Studies in the History of Statistics and Probability
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GERIADUR BRAS F. FAVEREAU Français-Breton © Francis Favereau
GERIADUR BRAS F. FAVEREAU français-breton © Francis Favereau 2021 http://ffavereau.monsite-orange.fr (évolutif en ligne +100 Mo - tous droits réservés, reproduction interdite) B B & pas de plan B (Europe 2005) plan B ebet* ! B.A. (bonne action) UR VAD (gwraete – T-Go<FP) B.A.-BA il ne sait pas le B.A.-Ba : ne oar na bu na ba (& na tailh na bailh, ‘oar na sou na da - Ti) ; apprendre l’A.B.C. deskiñ an abessee / abese*° (& A.B.K. an aotrou Jenkins) « BA » (arg.beur : ils se « ba(h) » ! : mouchardent < (se) vendent - A.I. < vb.) > « BAH » / « BIYAH » (« je ne serai pas vendu en breton ! » < Anglais F2 / TK ne vin ket ‘gwerzhet’ en brezhoneg / arabeg !) BAADER (NF all. : Barbier / Bader < NL Bad-) = BAAL (semit. : hebr ba’al maître – titre) = BAAR (NL Suis.< Barro 1100 gaul-celt.) > BARR b/ parti « Baas » Irak & Syrie : résurrection) : pennoù ar Bath/ ﺑﺎﺙ) BAAS, BA’TH = (Alep - Syrie / Bab-el-oued : porte dor / ﺍﻠﺑﺍﺏ BAB (NL al-bâb BABA (adj. / ébahi badet) POF : rester baba chom pof (T & KL chomet boud / dotu, sac'het) BABA (arg.20° : cul > Chon<BTP) war he dikulez, (arg.Tun.19°) louiz*° m., (arg.W « pot ») POD m.(-où) BABA (18° < polonais : gâteau & russe "vieille") = babaioù rom bâbâ papa, pape – tr JK 1953) Ali Baba hag an daou-ugent laer : ﺑﺎﺑﺎ > BABA (ALI BABA (-COOL – angl. < hindi baba papa – ie) = il y avait là deux ou trois babas daou pe dri « baba » oa eno, moi je ne suis pas baba ! n’on ket “baba” 'hanon ‘vat ! BABBITT (NP personnage Sinclair Lewis 1922 § Bab-...) = (Tour Babel, pe tour Babilon (F&B 19° < CCh : (ﺑﺎﺏﻴﻠﻮﻦ Babylone & ﺑﺎﺑﻞ / BABEL (NL hebr. -
Dix Ans De Ben Ali F I
DIX ANS DE BEN ALI Tu nisie face, Tu nisie pil e H F IL S Pas de commencement possible à BUENOS AIRES NBA: L’ANNÉE DE LA RELÈVE? N O V E M B R E 1997, 5000 L.L. L’O rient-Express en solo ans la vie d’un journal, un deuxième anniversaire ne se fête pas. Mieux vaut attendre des chiffres plus D ronds. Pour L’O rient-Express, il se trouve cependant que ce deuxième anniversaire est quand même particulier, puisqu’il marque le début d’une nouvelle aventure. À partir de ce numéro, L’O rient-Express sera vendu séparé- ment. Cette étape, inscrite dans l’ordre naturel des choses, devait intervenir un jour ou l’autre. Elle survient même un peu tard puisque, depuis deux ans, nos lecteurs ont acquis des habi- tudes d’achat, et tous les spécialistes du marketing savent que c’est ce qu’il y a de plus difficile à changer. Il nous faut pour- tant la tenter. Comment connaîtrions-nous autrement notre public? Certes, le marché de la presse au Liban, et surtout de la presse francophone, reste trop étriqué pour qu’un journal puisse vivre de ses seuls lecteurs. Mais il n’est pas moins vrai que sans lecteurs, sans acheteurs, il n’y a pas de journal. Des lecteurs, nous en avons, nous le savons au nombre d’en- couragements que nous recevons tous les jours, et des milieux les plus divers. Il s’agit maintenant que ces lecteurs deviennent acheteurs. Mais disons le tout net: cela dépend avant tout d’eux. -
Germinal Emile Zola
Germinal Emile Zola Votre avis nous intéresse ! Répondez au questionnaire et accéder aux autres livres de la Bibliothèque Digitale Germinal de Emile Zola Germinal Première Partie I Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d’une obscuri-té et d’une épaisseur d’encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé cou-pant tout droit, à travers les champs de bet- teraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n’avait la sensation de l’immense ho- rizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d’avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d’arbre ne ta-chait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d’une jetée, au milieu de l’embrun aveuglant des ténèbres. L’homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d’un pas allongé, gre- lottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans 2 Germinal de Emile Zola un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d’un coude, tan- tôt de l’autre, pour glis-ser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tête vide d’ouvrier sans tra- vail et sans gîte, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour.