Maître d’ouvrage SIAEP Plaine et Graon 57 rue Paul Emile Victor CS 90041 85036 LA-ROCHE-SUR-

(SIRET N°25850005700017)

DEPARTEMENT DE LA VENDÉE

Communes de LA BRETONNIÈRE-LA-CLAYE, LE CHAMP-SAINT-PÈRE, LA COUTURE, PÉAULT et ROSNAY

PRISE D’EAU DES BÉLINIÈRES DANS LE utilisée pour la production d’eau potable

DOSSIER D’ENQUETE PUBLIQUE

Instauration des périmètres de protection Autorisation de prélèvement Enquête parcellaire

PIÈCE 3 : SYNTHESE DES ETUDES TECHNIQUES

 Présentation du maître d’ouvrage  Caractéristiques de la prise d’eau  Eléments descriptifs des installations de production et de distribution d’eau  Contexte hydrologique et vulnérabilité naturelle de la ressource  Descriptif de l’environnement de la prise d’eau  Evaluation des risques de pollution

MAI 2017

Dossier d’enquête publique - Prise d’eau potable des Bélinières au Champ-Saint-Père (85)

BIBLIOGRAPHIE :

Eléments disponibles en pièce 8 :

- CALLIGEE – Novembre 2008 – Rapport N07-85201C Révision 2 – Pompage dans le Lay (Le Champ-Saint-Père) – Etudes préalables à la mise en place des périmètres de protection.

- Avis hydrogéologique sur la mise en place des périmètres de protection d’une prise d’eau dans le Lay, Frédéric FAISSOLLE – 15 Janvier 2009

Eléments disponibles en pièce 4 :

- CALLIGEE – Avril 2010 - Rapport N07-85201-D Révision 1 – Etude d’impact pour la création d’une station de pompage dans le Lay et volet Natura 2000 (Le Champ-Saint-Père)

- CALLIGEE – Avril 2010 – Rapport N07-85201-E Révision 1 – Pompage dans le Lay (Le Champ-Saint-Père) – Etude préalable à la mise en place des périmètres de protection Dossier d’autorisation réglementaire

- Bureau d’études X.HARDY – Novembre 2009 – Dossier d’évaluation des incidences NATURA 2000 - Réalisation d’une prise d’eau au niveau du Lay et raccordement à la canalisation sur le site du Marais Poitevin (85) - Commune de Champ-Saint-Père

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3.1 Présentation du maître d’ouvrage

Le SIAEP Plaine et Graon (SIRET N°25850005700017), anciennement SIAEP de la Plaine de Luçon, regroupe un total de 42 communes (tableau ci-dessous).

Angles Luçon Aubigny Chaillé les Marais Moutiers les Mauxfaits Chaillé sous les Ormeaux Mouzeuil Saint Martin Champagne les Marais Nalliers Champ-Saint-Père Pouillé Puyravault Curzon Saint Aubin la Plaine Grues Saint Benoit sur Mer La Boissière des Landes Saint Cyr en Talmondais la Bretonnière la Claye Saint Denis du Payré La Faute sur Mer Saint Etienne de Brillouet La Jonchère Saint Jean de Beugne La Tranche sur Mer Saint Michel en l'Herm L'Aiguillon sur Mer Saint Vincent sur Graon Sainte Gemme la Plaine Sainte Hermine Sainte Radégonde des Noyers Les Clouzeaux Thiré Les Magnils Reigniers

Le SIAEP Plaine et Graon assure actuellement la production d’eau potable par l’intermédiaire de deux sites : la retenue du Graon (Champ-Saint-Père) et le captage de Sainte-Germaine (Luçon). Le SIAEP adhère à Vendée Eau, Syndicat Départemental d’Alimentation en Eau Potable de la Vendée. Le SIAEP Plaine et Graon vend la totalité de l’eau potable produite à Vendée Eau qui gère la distribution aux abonnés.

A noter que les statuts, le périmètre et la dénomination du SIAEP ont évolués en mai 2011. Aussi, les études préalables à l’instauration des périmètres réalisées avant cette modification sont parfois affiliées au SIAEP de la Plaine de Luçon.

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3.2 Caractéristiques de la prise d’eau

3.2.1 Localisation géographique de la prise d’eau

Nom du captage Installation de pompage dans le Lay Coordonnées Lambert X : 321 682 m II étendu Y : 2 172 135 m Cote après nivellement Z : 5.27 m NGF FRGR570 Code de la masse Le Lay depuis Mareuil-sur-Lay-Dissais jusqu’à d’eau l’estuaire Code de l’entité N350 016 A hydrographique Date de création de la Prise d’eau temporaire : 2003 prise d’eau Prise d’eau définitive : 2008 Département Vendée Commune le Champ Saint-Père Lieu-dit les Bélinières Installations de pompage : n°1200 E Références cadastrales Prise d’eau : n°1202 E Propriétaire de la Parcelles acquises en 2010 par le SIAEP parcelle Passage par Noailles, puis accès par un chemin Accès au site d’exploitation

3.2.2 Caractéristiques de l’ouvrage de prélèvement

La prise d’eau se fera par l’intermédiaire d’un canal d’amenée de deux mètres de largeur aménagé perpendiculairement à la rive droite du Lay sur environ 15 m de long. Le canal existant est réutilisé. Les berges sont consolidées par un enrochement en entrée de canal. La tête d’ouvrage sera munie d’une grille. L’eau sera acheminée vers le puits de pompage par une double conduite d’amenée de diamètre Ø 600. L'ouvrage permettant le prélèvement est déclaré avec un numéro de récépissé (n°85-2008-00398). Le puits de pompage est en béton armé, coulé sur place et équipé d’une couverture par dalle avec deux trappes d’accès verrouillable (accès au puits de pompage 1 x 1 m et accès au dégrillage manuel 1 x 1,5 m). La profondeur du puits de pompage est de 5 m environ.

Le pompage d’exhaure sera effectué à partir du puits de pompage par deux groupes électropompes de surface à vitesse fixe. Ces pompes fonctionneront en permutation à

Pièce 3, page 3 / 9 Dossier d’enquête publique - Prise d’eau potable des Bélinières au Champ-Saint-Père (85) chaque démarrage avec secours automatique. Les caractéristiques des pompes sont indiquées dans le tableau suivant.

Marque FLOWSERVE Type LNNV 600AA Débit d'exhaure 1 000 m3/h à 8 m HMT H.M.T. 86.4 m Puissance 315 kW Alimentation 400/600 V 50Hz triphasé Conduite d'exhaure Ø 600

Le débit maximal d’exploitation de la prise d’eau sera donc de 2 000 m3/h, soit 48 000 m3/j.

Le local des pompes constitue le niveau -1 du local d’exploitation. En béton armé coulé sur place, il constitue un cuvelage étanche et comporte notamment les deux massifs de support des pompes de dimensions 1,4 x1,4 m et 0,1 m d’épaisseur.

Les installations sont prévues au dessus des côtes d’inondations.

3.3 Eléments descriptifs de l’installation de production et de distribution d’eau

3.3.1 Conditions d’exploitation de la prise d’eau

Les conditions générales de pompage au droit de la prise d’eau du Lay sont basées sur le débit d’objectif d’étiage (DOE) fixé par le SAGE au droit du point nodal de la Claye. Il s’agit d’un débit minimum (400 l/s) à garantir au point donné. Le point nodal du SAGE et la prise d’eau étant très peu éloignés, nous considérons que ce DOE doit être garanti de la même manière au droit de la prise d’eau des Bélinières à n’importe quelle période de l’année.

Le débit instantané de prélèvement au droit de la prise d’eau est respectivement de 278 l/s (soit environ 300 l/s) et 555 l/s (soit environ 600 l/s) pour une ou deux pompes en fonctionnement.

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Trois seuils peuvent être définis pour caler les conditions d’exploitation de la prise d’eau :

DEBIT CUMULE AUX STATIONS DE JAUGEAGES COMPENSATION DES (Lay à Mareuil, Yon à Nesmy et à PRELEVEMENT PRELEVEMENTS Mareuil) fonctionnement avec 1 000 l/s < Q pas de lâcher de barrage Lay + Yon + Marillet 2 pompes fonctionnement avec pas de lâcher de barrage 1 pompe 700 l/s < QLay + Yon + Marillet < 1 000 l/s lâcher de barrage fonctionnement avec équivalent à une pompe 2 pompes (300 l/s) lâcher de barrage fonctionnement avec équivalent à une pompe 1 pompe (300 l/s) DOE < QLay + Yon + Marillet < 700 l/s lâcher de barrage fonctionnement avec équivalent à deux pompes 2 pompes (600 l/s)

QLay + Yon + Marillet < DOE pas de pompage

Ces seuils sont calés sur les débits des stations de jaugeages du Lay, de l’Yon et du Marillet qui sont calculés quotidiennement. Le SIAEP suivra les débits aux stations quotidiennement pendant les périodes préférentielles de prélèvement.

Ces conditions de pompage garantissent un débit minimum de 400 l/s en aval immédiat de la prise d’eau des Bélinières. Le débit à la Claye sera sensiblement du même ordre, voire plus élevé grâce aux apports du ruisseau du Graon.

Les lâchers de barrage seront réalisés pour des débits équivalents à ceux compensés, et sur des durées équivalentes au pompage. Les lâchers se feront prioritairement sur les retenues de la Vouraie et du Marillet, et en dernier recours sur la retenue du Rochereau via l’Angle Guignard. Le choix de la retenue sera conditionné par l’état de remplissage de chaque barrage. Enfin, chaque lâcher de barrage sera validé par les services de la Police de l’Eau.

Le volume à prélever annuellement est de l’ordre 3,5 millions de m3.

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3.3.2 Le besoin en eau du SIAEP Plaine et Graon

Les statuts, le périmètre et la dénomination du SIAEP ont évolués en mai 2011. A la date de rédaction de ce document, les données sur le SIAEP Plaine et Graon n’étant pas disponibles, ce sont celles du SIAEP de la Plaine de Luçon qui sont présentées.

Le SIAEP de la Plaine de Luçon regroupe 55 communes du département vendéen ce qui représente une population sédentaire totale d'environ 67 041 habitants en 1999 et une population saisonnière importante dans le secteur côtier. On estime en général une augmentation des besoins en eau de 15% en période estivale en année sèche.

Globalement la population est en sensible augmentation comme en témoigne le nombre d’abonné qui a augmenté de 2.2% en 2006 (/ 2005) en passant à 54 626 abonnés. La consommation en eau du SIAEP est de 5 788 396 m3 en 2006, soit une augmentation de 0.9% par rapport à 2005.

Des projections des besoins en eau à l’échelle du territoire du SIAEP aux horizons 2010, 2015 et 2025 (calculs basés sur les consommations de 2003) ont été réalisées par les bureaux d’études HYDRATEC et SAFEGE en 2006. Les résultats indiquent une augmentation générale des besoins. De l’été à octobre, ils sont respectivement estimés à 5 781 000 m3, 5 914 000 m3 et 6 177 000 m3 en 2010, 2015 et 2025.

3.3.3 Qualité de l’eau et système de traitement

L’analyse des eaux brutes captées par la prise d’eau du Lay donne de bons résultats pour des eaux superficielles et pour leur exploitation en vue de l’alimentation en eau potable. Le mélange des eaux du Lay et du Graon est parfaitement envisageable en raison des caractéristiques voisines des deux eaux. Les étapes du traitement de l’eau (usine du Graon) sont les suivantes :  Coagulation  Floculation + Décantation (avec post-démanganisation et post-interchloration)  Filtration sur sable  Ozonation  Reminéralisation  Post-chloration et Neutralisation CO2 dans les bâches eau traitée

Compte tenu du système de traitement envisagé, la qualité des eaux est conforme à la réglementation (annexe III de l’arrêté du 11 janvier 2007).

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Il y aura possibilité d’alimenter directement l’usine des eaux dans le cas où les eaux de la retenue seraient rendues inutilisables à cause d’une pollution. Dans ce cas, des modifications mineures de la filière de traitement seront nécessaires afin de tenir compte des spécificités des eaux du Lay.

3.3.4 Système de distribution, interconnexions et plan d’alerte

Les statuts, le périmètre et la dénomination du SIAEP ont évolués en mai 2011. A la date de rédaction de ce document, les données sur le SIAEP Plaine et Graon n’étant pas disponibles, ce sont celles du SIAEP de la Plaine de Luçon qui sont présentées.

Le linéaire total du réseau du SIAEP est de 2 309 km. La capacité du stockage à l’usine du Graon est de 5 800 m3, dont 2 800 m3 dans les deux bâches d’eau traitée de l’usine et 3 000 m3 dans le réservoir sur tour de Saint-Vincent-sur-Graon. Ce volume correspond à la production moyenne sur une demi-journée. Un projet d’augmentation du volume stocké à 10 000 m3 est en discussion. A partir de ces deux points de stockage, l’eau est distribuée sur la zone Ouest du territoire du SIAEP ainsi que les SIAEP voisins auxquels il est connecté. Voici quelques unes des communes desservies : Saint-Vincent-sur-graon, Saint-Cyr-en-Talmondais, Angles, La- Tranche-sur-Mer, Longeville, les Sables d’Olonne…

La particularité du réseau de distribution d’eau potable en Vendée est le nombre d’interconnexion entre chaque unité de production du département, permettant ainsi d’amener de l’eau n’importe où en cas de panne d’une unité de production. L’usine de Graon est donc connectée à l’usine de production du barrage de Marillet située sur le territoire du SIAEP voisin de la région de Mareuil-sur-Lay-Dissais, et au barrage de Finfarine situé sur le territoire du SIAEP de la région des Sables d’Olonne.

Un dispositif d’alerte sera mis en place permettant sur la station de pompage uns intervention adaptée. Ce réseau comprendra d’un part un plan d’alerte établi avec l’ensemble des habitants et acteurs des périmètres de protection, et d’autre part une station d’alerte sur la prise d’eau avec un suivi en continu de certains paramètres indicateurs de la qualité de l’eau.

Des dispositifs anti-intrusion seront mis en place au droit de la station de pompage en plus des visites régulières du gestionnaire qui veillera au bon fonctionnement des installations.

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3.4 Contexte hydrologique et vulnérabilité naturelle de la ressource

Le Lay, dénommé aussi Grand Lay pour le distinguer de son affluent le Petit Lay, est un fleuve qui se jette dans l’océan Atlantique au niveau de la Baie de l’Aiguillon-sur-Mer. Son écoulement est globalement orienté NE-SO. Au droit de la prise d’eau des Bélinières, le bassin versant du Lay s’étend sur environ 1 578 km².

Le régime hydrologique du Lay est donc conditionné à la fois par :  le régime pluviométrique qui est de type océanique,  les débits de restitution des 5 barrages AEP répartis sur la partie amont de son bassin versant,  les ouvertures et fermetures de vannes sur la partie aval du Lay.

Compte tenu de son caractère superficiel, la ressource exploitée présente une forte vulnérabilité naturelle aux pollutions ponctuelles et accidentelles.

Des opérations de traçages ont été menées sur le Lay et l’Yon et ont permis de déterminer les temps de transit sur les cours d’eau pour différentes périodes hydrologiques. Les résultats de ces opérations ont permis de délimiter une zone de plus grande vulnérabilité définie sur la base d’un temps de transit de 2h pour un débit non dépassé 90 % du temps. Cette zone conditionnée par les limites des bassins versants topographiques des deux cours d’eau, remonte de 6.5 km en amont sur le Lay, et de 6 km en amont sur l’Yon.

3.5 Descriptif de l’environnement de la prise d’eau

L’étude de l’environnement a été réalisé en amont de la prise d’eau, d’abord à l’échelle du bassin versant topographique du Lay (soit 1 578 km²) puis à l’échelle d’une zone plus restreinte définie pour un temps de transit de 2h en amont de la prise d’eau pour un débit du Lay non dépassé à 90 % du temps (soit 13 km²).

Le bassin versant du Lay est essentiellement vouée à l’agriculture. Il comprend par ailleurs deux agglomérations vendéennes : la Roche-sur-Yon et la .

L’environnement proche de la prise d’eau est dominé par l’activité agricole avec 84% de la superficie de la zone d’étude rapprochée. Les bois, essentiellement localisés dans le marais occupent un part faible de cette zone (5%).

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La surface recouverte en eau (cours d’eau, fossés, canaux, marais) représente environ 40 ha dans la zone d’étude.

Le bassin versant du Lay et en particulier la zone aval du cours d’eau est inscrite dans les zones sensibles et milieux naturels remarquables tel que : le ZNIEFF, les ZICO, le réseau Natura 2000 (ZPS, et SIC) correspondant au marais poitevin.

3.6 Evaluation des risques de pollution

Les principales activités importantes susceptibles de générer une pollution accidentelle sont situées dans les agglomérations de La Roche-sur-Yon, Chantonnay, c’est-à-dire à plus de 30 km en amont de la prise d'eau. Dans le cadre de la protection de la prise d'eau, elles n'ont pas été considérées à risque immédiat du fait de leur éloignement. En effet, on considère que le temps de transit que mettrait une pollution émise à partir de l'un de ces points serait assez long pour disposer du délai nécessaire à prévenir l'exploitant du captage et prendre les dispositions nécessaires.

Les risques de pollution accidentelle les plus forts proviennent :  des axes routiers traversant le Lay ou l’Yon, à savoir les RD 19 et RD 50 ;  de l’assainissement collectif (STEP) à l’amont de la prise d’eau. La station d’épuration la plus à risque est celle de Mareuil-sur-Lay-Dissais qui se trouve à moins de 15 km en amont de la prise d’eau.

Les risques modérés recensés sont les suivants :  les traversées de cours d’eau sur les voies communales dans la zone d’étude environnementale ;  l’industrie agro-alimentaire implanté à Mareuil-sur-Lay-Dissais (Laiterie) ;  les axes routiers et ferroviaires dans le bassin versant ;  l’assainissement collectif (STEP) dans le bassin versant.

Pour les autres activités classées à risque, ce dernier a été jugé faible en raison de l'éloignement du point de rejet, de la faible quantité de rejet polluant envisageable.

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