Le Commerce Équitable À L'épreuve De La Mode
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Le commerce équitable à l’épreuve de la mode : Le rôle de la critique dans la formation des marchés Vivien Blanchet To cite this version: Vivien Blanchet. Le commerce équitable à l’épreuve de la mode : Le rôle de la critique dans la formation des marchés. Gestion et management. Université Paris Dauphine - Paris IX, 2013. Français. NNT : 2013PA090070. tel-01018494 HAL Id: tel-01018494 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01018494 Submitted on 4 Jul 2014 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. Université Paris-Dauphine Dauphine Recherches en Management, DRM (UMR CNRS 7088) École doctorale de Dauphine Le commerce équitable à l’épreuve de la mode Le rôle de la critique dans la formation des marchés Thèse pour l’obtention du titre de docteur en sciences de gestion Présentée et soutenue publiquement le 25 novembre 2013 par Vivien Blanchet Jury : Mme Véronique PERRET, Professeure à l’Université Paris-Dauphine (Directrice de thèse) Mr. Franck AGGERI, Professeur à Mines ParisTech (Rapporteur) Mme Amina BÉJI-BÉCHEUR, Professeure à l’Université Paris-Est (Rapporteur) Mme Isabelle HUAULT, Professeure à l’Université Paris-Dauphine (Suffragant) Mr. Fabian MUNIESA, Maître de Recherche à Mines ParisTech (Suffragant) L’université n’entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans cette thèse : ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur. Sur proposition du Conseil de l’Edogest et sur celle du Conseil scientifique de l’Université Paris-Dauphine, le Conseil d’administration en date du 21 janvier 2008 a approuvé la suppression des mentions pour les thèses soutenues au sein d’Edogest, et ceci à compter du 1er janvier 2008. À Camille ― Imbécile ! criait-il à son image dans le miroir. Tu voulais écrire, tu essayais d’écrire. Qu’est-ce que tu avais donc dans le ventre ? Quelques notions enfantines, quelques sentiments encore imprécis, beaucoup de beauté mal digérée, une énorme ignorance, un cœur plein d’amour à en éclater, une ambition aussi grande que ton amour, que ton ignorance. Et tu voulais écrire ! mais tu commences seulement à acquérir en toi ce qu’il faut pour ça ! Tu voulais créer de la beauté ! et tu ne savais rien de ce qui fait la beauté ! Tu voulais parler de la vie, et tu ignorais tout ce qui fait l’essence même de la vie ! Tu voulais parler de l’univers et des problèmes de l’existence, quand l’univers n’était pour toi qu’un rébus chinois ! Mais courage, Martin, mon vieux ! Il y a de l’espoir, cette fois, bien que tu sois encore très ignorant. Un beau jour, avec de la chance, tu sauras à peu près tout ce qu’on peut savoir. Ce jour-là, tu écriras. J. London. 1909. Martin Eden. Pauvre Martin… Remerciements VOILÀ. La thèse est écrite. Reste le plus important à mes yeux. Tant de fois j’y ai pensé ! et tant de fois j’y ai rêvé ! Et pourtant, ce n’est pas sans une appréhension fébrile que je me livre à l’exercice périlleux des remerciements. Je voudrais, je crois, que ces remerciements soient comme des petits morceaux de mon quotidien de thèse, des choses que, telle ou telle année, j’ai partagée avec tel ou telle, ou que j’ai vécu dans mon for intérieur. Je voudrais fixer ses souvenirs pour que jamais ils ne s’évaporent. Et je voudrais, surtout, que d’autres s’en emparent ; et, qu’avec moi, ils éprouvent, fusse pour quelques secondes, une impalpable petite nostalgie. Puissent les absents de ces quelques lignes m’excuser. Qu’ils soient assurés que je ne les ai pas oubliés. Je me souviens d’avoir été encadré par celle qui, pour moi, fut la meilleure des parents-thèses. De Tours à Dauphine et de mon mémoire à ma thèse, son écoute, sa confiance et ses réflexions ont accompagné cette recherche. Aussi, je remercie chaleureusement Véronique Perret pour sa direction, la liberté et le soutien qu’elle m’a accordés. Je me souviens tout ce que cette thèse doit aux travaux de Franck Aggeri et Fabian Muniesa, aux recherches et aux conseils bienveillants d’Amina Béji-Bécheur lors de ma présoutenance, ainsi qu’aux nombreux commentaires (et à la fameuse question) d’Isabelle Huault tout au long de mon doctorat. Qu’ils trouvent ici l’expression de ma reconnaissance et de mon estime. Je me souviens de la dream team qui, malgré un calendrier serré, a su enrichir cette thèse de ses relectures pointilleuses et de ses suggestions inspirées. J’exprime ma gratitude à Charlène Arnault, Celine Berrier-Lucas, Jérémy Morales, Béatrice Parguel, Hélène Peton et, bien sûr, à ma mère et à Camille. Je me souviens des doctorants passés en A105-A107 de septembre 2008 à novembre 2013, des doctorants de MOST au quatrième étage de l’aile P, de l’équipe administrative au premier étage de l’aile A, ainsi que de la promotion Loup Garou du CEFAG. Je ne puis tous vous nommer. Mais que votre initiale soit A., B., C., D., E., F., G., H., I., J., L., M., N., O., P., Q., R., S., T., V., W., Y. ou Z, et vous pouvez être certain(e)s que j’ai une pensée émue pour vous. Cette thèse doit beaucoup à vos encouragements et à nos discussions plus ou moins sérieuses. Un énorme MERCI à toutes et à tous ! Je me souviens du Supercoin, où nous buvons pour oublier nos déboires. Au commerce inéquitable de mes sentiments, ma fascination est pour Alice (je me souviens que nous avons, tous deux, une bonne étoile), mon admiration pour Béa (je me souviens de notre bureau vert), ma tendresse pour Charlène (je me souviens des calanques), ma plus belle amitié pour Claudine (je me souviens de tout), mes rigolades pour Hélène (je me souviens du Luxembourg), mon estime pour Jérémy (je me souviens que « dans la vie, il y a deux catégories de personnes… »), mon affection pour Laetitia (je me souviens de Montréal), mon amitié virile pour Stephan (je me souviens du vaisseau spatial, le premier soir au pub de Kenilworth). J’ai une pensée toute singulière pour Joseph. Et je place une spéciale dédicace pour le Groupe du vendredi, particulièrement pour Audrey, Benoît, Julia, Julien, Lucrèce, Oussama et Romain. Je me souviens de mon tout premier jour à Dauphine et remercie, de mon amitié la plus chaleureuse, Chahira senpai de m’avoir pris sous son aile. Je me souviens des séminaires du jeudi matin (au DMSP, puis à MOST), du CEFAG, des conférences et des colloques doctoraux. Je remercie tous les professeurs et tous les doctorants croisés lors de mon périple pour avoir éclairé mon travail de leurs lumières. Parmi ces lumières, il y eut un éclair. J’exprime tout mon respect à Pauline Barraud de Lagerie, dont la thèse, lue, relue et re-relue, a grandement influencé mon travail. Merci également à Éline Nicolas (pour m’avoir dit ce que je rêvais d’entendre), à Jean Desmazes (pour sa gentillesse et son soutien), à Florence Benoît-Moreau, Eva Delacroix et Colette Depeyre (pour m’avoir accueilli dans leur équipe pédagogique). Enfin, les ultimes instants de ma thèse sont dédiés à tous mes professeurs qui, de la maternelle au doctorat, ont su éveiller ma curiosité. Parmi les 149 dont je me souviens, Mme Leréec et Mme Saffar méritent d’être distinguées. I remember my visiting at Warwick Business School and I thank André Spicer for his warm welcome and his fruitful advices concerning my works. Je me souviens que FAIRNESS a accompagné mes réflexions sur le commerce équitable. J’ai une pensée spéciale pour Aurélie Carimentrand avec qui j’ai eu plaisir à travailler sur le Dictionnaire du commerce équitable. Et j’adresse mes remerciements amicaux à Gilles du CDTM-Paris, dont la veille quotidienne a nourri les données de cette thèse. Je me souviens d’avoir voulu être agent de joueurs de foot, et que Jérôme l’est devenu. Je pense bien à toi, Solène et Loreana. Je me souviens que, dans les moments difficiles, Martin Eden, Salammbô, Percival Bartlebooth, Rocky, Sharknado et Bob Marley se sont penchés au-dessus de mon épaule et m’ont soufflé quelques mots. « La volupté de sa douleur était incomplète, car il n’avait autour de lui personne qui la partageât ; et il faisait des visites à la mère Lefrançois pour lui parler d’elle ». Je ne me souviens pas de la mère Lefrançois. En revanche, je me souviens parfaitement d’avoir rencontré une camarade, découvert une amie et gagné une grande sœur. Cette thèse, ces lignes que vous lisez, doivent tout à Celine. Il y a même un certain chapitre écrit grâce à elle ; juste pour elle. Merci du plus profond de mon cœur ! Merci également à coach Raphy pour ses encouragements délicats (sans oublier la présence réconfortante de Chachaow). Je me souviens de Bourges, Orléans, Saint-Loup-des-Vignes, Tours, Linas et Royan. La famille Lacour-Dupré-Philippon est, et restera, dans mon cœur. Je me souviens de Camille et des écureuils qui courent dans les parcs. Je me souviens de mon enfance heureuse au 18, route de Villemomble à Bondy, et de mes vacances, tout aussi heureuses, à Marsaneix et à Veyrignac.