs territorialisés est globalement cohérente avec la répartition de la population ; à défaut d’accord, il revient donc aux services de l’Etat de trancher cette question importante.

Monsieur le Président confirme les propos de Monsieur Lacroix et précise que sur la base de la délibération proposée ce jour, il sollicitera au plus vite un entretien avec Madame la Préfète du Pas- de-Calais pour développer les arguments de la communauté de communes auprès d’elle et de ses services.

Monsieur Berly demande si la partie adverse a des velléités semblables.

Monsieur Loquet répond que c’est vraisemblablement le cas et que dans un monde parfait tout cela n’aurait pas dû se produire ; il appartient dorénavant aux élus communautaires de défendre les intérêts de la collectivité.

Sur invitation du président, Monsieur Jacob, receveur communautaire, confirme que les transferts seront organisés sur la base de la valeur comptable arrêtée au 31 décembre 2016 après décision à intervenir de la part de Madame la Préfète.

Vu le code général des collectivités territoriales,

Vu la loi « Nouvelle Organisation territoriale de la République » en date du 07 août 2015,

Vu l’arrêté préfectoral du 21 décembre 2016 portant création de la communauté de communes « Pays d’Opale »

2017/21

Vu l’absence d’accord local entre les parties concernant les conditions patrimoniales et financières du retrait des communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques, Nielles-les-Calais de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis,

Considérant l’état de l’actif de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis au 31 décembre 2016,

Considérant l’état de la trésorerie et des créances établies par la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis au 31 décembre 2016,

Considérant l’insuffisance du solde de la trésorerie de la communauté de communes du Sud-Ouest- Calaisis au 31 décembre 2016 pour couvrir les engagements contractés, au regard notamment de la non-perception d’une créance établie sur la commune de Fréthun à hauteur de 190.126,74 € concernant les travaux de viabilisation d’un giratoire sous maîtrise d’ouvrage communautaire conventionnés entre la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis et la commune de Fréthun,

Considérant que de ce fait un engagement contracté par la communauté de communes du Sud- Ouest Calaisis auprès de la communauté de communes des Trois-Pays d’un montant de 49.847,63 € relatif à la participation à l’école de musique intercommunale au titre de 2016 n’a pas pu être honoré avant le 31 décembre 2016,

Considérant qu’à défaut d’accord des parties, la répartition est fixée par arrêté préfectoral, pris dans un délai de six mois suivant la saisine de la préfète par une des parties,

Considérant que l’ensemble des biens, droits et obligations de la communauté de communes des Trois-Pays et de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis réduite aux communes de Bonningues-les-Calais, Escalles, Peuplingues, Pihen-les-Guînes et Saint-Tricat est transféré à la communauté de commune Pays d’Opale,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité,

 Décide de saisir Madame la Préfète du Pas-de-Calais en vue d’un principe de répartition patrimoniale et financière des éléments d’actif et du passif associé de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis entre la communauté de communes Pays d’Opale et les communes de Fréthun, Hames-Boucres, les Attaques et Nielles-les-Calais sur les bases suivantes :

. La restitution, conformément à l’article L 5211-25-1 du CGCT des biens mis à disposition de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis aux communes antérieurement compétentes pour réintégration dans leur patrimoine pour leur valeur nette comptable avec les adjonctions effectuées sur ces biens liquidées sur les mêmes bases, ainsi que solde de l’encours de la dette transférée afférente à ces biens.

Sont concernés à ce titre les bassins de rétention implantés sur la commune de Fréthun pour une VNC au 31.12.2016 de 609.582 €.

. Une répartition des actifs et passifs immobilisés (bâtiments et mobilier associé, réseaux et ouvrages de génie civil, éléments mobiliers affectés) en fonction de leur implantation territoriale. Les biens localisés sur les communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques, Nielles-les-Calais seront transférés en pleine propriété aux communes concernées. Chaque arrêté fera l’objet d’un procès-verbal de remise et la valorisation des biens dans les comptes des communes concernées sera établie sur la base de l’état des comptes arrêté au 31.12.2016 et validé par le trésorier.

Sont concernés les biens figurant dans le tableau page suivante.

La dette étant intégralement affectée à l’Etablissement Médico-Social pour Adultes (EMSA) situé sur la commune de Fréthun, elle restera affectée à l’équipement et suivra le même sort que ce dernier à savoir un transfert à la commune de Fréthun, Le montant global de la dette au 31/12/2016 sera déterminé à partir de l’adoption des comptes de gestion tels qu’arrêtés au 31/12/2016 et validés par le Trésorier. L’Encours de la dette au 31/12/2016 est évalué comme suit : Emprunt construction : 1 280 547,86 € ; extinction de l’emprunt au 1/11/2024 Emprunt rénovation : 195 739,24 € ; extinction de l’emprunt au 1/3/2025

Les subventions d’investissement et le FCTVA non perçus au 31/12/2016 au titre des biens territorialisés acquis en commun pouvant faire l’objet d’une répartition physique seront restituées à chacune des communes sortantes où les biens sont affectés et à la communauté de communes Pays d’Opale pour ce qui la concerne.

Les subventions de fonctionnement ayant trait à la gestion 2016 mais non enregistrées en recette dans les comptes de la communauté de communes du Sud-Ouest Calaisis au 31.12.2016 sont affectées à la communauté de communes Pays d’Opale.

Affectation par commune des biens territorialisés. Les biens implantés sur le territoire de la communauté de communes Pays d’Opale (totalisés ci-dessous « CCSOC ») lui sont transférés.

2017/22

Actifs nets (€) Valeur nette Projet Actifs bruts (€) comptable Répartition Bonningues-les-calais Culture 430 - Défibrillateur 1 662 499 Erosion 648 606 631 337 Médiathèque 3 269 172 3 268 745 Micro signalétique 11 267 11 267 Urbanisme 24 276 20 220 Escalles Défibrillateur 1 662 499 Erosion 554 180 523 317 Micro signalétique 6 396 6 396 Tourisme 15 420 10 212 Urbanisme 52 171 49 090 Peuplingues Dechéterie 30 733 30 733 Défibrillateur 1 662 499 Erosion 330 205 319 989 Maison de santé projet 39 468 39 468 Micro signalétique 11 565 11 565 Tourisme 60 061 - Urbanisme 18 959 15 878 Pihen-les-Guines Armoire NRAZO ADSL 119 514 87 222 Défibrillateur 1 662 499 Erosion 400 181 392 178 Micro signalétique 10 450 10 450 Urbanisme 31 390 25 525 Saint-Tricat Défibrillateur 1 662 499 Erosion 284 360 254 747 Micro signalétique 10 585 10 585 Tourisme 22 999 22 999 Urbanisme 22 489 16 624 Total CCSOC 5 983 190 5 761 041 38.6% Fréthun Défibrillateur 1 662 499 EMSA 3 016 524 3 016 524 Erosion 114 367 108 724 Giratoire ZA Btriquéterie 487 880 487 880 Micro signalétique 11 830 11 830 Structure petite enfance 1 921 268 1 873 279 Urbanisme 36 680 30 211 ZAC Briquéterie 903 778 878 297 Hames-Boucres Défibrillateur 1 662 499 Erosion 572 283 545 752 Micro signalétique 19 843 19 843 Tourisme 7 622 - Urbanisme 27 427 20 404 Les Attaques Armoire NRAZO ADSL 119 514 87 222 Bâtiment éco Socca 362 393 362 393 Défibrillateur 1 662 499 Micro signalétique 23 631 22 741 Structure petite enfance 1 619 063 1 580 669 Urbanisme 62 411 56 217 Nielles-les-Calais Défibrillateur 1 662 499 Erosion 23 939 20 577 Micro signalétique 4 974 4 974 Urbanisme 20 773 16 100 Total 4 communes 9 362 850 9 145 632 61.4% Total général 15 346 040 14 906 673

. Un principe de répartition des biens non territorialisés (actif et passif associé) en fonction d’une clé de répartition arrêtée à 60% à répartir entre les 4 communes de Fréthun, Hames- Boucres, les Attaques et Nielles-les-Calais et 40% restant propriété de la communauté de communes Pays d’Opale. Cette répartition ne saurait toutefois être opérée qu’une fois que la créance d’un montant de 190.126,74 € de la communauté de communes du Sud-Ouest- Calaisis transférée à la communauté de communes Pays d’Opale sur la commune de Fréthun aura été honorée. Dans l’attente, l’intégralité de ces biens est réputé affecté à la communauté de communes Pays d’Opale.

Sont concernés les biens figurant dans le tableau suivant :

Projet Actifs bruts (€) Actifs nets (€) Siège Administration Générale 63 917 36 756 (non térritorialisé) Apprentissage musique 38 572 3 615 CLSH 38 208 10 847 Culture 6 325 1 268 Dev éco 2 483 2 010 Erosion 2 751 - Informatique 66 840 15 812 Matériel manifestation 309 708 84 792 Outillage 50 943 43 517 Petite enfance RAM 17 811 1 647 Téléphonie 3 630 3 095 Tourisme 357 - Urbanisme 51 191 43 400 Véhicules 150 208 36 304 Total général 802 944 283 065

Quand la créance susvisée sera honorée, chaque catégorie de biens sera répartie selon le ratio susvisé entre la communauté de communes Pays d’Opale pour 40% et les 4 communes susvisées pour 60% sur la base des actifs nets. Les différentiels de valeur d’actifs attribués au regard de l’indivisibilité de certains biens feront l’objet de soultes compensatoires entre les parties. La valeur nette comptable des biens est arrêtée au 31.12.2016 et c’est celle qui présidera aux modalités de calculs de la répartition.

. La trésorerie de la communauté de communes du Sud-Ouest Calaisis arrêtée au 31.12.2016 est transférée à la communauté de communes Pays d’Opale.

Question n°26 : - VIE INSTITUTIONNELLE Règlement intérieur

Rapporteur : - Marc MEDINE

Monsieur Berly demande si chaque conseiller communautaire continuera de disposer d’un accès intranet. Sur invitation du Président, Madame Prud’homme, DGA, explique que l’ensemble du système est en cours de reconfiguration à l’échelle de la nouvelle intercommunalité et qu’il sera prochainement proposé aux élus qui le désireront une dématérialisation complète des échanges des dossiers de conseils communautaires. Dans l’attente toutefois, les systèmes de transfert de fichiers traditionnels continuent d’être utilisés.

En vertu de l’article L5211-1 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT), les dispositions de l’article L 2121-8 dudit code sont pleinement applicables aux Etablissements Publics de Coopération Intercommunale comprenant au moins une commune de 3.500 habitants et plus.

De ce fait, un règlement intérieur doit être établi par la Communauté de Communes Pays d’Opale dans les six mois qui suivent l’installation du Conseil,

Il est fixé librement par l'assemblée qui peut se donner des règles propres de fonctionnement interne mais doivent y figurer obligatoirement :

2017/23

 La fréquence ainsi que les règles de présentation et d'examen des questions orales ayant trait aux affaires de la communauté posées par les Conseillers Communautaires, selon l'article L.2121-19 du CGCT ;

 Les conditions de consultation par les Conseillers Communautaires du projet de contrat de service public ou de marché accompagné de l'ensemble des pièces, selon l'article L.2121-12 du CGCT ;

 La procédure fixant le déroulement du débat sur les orientations budgétaires, selon l'article L.2312-1 du CGCT.

En aucun cas le règlement intérieur ne peut modifier des dispositions légales ou réglementaires ou ajouter des règles qui relèvent de ces dernières. Il doit se contenter d'apporter quelques dispositions pratiques sur les modalités d'application des dispositions légales.

Selon l'article L.2121-8 du CGCT, le règlement intérieur peut être déféré devant le tribunal administratif.

Je vous propose à nouveau d'adopter le règlement intérieur de la Communauté de Communes joint en annexe à la présente délibération ;

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question N°27 : - VIE INSTITUTIONNELLE Commissions Communautaires Formation et Composition

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président propose de conserver le système des 4 commissions « vie institutionnelle », « aménagement », « environnement » et « vie sociale » en vigueur à la CCT-P depuis 2 ans et qui a fait ses preuves car il favorise la transversalité et garantit le bon niveau d’information de chacun sur les affaires en cours avec une représentation de nombreux élus à chaque session des commissions.

Il propose également que la répartition des membres au sein des différentes commissions soit conforme à ce qu’elle était antérieurement au sein de la CCT-P sachant que les élus issus de la CCSOC ont fait valoir leurs souhaits lors du bureau. Toutefois, si un élu souhaite changer de commission ou en intégrer une nouvelle, la possibilité est bien sûr ouverte dans le respect d’un certain équilibre dans l’effectif des commissions.

Monsieur Leberre demande que les noms soient mentionnés dans le compte-rendu de manière à ce que chacun se remémore son affectation.

Monsieur Marot demande si la commission vie sociale intègre les centres de loisirs dans son champ de compétences.

Monsieur le Président répond favorablement dans les deux cas.

Monsieur Loquet précise qu’il siègera en commission vie sociale dès lors que seront abordés des sujets en lien avec sa délégation au développement touristique. Monsieur Kidad souhaite participer à la commission environnement.

Madame Franque souhaite que des comptes rendus de commission puissent être établis et propose, compte-tenu de la charge de travail connue des services, que ceux-ci puissent être rédigés par un membre de la commission. Elle souhaite également intégrer la commission aménagement et demande que les commissions deviennent davantage des instances de réflexion collective préalable aux délibérations du bureau et du conseil communautaire, plutôt que des espaces d’information sur des projets engagés sur lesquels il y a peu de place au débat car peu de marge de manœuvre.

Monsieur le Président se déclare favorable à la candidature de Madame Franque à la commission aménagement ; il confirme qu’il est souhaitable que des comptes rendus des réunions soient faits et demande aux techniciens communautaires de les rédiger. Concernant le rôle des commissions, il ne partage pas l’impression de Madame Franque sur le fait que les choses soient écrites d’avance; c’est à chaque commissaire de faire vivre les commissions et le débat y est libre sur les sujets portés à l’ordre du jour mais également sur les propositions qui peuvent y être formulées.

Monsieur le Président rappelle par ailleurs que chaque commission doit élire son Vice-Président de commission lors de sa séance d’installation.

Conformément à l'article L 5211-1 et L 2121-22 du Code Général des Collectivités Territoriales, le Conseil Communautaire peut former en son sein des Commissions chargées d'étudier différents sujets. Le Président est Président de droit de chaque commission.

Considérant que les commissions thématiques sont un élément essentiel de la gouvernance communautaire,

Considérant le besoin de communication et de transversalité entre les élus en vue d’une meilleure information et participation des conseillers communautaires aux orientations institutionnelles,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité fixe à 4 le nombre des commissions communautaires, détermine leurs intitulés et leurs champs de compétences comme suit :

 Aménagement :

- SCOT - Urbanisme PLUI / PLH - PPEANP - Droit des sols - Politique du logement - Suivi des programmes de travaux

 Environnement :

- GEMAPI - OM - SPANC - Eau / assainissement (préfiguration) - Actions en faveur de l’environnement

 Vie sociale :

- Enfance/jeunesse - Relais de services publics - Culture - Economie-Tourisme-Emploi-Insertion - Conférence intercommunale du logement  Vie institutionnelle :

- Finances - Communication - Personnel - Environnement institutionnel et juridique - Démocratie participative

L'assemblée, après avoir déterminé le nombre des Commissions, et leurs domaines d'intervention ainsi qu’il précède, décide que chaque Vice-Président délégué sera représenté dans 2 commissions thématiques et invite chaque conseiller communautaire à se positionner au sein d’une commission thématique. 2017/24

A l’issue des votes intervenus, l’assemblée communautaire désigne comme suit les membres composant les commissions thématiques communautaires :

 Aménagement : M. Médine, L. Loquet, T.Poussière,B. Demilly, J.C Vandenbergue, B.Havart, B. de Saint Just, C.Kidad , P.Gavois, B.Rivenet, C.Dupont , G. Berly , A.Condette, J.P Doye, G.Vasseur, T.Guilbert, C.Glorian, G.Cottrez, C.Bas-Boussemart, C.Roberval, E.Pierru, Y.Leberre, J.F Lacroix, JL. Marot, V.Franque

 Environnement : M.Médine, B. Demilly, T. Poussière, J.C Vandenbergue, P.Prévot, J.Dubois, C.Glorian, G.Cottrez, A. Péraldi, B.Marcq, Y.Leberre, B. de Saint Just, P.Gavois, D.Darcheville, B.Rivenet, J.P Doye, T.Vasseur, T.Terlutte, J.L Marot, J.F Lacroix, G.Berly, C.Dupont, C Kidad

 Vie sociale : M.Médine, Y. Lefebvre, J.Dubois,E. Buy, P.Prevot, N. Telliez, N.Merlen, C.Spriet, V.Franque, E.Pierru, D.Darcheville, M.A. Rohart, L.Charpentier, S.Bonnière, C.Kidad, C.Andrieu, A.Decaestecker, E.Houdayer, D.Boulogne, F.Delabasserue, F.Le Gall, J.L Marot, L.Loquet

 Vie institutionnelle : M.Médine, L.Loquet, E.Buy, Y.Lefebvre , B.Havart, N.Telliez, L.Charpentier, T.Guilbert, S.Bonnière, C. Bas Boussemart, C.Roberval, A.Decaestecker, E.Houdayer, D.Boulogne, G.Berly, A.Péraldi, C.Spriet, V.Franque, M.A Rohart, A.Condette, G.Vasseur, C.Dupont, F.Le Gall

Question n°28 : - VIE INSTITUTIONNELLE Création de la commission locale d’évaluation des transferts de charges

Rapporteur : - Madame Brigitte HAVART

Monsieur le Président précise qu’il était mentionné dans le document préparatoire une date limite pour les communes qui souhaiteraient désigner un autre élu que le maire; Suite à la sollicitation d’un élu, il propose de retirer cette date limite afin que les communes puissent disposer durablement de cette faculté.

Madame Charpentier demande quelle sont les fonctions de la CLETC.

Monsieur le Président répond qu’elle doit réglementairement être créée pour étudier et émettre un avis sur les transferts de charges et financiers intervenant entre les communes et l’intercommunalité ; elle est ainsi saisie sur les transferts de compétences et les attributions de compensation.

Monsieur Berly demande si une réunion prochaine est prévue et si des changements sont attendus.

Monsieur le Président répond que la CLETC se réunira effectivement dans le cadre de la préparation budgétaire et que les relations financières avec les communes s’inscrivent dans les principes du pacte financier local.

Vu l’article 1609 nonies C du Code Général des Impôts et notamment son IV qui stipule qu’il est créé entre l’établissement public de coopération intercommunale soumis aux dispositions de l’article 1379 o Bis (fiscalité professionnelle unique), et les communes membres une commission locale chargée d’évaluer les transferts de charges. Cette commission est créée par l’organe délibérant de l’établissement public qui en détermine la composition à la majorité des deux tiers. Elle est composée de membres des conseils municipaux des communes concernées; chaque conseil municipal dispose d’au moins un représentant.

La commission élit son président et un vice-président parmi ses membres. Le président convoque la commission et détermine son ordre du jour; il en préside les séances. En cas d’absence ou d’empêchement, il est remplacé par le vice-président.

La commission peut faire appel, pour l’exercice de sa mission, à des experts. Elle rend ses conclusions l’année de l’adoption de la cotisation foncière des entreprises unique par l’EPCI et lors de chaque transfert de charges ultérieur.

Cette évaluation est déterminée à la date de leur transfert par délibérations concordantes de la majorité qualifiée des conseils municipaux prévue au 1er alinéa du II de l’article L 5211-5 du code général des collectivités territoriales, adoptées sur rapport de la commission locale d’évaluation des transferts de charges.

Considérant qu’il importe de déterminer la composition de la commission locale d’évaluation des transferts de charges avec un souci de cohérence et de représentativité des communes membres,

Le conseil communautaire, après en avoir délibéré, décide, à l’unanimité,

 que la composition de la commission locale d’évaluation des transferts de charges correspondra à 1 membre par commune et qu’à défaut de nomination par le conseil municipal d’un autre représentant que le maire dûment notifiée à la communauté de communes celui-ci sera le maire de la commune.

 que la commission d’évaluation des transferts de charges élira son président et un vice- président parmi ses membres lors de sa première séance.

 que la commission d’évaluation des transferts de charges répondra au formalisme suivant :

 Délai de convocation : 5 jours francs  Quorum : 50% des membres  Vote à la majorité simple  Note de synthèse préalable jointe à la convocation avec l’ordre du jour

Question N°29 : - VIE INSTITUTIONNELLE Election de la Commission d’appels d’offres

Rapporteur : - Monsieur Marc Médine

Vu l’ordonnance n°2015-899 du 23 juillet 2015 relative aux marchés publics,

Vu le décret n°2016-360 du 25 mars 2016 relatif aux marchés publics,

Considérant que l’article 102 de l’ordonnance n°2015-899 du 25 juillet 2015 a introduit, dans le code général des collectivités territoriales, un nouvel article L 1414-2 qui dispose que « pour les marchés publics dont la valeur estimée hors taxe est égale ou supérieure aux seuils européens mentionnés à l’article 42 de l’ordonnance susmentionnée, le titulaire est choisi par une commission d’appel d’offres composée conformément aux dispositions de l’article L 1411-5 du CGCT».

Considérant que l’article L 1411-5 du CGCT prévoit que la commission d’appel d’offres comprend, outre le Président, 5 membres titulaires et 5 membres suppléants et que ses membres sont élus au scrutin de liste à la représentation proportionnelle au plus fort reste, sans panachage ni vote préférentiel.

Considérant que les nouveaux textes ne comportent pas de dispositions spécifiques au fonctionnement de la CAO et qu’il appartient donc de mettre en place un règlement intérieur de cette commission,

Vu la proposition de règlement intérieur de la commission d’appel d’offres communautaire ci- annexée

Vu la proposition de liste suivante de la part du Président,

2017/25

Titulaires Suppléants

Marc MEDINE

- Eric HOUDAYER - Yves LEFEBVRE - Clothilde ROBERVAL - Franck DELABASSERUE - Pierre PREVOST - Jean-Pierre DOYE - Laurence CHARPENTIER - Céline BAS BOUSSEMART - Jean Claude VANDENBERGUE - Jean-François LACROIX

Le conseil communautaire décide de procéder à l’élection des membres titulaires et des membres suppléants de la commission d’appel d’offres.

Après en avoir délibéré,

 Le Conseil Communautaire par 47 voix pour, élit les candidats présentés, membres de la commission d’appel d’offres.

 Le conseil communautaire, à l’unanimité, approuve le règlement intérieur de la commission d’appel d’offres ci-annexé.

Question N°30 : - VIE INSTITUTIONNELLE Election de la commission de délégation de services publics

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Conformément aux dispositions de l’article L 1411-5 du Code Général des Collectivités Territoriales, les collectivités locales peuvent confier la gestion d’un service public dont elles ont la responsabilité à un délégataire public ou privé au moyen d’un contrat de délégation de service.

La Commission de Délégation de Service Public intervient à plusieurs étapes :

 Ouverture des plis contenant les candidatures et établissements de la liste des candidats admis à présenter une offre,

 Ouverture des plis contenant des offres et avis sur celles-ci,

 Avis sur les projets d’avenants entraînant sur une augmentation supérieure à 5% du montant initial (L.1411-6 du CGCT).

Après décision sur le principe de la délégation, il est procédé à une publicité et les plis sont ouverts par une commission composée de 5 membres titulaires et 5 membres suppléants en plus du président, élus au scrutin de liste à la représentation proportionnelle au plus fort reste, sans panachage ni vote préférentiel.

Le conseil communautaire décide de procéder à l’élection des membres titulaires et des membres suppléants de la commission de délégation des services publics.

Le président propose la liste suivante :

Titulaires Suppléants Marc MEDINE

- Pierre PREVOST - Antoine PERALDI - Jean-François LACROIX - Pascal GAVOIS - Eric BUY - Jean-Luc MAROT - Claude KIDAD - Véronique FRANQUE - Brigitte HAVART - Jacky DUBOIS

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire par 47 voix pour, élit les candidats présentés, membres de la commission de Délégation de Services publics.

Question N°31 : - VIE INSTITUTIONNELLE Désignation d’un représentant au sein du conseil d’administration des collèges l’Europe à Ardres, les 4 Vents à Guînes et Jean- Rostand à Licques

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

En application du décret n°85-924 du 30 août 1985 modifié relatif aux établissements publics locaux d’enseignement, un représentant est appelé à siéger au sein du conseil d’administration des collèges.

Considérant la nécessité de désigner un représentant de la Communauté de Communes des Trois-Pays au sein des conseils d’administration, je vous propose :

- collège de l’Europe à Ardres : Sylvie BONNIERE - collège les 4 Vents à Guînes : Daniel DARCHEVILLE - collège Jean-Rostand à Licques : Marie-Andrée ROHART

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question n°32 : - VIE INSTITUTIONNELLE Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale : Désignation de quatre délégués pour siéger au comité syndical Désignation de personne qualifiée pour siéger au conseil de développement durable.

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président explique que la réforme engagée des statuts du PMCO pourrait coûter un siège à la communauté Pays d’Opale qui hérite à ce jour des deux sièges de la CCT-P et des deux sièges de la CCSOC au sein de cette instance et que dans ce cas ce serait le dernier élu sur la liste proposée, à savoir Monsieur Marot, qui abandonnerait son siège.

Monsieur de Saint-Just demande ce qu’est le pôle métropolitain et ce qu’il fait.

Monsieur Loquet répond que le PMCO est un syndicat mixte regroupant les EPCI de la côte d’Opale de la frontière belge à l’Audomarois et au Montreuillois pour mettre en œuvre des actions ou engager des réflexions et études à l’échelle de tout le territoire sur des problématiques partagées ; il cite en exemple la submersion marine, le schéma d’aires d’accueil des gens du voyage…

Monsieur Peraldi exprime que c’est un lieu d’échanges des élus de tout le littoral autour de buffets qui sont excellents.

Monsieur Le Berre remarque qu’il convient également de désigner une personne qualifiée pour participer au conseil de développement durable.

Le Conseil Communautaire,

Le Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale (PMCO) a pour objet de mener à bien des actions d’observation, d’élaboration de documents structurants, de coordination, de mutualisation et de pilotage entre les EPCI membres,

Le PMCO était composé jusqu’au 31 décembre 2016 des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale suivants :

- La communauté urbaine de Dunkerque - La communauté d’agglomération de Saint-Omer - La Communauté d’Agglomération du Boulonnais, - La communauté d’agglomération du Calaisis 2017/26

- La communauté de communes de la région d’Audruicq - La Communauté de Communes de la Terre des 2 Caps, - La communauté de communes Opale Sud - La Communauté de Communes des Trois-Pays, - La communauté de communes Mer et Terres d’Opale - La Communauté de Communes de Desvres-Samer - La communauté de communes du pays de Lumbres - La Communauté de Communes du Montreuillois - La communauté de communes de la Morinie - La communauté de communes de Fauquembergues - La communauté de communes du Pays d’Aire

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Considérant la représentativité de la communauté de communes des Pays d’Opale au sein du comité syndical du SYMPAC correspond à la somme des représentativités antérieures des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest Calaisis,

Vu le tableau de représentation figurant à l’article 9 des statuts du Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale,

Vu l’article 6 des statuts du Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale, relatif au Conseil de Développement Durable, Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, décide :

. De nommer membres du comité syndical du Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale, représentants de la communauté de communes des Pays d’Opale, délégués titulaires au comité syndical du Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale

 M Marc MEDINE  M Ludovic LOQUET  M François Le GALL  M Jean-Luc MAROT

Désigne comme personne qualifiée pour siéger au conseil de développement durable du Pôle Métropolitain de la Côte d’Opale :

 M Pierre TAVERNE

Question N°33 : - VIE INSTITUTIONNELLE Syndicat Mixte du Pays du Calaisis (SYMPAC) Désignation de 11 délégués au Comité Syndical

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Le SYMPAC (Syndicat Mixte du Pays du Calaisis) a pour fonction de constituer un lieu de réflexions, d’analyses, d’échanges et de conception d’initiatives communes entre des EPCI à fiscalité propre du Calaisis et pour objet de développer des services à leur bénéfice dans les domaines de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire et de la politique de l’habitat. Le SYMPAC porte également l’ingénierie de la démarche Pays et peut assurer la maîtrise d’ouvrage d’actions d’intérêt de Pays.

Le SYMPAC était composé jusqu’au 31. Décembre 2016 des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale suivants :

- Communauté d’Agglomération Cap Calaisis Terre d’Opale - Communauté de communes de la Région d’Audruicq - Communauté de Communes des Trois-Pays, - Communauté de Communes du Sud-Ouest du Calaisis.

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Considérant que la représentativité de la communauté de communes des Pays d’Opale au sein du comité syndical du SYMPAC correspond à la somme des représentativités antérieures des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest Calaisis,

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, décide :

. De nommer délégués titulaires au comité syndical du SYMPAC :

 Marc MEDINE  Ludovic LOQUET  Thierry POUSSIERE  Pierre PREVOST  Bernard RIVENET  Antoine PERALDI  Guy VASSEUR  Bruno DEMILLY  Christian SALVARY  Jean-Luc MAROT  François Le GALL

2017/27

Question n°34 : - VIE INSTITUTIONNELLE - FINANCES Transferts des contrats

Rapporteur : Mme Brigitte HAVART

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu le CGCT et notamment ses articles L 5211-5, L 5211-17, L 5211-19 et L 5211-25-1

Vu l’arrêté préfectoral en date du 23 septembre 2016 portant fusion au 1er janvier 2017 des communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest-Calaisis à l’exception des communes de Fréthun, Hames-Boucres, Les Attaques et Nielles-les-Calais et périmètre du nouvel EPCI comprenant les communes de :

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant nom, siège et statuts de la communauté de communes « Pays d’Opale »

Considérant que :

 L’ensemble des biens, droits et obligations des EPCI préexistants sont transférés à la nouvelle communauté, de même que ceux attachés aux compétences nouvelles transférées par les communes.

 L’EPCI issu de la fusion est substitué de plein droit, pour l’exercice de ses compétences, aux anciens EPCI et, le cas échéant, aux communes incluses dans son périmètre dans toutes les délibérations et tous leurs actes.

 Les contrats sont exécutés dans les conditions antérieures jusqu’à leur échéance, sauf accord contraire des parties. Les cocontractants sont informés de la substitution de personne morale par l’EPCI issu de la fusion; la substitution de personne morale n’entraine aucun droit à résiliation ou à indemnisation pour le cocontractant.

 Il est ainsi possible de conserver plusieurs contrats relatifs à la gestion d’une même compétence afin de permettre, à terme, l’harmonisation des contrats.

 La fusion est effectuée à titre gratuit et ne donne lieu au paiement d’aucune indemnité, droit, taxe, salaire ou honoraire.

Le conseil communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité,

. Mandate Monsieur le Président pour signer tout avenant de transfert à intervenir afin de traiter les conséquences liées au changement de personne publique pour les contractants

Question n°35 : - FINANCES Avances sur subventions 2017 au Centre Intercommunal d’Action Sociale Pays d’Opale et à l’Office du Tourisme des Trois-Pays dit « Pays d’Opale »

Rapporteur : - Madame Brigitte HAVART

Vu le Code Général des collectivités Territoriales,

Vu la loi n°82-213 du 02 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des Départements et des Régions,

Considérant les besoins de trésorerie déterminés par le centre intercommunal d’action sociale Pays d’Opale et l’Office de Tourisme des Trois-Pays dit « Pays d’Opale » dans l’attente du vote du budget primitif 2017,

 Je vous propose de verser une avance sur la subvention de fonctionnement de l’exercice 2017 au CIAS Pays d’Opale correspondant à 50 % de la subvention versée en 2016 et ce, jusqu’au vote du budget primitif communautaire.

 Je vous propose de verser une avance sur la subvention de fonctionnement de l’exercice 2017 à l’Office de Tourisme des Trois-Pays dit « Pays d’Opale » soit 74 000 € et ce, jusqu’au vote du budget primitif communautaire.

Le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur et précise que les crédits correspondants seront inscrits au budget primitif de l’exercice 2017.

Question n°36 : - VIE INSTITUTIONNELLE - FINANCES Autorisation d’engagement des dépenses d’investissement 2017

Rapporteur : Brigitte HAVART

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant nom, siège et statuts de la communauté de communes « Pays d’Opale »,

Vu la délibération n° 87 en date du 15 décembre 2016 du conseil de la communauté de communes des Trois-Pays portant autorisation d’engagement des dépenses d’investissement 2017 des budgets communautaires dans la limite du quart des crédits ouverts pour l’exercice 2016,

Considérant les crédits inscrits au titre de l’exercice 2016 au budget de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis,

Le conseil communautaire, à l’unanimité, décide de compléter la délibération n° 87 en date du 15 décembre 2016 de la communauté de communes des Trois-Pays comme suit :

2017/28

Budget général :

Article 2183 : Matériel de bureau et informatique : + 1.908 € Article 2313 : Constructions : + 15.000 €

Question n°37 : - VIE INSTITUTIONNELLE – PERSONNEL Création des emplois fonctionnels

Rapporteur : Monsieur Marc Médine

Vu le code général des collectivités territoriales,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale,

Vu le décret n°2001-1828 du 24 décembre 2007 modifié portant dispositions particulières à certains emplois administratifs de direction des collectivités territoriales et des établissements publics locaux assimilées ;

Vu le décret n°2001-1274 du 27 décembre 2001 modifié portant attribution d’une NBI aux fonctionnaires occupant certains emplois administratifs de direction

Vu la loi « Nouvelle Organisation territoriale de la République » en date du 07 août 2015, et plus particulièrement son article 114-VIII,

Vu le schéma départemental de la coopération intercommunale,

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes Pays d’Opale » ;

Le conseil communautaire, après avoir entendu le rapport du Vice-Président délégué, décide à l’unanimité,

. De créer un poste d’emploi fonctionnel de Directeur Général des Services d’EPCI à fiscalité propre catégorie 20.000 - 40.000 habitants à pourvoir en interne par voie de détachement après avis de la commission administrative paritaire et bénéficiera, en sus de son traitement indiciaire et du régime indemnitaire attaché à ses grades et fonctions, de la prime de responsabilité des administratifs de direction au taux de 5% et d’une NBI avec effet au 17 mars 2017.

. De créer deux postes d’emplois fonctionnels de Directeur Général Adjoint des Services d’EPCI à fiscalité propre catégorie 20.000 - 40.000 habitants à pourvoir en interne par voie de détachement après avis de la commission administrative paritaire et bénéficiera, en sus de son traitement indiciaire du régime indemnitaire attaché à ses grades et fonctions et d’une NBI avec effet au 17 mars 2017.

Question n°38 : - VIE INSTITUTIONNELLE – PERSONNEL Recrutement d’agents contractuels pour des besoins liés à un accroissement temporaire d’activité, à un accroissement saisonnier d’activité et au remplacement des fonctionnaires et des agents contractuels.

Rapporteur : Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président indique aux membres du conseil communautaire qu’en application des dispositions de l’article 3 de la loi n ° 84-53 du 26 janvier 1984, les collectivités territoriales peuvent recruter des agents contractuels sur des emplois non permanents pour des besoins liés à un accroissement temporaire d’activité et à un accroissement saisonnier d’activité. C’est ainsi que ces recrutements peuvent être effectués par contrat à durée déterminée de : 1. maximum douze mois, renouvellements compris, pendant une même période de dix-huit mois consécutif pour un accroissement temporaire d’activité,

2. maximum six mois, renouvellements compris, pendant une même période de douze mois consécutif pour un accroissement saisonnier d’activité.

Egalement, l’article 3-1 de la loi n° 84-53 précitée permet de recruter des agents contractuels sur des emplois permanents pour remplacer temporairement les fonctionnaires ou agents contractuels autorisés à travailler à temps partiel ou indisponibles en raison d’un congé annuel, maladie, maternité, parental, ……. Ce type de recrutement est opéré par contrats à durée déterminée et renouvelés, par décision expresse, dans la limite de la durée de l’absence du fonctionnaire ou de l’agent contractuel à remplacer. Ces contrats peuvent prendre effet avant la date de départ de l’agent.

Ainsi que le prévoit l’article 136 de la loi n° 84-53 précitée, la rémunération des agents contractuels est fixée selon les dispositions des deux premiers alinéas de l’article 20 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983. Ils perçoivent donc le traitement indiciaire, éventuellement le supplément familial de traitement, afférents aux emplois auxquels ils sont nommés et ils peuvent bénéficier du régime indemnitaire dans les conditions fixées par la délibération institutive pour ce type de personnel.

Après en avoir délibéré, le conseil communautaire à l’unanimité,  Valide les recrutements dans les conditions prévues par les articles 3 et 3-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 d’agents contractuels pour des besoins temporaires liés :  à un accroissement temporaire d’activité,  à un accroissement saisonnier d’activité,  au remplacement temporaire de fonctionnaires ou d’agents contractuels,  Charge Monsieur le Président de :  constater les besoins liés à un accroissement temporaire d’activité, à un accroissement saisonnier d’activité et au remplacement temporaire des fonctionnaires et des agents contractuels,  déterminer les niveaux de recrutement et de rémunération des agents contractuels recrutés selon la nature des fonctions concernées, leur expérience et leur profil,  procéder aux recrutements,  Autorise Monsieur le Président à signer les contrats nécessaires,  Précise que ces agents contractuels seront rémunérés selon les dispositions prévues par les deux premiers alinéas de l’article 20 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 :  le traitement indiciaire, et éventuellement le supplément familial de traitement, afférents aux emplois auxquels ils son nommés,  le régime indemnitaire dans les conditions fixées par la délibération n° 92 du 15 décembre 2016 pour les agents non titulaires,  Précise que dans le cas du remplacement d’un fonctionnaire ou d’un agent contractuel, le contrat pourra prendre effet avant le départ de l’agent remplacé,  Impute les dépenses correspondantes au chapitre 012.

2017/29

Question n°39 : - VIE INSTITUTIONNELLE – PERSONNEL Recrutement d’agents vacataires

Rapporteur : Monsieur Marc MEDINE

Vu le Code général des collectivités territoriales ;

Monsieur le Président indique aux membres du conseil communautaire que les collectivités territoriales et leurs établissements publics peuvent recruter des vacataires.

Monsieur le Président informe les membres du conseil communautaire que pour pouvoir recruter un vacataire, les trois conditions suivantes doivent être réunies :

- recrutement pour exécuter un acte déterminé, - recrutement discontinu dans le temps et répondant à un besoin ponctuel de l’établissement public, - rémunération attachée à l’acte.

Il est proposé aux membres du conseil communautaire de recruter des vacataires comme suit :

 1 médecin spécialiste vacataire au service petite enfance (visite d’entrée pour les nourrissons de moins de 4 mois ou présentant un handicap)

- sur une base de 16 h/an

- rémunéré sur la base d’un taux horaire d’un montant brut de 23 € de l’heure par référence au décret du 13 décembre 1978 et cette rémunération horaire est basée sur le montant d’une consultation de généraliste. Ce montant est revalorisé en cas d’augmentation du tarif conventionnel de la CPAM.

 1 intervenant extérieur pour effectuer les examens de fin de cycle de l’école de musique intercommunale Pays d’Opale (examens validés en présence d’un enseignant diplômé d’un conservatoire à rayonnement départemental)

- rémunéré sur la base du coût horaire de l’indice brut 433 correspondant au 1er échelon du grade de Professeur d’Enseignement Artistique et que les frais kilométriques seront basés sur l’indemnité kilométrique en vigueur.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question n°40 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Convention avec Pôle Emploi – Contrats aidés

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur de Saint-Just demande si la communauté a déjà recours à de tels contrats.

Monsieur le Président répond que les effectifs communautaires recensent actuellement 8 postes en CUI et aucun contrat d’avenir.

Depuis le 1er janvier 2010, le dispositif « contrat unique d'insertion » (CUI) est entré en vigueur. Créé par la loi du 1er décembre 2008 généralisant le revenu de solidarité active et réformant les politiques d'insertion, ce dispositif a pour objet de faciliter l'insertion professionnelle des personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles d'accès à l'emploi, en simplifiant l'architecture des contrats aidés. Dans le secteur non-marchand, le CUI prend la forme d'un contrat d'accompagnement dans l'emploi (CAE). Ces CAE sont proposés, prioritairement aux collectivités territoriales, afin de favoriser l'insertion sociale et professionnelle des personnes à la recherche d'un emploi dans des métiers offrant des débouchés dans le secteur non marchand. Ce dispositif permet aux établissements de recruter, après accord de Pôle Emploi ou de la Mission Locale et selon les critères déterminés ci-après, des agents en CUI-CAE :

- Les bénéficiaires doivent être des personnes inscrites à Pôle Emploi et n’ayant bénéficié d’aucun emploi régulier pendant au moins un an sur les 18 derniers mois sauf les jeunes demandeurs d’emploi inscrits à la mission Locale ou reconnus adultes handicapés qui sont dispensés de ce critère d’éligibilité ;

- Les agents sont recrutés habituellement pour un temps de travail hebdomadaire de 20 heures, ou selon l’arrêté préfectoral ;

- Pour tout recrutement, l’aide financière de l’Etat à la collectivité est fixée par l’arrêté préfectoral susnommé ;

- Par ailleurs, pour les personnes non titulaires du BAC, le contrat d’avenir permet l’embauche en contrat aidé pour 3 ans selon un arrêté préfectoral actualisé régulièrement ;

- Afin de renforcer les moyens du service public tout en participant à l’effort d’insertion de la population locale, il vous est proposé :

- d’acter la possibilité pour la Communauté de Communes Pays d’Opale de recourir à ces types d’emplois aidés ainsi que d’autres dispositifs qui viendraient renforcer ou compléter ceux-ci

- d’autoriser Monsieur le Président à signer avec Pôle Emploi et les partenaires les conventions correspondantes.

Question n°41 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Paiement des heures complémentaires et supplémentaires au personnel en contrats aidés

Rapporteur : Monsieur Marc Médine

Vu le code du travail et notamment ses articles L 5134-19-1 et suivants et R 5134-14 et suivants,

Vu la circulaire interministérielle DGEFP n°2009-42 du 05 novembre 2009 relative à l’entrée en vigueur du contrat unique d’insertion,

Vu l’autorisation de recours aux CUI et contrats d’avenir délibérée par l’assemblée communautaire et les recrutements opérés au niveau de la maison de services au public, du pôle petite enfance et du pôle technique,

Vu la possibilité de rémunérer des heures complémentaires ou supplémentaires au-delà de la quotité prévue dans le contrat et la convention individuelle de financement,

Considérant le principe général de récupération des heures complémentaires ou supplémentaires effectuées par le personnel communautaire,

Considérant toutefois que des circonstances exceptionnelles peuvent justifier le paiement d’heures complémentaires ou supplémentaires aux agents communautaires employés sous le régime CUI- CAE au motif d’absences durables de collègues de travail à remplacer ou de pic d’activité imprévu,

Monsieur le Président demande au conseil communautaire de se prononcer sur la possibilité de paiement d’heures complémentaires et supplémentaires au bénéfice des titulaires d’un contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi, en précisant que pour les agents à temps non complet le nombre d’heures complémentaires effectuées ne peut conduire au dépassement de 35 heures par semaine. Les heures complémentaires ainsi effectuées seront rémunérées sur la base du traitement habituel de l’agent.

2017/30

Au-delà de 35 heures hebdomadaires les 8 premières heures supplémentaires sont majorées de 25 % puis de 50%.

Après délibération le conseil communautaire décide à l’unanimité,

 D’autoriser le paiement des heures complémentaires et supplémentaires au personnel employé en contrat aidé dans les conditions citées précédemment,

 D’autoriser le président à signer les avenants correspondants aux contrats de travail.

Question n°42 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Prise en charge de frais de transport et de mission

Rapporteur : - Marc MEDINE

Vu le décret n°2007-450 du 25 mars 2007 qui fixe la liste des pièces justificatives que l'ordonnateur doit transmettre au comptable pour permettre le paiement des dépenses publiques locales,

Considérant que ledit décret requiert dans son article 218 une délibération de l’organe délibérant autorisant d'une manière générale la prise en charge des frais de transport, des agents partant en mission, en formation ou lors de l'admission d'un agent à un concours, sur production d’un ordre de mission indiquant notamment l'objet du déplacement, la classe autorisée et le moyen de transport utilisé pour autoriser la prise en charge des frais de transport et des repas des agents partant en formation ou en déplacement,

Après en avoir délibéré, le conseil communautaire à l’unanimité,

 d’autoriser d’une manière générale la prise en charge des frais de transport et de restauration du personnel générés à l’occasion de déplacements professionnels, d’actions de formation, de préparation de concours et examens professionnels et de présentation aux épreuves écrites ou orales, sur production d’un ordre de mission préalable et sous les conditions suivantes :

. Production des pièces justifiant le déplacement (ordre de mission, convocation)

. La prise en charge des frais de transport est opérée sur la base du forfait kilométrique si utilisation du véhicule personnel ou sur production de justificatifs si transport en commun (base tarif 2ème classe), péages d’autoroute et parking.

. La prise en charge des repas est opérée selon le barème forfaitaire.

. La prise en charge des frais de formation des agents partant en formation est assurée dès lors que ces frais ne sont pas pris en charge par l’organisme de formation ou d’accueil. Pour les déplacements en véhicules personnels, celle-ci est opérée selon les mêmes conditions que celles en vigueur au CNFPT.

. La prise en charge des frais de transport pour l’utilisation du véhicule personnel et de restauration générés par les préparations de concours et examens professionnels est limitée à une session par agent et par grade d’avancement et mise en œuvre selon le barème du CNFPT.

. La prise en charge des frais de transport et de restauration générés par les épreuves des concours et examens professionnels est limitée à un concours ou examen par an (admissibilité et admission) et mise en œuvre selon le barème du CNFPT pour l’usage du véhicule personnel.

. Pour les déplacements professionnels, la règle est d’utiliser prioritairement dans l’ordre les transports publics et les véhicules du parc communautaires, le véhicule personnel. Pour la formation et la préparation aux concours, l’ordre est d’utiliser les transports publics, le véhicule personnel et les véhicules communautaires.

Question n°43 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Indemnité allouée aux régisseurs d’avances et de recettes

Rapporteur : - Marc MEDINE

Monsieur le Président précise qu’il y a actuellement 12 régies d’avance et / ou de recettes en vigueur au sein des services communautaires ; il cite par exemple l’école de musique, la petite enfance, le taxi vert… Il précise que l’indemnité de régie maximale au vu des montants d’encaisse est de 120 € par an.

Vu l’arrêté du 03 septembre 2001 relatif au taux d’indemnité de responsabilité susceptible d’être allouée aux régisseurs d’avances et aux régisseurs de recettes relevant des organismes publics et montant du cautionnement imposé à ces agents,

Vu l’instruction codificatrice du 21 avril 2006 relative aux régies de recettes et d’avances des collectivités et des établissements publics locaux,

Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité, décide,

 D’allouer une indemnité de responsabilité aux régisseurs de régies aux taux maximum en vertu de l’arrêté du 03 septembre 2001.

 Charge Monsieur le Président d’arrêter le montant individuel annuel à verser aux agents concernés.

Question n°44 : - VIE INSTITUTIONNELLE – PERSONNEL Création d’un Comité Technique commun

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

L’article 32 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 prévoit qu’un Comité Technique est créé dans chaque collectivité ou établissement employant au moins cinquante agents, ainsi qu’auprès de chaque centre de gestion pour les collectivités et établissements affiliés employant moins de cinquante agents, Il peut être décidé, par délibérations concordantes des organes délibérants de la Communauté de Communes « Pays d’Opale », de l’ensemble ou d’une partie de ses communes membres et/ou du CIAS de créer un Comité Technique commun aux agents de la Communauté de Communes des Pays d’Opale, des communes membres qui le souhaitent et/ou du CIAS à condition que l'effectif global concerné soit au moins égal à cinquante agents.

Considérant l’intérêt de disposer d’un Comité technique commun compétent pour les agents de la Communauté de Communes et du C.I.A.S Considérant que les effectifs des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit public et de droit privé (y compris les contrats aidés) estimés au 1er janvier 2017

EPCI: …104……agents CIAS: …10……..agents

Permettent la création d’un comité technique commun.

Le Président propose aux membres du Conseil Communautaire :

 La création d’un Comité technique commun compétent pour les agents de la Communauté de Communes « Pays d’Opale » et pour les agents du C.I.A.S. lors des élections professionnelles 2017

 De placer le Comité technique commun à la Communauté de Communes « Pays d’Opale »

Après en avoir délibéré, à l’unanimité, le Conseil communautaire décide :

2017/31

 La création d’un Comité technique commun pour les agents de la Communauté de Communes « Pays d’Opale » et du C.I.A.S « Pays d’Opale » ,

 De placer ce Comité technique commun auprès de la Communauté de Communes « Pays d’Opale »

 De fixer la répartition des sièges entre la Communauté de Communes Pays d’Opale et le CIAS Pays d’Opale à raison :

- 3 sièges pour la CCPO - 1 siège pour le CIAS

 D’inscrire au budget les crédits correspondants.

Question n°45 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Composition du Comité Technique

Rapporteur : - Monsieur Marc Médine

Le Président fait part aux membres du Conseil communautaire des conclusions de la consultation des organisations syndicales représentatives, et propose de fixer à 4 membres le nombre de représentants du personnel au sein du comité technique et de maintenir le paritarisme Considérant, Le décret n°85-565 du 30 mai 1985 modifié relatif aux comités techniques partiaires, Les effectifs de la Communauté de Communes « Pays d’Opale »arrêtés au 1er janvier 2017 à 104 agents et ceux du CIAS « Pays d’Opale » arrêtés au 1er janvier 2017 à 10 agents  L’avis des organisations syndicales consultées sur cette question, Après en avoir délibéré, le conseil communautaire, à l’unanimité, Décide,  De fixer le nombre des membres du comité technique à quatre représentants titulaires du personnel (et quatre représentants suppléants) et quatre représentants élus titulaires de la Communauté de Communes et quatre représentants suppléants. La présente délibération sera communiquée aux organisations syndicales.

Question n°46 : - PERSONNEL COMMUNAUTAIRE Création d’un Comité d’Hygiène, de sécurité et des conditions de travail

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Le Président précise aux membres du Conseil Communautaire que les articles 32 et 33-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 prévoient qu’un CHSCT est créé dans chaque collectivité ou établissement employant au moins cinquante agents ainsi qu’auprès de chaque centre de gestion pour les collectivités et établissements affiliés employant moins de cinquante agents ;

Il peut être décidé, par délibérations concordantes des organes délibérants d’une communauté de communes, communauté d’agglomération ou de la communauté urbaine et de l’ensemble ou d’une partie des communes adhérentes à cette communauté, de créer un CHSCT compétent pour tous les agents desdites collectivités à condition que l’effectif global concerné soit au moins égal à cinquante agents.

Considérant l’intérêt de disposer d’un CHSCT unique compétent pour les agents de la CCPO et du CIAS Pays d’Opale,

Considérant que les effectifs des agents titulaires, stagiaires, non titulaires et contrats aidés au 1er janvier 2017 :

- La CCPO : 104 agents, - Le CIAS Pays d’Opale : 10 agents

Permettent la création d’un CHSCT.

Le Président propose aux membres du Conseil Communautaire la création d’un CHSCT unique compétent pour les agents de la communauté de communes, ainsi que pour les agents du CIAS « Pays d’Opale » lors des élections professionnelles 2017.

Le Conseil Communautaire, après avoir délibéré, décide :

 La création d’un CHSCT unique entre la communauté de communes Pays d’Opale et le CIAS Pays d’Opale

 De fixer le CHSCT auprès de la communauté de communes Pays d’Opale

 De fixer la répartition des sièges entre la Communauté de Communes Pays d’Opale et le CIAS Pays d’Opale à raison :

- 3 sièges pour la CCPO - 1 siège pour le CIAS

Question n°47 : - PERSONNEL COMMUNAUTAIRE Composition du CHSCT

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Il est demandé si les élus représentant du CIAS le sont à ce niveau ou si ils figurent dans la liste dressée par le Président.

Monsieur Médine que le président de la communauté de communes est président de droit du CIAS ; dès lors il lui appartient de procéder par arrêté à la désignation de tous les élus.

Monsieur Kidad demande si la voix du président est prépondérante.

Interrogé par le président, le directeur des services répond que ce point sera vérifié ; il précise toutefois que ces instances consultatives ne sont dorénavant plus paritaires de droit mais qu’il est souhaité que celles-ci le restent à la CCPO dans l’esprit de ce qui avait été mis en place à la CCT-P.

Après vérification, ce point est du ressort du règlement intérieur du CHSCT ou du CT.

Le Conseil communautaire,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment ses articles 32,33 et 33-1,

Vu le décret n°85-565 du 30 mai 1985 relatif aux comités techniques des collectivités territoriales et de leurs établissements publics,

Vu le décret n° 85-603 du 10/06/1985 relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail ainsi qu’à la médecine professionnelle et préventive dans la FPT, articles 27, 28,30,31,32

Vu la loi 2010-751 du 5/07/2010 relative à la rénovation du dialogue social,

Considérant que l’effectif apprécié au 1/1/2017 est de 104 agents et justifie la création d’un CHSCT,

Considérant la consultation réalisée auprès des organisations syndicales, 2017/32

Considérant que l’effectif de la collectivité (agents titulaires et non titulaires) est compris entre 50 et 200 agents

Vu la nature des risques professionnels,

Après en avoir délibéré, à l’unanimité, le conseil communautaire,

1. FIXE, à 4, le nombre de représentants titulaires du personnel à 4 (et en nombre égal le nombre de représentants suppléants) au C.H.S.C.T.

2. DECIDE, le maintien du paritarisme numérique en fixant le nombre de représentants de la collectivité égal à celui des représentants du personnel titulaires et suppléants,

3. DECIDE, le recueil, par le C.H.S.C.T., de l’avis des représentants de la collectivité

Question N°48 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Comité National d’Action Sociale Désignation d’un délégué

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président invite le conseil communautaire à se prononcer sur la mise en place de prestations sociales pour le personnel de la communauté de communes Considérant les articles suivants : * Article 70 de la loi N° 2007-209 du 19 février 2007 relative à la fonction publique territoriale selon lequel : « l’assemblée délibérante de chaque collectivité territoriale ou le conseil d’administration d’un établissement public local détermine le type des actions et le montant des dépenses qu’il entend engager pour la réalisation des prestations prévues à l’article 9 de la loi N° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ainsi que les modalités de leur mise en œuvre ». * Article 71 de la loi N° 2007-209 du 19 février 2007 relative à la fonction publique territoriale qui vient compléter la liste des dépenses obligatoires fixée par le code général des collectivités territoriales en prévoyant que les dépenses afférentes aux prestations sociales ont un caractère obligatoire pour les communes, les conseils départementaux et les conseils régionaux. * Article 25 de la loi N° 2001-2 du 3 janvier 2001 relative à la résorption de l’emploi précaire et à la modernisation du recrutement dans la fonction publique ainsi qu’au temps de travail dans la fonction publique territoriale : les collectivités locales et leurs établissements publics peuvent confier à titre exclusif la gestion de tout ou partie des prestations dont bénéficient les agents à des organismes à but non lucratif ou à des associations nationales ou locales régies par la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association.

1. Après une analyse des différentes possibilités de mise en œuvre d’une Action Sociale de qualité et répondant aux différents besoins que les agents pourraient rencontrer, tout en contenant la dépense dans une limite compatible avec les possibilités du budget,

2. Après avoir fait part à l’assemblée de la proposition du Comité National d’Action Sociale pour le personnel des collectivités territoriales (CNAS), association loi 1901 à but non lucratif, créée le 28 juillet 1967, dont le siège est situé Immeuble Galaxie, 10 bis parc Ariane 1, CS 30406, 78284 Guyancourt Cedex.

En retenant que le CNAS est un organisme national qui a pour objet l’amélioration des conditions de vie des personnels de la fonction publique territoriale et de leurs familles. À cet effet, il propose à ses bénéficiaires un très large éventail de prestations : aides, secours, prêts sociaux, vacances, loisirs, culture, chèques réduction… (voir liste exhaustive fixée dans le règlement « les prestations modalités pratiques ») qu’il fait évoluer chaque année afin de répondre à leurs besoins et à leurs attentes. Monsieur le Président donne lecture à l’assemblée du Règlement « les prestations – modalités pratiques » du CNAS fixant les différentes prestations du CNAS, leurs conditions d’attribution et leurs montants.

3. Après en avoir délibéré et afin de satisfaire aux obligations légales fixées par les articles ci- avant, et de se doter d’un outil renforçant la reconnaissance des salariés et l’attractivité de la collectivité,

Le Conseil Communautaire, décide, à l’unanimité

 de mettre en place une Action Sociale en faveur du personnel en adhérant au CNAS à compter du 01/01/2017 et autorise Monsieur le Président à signer la convention d’adhésion au CNAS.

 Cette adhésion étant renouvelée annuellement par tacite reconduction, l’organe délibérant accepte de verser au CNAS une cotisation évolutive et correspondant au mode de calcul suivant : (nombre de bénéficiaires actifs et/ou retraités indiqués sur les listes) x (la cotisation par bénéficiaires actifs et/ou retraités)

de désigner Mme Nathalie TELLIEZ, membre de l’organe délibérant, en qualité de délégué élu notamment pour participer à l’assemblée départementale annuelle du CNAS.

Question n°49 : - VIE INSTITUTIONELLE - PERSONNEL Participation financière pour la complémentaire santé dans le cadre d’une procédure de labellisation

Rapporteur : - Monsieur Yves LEFEBVRE

Monsieur Marot demande s’il s’agit d’un contrat unique

Monsieur Lefebvre répond qu’il s’agit d’une participation sur la base de contrats individuels souscrits auprès d’organismes labellisés.

Le Conseil Communautaire,

Vu le code général des collectivités territoriales,

Vu la loi n°84-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale,

Vu le décret n°2011-1474 du 08 novembre 2011 relatif à la participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au financement de la protection complémentaire de leurs agents ;

Selon les dispositions de l’article 22 bis de la loi n°83-634 du 13 juillet 1983, les collectivités territoriales et leurs établissements publics peuvent contribuer au financement des garanties de protection sociale complémentaires auxquelles les agents qu’elles emploient souscrivent. La participation des personnes publiques est réservée aux contrats ou règlements garantissant la mise en œuvre des dispositifs de solidarité entre les bénéficiaires, actifs et retraités.

Sont éligibles à cette participation les contrats et règlements en matière de santé ou de prévoyance remplissant la condition de solidarité entre les bénéficiaires, actifs ou retraités, attestées par la délivrance d’un label dans les conditions prévues ou vérifiée dans le cadre d’une procédure de mise en concurrence.

Dans le domaine de la santé, la communauté de communes Pays d’Opale souhaite participer au financement des contrats et règlements labellisés auxquels les agents choisissent de souscrire.

Dans un but d’intérêt social, la collectivité souhaite moduler sa participation, en prenant en compte le revenu des agents et leur situation familiale.

Décide, après en avoir délibéré, à l’unanimité,

En application des critères retenus, le montant mensuel de la participation est fixé comme suit :

2017/33

 l’agent souscripteur et l’ayant droit travaillant dans la collectivité : 10 €  l’ayant droit et à concurrence de 3 enfants : 5 €  Majoration selon l’impôt compris entre : - de 0 à 1 000€ = 40 % (agent) 30 % (ayant droit) - de 1 001 à 1 800 € = 20 % (agent) 15 % (ayant droit) - de 1 801 et au-delà = 10 % (agent) 5 % (ayant droit)

Question n°50 : - VIE INSTITUTIONNELLE- PERSONNEL Participation financière pour la complémentaire prévoyance dans le cadre d’une procédure de labellisation

Rapporteur : - Monsieur Yves LEFEBVRE

Monsieur Le Gall demande si ces participations étaient antérieurement en vigueur à la CCT-P.

Monsieur Lefebvre le lui confirme

Monsieur Marot demande le coût annuel de ces prestations.

Sur invitation du Président, monsieur Duffy précise que le coût de cette mesure aura été en 2016 de 5.047,50 € à charge de la collectivité pour les protections complémentaires santé et prévoyance.

Le Conseil Communautaire,

Vu le code général des collectivités territoriales,

Vu la loi n°84-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale,

Dans le domaine de la prévoyance, la communauté de communes Pays d’Opale souhaite participer au financement des contrats et règlements labellisés auxquels les agents choisissent de souscrire.

Après en avoir délibéré, à l’unanimité, le conseil communautaire

 Décide que le montant mensuel de la participation par agent pour la garantie « incapacité » est fixé comme suit :

Base brute imposable (-IR/SFT) - 0 à 2 000 € = 6 €* - 2 001 à 2 500 € = 4 €* - 2 501 € + = 2 €*

* Le montant mensuel de la cotisation de l’agent doit-être au minimum le double du montant mensuel de la participation; à défaut, celui-ci sera ramené à la moitié du montant mensuel de cotisation.

Question n°51 : - VIE INSTITUTIONNELLE - PERSONNEL Convention avec le Centre de Gestion du Pas-de-Calais pour la réalisation de missions d’assistance, de conseil et d’inspection en santé et sécurité au travail

Rapporteur : - Marc Médine

Monsieur le Président précise que l’agent chargé des fonctions d’inspection a pour mission d’accompagner les collectivités et leurs agents chargés de la mise en œuvre des procédures de santé et sécurité au travail dans la réalisation de leurs missions au bénéfice de la protection de la santé des agents sur leurs lieux de travail.

Vu le code général des collectivités territoriales,

Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale, et notamment son article 26-1 relatif aux services pouvant être créés par les centres de gestion et mis à disposition des collectivités territoriales et de leurs établissements publics qui en font la demande,

Vu la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires,

Vu le décret n°85-643 du 26 juin 1985, relatif aux centres de gestion institués par la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 modifiée,

Vu l’accord des fonctionnaires concernés sur la nature des activités confiées et leurs conditions d’emploi telles qu’elles résultent de la présente convention,

Vu la délibération en date du 1er juillet 2010 par laquelle le conseil d’administration du centre de gestion du Pas-de-Calais crée le service, fixe les modalités d’intervention et adopte les termes de la convention de mise à disposition d’un Agent Chargé de la Fonction d’Inspection (ACFI),

Vu la délibération en date du 4 avril 2014 du Conseil d’Administration, élargissant le champ de compétences du service dans le but d’assister les collectivités et EPCI du département dans leurs démarches de prévention et d’évaluation des risques professionnels,

Vu les différents arrêtés du Président du Centre de Gestion nommant les Conseillers de Prévention et les Agents Chargés de la Fonction d’inspection (ACFI)

Vu la convention de mise à disposition de personnel pour la réalisation de missions d’assistance, de conseil et d’inspection en santé et sécurité au travail proposée par le Centre de Gestion du Pas-de- Calais,

Considérant les obligations en matière de santé et sécurité au travail, l’utilité de bénéficier de missions de conseil et d’assistance en la matière et le nécessaire recours aux services d’un Agent Chargé de la Fonction d’inspection (ACFI),

Après en avoir délibéré, Le Conseil Communautaire, à l’unanimité, décide

 De valider la convention ci-annexée à intervenir avec le Centre de Gestion du Pas-de-Calais

 Autorise le Président à signer ladite convention et à en faire application autant que de besoin tant pour les missions d’assistance et de conseil (« accompagnement des collectivités pour le développement de la prévention » et «diagnostic accessibilité des locaux professionnels »), que pour la mission d’inspection

2017/34

VIE SOCIALE

Question N°52 : - VIE SOCIALE - ECONOMIE Calaisis Initiative Désignation d’un représentant

Rapporteur : - Monsieur Pierre Prévost

L’association CALAISIS INITIATIVE a pour vocation d’aider les créateurs d’entreprises en les assistant dans leurs démarches et en leur accordant des prêts d’honneur sans intérêt ni garantie.

Véritable dispositif de soutien aux porteurs de projet d’activité exclusif au bassin d’emploi du Calaisis depuis 1991, de nombreux créateurs d’entreprise du territoire ont bénéficié de l’aide de cette association qui doit assurer le financement de ses charges de fonctionnement par ses propres moyens.

Les communautés de communes des Trois-Pays et du Sud-Ouest Calaisis étaient adhérentes à Calais Initiative.

Je propose à l’assemblée la candidature de M. Jacky DUBOIS

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question N°53 : - VIE SOCIALE – ECONOMIE Couveuse Littoral Opale Désignation du représentant

Rapporteur : - Monsieur Pierre PREVOST

La couveuse BGE Littoral Opale est une association d’aide à la création d’entreprises qui intervient sur les arrondissements de Calais, Boulogne sur mer et Montreuil sur mer. Elle permet aux candidats à la création d’entreprises de tester en grandeur réelle leurs projets, afin de vérifier leur viabilité.

Les communautés de communes des Trois-Pays et du sud-Ouest Calaisis adhéraient à cette structure qui bénéficie par ailleurs de fonds européens pour accompagner les candidats à la création d’entreprise.

Je propose que la communauté de communes « Pays d’opale » adhère à la couveuse d’entreprises BGE Littoral Opale et la candidature de Mme Laurence CHARPENTIER comme déléguée de la Communauté.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question n°54: - VIE SOCIALE – SERVICES DE PROXIMITE Mission Locale de Calais et Environs Désignation des délégués

Rapporteur : - Monsieur Jacky DUBOIS

La mission locale est une association régie par la loi 1901 dont le but est de promouvoir l'information, l'accueil et l'orientation de tous les jeunes du Calaisis de 16 à moins de 26 ans rencontrant des difficultés.

Vu la délibération du 16 juin 1999 par laquelle la Communauté de Communes des Trois-Pays a décidé d'adhérer à la Mission Locale de Calais et Environs.

Vu la délibération du 21 décembre 2016 par laquelle la Communauté de Communes du Sud-Ouest Calaisis a décidé d'adhérer à la Mission Locale de Calais et Environs.

Vu l’arrêté préfectoral en date du 21 décembre 2016 portant création de la « communauté de communes « Pays d’Opale » comprenant les communes de :

Considérant qu’il convient d'élire trois représentants communautaires au sein de cette structure.

Je vous propose les candidatures de Mme Laurence CHARPENTIER, M. Jacky DUBOIS et Monsieur François LE GALL comme délégués de la Communauté.

La contribution financière à cet organisme sera inscrite au budget.

Après en avoir délibéré, le Conseil communautaire à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

Question N°56 : - VIE SOCIALE - Enfance-jeunesse Tarification de la participation parentale à l’accueil intercommunal collectif à caractère éducatif de mineurs pour les sessions hiver et printemps 2017.

Rapporteur : Monsieur Jacky Dubois

Monsieur Dubois précise que la jauge maximale envisagée pour l’AICCEM est de 49 enfants.

Monsieur Berly s’étonne que cette action ne concerne que les 5 communes issues de la CCSOC et souhaiterait que cette compétence communautaire soit étendue à d’autres communes intéressées.

Monsieur le Président répond que les élus communautaires auront deux ans pour le décider s’agissant d’un niveau d’intérêt communautaire à délibérer sur une compétence facultative mais qu’il conviendra effectivement d’anticiper largement les choses et d’être, le cas échéant, prêts à en assumer les conséquences organisationnelles et financières. Il rappelle qu’il existe par ailleurs des centre de loisirs communaux qui fonctionnent bien et que pour l’heure la communauté de communes Pays d’Opale fait face à sa responsabilité d’assurer la continuité du service public dans le cadre de la fusion intervenue au 1er janvier sur une compétence qui était communautaire au niveau de la communauté de communes du Sud-Ouest-Calaisis.

Monsieur Berly considère qu’il s’agirait d’un beau projet intercommunal car il existe actuellement une forte diversité de services et de prix sur le territoire ; il considère par ailleurs que l’effet de la mutualisation serait bénéfique d’un point de vue organisationnel et financier.

Madame Franque déclare partager l’avis de Monsieur Berly et s’étonne de devoir valider des choses non réfléchies en amont.

Monsieur le Président répond que Madame Franque peut voter contre cette délibération si elle estime ne pas avoir été suffisamment informée en amont et qu’en ce qui le concerne il doit assurer la pérennité du service public dans des délais qui ne laissent pas de place à une discussion approfondie ; il déclare qu’il n’était malheureusement pas possible d’anticiper une compétence qui ne figurait pas dans celles de la CCT-P avant le 1er janvier et qu’en la matière, se poser plus de questions aurait abouti inévitablement à ce qu’il n’y ait pas de centre de loisirs en février sur les 5 communes issues de la CCSOC.

2017/35

Madame Franque déclare qu’elle ne s’opposera pas à la délibération mais qu’elle aurait souhaité disposer d’un historique pour mieux en appréhender la finalité.

Monsieur le Président rappelle qu’il est impossible pour tout sujet de mettre autour de la table l’ensemble des élus communautaires et qu’il est heureux que la communauté de communes ait été suffisamment réactive pour permettre de mettre le service à disposition des familles du territoire dès les vacances de février.

Monsieur Loquet rappelle qu’un groupe de travail s’est réuni en amont de la fusion mais que d’un point de vue réglementaire, il n’était pas possible de tout anticiper et qu’il aura donc fallu prendre des décisions dans l’urgence pour respecter au plus vite les termes de la fusion et organiser ce centre de loisirs intercommunal.

Monsieur le Président complète ce propos en appelant la commission vie sociale à se saisir du devenir de cette compétence en vue d’étudier les modalités d’une harmonisation dans le temps à l’échelle communautaire ; il rappelle que la réactivité dont elle fait preuve est à porter au crédit de la communauté de communes alors que certains l’attendaient sur ce sujet au regard des délais très brefs qui étaient impartis pour répondre aux obligations réglementaires.

Monsieur Marot rappelle que cette compétence qui était communautaire à la CCSOC se retrouve de par la loi dans les champs d’intervention de la CCPO pour les 5 ex-communes de la CCSOC et qu’en attendant de se poser la question légitime de son extension à tout ou partie du territoire communautaire, ce qui intéresse la population des 5 communes est de savoir si le centre de loisirs aura lieu lors des prochaines vacances de février. C’est la question à laquelle il est répondu ce jour.

Monsieur Le Gall précise que ce centre était multi-sites sur la CCSOC et que le transport était organisé ; au vu des délais très brefs d’organisation il est proposé de l’organiser à la journée sur un seul site avec garderie le matin mais sans fourniture de repas et sans transport. Une réunion publique est d’ailleurs prévue le 17 janvier en soirée à Bonningues-les-Calais pour communiquer les modalités d’organisation aux familles. En l’espèce, la CCPO gère l’urgence.

Monsieur Salvary déclare que dans le cadre d’une fusion il est logique et légitime d’exercer les compétences transférées et qu’il faudra réfléchir à élargir ce service à l’échelle de l’ensemble du territoire communautaire mais que la loi donne deux ans de réflexion bienvenus pour y parvenir.

Madame Franque accepte ce principe et regrette que le conseiller communautaire de base ne soit pas au courant des accords discutés dans les groupes de travail ; elle demande quel sera l’impact budgétaire de l’organisation de ce centre de loisirs.

Sur demande du président, le directeur des services précise que la communauté de communes dispose dans ses effectifs d’un agent en capacité d’assurer la direction du centre et que le recrutement de trois animateurs sera nécessaire sur la session. Concernant le matériel, celui-ci est issu de l’ex-CCSOC et les locaux sont mis à disposition par la commune de Bonningues-les-Calais pour la somme symbolique de 5€/enfant par session soit environ 250 €.

Monsieur Poussière remarque que les tarifs familles sont très bon marché.

Monsieur Dubois répond que les tarifs ont été calqués sur les tarifs antérieurement pratiqués au niveau de la CCSOC mais que ceux-ci devront être retravaillés en commission vie sociale dans la perspective des sessions ultérieures

Vu la délibération du 16 janvier 2017 portant création de l’accueil intercommunal collectif à caractère éducatif de mineurs, (ACCEM) de la Communauté de Communes Pays d’Opale.

Considérant dans un premier temps, qu’il est nécessaire de considérer le niveau des tarifs d’accueil de loisirs tels qu’ils étaient pratiqués précédemment au sein la Communauté de Communes du Sud- ouest du Calaisis sur les communes de Bonningues-les-Calais, Pihen-les-Guînes, Saint-Tricat, Peuplingues et Escalles

Considérant l’élargissement des périodes d’accueil de l’enfant à la journée sur les vacances d’hiver et de Printemps.

Vu le public visé (environ 50 enfants sur les 5 communes concernées inscrits les années précédentes),

Le conseil communautaire, après avoir entendu le rapport du Président, décide à l’unanimité, . De valider la participation parentale comme suit :

Vacances Hiver /Printemps 1er enfant Enfants suivants Session de 10 jours Tarifs CCPO (compte-tenu d’une priorité d’accès aux enfants issus des communes de 22 € 20 € Bonningues-les-Calais, Peuplingues, Saint-Tricat, Pihen-les-Guînes et Escalles). Tarifs Extérieurs à la CCPO 100 € 90 €

Les enfants des familles dont le quotient familial est ≤ 617 pourront faire valoir leurs droits à l’aide au temps libre (ATL) attribué par la CAF.

. D’offrir la possibilité aux usagers d’inscrire l’enfant à la semaine

. D’instaurer un forfait pour le péri-accueil du matin et du soir à 0,5€ par demi-heure entamée.

Question N°57 : - VIE SOCIALE - TOURISME Office de Tourisme Pays d’Opale Désignation de délégués

Rapporteur : - Monsieur Ludovic Loquet

Monsieur Lacroix demande s’il faut être délégué communautaire pour pouvoir être nommé au sein de l’organe délibérant de l’office de tourisme intercommunal par la communauté de communes.

Monsieur Loquet le lui confirme et explique que la seule modification proposée dans la représentation de la communauté de communes au sein du conseil d’administration de l’office de tourisme intercommunal est le remplacement de Monsieur Feys dont la loi NOTRe a abouti au retrait du conseil communautaire par Monsieur Lacroix, issu de la CCSOC.

L'office de tourisme assure les missions d'accueil et d'information des touristes, ainsi que la promotion touristique en cohérence avec le Comité Départemental et Régional du Tourisme; il doit assurer la coordination des interventions des différents partenaires.

A ces missions obligatoires, il peut être ajouté des missions optionnelles, telles par exemple l'élaboration de produits, l'animation des loisirs, l'organisation de fêtes, l'exploitation d'installations.

L'office de tourisme intercommunal dispose d'un organe délibérant dans lequel notre Communauté de Communes est représentée par 7 délégués désignés par la Communauté de Communes.

Sont candidats : MM, Mmes, - Ludovic LOQUET, Anne DECAESTECKER, Jean-François LACROIX, Christophe DUPONT, Bruno DEMILLY, Delphin BOULOGNE , André CONDETTE

Résultats : - votants : 47 voix - bulletins blancs et nuls : 0 voix - suffrages exprimés : 47 voix - majorité absolue : 24 voix

Ont obtenu : - obtenu :

- Ludovic LOQUET 47 voix 2017/36

- Anne DECAESTECKER 47 voix - Jean-François LACROIX 47 voix - Christophe DUPONT 47 voix - Bruno DEMILLY 47 voix - Delphin BOULOGNE 47 voix - André CONDETTE 47 voix

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire détermine la liste des délégués au conseil d’administration intercommunal comme suit :

MM, Mmes Ludovic LOQUET, Anne DECAESTECKER, Jean-François LACROIX, Christophe DUPONT, Bruno DEMILLY, Delphin BOULOGNE, André CONDETTE

Fait et délibéré, les jour, mois et an susdits.

Question n°58 : VIE SOCIALE- TOURISME Convention d’objectifs pluriannuelle avec l’office de tourisme des Trois-Pays dit « Pays d’Opale »

Rapporteur : - Monsieur Ludovic LOQUET

Le Conseil Communautaire des Trois-Pays par délibération du 23 novembre 2000 a confié à l’Office de Tourisme des Trois-Pays les missions d’accueil, d’information, d’animation et de promotion touristique de la Communauté de Communes des Trois-Pays. Par délibérations n°06 du 22 décembre 2009, n°50 en date du 18 octobre 2012, et n°86 du 8 octobre 2015, le conseil communautaire a confirmé son engagement en autorisant le Président à signer le renouvellement de la convention d’objectifs pluriannuelle entre la Communauté de Communes et l’Office de Tourisme des Trois-Pays.

Vu l’arrêté préfectoral du 21 décembre 2016 portant création de la communauté de communes « Pays d’Opale »,

Vu la nécessité d’assurer la promotion du tourisme sur l’ensemble du nouveau territoire communautaire,

Je vous propose de remettre en place le partenariat avec l'Office de Tourisme des Trois-Pays, dit « Pays d’Opale » pour l’accueil, l’information, l’animation et la promotion touristique du territoire, en autorisant le Président à signer la convention d’objectifs pluriannuelle ci-jointe, avec effet le 1er janvier 2017 et jusqu’au 31 décembre 2020.

Cette convention d’objectif pourra être amendée par voie d’avenants.

Après en avoir délibéré, le Conseil Communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

______Avant de clore la séance, Monsieur le Président redonne la parole à Monsieur Jacob, nouveau trésorier communautaire.

 Monsieur Jacob exprime sa satisfaction d’être arrivé de Normandie depuis Juillet dernier sur un territoire dynamique et son engagement, ainsi que celui de toute l’équipe de la trésorerie de Guînes aux côtés de la communauté de communes, dans le développement de ses projets et dans l’assurance d’une parfaite collaboration.

 Monsieur le président rappelle ensuite la mobilisation de nombreux élus dans les cérémonies de vœux puisque 25 communes sur 28 en organisent cette année ; il rappelle que ceux de la communauté de communes Pays d’opale se dérouleront le 31 janvier à la salle des fêtes de Guînes et annonce que dès les prochaines semaines, le secrétariat de la communauté de communes diffusera aux maires un tableur pour les inviter à se positionner sur les dates des vœux 2018 afin d’optimiser la coordination des jours et des heures de cérémonies pour permettre à un maximum de monde d’assister à un maximum de cérémonies de vœux.

 Monsieur Médine rappelle également les prochaines sessions du conseil communautaire prévues le 02 mars à Rodelinghem et le 23 mars à Pihen-les-Guînes.

L'ordre du jour étant épuisé et aucun Conseiller Communautaire ne demandant plus la parole, la séance est levée à 17h. Monsieur Médine invite l’assemblée au verre de l’amitié.