Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA CHARENTE- MARITIME - Recueil des actes Adminstratifs du 17 février 2012 - Date de publication le 17/02/2012

SOMMAIRE

1. ARRÊTÉS...... 258

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement...... 258 Arrêté n° 12-391 DU 13 février 2012 portant extension de compétence et modification des statuts de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré...... 258 Arrêté n°12-397 du 13 février 2012 portant modification des périmétres de protection au titre des monuments historiques de l'église de la mairie de Beauvais sur Matha...... 259 1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet...... 260 Arrêté n° 11-3332 en date du 26 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST à Saint Pierre d'Oléron...... 260 Arrêté n° 11-3336 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST à Châtelaillon Plage...... 261 Arrêté n° 11-3337 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST au Château d'Oléron...... 263 Arrêté n° 11-3338 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE RALLYE à Saint Pierre d'Oléron...... 264 Arrêté n° 11-3339 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le tabac LA GITANE à Dolus d'Oléron...... 265 Arrêté n° 11-3343 en date du 28 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE à Semussac...... 267 Arrêté n° 11-3344 en date du 28 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE POSEIDON à Châtelaillon-Plage...... 268 Arrêté n° 11-3345 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la pharmacie LAINE à Fouras...... 270 Arrêté n° 11-3347 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la discothèque LE MOULIN à Saint Georges d'Oléron...... 271 Arrêté n° 11-3348 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour CAFE DU PORT à ...... 273 Arrêté n° 11-3350 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour MARIONNAUD PARFUMERIES MARIONNAUD LAFAYETTE à Angoulins...... 274 Arrêté n° 11-3351 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour RELAY à la Gare SNCF de ...... 275 Arrêté n° 11-3620 en date du 1er décembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à ATLANTIC STATION SERVICE à Angoulins...... 277 Arrêté n° 11-3636 en date du 2 décembre 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SCM DENIS VICQ-BAUZA à Châtelaillon-Plage...... 278 Arrêté n° 11-3638 en date du 2 décembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Parfumerie Beauty Success à Surgères...... 280 Arrêté n° 11-3671 en date du 6 décembre 2011 portant autorisation d'un sytème de vidéoprotection situé à TOM POUCE PRESSE à Montguyon...... 281 Arrêté n° 12-29 en date du 6 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour A.R.Sport à Angoulins...... 282 Arrêté n° 12-82 en date du 13 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CASINO BARRIERE de Royan...... 284 Arrêté n° 12-83 en date du 13 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour CARREFOUR à Saintes...... 285 Arrêté n° 12-101 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA JET de La Rochelle...... 287

254 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-104 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Caisse d'Epargne Poitou-Charentes de ...... 288 Arrêté n° 12-105 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Caisse d'Epargne Poitou-Charentes de Puilboreau...... 290 Arrêté n°12-106 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA BEAULIEU à Puilboreau...... 291 Arrêté n° 12-98 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé BEST WESTERN MASQ HOTEL à La Rochelle...... 293 Arrêté n° 12-110 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA JET de Rochefort...... 294 Arrêté n° 12-112 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à AMUZ et VOUS à Saintes...... 295 Arrêté n° 12-118 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le Foyer Logement LA RESIDENCE DU PARC à Saint Georges d'Oléron...... 297 Arrêté n° 12-119 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la délégation territoriale du Conseil Général de la Charente-Maritime à La Rochelle...... 298 Arrêté n° 12-120 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le Centre Hospitalier de Rochefort...... 300 Arrêté n° 12-121 en date du 17 janvier 2012 portant modification d'un système de vidéoprotection à l'agence CIC OUEST La Rochelle-Tasdon...... 301 Arrêté n° 12-122 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Industriel de l'Ouest à La Rochelle...... 302 Arrêté n° 12-123 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour l'agence de la Barclays Bank à Saintes...... 303 Arrêté n° 12-125 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à Aytré...... 305 Arrêté n° 12-127 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour TABAC LE BOUNTY à La Rochelle...... 306 Arrêté n° 12-128 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour PHARMACIE DES SALINES à La Rochelle...... 308 Arrêté n° 12-129 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour PRESSE PAPIER à La Rochelle...... 309 Arrêté n° 12-130 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LEADER PRICE Leader Distribution à Rochefort...... 311 Arrêté n° 12-131 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LEADER PRICE à Royan...... 312 Arrêté n° 12-132 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour MARCHE U à Vaux sur Mer...... 313 Arrêté n° 12-133 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BOULANGERIE BOURGEOIS à La Rochelle...... 315 Arrêté n° 12-134 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour AU FOURNIL DU PARC à La Rochelle...... 316 Arrêté n° 12-135 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour FALBALA à La Rochelle...... 318 Arrêté n° 12-145 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE SCAT à La Rochelle...... 319 Arrêté n° 12-146 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BRIT'HOTEL BRASSERIE DU CAP à Périgny...... 321 Arrêté n° 12-147 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LITRIMARCHE à Puilboreau...... 322 Arrêté n° 12-153 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour SOMELIA à Saintes...... 323 Arrêté n° 12-154 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BIOCOOP à Rochefort...... 325 Arrêté n° 12-155 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour OPTIQUE ET LUNETTES à Rochefort...... 326 Arrêté n° 12-156 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la SARL BEAUTE MINCEUR à Rochefort...... 328 Arrêté n° 12-159 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Bioriginelle à Bourcefranc-le-Chapus...... 329 Arrêté n° 12-160 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Weldom à Saujon ...... 331 Arrêté n° 12-161 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Leader Price à Saujon...... 332 Arrêté n° 12-162 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Cadoret à Châtelaillon-Plage...... 333

255 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-169 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Litrimarché à Saint Jean d'Angély...... 335 Arrêté n° 12-166 en date du 19 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Marché U à Dompierre...... 336 Arrêté n° 12-170 en date du 19 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Litrimarché à Saint Georges des Coteaux...... 338 Arrêté n° 12-184 en date du 23 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au casino de La Rochelle...... 339 Arrêté n° 12-185 en date du 23 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'embarcadère du bac et à la gare de péage de Royan...... 341 Arrêté n° 12-252 en date du 26 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Espace Culturel - Centre Leclerc à Jonzac...... 342 Arrêté n° 12-379 en date du 10 février 2012 modifiant l'arrêté préfectoral n° 09-4183 DIR1/B1 du 18 novembre 2009 modifié portant renouvellement de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection...... 344 1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY ...... 345 Arrêté modifiant l'arrêté SP 2011-228-CDAC du 19 décembre 2011 portant renouvellement des membres de la commission départementale d'aménagement commercial de la Charente-Maritime...... 345 1.4. AGENCE REGIONALE DE SANTE...... 345 Décision n°144/2012 en date du 8 février 2012 instituant dans le département de la Charente-Maritime des commissions administratives paritaires départementales de la fonction publique hospitalière...... 345 Arrêté n°152/2012 en date du 9 février 2012 fixant la composition nominative du conseil de surveillance du Groupe hospitalier de LA ROCHELLE Ré-...... 346 1.5. Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime...... 347 Arrêté n° 111726S en date du 14 décembre 2011 portant agrément des associations sportives...... 347 Arrêté n° 121704S en date du 18 janvier 2012 portant agrément des associations sportives...... 348 Arrêté n° 121704S en date du 18 janvier 2012 portant agrément des associations sportives...... 349 Arrêté n° 12-392 du 13 février 2012 portant refus d'autorisation d'extention d'un service mandataire à la protection des majeurs...... 349 Arrêté n° 12-393 du 13 février 2012 portant refus d'autorisation d'extension d'un service délégué aux prestations familiales...... 350 Arrêté n° 121706S en date du 14 février 2012 portant agrément des associations sportives...... 351 Arrêté du 14 février 2012 n°12-402 modifiant l'arrêté n°12-345 du 03 février 2012 fixant la liste départementale des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux prestations familiales...... 351 1.6. Direction Départementale des territoires et de la mer...... 352 Arrêté n° 12EB0088 de mise en conformité des statuts et du périmètre de l'Association Syndicale Autorisée "Syndicat des Marais Mouillés de Salles - Angoulins"...... 352 Arrêté n° 12-355 du 6 février 2012, établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures Agricoles de la Charente-Maritime...... 353 Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12-011 du 8 février 2012 fixant les décisions relatives aux plantations de vignes mères de greffons sans récolte de fruits/grappes...... 357 Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD015 du 10 février 2012 portant décisions de rejet relatives aux plantations de vignes en vue de produire des vins IPG (Vins de Pays) pour la campagne 2011/2012...... 357 Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD013 du 10 février 2012 portant décision relative aux replantations de vigne par anticipation...... 358 Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD014 du 10 février 2012 fixant les décisions relatives aux plantations de vignes en vue de produire des vins IPG (Vins de Pays) pour la campagne 2011-2012...... 358 Extrait de l'arrêté préfectoral n°12AD016 du 15 février 2012 portant décisions relatives aux replantations de vigne par anticipation...... 359 Arrêté relatif à la prorogation de la suspension de l'exercice de la chasse à tir en Charente-Maritime pour raison de vague de froid...... 359 1.7. Direction Départementale protection des populations...... 360 Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Fouras...... 360 Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Port des Barques...... 361 Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Yves...... 362 1.8. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17.....363 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR ILE DE RE)...... 363 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR ARCHIAC)...... 365 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-GENIS-DE-SAINTONGE)..366 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR MATHA)...... 367 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR MATHA)...... 368 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR MONTENDRE)...... 369 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR MONTENDRE)...... 370

256 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR COZES)...... 371 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR COZES)...... 372 Agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINTONGE SUD)...... 373 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINTONGE SUD)...... 374 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR BEAUVAIS-SUR-MATHA)...... 376 Arrété portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR BEAUVAIS-SUR-MATHA)...... 377 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR CHEVANCEAUX)...... 378 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR CHEVANCEAUX)...... 379 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR ARCHIAC)...... 380 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR ILE-DE-RE)...... 381 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR GEMOZAC)...... 382 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR GEMOZAC)...... 383 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-SAVINIEN)...... 384 Arrêté portant agrément d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-SAVINIEN)...... 386 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR AIGREFEUILLE)...... 387 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR AIGREFEUILLE)...... 388 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR LOULAY)...... 389 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR LOULAY)...... 390 Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SURGERES)...... 391 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SURGERES)...... 392 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-GENIS-DE-SAINTONGE)...... 393 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (JOCEMARILYN- JOCELYNE BEBIN-DENEU)..394 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (Loïc STOBINSKY)...... 395 Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (Philippe BURGUIERE)...... 396 1.9. Préfecture de la Vienne...... 397 Arrêté portant modification des membres du conseil d'administration de l'Union pour le recouvrement de sécurité sociale et d'allocations familiales de la Charente-Maritime...... 397 Arrêté portant modification des membres du conseil d'administration de la caisse d'allocations familiales de Charente- Maritime...... 398 Arrêté portant modification du réglement local de la station de pilotage de La Rochelle-Charente...... 398 Arrêté portant modification du réglement local de la station de pilotage de La Rochelle-Charente...... 402 1.10. Visiteur...... 409 Décision d'ordonner l'opération d'aménagement foncier agricole et forestier dans la commune de Sablonceaux...... 409 Décision portant délégations permanentes de signature et de compétence - Maison Centrale de Saint Martin de Ré...410

2. AVIS...... 415

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement...... 415 Arrêté n°12-405 portant approbation de la modification n°1 du PSMV de Saintes...... 415 2.2. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY ...... 415 décision de la CDAC autorisant la création d'un ensemble commercial de 3515m2 à l'enseigne E.LECLERC à La Tremblade...... 415 Décision de la CDAC autorisant la création d'un magasin à l'enseigne Espace Revêtements de 494m2 à Saint-Jean d'Angély...... 416 Décision de la CDAC autorisant l'agrandissment du SUPER de 2800m2 pour aboutir à une surface de vente totale de 3860m2 à Marans...... 416 Décision de la CDAC autorisant la création d'un centre auto de 220m2 à Royan...... 417 2.3. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17.....418 Avis relatif à l'extension d'un avenant salarial à la convention collective de travail concernant les exploitations agricoles de polyculture, d'élevage, de cultures spécialisées, d'élevages spécialisés, de viticulture, des coopératives d'utilisation de matériel agricole (CUMA) et des entreprises de travaux agricoles et forestiers ayant leur siège en Charente-Maritime ...... 418 Avis relatif à l'extension d'un avenant salarial à l'annexe CADRES à la convention collective de travail concernant les exploitations agricoles de polyculture, d'élevage, de cultures spécialisées, d'élevages spécialisés, de viticulture et des entreprises de travaux agricoles et forestiers ayant leur siège en Charente-Maritime...... 419 2.4. Visiteur...... 420 Avis de concours interne sur titres d'un poste de cadre de santé - filière infirmière...... 420 Avis de concours sur titres pour le recrutement de 5 postes d'ouvriers professionnels qualifiés -O.P.Q.- Spécialité hôtellerie, bionettoyage de la fonction publique hopitalière...... 420 Avis de concours interne sur titres pour le recrutement d'un poste de maitre ouvrier dans la fonction publique hospitalière pour le Foyer départemental Lannelongue à Saint Trojan les Bains...... 421

257 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

1. Arrêtés

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement

Arrêté n° 12-391 DU 13 février 2012 portant extension de compétence et modification des statuts de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre Nationale du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1er : Le troisième groupe des compétences optionnelles des statuts de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré, relatif aux équipements culturels et sportifs est modifié ainsi qu'il suit :

« ARTICLE 5.2: COMPETENCES OPTIONNELLES (II de l'article L 5214-16 du CGCT et article L 5211-17)

3ème groupe: Construction, entretien et fonctionnement d'équipements culturels et sportifs

Construction, réhabilitation, Aménagement, gestion et entretien des équipements sportifs d'intérêt communautaire.

Sont d'intérêt communautaire:

- La Halle de sports à Saint Martin de Ré - un golf public - un centre aquatique à Saint Martin de Ré

1) Développement et aménagement de l'espace culturel communautaire

Participation au développement des pratiques culturelles intéressant l'ensemble du territoire

2) Extension, modernisation, aménagement, entretien et gestion de l'équipement culturel « La Maline », situé avenue du Mail – 17670 La Couarde sur Mer. »

ARTICLE 2: Les autres dispositions des statuts de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré demeurent inchangées.

ARTICLE 3: Sont approuvés, tels qu'annexés au présent arrêté, les statuts modifiés de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré.

ARTICLE 4: Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime; Le Président de la Communauté de Communes de l'Ile de Ré; Les Maires concernées; Le Directeur Départemental des Finances publiques; Le Trésorier de la Communauté de Communes; sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui fera l'objet d'une mention au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

La Rochelle, le 13 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation Le Secrétaire Général

258 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Julien CHARLES

La présente décision peut être contestée devant le Tribunal administratif de POITIERS dans le délai de deux mois suivant sa notification. Ce recours peut être précédé d'un recours administratif adressé à l'auteur de la décision. Dans ce cas, une décision expresse de refus peut être déférée au Tribunal administratif dans les deux mois qui suivent sa notification ; une décision implicite de refus née du silence gardé par l'administration pendant deux mois peut également être déférée au tribunal dans le délai de deux mois qui suit son intervention.

______

Arrêté n°12-397 du 13 février 2012 portant modification des périmétres de protection au titre des monuments historiques de l'église de la mairie de Beauvais sur Matha.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1e : Les périmètres de protection de l'Église de l'Assomption, façade et clocher, classé monument historique le 30 juin 1910 et de la Mairie de Beauvais sur Matha, inscrite monument historique le 23 novembre 2009, sur le territoire de la commune de Beauvais sur Matha, sont modifiés selon le plan joint en annexe 1, le tracé bleu devenant les nouveaux périmètres de protection de ces monuments historiques.

Article 2 : Le dossier présentant ces modifications est consultable à la mairie de Beauvais sur Matha, à la préfecture de Charente-Maritime et au service territorial de l’architecture et du patrimoine de Charente-Maritime.

Article 3 : Les périmètres de protection constituent des servitudes d’utilité publique et leurs modifications doivent être annexées au document d’urbanisme conformément à l’article L.126-1 du code de l’urbanisme. La commune de Beauvais sur Matha doit modifier les documents graphiques des servitudes concernées, dans le délai de trois mois à compter de la signature du présent arrêté, et en assurer la diffusion auprès des services de l’Etat.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif compétent dans les deux mois à compter de sa publication.

Article 5 : Le présent arrêté sera affiché en mairie et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et mention en sera faite dans deux journaux du département.

Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture de Charente-Maritime, le sous-préfet de Saint Jean d'Angely, le maire de Beauvais sur Matha, le directeur régional des affaires culturelles de Poitou-Charentes, et le chef du service territorial de l’architecture et du patrimoine de Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au ministre de la culture et de la communication.

La Rochelle, le 13 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général, Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement") ______

259 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet

Arrêté n° 11-3332 en date du 26 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST à Saint Pierre d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité du CIC OUEST Agence de St Pierre d’Oléron est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0336.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable de sécurité .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

260 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Les arrêtés n° 98- 1056 DIR1 B1 du 16 avril 1998 et n° 08-4151 DIR1/B1 du 27 octobre 2008 sont abrogés.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT PIERRE D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable sécurité du CIC OUEST, 2 avenue Jean-Claude Bonduelle - 44040 NANTES CEDEX 1.

La Rochelle, le 26 octobre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3336 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST à Châtelaillon Plage

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité du CIC OUEST , 2, avenue Jean Claude Bonduelle – 44040 BNANATES Cédex 1, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0334.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

261 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable sécurité du CIC OUEST à NANTES.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté n° 98-1056 DIR1/B1 du 16 avril 1998 modifié par l'arrêté n° 08-2407 DIR1/B1 du 26 juin 2008 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de CHATELAILLON PLAGE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable sécurité , 2 avenue Jean-Claude BONDUELLE 44040 NANTES CEDEX 1.

La Rochelle, le 27 octobre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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262 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 11-3337 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CIC OUEST au Château d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité du CIC OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0338.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable sécurité du CIC OUEST à NANTES.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

263 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté n°05-2747 DIR1/B1 du 19/08/2005 modifié par l'arrêté n° 08-2409 DIR1/B1 du 26 juin 2008 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de LE CHATEAU D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable sécurité du CIC OUEST , 2 avenue Jean-Claude Bonduelle 44040 NANTES.

La Rochelle, le 27 octobre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3338 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE RALLYE à Saint Pierre d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Charles DEBENEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0547.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Charles DEBENEST.

264 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT PIERRE D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Charles DEBENEST , 40 rue de la République 17310 SAINT PIERRE D'OLERON.

La Rochelle, le 27 OCTOBRE 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3339 en date du 27 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le tabac LA GITANE à Dolus d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

265 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

Article 1er – Madame Marie-Hélène ANDRE est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0548.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Marie-Hélène ANDRE .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

266 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de DOLUS D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Marie-Hélène ANDRE , 47 Grande rue 17550 DOLUS D'OLERON.

La Rochelle, le 27 octobre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3343 en date du 28 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE à Semussac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Vanessa PRINET est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0549.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur ou Madame PRINET.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

267 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SEMUSSAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Vanessa PRINET , ZA pré des Chardons 17120 SEMUSSAC.

La Rochelle, le 28 octobre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3344 en date du 28 octobre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE POSEIDON à Châtelaillon-Plage

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Thierry JUBLIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0349.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

268 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Thierry JUBLIN .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de CHATELAILLON PLAGE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Thierry JUBLIN , 4 place Andre Hesse 17340 CHATELAILLON-PLAGE.

La Rochelle, le 28 octobre 2011

LA PREFETE,

269 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

______

Arrêté n° 11-3345 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la pharmacie LAINE à Fouras

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Florence LAINE est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0542.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madmae Florence LAINE .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

270 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de FOURAS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Florence LAINE , place de la mairie 17450 FOURAS.

La Rochelle, le 2 novembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

______

Arrêté n° 11-3347 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la discothèque LE MOULIN à Saint Georges d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Amélie PETIT est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0537.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

271 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Amélie PETIT.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT GEORGES D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Amélie PETIT , 1024 Port du Douhet 17190 SAINT GEORGES D'OLERON.

La Rochelle, le 2 novembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

______

272 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 11-3348 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour CAFE DU PORT à Esnandes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Sylvain POIXBLANC est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0254 en excluant la caméra implantée dans la zone non ouverte au public.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Sylvain POIXBLANC.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

273 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de ESNANDES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Sylvain POIXBLANC , 19 rue de l'ocean 17137 ESNANDES.

La Rochelle, le 2 novembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3350 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour MARIONNAUD PARFUMERIES MARIONNAUD LAFAYETTE à Angoulins

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur GAETANO PEZZA est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0325.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Henri PFEMMERT.

274 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de ANGOULINS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur GAETANO PEZZA , 32 RUE DE MONCEAU 75379 CEDEX 8.

La Rochelle, le 2 novembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3351 en date du 2 novembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour RELAY FRANCE à la Gare SNCF de La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

275 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

Article 1er – Monsieur Btissam KHAYAT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0351.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur philippe BON.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

276 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Btissam KHAYAT , 35 rue Deguingand 92300 LEVALLOIS-PERRET.

La Rochelle, le 2 novembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3620 en date du 1er décembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à ATLANTIC STATION SERVICE à Angoulins

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Alain GUERINET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0372.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. GUERINET, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

277 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de ANGOULINS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Alain GUERINET , Route de Rochefort - RN 137 17690 ANGOULINS SUR MER.

La Rochelle, le 1er décembre 2011

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

______

Arrêté n° 11-3636 en date du 2 décembre 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SCM DENIS VICQ-BAUZA à Châtelaillon-Plage

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Anne-Sophie VICQ-BAUZA est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection sans dispositif d’enregistrement conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0429.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

278 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable,

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés.

Article 3 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 4 – L'accès à la salle de visionnage devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système.

Article 5 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 6 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 7 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 8 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 9 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de CHATELAILLON PLAGE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Anne-Sophie VICQ-BAUZA , 9 boulevard de la libération 17340 Châtelaillon Plage.

La Rochelle, le 2 décembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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279 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 11-3638 en date du 2 décembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Parfumerie Beauty Success à Surgères

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Mademoiselle Malika MOQUET est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0171.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mlle MOQUET, gérante.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

280 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SURGERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Mademoiselle Malika MOQUET , 14 rue Bersot 17700 SURGERES.

La Rochelle, le 2 décembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3671 en date du 6 décembre 2011 portant autorisation d'un sytème de vidéoprotection situé à TOM POUCE PRESSE à Montguyon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Alain VINSONNAUD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0405.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. VINSONNAUD, exploitant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

281 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de MONTGUYON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Alain VINSONNAUD , 11 avenue de la République 17270 MONTGUYON.

La Rochelle, le 6 décembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-29 en date du 6 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour A.R.Sport à Angoulins

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

282 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

Article 1er – Monsieur Raymond PINCHEMAIL, gérant de l’établissement A.R. Sport, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de deux caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0327.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Raymond PINCHEMAIL ou de Madame Sylvie CHAUVET.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

283 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire d’ANGOULINS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Raymond PINCHEMAIL , 14 avenue des fourneaux, zone commerciale La Rochelle sud 17690 Angoulins.

La Rochelle, le 6 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-82 en date du 13 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le CASINO BARRIERE de Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Gilles VERGY est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0487.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Gilles VERGY, Directeur Général.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, conformément à la réglementation sur les jeux, les enregistrements sont détruits après un délai de 7 jours minimum et 28 jours pour ceux concernant les entrées des salles de jeux, les tables de jeux, les caisses, les salles de coffre et de comptée.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place.

284 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté n° 07-2577 du 10 juillet 2007 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Gilles VERGY, directeur général du CASINO BARRIERE de ROYAN, esplanade de Pontaillac 17200 ROYAN.

La Rochelle, le 13 janvier 2012

LA PREFETE, Signé Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté n° 12-83 en date du 13 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour CARREFOUR à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Mickael CHAUVET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0491.

285 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur CHAUVET, Directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté n° 11/210/CAB/BC du 27 janvier 2011est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINTES

286 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012 sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Mickael CHAUVET, directeur de l’établissement « CARREFOUR », cours du Maréchal Leclerc, 17102 SAINTES Cédex.

La Rochelle, le 13 janvier 2012

LA PREFETE, Signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté n° 12-101 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA JET de La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Hervé TRAVERS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0450.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. TRAVERS, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

287 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hervé TRAVERS, 83 route Des Grands Coutas - La Menounière 17310 SAINT PIERRE D'OLERON.

La Rochelle, le 16 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-104 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Caisse d'Epargne Poitou-Charentes de Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0402.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

288 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens , 61 rue du Château d'Eau 33076 Bordeaux Cedex.

La Rochelle, le 16 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

289 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

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Arrêté n° 12-105 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Caisse d'Epargne Poitou-Charentes de Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro n° 2011/0401.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles

290 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de Puilboreau, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Directeur du Département Sécurité des Personnes et des Biens, 61 rue du Château d'Eau 33076 Bordeaux Cedex..

La Rochelle, le 16 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n°12-106 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA BEAULIEU à Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Hervé TRAVERS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0448.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

291 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. TRAVERS, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hervé TRAVERS, 85 route des Grands Coutas - La Menounière 17310 SAINT PIERRE D'OLERON.

La Rochelle, le 16 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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292 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-98 en date du 16 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé BEST WESTERN MASQ HOTEL à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Christine MULFORD est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0414.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme SCHOLTEN Christine, directrice.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

293 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Christine MULFORD , 17 route de l'Ouvrage à Cornes 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 16 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-110 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé EURL AQUA JET de Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Hervé TRAVERS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0449.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. TRAVERS, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

294 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hervé TRAVERS, 83 route des Grands Coutas - La Menounière 17310 SAINT PIERRE D'OLERON.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-112 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à AMUZ et VOUS à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

295 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 1er – Monsieur Wilfrid MAUTRAY est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 2 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0430.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. MAUTRAY, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 14 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet,

296 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Wilfrid MAUTRAY, 3 rue Marie-François Bichat 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-118 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le Foyer Logement LA RESIDENCE DU PARC à Saint Georges d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Eric PROUST est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 1 caméra intérieure et 5 caméras extérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0545.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Eric PROUST.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

297 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT GEORGES D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Eric PROUST, Président du Centre Communal d’Action Social, 875 avenue du trait d'Union 17190 SAINT GEORGES D'OLERON.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-119 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la délégation territoriale du Conseil Général de la Charente-Maritime à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Serge GAPAIL , directeur général des services du Conseil Général de la Charente-Maritime, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 2 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0494.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

298 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur GUIGNARD, responsable de la protection des personnels et du patrimoine. .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Serge GAPAIL , Directeur génèral des Services du CONSEIL GENERAL DE LA CHARENTE-MARITIME 85 boulevard de la République 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE,

299 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-120 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour le Centre Hospitalier de Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Pierrick DIEUMEGARD est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 5 caméras intérieures et 15 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0486.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du service de Sécurité du Centre Hospitalier.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

300 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Pierrick DIEUMEGARD, Directeur du Centre Hospitalier, 1 avenue Béligon 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-121 en date du 17 janvier 2012 portant modification d'un système de vidéoprotection à l'agence CIC OUEST La Rochelle-Tasdon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité du CIC OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à l'adresse sus-indiquée, à modifier l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2011/0342.

Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral n° 08/2405 DIR1/B1 du 26 juin 2008 susvisé.

Article 2 – Les modifications portent sur le nombre et l’implantation des caméras:

Article 3 – Le reste des dispositions prévues par l’arrêté n° 08/2405 DIR1/B1 du 26 juin 2008 demeure applicable.

Article 4 - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable sécurité du CIC OUEST, 2 avenue Jean-Claude Bonduelle, 44040 NANTES CEDEX 1.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE,

301 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-122 en date du 17 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Industriel de l'Ouest à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité du CIC OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0340.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable sécurite du CIC OUEST.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

302 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L'arrêté n° 98-1056 DIR1/B1 du 16/04/1998 modifié par les arrêtés n° 06-1411 DIR1/B1 du 27 avril 2006 et n° 08-2406 DIR1/B1 du 26 juin 2008 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable sécurité du CIC OUEST, 2 avenue Jean-Claude Bonduelle 44040 NANTES.

La Rochelle, le 17 JANVIER 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-123 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour l'agence de la Barclays Bank à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable Sécurité est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0332.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

303 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable securité de la DARCLAYS BANK .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable Sécurité de la Barclays Bank, 183 avenue Daumesnil 75012 Paris.

La Rochelle, le 17 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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304 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-125 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à Aytré

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er –; L’une des caméras du dispositif, placée à l’extérieur et visionnant la voie publique, est exclue du dispositif autorisé . Pour les autres caméras, le Responsable du Service Sécurité de BNP Paribas est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0322.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur le Responsable du Service Sécurité de BNP Paribas .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

305 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture .

Dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l’intéressé ou de sa publication au document précité les recours suivants peuvent être introduits :

- un recours gracieux adressé au service désigné sous le présent timbre.

- un recours hiérarchique adressé à : M. le Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités Publiques Direction des Libertés Publique et des Affaires Juridiques Sous Direction des Libertés Publiques et de la Police Administrative 11, rue des Saussaies – 75800 Paris cedex 08.

- un recours contentieux adressé au Tribunal Administratif de POITIERS.

Article 11 – L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - le maire d’AYTRÉ, - le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur le Responsable du Service Sécurité de BNP Paribas , 14 boulevard Poissonnière 75009 PARIS.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-127 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour TABAC LE BOUNTY à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Bernard COUTURIER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0495.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

306 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Bernard COUTURIER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Bernard COUTURIER, TABAC LE BOUNTY, avenue Lazaret - galerie marchande 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

307 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

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Arrêté n° 12-128 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour PHARMACIE DES SALINES à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Frédérique LE GALL, épouse MENAGER est autorisé), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0374.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Frederique MENAGER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans

308 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012 l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Frederique LE GALL, épouse MENAGER , PHARMACIE DES SALINES », 24 avenue Billaud Varenne - 17000 LA ROCHELLE ;

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-129 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour PRESSE PAPIER à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Agnés MUREAU est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0493.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Protection Incendie/Accidents, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

309 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Agnés MUREAU.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté.n° 99-4324 DIR1/B1 du 20 décembre 1999 modifié par arrêté n° 10-822 CAB/BC du 30 mars 2010 est abrogé

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Agnés MUREAU , 3 rue du Palais 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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310 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-130 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LEADER PRICE Leader Distribution à Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Sébastien GUERIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 15 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0488.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Sébastien GUERIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

311 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Sébastien GUERIN , LEADER PRICE Leader distribution » 6 rue Villeneuve Montigny 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-131 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LEADER PRICE à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Sébastien GUERIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 15 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0489.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Autres (cambriolages).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès Monsieur Sébastien GUERIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

312 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Sébastien GUERIN , 7 rue Henri Matisse 17200 ROYAN.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-132 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour MARCHE U à Vaux sur Mer

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

313 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 1er – Monsieur Michel MARAIS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 14 caméras intérieures et 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0490.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (Cambriolage, vandalisme).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès Monsieur Michel MARAIS.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

314 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 12 – L’arrêté n° 05-2773 DIR1/B1 du 19 août 2005 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de VAUX SUR MER sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Michel MARAIS, SAS VAUDIS , 6 avenue des hautes Folies 17640 VAUX SUR MER.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-133 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BOULANGERIE BOURGEOIS à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur OLIVIER BOURGEOIS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0376.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Olivier BOURGEOIS.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

315 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur OLIVIER BOURGEOIS , 75 rue MARIUS LACROIX 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012.

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-134 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour AU FOURNIL DU PARC à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur OLIVIER BOURGEOIS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0375.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

316 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès Monsieur Olivier BOURGEOIS.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur OLIVIER BOURGEOIS , 52 avenue de Metz, 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation

317 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-135 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour FALBALA à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Mademoiselle ELISE MOUTE est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0348.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (VOLS SUR SITE).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mademoiselle Elise MOUTE.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles

318 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Mademoiselle ELISE MOUTE , 15 rue FLEURIAU 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-145 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LE SCAT à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Grégory FAURE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0496.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

319 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Grégory FAURE.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 0 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Grégory FAURE, SARL FAURES , 26 rue Saint Nicolas 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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320 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-146 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BRIT'HOTEL BRASSERIE DU CAP à Périgny

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Eric RICHARD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0499.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Messieurs Eric RICHARD et METIVIER Stéphane.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

321 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Eric RICHARD, SARL METIVIER -RICHARD, rond-point de la République 17180 PERIGNY.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-147 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour LITRIMARCHE à Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Hugues MORIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0500.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Hugues MORIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

322 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hugues MORIN, SARL LA ROCHELLE LITERIE , 15 rue du 18 juin 17138 PUILBOREAU.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-153 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour SOMELIA à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

323 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 1er – Monsieur HUGHES MORIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0501.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Hugues MORIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime,

324 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur HUGHES MORIN, SAINT GEORGES LITERIE, 13 rue de Bellegarde 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-154 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour BIOCOOP à Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Anne Marie COUDRIN est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 5 caméras intérieures et 1 caméra extérieure, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0502.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Anne-Marie COUDRIN et/ou Madame Carolle CARRIER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

325 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Anne Marie COUDRIN, SARL BIOCOOP ROCHEFORT, rue des Pêcheurs d'Islande 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-155 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour OPTIQUE ET LUNETTES à Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Mathieu HARCAUT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0503.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

326 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Mathieu HARCAUT.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 5 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Mathieu HARCAUT, SARL OPTIQUE ET LUNETTES, 1 rue Maurice Mallet 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

327 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-156 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour la SARL BEAUTE MINCEUR à Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Isabelle DUVERNEIX est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0504.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Prévention des atteintes aux biens, Autres (vols).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Isabelle DUVERNEIX.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 1 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans

328 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012 l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Isabelle DUVERNEIX, SARL BEAUTE MINCEUR, 123 rue Thiers 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-159 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Bioriginelle à Bourcefranc-le-Chapus

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Mickael ROYER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 8 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0536.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

329 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Mickael ROYER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de BOURCEFRANC LE CHAPUS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Mickael ROYER, SARL BIORIGINELLE, ZA LE RIVAUX 17560 BOURCEFRANC.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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330 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 12-160 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Weldom à Saujon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Cécile GARNIER est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 21 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0538.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (Cambriolage, Vandalisme).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Madame Cécile GARNIER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

331 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté n° 07- 1395 DIR1/B1 du 23 avril 2007 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAUJON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Cécile GARNIER, SARL ETS GENET, La croix du Bourdon 17600 SAUJON.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-161 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Leader Price à Saujon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Sébastien GUERIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 15 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0539.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (cambriolages).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Sébastien GUERIN.

332 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAUJON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Sébastien GUERIN, Leader Distribution Saujon, 15 avenue Thiers 17600 SAUJON.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-162 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Cadoret à Châtelaillon-Plage

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

333 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Marc CADORET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0329.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Jean-Marc CADORET.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 25 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

334 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Directeur départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de CHATELAILLON PLAGE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Marc CADORET , 107 boulevard de la République 17340 CHATELAILLON-PLAGE.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-169 en date du 18 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Litrimarché à Saint Jean d'Angély

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Hugues MORIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0551.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Hugues MORIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

335 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT JEAN D'ANGELY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hugues MORIN, SAINTONGE LITERIE, 1 avenue du Général de Gaulle, 17400 SAINT JEAN D'ANGELY.

La Rochelle, le 18 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-166 en date du 19 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Marché U à Dompierre

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jacky BOURREAU est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 5 caméras intérieures et 1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0541.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

336 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès Monsieur Jacky BOURREAU.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture .

Dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l’intéressé ou de sa publication au document précité les recours suivants peuvent être introduits :

- un recours gracieux adressé au service désigné sous le présent timbre.

- un recours hiérarchique adressé à : Monsieur le Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités Publiques Direction des Libertés Publique et des Affaires Juridiques Sous Direction des Libertés Publiques et de la Police Administrative 11, rue des Saussaies – 75800 Paris cedex 08.

- un recours contentieux adressé au Tribunal Administratif de POITIERS.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

337 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de DOMPIERRE SUR MER, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jacky BOURREAU, SAS DOMDIAL, 1 rue de l'adjudant Gallaud 1 – 17139 DOMPIERRE SUR MER.

La Rochelle, le 19 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-170 en date du 19 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Litrimarché à Saint Georges des Coteaux

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur HUGUES MORIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0550.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès Hugues MORIN.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

338 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture .

Dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l’intéressé ou de sa publication au document précité les recours suivants peuvent être introduits :

- un recours gracieux adressé au service désigné sous le présent timbre.

- un recours hiérarchique adressé à : Monsieur le Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités Publiques Direction des Libertés Publique et des Affaires Juridiques Sous Direction des Libertés Publiques et de la Police Administrative 11, rue des Saussaies – 75800 Paris cedex 08.

- un recours contentieux adressé au Tribunal Administratif de POITIERS.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINT GEORGES DES COTEAUX sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur HUGUES MORIN , SAINTONGE LITERIE, 3 rue de Bellegarde ZAC DES COTEAUX 17810 SAINT GEORGES DES COTEAUX.

La Rochelle, le 19 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-184 en date du 23 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au casino de La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

339 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

Article 1er – Monsieur Grégory DIOP est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à l'adresse sus-indiquée, à installer et à exploiter un système de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2011/0135.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme BOUCHON, Directrice.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai de 7 jours et de 28 jours pour ceux concernant les entrées des salles de jeux, les tables de jeux, les caisses, les salles de coffre et de comptée.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

340 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 : L’arrêté préfectoral n° 01-2969 DIR1/B1 du 3 octobre 2001 portant autorisation d’un système de vidéoprotection sur le site du Casino La Rochelle sis Allée du Mail, modifié par les arrêtés préfectoraux n° 05-4446 DIR1/B1 du 21 décembre, du 28 décembre 2007, n° 08-2374 DIR1/B1 du 26 juin 2008, est abrogé.

Article 13 - Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de La Rochelle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Grégory DIOP, allée du Mail 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 23 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-185 en date du 23 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'embarcadère du bac et à la gare de péage de Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Gérard BOUCHET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0331.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la Direction des Transports Maritimes – 19 avenue du Phare de Cordouan – 33123 LE VERDON SUR MER.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

341 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Gérard BOUCHET, 19 avenue du Phare de Cordouan - 33123 LE VERDON SUR MER.

La Rochelle, le 23 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-252 en date du 26 janvier 2012 portant autorisation d'un système de vidéoprotection pour Espace Culturel - Centre Leclerc à Jonzac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

342 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 1er – Monsieur Etienne JOYAU est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 11 caméras intérieures, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0540.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (cambriolages).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Monsieur Stephane DEVOS.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

343 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 12 – L’arrêté n° 09/1113 DIR1/B1 du 24 mars 2009 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, directeur de cabinet du Préfet, - Le Colonel commandant le Groupement de la Gendarmerie de la Charente-Maritime, - Le Maire de JONZAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Etienne JOYAU, SAS SEUGNE DISTRIBUTION , 26 avenue Monseigneur Chauvin 17500 JONZAC.

La Rochelle, le 26 janvier 2012

LA PREFETE, Pour la préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 12-379 en date du 10 février 2012 modifiant l'arrêté préfectoral n° 09-4183 DIR1/B1 du 18 novembre 2009 modifié portant renouvellement de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’article 1 de l’arrêté n° 09-4183 DIR1/B1 du 18 novembre 2009 modifié, est modifié comme suit :

« La composition de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection est fixée ainsi qu’il suit :

- Mme Isabelle DUHAMEL-COSTES, Vice-Présidente au Tribunal de Grande Instance de La Rochelle, en qualité de Président titulaire, - M. Bernard TAILLEBOT, Vice-Président du Tribunal de Grande Instance de La Rochelle, en qualité de Président suppléant, - M. Jean-François CRETET, Maire du Gué d’Alleré, en qualité de membre titulaire, - M. Bernard BESSON, Maire de Ferrières d’Aunis, en qualité de membre suppléant, - M. Renaud HERIS, Chambre de Commerce et d’Industrie de La Rochelle, en qualité de membre titulaire, - Mme Pascale STRANSKY, Chambre de Commerce et d’Industrie de Rochefort et de Saintonge, en qualité de membre suppléant, - M. Jean-Pierre BLANCHON, personnalité qualifiée, en qualité de membre titulaire, - M. Jean-Pierre DINAND, personnalité qualifiée, en qualité de membre suppléant. »

Les autres dispositions demeurent sans changement.

ARTICLE 2 : La Préfète de la Charente-Maritime est chargée de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs .

LA ROCHELLE, le 10 février 2012

LA PREFETE, signé : Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet") ______

344 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT- JEAN-D'ANGELY

Arrêté modifiant l'arrêté SP 2011-228-CDAC du 19 décembre 2011 portant renouvellement des membres de la commission départementale d'aménagement commercial de la Charente-Maritime.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Art. - 1 : l'article 1-8 de l'arrêté n° 2011/228/CDAC du 19 décembre 2011 renouvelant les membres de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial de la Charente-Maritime est modifié de la façon suivante :

Une des trois personnalités en matière de consommation, de développement durable, d'aménagement du territoire est remplacée par une personnalité qualifiée appartenant au membre du comité consultatif de la diffusion cinématographique lorsque la commission se réunit pour examiner les projets d’aménagement cinématographiques.

Art. – 8 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

LA ROCHELLE, le 13 février 2012 LA PREFETE, Pour la Préfète Le Secrétaire Général Signé Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY") ______

1.4. AGENCE REGIONALE DE SANTE

Décision n°144/2012 en date du 8 février 2012 instituant dans le département de la Charente-Maritime des commissions administratives paritaires départementales de la fonction publique hospitalière

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

Article 1or : Huit commissions administratives paritaires départementales sont instituées dans le département de la Charente-Maritime, pour les corps des fonctionnaires de catégorie A, B et C de la fonction publique hospitalière :

Corps de catégorie A :  n°1 : personnels d'encadrement technique,  n°2 : personnels de catégorie A des services de soins, des services médico-techniques et des services sociaux,

Corps de catégorie B  n°4 : personnels d'encadrement technique,  n°5 : personnels des services de soins, des services médico-techniques et des services sociaux,  n°6 : personnels d'encadrement administratif et des assistants médico-administratifs,

Corps de catégorie c

345 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

 n°7 : personnels techniques, ouvriers, conducteurs ambulanciers et personnels d'entretien et de salubrité,  n°8 : personnels des services de soins, des services médico-techniques et des services sociaux,  n°9 : personnels administratifs.

Article 2 : Le directeur du groupe hospitalier de La Rochelle – Ré - Aunis assure la gestion de l'ensemble des commissions administratives paritaires départementales du département de la Charente-Maritime citées à l'article 1er.

Article 3 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours contentieux dans un délai de deux mois à compter de la notification, ou à l’égard des tiers de sa publication.

Article 4 : Le directeur du centre hospitalier de La Rochelle est chargé de l'exécution de la présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Charente-Maritime.

Fait à Poitiers, le 8 février 2012

Par délégation, La directrice De l’offre sanitaire et médico-sociale,

Signé

Laurence RIVALLANT-DELABIE.

______

Arrêté n°152/2012 en date du 9 février 2012 fixant la composition nominative du conseil de surveillance du Groupe hospitalier de LA ROCHELLE Ré-Aunis

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le conseil de surveillance du du Groupe Hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis, situé rue du Docteur Schweitzer 17019 LA ROCHELLE Cédex 01, (Charente-Maritime), établissement public de santé de ressort communal est composé de quinze membres.

ARTICLE 2 : Sont membres du conseil de surveillance du Groupe Hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis:

I Membres ayant voix délibérative :

1° Au titre des représentants des collectivités territoriales : - Monsieur Maxime BONO, Maire de La Rochelle ; - Monsieur Jean-Claude CHICHE, représentant de la commune de La Rochelle ; - Monsieur Patrick LARIBLE, représentant de la communauté d’agglomération de La Rochelle ; - Monsieur Abdel Nasser ZERARGA, représentant de la communauté d’agglomération de La Rochelle ; - Madame Marylise FLEURET-PAGNOUX, représentante du conseil général du département de la Charente- Maritime ;

2° Au titre des représentants du personnel :

346 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Madame le Docteur Dominique MEYER, membre de la Commission Médicale d’Etablissement ; - Madame le Docteur Pascale PUZOS, membre de la Commission Médicale d’Etablissement ; - Madame Fatiha LATRECHE, membre de la Commission de Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico- Techniques ; - Monsieur Alain GAIGNARD, membre désigné par les Organisations Syndicales - Monsieur Christophe GEFFRE, membre désigné par les Organisations Syndicales ; 3° Au titre des personnalités qualifiées : - Monsieur BAUTZ et Monsieur le Docteur FAUCHER, personnalités qualifiées désignées par le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé ; - Monsieur DECHELETTE, maire de St Martin, personnalité qualifiée désignée par le Préfet de Charente- Maritime ; - Madame Catherine LEPAGE et Monsieur ARTUS, représentants des usagers désignés par le Préfet de Charente-Maritime ;

II Membres ayant voix consultative :

- Le Vice Président du Directoire du Groupe Hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis; - Le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes ; - Le représentant de de la structure chargée de la réflexion d'éthique au sein du Groupe Hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis, si cette structure existe ; - Pour les établissements délivrant des soins de longue durée ou gérant un EHPAD, le représentant des familles de personnes accueillies ;

ARTICLE 3 : L’arrêté n°2012/105 en date du 25 janvier 2012 modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du Centre Hospitalier de LA ROCHELLE (Charente-Maritime) est retiré.

ARTICLE 4 :

Un recours contentieux contre le présent arrêté peut être formé auprès du Tribunal administratif de Poitiers dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, ou à l’égard des tiers, à compter de sa publication.

ARTICLE 5 :

Le Directeur du Groupe Hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis et le Délégué Territorial de la Charente-Maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des actes administratifs de la Prefecture de la Charente-Maritime.

Fait à Poitiers,

Par délégation, La Directrice de l’Offre Sanitaire et Médico-Sociale,

Signé

Laurence RIVALLANT-DELABIE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "AGENCE REGIONALE DE SANTE") ______

1.5. Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime

Arrêté n° 111726S en date du 14 décembre 2011 portant agrément des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

347 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : TAEKWONDO PAYS ROYANNAIS

Siège social : 17200 SAINT SULPICE DE ROYAN

Ayant pour objet : Le développement de la pratique des activités du TAEKWONDO est agréée comme association sportive sous le n° 11 - 17 - 26 S

ARTICLE 2 : Le Directeur Départemental de la Cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 14 décembre 2011

P. Le Directeur départemental, Le Chef de service

Signé Meidhi VERMEULEN

______

Arrêté n° 121704S en date du 18 janvier 2012 portant agrément des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : AEROMODELISME DE HAUTE SAINTONGE

Siège social : 17500 SAINT GERMAIN DE LUSIGNAN

Ayant pour objet : Le développement de la pratique des activités physiques et sportives de l’AEROMODELISME est agréée comme association sportive sous le n° 12 - 17 - 04 S

ARTICLE 2 : Le Directeur Départemental de la Cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 18 janvier 2012

P. Le Directeur départemental, Le Chef de service

Signé Meidhi VERMEULEN

348 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

______

Arrêté n° 121704S en date du 18 janvier 2012 portant agrément des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : BUREAU DES SPORTS DE SUP DE CO LA ROCHELLE

Siège social : 17000 LA ROCHELLE

Ayant pour objet : Le développement de la pratique des activités physiques et sportives du SPORT UNIVERSITAIRE est agréée comme association sportive sous le n° 12 - 17 - 05 S

ARTICLE 2 : Le Directeur Départemental de la Cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 18 janvier 2012

P. Le Directeur départemental, Le Chef de service

Signé Meidhi VERMEULEN

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Arrêté n° 12-392 du 13 février 2012 portant refus d'autorisation d'extention d'un service mandataire à la protection des majeurs.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : L’autorisation visée à l’article L313-1 du code de l’action sociale et des familles est refusée à l’Association Départementale pour l’Education et l’Insertion (ADEI) pour l’extension significative de son service mandataire judiciaire à la protection des majeurs situé 8 boulevard du Commandant Charcot à Aytré, destiné à exercer des mesures de protection des majeurs au

349 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012 titre de mandat spécial auquel il peut être recouru dans le cadre de la sauvegarde de justice ou au titre de curatelle, de la tutelle et/ou de la mesure d’accompagnement judiciaire.

Article 2 : Dans les deux mois de sa notification ou de sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet soit d’un recours gracieux devant le Préfet, soit d’un recours contentieux devant le Tribunal Administratif compétent de Poitiers sis 15 rue Blossac, 86 000 Poitiers.

Article 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture et Monsieur le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Charente-Maritime. Fait à La Rochelle le 13 février 2012 La Préfète Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté n° 12-393 du 13 février 2012 portant refus d'autorisation d'extension d'un service délégué aux prestations familiales.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : L’autorisation visée à l’article L313-1 du code de l’action sociale et des familles est refusée à l’Association Départementale pour l’Education et l’Insertion (ADEI) pour l’extension significative de son service délégué aux prestations familiales situé 8 boulevard du Commandant Charcot à Aytré, destiné à exercer des mesures judiciaires d’aide à la gestion du budget familial.

Article 2 : Dans les deux mois de sa notification ou de sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet soit d’un recours gracieux devant le Préfet, soit d’un recours contentieux devant le Tribunal Administratif compétent de Poitiers sis 15 rue Blossac, 86 000 Poitiers.

Article 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture et Monsieur le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Charente-Maritime. Fait à La Rochelle le 13 février 2012 La Préfète Béatrice ABOLLIVIER

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350 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté n° 121706S en date du 14 février 2012 portant agrément des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : CLUB AQUATIQUE HAUTE SAINTONGE Section Handisport

Siège social : 17500 SAINT GERMAIN DE LUSIGNAN

Ayant pour objet : Le développement de la pratique des activités physiques et sportives du HANDISPORT est agréée comme association sportive sous le n° 12 - 17 - 06 S

ARTICLE 2 : Le Directeur Départemental de la Cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 14 février 2012

P. Le Directeur départemental, Le Chef de service

Signé Meidhi VERMEULEN

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Arrêté du 14 février 2012 n°12-402 modifiant l'arrêté n°12-345 du 03 février 2012 fixant la liste départementale des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux prestations familiales

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er

L’arrêté sus visé est modifié comme suit en son article 1er.II.2 personnes physiques exerçant à titre individuel.

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel :

NOM PRENOM ADRESSE BAFOIL Véronique 104 rue Audry de Puyravault 17700 Surgères BARILLEC Michèle 263 rue du Prieuré Charentenay 17700 St Mard HERRY Catherine 7 rue de Varennes 17290 Le Thou NAUD Marie-Elisabeth La Bridonnerie 17780 ST Nazaire/Charente NOURAUD Jean-Claude 21 rue Eugène Delacroix 17180 Périgny ROSSIGNOL Isabelle 116B Av Denfert Rochereau BP 22072 17010 La Rochelle

351 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ZERBIB Sébastien 29 route du Puy Gibaud 17100 Foncouverte

Article 2

Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la cohésion sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime.

La Rochelle, 14 février 2012

La Préfète Pour la Préfète et par délégation Le Secrétaire Général

Julien Charles

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime") ______

1.6. Direction Départementale des territoires et de la mer

Arrêté n° 12EB0088 de mise en conformité des statuts et du périmètre de l'Association Syndicale Autorisée "Syndicat des Marais Mouillés de Salles - Angoulins"

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 Les statuts de l'A.S.A. "Syndicat des Marais Mouillés de SALLES - ANGOULINS" mis en conformité avec les dispositions de l'ordonnance n° 2004-632 du 1er juillet 2004 et du décret n° 2006-504 du 3 mai 2006, sont approuvés.

ARTICLE 2 Les documents originaux (statuts, liste des biens inclus dans le périmètre) sont consultables au siège de l'A.S.A. (mairie de SALLES-sur-MER - 17220).

ARTICLE 3 L'arrêté préfectoral du 10 mars 1954 est abrogé.

ARTICLE 4 Un extrait du présent arrêté sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime. En outre le présent arrêté devra être affiché, au plus tard dans un délai de 15 jours à compter de sa signature : - soit à la porte principale de la mairie de la commune de SALLES-sur-MER et ANGOULINS, - soit à un autre endroit apparent et fréquenté du public, désigné par arrêté municipal, dans la commune intéressée.

ARTICLE 5 Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de Poitiers (15 rue de Blossac - B.P. 541 - 86020 Poitiers Cedex), dans un délai de deux mois à compter de sa publication.

352 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Sous peine d'irrecevabilité du recours contentieux, la contribution pour l'aide juridique de 35 Euros prévue par l'article 1635 bis Q du Code général des impôts devra être acquitté, sauf justification du dépôt d'une demande d'aide juridictionnelle. Dans le même délai de deux mois, le présent arrêté peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Le silence gardé par l'administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande. Ce rejet implicite peut être déféré au Tribunal administratif dans un délai de deux mois.

ARTICLE 6 - Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime, - Le Trésorier de LA JARRIE, - MM. les Maires des communes de SALLES-sur-MER et ANGOULINS, - Le Directeur Départemental de l'Agriculture et de la Forêt de la Charente-Maritime, - M. le Président de l’A.S.A., sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à LA ROCHELLE, le 6 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur Adjoint,

Christian LE COZ

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Arrêté n° 12-355 du 6 février 2012, établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures Agricoles de la Charente-Maritime

La PREFETE de la CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite,

ARRETE

Article 1 : Le présent arrêté définit le Schéma directeur départemental des structures agricoles (SDDSA), qui détermine les priorités de la politique d’aménagement des structures d’exploitation et fixe les conditions de mise en œuvre des dispositions du contrôle des structures, pour le département de la Charente-Maritime. Pour l’application du présent arrêté, les termes suivants sont définis comme suit : Installation : Démarrage d’une activité agricole : il s’agit de toute personne physique ou morale n'ayant jamais exercé d'activité agricole au sens de l’article L311-1 du Code rural et de la pêche maritime, en son nom et à son propre compte ou n’ayant pas eu le contrôle d’une personne morale exerçant une activité agricole au cours des cinq années précédant la demande d’autorisation d’exploiter. Dans le cas d'une personne morale, la ou les personne(s) physique(s) qui exerce(nt) le contrôle de la personne morale ne doit(doivent) avoir pratiqué aucune activité agricole en son(leurs) nom(s) et à son(leurs) propre(s) compte(s) ou ne pas avoir eu pas eu le contrôle d’une personne morale exerçant une activité agricole au cours des cinq années qui ont précédé le lancement de l'activité par la personne morale. Une fois la majorité des moyens de production détenus, et notamment l’inscription à la MSA en tant que chef d’exploitation ou l’avis de la Commission départementale d’orientation de l’agriculture (CDOA), obtenu pour un exploitant s’installant avec les aides à l’installation, le demandeur sera dans une situation d’agrandissement ou, le cas échéant, de confortement, pour des demandes ultérieures. Une exception sera faite pour les pré-installations de candidats pouvant prétendre aux aides publiques, pour lesquels il est estimé que la détention de l’ensemble des moyens de production n’est effective qu’à partir de la détention d’un foncier suffisant. La notion de viabilité d’une exploitation agricole, telle qu’appréhendée dans le présent SDDSA, est celle retenue dans le cadre des projets d’installation aidée. Le revenu disponible de l’exploitation individuelle ou par associé exploitant dans le cas de forme sociétaire doit être au moins équivalent à un SMIC net annuel. Une exploitation autonome est entendue au sens d’une unité économique indépendante lorsqu’elle est gérée distinctement de toute autre et lorsqu’elle détient ses propres moyens de production (bâtiment, matériel, cheptel, droits à produire et droits à paiement ou à prime).

353 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Exploitant ATP : Exploitant agricole à titre principal : l’activité agricole, au sens de l'article L. 311-1 du Code rural et de la pêche maritime, génère plus de 50 % du revenu professionnel global. Exploitant ATS : Exploitant agricole à titre secondaire : l’activité agricole, au sens de l'article L. 311-1 du Code rural et de la pêche maritime, génère entre 30 % et 50 % du revenu professionnel global.

Abréviations également utilisées : - CDOA : Commission départementale d'orientation de l'agriculture - SAUP : Surface agricole utile pondérée - UR : Unité de référence - SMI : Surface minimale d'installation - UMO : Unité de main-d'œuvre.

Article 2 : Les Orientations En application des articles L. 331-1 et L. 331-3 du Code rural et de la pêche maritime, les orientations suivies par le présent Schéma Directeur, sans ordre particulier de priorité, sont les suivantes : 1. Maintenir le plus grand nombre d’exploitations de dimension humaine : en favorisant l’installation d’agriculteurs dans le cadre de l’article L. 330-1 du Code rural et de la pêche maritime ; en évitant le démembrement des exploitations inférieures à l’unité de référence (UR) fixée à l’article 6 du présent arrêté ; en confortant les exploitations inférieures à l’unité de référence fixée à l’article 6 du présent arrêté, y compris les exploitations d’agriculteurs pluriactifs en vue de constituer des exploitations autonomes et viables ; en favorisant l’agrandissement des exploitations agricoles dont les dimensions, les références de production ou les droits à aides sont insuffisants ; en évitant les agrandissements au delà de 2 UR pour un exploitant individuel, ou 2 UR par associé exploitant et dans la limite de 4 UR au total dans le cas de forme sociétaire ; en privilégiant l’exploitation directe du fonds par l’agriculteur plutôt que le travail à façon ; en préservant l’équilibre des exploitations lorsqu’il est compromis par l’emprise de travaux d’intérêt public. 2. Maintenir le plus grand nombre d’actifs agricoles en favorisant des systèmes de productions diversifiées. Préserver les terroirs ; encourager l’effort de qualité et d’identification des produits ; Poursuivre les efforts de préservation de l’environnement, notamment dans les zones Natura 2000 ; Permettre l’installation ou conforter l’exploitation d’agriculteurs (pluriactifs ou non) avec emplois familiaux ou salariés ; Conforter les exploitations s’engageant dans un système de production utilisateur de main- d’œuvre.

Article 3 : Les Priorités En fonction des orientations précitées, les priorités sont ainsi définies par ordre décroissant :

1 - Réinstallation totale ou partielle, et installation : 1.1 -Réinstallation d’un agriculteur exproprié, ou évincé de façon certaine (dans les conditions des articles L. 411-58 à L. 411-63 du Code rural et de la pêche maritime, relatifs au droit de reprise par le bailleur) sur une nouvelle exploitation de dimension comparable à la précédente. La perte de foncier doit être de nature à remettre en cause la viabilité de l’exploitation de façon certaine et démontrée ; 1.2 - Reconstitution d’exploitation ayant fait l’objet d’emprise ou de reprise partielle dans le cadre de travaux d'intérêt public, et dont la viabilité est remise en cause de façon certaine et démontrée ; 1.3 - Installation d’un agriculteur à titre principal ou secondaire sur les biens propriété de famille (jusqu’au 4ème degré). Le candidat doit justifier de la capacité ou de l’expérience professionnelle, telle que définie à l’article R. 331-1 du Code rural et de la pêche maritime ; 1.4 - Installation d’un jeune agriculteur à titre principal ou secondaire, engagé dans le parcours à l’installation aidée, dont le Plan de Professionnalisation Personnalisé a été agréé et disposant: : - soit d’un diplôme, titre homologué conférant le niveau IV agricole et permettant l’octroi des aides à l’installation, - soit de la validation par la DRAAF des acquis de l’expérience conférant le niveau IV, permettant l’octroi des aides à l’installation ; 1.5 - Installation d’un agriculteur, à titre principal ou secondaire, justifiant de la capacité ou de l’expérience professionnelle, telle que définie à l’article R. 331-1 du Code rural et de la pêche maritime, et présentant un projet viable ; Le candidat devra fournir, à l’appui de sa demande, une étude économique réalisée par un organisme agréé et démontrant la viabilité technique et économique de son projet ; 1.6 - Autres installations de candidats ayant un projet sur une exploitation viable et autonome.

Pour les priorités à l’installation visées aux points 1.3 à 1.6 ci-dessus, des autorisations d’exploiter partielles pourront être délivrées lorsque l’opération conduira à la constitution d’une exploitation supérieure à 2 UR, pour un exploitant individuel, ou 2 UR par associé exploitant et dans la limite de 4 UR au total, dans le cas de forme sociétaire. En cas de concurrence sur un même rang, la priorité pourra également être accordée au candidat présentant soit un projet d’installation à titre individuel, soit un projet de regroupement d’exploitation n’excédant pas au final 2 UR par associé exploitant et dans la limite de 4 UR au total pour un projet sociétaire;

2 - Reconstitution foncière n’aboutissant pas à un agrandissement : 2.1 - Reconstitution d’exploitation ayant fait l’objet d’emprise ou de reprise partielle.

354 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

2.2 - Restructuration en vue de l’amélioration du parcellaire. 3 - Agrandissement : 3.1 - Conforter les exploitations inférieures à 1 UR en vue de constituer une unité économique autonome et Viable; 3.2 - Conforter les exploitations à responsabilité personnelle inférieures à 2 UR ; 3.3 - Favoriser l’agrandissement des exploitations supérieures à 2 UR et inférieures à 1 UR par 3.4 - Autres cas.

En cas de demandes concurrentes situées sur un même rang de priorité, les demandes pourront être autorisées ou départagées en s’appuyant sur le ratio équivalences UR par UMO, calculé avec la surface agricole utile pondérée (SAUP) après agrandissement, (le plus faible ratio étant alors prioritaire), sur les orientations de l’article 2 du présent arrêté et sur les critères de l’article L. 331-3 du Code rural et de la pêche maritime.

S’agissant de la reprise de vignes, la priorité pourra être accordée au candidat s’engageant à maintenir la surface en vigne dans le cru, pour une durée pouvant aller jusqu’à 10 ans, indépendamment des critères précités dans le paragraphe précédent.

Article 4 : Les unités de main-d’œuvre Les unités de main-d’œuvre prises en compte sont les suivantes : Chef d’exploitation (et associé exploitant chef d’exploitation) à titre principal pour 1 UMO ramenée à 0 UMO pour les exploitants ayant atteint l'age légal de la retraite ; Chef d’exploitation (et associé exploitant chef d’exploitation) à titre secondaire pour 0,5 UMO ramenée à 0 UMO pour les exploitants ayant atteint l'age légal de la retraite ; Conjoint, partenaire pacsé et concubin ayant le statut de collaborateur à titre principal affilié à la MSA pour 1 UMO ; Conjoint collaborateur, partenaire pacsé et concubin d'un exploitant à titre secondaire affilié à la MSA pour 0,5 UMO ; Salarié agricole permanent et à plein temps pour 0,5 UMO, dans la limite de 2 UMO ; Salarié en CDD, aide familial pour 0,5 UMO par ETP, dans la limite de 2 UMO ; Associé non exploitant, stagiaire, pour 0 UMO. Elles sont décomptées au moment de la demande.

Article 5 : La Surface Minimum d’Installation (SMI) En polyculture-élevage, la SMI est fixée à 28 ha pour l’ensemble du département. La S.M.I pour chaque nature de culture est fixée ainsi :

- Prés-marais (parcelles de prairies situées dans les territoires MAE des marais Charentais et Poitevin) : .. 56,00 ha - Vignes en dehors de l’ILE de RE :.. 9,33 ha - Vignes dans l’ILE de RE : .. 7,00 ha - Cultures extensives de petits fruits (cassis) : .. 9,33 ha - Cultures légumières de plein champ : .. 7,00 ha - Vergers : .. 7,00 ha - Pépinières de peupliers : .. 7,00 ha - Tabac : .. 5, 60 ha - Cultures intensives de petits fruits rouges (fraises, framboises) : .. 3,65 ha - Cultures maraîchères intensives de plein air : .. 1,40 ha - Pépinières viticoles et ornementales : .. 0,90 ha - Pépinières de jeunes plants et pépinières fruitières :.. 0,90 ha - Cultures florales sous abri non chauffé : .. 0,90 ha - Cultures maraîchères sous abri non chauffé : ……………………………………. 0,90 ha - Cultures maraîchères sous gros tunnels chauffés : .. 0,50 ha - Cultures maraîchères sous serres chauffées : .. 0,30 ha - Cultures florales sous serres chauffées : .. 0,25 ha - Elevage de palourdes : .. 2,00 ha - Ostréiculture (parcs) : surface de concession .. 0,70 ha - Mytiliculture : en dehors du quartier de MARENNES-OLERON .. 60 points

355 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Mytiliculture : dans le quartier de MARENNES-OLERON .. 70 points - Aires saunantes (carreau de 25 m² environ et sa nourrice) : .. 100 aires

Pour les ateliers de production hors sol, les surfaces équivalentes sont évaluées par application des coefficients définis en application de l’arrêté ministériel du 18 septembre 1985, modifié par arrêté du 21 février 2007 (annexe1).

Article 6 : L’Unité de Référence (UR) En application de l’article L. 312-5 du Code rural et de la pêche maritime, l’unité de référence est fixée à 80 ha de surface pondérée pour l’ensemble du département (suivant la pondération visée à l’article 5, ci-dessus -SMI-).

Article 7 : Seuil de contrôle d’agrandissement Le seuil visé à l’article L. 331-I,1° est fixé à 1,5 fois l’unité de référence, définie à l’article 6 ci-dessus, soit : 120 ha.

Article 8 : Seuil de contrôle de démembrement Le seuil visé à l’article L. 331-I-2 est fixé à 0,7 fois l’unité de référence, soit : 56 ha.

Article 9 : Seuil de contrôle pour la distance La distance maximum visée à l’article L. 331-I-5° est fixée à : 10 kilomètres en polyculture-élevage - cultures spécialisées ; 30 kilomètres pour les près-marais.

Article 10 : Seuil de contrôle des ateliers hors sol Sont soumis à autorisation d’exploiter, en vertu du 6° de l’article L. 331-2, les créations et extensions de capacité des ateliers hors sol à partir des seuils suivants : Poules pondeuses en batterie ou au sol pour la production d'œufs à consommer : 15 000 places ; 36 000 têtes par an pour la production de canards à gaver ; 1 000 places pour le gavage de palmipèdes gras ; Volailles de chair standard (poulets, dindes, pintades) : 800 m2 ; Volailles label et volailles issues de l'agriculture biologique : 350 m2 ; Canards maigres: 700 m2; Porcs : 750 places de truies pour un élevage naisseur, 230 places de truies pour un élevage naisseur-engraisseur et 2 000 emplacements de porcs pour un élevage engraisseur.

Les seuils susmentionnés s'apprécient par exploitant, en prenant en compte l'ensemble des unités de production que celui-ci met en valeur dans les conditions prévues au deuxième alinéa de l'article L. 331-1.

Article 11 : En application de l’article L. 762-39 du Code rural et de la pêche maritime, la superficie dont un agriculteur est autorisé à poursuivre l’exploitation en percevant la retraite est fixée à 5,60 ha (suivant la pondération visée à l’article 5, ci-dessus -SMI-).

Article 12 : L’arrêté préfectoral n° 03-70, pris le 14 janvier 2003, établissant le Schéma directeur départemental des structures agricoles de la Charente-Maritime est abrogé.

Article 13 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des Actes Administratifs.

L'annexe au présent arrêté, relative aux coefficients d'équivalences pour les productions hors sol est consultable à la DDTM (Service Agriculture Durable et Soutien aux Territoires - Unité Vie des Entreprises Agricoles et Animation des Filières).

LA ROCHELLE, le 6 février 2012

La Préfète, Signé : Béatrice ABOLLIVIER

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356 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12-011 du 8 février 2012 fixant les décisions relatives aux plantations de vignes mères de greffons sans récolte de fruits/grappes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Le bénéficiaire figurant dans l'annexe de la liste répertoriée n° 14 est autorisé, pour la campagne 2011- 2012, à réaliser le programme de plantation de vigne-mère de greffons sans récolte de fruits/grappes selon les conditions fixées par l'arrêté du 7 septembre 2004 susvisé. Article 2. : L'annexe citée dans le présent arrêté est consultable auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et de la délégation régionale d'Aquitaine-Charentes de FranceAgriMer.

Article 3 : Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et les services régionaux de FranceAgriMer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à LA ROCHELLE, le 8 février 2012 La Préfete, Pour la Préfète et par délégation, P/Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur adjoint, Signé : Christian LE COZ

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Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD015 du 10 février 2012 portant décisions de rejet relatives aux plantations de vignes en vue de produire des vins IPG (Vins de Pays) pour la campagne 2011/2012

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Les dossiers des demandeurs figurant dans l'annexe 2, répertoriée sous la liste n° 17, sont refusés pour les motifs qui y sont indiqués.

Article 2. : L'annexe citée dans le présent arrêté est consultable auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et du service territorial FranceAgriMer Poitou-Charentes.

Article 3 : Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et les services régionaux de FranceAgriMer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à LA ROCHELLE, le 10 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, P/Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur adjoint, Signé : Christian LE COZ

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357 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD013 du 10 février 2012 portant décision relative aux replantations de vigne par anticipation

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Les bénéficiaires figurant dans l'annexe 1, répertoriée sous la liste n° 19, sont autorisés à réaliser le programme de replantation par anticipation, retenu pour la campagne 2011-2012, selon les conditions fixées par l'arrêté du 19 septembre 2007 modifiant l'arrêté du 31 mars 2003 susvisé et sous réserve du respect des engagements souscrits, notamment l'arrachage des parcelles mentionnées dans le programme d'arrachage retenu qui doit être effectué au plus tard le 15 juin de la deuxième campagne suivant celle de plantation.

Article 2. : L'annexe citée dans le présent arrêté est consultable auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et du service territorial FranceAgriMer Poitou-Charentes.

Article 3 : Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et les services régionaux de FranceAgriMer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à LA ROCHELLE, le 10 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, P/Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur adjoint, Signé : Christian LE COZ

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Extrait de l'arrêté préfectoral n° 12AD014 du 10 février 2012 fixant les décisions relatives aux plantations de vignes en vue de produire des vins IPG (Vins de Pays) pour la campagne 2011-2012

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Les bénéficiaires figurant dans l'annexe 1, répertoriée sous la liste n° 17, sont autorisés, en qualité de jeune agriculteur, à réaliser le programme de plantation retenu par utilisation de droits de plantation prélevés sur la réserve.

Article 2. : L'annexe citée dans le présent arrêté est consultable auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et du service territorial FranceAgriMer Poitou-Charentes.

Article 3 : Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et les services régionaux de FranceAgriMer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à LA ROCHELLE, le 10 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, P/Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur adjoint, Signé : Christian LE COZ

358 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

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Extrait de l'arrêté préfectoral n°12AD016 du 15 février 2012 portant décisions relatives aux replantations de vigne par anticipation

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Les bénéficiaires figurant dans l'annexe 1, répertoriée sous la liste n° 22, sont autorisés à réaliser le programme de replantation par anticipation, retenu pour la campagne 2011-2012, selon les conditions fixées par l'arrêté du 19 septembre 2007 modifiant l'arrêté du 31 mars 2003 susvisé et sous réserve du respect des engagements souscrits, notamment l'arrachage des parcelles mentionnées dans le programme d'arrachage retenu qui doit être effectué au plus tard le 15 juin de la deuxième campagne suivant celle de plantation.

Article 2. : L'annexe citée dans le présent arrêté est consultable auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et du service territorial FranceAgriMer Poitou-Charentes.

Article 3 : Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et les services régionaux de FranceAgriMer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à LA ROCHELLE, le 15 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, P/Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le Directeur adjoint,, Signé : Christian LE COZ

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Arrêté relatif à la prorogation de la suspension de l'exercice de la chasse à tir en Charente-Maritime pour raison de vague de froid.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : La suspension de la chasse à tir de la Bécasse des bois et de la Tourterelle turque est prorogée du 17 février 0h00 au 20 février 24h00.

ARTICLE 2 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Poitiers (15, rue de Blossac – BP 541 -86020 POITIERS CEDEX) dans un délai de deux mois à compter de sa publication. Sous peine d'irrecevabilité du recours contentieux, la contribution pour l'aide juridique de 35 Euros prévue par l'article 1635 bis Q du code général des impôts devra être acquittée, sauf justification du dépôt d'une demande d'aide juridictionnelle. Dans le même délai de deux mois, le présent arrêté peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande. Ce rejet implicite peut être déféré au tribunal administratif dans un délai de deux mois.

ARTICLE 3 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente Maritime, le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, Le chef du service départemental de l'Office National de la Chasse, Le Président de la Fédération des

359 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Chasseurs de la Charente-Maritime, sont chargés chacun en ce le qui concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché par les soins des maires dans toutes les communes et publié au Recueil des Actes Administratifs.

A La Rochelle, le 16 février 2012

LA PREFETE,

Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale des territoires et de la mer") ______

1.7. Direction Départementale protection des populations

Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Fouras

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : Le dossier d’information concernant la commune de Fouras annexé à l’arrêté n° 11-1313 du 18 avril 2011 est mis à jour.

Article 2 : L’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers situés sur la commune de Fouras, prévue aux paragraphes I et II de l’article L.125-5 du Code de l’environnement, porte sur les risques littoraux (érosion et submersion marines) et de sismicité.

Article 3 : Les éléments nécessaires à cette information sont consignés dans le dossier d’information annexé au présent arrêté qui comprend : - une fiche synthétique listant les risques auxquels la commune est exposée, - deux cartes réglementaires (nord-sud) au 1/5 000, délimitant les zones exposées et indiquant la nature des risques dans chacune des zones exposées. Ce dossier communal d’information est librement consultable en préfecture et en mairie de Fouras et est accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr - http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr.

Article 4 : Ces informations sont mises à jour à chaque arrêté modifiant la situation de la commune de Fouras au regard des conditions entraînant l’obligation d’annexer un état des risques naturels et technologiques en application du Code de l’environnement.

Article 5 : L'obligation d'information sur les sinistres prévue au paragraphe IV de l'article L.125-5 du Code de l'Environnement s'applique, depuis le 1er juin 2006, sur la commune de Fouras, celle-ci ayant été déclarée, depuis 1982, plusieurs fois en état de catastrophe naturelle en application de l'article L.125-1 du Code des assurances. L'ensemble de ces arrêtés est consultable en préfecture, sous-préfecture de l'arrondissement de Rochefort et mairie et accessible sur le site Internet http://www.prim.net.

Article 6 : Hormis les risques cités à l’article 2 et dans la fiche synthétique mentionnée à l’article 3 et annexée au présent arrêté, tout autre type de risques est exclu du champ de l’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs.

Article 7 : Le présent arrêté sera : - notifié au maire de la commune de Fouras qui assurera son affichage en mairie, - adressé à la chambre départementale des notaires,

360 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime. Il fera l’objet d’une mention en caractères apparents dans le journal Sud-Ouest. Il sera accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr - http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr - http://www.prim.net

Article 8 : Le présent arrêté s’applique à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Article 9 : - le secrétaire général de la préfecture, - le sous-préfet de l’arrondissement de Rochefort, - le maire de la commune de Fouras, - le directeur départemental de la protection des populations, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

La Rochelle, le 25 janvier 2012

La Préfète, Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Port des Barques

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : Le dossier d’information concernant la commune de Port-des-Barques annexé à l’arrêté n° 11-1321 du 18 avril 2011 est mis à jour.

Article 2 : L’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers situés sur la commune de Port-des-Barques, prévue aux paragraphes I et II de l’article L.125-5 du Code de l’environnement, porte sur les risques littoraux (érosion et submersion marines) et de sismicité.

Article 3 : Les éléments nécessaires à cette information sont consignés dans le dossier d’information annexé au présent arrêté qui comprend : - une fiche synthétique listant les risques auxquels la commune est exposée, - deux cartes réglementaires (nord-sud) au 1/5 000, délimitant les zones exposées et indiquant la nature des risques dans chacune des zones exposées. Ce dossier communal d’information est librement consultable en préfecture et en mairie de Port-des-Barques et est accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr - http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr.

Article 4 : Ces informations sont mises à jour à chaque arrêté modifiant la situation de la commune de Port-des- Barques au regard des conditions entraînant l’obligation d’annexer un état des risques naturels et technologiques en application du Code de l’environnement.

Article 5 : L'obligation d'information sur les sinistres prévue au paragraphe IV de l'article L.125-5 du Code de l'Environnement s'applique, depuis le 1er juin 2006, sur la commune de Port-des-Barques, celle-ci ayant été déclarée, depuis 1982, plusieurs fois en état de catastrophe naturelle en application de l'article L.125-1 du Code

361 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

des assurances. L'ensemble de ces arrêtés est consultable en préfecture, sous-préfecture de l'arrondissement de Rochefort et mairie et accessible sur le site Internet http://www.prim.net.

Article 6 : Hormis les risques cités à l’article 2 et dans la fiche synthétique mentionnée à l’article 3 et annexée au présent arrêté, tout autre type de risques est exclu du champ de l’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs.

Article 7 : Le présent arrêté sera : - notifié au maire de la commune de Port-des-Barques qui assurera son affichage en mairie, - adressé à la chambre départementale des notaires, - publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime. Il fera l’objet d’une mention en caractères apparents dans le journal Sud-Ouest. Il sera accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr - http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr - http://www.prim.net

Article 8 : Le présent arrêté s’applique à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Article 9 : - le secrétaire général de la préfecture, - le sous-préfet de l’arrondissement de Rochefort, - le maire de la commune de Port-des-Barques, - le directeur départemental de la protection des populations, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

La Rochelle, le 25 janvier 2012

La Préfète, Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté relatif à la mise à jour de l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs pour la commune de Yves

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : Le dossier d’information concernant la commune de Yves annexé à l’arrêté n° 11-1320 du 18 avril 2011 est mis à jour.

Article 2 : L’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers situés sur la commune de Yves, prévue aux paragraphes I et II de l’article L.125-5 du Code de l’environnement, porte sur les risques littoraux (érosion et submersion marines) et de sismicité.

Article 3 : Les éléments nécessaires à cette information sont consignés dans le dossier d’information annexé au présent arrêté qui comprend : - une fiche synthétique listant les risques auxquels la commune est exposée, - deux cartes réglementaires (nord-sud) au 1/5 000, délimitant les zones exposées et indiquant la nature des risques dans chacune des zones exposées. Ce dossier communal d’information est librement consultable en préfecture et en mairie de Yves et est accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr

362 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr.

Article 4 : Ces informations sont mises à jour à chaque arrêté modifiant la situation de la commune de Yves au regard des conditions entraînant l’obligation d’annexer un état des risques naturels et technologiques en application du Code de l’environnement.

Article 5 : L'obligation d'information sur les sinistres prévue au paragraphe IV de l'article L.125-5 du Code de l'Environnement s'applique, depuis le 1er juin 2006, sur la commune de Yves, celle-ci ayant été déclarée, depuis 1982, plusieurs fois en état de catastrophe naturelle en application de l'article L.125-1 du Code des assurances. L'ensemble de ces arrêtés est consultable en préfecture, sous-préfecture de l'arrondissement de Rochefort et mairie et accessible sur le site Internet http://www.prim.net.

Article 6 : Hormis les risques cités à l’article 2 et dans la fiche synthétique mentionnée à l’article 3 et annexée au présent arrêté, tout autre type de risques est exclu du champ de l’obligation d’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs.

Article 7 : Le présent arrêté sera : - notifié au maire de la commune de Yves qui assurera son affichage en mairie, - adressé à la chambre départementale des notaires, - publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime. Il fera l’objet d’une mention en caractères apparents dans le journal Sud-Ouest. Il sera accessible sur Internet à partir des sites : - http://www.charente-maritime.pref.gouv.fr - http://www.charente-maritime.developpement-durable.gouv.fr - http://www.prim.net

Article 8 : Le présent arrêté s’applique à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Article 9 : - le secrétaire général de la préfecture, - le sous-préfet de l’arrondissement de Rochefort, - le maire de la commune de Yves, - le directeur départemental de la protection des populations, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

La Rochelle, le 25 janvier 2012

La Préfète, Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale protection des populations") ______

1.8. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17

Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR ILE DE RE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU-

363 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Monsieur Fernand TROALE, Président des Associations d’Aide à Domicile en Milieu Rural de Charente-Maritime, représentant l’ADMR de SAINT MARTIN DE RE sise 3 rue du Vieux Puits – 17410 ST MARTIN DE RE,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de ST MARTIN DE RE, sous le numéro SAP781287362,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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364 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR ARCHIAC)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’ARCHIAC dont le siège social est situé 1 Place de l’Abbé Goiland – 17520 ARCHIAC, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 déccembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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365 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-GENIS-DE- SAINTONGE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SAINT GENIS DE SAINTONGE dont le siège social est situé 4 Impasse Jeanne d’Arc – 17240 SAINT GENIS DE SAINTONGE, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

366 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR MATHA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Brigitte AMELINE, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MATHA sise 4 Place du Château d’Eau – 17160 MATHA,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MATHA, sous le numéro SAP781288089,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

367 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR MATHA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MATHA dont le siège social est situé 4 Place du Château d’Eau – 17160 MATHA, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 :

368 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR MONTENDRE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MONTENDRE dont le siège social est situé 1 Place de l’Eglise – 17130 MONTENDRE, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

369 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR MONTENDRE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Liliane FEUTREL, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MONTENDRE sise 1 Place de l’Eglise – 17130 MONTENDRE,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de MONTENDRE, sous le numéro SAP323622282,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1)

370 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR COZES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Agnès COLLINOT, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de COZES sise 7 grande rue – 17120 COZES,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de COZES, sous le numéro SAP781288089,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile

371 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR COZES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de COZES dont le siège social est situé 8 rue de l’Hôtel de Ville – 17120 COZES, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans

372 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINTONGE SUD)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SAINTONGE SUD, dont le siège social est situé 26 Route de Royan – 17270 ST MARTIN D’ARY, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées

373 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINTONGE SUD)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Marie-Josée BELLOT, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de LA SAINTONGE SUD sise 26 route de Royan – 17270 SAINT MARTIN D’ARY,

374 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SAINTONGE SUD, sous le numéro SAP324225945,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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375 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR BEAUVAIS-SUR-MATHA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Anna MOREAU, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de BEAUVAIS SUR MATHA sise 18 Place des Anciennes Halles – 17490 BEAUVAIS SUR MATHA,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de BEAUVAIS SUR MATHA, sous le numéro SAP781271036,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2012

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises,

376 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrété portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR BEAUVAIS-SUR-MATHA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de BEAUVAIS SUR MATHA, dont le siège social est situé 18 Place des Anciennes Halles – 17490 BEAUVAIS SUR MATHA, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

377 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR CHEVANCEAUX)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de CHEVANCEAUX dont le siège social est situé à la Mairie – 17210 CHEVANCEAUX, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

378 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR CHEVANCEAUX)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Arlette FILLON, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de CHEVANCEAUX sise Place de la Mairie – 17210 CHEVANCEAUX,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de CHEVANCEAUX, sous le numéro SAP315041913,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement

379 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR ARCHIAC)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Monsieur Alain POZZOBON, Président de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’ARCHIAC sise 1 Place de l’Abbé Goiland – 17520 ARCHIAC,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’ARCHIAC, sous le numéro SAP781265426,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire

380 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR ILE-DE-RE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de l’Ile de Ré dont le siège social est situé 3 rue du Vieux Puits – 17410 SAINT MARTIN DE RE, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 :

381 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR GEMOZAC)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de GEMOZAC dont le siège social est situé 8 rue Pierre Jonain – 17260 GEMOZAC, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

382 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR GEMOZAC)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Monsieur Fernand TROALE, Président des Associations d’Aide à Domicile en Milieu Rural de Charente-Maritime,pour l’ADMR de GEMOZAC sise 8 rue Pierre Jonain – 17260 GEMOZAC,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de GEMOZAC, sous le numéro SAP781128907,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

383 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-SAVINIEN)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE

Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Monsieur Fernand TROALE, Président des Associations d’Aide à Domicile en

384 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Milieu Rural de Charente-Maritime, représentant l’ADMR de SAINT SAVINIEN sise Place d’Ahrensbok – 17350 ST SAVINIEN,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de ST SAVINIEN, sous le numéro SAP781377338,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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385 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant agrément d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-SAVINIEN)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SAINT SAVINIEN dont le siège social est situé Place d’Ahrensbok – 17350 SAINT SAVINIEN, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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386 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR AIGREFEUILLE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’AIGREFEUILLE dont le siège social est situé 1 rue des Ecoles – 17290 AIGREFEUILLE D’AUNIS, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

387 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR AIGREFEUILLE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE

Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Corine NAFFRECHOUX, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’AIGREFEUILLE sise 1 rue des Ecoles – 17290 AIGREFEUILLE D’AUNIS,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural d’AIGREFEUILLE D’AUNIS, sous le numéro SAP781263967,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

388 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR LOULAY)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Anne-Marie PERRIER, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de LOULAY sise 47 rue Saint Jean – 17330 LOULAY,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de LOULAY, sous le numéro SAP781303904,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement

389 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR LOULAY)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de LOULAY dont le siège social est situé 47 rue Saint Jean – 17330 LOULAY, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

ARTICLE 5 :

390 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne (ADMR SURGERES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Agrément de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SURGERES dont le siège social est situé 105 rue Audry de Puyravault – 17700 SURGERES, est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 1erJANVIER 2012.

ARTICLE 2 : Cet agrément couvre les activités suivantes : - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Accompagnement des enfants de moins de trois ans, des personnes âgées ou handicapées dans leurs déplacements en dehors de leur domicile - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Garde malade à l’exclusion des soins - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives - Aide à la mobilité et au transport des personnes ayant des difficultés de déplacement

ARTICLE 3 : L’Association est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 2, selon les modes d’intervention suivants - MODE PRESTATAIRE et MANDATAIRE

ARTICLE 4 : Si l’Association envisage de fournir des services et de fonctionner selon des modes d’intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé, il devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

L’ouverture d’un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra faire l’objet d’un signalement préalable.

391 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARTICLE 5 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Association 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail, 3°) exerce d’autres activités ou sur d’autres territoires que ceux déclaré dans le présent agrément; 4°) ne transmet pas au Préfet compétent (Responsable de l’Unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L.7233-2 du code du travail et L.124- 10 du code de la Sécurité Sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit être déclaré et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de tout autre.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SURGERES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE

Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Monsieur Jacky BRILLOUET, Président de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SURGERES sise 105 Rue Audry de Puyravault – 17700 SURGERES,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SURGERES, sous le numéro SAP781389044,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile

392 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (ADMR SAINT-GENIS-DE-SAINTONGE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 22 décembre 2011 par Madame Claire VERDEAU, Présidente de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de SAINT GENIS DE SAINTONGE sise 4 Impasse Jeanne d’Arc – 17240 ST GENIS DE SAINTONGE,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural de ST GENIS DE SAINTONGE, sous le numéro SAP781356357,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE ET MANDATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1)

393 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Cours à domicile - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Assistance informatique et internet à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Soins esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes

Liste des activités agréées et déclarées : ( II du D7231-1) - Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées - Garde malade à l’exclusion des soins - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Prestation de conduite du véhicule personnel de personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 22 décembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (JOCEMARILYN- JOCELYNE BEBIN- DENEU)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 7 février 2012 par Madame Jocelyne BEBIN-DENEU dirigeant l’entreprise JOCEMARILYN sise 4 rue de l’Hermitage – 17620 ECHILLAIS,

394 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de l’Entreprise JOCEMARILYN – JOCELYNE BEBIN-DENEU, sous le numéro SAP538910423,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - Entretien de la maison et travaux ménagers - Préparation des repas y compris le temps passé aux commissions - Assistance administrative à domicile - Livraison de courses à domicile - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire - Garde d’enfants et accompagnement des enfants de plus de trois ans - Soutien scolaire à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie pour les personnes dépendantes

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif, ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

L’enregistrement de la déclaration peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 7 février 2012

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (Loïc STOBINSKY)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 7 février 2012 par Monsieur Loïc STOBINSKY, représentant l’Entreprise STOBINSKY sise 38 rue de la Trompette – 17000 LA ROCHELLE,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur Loïc STOBINSKY, sous le numéro SAP539131284,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

395 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1) - COURS A DOMICILE - SOUTIEN SCOLAIRE A DOMICILE

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif, ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

L’enregistrement de la déclaration peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 9 février 2012

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne (Philippe BURGUIERE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

CONSTATE qu’en application des dispositions du code du travail susvisées , une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime de la DIRECCTE de la région POITOU- CHARENTES.le 7 février 2012 par Monsieur Philippe BURGUIERE, représentant l’Entreprise 4ai services sise 10 rue des Oiseaux – 17600 SAUJON,

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur Philippe BURGUIERE, sous le numéro SAP440854792,

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de la Charente-Maritime. qui modifiera le récépissé initial.

La structure exerce son activité selon le mode suivant : PRESTATAIRE

Liste des activités déclarées : (I du D 7231-1)

- ASSISTANCE ADMINISTRATIVE A DOMICILE - ASSISTANCE INFORMATIQUE ET INTERNET A DOMICILE - PETIT BRICOLAGE

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif, ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

L’enregistrement de la déclaration peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

396 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime

Fait à La Rochelle, le 9 février 2012

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17") ______

1.9. Préfecture de la Vienne

Arrêté portant modification des membres du conseil d'administration de l'Union pour le recouvrement de sécurité sociale et d'allocations familiales de la Charente-Maritime.

LA PREFETE DE LA REGION POITOU-CHARENTES PREFET DE LA VIENNE Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 Le tableau annexé à l’arrêté préfectoral en date du 28 septembre 2011 susvisé portant nomination des membres du conseil d’administration de l’Union pour le Recouvrement de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales de la Charente Maritime est modifié comme suit :

Dans le tableau des représentants des assurés sociaux désignés au titre de la Confédération Générale du Travail (CGT), est nommé :

- M. BAUGE Stanislas en tant que membre suppléant :

Suppléant Monsieur BAUGE Stanislas

Article 2 Le Secrétaire Général pour les Affaires Régionales, le Préfet de Charente Maritime, le Chef de l’Antenne Interrégionale de la Mission Nationale de Contrôle et d’Audit des Organismes de Sécurité Sociale de Bordeaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la région Poitou-Charentes et du département de Charente Maritime.

Fait à Poitiers, le 19 janvier 2012 LE PREFET DE REGION Yves Dassonville

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397 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant modification des membres du conseil d'administration de la caisse d'allocations familiales de Charente-Maritime.

LA PREFETE DE LA REGION POITOU-CHARENTES PREFET DE LA VIENNE Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 Le tableau annexé à l’arrêté préfectoral en date du 28 septembre 2011 susvisé portant nomination des membres du conseil d’administration de l’Union pour le Recouvrement de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales de la Charente Maritime est modifié comme suit :

Dans le tableau des représentants des assurés sociaux désignés au titre de la Confédération Générale du Travail (CGT), est nommé :

- M. BAUGE Stanislas en tant que membre suppléant :

Suppléant Monsieur BAUGE Stanislas

Article 2 Le Secrétaire Général pour les Affaires Régionales, le Préfet de Charente Maritime, le Chef de l’Antenne Interrégionale de la Mission Nationale de Contrôle et d’Audit des Organismes de Sécurité Sociale de Bordeaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la région Poitou-Charentes et du département de Charente Maritime.

Fait à Poitiers, le 19 janvier 2012 LE PREFET DE REGION Yves Dassonville

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Arrêté portant modification du réglement local de la station de pilotage de La Rochelle-Charente.

LE PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES PREFET DE LA VIENNE Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE PREMIER – L’annexe III au règlement local de la station de pilotage de la Rochelle-Charente, fixant les tarifs de la station, est remplacée par l’annexe III ci-jointe.

ARTICLE 2 – Le secrétaire général pour les affaires régionales, le directeur interrégional de la mer Sud-Atlantique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à Bordeaux, le 30 janvier 2012 Pour le préfet de région et par délégation, Le directeur interrégional de la mer Sud-Atlantique Jean-Marie COUPU ampliations : - Préfecture de région (SGAR) - Préfecture de la Charente-Maritime - Station de pilotage de La Rochelle-Charente

398 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

- Grand Port Maritime de La Rochelle - DGITM (DST) - DDTM/DML 17

Annexe technique n° 3 à l’arrêté n° 28/2004 portant sur les tarifs

ARTICLE 1 : Tarif général (hors TVA)

Le tarif général, établi en fonction du volume des navires, et conformément à l’arrêté n° 4318 GM/2 du 12 octobre 1976 est fixé ainsi qu’il suit à compter du 1er janvier 2012 à zéro heure.

1.1. Zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice 1.1.1. Tarif n° 1 : à l’entrée comme à la sortie des ports de La Rochelle et de La Pallice, le tarif est fixé ainsi qu’il suit :

Jusqu’à 7 500 m3 : 542 Euros Au-dessus de 7 500 m3 : 542 Euros + 0.331 Euros par tranche de 10 m3 au-dessus de 7 500 m3

1.1.2. Tarif n° 2 A l’entrée comme à la sortie du port de Marans, le tarif n° 1 est majoré de 100 %.

1.2. Zone de pilotage obligatoire de La Charente Volume en m3 Tarif n° 1 1 à 4 000 728 Euros 4 001 à 5 500 857 5 501 à 7 000 988 7 001 à 8 500 1118 8 501 à 10 000 1247 10 001 à 11 500 1376 11 501 à 13 000 1504 13 001 à 14 500 1634 14 501 à 16 000 1763 Au-delà par m3 0.255

Le tarif n° 1 est applicable à tout navire entrant ou sortant des ports de Rochefort et Tonnay-Charente, ainsi qu’à tout navire allant de Rochefort à Tonnay-Charente et vice-versa.

ARTICLE 2 : Indemnités 2.1. Zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice

Pour une opération différée moins d’une heure avant l’heure pour laquelle le pilote a été commandé, une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice est due

Pour une opération retardée de plus d’une heure après l’heure pour laquelle le pilote a été commandé, une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice est due.

Tout navire astreint à l’obligation de pilotage, autre qu’un bâtiment de guerre, dont le capitaine n’a pas fait connaître l’heure probable de son arrivée dans les conditions définies à l’article 10 du règlement local, paie le tarif de l’opération considérée, majorée de 10 %.

Une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice est due au pilote qui s’est déplacé pour un navire dont l’arrivée diffère de plus d’une heure de l’heure probable d’arrivée annoncée.

Pour le déplacement du pilote au port de Marans, une indemnité égale à 10 % du tarif n° 2 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice est due.

Pour la retenue du pilote à bord du navire au-delà de 12 heures pour quelque cause que ce soit et par période de 12 heures supplémentaires, une indemnité égale à 30 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle- Pallice est due, ainsi qu’une indemnité kilométrique fixée sur la base de l’indemnité kilométrique réglementaire.

2.2. Zone de pilotage obligatoire de La Charente Pour une opération différée moins d’une heure avant l’heure pour laquelle le pilote a été commandé, une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente est due.

399 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Pour une opération retardée de plus d’une heure après l’heure pour laquelle le pilote a été commandé, une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente est due.

Tout navire astreint à l’obligation de pilotage, autre qu’un bâtiment de guerre, dont le capitaine n’a pas fait connaître l’heure probable de son arrivée dans les conditions définies à l’article 10 du règlement local, paie le tarif de l’opération considérée, majorée de 10 %.

Une indemnité égale à 10 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente est due au pilote qui s’est déplacé pour un navire dont l’heure d’arrivée diffère de plus d’une heure de l’heure probable d’arrivée annoncée.

Pour la retenue du pilote à bord du navire au-delà de 12 heures pour quelque cause que ce soit, et par période de 12 heures supplémentaires, une indemnité égale à 30 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente est due, ainsi qu’une indemnité kilométrique fixée sur la base de l’indemnité kilométrique réglementaire.

Indépendamment de la tarification du pilotage, il sera perçu; à l’entrée et à la sortie et pour tout mouvement de navire, une indemnité de transport de 80 km, calculée sur la base de l’indemnité kilométrique réglementaire.

ARTICLE 3 : Embarquement ou débarquement d’un pilote d’une autre station de pilotage Tout navire qui fait appel à la vedette de pilotage afin d’embarquer ou débarquer un pilote d’une autre station, sans utiliser les services d’un pilote de La Rochelle-Charente, paie en compensation des frais et quelque soit son volume le tarif n° 1 applicable à un navire de 5 000 m3 correspondant à la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

ARTICLE 4 : Tarifs hors station Lorsqu’un navire demande le pilote en dehors de la ligne Chassiron / Chanchardon pour gagner la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice, il acquitte un droit supplémentaire égal au tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Lorsqu’un navire demande le pilote pour gagner l’estuaire de la Gironde ou la rade des Sables d’Olonne, il acquitte un droit supplémentaire égal au double du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

En outre, ce navire devra payer tous les frais de rapatriement du pilote du port à la station.

ARTICLE 5 : Tarifs particuliers 5.1. Zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice Les navires dont le capitaine est titulaire d’une licence de Capitaine-Pilote ne paient que 10 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice lorsqu’ils ne font pas appel au service d’un pilote. S’ils font appel à un pilote, ils paient le tarif général.

5.2. Zone de pilotage obligatoire de La Charente Les navires dont le capitaine est titulaire d’une licence de Capitaine-Pilote ne paient que 10 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente lorsqu’ils ne font pas appel au service d’un pilote. S’ils font appel à un pilote, ils paient la totalité du tarif.

Le navire qui fait appel à un pilote pour gagner un mouillage ou changer de mouillage acquitte un droit égal à 30 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente.

Les navires pilotés pour gagner un mouillage sur rade et qui repartent sans avoir accosté aux ouvrages du port acquitteront à l’entrée, comme à la sortie, un droit égal à 40 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente s’ils n’ont pas fait d’opérations commerciales et à 60 % dans le cas contraire.

5.3. Pour tout navire à destination des ports de La Charente, qui allège une partie de sa cargaison sur le port de La Pallice, il sera accordé une suppression du tarif sortie navire de La Pallice.

ARTICLE 6 : Tarif des convois remorqués ou poussés Lorsqu’un navire autre qu’un remorqueur de port, en remorque ou en pousse un ou plusieurs autres, le volume servant à la tarification du pilotage du convoi est établi par application de la formule ci-après

Volume = L x b x 0.14 x Racine carrée du produit L x b

Dans laquelle «L» représente la somme des longueurs hors tout de chacun des bâtiments du convoi, et «b» la largeur la plus large des bâtiments.

ARTICLE 7 : Tarif applicable aux navires sans propulsion Tous les tarifs prévus au présent règlement local sont ceux applicables aux navires à propulsion mécanique.

Tout navire qui pendant une partie ou toute l’opération de pilotage ne peut utiliser sa propulsion paie le tarif relatif à l’opération considérée, dans la zone de pilotage obligatoire considérée, majorée de 50 %, sauf s’il s’agit d’un déhalage.

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Le déhalage s’entend comme le déplacement du navire le long d’un même quai rectiligne, sans dépassement d’obstacles.

ARTICLE 8 : Tarif applicable aux navires soumis à des expériences Les navires effectuant des essais paieront un droit spécial égal à 50 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire considérée. Les navires effectuant la compensation de leur compas paieront un droit spécial égal à 50 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire considérée. Les navires effectuant la régulation d’appareils radioélectriques paieront un droit spécial égal à 50 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire considérée.

ARTICLE 9 : Veilles de sécurité ou d’échouage Les veilles dites de sécurité, d’échouage ou d’amarrage à quai ou en rade sont rétribuées par période de 12 heures sur la base de :

* Zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice : 25 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire La Rochelle- Pallice.

* Zone de pilotage obligatoire de La Charente : 25 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente.

Toute période commencée est due.

ARTICLE 10 : Tarif des mouvements à l’intérieur des ports

Zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice

Pour un déhalage simple, les navires paient 25 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Pour tout mouvement à l’intérieur des ports, les navires paient 50 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Pour tout mouillage sur rade, les navires paient à l’entrée comme à la sortie, 50 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Pour entrer ou sortir de cale sèche, les navires paient (outre l’opération qui précède ou qui suit) un supplément égal à 25 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Pour un lancement, les navires paient (outre l’opération qui précède), un supplément égal à 25 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Rochelle-Pallice.

Zone de pilotage obligatoire de La Charente

Pour tout mouvement à l’intérieur du port de Rochefort, les navires paient 40 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente.

Pour tout mouvement à l’intérieur du port de Tonnay-Charente, les navires paient 25% du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de la Charente.

Pour tout mouvement effectué sans l’aide d’un remorqueur, par dérivage en marche arrière, le tarif applicable sera majoré de 50 %.

Pour entrer ou sortir de cale sèche, les navires paient, outre l’opération qui précède ou qui suit, un supplément égal à 25 % du tarif n°1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente.

Pour un lancement, les navires paient, outre l’opération qui suit, un supplément égal à 25 % du tarif n° 1 de la zone de pilotage obligatoire de La Charente.

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401 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Arrêté portant modification du réglement local de la station de pilotage de La Rochelle-Charente

LE PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE ARTICLE PREMIER – Le règlement de la caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente est remplacé par le règlement joint en annexe. ARTICLE 2 – Le présent règlement de la caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente prend effet le 13 février 2012. ARTICLE 3 – L'arrêté N°10/2005 du 18 octobre 2005 portant règlement de la caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente est abrogé. ARTICLE 4 – Le secrétaire général pour les affaires régionales, le directeur interrégional de la mer Sud-Atlantique, le directeur départemental des territoires et de la mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratif de la préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à Bordeaux, le 13 février 2012 Pour le préfet de région et par délégation, Le directeur interrégional de la mer Sud-Atlantique Jean-Marie COUPU ampliations : - Préfecture de région (SGAR) - Préfecture de la Charente-Maritime - Station de pilotage de La Rochelle-Charente - Grand Port Maritime de La Rochelle - DGITM (DST) - DDTM/DML 17

REGLEMENT DE LA CAISSE DE PENSIONS ET SECOURS DES PILOTES MARITIMES DE LA ROCHELLE- CHARENTE

TITRE I – GENERALITES

ARTICLE 1 : CONSTITUTION DE LA CAISSE

- Références législatives et réglementaires :

Il est constitué en application de l’article 24 de la loi du 28 mars 1928 relative au régime de pilotage dans les eaux maritimes, des articles 32 et 33 du décret du 14 décembre 1929 portant règlement général du pilotage et de l’article 411- 15 du Code du travail, une Caisse de pensions et de secours entre les pilotes actifs et retraités de la station de pilotage de La Rochelle-Charente et les pilotes retraités des anciennes stations de La Rochelle-Pallice et de La Charente.

- Dénomination :

Cette Caisse prend le nom de :

CAISSE DE PENSIONS ET SECOURS DES PILOTES MARITIMES DE LA ROCHELLE-CHARENTE

- Membres : Sont membres de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente :

Tous les pilotes en activité de service ou en retraite de la station de pilotage de La Rochelle-Charente ainsi que les pilotes en retraite des anciennes Caisses de pensions des stations de pilotage de La Rochelle-Pallice et de La Charente jusqu’à leurs décès ou celui de leurs ayants droits.

Est considéré comme pilote en activité de service, tout pilote actif depuis sa date de nomination jusqu’à sa radiation des cadres de la station de pilotage de La Rochelle-Charente.

- Forme :

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La Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente est une personne morale de droit privé.

Elle se réserve la possibilité d’ester en justice.

- Siège social : Le siège social est fixé au siège du Syndicat Professionnel des Pilotes Maritimes de La Rochelle-Charente à :

LA ROCHELLE (17000), rue du Dahomey.

Le siège social peut être transféré sur décision du Conseil d’administration.

Si le siège social du Syndicat Professionnel des Pilotes Maritimes de La Rochelle-Charente vient à être transféré, le siège social de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente sera transféré au même endroit sur décision du Conseil de la Caisse.

- Durée : La Caisse des pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente est constituée pour une durée illimitée.

- Exercice social L’exercice social commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre de chaque année.

ARTICLE 2 : OBJET La Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente a pour objet : de servir des pensions et des secours aux pilotes actifs, aux pilotes retraités, à leurs veufs ou veuves et à leurs orphelins dans les conditions fixées dans le règlement de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle- Charente, et, plus généralement d’effectuer toute opération mobilière ou financière pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet dans les conditions fixées dans le règlement de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

ARTICLE 3 : ADMINISTRATION ET GESTION

- Composition du Conseil d’Administration La Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de la Rochelle-Charente est administrée par un Conseil d’administration de sept membres. Il est composé de quatre pilotes actifs et de trois pilotes en retraite.

Le Président du Syndicat Professionnel des Pilotes Maritimes de La Rochelle-Charente est membre de droit.

- Rôle du Conseil d’Administration Le Conseil d’administration est investi des pouvoirs les plus étendus pour assurer l’administration des affaires de la Caisse sous réserve des pouvoirs expressément attribués aux assemblées et dans la limite de l’objet social. Il se saisit de toute question intéressant la bonne marche de la Caisse et règle par délibération les affaires la concernant.

Il est notamment chargé de la gestion du fonds de réserve de la Caisse.

Il propose à l’Assemblée générale extraordinaire les modifications apportées aux règlements de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

Le Conseil d’administration tient une comptabilité régulière des opérations sociales. Il dresse les comptes annuels conformément aux lois et usages.

- Rôle des membres du Conseil d’Administration Le Conseil d’administration désigne parmi ses membres : un Président, un Vice-Président, un Secrétaire et un Trésorier.

Le Président du Conseil d’administration est nécessairement un pilote en activité. Il organise et dirige les travaux du Conseil d’administration dont il rend compte à l’assemblée générale. Il veille au bon fonctionnement de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente et s’assure, en particulier, que les administrateurs sont en mesure de remplir leur mission.

Le Président du Conseil d’administration peut ester en justice au nom de la Caisse des pensions et secours des pilotes de La Rochelle-Charente après décision du Conseil d’administration.

403 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

En cas d’absence ou d’empêchement du Président, les fonctions de celui-ci sont assurées par le Vice-Président.

Le Président ou en son absence le Vice-Président représente officiellement la Caisse des pensions et secours des pilotes de La Rochelle-Charente. Ils sont les interlocuteurs privilégiés vis-à-vis des administrations et des autorités publiques. Une délégation de pouvoir peut être donnée à un autre membre du Conseil d’administration.

Le Secrétaire est chargé des convocations et de la rédaction des procès-verbaux. Il est également le dépositaire des archives de la Caisse et en assure la conservation.

Le Trésorier tient une comptabilité régulière de la répartition entre les ayants droits et des sommes destinées au paiement des pensions et secours ainsi qu’un registre matricule portant, pour chacun des participants, la date de nomination, de mise à la retraite, les éléments de liquidation de sa pension de retraite, le taux de ladite pension et la date du décès.

Il assure les opérations financières conformément aux décisions du Conseil d’administration.

Il a délégation de signature pour la gestion courante de la trésorerie de la Caisse et le versement des pensions et secours.

Les fonctions des membres du Conseil d’administration ne sont pas rémunérées.

- Modalités d’élections et de fonctionnement du Conseil d’Administration Les modalités d’élection et de fonctionnement du Conseil d’Administration sont fixées par les statuts de la Caisse de pensions et de secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

ARTICLE 4 : ASSEMBLEES GENERALES

- Composition de l’Assemblée Générale Les assemblées générales se composent de tous les pilotes en activité de service ou en retraite de la station de pilotage de La Rochelle-Charente ainsi que les pilotes en retraite des anciennes caisses de pensions des stations de pilotage de La Rochelle-Pallice et de La Charente.

Tout pilote en activité de service ou en retraite de la station de pilotage de La Rochelle-Charente ainsi que tout pilote en retraite des anciennes caisses de pensions des stations de pilotage de La Rochelle-Pallice et de La Charente a le droit d’assister aux assemblées générales et de participer aux délibérations personnellement ou par mandataire choisi parmi les pilotes visés précédemment.

- Rôle de l’assemblée générale ordinaire L’assemblée générale ordinaire est appelée à prendre toutes les décisions qui ne modifient pas les statuts. Elle doit être réunie au moins une fois par an pour approuver les comptes de l’exercice écoulé, les perspectives de l’exercice suivant et entendre le rapport du Président du Conseil d’administration.

- Rôle de l’assemblée générale extraordinaire L’assemblée générale extraordinaire peut seule modifier les statuts, apporter toute modification aux règlements de la Caisse. Elle seule peut statuer sur tout projet de fusion ou de coopération entre diverses Caisses des pensions de stations de pilotage.

L’assemblée générale extraordinaire peut seule prononcer la dissolution de la Caisse de pensions et de secours des pilotes maritimes de la Rochelle-Charente.

En cas de dissolution, les fonds de la Caisse seront distribués aux ayants droits définis par le règlement financier de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

- Modalités de fonctionnement des assemblées générales Les modalités de fonctionnement des assemblées générales ordinaires et extraordinaires sont fixées par les statuts de la Caisse de pensions et de secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

TITRE II – RESSOURCES DE LA CAISSE

ARTICLE 5 : ASSURANCE La Caisse de pensions et secours des Pilotes Maritimes de La Rochelle-Charente a adhéré à un régime spécial d’allocations vieillesse par répartition sous forme d’assurance auprès de l’IREC du groupe MALAKOFF. Cette adhésion a pour finalité de faire couvrir par un organisme extérieur la répartition des risques de manque de recettes de la Caisse de pensions et de secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente. Les ayants droits ne peuvent prétendre exclusivement qu’aux droits prévus à l’article 2 du présent règlement. Toutefois, la Caisse de pensions s’engage à verser la pension la plus favorable entre celle calculée conformément au présent règlement et la pension IREC dès lors que les droits à l’allocation IREC ont été activés.

404 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARTICLE 6 : RESSOURCES La Caisse de pensions et secours est alimentée par : des prélèvements sur les recettes brutes de la station conformément au règlement financier de la station de La Rochelle- Charente, le montant des allocations reçues collectivement de l’organisme assurant la Caisse, les intérêts et revenus produits par les fonds, valeurs et créances de toutes natures composant le fonds de réserve, les dons, les legs, versements de toutes natures qui ne sont pas illégaux.

ARTICLE 7 : FONDS DE RESERVE Les excédents éventuels de la Caisse alimentent un fonds de réserve.

Les limites maximales et minimales ainsi que les modalités de fonctionnement du fonds de réserve sont fixées par le règlement financier de la Caisse de pensions et secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

Le Conseil d’administration est chargé de la gestion du fonds de réserve.

ARTICLE 8 : MODALITES DE PRELEVEMENT SUR LES RECETTES BRUTES La somme versée mensuellement à la Caisse de pensions et secours est égale à la masse partageable multipliée par le rapport du nombre des parts des ayants droits à pension ou secours sur le total des parts des pilotes actifs et ayants droits à pension ou secours.

La masse partageable est la recette brute de la station, diminuée des prélèvements fixés par le règlement intérieur financier de la station de pilotage de La Rochelle-Charente.

Dans le calcul de cette dotation à la Caisse de pensions et secours, chaque pilote actif compte pour son nombre de parts effectif dans la station de pilotage de La Rochelle-Charente.

En aucun cas, il ne peut être versé à la Caisse des pensions et secours une somme supérieure à 25 % de la masse partageable.

La dotation à la Caisse des pensions et secours est répartie aux ayants droits au prorata des droits de chacun.

Exemple 1 : nombre de parts de pilotes actifs : 27 nombre de parts d’ayants droits : 11 soit un nombre de parts : 38

Les 11 parts des ayants droits représentant 28,95 % du nombre total de parts, la Caisse des pensions et secours ne reçoit que 25 % de la masse partageable à répartir entre les 11 parts d’ayants droits.

Exemple 2 : nombre de parts de pilotes actifs : 27 nombre de parts d’ayants droits : 7,7 soit un nombre total de parts : 34,7

Les 7,7 parts des ayants droits représentant 22,19 % du nombre total de parts, la Caisse des pensions et secours reçoit 22,19 % de la masse partageable à répartir entre les 7,7 parts d’ayants droits.

ARTICLE 8 BIS : PERIODE TRANSITOIRE

A titre temporaire, pour tenir compte de la surcharge de pensionnés provenant de l’ex-station des Pertuis et de la fusion des Caisses des pensions des stations de La Rochelle-Pallice et de la Charente, le pourcentage de la masse partageable à verser à la Caisse des pensions et secours est plafonnée à 27,6 %.

Si par suite, les sommes qu’il y a lieu de verser à la Caisse des pensions et secours conformément à l’article 14 viennent à représenter un taux inférieur à 27,6 %, ce nouveau taux sera acquis (sans qu’il soit nécessaire de modifier le présent règlement) jusqu’à ce qu’il soit remplacé par un taux inférieur lorsque les sommes qu’il y a lieu de verser à la Caisse des pensions et secours représenteront à nouveau un taux inférieur au taux en vigueur, et ainsi de suite.

Les présentes dispositions transitoires cesseront de plein droit d’avoir effet dès que le pourcentage des recettes nettes affectées à la Caisse des pensions et secours n’excédera plus 25 %.

Exemple 1 : nombre de parts de pilotes actifs : 27 nombre de parts d’ayants droits : 12 soit un nombre total de parts : 39

Les 12 parts des ayants droits représentant 30,77 % du nombre total de parts, la Caisse des pensions et secours ne reçoit que 27,6 % de la masse partageable à répartir entre les 12 parts d’ayants droits.

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Exemple 2 : nombre de parts de pilotes actifs : 27 nombre de parts d’ayants droits : 7,7 soit un nombre total de parts : 34,7

Les 7,7 parts des ayants droits représentant 22,19 % du nombre total de parts, la Caisse des pensions et secours reçoit 22,19 % de la masse partageable à partager entre les ayants droits au prorata des droits de chacun ; la période transitoire a pris fin et l’article 8 bis est supprimé.

TITRE III – DROITS DES BENEFICIAIRES DE LA CAISSE

ARTICLE 9 : SERVICE DONNANT DROIT A PENSION

Le droit à pension pour ancienneté de service est acquis à tout pilote au moment où il sera radié des cadres sous réserve d’avoir au moins cinquante cinq ans et deux années d’ancienneté dans les fonctions de pilote. Les périodes de débarquement du rôle collectif du pilotage pour motifs autres que congés réglementaires, maladie ou incapacité temporaire ne sont pas prises en compte pour la validation des services.

La pension de retraite est proportionnelle au temps de service.

ARTICLE 10 : PENSIONS DES PILOTES

1- Pension d’ancienneté Elle est de un vingt cinquième de part par annuité de service à la station du jour de sa nomination au jour de sa radiation des cadres de la station. Cette pension est limitée à une part pour les départs à la retraite après la fusion entre les stations de La Rochelle-Pallice et de La Charente.

Si un pilote continue à exercer ses fonctions au-delà de l’âge de cinquante cinq ans, ses services continueront à entrer dans le décompte des annuités donnant droit à pension. Les années de service donnant droit à pension doivent être calculées exactement, les fractions d’annuités sont exprimées en fractions décimales arrêtées au centième.

2- Pension anticipée d’invalidité Le pilote reconnu inapte à la fonction en application des articles 11 et 12 du décret n°69-515 du 19 mai 1969 et radié des cadres avant cinquante cinq ans en raison d’invalidité a droit à une pension anticipée proportionnelle au nombre d’annuités acquises.

Si la mise à la retraite a pour cause un accident du travail maritime ou une maladie pour laquelle le risque professionnel a été admis, l’intéressé bénéficiera d’une bonification de cinq annuités.

Le risque professionnel à l’origine de la maladie ou de l’accident devra être reconnu par la Caisse Générale de Prévoyance.

3- Pension temporaire d’invalidité Après quatre mois consécutifs de maladie, le pilote n’étant plus rémunéré en tant que pilote actif, recevra une pension temporaire proportionnelle au nombre d’annuités acquises au jour de son arrêt de travail, jusqu‘au moment où il reprendra son service ou sera mis à la retraite et radié des cadres, conformément au règlement intérieur financier de la station.

La bonification de cinq années prévues pour le cas d’accident ou maladie pour laquelle le risque professionnel a été admis n’est pas applicable à la pension temporaire d’invalidité.

Les annuités de service d’un pilote atteint d’une longue maladie continueront à courir jusqu’à concurrence de deux annuités.

4- Pilote démissionnaire, révoqué ou en congé Tout pilote démissionnaire ou révoqué conservera les droits acquis à une retraite, mais celle-ci ne pourra pas être versée avant qu’il ait atteint l’âge de cinquante cinq ans. Elle sera liquidée proportionnellement au nombre d’années de service de l’intéressé. Toutefois, lorsque le nombre d’annuités sera inférieur à cinq ans de service la pension sera réduite de moitié et d’un quart si le nombre d’annuités est inférieur à 10 ans.

5- Pilote mobilisé Le temps passé au service de l’État en temps de guerre entre en compte pour les annuités donnant droit à pension, la durée de mobilisation étant comptée depuis la date d’entrée au service de l’Etat jusqu’à la date de démobilisation et à la condition que l’intéressé reprenne du service au pilotage, à moins qu’il n’ait été réformé pour blessure ou maladie se rapportant à cette période.

406 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

ARTICLE 11 : PENSIONS DE REVERSION

1- Taux de pension Les veufs ou veuves de pilote ont droit à une pension égale à 60 % de la pension acquise par le pilote décédé. Si le décès en activité du pilote est dû à un accident du travail maritime ou une maladie pour laquelle le risque professionnel a été admis, il est tenu compte de la même bonification de cinq annuités. Le droit à pension de réversion n’est pas accordé au partenaire en union libre, concubin ou partenaire d’un PACS d’un pilote en activité ou retraité.

2- Bénéfice du droit de pension a) Antériorité du mariage

* Premier cas : pilote décédé en activité

Le droit à pension est subordonné à la condition que le mariage ait été contracté deux ans avant le décès du pilote. Les conditions d’antériorité n’existent pas s’il y a un ou plusieurs enfants issus du mariage ou si le pilote est décédé des suites d’un accident ou d’une maladie pour laquelle le risque professionnel a été admis, il suffit alors que le mariage soit antérieur à la maladie ou à l’accident.

Si un pacte civil de solidarité avait été contracté avec le pilote au moins deux ans avant son décès, le droit à pension est acquis au conjoint veuf, même si le mariage a été contracté moins de deux ans avant le décès du pilote.

* Deuxième cas : pilote décédé en retraite Si le mariage a été contracté moins de deux ans avant la mise à la retraite du pilote, les droits à pension du conjoint ne seront acquis qu’à la condition que le mariage ait été contracté six ans avant la date de décès du pilote.

Si le mariage a été contracté après la mise à la retraite du pilote, les droits à pension du conjoint ne seront acquis qu’à la condition que le mariage ait été contracté dix ans avant la date du décès du pilote. b) Incapacité, déchéance

Si le conjoint survivant est hors d’état de manifester sa volonté notamment pour cause de démence reconnue par la Caisse Générale de Prévoyance ou s’il a été déchu de son autorité parentale en application d’un jugement devenu définitif, la pension revient aux enfants ayants droits au terme de l’article 12 du présent règlement, qui sont alors considérés comme orphelins de père et de mère.

3- Cas particuliers a) Plusieurs conjoints survivants

Au décès du pilote, si un conjoint veuf et un ou plusieurs conjoints divorcés non remariés survivent, ils se partagent la pension au prorata des années respectives de chaque mariage. b) Conjoint remarié ou vivant en état de concubinage notoire

Le conjoint qui se remarie qui vit en état de concubinage notoire ou qui conclut un PACS perd ses droits à pension. S’il redevient veuf ou cesse de vivre en état de concubinage notoire, sans nouveaux droits à pension sur la Caisse des pensions et secours des pilotes de La Rochelle-Charente, il retrouve ses droits à pension. Dans le cas de remariage entraînant la suppression de la pension, si le pilote décédé a laissé des enfants ayants droits, ils seront considérés comme orphelins de père et de mère. c) Remariage avec un pilote en activité ou divorcé

Une veuve ou un veuf, une ex-conjointe ou un ex-conjoint divorcé ne peut cumuler plusieurs pensions sur la Caisse des pensions au-delà de celle qui est la plus favorable.

ARTICLE 12 : PENSIONS D’ORPHELINS

1- Orphelins de père ou de mère pilote Chaque orphelin a droit à une pension égale à 1/10e de part, et ce jusqu’à l’âge de 16 ans. Elle est due jusqu’à l’âge de 18 ans s’il est en apprentissage et jusqu’à 25 ans s’il poursuit ses études.

Le cumul de la pension de réversion et les suppléments accordés aux orphelins ne peuvent dépasser la pension d’un pilote à une part.

2- Orphelins de père et de mère

407 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Si le conjoint veuf vient à décéder ou à perdre ses droits à pension, cette pension est répartie entre le ou les orphelins dans les mêmes conditions d’âge qu’au paragraphe précédent. Cette pension cumule avec le supplément du 1/10e prévu au premier alinéa, sans toutefois que le cumul puisse dépasser la pension à une part d’un pilote.

3- Enfants naturels adoptés Les enfants naturels reconnus ou les enfants adoptés avant cessation de l’activité du pilote sont considérés comme les enfants légitimes.

4- orphelin atteint de longue maladie En cas d’infirmité ou de longue maladie constatée par le médecin agréé par le Conseil d’Administration et après approbation de l’Assemblée Générale, la pension d’orphelin peut être prolongée d’année en année au-delà des limites d’age fixées, sous forme de secours.

ARTICLE 13 : PARTAGE DE PENSIONS – CUMUL DE PENSIONS

1- Partage de la pension entre conjoint veuf et des enfants de plusieurs lits Le conjoint veuf touche la moitié de la pension à laquelle il a droit. Ses enfants nés du mariage avec le pilote défunt touchent la pension définie à l’article 12 du présent règlement. Les enfants des autres lits touchent l’autre moitié de la pension et les suppléments prévus à l’article 12 du présent règlement. Le conjoint veuf touchera la pension entière quand le droit du dernier orphelin ayant droit des premiers lits aura disparu.

2- Partage de la pension entre orphelins de père ou de mère de différents lits La pension calculée conformément aux dispositions de l’article 11 du présent règlement sera partagée intégralement entre tous les enfants nés du ou des mariages du pilote défunt considérés comme étant du même lit.

3- Cumul des pensions Les pensions de la présente Caisse pourront être cumulées avec les pensions des « Invalides » et « Prévoyance » de la marine, pension militaire et autres, sauf dans les cas prévus au présent règlement.

ARTICLE 14 : SECOURS

Le Conseil d’administration pourra exceptionnellement, après approbation de l’Assemblée générale ordinaire, allouer des secours à des pilotes, des veufs, des veuves, des orphelins nécessiteux ou aux descendants. Chaque cas sera étudié individuellement. Ces secours seront prélevés avant toute répartition des sommes affectées.

TITRE IV – PAIEMENT DES PENSIONS

ARTICLE 15 : MONTANT DE LA PENSION MAXIMUM

En aucun cas, la pension d’un pilote retraité ne pourra excéder le tiers du salaire d’un pilote actif à trois parts. Le reliquat est utilisé conformément aux dispositions du règlement financier de la Caisse de pensions et de secours des pilotes maritimes de La Rochelle-Charente.

ARTICLE 16 : PAIEMENT DE LA PENSION

Les pensions sont payables mensuellement par chèque au siège du syndicat ou par virement à un compte bancaire ou à un compte chèques postaux. Ce paiement mensuel peut être remplacé par un acompte : le solde de la pension sera alors versé dès l’arrêt des comptes. Un certificat de vie pourra être exigé des ayants droits quand le Conseil d’administration le jugera nécessaire. Le paiement des pensions d’orphelin est effectué à la personne ayant la garde de l’enfant, au tuteur si l’enfant est orphelin de père et de mère. Toutefois, la pension d’orphelin peut être payée à la personne ou à l’institution qui a la charge et l’entretien de l’enfant ou des enfants si cet entretien n’est pas assuré par le père, la mère ou par le tuteur.

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Préfecture de la Vienne") ______

408 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

1.10. Visiteur

Décision d'ordonner l'opération d'aménagement foncier agricole et forestier dans la commune de Sablonceaux.

COMMISSION PERMANENTE DU CONSEIL GENERAL DE LA CHARENTE-MARITIME

DECISION D’ORDONNER L’OPERATION D’AMENAGEMENT FONCIER AGRICOLE ET FORESTIER DANS LA COMMUNE DE SABLONCEAUX

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POLE AMENAGEMENT COMMISSION PERMANENTE DURABLE ET MOBILITE du 14 novembre 2011 Direction du Développement Durable et de la Mer DELIBERATON N° 2011-11-32

La Commission Permanente du Conseil général réunie à la Maison de la Charente-Maritime le 14 novembre 2011 à 11h00, sous la présidence de Monsieur Dominique BUSSEREAU, Président du Conseil général,

Agissant par délégation de l’Assemblée Départementale (délibération du 31 mars 2011),

La Commune de SABLONCEAUX a demandé au Département que soit étudiée la possibilité de réaliser une opération d’aménagement sur la plus grande partie de son territoire.

En application du titre II du Code Rural, le Conseil général a diligenté une étude d’aménagement foncier et a institué la Commission Communale d’Aménagement Foncier de Sablonceaux.

Au vu des conclusions de l’étude, la commission a proposé au Département de mettre en œuvre une procédure d’aménagement foncier, agricole et forestier.

Après mise à enquête publique du périmètre d’aménagement et des prescriptions environnementales, la Commission Communale a confirmé sa proposition d’engager une opération d’aménagement foncier agricole et forestier dans la Commune de Sablonceaux.

Considérant que le Conseil Municipal de Sablonceaux a approuvé les propositions définitives de la Commission Communale d’Aménagement Foncier,

Considérant que le Conseil Municipal de la commune limitrophe du Gua, a également émis un avis favorable sur le schéma directeur d’aménagement durable relatif au projet d’opération d’aménagement foncier dans la commune de Sablonceaux,

Vu l’arrêté préfectoral n° 11-1837 du 8 juin 2011, qui définit les prescriptions qui s’appliqueront au territoire inclus dans le périmètre d’aménagement foncier agricole envisagé dans la commune de Sablonceaux,

En vertu des dispositions des articles L.121-19 et R. 121-19 du Code Rural et de la Pêche Maritime et de l’arrêté départemental n° 11-697 du 2 septembre 2011, l’opération d’aménagement foncier dans la Commune de Sablonceaux apportera certaines restrictions aux droits des propriétaires pendant la durée de l’opération.

En application des dispositions de l’article L 121-14-II du Code Rural et de la Pêche Maritime, il appartient à l’assemblée départementale :

- d’ordonner l’ouverture de l’opération d’aménagement foncier, agricole et forestier envisagée,

- de fixer le périmètre d’aménagement de l’opération.

DECIDE :

1°) d’ordonner une opération d’aménagement foncier agricole et forestier sur une partie du territoire de la Commune de Sablonceaux, dans le respect des prescriptions environnementales définies dans l’arrêté préfectoral n° 11- 1837 du 8 juin 2011, (annexe 2) et des prescriptions fixées par l’arrêté Départemental n° 11-697 du 2 septembre 2011, (annexe 3), fixant la liste des travaux dont la préparation et l’exécution sont interdites ou soumises à autorisation jusqu’à la clôture de l’opération d’aménagement foncier,

409 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

2°) que le périmètre d’aménagement sur la Commune de Sablonceaux s’étendra sur une superficie de 1 471ha, sections cadastrales : A, B, C, D, E,ZA, sur les parcelles incluses dans le périmètre à aménager telles que définies dans l’annexe 1,

3°) de prononcer que cette délibération et ses annexes 1-2-3 seront affichées pendant 15 jours au moins à la mairie de Sablonceaux et à la mairie de la Commune du Gua, commune sensible, pouvant être impactée par les travaux connexes liés à l’opération d’aménagement foncier agricole et forestier de Sablonceaux.

Cette délibération et ses annexes seront insérées au recueil des Actes Administratifs de la Charente- Maritime et publiée au Bulletin Officiel des Actes du Département.

Adopté à l’unanimité

Pour extrait conforme : Le Président du Conseil général.

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Décision portant délégations permanentes de signature et de compétence - Maison Centrale de Saint Martin de Ré.

DIRECTION INTERREGIONALE DES SERVICES PENITENTIAIRES DE BORDEAUX MAISON CENTRALE DE SAINT MARTIN DE RE Décision Portant Délégation annule et remplace celle du 21 septembre 2011

.Article 1 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « EHRLACHER Catherine, Directrice adjointe au Directeur » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 2 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « PELLEN Damien, Directeur adjoint » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.('A compter du 02/11/2011)

Article 3 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « DUTER Séverine, Directrice adjointe » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 4 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « AMOUROUX Nicolas, Capitaine, chef de détention » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 5 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « BERTRON Nicole, Capitaine, chef de détention » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 6 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « NORIN Fabienne, Lieutenant, adjoint au chef de détention » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 7 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « DUTER Franck, Lieutenant, adjoint au chef de détention » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 8 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « COLAS Vanessa, Lieutenant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 9 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « EL MARBOUH Ahmed, Capitaine » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

410 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Article 10 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « BERROD Christophe, Lieutenant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 11 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « ROY Céline, Capitaine » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 12 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « BERSOULT Béatrice, Première surveillante » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 13 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « GANI Kalifa, Major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(jusqu'au 01/02/2015 date retraite)

Article 14 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « GUENEAU Georges, Premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 15 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « KERRIC Gilles, Premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(jusqu'au 19/02/2014 date retraite)

Article 16 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « LAPRIE Frédéric, Premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 17 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « LEBRUN Patrice, Major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 18 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « L'HER Maurice, Premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 19 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « MAILLET Arnauld, Major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 20 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « MITON Stéphane, Major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 21 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « RICAUD Jean-Michel, Premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 22 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « RIMAUDIERE Alain, Major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 23 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « ROCHAIS Eric, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(muté le 13/3/2012)

Article 24 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « BOURGEOIS Philippe, major » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(jusqu'au 01/07/2012 date retraite)

Article 25 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « GIRAUD Estelle, première surveillante » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 26 :

411 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « BERTAUDIERE Patrice, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(muté le 13/3/2012)

Article 27 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « LEGRAND Denis, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 28 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « MARCHAL Nathalie, première surveillante » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(mise à dispo de la MA PAU)

Article 29 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « GACHET Hervé, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 30 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « LENQUETTE Stéphane, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Article 31 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « LE MEUR Ronan, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(arrivé le 13/3/2012)

Article 32 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à « RAYMOND Fabrice, premier surveillant » pour toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.(arrivé le 13/3/2012).

Saint Martin de Ré, le 9 février 2012 Le Directeur A. CHEMINET

412 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

DIRECTION DE L’ADMINISTRATION PENITENTIAIRE DIRECTION INTERREGIONALE ACTE DE DELEGATION DES SERVICES PENITENTAIRES DE BORDEAUX pour contresigner les formulaires MAISON CENTRALE DE SAINT-MARTIN DE RÉ relatifs à l’application des peines institués par la loi du 9/03/2004 Secrétariat de direction Annule et remplace l'acte de délégation éf : M2 Du 21 septembre 2011

Je soussigné, Alain CHEMINET, directeur de la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré, vu l’article 503 du Code de Procédure Pénale, et la NOTE 001460 du 20/12/2005 relative à l’entrée en vigueur du droit d’appel des condamnés à l’encontre des ordonnances du Juge d’application des peines, décide :

1°) Les personnes dont les noms suivent, sont autorisées à contresigner les formulaires relatifs à l’application des peines institués par la loi du 9/03/2004. Mme Catherine EHRLACHER, directrice M. Patrice BERTAUDIERE, premier surveillant (muté le 13/3/2012) Mme Séverine DUTER-GODEFROID, directrice M. Philippe BOURGEOIS, premier surveillant (retraite 1/07/12) M. Damien PELLEN, directeur M. Hervé GACHET, premier surveillant M. Jacques AMIOT, directeur technique M. Kalifa GANI, Major (retraite 1/02/15) M. Nicolas AMOUROUX, capitaine Mme Estelle GIRAUD, première surveillante M. Christophe BERROD, lieutenant M. Georges GUENEAU, premier surveillant Mme Nicole BERTRON/PLE, capitaine M. Gilles KERRIC, premier surveillant (retraite 19/02/14 au + tard) Mme Vanessa COLAS, lieutenant M. Frédéric LAPRIE, premier surveillant M. Franck DUTER, lieutenant M. Patrice LEBRUN, major M. Denis LEGRAND, premier surveillant M. Ahmed EL MARBOUH, capitaine M. Stéphane LENQUETTE, premier surveillant Mme Fabienne NORIN, lieutenant M. Maurice L’HER, premier surveillant Mme Céline RAIMI/ROY Céline, capitaine M. Arnauld MAILLET, major Mme Nathalie MARCHAL, première surveillante ( à disposition de MA PAU) M. Stéphane MITON, major Les personnels du greffe : M. Jean-Michel RICAUD, premier surveillant Mme Marie-Noëlle BAUDON - BREMAUD, SA M. Alain RIMAUDIERE, major adjointe administrative Mme Patricia JAULIN, M. Eric ROCHAIS, premier surveillant(muté le 13/3/2012) première surveillante Mme Béatrice BERSOULT,Le Chef d'établissement M. Ronan LE MEUR, premier surveillant(arrivé le 13/3/2012) Donne délégation de signature, en application du code de procédure pénale (R.57-6-24 ; R.57-7-5) Aux personnes désignées et pour les décisions ci-dessous : M. Fabrice RAYMOND, premier surveillant(arrivé le 13/3/2012)

C 2°) La présente délégation est valable pour une durée d’un an à compter de ce jour. h Décisions administratives individuelles Sources : code de e procédure pénale f Le Directeur, L de i e Alain CHEMINET d u é t t e e n P n a r t n e i t m A o s i d Dir n e j ect C r o eur a a s i d p - n Adj j i s t oin t t u t a r au i v au n e c e i d h s l i e l r f O a e f n c de f t t i s e d c u é i Ma r t e j e r o n s r t s i o n Présidence et désignation des membres de la CPU D.90 x x Mesures d’affectation des personnes détenues en cellule R. 57-6-24 x x x x x Désignation des personnes détenues à placer ensemble en cellule D.93 / / / / / Suspension de l’encellulement individuel d’une personne détenue D.94 x x D. 370 Affectation des personnes détenues malades dans des cellules situées à proximité de l’UCSA x x x x x Placement en cellule la nuit, à titre exceptionnel, d’une personne mineure avec une personne détenue de son âge soit pour motif R. 57-9-12 / / / / / médical, soit en raison de sa personnalité Autorisation, à titre exceptionnel, de la participation d’une personne mineure aux activités organisées dans l’établissement R. 57-9-17 / / / / / pénitentiaire avec des personnes majeures Désignation des personnes détenues autorisées à participer à des activités D. 446 X X X X Destination à donner aux aménagements faits par une personne détenue dans sa cellule, en cas de changement de cellule, de D. 449 X X X X transfert ou de libération Demande de modification du régime d’une personne détenue, de transfèrement ou d’une mesure de grâce D. 254 X X Décision en cas de recours gracieux des personnes détenues, requêtes ou plaintes D. 259 X X Opposition à la désignation d’un aidant R. 57-8-6 X X Retrait à une personne détenue pour des raisons de sécurité, de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui appartenant 413 D. 273 X X X X et pouvant permettre un suicide, une agression ou une évasion Interdiction pour une personne détenue de participer aux activités sportives pour des raisons d’ordre et de sécurité D. 459-3 X X X X Décision de procéder à la fouille des personnes détenues R. 57-7-79 X X X X Demande d’investigation corporelle interne adressée au procureur de la République R. 57-7-82 X X X X Emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’une personne détenue D. 283-3 X X X X Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Placement à titre préventif en cellule disciplinaire ainsi qu’en cellule de confinement R.57-7-18 X X X X x Suspension à titre préventif de l’activité professionnelle R.57-7-22 X X X X Engagement des poursuites disciplinaires R.57-7-15 X X X X Présidence de la commission de discipline R.57-7-6 X X Désignation des membres assesseurs de la commission de discipline R. 57-7-8 X X X X Prononcé des sanctions disciplinaires R.57-7-7 x x x x Ordonner et révoquer le sursis à exécution des sanctions disciplinaires R. 57-7-54 à R. 57-7-59 x x x x Dispense d’exécution, suspension ou fractionnement des sanctions R.57-7-60 X X Désignation d’un interprète pour les personnes détenues qui ne comprennent pas ou ne parlent pas la langue française R.57-7-25 ; R.57-7-64 X X X X Autorisation pour une personne détenue placée à l’isolement de participer à une activité organisée pour les détenus soumis au R. 57-7-62 x x x régime de détention ordinaire Autorisation pour une personne détenue placée à l’isolement de participer à une activité commune aux personnes placées au quartier R. 57-7-62 x x x d’isolement Décision de ne pas communiquer les informations ou documents de la procédure d’isolement de nature à porter atteinte à la sécurité R. 57-7-64 x x x x des personnes ou des établissements pénitentiaires Proposition de prolongation de la mesure d’isolement R. 57-7-64 ; R. 57-7-70 x x x x Rédaction du rapport motivé accompagnant la proposition de prolongation de la mesure d’isolement R. 57-7-67 ; R. 57-7-70 x x x x Placement provisoire à l’isolement des personnes détenues en cas d’urgence R. 57-7-65 x x x x Placement initial des personnes détenues à l’isolement et premier renouvellement de la mesure R. 57-7-66 ; R. 57-7-70 x x x x Levée de la mesure d’isolement R. 57-7-72 ; R. 57-7-76 x x x x Fixation de la somme que les personnes détenues placées en semi-liberté ou bénéficiant d’un placement extérieur, d’un placement D.122 X X sous surveillance électronique ou d’une permission de sortir, sont autorisés à détenir Autorisation pour les condamnés d’opérer un versement à l’extérieur depuis la part disponible de leur compte nominatif D. 330 X X X Autorisation pour une personne détenue de retirer des sommes de son livret de Caisse d’Epargne D. 331 X X X Autorisation pour les personnes détenues d’envoyer à leur famille, des sommes figurant sur leur part disponible D. 421 X X Autorisation pour une personne détenue hospitalisée de détenir une somme d’argent provenant de la part disponible de son compte D. 395 X X X X nominatif Autorisation pour les personnes détenues de recevoir des subsides de personnes non titulaires d’un D. 422 X X permis permanent de visite Retenue sur la part disponible du compte nominatif des personnes détenues en réparation de dommages matériels causés D. 332 X X Refus de prise en charge d'objets ou de bijoux dont sont porteurs les détenus à leur entrée dans un établissement pénitentiaire D. 337 X X Autorisation de remise à un tiers, désigné par la personne détenue, d'objets lui appartenant qui ne peuvent pas être transférés en D. 340 X X raison de leur volume ou de leur poids Suspension de l’habilitation d’un personnel hospitalier de la compétence du chef d’établissement D. 388 X X Suspension provisoire, en cas d’urgence, de l’agrément d’un mandataire agréé R. 57-6-16 x x Suspension de l’agrément d’un visiteur de prison en cas d’urgence et pour des motifs graves D. 473 X X Autorisation de visiter l’établissement pénitentiaire R. 57-6-24 ; D. 277 x x Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire des personnels hospitaliers non titulaires d’une habilitation D. 389 X X X X Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnes intervenant dans le cadre d’actions de prévention et d’éducation D. 390 X X X X pour la santé Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnels des structures spécialisées de soins intervenant dans le cadre de D. 390-1 X X X X la prise en charge globale des personnes présentant une dépendance à un produit licite ou illicite Autorisation pour des ministres du culte extérieurs de célébrer des offices ou prêches D. 439-4 X X Autorisation donnée pour des personnes extérieures d’animer des activités pour les détenus D. 446 X X Délivrance des permis de communiquer aux avocats dans les autres cas que ceux mentionnés à l’alinéa 1 de l article R57-6-5 R. 57-6-5 X X X X Délivrance, refus, suspension, retrait des permis de visite des condamnés, y compris lorsque le visiteur est un auxiliaire de justice ou R. 57-8-10 X X X X un officier ministériel Décision que les visites auront lieu dans un parloir avec dispositif de séparation R. 57-8-12 X X X X Interdiction pour des personnes détenues condamnées de correspondre avec des personnes autres que leur conjoint ou leur famille D. 414 x x Rétention de correspondance écrite, tant reçue qu’expédiée R. 57-8-19 X X Autorisation- refus- suspension-retrait de l’accès au téléphone pour les personnes détenues condamnées R. 57-8-23 X X X X Autorisation de recevoir des colis par dépôt à l'établissement pénitentiaire en dehors des visites, ou par voie postale pour les D. 431 X X X X personnes détenues ne recevant pas de visite. Autorisation de recevoir par dépôt à l'établissement pénitentiaire en dehors des visites, des publications écrites et audiovisuelles D. 443-2 X X Interdiction d’accéder à une publication écrite-audiovisuelle contenant des menaces graves contre la sécurité des personnes et des établissements ou des propos ou signes injurieux ou diffamatoires à l’encontre des agents et collaborateurs du service public R. 57-9-8 X X pénitentiaire ou des personnes détenues Art 27 de la loi n° 2009- Proposition aux personnes condamnées d’exercer une activité ayant pour finalité la réinsertion 1436 du 24 novembre x x x x 2009 Autorisation de recevoir des cours par correspondance autres que ceux organisés par l’éducation nationale D. 436-2 X X Refus opposé à une personne détenue de se présenter aux épreuves écrites ou orales d’un examen organisé dans l’établissement D. 436-3 X X Signature d’un acte d’engagement concernant l’activité professionnelle des personnes détenues R. 57-9-2 x x Autorisation pour les personnes détenues de travailler pour leur propre compte ou pour des associations D. 432-3 X X

Déclassement ou suspension d'un emploi D. 432-4 X X X Autorisation de recevoir par dépôt à l'établissement pénitentiaire en dehors des visites, des publications écrites et audiovisuelles D. 443-2 x x x Interdiction d’accéder à une publication écrite-audiovisuelle contenant des menaces graves contre la sécurité des personnes et des établissements ou des propos ou signes injurieux ou diffamatoires à l’encontre des agents et collaborateurs du service public R. 57-9-8 X X pénitentiaire ou des personnes détenues Réintégration immédiate en cas d’urgence de condamnés se trouvant à l’extérieur D.124 X X X X Modification des horaires d’entrée et de sortie en cas de placement sous surveillance électronique, semi-liberté, placement extérieur 712-8, D. 147-30 X X et permission de sortir faisant suite à une autorisation accordée au CE par le JAP Retrait , en cas d'urgence, de la mesure de surveillance électronique de fin de peine et réintégration du condamné D. 147-30-47 X X Art 44 de la loi du Décision de placement en CproU X X X X 24/11/2009

Fait à Saint-Martin de Ré , le9/02/2012 le Directeur

A. CHEMINET

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Visiteur") ______

414 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

2. Avis

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement

Arrêté n°12-405 portant approbation de la modification n°1 du PSMV de Saintes.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er : Est approuvée telle qu’elle est annexée au présent arrêté la modification n° 1 du plan de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé de la ville de Saintes. Cette modification est accompagnée d’une notice de présentation et comprend : - la planche graphique n° 3 modifiée - les dispositions modifiées du règlement .

Article 2 : Le présent arrêté sera affiché pendant un mois en mairie de Saintes. Il sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et fera l’objet d’une mention dans le journal Sud Ouest.

Article 3 : Tout recours contre la présente décision devra être introduit dans un délai de deux mois à compter de l’accomplissement de la dernière des formalités de publicité.

Article 3 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Maire de Saintes sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont un exemplaire sera adressé :

au Sous Préfet de Saintes au chef du service territorial de l'architecture et du patrimoine au directeur départemental des territoires et de la mer.

Fait à La Rochelle, le 14 février 2012 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation Le Secrétaire Général, Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement") ______

2.2. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT- JEAN-D'ANGELY

décision de la CDAC autorisant la création d'un ensemble commercial de 3515m2 à l'enseigne E.LECLERC à La Tremblade

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

A DECIDE

415 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

D’ACCORDER PAR SIX VOIX FAVORABLES ET UNE ABSTENTION à la S.A.S. COUBRE Distribution, dont le siège social est domicilié à LE GUA (17600) 17 rue du Monard, agissant en tant que futur propriétaire et exploitant du projet, représentée par Monsieur Philippe JAEHRLING, en sa qualité de Président, l'autorisation de créer un ensemble commercial de 3 515 m2 comprenant un hypermarché de 2 700 m2 et un espace culturel et technologie de 805 m2, à l'enseigne E. LECLERC, et une boutique Espace services (photocopie, photographie...) de 10 m2 à LA TREMBLADE (17390) rue du Grand Pont.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois. A LA ROCHELLE le 8 février 2012

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente-Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

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Décision de la CDAC autorisant la création d'un magasin à l'enseigne Espace Revêtements de 494m2 à Saint- Jean d'Angély

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

A DECIDE

D’ACCORDER PAR SEPT VOIX FAVORABLES ET UNE VOIX DEFAVORABLE à la S.A.R.L. COULEURS DECO, dont le siège social est domicilié à SAINT-JEAN D'ANGELY (17400) 1610 route de Saintes, agissant en tant que futur exploitant, représentée par Monsieur Xavier THOMAS et Madame Patricia DURAND, en leur qualité de co-gérants de la S.C.I. MINE, propriétaire de la future construction, l'autorisation d'étendre un ensemble commercial de 3 750 m 2 par création d'un magasin spécialisé dans l'équipement de la maison de 494 m2, à l'enseigne ESPACE REVETEMENTS à SAINT-JEAN D'ANGELY (17400) Z.I. de la Grenoblerie.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois. A LA ROCHELLE le 8 février 2012

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente-Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

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Décision de la CDAC autorisant l'agrandissment du SUPER de 2800m2 pour aboutir à une surface de vente totale de 3860m2 à Marans

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

416 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

A DECIDE

D’ACCORDER PAR NEUF VOIX FAVORABLES ET UNE VOIX DEFAVORABLE à la S.A.S. LA MARANDAISE, dont le siège social est domicilié à MARANS (17230) 1 bis rue d'Aligre, agissant en tant que propriétaire et exploitant, représentée par Monsieur Ludovic BUISSON, en sa qualité de président, l'autorisation d'étendre un SUPER U de 2 800 m2 pour aboutir à une surface totale de 3 860 m2 (dont extension de 1 048 m2 de l' hypermarché SUPER U et création d'un local coursesU.com de 12 m2) et la création d'une zone expo-vente de 185 m2 à MARANS (17230) 1 bis rue d'Aligre.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois. A LA ROCHELLE le 8 février 2012

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente-Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

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Décision de la CDAC autorisant la création d'un centre auto de 220m2 à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

A DECIDE

D’ACCORDER A L’UNANIMITE DES MEMBRES PRESENTS à la S.C.I. KOUKOUN, dont le siège social est domicilié à MEDIS (17600) 30 rue du Bois de l'Enclouse, agissant en tant que promoteur, représentée par Monsieur Jean-Marc BRAULT en sa qualité de gérant, l'autorisation de créer un centre auto de 220 m2 complété par quatre baies de service à ROYAN (17200) 9 rue Denis Papin.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois. A LA ROCHELLE le 8 février 2012

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente-Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY") ______

417 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

2.3. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17

Avis relatif à l'extension d'un avenant salarial à la convention collective de travail concernant les exploitations agricoles de polyculture, d'élevage, de cultures spécialisées, d'élevages spécialisés, de viticulture, des coopératives d'utilisation de matériel agricole (CUMA) et des entreprises de travaux agricoles et forestiers ayant leur siège en Charente-Maritime

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite envisage de prendre, en application des articles L. 2261-26, R. 2231-1, D. 2261-6 et D. 2261-7 du code du travail, un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel et territorial de la convention collective susmentionnée, les dispositions de l’avenant à ladite convention ci- après indiqué.

Texte dont l’extension est envisagée :

Avenant n° 27 du 9 Janvier 2012

Signataires :

Organisations d’employeurs :

- la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles de la Charente-Maritime, - le Syndicat des Entrepreneurs de Travaux Agricoles et Forestiers de la Charente-Maritime, - La Fédération Départementale des Coopératives d'Utilisation de Matériel Agricole de Charente-Maritime,

Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à

- la Section interdépartementale du syndicat national des cadres d’exploitations agricoles C.F.E - C.G.C., - la FGTA Force Ouvrière, - la Fédération Agriculture C.F.T.C..

Dépôt :

Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi – Unité Territoriale de Charente-Maritime – Centre Administratif Chasseloup-Laubat – Avenue de la Porte Dauphine – 17021 LA ROCHELLE CEDEX 1

Le texte de cet avenant pourra être consulté à l'adresse ci-dessus (Section d'Inspection du Travail pour les activités Agricoles et Maritimes – Tél. 05.46.50.86.68).

Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée. Leurs communications devront être adressées à la préfecture du département de la Charente-Maritime.

FAIT à LA ROCHELLE, le 6 Février 2012. La Préfète, Béatrice ABOVILLIER

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418 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Avis relatif à l'extension d'un avenant salarial à l'annexe CADRES à la convention collective de travail concernant les exploitations agricoles de polyculture, d'élevage, de cultures spécialisées, d'élevages spécialisés, de viticulture et des entreprises de travaux agricoles et forestiers ayant leur siège en Charente- Maritime

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite envisage de prendre, en application des articles L. 2261-26, R. 2231-1, D. 2261-6 et D. 2261-7 du code du travail, un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel et territorial de la convention collective susmentionnée, les dispositions de l’avenant à ladite convention ci- après indiqué.

Texte dont l’extension est envisagée :

Avenant n° 20 du 9 Janvier 2012

Signataires :

Organisations d’employeurs :

- la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles de la Charente-Maritime, - le Syndicat des Entrepreneurs de Travaux Agricoles et Forestiers de la Charente-Maritime,

Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à

- la Section interdépartementale du syndicat national des cadres d’exploitations agricoles C.F.E - C.G.C., - la FGTA Force Ouvrière, - la Fédération Agriculture C.F.T.C.,

Dépôt :

Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi – Unité Territoriale de Charente-Maritime – Centre Administratif Chasseloup-Laubat – Avenue de la Porte Dauphine – 17021 LA ROCHELLE CEDEX 1

Le texte de cet avenant pourra être consulté à l'adresse ci-dessus (Section d'Inspection du Travail pour les activités Agricoles et Maritimes – Tél. 05.46.50.86.68).

Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée. Leurs communications devront être adressées à la préfecture du département de la Charente-Maritime.

FAIT à LA ROCHELLE, le 6 Février 2012. Le Préfet, Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17") ______

419 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

2.4. Visiteur

Avis de concours interne sur titres d'un poste de cadre de santé - filière infirmière.

Avis de concours interne sur titres de cadre de santé – filière infirmière

1 poste

(Charente-Maritime)

Un concours interne sur titres aura lieu au Centre Hospitalier de Saintonge (Charente-Maritime), en application de l’article 2 du décret n° 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir un poste de cadre de santé-filière infirmière vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les fonctionnaires hospitaliers titulaires du diplôme de cadre de santé, relevant des corps des personnels infirmiers, de rééducation ou médico-techniques, et comptant, au 1er janvier de l’année du concours, au moins cinq ans de services effectifs accomplis dans un ou plusieurs des corps précités, ainsi que les agents non titulaires de la fonction publique hospitalière, titulaires d’un diplôme d’accès à l’un des corps précités et du diplôme de cadre de santé, ayant accomplis au moins cinq ans de services publics effectifs en qualité de personnel infirmier, de rééducation ou médico-technique.

Les demandes d’inscription au concours accompagnées de tous les justificatifs devront être adressées, par pli recommandé, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime. le cachet de la poste faisant foi, à :

Monsieur le Directeur du Centre Hospitalier de SAINTONGE 11 boulevard Ambroise Paré 17108 SAINTES CEDEX auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieu du concours.

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Avis de concours sur titres pour le recrutement de 5 postes d'ouvriers professionnels qualifiés -O.P.Q.- Spécialité hôtellerie, bionettoyage de la fonction publique hopitalière.

Avis de concours pour le Centre hospitalier de Saintonge

AVIS DE CONCOURS SUR TITRES POUR LE RECRUTEMENT DE 5 POSTES D’OUVRIERS PROFESSIONNELS QUALIFIES (O.P.Q.) Spécialité hôtellerie, bionettoyage DE LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE

Centre hospitalier de Saintonge à SAINTES (Charente-Maritime)

Un concours sur titres est ouvert au centre hospitalier de Saintonge à SAINTES (Charente-Maritime), en vue de pourvoir la vacance de 5 postes d'ouvriers professionnels qualifiés (O.P.Q.) – spécialité hôtellerie, bionettoyage. Peuvent faire acte de candidature les personnes titulaires soit d'un diplôme de niveau V ou d’une qualification reconnue équivalente, soit d’une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles délivrée dans une ou plusieurs spécialités, soit d’une équivalence délivrée par la commission instituée par le décret n°2007-196 du 13 février 2007 relatif aux équivalences de diplômes requises pour se présenter aux concours d’accès aux corps et grades d’emplois de la fonction publique, soit d’un diplôme au moins équivalent figurant sur une liste arrêtée par le ministre chargée de la santé.

420 Recueil des Actes Administratifs - Mois de février - Date de publication : 17/02/2012

Les demandes d'inscription au concours devront être adressées dans un délai d’un mois à compter de la date de publication du présent avis au Recueil des Actes Administratifs (R.A.A.) de la Charente-Maritime, par pli recommandé, le cachet de la poste faisant foi, à :

Monsieur le Directeur du centre hospitalier de Saintonge B.P. n° 326 17108 SAINTES CEDEX auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier.

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Avis de concours interne sur titres pour le recrutement d'un poste de maitre ouvrier dans la fonction publique hospitalière pour le Foyer départemental Lannelongue à Saint Trojan les Bains.

AVIS DE CONCOURS INTERNE SUR TITRES POUR LE RECRUTEMENT D’UN POSTE DE MAITRE OUVRIER DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE (spécialités : plomberie / électricité)

Un concours interne sur titres aura lieu au Foyer Lannelongue à ST TROJAN LES BAINS (Charente-Maritime), en application du 2° paragraphe III de l’article 13 du décret 91-45 du 14 janvier 1991 modifié portant statuts particuliers des personnels ouvriers, des conducteurs ambulanciers et des personnels d’entretien et de salubrité de la fonction publique hospitalière.

Le concours est ouvert aux ouvriers professionnels qualifiés ainsi qu’aux conducteurs ambulanciers de 2ème catégorie titulaires d’un diplôme de niveau V ou d’un diplôme au moins équivalent et comptant au moins 2 ans de services effectifs dans leurs grades respectifs.

Les candidatures doivent être adressées dans un délai d’un mois à compter de la date de publication du présent avis au recueil des actes administratifs (R.A.A.) de la Charente-Maritime, par pli recommandé, le cachet de la poste faisant foi, à :

Monsieur le Directeur du FOYER LANNELONGUE 30 Bd du débarquement 17370 ST-TROJAN LES BAINS qui fournira tous renseignements complémentaires.

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Visiteur") ______

Imprimé à la Préfecture de Charente-Maritime Date de publication le 17/02/2012

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