Stratégie Nationale Et Plan D'action Sur La Diversité Biologique Du Gabon

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Stratégie Nationale Et Plan D'action Sur La Diversité Biologique Du Gabon MINISTERE DES EAUX ET REPUBLIQUE GABONAISE FORETS, DE LA PECHE, DU ------------------- REBOISEMENT CHARGE DE Union-Travail-Justice L’ENVIRONNEMENT ET DE LA ------------------- PROTECTION DE LA NATURE --------------------------- DIRECTION GENERALE DE L’ENVIRONNEMENT STRATÉGIE NATIONALE ET PLAN D’ACTION SUR LA DIVERSITÉ BIOLOGIQUE DU GABON “ Le Gabon, à l’horizon 2025, doit assurer la conservation de la biodiversité et garantir un partage satisfaisant des avantages socio- économiques et écologiques issus des ressources biologiques par une prise de conscience de l’importance de ses ressources biologiques et par un développement des capacités humaines et institutionnelles. ” Novembre 1999 1 2 M. Le Ministre chargé de l’Environnement, Le directeur général de l’environnement et le coordonnateur national Biodiversité tiennent à remercier les personnes qui ont participé à la rédaction de la présente stratégie, particulièrement M. Anaclet BISSIELO1 et M. Robert Kasisi2 pour avoir dirigé l’équipe de rédaction. Il s’agit de : M. Jean-Marie BENGONE, Directeur Général de l’Environnement M. Jean Baptiste MEBIAME Coordonnateur National Biodiversité M. Omer NTOUGOU NDOUTOUME, coordonnateur adjoint Biodiversité M. Jean Simon MOUCKAGA KOMBILA,Commissaire Général à l’Aménagement du Territoire M. Hamidou OKABA, Commissaire général adjoint au Plan M. Christ MOMBO NZATSI, Conseiller du ministre du tourisme M. Marcel BRIDON, Conseiller du ministre de l’agriculture M. Mintsa Mi Obiang, ingénieur des Eaux et Forêts, conseiller du ministre des Eaux et forêts Dr Guy ROSSATANGA RIGNAULT, Juriste, conseiller du Ministre, enseignant M. Athanase BOUSSENGUE, Directeur des études, Ministère des Eaux et forêts M. Jean Gérard MEZUI M’ELLA, Directeur de la police phytosanitaire M. Augustin MAGANGA, Directeur du Centre National Anti-pollution M. Nicaise RABENKOGO, géographe chercheur, CENAREST/IRSH Dr Auguste NDOUTOUME, CENAREST Dr Guy ROSSATANGA RIGNAULT, conseiller du Ministre, enseignant Dr Jean Bernard MOMBO, enseignant chercheur Dr Norbert GAMI, ECOFAC APFT Dr Rosalie NGOUA OBAME, enseignante M. Emmanuel BAYANI NGOYI, sociologue M. Michel NGANDJI, ingénieur des techniques des Eaux et forêts M. Joël Célestin MAMBOUNDOU ALEVINAT M. Faustin Balmy RAPONTCHOMBO Mme Henriette OSSOUCA, ministère des pèches M. Jean Bruno MIKISSA, biologiste M. Eric NTCHORERE, cabinet SODAGRI M. Léandre EBOBOLA, Cabinet SODAGRI M. Georges BANGA, cabinet SODAGRI M. Charles Elie DOUMAMBILA, ingénieur en aménagement du territoire Mme Carole OGANDAGAS, géographe M. Albert Hilaire Anoubon MOMO, Polytechnicien, Système d’Information sur la Biodiversité du Cameroun M. Jean-Hubert EYI-MBENG, forestier, ancien Directeur de la Faune et la Chasse M. Adrien NOUNGOU, Direction de la faune et la chasse 1 Docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université Omar Bongo 2 Philosophae Doctor, Professeur agrégé à l’Université de Montréal, Consultant pour le compte d’Environnement et Développement Conseils (EDIC), Montréal, CANADA 3 4 A - INTRODUCTION Jean-Marie BENGONE Directeur Général de l’Environnement Les défis qui s’imposent à la Direction Générale de l’Environnement et à l’ensemble de la nation gabonaise, à l’aube du troisième millénaire, émergent de la spécificité de l’environnement naturel et humain au Gabon, mais aussi du paradoxe qui est dorénavant lié au concept de “ développement ” : comment, en effet, conserver durablement des ressources dans lesquelles nous devons puiser pour les besoins de notre développement économique ? La recherche d’un juste équilibre revient alors à trouver une réponse objective et réaliste à la question suivante: comment concevoir une économie viable et dynamique qui ne détruise pas les ressources naturelles et les systèmes écologiques dont elle dépend ? Autrement dit, comment continuer à produire du pétrole, couper le bois, creuser des galeries pour extraire des minerais, défricher des espaces verts pour des besoins alimentaires... sans pour autant nuire à la biodiversité et à l’environnement des milieux agressés ? La question ainsi libellée nous incite à une exploitation rationnelle des richesses, à une meilleure utilisation des ressources naturelles, humaines et énergétiques, garanties d’une production économique réalisée dans le respect de l’environnement pour les générations futures. Cet objectif ne saurait être atteint si nous, personnes physiques et morales, ne conjuguons pas nos efforts. Chaque individu, chaque acteur social ou économique exerçant une activité ayant un impact direct ou indirect sur l’environnement doit l’accomplir rationnellement, en dépassant l’égoïsme de son intérêt immédiat, et en pensant à l’intégrité de la Biodiversité et aux droits des générations futures à disposer d‘une planète écologiquement viable. Ce saut dans les consciences n’est plus seulement nécessaire : il est aujourd’hui capital, tant nos gestes engagent dorénavant notre responsabilité dans le destin de la planète. A.1 - Genèse de la gestion durable des ressources biologiques au Gabon Le Gabon a très tôt initié, tant au niveau national qu’international, des actions en faveur de la conservation de ses ressources biologiques. C’est ainsi que dès les années ‘‘50’’ le pays a mis sous protection le Massif forestier de la Mondah (16 février 1951) et par la suite d’autres sites3 très riches en espèces végétales et animales diverses. Cette volonté s’est poursuivie dans les années ‘‘60, 70 et 80’’ par la création d’instituts de recherches : Institut de Recherche en Écologie Tropical (IRET), Institut de Recherches Agronomiques et Forestières (IRAF), Institut de Pharmacie et de Médecine traditionnelles (IPHAMETRA), Herbier National, Station d’Étude des Gorilles et 3 Moukalaba-Dougoua ; Ofoué & Wonga-Wongué : 17 novembre 1962 Sette-Cama : 29 décembre 1966 Ipassa : 2 octobre 1971 5 Chimpanzés - CIRMF, etc..., et la mise sur pied de plusieurs projets de recherches (Projet ‘‘Reboisement Bokoué’’ et ‘‘Agroforestier M’biné’’, Projet ‘‘Aménagement Forestier des Savanes Côtières’’, Projet Biologie et génétique de l’Okoumé) qui ont permis effectivement la récolte de plus de 15 000 spécimens de végétaux, l’identification d’environ 150 espèces de mammifères et de nombreuses autres espèces ainsi que la compréhension du fonctionnement de certains animaux et végétaux jusque là mal connus. Le Ministère chargé de l’Environnement est responsable de la mise en œuvre de la politique nationale dans le domaine de l’environnement. A cet égard, il lui revient de veiller, entre autres, à la protection et à la conservation du milieu naturel, à la prévention et à la lutte contre toutes les formes de pollution, à la protection et à l’amélioration du cadre de vie urbain et rural, à l’aménagement et à la conservation des sites et, surtout à l’harmonisation du développement industriel et la sauvegarde du milieu naturel. Il lui revient aussi d’assurer la mission d’éducation et de sensibilisation à l’environnement, ainsi que celle d’élaboration et d’application de la réglementation en matière d’environnement. Sur le plan formel, le Ministère chargé de l’environnement est le principal acteur de la politique nationale de conservation et de gestion de la Biodiversité. Une Direction Générale de l’Environnement supervise des projets de planification durable de l’utilisation des ressources biologiques. A.2- Les exercices de planification supervisés par la DGE Depuis son indépendance, le Gabon a accentué ses actions en faveur de la connaissance de sa Biodiversité, en vue d’une meilleure gestion de ses ressources. Les pressions démographiques et agricoles étant faibles, le secteur forestier a concentré la plus grande part des énergies, du fait qu’il contribue de façon considérable au développement économique. Des stratégies de planification, actuellement en cours d’élaboration, ont pour objectif de créer une visibilité plus nette dans la gestion de l’environnement, conformément aux besoins du pays et aux engagements pris par l’Etat sur la scène internationale4. A.2.1 – Le Plan National d’Action Environnementale (PNAE) : C’est à la suite d’une mission de pré-évaluation de la Banque Mondiale pour le PFE que le Gouvernement gabonais a accepté le principe de la préparation d’un schéma directeur sur l’environnement, qui a pris le nom de Plan National d’Action Environnementale 4 Le Gabon a signé plusieurs conventions internationales dont nous présentons quelques unes: - Convention de Ramsar relative aux zones humides d’importance internationale. Elle a pour objectif de protéger les zones humides pour enrayer, pour le présent et l’avenir, les empiétements progressifs sur les zones humides et leur dispersion; - Convention d’Alger (15septembre 1968) relative à la conservation de la nature et des ressources naturelles africaines; - Convention de Washington (3 mars 1973) relative au commerce international, des espèces de faune et flore sauvage menacées d’extinction; - Convention International sur les bois tropicaux (ITTA) ; - Convention des Nations Unies sur les changements climatiques; - Convention des Nations Unies sur la désertification qui lutte contre la désertification et l’atténuation des effets de la sécheresse dans les pays gravement touchés par la sécheresse et la désertification en particulier l’Afrique, grâce à des mesures efficaces à tous les niveaux appuyés par des arrangements internationaux de coopération et de partenariat; - Convention sur la diversité biologique initiée par le PNUE qui avait décidé (décision 14/26, 1988) de travailler à la mise en place d’un instrument juridique international pour la
Recommended publications
  • New Northwestern and Southwestern Range Limits of De Brazz's Monkey, Mbam Et Djerem National Park, Cameroon, and Bateke Plat
    Primate Conservation 2007 (22): 107–110 New Northwestern and Southwestern Range Limits of De Brazza’s Monkey, Mbam et Djerem National Park, Cameroon, and Bateke Plateau, Gabon and Congo Fiona Maisels1, Nicolas Bout2,3, Clement Inkamba-Inkulu4, Liz Pearson3, Paul Aczel3, Rufin Ambahe5, Edgar Ambassa5 and Roger Fotso5 1Wildlife Conservation Society, Bronx, New York, USA 2Wildlife Conservation Society, Libreville, Gabon 3John Aspinall Foundation, Franceville/Mpassa, Gabon 4Wildlife Conservation Society, Brazzaville, Republic of Congo 5Wildlife Conservation Society, Yaoundé, Cameroon Abstract: Recent surveys carried out in Cameroon in the Mbam Djerem National Park, in Gabon in the Bateke Plateau National Park, and the adjoining Bateke Plateau area in Congo, have recorded the presence of de Brazza’s monkey (Cercopithecus neglec- tus) on both sides of the Djerem River in Cameroon, along the Mpassa and its tributaries in Gabon, along the Nambouli River in the Lefini Reserve in Congo, and up to the right bank of the Ogooué River on the Congo side of the border. These areas lie at the northern and southern edges of the Central African forest block, where rivers have relatively wide bands of riparian forest. As for the range extension of the talapoin (this volume), the species may simply have been overlooked by previous rapid wildlife surveys. It has an antipredator behavior that renders it relatively inconspicuous, tends to live in small family groups in the region, and lives in habitats that are difficult to survey on foot. However, unlike talapoin, it calls every morning along major watercourses, and can be heard for some distance. It is possible that the southern limit of this species in Gabon may be the Ogooué River.
    [Show full text]
  • Ancestral Art of Gabon from the Collections of the Barbier-Mueller
    ancestral art ofgabon previously published Masques d'Afrique Art ofthe Salomon Islands future publications Art ofNew Guinea Art ofthe Ivory Coast Black Gold louis perrois ancestral art ofgabon from the collections ofthe barbier-mueiler museum photographs pierre-alain ferrazzini translation francine farr dallas museum ofart january 26 - june 15, 1986 los angeles county museum ofart august 28, 1986 - march 22, 1987 ISBN 2-88104-012-8 (ISBN 2-88104-011-X French Edition) contents Directors' Foreword ........................................................ 5 Preface. ................................................................. 7 Maps ,.. .. .. .. .. ...... .. .. .. .. .. 14 Introduction. ............................................................. 19 Chapter I: Eastern Gabon 35 Plates. ........................................................ 59 Chapter II: Southern and Central Gabon ....................................... 85 Plates 105 Chapter III: Northern Gabon, Equatorial Guinea, and Southem Cameroon ......... 133 Plates 155 Iliustrated Catalogue ofthe Collection 185 Index ofGeographical Names 227 Index ofPeoplcs 229 Index ofVernacular Names 231 Appendix 235 Bibliography 237 Directors' Foreword The extraordinarily diverse sculptural arts ofthe Dallas, under the auspices of the Smithsonian West African nation ofGabon vary in style from Institution). two-dimcnsional, highly stylized works to three­ dimensional, relatively naturalistic ones. AU, We are pleased to be able to present this exhibi­ however, reveal an intense connection with
    [Show full text]
  • Rapport Du Groupe De Travail De La Commission Africaine Sur Les Populations / Communautés Autochtones
    REPORT OF THE AFRICAN for Indigenous Affairs Indigenous for International Work Group Group Work International COMMISSION’S WORKING GROUP ON INDIGENOUS POPULATIONS/COMMUNITIES N O RESEARCH AND INFORMATION VISIT TO et des Peuples des et des Droits de l’Homme l’Homme de Droits des THE REPUBLIC OF GABON Commission Africaine Africaine Commission 15-30 September 2007 REPUBLIC OF GAB REPUBLIQUE DU GAB 15-30 Septembre 2007 Septembre 15-30 EN REPUBLIQUE DU GABON DU REPUBLIQUE EN African Commission on Human and Peoples’ Rights VISITE DE RECHERCHE ET D’INFORMATION D’INFORMATION ET RECHERCHE DE VISITE O N COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES COMMUNAUTÉS SUR LES POPULATIONS / / POPULATIONS LES SUR International Work Group for Indigenous Affairs DE LA COMMISSION AFRICAINE AFRICAINE COMMISSION LA DE RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DE GROUPE DU RAPPORT RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DE LA COMMISSION AFRICAINE SUR LES POPULATIONS / COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES VISITE DE RECHERCHE ET D’INFORMATION EN REPUBLIQUE DU GABON 15-30 Septembre 2007 La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples a pris note de ce rapport lors de sa 45ème session ordinaire, 13-27 mai 2009 Commission Africaine des Droits International Work Group de l’Homme et des Peuples for Indigenous Affairs (CADHP) 2010 RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DE LA COMMISSION AFRICAINE SUR LES POPULATIONS / COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES VISITE DE RECHERCHE ET D’INFORMATION EN REPUBLIQUE DU GABON 15– 30 Septembre 2007 © Copyright: CADHP et IWGIA Mise en page: Jorge Monrás Imprimerie: Eks-Skolens Trykkeri, Copenhague, Danemark ISBN: 978-87-91563-74-4 Distribution en Amerique du Nord: Transaction Publishers 300 McGaw Drive Raritan Center - Edison, NJ 08857 www.transactionpub.com COMMISSION AFRICAINE DES DROITS DE L’HoMME ET DES PEUPLES (CADHP) No 31 Bijilo Annex Layout Kombo North District, Western Region B.P.
    [Show full text]
  • Recensement Général De La Population Et Des Logements De 2013 Du Gabon (RGPL-2013)
    REPUBLIQUE GABONAISE --------------- Commission Nationale du Recensement (CNR) --------------- Ministère du Développement Durable, de l’Economie, de la Promotion des Investissements et de la Prospective --------------- Direction Générale de la Statistique (DGS) --------------- Direction Nationale du Recensement (DNR) --------------- Bureau Central du Recensement (BCR) RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION ET DES LOGEMENTS DE 2013 DU GABON (RGPL-2013) PUBLICATION DE LA RÉSULTATS GLOBAUX DU DIRECTION GÉNÉRALE DE LA STATISTIQUE (DGS) LIBREVILLE – DÉCEMBRE RECENSEMENT GÉNÉRAL DE LA 2015 POPULATION ET DES LOGEMENTS DE 2013 DU GABON (RGPL-2013) RESULTATS GLOBAUX DU RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION ET DES LOGEMENTS DE 2013 DU GABON (RGPL-2013) DECEMBRE 2015 Citation recommandée : Direction Générale de la Statistique (2015) : Résultats globaux du Recensement Général de la Population et des Logements de 2013 du Gabon (RGPL-2013). Libreville, 195 pages + Annexes. Le présent rapport est le résultat d’un atelier organisé à Libreville d’août à octobre 2015 par la Section « Traitement, Analyse et Diffusion » du Bureau Central du Recensement (BCR) sous la Direction de : Mme Nicole NTSAME ONDO --------- Le rapport a été préparé sous la supervision technique des consultants internationaux du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) : M. Richard DACKAM-NGATCHOU, expert en analyse des données de recensement et M. Macoumba THIAM, expert en analyse des données de recensement et des consultants internationaux de la Direction Générale de la Statistique (DGS) : M. Leonard NABASSEMBA, expert en traitement de données et M. Robert DeCLERCQ, expert en traitement de données --------- Ont participé à l’atelier d’analyse : M. Noël MOUSSAVOU, Directeur du BCR, Analyste et Appui au traitement des données M.
    [Show full text]
  • Plan De Développement Stratégique De La Fenatag - 2018-2022
    RÉPUBLIQUE DU GABON FÉDÉRATION NATIONALE DES TRANSFORMATEURS DES PRODUITS AGRICOLES DU GABON PLAN DE DÉVELOPPEMENT STRATÉGIQUE DE LA FENATAG - 2018-2022 RÉPUBLIQUE DU GABON FÉDÉRATION NATIONALE DES TRANSFORMATEURS DES PRODUITS AGRICOLES DU GABON PLAN DE DÉVELOPPEMENT STRATÉGIQUE DE LA FENATAG - 2018-2022 Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture Libreville, 2018 3 Les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de développement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention de sociétés déterminées ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la FAO, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités. Les opinions exprimées dans ce produit d’information sont celles du/des auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement les vues ou les politiques de la FAO. ISBN 978-92-5-130772-4 © FAO, 2018 La FAO encourage l’utilisation, la reproduction et la diffusion des informations figurant dans ce produit d’information. Sauf indication contraire, le contenu peut être copié, téléchargé et imprimé aux fins d’étude privée, de recherches ou d’enseignement, ainsi que pour utilisation dans des produits ou services non commerciaux, sous réserve que la FAO soit correctement mentionnée comme source et comme titulaire du droit d’auteur et à condition qu’il ne soit sous-en - tendu en aucune manière que la FAO approuverait les opinions, produits ou services des utilisateurs.
    [Show full text]
  • 12. Monte Alén-Monts De Cristal Landscape
    12. Monte Alén-Monts de Cristal Landscape Figure 12.1. Map of Monte Alén-Monts de Cristal Landscape (Sources: CARPE, JRC, SRTM, WCS-Gabon). Location and area he Monte Alén-Monts de Cristal Landscape Th e Landscape in brief Tcovers the south and southeast of Equatorial Guinea and the northwest of Gabon (Figure 12.1). Coordinates: 1°53’35’’N – 0°5’38’’N; 9°37’2’’E – 11°36’3’’E It has an area of approximately 26,747 km2, of Area: 26,747 km2 which about half is located in Equatorial Guinea Elevation: 300-1,250 m and half in Gabon. In Equatorial Guinea, it in- Terrestrial ecoregion: Atlantic Congolese forests ecoregion cludes the Monte Alén and Altos de Nsork na- Aquatic ecoregions: Central West equatorial coastal ecoregion tional parks, as well as the Rio Muni Estuary Southwest equatorial coastal ecoregion Reserve and the Piedra Nzas Natural Monument. Protected areas: In Gabon, it comprises the two sections of Monts Monte Alén National Park, 200,000 ha, 1988/2000, Equatorial Guinea de Cristal National Park. Altos de Nsork National Park, 40,000 ha, 2000, Equatorial Guinea Monts de Cristal National Park, 120,000 ha, 2002, Gabon Physical environment Rio Muni Estuary Reserve, 70,000 ha, 2000, Equatorial Guinea Piedra Nzas Natural Monument, 19,000 ha, 2000, Equatorial Guinea Relief and altitude Th e Landscape occupies a rugged area of pla- teaus and mountain chains mainly situated at an altitude of 300 m to 650 m to the northeast of the coastal sedimentary basin of Gabon (Figure 12.2). In Equatorial Guinea, the highest peak is formed by Monte Mitra, which rises to 1,250 m and is 114 the culminating point of the Niefang chain which runs from the southwest to the northeast.
    [Show full text]
  • Situation Socio-Économique - Woleu - Ntem 2012 2 Situation Socio-Économique - Woleu - Ntem 2012  AVANT-PROPOS 8
    1 SITUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE - WOLEU - NTEM 2012 2 SITUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE - WOLEU - NTEM 2012 AVANT-PROPOS 8 INTRODUCTION 10 SOMMAIRE Partie I. - CONNAITRE LA PROVINCE 12 I.1. LA TERRE ET LES HOMMES 14 I.1.1. Situation géographique 14 I.1.2. Géographie physique 14 I.1.3. Géographie humaine 16 I.1.4. Découpage administratif 18 I.2. L’HISTOIRE ET LA CULTURE 18 I.2.1. L’histoire 18 I.2.2. La culture et les rites traditionnels 20 I.2.3. Les grands groupes ethno-linguistiques 21 Partie II – INFORMATIONS SOCIALES 23 II.1. LA SANTE 25 II.1.1. Les structures sanitaires 25 II.1.2. Le personnel de santé 27 II.1.3. Les activités préventives et les consultations infantiles 30 II.2. L’EDUCATION 31 II.2.1. Les structures éducatives 32 II.2.2. L’effectif des élèves et des enseignants 33 II.2.3. Les résultats scolaires 33 II.2.4. L’enseignement professionnel 34 II.3. L’EMPLOI 37 II.3.1. L’emploi dans le secteur privé 37 II.3.2. L’emploi dans les administrations publiques 38 II.3.3. L’emploi dans les administrations décentralisées 39 II.4. LA CONDITION DE LA FEMME 41 II.4.1. Le volet famille 41 II.4.2. Le volet promotion de la femme 42 3 SITUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE - WOLEU - NTEM 2012 II.5. LES AFFAIRES SOCIALES 42 II.6. L’HABITAT 43 SOMMAIRE Partie III – INFORMATIONS ECONOMIQUES 45 III.1. L’AGRICULTURE, L’ÉLEVAGE ET LA PECHE 47 III.1.1.
    [Show full text]
  • Baseline Mapping of Schistosomiasis and Soil Transmitted Helminthiasis in the Northern and Eastern Health Regions of Gabon, Cent
    Tropical Medicine and Infectious Disease Article Baseline Mapping of Schistosomiasis and Soil Transmitted Helminthiasis in the Northern and Eastern Health Regions of Gabon, Central Africa: Recommendations for Preventive Chemotherapy Rodrigue Mintsa Nguema 1,2,3,* , Jacques F. Mavoungou 1, Krystina Mengue Me Ngou-Milama 3,4, Modeste Mabicka Mamfoumbi 2, Aubin A. Koumba 1, Mariama Sani Lamine 5, Abdoulaye Diarra 5,†, Ghislaine Nkone Asseko 5, Jean R. Mourou 2, Marielle K. Bouyou Akotet 2,Hélène Moné 6, Gabriel Mouahid 6 and Julienne Atsame 3 1 Research Institute in Tropical Ecology, National Center for Scientific and Technological Research, Libreville BP 13354, Gabon; [email protected] (J.F.M.); [email protected] (A.A.K.) 2 Department of Parasitology-Mycology, Faculty of Medicine, University of Health Sciences of Libreville, Libreville BP 4009, Gabon; [email protected] (M.M.M.); [email protected] (J.R.M.); [email protected] (M.K.B.A.) 3 Control Program of Parasitic Diseases, Libreville BP 2434, Gabon; [email protected] (K.M.M.N.-M.); [email protected] (J.A.) 4 National Laboratory of Public Health, Libreville BP 10736, Gabon 5 Word Health Organization Country Office Gabon, Libreville BP 820, Gabon; [email protected] (M.S.L.); [email protected] (A.D.); [email protected] (G.N.A.) 6 IHPE, Univ Montpellier, CNRS, UM, IFREMER, Univ Perpignan Via Domitia, Perpignan F-66860, France; [email protected] (H.M.); [email protected] (G.M.) * Correspondence: [email protected]; Tel.: +241-04-37-61-31 † Current Address: WHO Country Office Union des Comores, P.O. Box 435, Moroni, Union des Comores.
    [Show full text]
  • Annotated List of Wetlands of International Importance Gabon
    Ramsar Sites Information Service Annotated List of Wetlands of International Importance Gabon 9 Ramsar Site(s) covering 3,001,769 ha Bas Ogooue Site number: 1,851 | Country: Gabon | Administrative region: Moyen Ogooue/l'Ogooue Maritime Area: 1,370,000 ha | Coordinates: 00°41'48"N 10°09'41"E | Designation dates: 02-02-2009 View Site details in RSIS The Bas Ogooue (lower Ogooue basin) comprises a vast alluvial plain (some 200 kilometres long and 70km wide), with marshes, lakes and rivers in the west of the country. Luxuriant vegetation covers half of the Site in dense forest, riparian marshes and savannah. It supports several threatened species such as gorilla, chimpanzee, elephant, buffalo, mandrill, African manatee and hippopotamus. Other noteworthy species include waterbirds such as herons, African cormorant and falcons, and fish populations including tilapia and carp. The rich natural resources of the Site are commonly used by local populations for various purposes, some of which are uncontrolled and may threaten the ecosystems. There is no specific management plan, but local regulations aim to protect and maintain the natural resources and ecosystems. A National Park and Biosphere Reserve are being developed. Chutes et Rapides sur Ivindo Site number: 1,852 | Country: Gabon | Administrative region: Ivindo/Mvoung Area: 103,333.7 ha | Coordinates: 00°05'05"N 12°22'09"E | Designation dates: 02-02-2009 View Site details in RSIS Chutes et Rapides sur Ivindo (“Waterfalls and rapids of the Ivindo river”), within the Ivindo National Park, is a wide peneplain with valleys in the centre that maintain a dense hydrographic network, with representative example of the rivers, waterfalls, rapids and marshes of Gabon.
    [Show full text]
  • Prospection Hydro-Électrique Des Bassins De L'ogooué Et De La Nyanga : Rapport Général
    RÉPUBLIQUE GABONAISE Ministère de l'Économie Nationale du Plan et des Mines PROSPECTION BYDRO.ÉLECTRIQUE des bassins de I~OGOOUÉ et de la NYANGA RAPPORT GÉNÉRAL ÉLECTRICITÉ DE FRANCE Inspection Générale pour la Coopération Hors-Métropole 1966 " 1 SOMHAIRE ,.i. f . Page 1: Exposé prél:im:inaire 1 1 Chapitre l - Eléments de la géographie physique du GA BOB 4 1 A- Situation - Relief et Végétation 4 B- Climatologie 5 1 C- Réseaux hydrographiques - Profils en long 6 \ 1 - Bassin de lYOGOOUE 6 2 - Bassin de la UYANGA 8 1 D- Régime hydrologique 9 E- Géologie 11+ 1 Chapitre II - .EQ.ssibi+J:.'yé~J:JX.çlro-é~~ç...t.rig.11..~_..s!.! int_~:r..~t ]IJB.jeut 16 1 - Chute de POUBARA (OGOOUE Supérieur) 17 2 - Défilé de MAFOULA-MATATO (OGOOUE l-Ioyen amont) 19 1 3 - La Porte de lYOKll.NDA (OGOOUE l-foyen aval) 20 4 - Les chutes de l'IMPERATRICE (sur la NGOUNIE) 23 1 5 - Site de OUYAMA (Basse-UYANGA) 24 Chapitre III - Possibj.lités J?-J:È..:r..o-€..lEl.9.-~J;'i9.'!.e.ê..._cr_=h~~r@t_l?_E?.~QEl.dai.!'e 27 1 - Rapides de NGUENIE et BIEF en amont de 1 LENDOUDOUNGOU (OGOOUE Supérieur) 27 2 - Rapides de la MPASSA 28 3 - Chute de MENTZITZI (DJOUMOU) 28 1 4 - Défilé de la LEIDMEI 28 5 - Chute de DOUNE (SEBE) 29 6 - Chute de roUNDJI (OGOOUE Moyen amont) 30 7 - Site de BOUm-illA (OGOOUE Moyen amont) 30 1 8 - Dérivation de la LOLO dans l'OGOOUE 31 9 - Chute de KONGUE (IVINDO) 32 10 - Chute de MINGOULI (IVINDO).
    [Show full text]
  • Miscellanea Herpetologica Gabonica I
    Hamadryad Vol. 32, No. 1, pp. 13 – 18, 2008. �opyright 2008 �entre for Herpetology, Madras �rocodile Bank Trust. MISCELLANEA HERPETOLOGICA GABONICA I Olivier S.G. Pauwels1,2 and Patrick �avid3 1Smithsonian �nstitution, National Zoological Park, Monitoring and Assessment of Biodiversity Program, B.P. 48, Gamba, Gabon. 2Mail address �epartment of Recent Vertebrates, �nstitut Royal des Sciences naturelles de Belgique, Rue Vautier 29, 1000 Brussels, Belgium. Email [email protected] 3UMS 602 Taxonomie - collection - Reptiles & Amphibiens, �épartement Systématique et Evolution, �ase Postale 30, Muséum National d’Histoire Naturelle, 57 rue �uvier, F-75231 Paris �edex 05, France. Email [email protected] ABSTRACT.– The lineated form of the colubrid genus Bothrophthalmus, namely B. lineatus lineatus auctorum, is deleted from the Gabon reptile list. The colubrid Lamprophis fuliginosus is confirmed for Gabon. New localities and/or ecological data are provided for Agama agama (Agamidae), Hemidactylus mabouia (Gekkonidae), Gerrhosaurus nigrolineatus (Gerrhosauridae), Feylinia grandisquamis, Panaspis breviceps (Scincidae), Varanus ornatus (Varanidae), Calabaria reinhardtii (Boidae), Grayia ornata, Natriciteres fuliginoides, Philothamnus carinatus, Thrasops flavigularis (Colubridae) and Naja melanoleuca (Elapidae). KEYWORDS.– Reptilia, Agamidae, Gekkonidae, Gerrhosauridae, Scincidae, Varanidae, Boidae, Colubridae, Elapidae, Bothrophthalmus, Lamprophis, Gabon, Africa. INTRODUCTION ties are as much as possible, substantiated by The herpetofauna of Gabon is one of the least voucher specimens. Field observations in Ga- known among tropical African countries. A pre- bon were made by OSGP (where field numbers liminary national reptile list was first available are preceded by P). New locality records are only in 2004 (Frétey and Blanc, no date; see also marked with an asterisk*, new department (dis- Pauwels, 2004), but that list has to be seriously trict) records by two**, new province records re-evaluated because of lack of material for doc- by three***.
    [Show full text]
  • Minkebe 2 Def LR 16-12-2003 14:30 Pagina 1
    Minkebe 2 Def LR 16-12-2003 14:30 Pagina 1 DGIS-WWF Living Documents Tropical Forest Portfolio Managing Parks in Larger Landscapes The Minkébé Conservation Project ‘The forest is the people’s fridge’ ‘If the law says hunting is prohibited, we act accordingly’ The struggle of an 'inferior' people Gold miners help to fight elephant poaching Catastrophic ape decline There are no permanent human settlements to be found anywhere in the entire protected area of the Minkébé Forest. However, loggers are closing in on this tropical rainforest wilderness in the north of Gabon, bringing poachers of bush meat and ivory as well as gold panners in their wake.What can be done to stop the looming crisis and preserve this least disturbed part of the Western Congo? Minkebe 2 Def LR 16-12-2003 14:30 Pagina 2 LIVING DOCUMENTS DGIS-WWF Tropical Forest Portfolio Introduction ‘The forest is the people’s fridge’ Gabon is the least populated country in West is the most important party that needs to be taken into Africa. White beaches and mangrove account in all plan’s regarding conservation and wetlands give way to the rugged, densely management of wild animals. According to a series of hunting laws, hunting can forested interior. About three-quarters of the take place only with a license and within a set hunting country is still covered with forest and season. Laying snares - the most commonly used possesses an unrivalled biodiversity. hunting technique - is also forbidden. Further, there are outright bans on hunting a variety of threatened ntil the discovery of large oil reserves near the species, including gorilla, chimpanzee, leopard and Ucoast in the Sixties, Gabon’s economy was aardvark.
    [Show full text]