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Ce pauvre « bouc émissaire » fut de ceux qui ont cru opportun de me^ la meilleure forme de L'action. Donc, à se faire jour dans divers milieux la France ! ner, à travers le paj's, une campagne LES ÉVÊNEMEN du travail, du travail et encore du tra- britanniques, c'est que le seul hom- EN ALLEMAGNE C'est nôtre pays qui est responsa- d'opposition. Il y eut des sarcasmes vail ! ble de tous les maux qui accablent me capable de sauver l'Entente et de Officier belge maltraité à l'extrème-gauche et ailleurs certai- « C'est à ce prix qu'est le maintien maintenir le traité de Versailles se- La retour du Kronprinz en Alle- la malheureuse Europe. nes attitudes sceptiques. de notre victoire. Un lieutenant de l'armée belge a magne: Les Etats-Unis Et si M. Baldwin a jugé le passé rait M. Lloyd George assisté de lord été arrêté, dans la nuit du 15 no- se dé- Dans la troisième partie de son « Il faut la défendre contre les en- Grey, dans un nouveau ministère li- aiBtéressent de la question. — sans aménité pour nous, en ce qui exposé, le président du Conseil dé- nemis de la patrie. vembre, par quatre sous-officiers concerne l'avenir, il s'est montré non béral dont M. Winston Churchill a d'artillerie allemande qui pénétrè- Ta campagne électorale en ploya une magistrale leçon sur le « ... Construisons, avant tout, la, moins peu enclin à la cordialité. donné clairement la composition dans rent de vive force dans sa chambre, Grande-Bretagne: M. Baldwin projet, aujourd'hui échoué, de con- paix. C'est un édifice fragile et com- son discours de samedi à Manches- dans un hôtel de Leipzig. L'officier Plus nettement, il a annoncé la fin férence d'experts internationaux, sur posite, qui attend toujours ses con- Formule d'amère* accusations de la coopération alliée. ter. belge fait partie de la Commission contre la France et prédit la les conditions de ce projet et les ris- treforts et son couronnement, et dont M. Asquith serait le chef nominal Traduisons mot à mot ce passage ques qu'impliquerait la méthode pré- de contrôle interalliée, il' fut insulté fin de l'Entente. - La Chambre les fondations sont, à chaque instant, de ce ministère. grossièrement, fouillé, empoigné bru- essentiel de son discours, d'après le conisée par les Anglo-Saxons. minées par des entrepreneurs de dé- pat unanime à défendre les Le Reich se réjouit des déclarations talement et menacé d'être abattu à texte anglais que publie le Daily Il souligna — et avec raison, car molition... Mais comment pourrions» Mail : de Mussolini coups de pistolet s'il n'obéissait pas intérêts du pays. - M. Poin- l'argument a de la force — que la nous employer à cette œuvre de res- caré plaide, une fois de plus, Le discours prononcé vendredi par aux ordres de ses gardiens; l'raîné, à En vérité, il peut être difficile de France avait accepté une expertise tauration ceux qui ne mettent pas la excellemment la cause de la M. Mussolini au Sénat italien, et où 3 heures du matin, a la caserne du continuer indéfiniment des tentatives touchant la capacité de l'Allemagne patrie au-dessus de tout et qui, sous le dictateur s'est prononcé d'une fa- train des équipages, il y fut retenu, France. pour coopérer avec des alliés qui pour les sept années à venir, jusqu'en prétexte de fidélité à je ne sais quelles çon générale contre l'occupation de constamment molesté et insulté par On attendait, non sans une cer- rendent la coopération si difficile. 1930, et que ces sept années offrent doctrines internationales, placeraient un champ vraiment assez large aux la Ruhr, est accueilli par les milieux "es soldats allemands qui l'accompa- taine curiosité, L'attitude qu'adoptè- Je désire dire très peu de choses nos pierres en porte à faux et désa- gnaient. prévisions ou aux calculs des experts. officiels allemands avec satisfaction. rent les Etats-Unis et la Grande- pour le moment. Tout ce que je dési- grégeraient notre ciment. Empreint d'un double cachet de Ce n'est que vers huit heures du ' Bretagne quant au retour en A lema- re dire, c'est ceci : je n'ai épargné au- « Nous sommés de loyaux amis de -<>HK>- certitude et de gravité, réduit par le matin que l'officier fut remis en li- «ne de l'ex-Kronprmz et, éventuelle- cun effort pour faire savoir à nos al- l'humanité. Mais nous ne concevons fait d'une relative improvisation à berté, mais on l'abandonna seul ment de Guillaume II. liés que le peuple de ce pays-ci n? pas l'humanité sans une France pros- En Pays occupés dans la cour de la caserne. Pendant ne s'appuyer que sur des éléments père et respectée, c'est-à-dire, en fait, Y étaient- ce pas, en effet, l'idéolo- peut pas continuer indéfiniment à Une patrouille française attaquée ce temps, l'adjudant de l'officier bel- «ue américain Wilson et l'ondoyant essentiels, le discours de M. Poincaré sans une France à laquelle il soit maintenir l'esprit qui est nécessaire A Dus'seldorf, le 16, vers minuit, ge qui l'accompagnait, nommé Clé- britannique Lloyd George qui avaient emportait, d'une manière irrésistible, donné pleine satisfaction, tant pour la pour la coopération et l'entente, si une patrouille du 8" bataillon de chas- ment, subissait le même traitement. réclamé les premiers et avec véhé- l'adhésion logique. réparation de ses dommages que l'on permet à la situation présente de seurs à pied, commandée par un sous- L'ordre d'arrêter les deux militai- mence la mise en accusation de ces Aussi, lorsqu'il descendit de la tri- pour les garanties de sa sécurité. Ce continuer très longtemps. officier, a aperçu une automobile qui res avait été lu et affiché dans la ca- deux Hohenzollern coupables de cri- bune après avoir jeté ce cri : « Nous ne sont pas les derniers événements stationnait dans un quartier éloigné serne du bataillon où s'est déroulée mes caractérisés contre l'humanité ? D'après ce passage, on peut prévoir ne trahirons pas les droits de la qui nous inclineront à des faiblesses de la ville. cette scène. Leur fuite peu courageuse en Hol- que les prochaines élections britan- France », ses plus irréductibles ad- vis-à-vis de l'Allemagne ou qui nous Le chef de la patrouille ayant en- lande, pavs neutre, les avaient places, niques se feront autour de cette ques- versaires aux-mêmes eurent bien de feront regretter l'occupation de ta La situation en Bavière voyé deux chasseurs reconnaître l'au- en 1918, à l'abri des poursuites d'un tion : la rupture avec la France et, la peine à ne pas se lever pour l'ac- Ruhr. Nous devons, au contraire, La situation en Bavière tend à deve- clamer. tomobile, ceux-ci ont été accueillis tribunal humain. éventuellement, avec les pays qui la nous estimer heureux de tenir au- nir normale. Les mesures de police par des coups de feu. Leur retour en Allemagne ne con- suivront. M. D. jourd'hui sous notre garde le princi- prises à la suite du coup d'Etat ces- La patrouille a alors riposté et îeï fèrerait-il pas aux Alliés le droit Pour juger du ciiemin parcouru, pal bassin minier cl les grandes fa- sèrent à partir de samedi ; ces me- d'exiger la remise des coupables poul- il faut se souvenir que, en novembre briques d'armes d'anciens ennemis individus se sont enfuis. L'automo- sures concernaient particulièrement ies mettre en jugement ? 1922, les conservateurs se présentè- qui sont en proie aux passions natio- bile a été saisie, on a arrêté deux des la fermeture des théâtres et l'inter- occupants. Une enquête a été ouverte. C'eût été logique ! C'eût été moral! rent aux électeurs avec pour pro- LA FRANCE AYANT TOUT! nalistes et entretiennent des arrière- diction de sortir le soir dans les rues. .Mais, depuis novembre 1918, bien gramme : le maintien et le renforce- Un discours de Poincaré pensées de revanche. Nous nous trou- La soumission des mines Le président du Conseil, M. von des événements se sont produits et ment de l'entente franco-britannique. vons ainsi en mesure de défendre ht est presque complète Kriilling, paraît surtout préoccupé Le discours qu'a prononcé, samedi pai.r et de sauver noire, victoire. Nous par la crise économique. La prochai- Wilson et Lloyd George sont écartés Aujourd'hui, les conservateurs.- ïtt mine Dîergardt vient de con- soir, M. Poincaré au banquet du Co- ne souffrirons pas, je vous l'affirme, ne émission d'une monnaie bavarois» de la direction politique de leurs adoptent un programme diamétrale- clure un accord avec la mission de ment opposé. mité républicain du Commerce et de que l'une ou l'autre soit compromise. à valeur constante est à l'étude. pays. l'Industrie est un discours d'union, contrôle. C'était la seule mine du Est-ce une raison pour que ces Ce faisant, ils rejoignent les Lloyd L'heure est passée des concessions. Les journaux expriment la crainte où sans méconnaître la nécessité de bassin de Moers qui n'eût pas encore derniers méconnaissent ce qui n'est Géorgiens ! Le traité sera exécuté, de bon ou de que cette initiative, contraire à la voir les partis politiques tendre à la fait sa soumission. ,r[ue justice et équité ? On ne peut prévoir quel sera le mauvais gré. Laisser à l'Allemagne constitution de Weimar, puisse oc- reprise de l'activité, le président du Toutes les mines du bassin d'Aix- Quoi qu'il en soit, c'est un fait que verdict des électeurs anglais. le temps et les moyens de préparer casionner un conflit avec le Reich. Conseil recommande à tous de res- la-Chapelle sont également soumises. la Grande-Bretagne n'a pas daigné Pourtant, dans les conditions où une nouvelle agression, ce serait un Ancien ministre bavarois arrêté ter alertés devant l'Europe profondé- Dans les territoires de la rive gau- souffler mot quant au retour "du va s'engager la campagne électorale, crime contre la postérité. Nous ne le ment troublée. che du Rhin, placés sous l'autorité de L'ancien ministre de la justice dans Kronprinz : elle feint de l'ignorer ! il est à craindre que l'Entente cor- commettrons pas. » M. Poincaré reprit à son compte la commission interalliée, les seules le Cabinet de Kahr, M. Roth, qui est Les Etats-Unis, eux, n'ont pas' hé- diale, avant longtemps, aura vécu un mot du Président de la Républi- mines actuellement encore insoumi- membre actif de l'organisation Hit- sité à signifier leur point de vue et, officieusement et officiellement. que au précédent banquet : « Nous ses sont les mines de lignite, situées tler, a été arrêté, pour complicité dans dans une communication officielle, A INFORMATIONS' dans la zone britannique d'occupa le coup d'Etat de Munich. ils font savoir que la question ne les devons placer au-dessus de toutes Le gouvernement français ne pou- les considérations particulières, le tion. On pille les étalages à Berlin intéresse pas. vait laisser sans réponse immédiate Ils précisent même que le rétablis- souci des grands intérêts du pays ». La crise interalliée Séparatistes et antiséparatistes Des pillages se sont de nouveau l'accusation, pour le moins tendan- Il a terminé par l'affirmation nou- se livrent bataille produits dans divers quartiers de sement de la monarchie des Hohen- cieuse, du Premier Britannique. Une concession de la France velle que le traité serait exécuté de Les combats qui se sont engagés Berlin, en particulier à Wilmersdort' zollern ne soulèverait de leur part au- Il importait de rétablir non seule- lie Chicago Tribune croit savoir cune protestation ! bon ou de mauvais gré : « laisser à vendredi dans la région des- Sept-Mon- et Steglitz. ment aux yeux de la France, mais que M. Poincaré ferait certaines con- l'Allemagne le temps et les moyens tagnes (Siebengebirge), à proximité Des "magasins de vêtements et de Certes, on peut s'étonner déjà du surtout devant la conscience univer- cessions à Dovvning-Street pour ame «le préparer une nouvelle agression de la zone anglaise, entre les sépara- chaussures furent dévalisés et des fond même d'une telle conduite car, selle, l'exacte vérité des faits. ner les deux points de vue plus près ce serait un crime contre la posté- tistes et les antiséparatistes,. se sont étalages, sur les marchés, furent ren- enfin, des principes de moralité in- d'une entente. M. Poincaré l'a compris et il a saisi rité ». continués samedi. versés. ternationale, solennellement affir- l'occasion que lui offrait la discussion Le gouvernement français renon- A On avait signalé depuis quelque La police arriva cependant assez més, sont en jeu et sont foulés aux à la Chambre des interpellations sur cerait à la saisie de territoires sup pieds. Voici les principaux passages du temps la présence de troupes sépara- vite pour empêcher l'extension des la politique étrangère pour mettre les plémentaires si lord Curzon consent .Mais que dire de la forme ? Was- discours du Président du Conseil. tistes dans les environs de Honnef troubles. choses au point. à envoyer une note sévère insistant hington se prononce sur une question M. Poincaré a rappelé qu'il avait Les habitants des localités voisines Mais, encore une fois, son plai sur la reprise à bref délai des opéra ->i«- été, de tout temps, partisan de avaient formé des troupes antisépa soumise aux délibérations de la Con- doyer s'adressait moins aux, députés tions de la Commission Nollet et pré- •erence des Ambassadeurs avant mê- l'Union. Dans son ministère de 1912 ratistes, dont l'effectif total était d'en- Comment l'Angleterre présents qu'aux hommes politiques venant le gouvernement du Reich me que celle-ci ait statué. où figurait M. Ghaumet, lequel a pris viron huit cents hommes. Les anti étrangers, entre autres des Etats que l'Angleterre ne permettra pas la entend le désarmement la parole samedi, se rencontraient séparatistes étaient tous armés de Beaucoup penseront qu'il y a là Unis et de Grande-Bretagne. restauration des Hohenzoflern. Dans son adresse électorale, M. Bal- n essai, sinon de pression, du moins à ses côtés les Millerand, les Léon grenades à main, de pistolets mi- de Et combien la séance de la Cham- dwin a dit qu'au cours des quelques suggestion. Bourgeois, les Briand, les Delcassé, les Accord complet trailleurs et de fusils de guerre, la bre de vendredi n'acquiert-elle pas années à venir, l'Angleterre aura eci ne laisse Steeg, les Pams, les Klotz, les Jean entre la Belgique et la France lutte a été trè3 meurtrière. Quatorze » ? Pas d'être extra- de signification : à plusieurs repri besoin d'environ 17 croiseurs légers danno t ! Dupuy. On lit dans l'Etoile Belge : cadavres de séparatistes ont été en 1 de deux ses, les paroles de M. Poincaré ont pour rempiacer les anciens et aussi h\^ '' , choses l'une : ou « Jamais, dit M. Poincaré, nous « Paris et Bruxelles estiment que terrés hier soir, au cimetière d'Agi une certaine quantité d'autres petits Etats Uni rassemblé la quasi-unanimité de la dienberg. sent' H " s se désintéres- Chambre. n'avons connu le moindre désaccord. le contrôle des armements allemands bâtiments. L'intention du gouverne- alo °es afiaires européennes, et Une nouvelle bataille rangée s'est Pour l'applaudir, il n'y avait plus C'était l'époque où l'Europe commen- doit être repris et que la commission ment, dit M. Baldwin dans son us ne doivent pas influencer engagée entre les troupes en présen- j ni républicains ni royalistes, ni radi çait à sentir la terre trembler sous Nollet doit pouvoir exercer pleine- adresse, est d'en hâter la mise en euro éen ses pas. » ce : il y a eu huit morts et plus de Ù& P s '» ; ou bien, ils dai- eaux ni réactionnaires, ni même so ment sa mission. C'est là une question chantier. 6 connaîtl soixante blessés. Le sanatorium d'en- comn ? 'e, et alors on ne C'était le prélude de l'Union Sacrée, essentielle de sécurité et de garantie 1>as leur cialistes ou conservateurs : il y avait fants de Neuwied a dû être converti ter-t prétention de dic- qui durant la guerre a permis à des « En ce qui concerne l'ex-kron u-ur conduite aux « européens ». des Français unis, communiant par en hôpital. La Bulgarie paie l'idée et le sentiment de la stricte hommes comme Jules Guesde, Méli- prinz, peut-être se bornera-t-on à une DEUX CAS K este des ses dettes de guerre Etats TT • S man ' 8 justice. ne, Combes, Denys Cochin d'oublier menace de sanction qui serait im Le général Dégoutte il rT -que de correction et médiatement suivie d'effet, si le fils interdit le licenciementdes chômeurs r Sera as de Ainsi apparaissait avec une écla- tous leurs dissentiments pour tra- à la Yougo-Slavie PraianLce un» e fàcheu. P s produire en tante évidence que la thèse dévelop- vailler ensemble au salut de la pa- de l'ex-kaiser cherchait à jouer le Le général Degoulte a pris l'arrêté La commission mixte bulgaro-you- ise impression. pée par le Premier Français est la trie. moindre rôle politique. suivant : goslave a tenu une séance au cours « Peut-être sur cette formule abou Si thèse du peuple français en sa tota- « Aujourd'hui, poursuit M. Poin- Article 1er. — Le licenciement to- de laquelle elle a arrêté les détails de 0 18 uère a lité : M. Poincaré fut l'interprète fi- tira-t-on à une entente unanime. » l'accord relatif au paiement des ré- ter ÏLt^e ' ! § nous féii- caré, que la voix du canon s'est tue tal des employés et ouvriers d'une 1 attitude des Etats-Unis, il dèle de la volonté unanime du pays. et que la paix est signée, il est natu- Un journal anglais défend la France exploitation déterminée est interdit. quisitions exercées pendant la guerre 1 1IUUS sur le territoire serbe. "■'jouir ri„. 1 ayons a noiii A rel, sans cloute, que les partis politi- Le Daily Mail, journal conserva Art. 2. — Le licenciement partiel 6 de ia conduite ques aient tendance à reprendre leur teur, présente en ces termes la dé des employés et ouvriers d'une La moitié de la somme due, soit 150 ^tegu? ** i? Le discours du Président du Con- millions de levas, sera versée en espè- activité. Il faut bien cependant qu'ils fense de la France, contre les vio- exploitation déterminée est interdit dis Pe t jllger ar le seil n'est pas de ceux qu'on résume : ces en quatre annuités, dont la pre- cou r^ S P dernier il faut le lire en son intégralité. comprennent que, si nous ne vou- lentes attaques de M. Baldwin : lorsqu'il résulte d'une décision prise r Premier Britannique aux mière, de 30 millions de levas, le 1" ^mune" Tâchons néanmoins d'en dégager lons pas perdre, les uns après les au- « Le public-lira avec surprise les par une association patronale grou- tres, les fruits de notre victoire, nous pant des entreprises d'une même in- mai 1924 ; les trois autres de 40 mil- nS dU Ue M les idées directrices. paroles que le gouvernement a jugé 1 - Baldwin a lions chacune, en trois ans ; l'autre '^'5? dJ° Son exposé contient trois parties. sommes forcés, tous tant- que nous utile de placer dans le message du dustrie. étions ,„proceder a de nouvelles sommes, de demeurer alertés en face Art. 3. — Les directeurs d'entre- moitié sera payée en prestations en llc n C re Ue Factue Dans la première, M. Poincaré a roi et qui accusent la France d'avoir nature, comprenant la fourniture de ' ' t n'ex, , ° 1 ' 1 Parle- ramassé une fois de plus les preuves d'une Europe profondément trou- prises ayant contrevenu à ces dispo- Un f nCti nS C Ue conduit l'Europe à la situation éco 105.000 tonnes de charbon pour 75 "8 nuée" ° ° l , textuelles de l'illogisme et de l'in- blée et que, comme le disait, à votre nomique actuelle. sitions ainsi que toute personne banquet du mois de février dernier, ayant donné cet ordre à son profit, millions de levas, et la fourniture de I cohérence britanniques à l'égard du « M. Poincaré a déclaré au jour ier in n'a point voulu le président de la République, nous sont passibles d'un emprisonnement céréales pour une somme égale. nq problème des réparations. A noter, d'iiui — avec beaucoup de raison Ue sans^ ? tes législateurs brit an- devons placer au-dessus de toutes les pouvant aller jusqu'à 5 ans et d'une La livraison de ces matières sera 1 adFes toutefois, un mouvement très fort que la France n'a pas cessé, depuis "^ttHon hiJn"' ser une pëtï'ïé considérations particulières le souci amende pouvant atteindre 100.009 effectuée à partir de 1924 et se termi- senlie d'approbation unanime quand l'ora- deux ans, de faire des concessions à nera en 1927. Sans rtn * - des grands intérêts du pays. » marks-or ou de l'une de ces deux pei- U ia S st su teur articula, avec sa précision cou- la Grande-Bretagne, afin de mainte- H P° t devi, '' f rtout placé nes seulement. Les fondés de pouvoir tumière, la thèse française sur les M. Poincaré félicite ensuite le Co- nir l'Entente. Il est regrettable que ^ briin l^^.P^tique onté dettes interalliées. des associations patronales visées à ol s LUU1 mité républicain d'avoir eu, depuis ces concessions aient été mal appré- Tirages financiers In erieu<5PTT.~ * ™ ceue- l'article 2 seront passibles des mêmes Poli nt con La deuxième partie de l'exposé fut la paix, ce programme : « A l'œuvre du 15 novembre ' ' ' ï, tique ^ ditionnée par ciées et que les sacrifices aient été peines s'ils ordonnent le licenciement da eure a une justification de l'occupation de tous ensemble, dans le respect de méconnus. £ "s e dïd " > » dû péné- «énéral ou partiel cité aux articles 1 CANAL DE PANAMA > e om . ^ . la Ruhr par ses résultats. Les chif- toutes les institutions et des lois ré- ame plein d e bû « Si le gouvernement anglais avait fres que fournit le président du Con- publicaines, une politique nationale et 2. Le N<> 1.959.030 gagne 250.000 fr. . Au resto ,, soutenu la France, l'occupation de la Art. 4. — Le présent arrêté ne s'ap- seil et les espoirs très fermes qu'il de relèvement, de réparations et de Ruhr aurait vite amené la capitula- Le N° 1.538.792 «agne 100.000 fr. indiqua, produisirent une impression sécurité. » plique qu'aux exploitations utilisant Le N* 1.856.612 ga| ne 10.000. e « bouc émis- tion du failli frauduleux qui s'ap- Cinq de contentement visible. Ce fut mê- Voici la péroraison de M. Poincaré. Un personnel supérieur à 500 em- numéros gagnent chacun pelle l'Allemagne. » ployés et ouvriers. 2.000 fr. lit 1UC failIile d me une bonne surprise... Naturelle- « L'action, l'action et encore l'ac- Le naufrageur de l'Entente ^ani^ï e la po- ment l'optimisme de l'orateur se Art. 5. — Le présent arrêté entrera 50 numéros sont remboursés cha- tion, disait Danton. Il avait raison. deviendrait son sauveteur heurta au parti pris de dénigrement en vigueur immédiatement. cun par 1.000 fr., et 462 numéros sont Mais il faut ajouter que le travail est Une opinion singulière commence remboursés chacun par 400 fr. ->3É<- des conseillers municipaux ramenés, punir. Il professait sur la guerre les idées tre confrère M. le chanoine Albe qui nous été opérées chez des bijoutiers de nous est favorable, les trois' ' 8 on le sait, de 16 à 12. d'Alfred de Vigny et sur la paix partageait présente l'ouvrage de M. Bulit, sur Gour- Pau, Villefranche-de-Rouergue et gnes adverses, par des « ho^ H nos impatiences. Il s'était battu avec les don, dont l'auteur fait hommage à la Socié Villeneuve-sur-Lot continuels et vraiment « J.s jeu Quant aux conseillers d'arrondisse- Xce yeux ouverts, il ne les avait pas fermés té. Chez un bijoutier de Villeneuve- cune pénalisation n'a rêiu • ^ti. ment — qui sont d'office délégués sé- dans l éblouissement de la gloire. Il a M. Guilhamon signale les articles parus sur-Lot, on a découvert huit kilo vaincre) paralysent tout -ff natoriaux — leur nombre n'a point quitté l'armée quand elle no lui offrait plus dans VIllustration et, dans la grande pres- c * te) grammes de pièces d'argent que ce changenLiiaugcMit totalemenluiaiciuciiti la ppartv' « varié : il reste fixé à trente. qu'honneur et repos. Il considérait, que sa se sur les découvertes préhistoriques de a A noter cependant que, en raison tâche était terminée. Pourvu, m'écrivait-il, M. l'abbé Lemozy, à Cabrerets. bijoutier prétend avoir eues en sa dommage pour nous hier. C'est LE SOCIALISME du mouvement de la population, le que la guerre eût été autre chose qu'un M. Daymard donne lecture d'un travail possession avant la guerre. Toute- sera plus regrettable pour canton de Lacapelle-Marival n'élit entr'acte sanglant de notre histoire et que sur le tympan de l'église paroissiale de fois, un certain nombre de ces pièces paiera cher en Championnat la même pièce ne soit pas reprise par les Collenges en Corrèze, publié par M. René ll,,e contre l'accession à la propriété plus qu'un conseiller d'arrondisse- portent le millésime de 1918. conception du rugby* " te]| mêmes acteurs au milieu de l'indifférence Fage, dans le bulletin de la Société Archéo- Les recherches ae la police sont La deuxième mi-lemp ment, au lieu de deux ; par contre, le d'un public inchangé. logique de Brive, tome 45. H Les socialistes veulent abolir toute également orientées vers certaines l'intérêt d un rush " f p 1 VSent. canton de Figeac-Est, qui n'était re- Son vœu, digne de son patriotisme et Ce travail est une étude aussi intéressan- 0 c propriété privée. localités du Roussillon, où on espère d'avants qui pendant 40 minuf'^l'le C'est là le fond de leur doctrine, présenté que par un seul conseiller, de sa tradition, n'avait pas encore com- te que documentée sur les tympans de mencé d'être réalisé quand il est mort, mes l'époque romane, dont le motif principal trouver des preuves du passage du nèrent une danse dont l'Avir malgré toutes les habiletés avec les- l'est maintenant par deux. n Quant aux députés et conseillers amis. Il est mort presque jour pour jour est ['Ascension du Christ. Elle est longue courtier qui a opéré à Bordeaux. filera dimanche. -° pro. quelles ils la présentent pour ne pas au cinquième anniversaire de cet armisti- et trop nourrie d'arguments pour être généraux, délégués de droite égale- L'équipe de Viviez, SUn- . effaroucher les petits possédants. ce dont on appréciera plus tard s'il est résumée en quelques lignes. Il est beau- t( Logiques avec eux-mêmes, ils sont ment, leur nombre n'a point varié. bon ou mauvais, opportun ou prématuré, coup question du tympan du portail nord Secousse sismique ment entraînée par Comment< - fut hier très brillant dans l °es (M hostiles à toute législation qui ten- qui marque la fin d'une ère de violence et de la Cathédrale de Cahors et de l'étude Une secousse sismique assez pro- e r te magistrale de M. Maie, sur ce même sujet, occasions où il s'employa, a t? ? s drait à faciliter l'accession des prolé- Elections municipales n'a pas, hélas ! inauguré l'ère d'humanité noncée et qui a duré environ une et dont notre collègue, M. Rey, a fait un hier un rugby décevant Jf^'^é taires à la petite propriété. entrevue. Les électeurs de la commune de Ayant enfin constitué un foyer pour y résumé assez complet, qui va paraître dans demi-seconde a été ressentie à « hors jeu » qui semblent !u lfs M. Vandervelde, un des chefs so- Livernon sont convoqués pour le di- réunir la compagne attentive à ses soins notre bulletin. Cahors, vers 4 heures du matin dans Ul) -règle chez deux ou trois &n • e cialistes belges, vient encore de se manche 9 décembre prochain, pour et sa vieille maman, à laquelle il avait la nuit de dimanche à lundi. Elle a du souffle et peut San piet* prononcer clairement à ce sujet. voué sa fidèle sollicitude, depuis tantôt un De nombreuses personnes ont été C N élire deux conseillers municipaux en Travaux municipaux teste pratiquer en mêlée OUVM ° - Le Conseil général du parti ou- remplacement de MM. Delpon, maire, demi-siècle, il est mort et la vieille maman, réveillées en sursaut. Certaines même C11 là-haut, tout là-haut, dans son ermitage Nous croyons savoir que les im- touches courtes et longues, o{ vrier belge discutait la question des et Roques, conseiller municipal, dé- crurent à l'arrivée inopinée de... cam- ques des lignes arrière, un atta" logements et des habitations à bon de Cahors, qui domine la ville grise et rose, portants travaux de réfection entre- brioleurs ! 11 n'en était rien fort heu- cédés. d'où sont issus le tribun et le général, main- gant et efficace elle n'y $flM* marché. pris au Théâtre municipal touche- reusement ! tenant qu'elle a vu mourir ses trois fils, raient enfin à leur achèvement et qu en réprimant avec sévérité 1 Pour parer à la crise, les socialis- a ten Compatriote représente ce qui reste d'un sang illus- dance à l'obstruction et au i. " tes belges préconisaient une solution tre et généreux : une octogénaire dans que, sous peu, notre première scè- Un arrêté du ministre des finances L'œuvre florissants jeu ». " hors qui avait au moins le mérite de la une solitude. Les mânes que les apothéo- ne pourrait être redonnée à sa desti- simplicité : contracter un emprunt du 8 novembre institue au ministère ses disputent aux polémiques, les cendres nation naturelle. de la charité en France CHAMPIONNAT de 2" série d'un milliard de francs garanti par des finances une commission inter- de ce soldat, qui fut le plus beau et le plus A cette occasion, la municipalité Le ministère de l'hygiène vient l'Etat, dont le produit serait versé, ministérielle chargée d'étudier les loyal des meneurs d'hommes, rien de plus, de Cahors songerait à organiser une d'adresser aux préfets une circulaire du 25 novembre 10,, modifications à apporter au régime pour perpétuer une famille qui s'égale dans soirée de gala, au profit d'une œuvre Tockeij-Club Toulousain I, par l'intermédiaire de la Société na- le respect du monde aux plus grandes. relative au renforcement du contrôle tionale des habitations à bon marché, actuel de rémunération des compta- de bienfaisance, pour inaugurer la des œuvres d'assistance, de pré- Aviron Cadurcien 1 \ T bles communaux. Quelque tragique se mêle à notre dou- OU1 aux sociétés régionales et locales de leur : plus rien que notre mémoire pour salle toute rajeunie. voyance et d'hygiène, dont il est in- Tockey-Club Toulousain H crédit immobilier, et servirait à édi- Cette commission est placée sous prolonger au delà du sort tant de bonté, Cette soirée coïnciderait avec la téressant de détacher lés indications Aviron Cadurcien II a fier les 60.000 à 80.000 maisons qui la présidence de notre érninent com- tant de vaillance, tant d'amour français. foire aux vins qui doit se tenir dans suivantes : ors patriote M. A. Combarieu, président Gardons au moins l'image de ce géné- Avis. — Les membres patron font défaut. notre ville les 15 et 16 décembre pro- « Le nombre des hôpitaux et hos- 8 et reux républicain qui n'est plus, de Léon actif» de l'A. C. sont prévenus " Ces maispns allaient-elles être cé- de Chambre à la Cour des Comptes, chain. pices dépasse actuellement 1860 ; il Jouinot-Gambetta, qui n'a ni menti à son Comité de Pyrénées, se référant dées à leurs occupants, à qui on au- auquel nous adressons nos meilleurs existe, en outre, 82 asiles publics s nom, ni à son pays, ni à ses amis. règlement formel des Champion™!1 compliments. Bibliothèque populaire d'aliénés ou asiles privés et 12 quar- rait accordé des facilités de paiement, A n'admettra leurs entrées que par exemple le pouvoir de se libérer tiers d'hospices, faisant fonctions Le Conseil d'Administration de la Biblio- présentation de leur carte par des versements mensuels ou tri- - Contributions Indirectes Les discours terminés, le cortège thèque Populaire, dans le but de donner d'asiles publics, 22.000 Bureaux de J5 d'une photographie d'identité mestriels minimes ? M. Girma, vérificateur des Contri- funèbre se forme pour se rendre du satisfaction aux fidèles sociétaires et aux bienfaisance, 170 bureaux munici- L'A. C. ne saurait donc interven' Père-Lachaise au cimetière Montmar- nombreux abonnés, vient de décider pour paux d'hygiène, 460 dispensaires an- C'eût été la solution logique. butions indirectes à Gourdon, est en faveur de ses membres qui > '' La plupart des dirigeants socialis- nommé receveur à Chauvigny (Vien- tre. - la fin de l'année d'importants achats de tituberculeux, 57 sanatoriums, publics n a livres nouveaux. Et c'est ainsi que seront raient point leurs cartes régulières tes l'ont cependant repoussée. ne). Le corbillard, orné de trophées de et assimilés, 67 sanatoriums privés, drapeaux et enveloppé d'un drap tri- mis en lecture jeudi prochain 22 courant, A Pour quelles raisons ? A les toutes dernières parutions et un choix 61 préventoriums, 222 consultations colore, était littéralement couvert de M. Vandervelde s'en est franche-, M. Pendaries, vérificateur des Con- de romans modernes, dont voici la liste : antivénériennes, 388 œuvres diverses L'A. C. prie tous les « supporters fleurs. Sur un coussin étaient fixées ment expliqué. tributions indirectes à Figeac, est 1184. Paul Bourget, — La Geôle. de bienfaisance subventionnées, 1.459 et les personnes désireux de se ren- les nombreuses décorations du dé- « Je crois, déclara-t-il, que nous nommé sur place à la première classe 1178. Paul Matter, — Gambetta. œuvres de protection de la maternité dre à Toulouse dimanche de se faire ne pouvons encourager la petite pro- funt. 2420. Zamacoïs, — L'avant-scène D. et de l'enfance subventionnées (con- inscrire sans retard, avant jeudi, au de son grade. 2421 id. — La Dame au rendez-vous. priété. Je crois au contraire que l'ou- En tête du cortège funèbre, im- sultations de nourrissons, gouttes Kiosque dé M. Rollès. Nos félicitations. 710. E. Joly, — L'Œillet de Séville. vrier industriel doit garder une mo- médiatement après le deuil, suivaient 1012. E. Fournol, — Le Modenne Plutarque. de lait, crèches, etc.), 150 offices A bilité nécessaire à la lutte ouvrière ». plusieurs généraux, dont le maréchal 2649. Louis Bertrand,- Cardénio ou l'homme d'habitations à bon marché, 627 So- P. T. T. Franchey d'Espérey, dont le général [aux rubans couleur de feu. Au Stade Lucien De sprats Des journaux belges, en relevant 27. Paul Giuisty, — Au seuil du Bonheur. ciétés de même ordre, 127 Sociétés cette déclaration, Font qualifiée de Par arrêté du Sous-Secrétaire Jouinot-Gambetta fut en Orient un 135. Lombard, — Le Cabaret du Nervoso. de crédit immobilier, 27,756 Sociétés Nous rappelons au public cadur- « cynique ». d'Etat des Postes et des Télégraphes, des principaux collaborateurs. 157. M. Rostand, — Le Phénix. de secours mutuels, 558 Caisses cien que c'est après-demain jeudi à « Ainsi, ont-ils dit, le travailleur, Mlle Jouffreau, receveuse à Saint- Un détachement de troupes de la 164. Bordeaux, — Yamilé sous les cèdres. d'épargne, 47 Mont-de-Piété, etc.. » 2 h. 30 très précises, que sera donné garnison de Paris rendait les honneurs 289 Henri Lavedan, — Gaudias (2 vol.). le coup d'envoi du match impatiem- dans la pensée de ses chefs, doit être Côme-sur-Lot, est nommée receveuse • 291. ici. — Panteau (2 vol.). militaires au défunt, qui était grand ment attendu par tous les sportifs : un juif errant de la lutte des classes. à Dégagnac, en remplacement de 566. J. de Pierrefeu, — Plutarque a menti. La Sainte-Cécile Pour lui, pas de foyer, pas de logis. Mlle Estraboi, décédée. officier de la Légion d'honneur. 567. GénéralX...,— Plutarque n'a pas menti. « Union Sportive Ingres » (1) Sur l'Avenue de Clichy, de l'artille- 166. Maurice Barrés, — Amori et dolori sa- Comme les années précédentes, nos Il importe que les ouvriers demeu- [crum. Lycée de Montauban rie à cheval, avec prolonges, formait vaillantes sociétés musicales L'Ave- rent des hors-la-propriété, des gens Service vicinal ' 168. O de Gobineau, — La Fleur d'or. contre qui vivent au jour le jour, sous la une double haie, sabres au clair. Au 174. Th. de Banville, — Contes et Souvenirs. nir et la Diane Cadurciens se propo- M. Jean Froment, de Grézels, est menace de la misère. passage du cortège, les fanfares se II- 194. P. Bourg-el, — L'Ecuyère. sent de célébrer dignement la Sainte- « La Qiiercynoise » (1) nommé cantonnier de 5° classe, en 196. Clément Vautel, — Mon Curé chez les « Car quiconque possède veut l'or- rent entendre. [Riches. Cécile. Lycée de Cahors résidence à Vire, en remplacement de dre et la stabilité, pour la sauvegarde De la place Blanche au cimetière, 228. Colette Yver, — L'Homme et le Dieu. A cet effet, elles organisent pour M. Vernet, de l'Aviron Cadurcien, M. Talou, appelé à un autre poste. et le maintien de son bien. Le joui les honneurs étaient rendus par de 260. G. Guiches, — L'Imprévu. dimanche prochain, 25 novembre, une tiendra le sifhel avec la compétence l'infanterie qui présentait les armes 278. P. Bourget,—Un Dramedans leMondc. manifestation. où chaque ouvrier posséderait quel- 232. De Cateaubriant, — La Brière. et l'impartialité qui le caractérisent et dont la musique, précédant le con- L'après-midi, de 15 à 16 heures, un que chose, il échapperait à l'emprise Facteur-receveur 284. R. Escholier, — La Nuit. P.-S. — En lever de rideau l'excel- voi, exécuta la Marche Funèbre de 308. Ernest Psichari, — Le Voyage du Cen- Concert aura lieu sur les Allées Féne- du syndicat du parti, et le collecti- Un établissement de facteur-rece- lente équipe de l'Ecole Primaire Su- Chopin. [turion lon. Il sera suivi d'un défilé en musi- visme serait à jamais perdu ». veur sera mis en activité à St-Cirgues 310. Roland Dorgelôs,— LeRéveildesMorts. périeure (1) rencontrera l'équipe du Sur tout le parcours, la foule, si- que du kiosque de la Promenade A (Lot) le 16 décembre prochain. 414. René Bazin, — Ch. de Foucault explo- Collège de Figeac (1). Le nouveau bureau ne desservira lencieuse et profondément recueillie^ rateur. au siège de la Société, rue du Château A un autre point de vue, la for- 4-17. Abbé Pons, — Souillac. A que la commune de St-Cirgues. salua avec émotion les restes du bril- du Roi. mule du leader socialiste Vandervelde lant officier supérieur. 432.- Armand Viré, — Le Lot. Le soir, à 19 heures, un banquet Vélooe-Sport Cadurcien mérite d'être retenue : n'est-elle pas Un nouveau choix de livres sera mis réunira les membres exécutants et le l'aveu que les prétendus chefs et pro- A en lecture dans les derniers jours de Le banquet organisé par le Ve/ocr Obsèques du général Joiiinot-Gambetta Conseil d'Administration au Buffet de Sport Cadurcien aura lieu, ainsi que tecteurs des classes laborieuses pré- Nous renouvelons à la famille, en décembre prochain. la gare. fèrent maintenir celles-ci, sinon dans Les obsèques solennelles de notre particulier à sa vénérée mère Mme Rappelons que la Bibliothèque Popu- nous l'avons déjà annoncé, le samedi laire, dont tous les fonds provenant de ses la misère, du moins dans une situa- érninent compatriote, le général Léris-Gambetta, l'expression de nos soir 24 novembre, à 19 h. chez M. adhérents sont consacrés à l'achat de Soirée dansante Rigaudie, buffet de la Gare. tion précaire dans le seul but de con- Jouinot-Gambetta, ont eu lieu samedi, sympathiques condoléances. livres, comprend des sociétaires, qui server des troupes pour la guerre de à Paris, au cimetière Montmartre. Les agents et commis de Banques Les retardataires feront bien de se paient une cotisation annuelle de 10 fr. et hâter, car les inscriptions ne seront classe, plutôt que voir se réaliser Elles furent particulièrement émou- Obsèques des abonnés, à 3 fr. le trimestre. Elle rappellent à la population cadur- vantes. cienne que leur bal aura lieu le jeudi reçues que jusqu'à ce soir mardi, 20 l'amélioration de leur condition qui Dimanche après-midi ont eu lieu achète une moyenne de cent livres par an, L'incinération avait eu lieu au mo- sans compter ie remplacement des livres 6 décembre, dans la salle du Palais courant, chez M. Duthil, coiffeur, rue risquerait d'avoir pour effet de les les obsèques de Mme veuve Maury, priver de leur instrument de com- nument crématoire du Père-Lachaise, usagés. des Fêtes. Wilson, Cahors. mère de Mme Jantal et grand'mère Le nombre des cartes étant limité, bat ? où plusieurs discours furent pronon- Le Comité se fait un plaisir d'an- de M. Pierre Jantal, tous deux em- les membres actifs ou d'honneur qui Il y a du cynisme dans l'aveu de cés par MM. Léon Mousson, président Les vœux des agriculteurs noncer que la salle sera fleurie par les ployés à l'Imprimerie du Journal du soins diligents de M. Tardieu, le fleu- désireraient y assister, sont priés de Vandervelde ! de l'Union Nationale des anciens Lot. du Centre chasseurs d'Afrique, Melchissédec, riste si réputé de notre ville. s'inscrire sans aucun retard. Non, le travailleur ne doit pas être Une supérbe couronne avait été Les associations agricoles du Cen- ancien élève de l'Ecole Monge, Fiori, Ce soir-là, le brillant et infatigable « un juif errant », livré à toutes les offerte par le personnel de l'Impri- tre de la France se sont réunies député de l'Algérie, qui fut l'ami de orchestre du Maestro Barrières sera vicissitudes douloureuses de l'exis- merie, qui tint en outre à venir appor- samedi en Congrès à Châteauroux. l'anc^n ministre de la guerre Etien- des nôtres. Les morceaux seront en- tence ! ter à -la famille et à leurs camarades Le Congrès a tenu à protester con- Chronique des Théâtres ne, pere adoptif du général Jouinot- tièrement nouveaux. Ce qu'il faut au contraire, c'est lui d'atelier, si douloureusement éprou- tre les bruits représentant les agri- Gambetta. Le Comité fait son possible pour Au Palais des Fêtes assurer l'accession à la petite pro- vés, l'expression de leurs vives sym- culteurs comme ne voulant pas ven- M. dé Monzie, sénateur du Lot, satisfaire danseuses et danseurs. La troupe de la Porte-St-Martin priété et, par elle, le prémunir contre pathies. dre leurs blés ; ce retard est dû aux tous les accidents de l'existence. ami intime du général Jouinot-Gam- Nous renouvelons à Mme Jantal, difficultés de la main-d'œuvre qui Le Comité. à Cahors betta, lui adressa en ces termes émou- Car, au fond, que veut le travail- à son fils et à toute la famille nos n'ont pas permis de mener parallèle- C'est irrévocablement, ce soir, mar- vants le suprême adieu : leur consciencieux ? la juste rému- sincères condoléances. ment les travaux des champs et les Alimentation di 20 courant, au Palais des Fêtes nération de son labeur et la quiétude Discours de M. de Monzie battages, peut-être aussi aux stocks qu'aura lieu la soirée exceptionneu du lendemain ? La réunion du Bureau du groupe de D'autres diront qu'il fut un héros de Enseignement secondaire conservés par les spéculateurs. l'Alimentation, annoncée pour le jeudi de l'AIGLON, donnée par la trpup* II faut lui donner l'une et l'autre. notre longue épopée africaine et qu'il était M. Gidel, Inspecteur général de Le congrès a demandé en outre : 22, est renvoyée au samedi 24, à 21 de la Porte-St-Martin. M. D. un chef selon le vœu nouveau du peuple On sait la puissance d'attraction l'Instruction publique, était à Cahors 1° que les pouvoirs publics fassent heures. en armes. Ils rappelleront qu'aux pre- comprendre aux consommateurs qu'ils qu'exerce sur le public le program^ ->■<- miers jours de novembre il entra dans lundi. Le Secrétaire. doivent participer aux risques du cli- de ces tournées qui possèdent le p Votes de nos Députés Uskub, territoire ennemi, devançant l'heure Il a vfsité tour à tour le lycée de vilège de la représentation des cne de la victoire officielle ou la hâtant. jeunes Filles et le lycée Gambetta et mat et que le prix du pain n'est plus Foire du 17 novembre 1923 Sur l'ordre du jour déposé par M. Moi, messieurs, je pleure mon ami et je l'étalon du coût de la vie ; d'œuvre de l'art dramatique IranM' ■ n'a pas caché l'excellente impression Voici le cours pratiqués à la foire Jadé, à la suite de son interpellation ne veux dire de lui que pourquoi il était 2° que les statistiques demandées s A que lui laissait cette double visite. de Cahors, au reste peu importante, de vendredi relative aux, travaux du mon ami. aux directeurs des services agricoles Le tour de France cycliste port de Lorient, les députés du Lot Oui, certes, il était un vrai soldat, mais sur les rendements soient accompa- de samedi 17 courant : d'abord un homme vrai, sans hypocrisie, à Cahors ont voté : Contre. Téléphone gnées de l'avis des associations agri- Bœufs gras, de 155 à 170 fr. les sans feintes profitables, sans perfection Un circuit téléphonique vient d'être L'annonce du film du Tour « La Chambre a repoussé par 470 prétendue : un homme vrai, sans esprit coles ; 50 kilos ; vaches grasses, de 130 à mis en exploitation entre Figeac et France, dont le Véloce a tenu a contre 4. de caste ou de métier, sans cette morgue 3° pour diminuer le prix du pain le 150 fr. les 50 kilos ; bœufs de travail, héréditaire qui n'a peut-être pas disparu Aurillac. congrès a demandé la diminution du de 2.500 à 4.600 fr. la paire ; vaches ner la primeur à Cahors, a s« avec les privilèges héréditaires. Un hom- Par suite de l'établissement de prix des transports des blés et de la grasses, de 1.900 à 2.000 fr. la paire; dans les-milieux sportifs caflui Les élections sénatoriales me vrai qui s'avoua, au point de s'affi- cette communication les relations té- farine et la supression de la taxe sur bouvillons, de 900 à 1.700 fr. la paire; une réelle satisfaction. Peu „ Le Journal Officiel publie les dé- cher, d'une franchise ardente au plaisir léphoniques du département du Lot le chiffre d'affaires payée par le com- porcelets, de 160 à 200 fr. ' bretix sont en effet les spou ^ comme au devoir et n'ayant de hauteur sont étendues au département du merce des grains ; Poules grasses, 4 fr. ; poulets, qui peuvent se payer un voyag ^ crets relatifs au renouvellement par- qu'avec les gens haut placés. Puy-de-Dôme. Pyrénées, pour voir les as ne tiel du Sénat, par lesquels sont con- Pour les petits, il leur témoignait cette 4° que chaque année les associa- 4 fr. 10 ; dindes, 4 fr. ; lapins domes- voqués, pour le 2 décembre 1923, à bienveillante familiarité qui n'est qu'une tions "agricoles calculent ce qu'a coûté tiques, 1 fr. 50, le tout le demi-kilo; te grimper les cols fameux a" Jfo. forme de la douceur, il se mettait à la un quintal de blé et que les associa- œufs, 7 fr. la douzaine ; pigeons, 5 fr. malèt et d'Aspin. Tandis qu » sa„e l'effet de nommer leurs délégués et Société des Etudes du Lot c0( suppléants en vue de l'élection de sé- portée de leur cœur et c'est ainsi que, tions engagent leurs adhérents à te- la paire ; canards gras, 5" fr. ; oies ra de se rendre dans la pQ fi Séance du 22 octobre Î923 du Palais des Fêtes, mardi'* ir nateurs, dont la date est fixée au 6 grand officier de la Légion d'honneur, nir des comptes ; grasses, 6 fr., le tout le demi-kilo. r dignitaire de l'armée et de la République, Présidence de M. DAYMARD courant, à 20 h. 30 précises, V janvier 1924, les conseils munici 5° le congrès vote une adresse au Truffes, néant. dernier héritier du plus grand nom que Sont présents : MM. Rames, Combes, assister dans un fauteuil a w^J» » paux des communes comprises dans ministre de l'agriculture et rend hom- Blé, néant ; maïs, 40 fr. les 80 li- l'hommage des foules ait créé dans notre Lorphelin, Gobé, Labro, St-Marty, Gaigne- tesque randonnée, qui «ero , , le départements de la série B, qui mage au dévouement et au zèle de tres ; noix, de 70 à 80 fr. l'hectolitre. u s démocratie, le général Jouinot-Gambetta bet, Billières, abbé Sol, Teyssonières, Gui diversité de ses aspects auw ^ comprend 29 départements (de la laisse derrière lui une clientèle innombra- M. Chéron ; Moutons gras, 1 fr. 70 ; agneaux, lhamon, Bergon, Daymard, Gourcerol, de 1.500 mètres de films, i* , Haute-Garonne à l'Oise) et en outre ble, chrétienne et musulmane, que sa ten- Girma. 6° le congrès émet le vœu que les 1 fr. 90, le tout le demi-kilo ; brebis es vents de la pédale, comme i ^ Constantine et la Martinique. dresse avait accumulée au cours d'une M. Bouzat, notaire à Souillac, est admis instituteurs soient autorisés à faire, d'élevage, de 200 à 300 fr. pièce. folle vie, fantassins tirés du marasme ou membre correspondant.. dans leur enseignement; une large sportifs et même tous les W"^ à Des élections partielles complé- de la geôle par un coup de pardon, hum- jeunes et vieux, voudront , M. rtigaudiëres, professeur au Lycée place à renseignement et à la comp- uS mentaires auront lieu également, en bles Arabes qui n'ont pas oublié au fond Gambetta, est présenté par MM. Baumel tabilité agricoles. l'écran le récit par Pimagede mv^ divers départements des séries A et du bled ensoleillé toute sa justice, parias et Bergon, comme membre résidant. CHRGMQUE SPORTIVE grande épreuve cycliste au C, destinées à pourvoir à de récentes de Marseille et d'Alger qu'il obligea d'un M. Rames rend compte de la situation geste prodigue, à la seule rencontre de vacances. financière, qui est satisfaisante. L'affaire de trafic d'or Foot-bali Rugby appelons qu'au progranif;^ A leur détresse. Ceux-là, tous ceux-là, s'as- M. l'abbé Sol donne lecture des corres- T socient à notre deuil comme ils ont été pondances échangées entre le commissai- du Sud-Ouest . Viviez et Cahors font match nul 1 reront entre autres filins, ^ & Le Lot est compris dans la série de taureaux, où paraissent mêlés à sa légende dont il est parlé avec re de l'administration centrale et Quercy, Nous avons signalé dans un précé- Un nombre respectable de sportifs $ B et devra procéder à des élections bre matadors espagnols , i un juste émoi, que j'ai recueillie pour ma commissaire de Lalbenque, à propos delà dent numéro la découverte par la mo- avait répondu à notre appel, malgré s e en janvier prochain. part, au lieu même'où il avait été chargé tenue des registres de l'état civil à la Ré- bile d'une vaste affaire de trafic d'or, ^inclémence persistante du temps. Caona, un film comique, J ^ Voici, en ce qui concerne la dési- d'installer l'occupation française et de volution. L'administration se plaignait ayant des ramifications dans tout le Les tribunes, dont le toit vient d'être les Beautés et un court pet gnation de délégués sénatoriaux, maintenir le respect de notre force. fréquentement en effet delà mauvaise te- s Sud-Ouest. remis à neuf, étaient combles à peu Dernière Forfaiture. . & quelques renseignements relatifs à Deux ans après son départ, les Hon- nue des registres et du temps mis pour grois patriotes célébraient devant moi le La police poursuit activement ses de places près. Des intermèdes de chant* notre département. établir ces documents par les agents locaux, lion seront donnés pai ; e j* souvenir de ce Français, qui ayant à com- qui rencontraient toutes sortes de difficul- investigations : certains bijoutiers de Le match en première mi-iemps telin Leur nombre en 1924 est sensible- Artistic, la pièce ae Cog „ d ; mander des vaincus, n'avait eu souci que tés auprès des populations, peu disposées la région seraient compromis. permit à l'une et l'autre des deux d ment égal à celui qu'il était en 1919 : pouvant cire jouée par s» e de se faire aimer. encore à déclarer à tout autre qu'à l'auto- Samedi, à Gourdon, un bijoutier équipes de dominer tour à tour. terpr 594, au lieu de 595. part imprévu de plusieurs Le neveu de Gambetta, messieurs, sa- rité religieuse les naissances, mariages et questionné par un commissaire de Les mêlées s'égalisent, mais le bail Cette diminution d'une unité pro- vait être vainqueur, art difficile qui ne décès. Cette correspondance fait suite au police.de la brigade mobile, a recon- sort si peu fréquemment pour Cahors teS vient de la réduction du nombre des s'apprend pas dans les livres ni dans les dernier chapitre de son livre sur « L'An- nu avoir vendu pour un prix variant qu'il nous est impossible de lancer Belle soirée en P^P^ Ç/| délégués du Conseil municipal de assemblées. La revanche avait été sa vo- cien état civil en Quercy ». peut manquer dattuei . j „ s. de 40 à 50 fr. l'unité, un certain nom- notre cavalerie, qui aurait pu con- 0 r Luzech, deux au lieu de trois, réduc- cation, elle ne devint pas sa profession, il M. Guilhanioa excusé M. Grangié, pré- an ne confondit jamais le rôle de capitaine bre de pièces d'or. clure sa vitesse nous paraissant plus dès Fêtes la foule des gr tion déterminée elle-même par celle sident, empêché d'assister à la séance de qui doit vaincre avec celui de juge qui doit ce jour et donne lecture d'une lettre de no- Des perquisitions ont également grande. Quand la sortie de mêlée Couderc Pierre-Alexandre-Gaston, lieute- naint au 126» d'Infanterie, a montré le plus Une amélioration s'impose et sans de Londieu le match amical entre retard. Milhac wi au Cinéma, grand calme et la plus grande énergie au l'équipe première de l'A. S. P. O. de 0 cours des attaques de "nuit faites par les Nos représentants à l'assemblée Brive et le Groupe sportif Figeacois. Planteurs de tabac. — Jusqu'ici on chetez le premier numéro de Allemands du 10 au 11 septembre en laissant fumait beaucoup à Milhac, mais on générale voudront bien, nous l'espé- Malgré une pluie line qui est tom- approcher l'ennemi à 50 mètres avant d'ou- n'y cultivait pas de tabac. Notre terre rlNÉA-CINÉ çgrji vrir un feu qui lui a infligé de grosses per- rons du moins, prendre en mains bée dans la soirée, beaucoup de est pourtant de première qualité et se AL\ l'ensemble constitue la revue tes. cette importante question, et exiger monde était venu pour voir se dispu- a cinématographique Excellent officier qui s'était déjà signalé que les populations qu'ils représen- prêterait admirablement à cette cul- par sa belle altitude au feu au cours de deux ter ce match de Foot-ball qui a été S tent soient traitées comme le commun ture. ,x PLUS ARTISTIQUE combats, tombé au champ d'honneur le 26 un excellent entraînement, l'équipe des mortels. L'autorisation nécessaire a été de- Paris. 10 h. 36.— avril 1915 en conduisant sa compagnie à première de l'A. S. P. O. de Brive LA MIEUX INFORMÉE l'assaut, devant le Bois-Haut. Foire de chevaux. — A l'occasion mandée. Espérons qu'elle sera obte- étant très réputée. Nos équipiers ont En vente partout : 1 fr. 50 Croix de guerro avec palme. de la grande foire du 27 novembre, nue sans trop de difficultés. Signé: LA.RRIEU, Colonel, 126= Infanterie. eu un bel effort à fournir et, après À la conférence Ses ambassadeurs un marché aux chevaux, mulets, Le Vigan Chevalier de la légion d'honneur, titre une partie très mouvementée, notre ânes, aura lieu ce jour-là à Cazals. posthume, 27 juillet 1922. quinze a réalisé trois buts à zéro. Beau coup de fusil. — M. Rougeron, VERS L'ACCORD e De nombreux marchands et éle- I.ufau Emile, sergent 100 d'Infanterie, L'équipe de l'A. S. P. O. de Brive n'a négociant au Vigan, était en chasse La Conférence des Ambassadeurs Arrondissement de Cahors gradé courageux, énergique, a servi à plu- veurs de la région ont promis de s'y sieurs reprises d'exemple à sa section, tué pu marquer en effet un seul but. lorsque ses chiens délogèrent d'un se réunit à nouveau aujourd'hui pour St-Denis-Catus rendre. Un bel emplacement leur se- fourré un énorme sanglier qui s'en- la troisième fois. à la suite de l'attaque du 28 août 1914 devant ra réservé et des encouragements Que notre Société du Groupe spor- Yonck. tif Figeacois reçoive nos félicita- fuit rapidement, mais n'alla pas loin. On croit qu'un accord définitif inauguratio«iiration du monument aux_ 1919 — 29 juillet. Signé: PETAIN. ou primes seront accordés. g m tions et qu'elle sache -bien qu'un plus De deux coups de fusil M. Rougeron sera conclu, des concessions mutuel Il ne sera perçu aucun droit de sta- l'abattit net. Il pesait 110 kilos. les ayant été faites. mort* /l Ser, a eu lieu à St-Denls- Ces citations-là honorent non seulement tionnement. grand effort encore devra être fait di- man r le disparu, mais aussi sa famille, son Nos félicitations. La question du Kronprinz sera ré- l'inauguration du monument Les acheteurs et lepublic sont priés manche prochain contre l'équipe CatU pays et à juste titre nous éprouvons un solue par une manifestation énergi- "'. n mémoire des enfants de la d'y venir ; ils sont assurés d'y trouver première, de Decazeville. Nous espé- (tramât orgueil bien légitime à entendre clamer que contre toute restauration éven- Commune morts au champ d'hon- un choix considérable de poulains et rons qu'il en sera ainsi et que le so- La Sainte-Cécile. — Notre société bien haut que nos enfants ont eu la flère tuelle des Hohenzollern. abnégation de penser qu'il y a des instants chevaux de toutes sortes. leil se mettra de la partie ce qui con- musicale tenant à célébrer digne- I1C tribuera à assurer un nouveau triom- La question du contrôle militaire S municipalité et l'Amicale des où l'on doit à l'honneur de la France de Albas ment la fête de sa patronne, réunira Ji avaient multiplies leurs efr savoir bien mourir. phe pour notre belle équipe. dans un grand banquet ses membres sera résolue par le général Nollet : sï Service postal. — La distribution l'Allemagne se dérobait ouvertement F tfnour donner à cette cérémonie Lorsque les hommes sont capables d'ar- Naissance. — On nous annonce la exécutants, honoraires et amis, dans journalière du service postal de^ la à ses obligations, mais dans ce cas joule la solennité qu'elle devait çom- river à ce degré de désespoir sublime que naissance d'un gros garçon qui est un grand banquet qui aura lieu le peut inspirer le culte de la patrie ils por- section de Cénac crée des difficultés à dimanche 25 novembre au Grand Hô- seulement, les puissances alliées pré- tent en eux le germe de toutes les proues- l'administration depuis la mise à la survenue samedi dernier à Mme et ^SMP fut malheureusement gênée tel de Bordeaux. Les inscriptions se- ciseraient des sanctions. ses et des actions les plus surhumaines. retraite de l'ancien facteur, M. Pézet. M. Dauliac, Conservateur des Hypo- i« nluie qui tomba en abondance C'est pourquoi, Messieurs, devant ce thèques et qu'ils ont prénommé ront reçues jusqu'au 22 courant in- pa Pour la troisième foisvoilàencorele Y n,i long de la journée. Jean. clusivement. monument qui symbolise à jamais l'hé- poste de Cénac devenu vacant dans le toute la population de roïsme de nos morts, et où les noms de 'téannS courant d'une année. Nous adressons nos félicitations Achats de chevaux. — Le comité de re- «-Denis était présente, ainsi que de nos enfants sont en lettres de sang pour au papa et souhaitons à la maman monte d'Aurillac procédera à ses achats perpétuer leur souvenir, je vais prier à Puisque les, titulaires, anciens fac ^ nombreux habitants des corn- un prompt rétablissement et à l'en- habituels mardi 20 novembre, à huit heu- EN ALLEMAGNE la fin de la cérémonie les poilus de défi- teurs en fonctions ayant des droits res du matin, place de la République. ,„npGramat. lera ensuite. be vient lire avec beaucoup dé gofit Mlle Marie Cayla, fille de M. Cayla, Emile Caussade, à Montauban, et Char- Le vote sur la motion de méfiance "nl'h .30, eut lieu l'inauguration une poésie patriotique. percepteur à Limogne, avec M. Jo Sotiac lotte Chassaing, à Gramat. n'aura lieu que vers la fin de la se- seph Duffaut, ingénieur des ponts et Décès : Louise Bergougnoux, veuve maine. nronrement dite du monument, une Puis, tour à tour, MM. Pégourié, Un abreuvoir-lavoir. — Comme tou- Darnis, 76 ans, place de la Halle ; Mauri- uperbe pyramide, du plus bel effet, vice-président de l'Amicale de St- chaussées a Toulouse. Plusieurs journaux allemands es- Mlle Marie-Néomi Espérou, domi tes les communes du Causse, Sonac ce Lascoux, 53 ans, place Dufour ; Fer- nu'ornent d'innombrables guirlan- Denis et Pergaud, conseiller d'arron- souffre parfois delà disette d'eau. Voi- nand Granié, 10 ans, école St-Charles; timent que le chancelier n'échap- des et des monceaux de fleurs. dissement et" président de l'Amicale ciliée chez sa mère à Vidaillac, avec Félicité Andrieu, 88 ans, religieuse ; Pierre pera pas au vote de méfiance. M. Bénédict-André Faurie, fils de M là pourquoi un groupe d'habitants M Calmels. maire de St-Denis, du canton, prononcent de vibrantes particulièrement intéressés à cette Roudayré, un mois et demi, place de la Faurie, propriétaire au hameau de République. r nrésldent de l'Amicale des Démobili- et patriotiques allocutions. question, a sollicité le concours du La santé du D Wirth sés et Anciens Combattants, Con- L'Ode aux Morts de Victor Hugo Littré, commune de Limogne. Payrac Nos sincères vœux de bonheur aux génie rural pour la construction d'un de Berlin : L'état de l'ex-chancelier seiller général du canton prend le est ensuite déclamée avec beaucoup futurs époux. abreuvoir, où nos bêtes pourraient Compatriotes. — Dans la revue du Wirth s'est amélioré. Néanmoins, il premier" la parole et prononce la de sentiment par Mlle Maury. facilement se désaltérer et qui servi- T. C. F. de novembre, nous lisons le Luzech devra prendre un repos de plusieurs belle allocution suivante : M. Delport, député et MM. Loubet rait en même temps de lavoir à l'usa- nom de Georges Vayssié, directeur mois. Discours de M. Calmels et de Monzie, sénateurs, en de cha- Confédération des vignerons. — ge de nos ménagères. général de l'Agence Havas en Orient leureux discours, vinrent apporter C'est dimanche 25 novembre qu'aura Nous apprenons, par M. le député et de l'excellent « journal de Syrie », Une nouvelle crise en Bavière (?) Mesdames, Messieurs, leur tribut d'hommages à la com- Delmas, qne la question a été mise à Saint-Denis-Catus a voulu lui aussi lieu la réunion des viticulteurs de la qui seconde — avec autant de talent honorer ses morls de la grande guerre et mune de St-Denis-Catus, dont les en- région pour la constitution d'une l'étude et recevra sans tarder une so- que de vaillance — la politique civili- De Berlin : Une crise ministérielle aujourd'hui un monument trop modeste a fants firent glorieusement leur de- section de la confédération des vigne lution favorable. satrice en Syrie. serait imminente en Bavière. Von noire gré s'élève aux côtés de notre mai- voir. rons du Sud-Ouest. Prendront la pa- St-Céré M. Georges Vayssié est issu d'une Knilling veut, en effet, se retirer. son commune. La foule suivit avec recueillement role : MM. Jabert, avocat, agriculteur famille originaire de Payrac. Sa sou- Mon érninent prédécesseur le docteur et émotion tous ces discours qu'elle à Bordeaux ; de Boérie, d'Agen;de Nos compatriotes. — M. Jean Bres che quercynoise le rattache au Li- Un crédit des banquiers de Londrsa Rev avait choisi son emplacement et en applaudit chaleureusement. Campagnac, de Puy-l'Evêque. sac, docteur en droit, receveur de mousin, puisque Mme veuve Merle, fut le principal artisan, il me plaît d'évo- A l'issue de la cérémonie de l'inau- A 11 h. 20 un banquet fraternel et l'Enregistrement dans le Tarn, a été son arrière-grand'mère, était, venue De Londres : Un groupe influent quer ici sa mémoire et de rn'abriter, moi guration, un vin d'honneur fut olîert populaire réunira conférenciers et vi- admis à l'examen d'inspecteur. M d'Uzerche ou de Saint-Pierre-Buffiè- de banquiers londoniens a signé hier son ancien adjoint, sous l'aile de son sou Jean Bressac a remporté ce brillant venir qui doit planer sur cette assemblée par la municipalité à ses invités. gnerons. Les adhésions sont reçues res ouvrir une auberge à Payrac, pen- un contrat octroyant à la Deutsch jusqu'au jeudi 22, par MM. Lugan succès à l'âge de 26 ans, obtenant dant la Révolution. Verkehr und crédit Bank un crédit Le Conseil municipal de Saint-Denis Ajoutons, pour être complet quet Catus a demandé pour rehausser l'éclat dans la matinée, une double cérémo- Adrien, président à Luzech ; Baudel ainsi — à ses débuts dans l'enregis- Le gendre de Mme Merle fut M. G. de' trois millions de livres-sterling de cette cérémonie toute patriotique le nie avait eu lieu à l'Eglise et au Ci- Abel, secrétaire à Luzech ; de Cam- trement — un grade qui, pour beau- Vayssié, maître de poste. dans le but de permettre l'achat en concours de nos parlementaires. metière. pagnac, administrateur-délégué à coup, est le couronnement d'une car- Le distingué directeur de 1' « Agen- Angleterre de charbons pour le Je suis son interprète pour remercier Puy-l'Evêque; Lasmarie à Puy-l'Evê- rière. Nous lui adressons nos sincè- ce Havas », en Orient, a donc des compte des chemins de fer de l'Etat Cazals res félicitations. MM. les sénateurs de Monzie, Loubet, que. Le prix du banqnet esl de 12 fr. ancêtres Quercyno-Limousins. allemand. M. le député Delport d'avoir répondu si Pas de courrier ! — Décidément Nous rappelons que le lendemain, M. Lehouelleur, notre compatriote, aimablement à notre invitation. receveur de l'Enregistrement à Laca- SpuilSaç La commune de Suint-Denis- Catus toute cela devient intolérable ! Depuis une 26 novembre, aura lieu le comice quinzaine de jours, cela fait cinq ou agricole avec foire et concours aux pelle-Marival, est élevé, sur place, de Dans les P. T. T. — C'est avec plaisir entière est profondément touchée de cette e e que nous apprenons que Mlle Irène Rer- A la Cliambre preuve de sympathie. six fois que nous n'avons pas de vins. Pour plus amples détails, con- la 5 à la 4 classe. Toutes nos félici- tations. gougnoux, de Rignac (Lot), vient d'être Dans des lettres très aimables, M. le courrier, et que nos correspondances sulter les affiches. reçue au dernier concours de dame em- La Chambre discutera cet après- sénateur Fontanilies et M. le député Del nous sont distribuées avec un jour de St-Laurent-Lolmie ployée. midi la question des crédits extraor- mas me chargent de les remercier. retard. Les protestations s'ajoutent dinaires. Fête scolaire. — Dimanche, 18 no- Nous adressons h Mlle Bergougnoux Estimant que, au jour d'une pareille les unes aux autres sans qu'un chan- nos sincères félicitations. Au début de la séance, elle sera cérémonie, notre canton qui compose vembre 1923, à deux heures, les élè- gement survienne dans la façon de Carnet blanc. — Nousapprenons le pro- saisie d'une proposition d'affichage toute une famille cordiale ne pouvait que procéder. ves de nos écoles publiques ont don- s'unir autour de son conseiller général chain mariage de M. Ferdinand Bouzou, du discours prononcé vendredi der- Vendredi, par suite d'un retard de né une petite représentation dans la Geurdwt percepteur stagiaire à Souillac, avec Mlle pour venir verser une larme d'émotion au salle de l'école des ^garçons. nier par M. Poincaré sur les répara- l'express, 1 h. 10 nous dit-on, l'auto- Pour notre E. P. S. déjeunes filles. Jane Born, de Fons. tions. moment où seraient évoqués les noms de Le programme, quoique sans pa- nos enfants tombés au champ d'honneur, bus esl parti de Gourdon avant l'arri- — Notre dévoué maire, M. Davidou, Nos meilleurs vœux de bonheur. tentions artistiques, a fortement ^in- nous avons invité MM. les maires du vée dudit express ; c'est réglementai- vient de se rendre à Paris, à l'effet de canton, les Amicales et leurs présidents: téressé l'auditoire qui n'avait pu 3* re sans doute, puisque l'autobus a s'y occuper activement de faire aug- AVIS DE DÉCÈS M. Miquel, conseiller général, président des ordres de partir lorsque l'express tièreemnt contenir dans la sauf; menter la subvention de l'Etat pour MISE AU POINT d'honneur de l'Amicaledes démobilisés de comble. a plus d'une heure de retard ; cepen- la construction de l'école supérieure Tout produit supérieur est immédiate- Madame, Monsieur HÉBRARD, à Mira Boissières; M. Solmiac, maire desJunies dant il semble que, ce retard étant Tremblement de terre. — Dans la mont-du-Quercy ; M. Martin, maire de Mechmont, frappêi déjeunes filles, dont les travaux n'ont ment copié et contrefait : c'est ce qui Monsieur Jean MOLINIÉ; certainement signalé, il serait possi- nuit du 18 au 19 novembre 1923, vers arrive à la Quintonine. Aussi, n'acceptez par des deuils cruels; M.Delfort, maire de pu être adj ugés, lors de l'adjudication, Madame et Monsieur R. RESCOUSSIÉ Montgesty, retenu par des engagements ble d'attendre durant ces 10 minutes quatre heures, un certain (nombre tous les soumissionnaires ayant pro- aucune copie, ni aucune contrefaçon : et leurs enfants ; antérieurs, se sont excusés de ne pouvoir supplémentaires, ce qui,pour unefois d'habitants se sont sentis secoués posé des augmentations de 18,5 0/0 à celui qui vous conseille un produit simi- laire y trouve seul son compte. Lorsque Madame, Monsieur BONNET, à Moissac; répondre à notre appel. aujourd'hui, nous aurait permis d'a- dans leur lit et ont entendu les vitres 30 0/0 sur les prix du devis. Mademoiselle Marie MULINIÉ à Vav- Saint-Denis-Catus a payé un lourd voir nos lettres et journaux le jour où vibrer. Il s'agit sans doute d'un lé- vous demanderez une Quintonine, exigez J C'est là une démarche qui montre bien la véritable marque et vérifiez l'or- lats; ' tribut au devoir, et à lire la longue liste nous avons le droit de les recevoir. ger tremblement de terre analogue le souci qu'il a des intérêts de la ges- Madame OR LUC, à Paris, et tous les funèbre qui est gravée sur ce marbre on thographe. Les voyageurs arrivés ce matin à à celui qui a été ressenti dans la ré- tion communale, dont il convient de La Quintonine est un extrait composé autres parents ont la douleur de faire comprend combien notre commune a été Gourdon 10 minutes après le départ part à leurs amis et connaissances de la plongée dans le deuil et la désolation. gion il y a quelques mois. le féliciter. remplaçant l'ancien extrait de quinquina. de l'autobus, ont dû trouverun moyen On la verse dans un litre de vin de table perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver Une consolation, s'il en peut être toute- Gendarmerie. — M. Imbert, chef en la personne de lois, subsiste, c'est que tous ici sont tom- de se faire transporter, et, quelques et instantanément, on obtient, — non pas de brigade de gendarmerie à Gour- un vin de quinquina — mais un excellent bes vaillamment et les pères, frères, épou- instants après le passage de l'autobus Arrondissement de Figeac Madame Jean MOLINIÉ à Cazals, une automobile de louage don est élevé sur place à la 3° classe vin fortifiant complet, tonique et apéritif. ses, enfants, peuvent être fiers de leur Née HÉBRARD glorieux souvenir. est passée à son tour, portant des de son grade. Félicitations. Le prix de la Quintonine n'est que de Les citations que je vais vous lire en voyageurs arrivés par Pexpres,s. L'ad- 2 fr. 75 à la Pharmacie Orliac à Cahors. décédée à Cahors, le 18 novembre, dans la Sont la preuve. Fièvre aphteuse. — La déclaration b0« année de son âge, munie des Sacre- Collège Champollion. — M. Gasti- c ministration des postes ne pourrait- d'infection de fièvre aphteuse de la ments de l'Eglise. En voiciquelques unes prises au hasard. elle donc s'entendre avec un garagis- nel, inspecteur général de l'enseigne- Bl un partie du tour de ville comprise en- La cérémonie a eu lieu à Vaylats (Lot) , ' Jules-Léon, lieutenant, commandant, te de Gourdon pour faire acheminer ment secondaire, a visité ces jours le mardi 20 novembre. m c sectiou mitrailleuses du 7« Régiment tre la maison Fayet et le restaurant LA PHOSPHIOGE BARNAL " inianterie, officier très courageux, a (rou- les paquets postaux jusqu'aux diver s derniers les différents services du col- Médication lodotannlque phosphatée Le présent avis tient lieu de faire part. bureaux desservis par l'autobus ? lège, internat et externat. Gourbis, résultant de l'arrêté de M. anne mort glorieuse le 18 février 1915 en le Préfet du Loi, en date du 20 octo- Remplace l'Huile de Foie de Morue uiampagneau cours d'une contre-attaque Il n'est pas admissible qu'une ving- Il s'est déclaré pleinement satisfait enneminnemiee... bre dernier, est et demeure levée. La taine de communes des cantons de de son inspection. Prix du Flacon : 10 franci Signé : PETAIN. circulation des animaux, sur cette sont demandés pour Che \ ller tie la UN SEUL MODÈLE DE FLACON DÉMARCHEURS TmVn légion d'honneur, titre Salviac, Cazals et Catus continuent à Foot-Ball Rugby. — Dimanche, 18 placement d'Obligations Posthume, 6 juillet 1919. être si mal desservies. partie du territoire, redevient donc GRANDEUR UNIQUE pour importante Société d'Industrie Elec- courant, s'est déroulé sur le terrain libre. En vente dans toutes les Pharmacies trique. S'adressera M. BUSSOnl, U bou- levard des Filles-du-Calvaire, PARIS (II<=).

Feuilleton du « Journal du Lot » 2 pour lui un sourire maternel. Jadis, qu'éloignement et rigeur pour le pe- discute minutieusement l'attaque avec quand il était enfant, elle l'avait dé- tit étranger, dont il était, par des cir- veur où le hautain gentilhomme te- testé parce qu'elle l'avait cru le fils son fidèle Cadier. nait Cadier agaçait un peu la mar- d'Aivère, dont M. de Ribeyran avait constances connues de lui seul, l'uni- — Oh ! Cadier... » fit la marquise loue la chasse à courre, et où il invi- de son mari, le gage d'un premier et que et d'ailleurs libéral protecteur ; quise Pauline. Quand elle s'était ma- INVINCIBLE CHARM inoubliable amour. Certaines attitu- « il connaît son affaire. Mais c'est riée ce rustre lui était apparu com- tait aujourd'hui les officiers de son Mme de Ribeyran attirant l'orphelin, l'être le plus indécis qui soit. Si Ro- régiment. PAR des mystérieuses ou douloureuses de le choyant, tendant à le traiter com- me une puissance dans la maison où M. de Ribeyran lui donnaient alors bert tire de lui un conseil un peu net, elle entendait commander seule à — « Je comprends, » reprenait la me leur propre fille Odette. Le pen- il aura de la chance. » marquise Pauline « que mon mari l'idée que celte passion soupçonnée chant de la marquise était d'autant côté du maître. Sans doute elle ad- Daniel LESUEUR restait saignante et que jamais sa Elle parlait du premier piqueux, mettait une dette de reconnaissance ne veuille pas manquer l'hallali, plus difficile à condamner ou à com- en ce moment à côté de son maître, cette lois entre toutes. C'est la pre- propre tendresse, à elle, n'en efface- battre qu'il se justifiait par îa beau- envers cet homme, à cause de son rait l'acre souvenir. Puis les serments qui interrogeait les valets de limiers dévouement durant la guerre de mière chasse donnée depuis que le té, l'intelligence, la délicatesse de sur la position des enceintes. De. régiment a pris garnison à Etampes. solennels de cet homme d'honneur sentiments, la conduite irréprocha- 1870. Car Robert ne lui devait rien l'avaient rassurée. Jean n'était pas dos, les deux hommes avaient mê- moins que la vie. Le marquis, alors Presque tous vos camarades sont des rt' r1! "possible que sa vie s'envolât ble de l'enfant adoptit. Si elle avait me taille, même tenue : on eût pres- nôtres, et dîneront ce soir au châ- lln te si ve le fils de Robert. Celui-ci, d'ailleurs, pu lire en lui elle eût ajouté à ces sous-lieutenant, avait pris part à la tôt î • ''tigineuse !... Bien- que pu confondre le marquis Robert teau de Ribeyran. Depuis que Robert ] Ur vien à mesure que le jeune garçon gran- raisons la reconnaissance profonde charge de Sedan ; et c'était toute ur î ° drait où elle serait de Ribeyran, colonel de cavalerie, est colonel, nous ne l'avions nas ha- P dissait, semblait lui fermer son une histoire héroïque de l'officier a tête blanche ctui s a et le culte filial que lui avait voués le portant un des noms les plus nobles bite, ce vieux château, plus de quel- puieST^ ' P" cœur. Nul abandon n'avait jamais jeune homme. Mais ceci, elle le devi- blessé, couché évanoui en travers de e et lasse a la balus et les plus anciens de France, sous ques jours à la fois. trade À ' " existé entre le parrain et le filleul. nait à peine, car la réserve naturelle la selle par son ordonnance, défendu — Et V0lls dans 1 ■ Perrons pour voir partir son costume de maître d'équipage de . y veniez de si loin ' Mais, au cours des années, une froi- à coups de sabre contre les uhlans, et rT de ,ecîats de g^eté, la galopa- à Jean Valdret s'augmentant par la ses chasses d'Aivère, avec le petit- Une journce.de chasse vous a coûté' (]p la eune deur s'accentuait entre eux, qui, chez finalement emporté loin du champ" l'homm .J sse. Elle recevrait notion de sa position inférieure et fils d'anciens serfs de sa famille, Al- quelquefois deux nuits en chemin de lndi le marquis, devenait parfois de la fausse, il ne témoignait à sa bienfai- de bataille. Malgré cet acte inoublia- ne Zf^ 'ïérent du respect. Elle dureté. Mme de Ribeyran, au con- bin Cadier, vêtu exactement comme ble, Mme de Ribeyran trouvait exces- lus une trice que le plus cérémonieux res- *on mff- ? femme ni pour traire, sa jalousie une fois éteinte, lui, ayant même quelques galons de sive la familiarité confidentielle té- — Oui, on ne dormait pas dan 3 le 1 P Ur pect. C'était Î" ° Personne. s'apitoyait sur l'enfant solitaire, plus sur l'habit rouge, la pique de moignée à cet inférieur par son ma- sleeping, et cela n'empêchait pas de eVant elle trent Eii ce moment, son képi à la main, ranie * > « ans, qua l'abritait dans sa bonté chaude, et, vénerie marquant ses fonctions de ri, de qui elle ne pouvait obtenir §al0pei e dait peut_être la bride de son cheval passée au Sel ^ ^ P » des avant là de mort lente peu à peu, se mettait à l'aimer. Elle premier piqueux. De face, c'était au- elle-même ni familiarité ni confiden- 101 1 Gar elle ne bras, il se tenait à pied devant la fius à penserait aurait tant voulu avoir un fils ! L'es- tre chose, surtout si l'on entendait ces. Pourtant, comme elle était in- de t.? 'cbos; e marquise Pauline. Elle se pencha sur vi u - ^ qui lui restait leurs voix. L'abîme de la race, alors, capable d'un sentiment amer, son g e charm pèce de rivalité sexuelle qui fait que sa selle, avec un sourire affectueux, Profit n H" ante serait sans les filles appartiennent surtout au sautait aux yeux. Les traits fins, les intolérance n'allait qu'à certaines L 1 Ah ! mon a 1 e tous les m s elle en pour lui dire : Jean 't v^ ". P «vre ^nstàteràn P ' j° ' > père et les garçons à la mère, ren- yeux de lumière et de fierté, l'organe critiques inoll'ensives, comme celle e a 0llJ0Urs mais gna SUre Et ce u — « Eh bien, mon cher enfant, suffit i J lJ ' ca ne it à It r . ' q i répu- dait passionnée l'affection paternelle au timbre rare, à l'accent autoritaire de tout à l'heure sur le caractère in- suffit pas. Dieu que j'étais 'jeune rte C est ue cette s pourquoi ne part-on pas ? Que fait 4 J téétait ' ' <î °uf- du marquis pour Odette, tandis de l'officier supérieur n'admettai^r-.t décis de Cadier. Et elle reconnaissait J étais comme Ode tte... Tenez, St le 8 §1 andeUr donc votre colonel ? pa de comparaison avec le visage qu'elle laissait un peu vide le cœur s que le marquis avait parfaitement el,G aSSCZ svéIte f appelaT ' - ^— M. de Ribeyran est embarrassé » che f PU > ^ terreux, le regard brouillé et la pa agi en le mettant à la tête du chenil wie j... iule sera comme cela ce soir venez de la marquise Pauline. Jean Valdret, répondit Jean. « La forêt est très vi- Sr'ëfc' donc. » à son propre insu, prenait graduelle- rôle gutturale de son ancien ordon- quand il avait quitté le service mili- Cei dant de Chcval Ah J 1 ve, nous avons au rapport plusieurs enfnnf î , - -' ™à K. Apport ^P^utait des lenteurs ment la place vacante, et, durant nance. taire. Comme premier piqueux il entant, tous les matins, toutes qUl la quatrièmes têtes et un dix-cors, mais M. de Ribeyran avait pour les K dan ' , . Paient immd- l'adolescence des deux enfants, la Cadier était irréprochable, s'enlendaut au heures, toutes les minutes, vous de- mile 1< r tra tous avec des daguets et des hardes une partialité à propos de laquellee vriez vous dire : « j'ai la rich n° ' pare 161?1 a? T° SÏl"e d'au- seule ombre de désaccord qui eût dressage des chiens, au soin des che- isse Petisée. I ia désolation de sa de biches. Les chiens vont certaine- Odette le taquinait. — Odette, la inappréciable, le seul bonheur parfois divisé le ménage, était venue ment se diviser sur plusieurs chasses. vaux, connaissant à fond les mœurs qui seule personne au monde qui pût se compte : je suis jeune, je suis jeun ! 6 UeiUenant s de là : M. de Ribeyran n'ayant Mon colonel voudrait éviter cela, et et les ruses des animaux, et n'igno- ' '»PProeh . Elle eut permettre de le taquiner. Cette fa- rant pas un sentier de cette forêt J ai vingt-quatre ans ! >, Car cc'es'co,t a vingt-quatre ans que vous avez, n'est- ce Pas ? (A suivre) Il est mis en vente dans les gares A l'arrivée, ils présentent W Chemins de fer res. — La préférence impériale. -- La fumées de Paris, d'intéressantes in- e et bureaux de ville du Réseau, au prix leiin à un bureau spécial • ^ Bourse de Paris 5 Conférence internationale du tra- formations scientifiques, la descrip- 1 30 .. Est 6 0/0.... 415 50 413 50 vail.—Nation de boutiquiers.-— Quels tion de perfectionnements mécani- de 2 fr. 50 l'exemplaire. dans la salle des bagages des" ^ 25 .. Est 5 0/0 1852-54-56.. 506 506 X ques aisément réalisables, des rensei- Pour le recevoir franco, adresser la du Quai-d'Orsay ou d'Austerlit§ates Cours comparatifs de !a Semaine » 332 X sont les douze plus grands Juifs du 20 .. Est 4 0/0 1912 332 gnements pratiques, l'analyse des somme de 3 fr. 40 au Service de la remettant leur commande de u ^ 331 325 X monde ? etc... — Affaires intérieures : 15 .. Est 3 0/0 Publicité de la Compagnie, 1, Place son et, le ca échéant, leurs clef ^ Dernier! [Coursdu .Cours du I) X La situation politique et électorale : derniers livres scientifiques parus et s 15 .. Est 3 0/0 nouveau... 307 m 6 s revenu | I lûnov. | Yi nov. Est 2 1 /2 0/0 285 » 283 X vous aurez une idée de la diversité et Valhubert, Paris (XIII ). ne veulent point assister euv ''l$ 12 50 Bourbonnais,Nivernais, Sologne.— Le à la visite de l'Octroi. x"meme Fonds d'Etal 15 .. Est 3 0/0 Ardennes.. 310 50 300 » Parlement et la rentrée. —La politi- de l'utilité de chacun des numéros de s 30 .. Est 6 0/0 1921 401 404 X La Nature, aussi bien pour les ama- fis peuvent ainsi gagner 55 » 55 25 que clans les départements. — L'élec- 3 0/0 15 .. P.-L.-M. 3 0/0 1855 .. 308 » 299 X teurs que pour les professionnels de facilités pour la livraison à domicih 1S Uile 60 25 64 75 tion Midol. — La réforme électorale . leur domicile débarrassés dp' * 3 0/0 amortissable.. 30 .. P.-L.-M. 6 0/0 404 » 404 X des bagages dans Paris. 84 05 80 80 — Les associations cultuelles, etc.. — la science et de l'industrie. souci. tout 3 4/2 0/0 25 .. P.-L.-M. 5 0/0 356 D 358 » 71 30 69 10 Affaires extérieures : Jacques Chaste- LA NATURE. — Revue des Sçienoes et S> .. 5 0/0 20 .. P.-L.-M. 4 0/0...... 324 T> 317 » Les voyageurs désireux de faire 4 .. 4 (1/0 1917..... 59 15 57 25 15 .. P.-L.-M. fusion 3 0/0. 309 :o 293 net : Le sentier dans la brume. — de leurs applications à l'Art et à l'Industrie. livrer leurs bagages à domicile dans 5G 40 120, Boulevard Saint-Germain, Paris. 4 .. 4 0/0 1918 58 75 15 .. P.-L.-M. fus. 3 0/0 n. 307 » 288 » Affaires économiques : Lucien Ro- 84 15 Paris sont invités, dans leur intérêt, 5 .. 5 0/0 1920 85 15 12 50 P.-L.-M. 2 1/2 0/0.... 2S3 7) 278 X mier : Le véritable veau d'or. — Notes 6 0/0 1920 86 70 85 20 et en vue de faciliter la remise rapide 6 .. 30 .. P.-L.-M. 6 0/0 1921.. 410 il 410 X et figures : Germanicus : Le supplice Imp. COUESLANT {personnel % 457 » 459 » des dits bagages, à le faire connaître ntit 25 .. Crédit National 1919. 30 .. Midi 6 0/0 424 » 421 X des zéros. — Littérature. — Théâtre : ETUDE essé) 25 .. Crédit National 1920. 469 50 467 » X dès la gare de départ. Le co-gérant : M. DARfJLLg 25 .. Midi 5 0/0 354 50 355 EtienneRey: « La filleperdue».«L'Hom- DE 30 .. Crédit National 1921. 498 » 490 » 20 .. Midi 4 0/0 325 » 315 X 480 75 me enchaîné ». — Arts : Pierre du 30 .. Bons Déc. 6 0/0 1922. 480 » 15 .. Midi 3 0/0 308 297 75 M' Pierre TRIADOU Bons Déc. 60/0 nouv. Colombier : Le Salon d'automne. — 30 .. 491 » 484 » 15 .. Midi 3 0/0 nouveau.. 308 » 297 15 Bons Déc. 6 0/01923. 482 50 483 25 NOTAIRE A CAHORS 30 .. 12 50 Midi 2 1/2 0/0 282 » 276 X Mémoires et documents : Litham : Bons du Trésor 6 0/0 » » » X 30 .. Midi 6 0/0 1921 402 400 X La pacification du Maroc. — Jean B. du Tr. 6 0/0 1922.. 480 » 30 .. 480 » 30 .. Nord 6 O/0 (Série F). 406 » 409 X Chandavoine : Philologie panger- B. du Tr. 6 0/0 1923.. 487 » 30 .. 488 75 25 .. Nord 5 0/0 (Série E). 348 50 350 X maniste. — Georges Beaume : Le ver 20 .. Nord 4 0/0 (Série D}. 358 351 50 à soie et le mûrier. — Vie Sportive. — LA PH0SPH10DE GARML Crédit Foncier 15 .. Nord 3 0/0 (2" série). 328 D 318 » Mode. — Bourse. VENTE 15 .. Nord30/0Louv.(b.B.) 327 » 310 X remplace avantageusement f HUILE de FÛIE de MORUE 13 .. Communales 1879... 443 » 444 50 12 50 Nord 2 1/2 0/0 (S. C). 329 » 327 X 15 .. — ' 1880... 475 » 475 » 30 Nord 6 0/0 1921 402 401 » Abonnez-vous à DE 12 .. — 1891... 241 50 242 » Orléans 6 0/0 415 » 415 50 30 LA REVUE HEBDOMADAIRE et les préparations iodotanniques phosphatées 13 .. — 1892... 281 » 281 » 25 Orléans 5 0/0 356 359 X 272 » 13 .. — 1899... 272 » 20 Orléans 4 0/0 325 » 315 X qui publie dans son numéro du 17 Fonds de Commerce — 1906... 294 » 293 » 15 .. 15 Orléans 3 0/0 318 » 304 X 1923 Pour la guérison des : 160 » 159 » novembre : Vues sur l'Histoire 7 50 — 1912... 15 Orléans 3 0/01884... 305 "289 X de France : « La Révolution (I) », par 27 50 _ 1920 iib. 435 » 434 i 12 50 Orléans 21/20/01895. 284 » 279 X Jacques Bainville. — ce Le Vicomte », Second avis 32 50 _ 1921 lib. 510 » 509 » 15 OrléansG.C.30/01855 303 » 307 X ENFANTS FAIBLES, PERSONNES DÉLICATES D » » » par Marcel Boulenger. — « Berlin au — 1921 non lib 30 Orléans 6 0/0 1921.. 396 » 398 X — 19221ib 490 » 30 .. 492 » 15 Ouest 3 0/0 310 I 299 X temps jadis », par Alfred Dumaine, — 1922 non lib. 492 » 491 50 ambassadeur de France. . Suivant acte reçu par Maître Pierre Malades, Grippés et Convalescents 15 Ouest 3 0/0 nouveau. 305 » 289 X TRIADOU, notaire à Cahors, le 15 .. Foncièreal879 3 0/0. 470 » 466 » 12 50 Ouest 2 1/2 0/0 272 X 269 X La Revue Hebdomadaire publiera 30 octobre 1923,Madame Raymonde- 15 .. — 1883 3 0/0. 268 50 261 50 e Germaine D Kl LUES, sans, profes- LYMPHATISME : Glandes, Gourmes des enfants, Sécrétion 13 .. — 1885 2,60 0/0. 272 » 268 » cet hiver comme par le passé les Con- sion, veuve de Monsieur Hippolyte 14 .. — 1895 2,60 0/0. 296 » 293 » férences qui seront données à la purulente des yeux et des oreilles. BRETON, demeurant à Cahors, rue 15 .. — 1903 3 0/0. 305 » 303 » Bibliographie Société des Conférences. Pellegry, numéro 4, a vendu à Mon- MALADIES DES OS : Rachitisme, Scrofule des enfants. 7 50 — 1909 3 0/0. 161 50 160 » ABONNEMENTS : sieur Joseph REILHES, sculpteur, 17 50 — 1913 31/2 0/0. 308 » 303 25 Histoire générale et anecdotique France : Un an, 52 fr. —r Six mois, 28 fr. demeurant précédemment à Beau- MALADIES DE LA POITRINE : Coqueluche, Toux persistante, 20 .. — 1913 4 0/0. 385 D 385 » de la guerre de 191.4 — Etranger 60, 32 fr. mont-de-Lomagne (Tarn-et-Garon- 16 50 — 191751/20/0 260 » 259 » Grippe, Bronchite, Asthme, Catarrhe chronique, Angine par Jean Bernard Abonnement d'un an payable en deux ne) et depuis peu à Cabors, le fonds de poitrine, Tuberculose. e fois sur demande. de Commerce de Marbrerie qu'elle Ville de Paris Sommaire du 56 fascicule: La con- Spécimen gratuit sur demande. férence de Rome. — Les menées et la exploitait à Cahors, rue Pellegry, ANÉMIE : Faiblesse générale, Manque d'appétit, Formation 20 .. 1865 4 0/0 654 » 656 » Le numéro 1 fr. 50, — Chèque postal : numéro4, à l'enseigne « Marbrerie déposition du roi Constantin. — La 176-70. difficile des jeunes filles, Règles anormales ou doulou- 15 .. 1871 3 0/0 344 » 344 » Breton ». guerre sous-marine à outrance. — La Pion, rue Garancière, Pari», 20 .. 1875 4 0/0 426 50 415 » Domicile est élu pour les opposi- reuses, Désordres de l'âge critique. 426 50 422 » ■20 .. 1876 popularité de l'Empereur d'Allema- tions à Cahors, en l'étude de Maître 1892 2 1/2 0/0 214 25 214 y> NEURASTHÉNIE. — CONVALESCENCE : des maladies infec- 10 .. gne. —- La Beriha. — Démission de Pierre TRIADOU, notaire. 10 .. 1894-1896 207 25 207 50 Lyautey, ministre de la guerre. — LA NATURE tieuses, Grippe, Influenza, Fièvre typhoïde. Pour second avis : 10 .. 1898 2 0/0 260 » 259 25 Mort de l'aviateur Guynemer. — Suc- Ce numéro débute par une descrip- 10 .. 1899 2 0/0 240 50 237 » P. TRIADOU. •=S<= 1904 2 1/2 0/0 258 x cès des armées anglaises en Flandre. tion précise de la récente éruption de 12 50 249 * Sommaire du 57e fascicule : Prise 11 .. 1905 2 3/4 0/0 332 50 330 25 l'Etna, d'après les renseignements du fort de la Malmaison. — Avance fournis par le professeur Gaetano r 11 .. 1910 2 3/4 0/0 iib » 218 » Chemin de fer de Paris à Orléans La Phosphiode GARNAL Le D ORTEL 12 .. 1910 3 0/0 i2U 5(. 223 50 des Anglais. — Prise définitive de Ver- Porte. Ancien Externe des Hôpitaux de Paris 9 .. 1912 3 0/0 ilO >; Mb » dun. — Les Français au secours de Puis vient une longue étude des et le Corps Médical Docteur en Médecine ds la Faculté de Paru 25 .. 1919 iib 185 » 382 » l'Italie. — Arrivée des Américains à derniers perfectionnements des pha- LE LIVRET-GUIDE OFFICIEL écrit : 28 75 1921 iib 489 Ï 183 » Paris. — M. Noulens, ambassadeur à res, réalisés dans leur construction, de la Compagnie d'Orléans 30 .. Décennal 1922 196 25 198 » Pétrograd, — La note du Pape et la leur optique, leurs sources lumineu- « Le RECONSTITUANT et le DÉPURATIF le plus énergique et le plus réponse du Président Wilson. La Compagnie d'Orléans rappelle agréable est sans contredit la PHOSPHIODE GARNAL. C'est de l'Huile ses, leurs occultations, qui montre que son Livret-Guide officiel, complè- Valeurs étrangères Chaque fascicule : 1 tr. les progrès accomplis par le Service de Foie de Morue concentrée et débarrassée des corps gras qui la rendent tement remanié comporte, sous une indigeste et désagréable à prendre. Librairie militaire Berger Levrault, desphareset balises et l'effort continu t 4 .. Japon 4 0/0 1905 280 » 299 » e élégante couverture ■ reproduisant le Chaque flacon de PHOSPHIODE GARNAL renferme les principes 4 .. Japon 4 0/0 1910 228 » 242 50 136, Boulevard St-Germain, Paris (6 ). pour augmenter de plus en plus la dépuratifs et fortifiants contenus dans cinq litres d'Huile de Foie sécurité sur mer. Château de Chenonceaux, d'après une 5 % Brésil 5 0/0 1909.... ; 360 » » » aquarelle du maître Robida, un texte de Morue associés à du Phosphate de Chaux assimilable et à de 5 »/„ Brésil 5 0/0 1914 214 50 218 25 Voici encore le plan du nouveau l'Iode à l'état naissant. 31/2 °/o Italie 3 1/2 0/0 60 50 61 90 L'OPINION « Jardin de Jussieu », à Versailles, où descriptif très documenté et abon- La PHOSPHIODE GARNAL fortifie les enfants faibles, fait disparaître Russe consolidé-*0/0. 22 85 21 50 Revue de la Semaine illustrée le Muséum national va transporter damment illustré. On y trouve l'ho- les engorgements ganglionnaires, fortifie les os. Russe 3 0/0 or 1891-94 16 70 15 30 raire de toutes les lignes du Réseau C'est le grand remède contre l'Anémie et les Pâles couleurs. Paraissant tous les Vendredis son jardin botanique, trop à l'étroit Russe 3 0/0 or 1896 16 50 15 20 dans l'antique Jardin des Plantes. pour le Service d'Eté 1923, des cartes Son action réconfortante sur le système nerveux en fait un spécifique Russes 1/2 0/0 or 1894 17 20 15 » Sommaire du N° 23 (Nouvelle série) et plans de ville, des renseignements contre la neurasthénie. Russe 5 0/0 1906 ... 27 60 26 10 Ajoutez à cette importante docu- Par son iode, elle s'impose aux personnes atteintes de rhumatismes, de Russe 4 1/2 0/0 1909 18 60 17 25 Editorial : Delà politique intérieure mentation de curieuses observations généraux sur les billets, services Au- bronchites aiguës ou chroniques, et de toutes les alïeclions de poitrine. dépend la paix ou la guerre. — Ce de M. l'amiral Hugu'et sur le rayon tomobiles, etc. C'est une publication 4 «/» Serbè4Ô/0amôrt.l89. 43 25 43 J> Administrée aux convalescents, elle hâte le retour des forces, stimule 4 o/o Turquie Dette OLlom. 55 50 52 27 qu'on dit : On rentre. — Le démenti vert et ses variétés faites par lui en 'indispensable pour préparer les voya- l'appétit, fortifie les bronches. » TurquieOtt. 50/01 35 50 32 95 démenti. — Les catholiques et les mer du Nord, en Birmanie et à Bou- ges et servir de guide au cours des 25 .. Tabacs Ottomans » Ï » » élections. — Les ogres révolutionnai- logne ; un exposé de la question des déplacements. Prix du flacon : 10 francs. -—Grandeur unique.

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(fi® it oulouse Cal iors Totilc I>€5 Cahors à ï^ih.os OMN'IB. OMNIB. OMNIB. EXP. MIXTE EXP. EXP. OMNip. MIXTE SlB. OMNIB. EXP. OMNIB. EXP. EXP. 1", V , 3" Cl. 1", Y 3- cl. Y, ^3B CAHORS 6 24 15 6 18 1", 3' 01. 1", 2'r3' ci: ci. 1", 2', 3" Cl. i", 2 ,r cl'.! i-, i •, 3" cl. 1", Y 3- cl. 1™, Y, 3" cl. 1", 2-, 3' cl. 1*1,2-, 3- ci: 1", 2', 3' cl 15 PARIS (Orsay) dép. » 22 6 », 9 50 » 19 50 21 15 » TOULOUSE.... 5 » 6 30 10 9 13 41 19 43 Pradines...... 6 3 i 1-5 14 18 23 20 23 » . Mercuès...... PARIS (Aust.) dép. » 22 24 » 10 2 » 20 2 21 27 )) MONTAUBAN. 6 23 9 43- 11 16 20 33 21 13 » 6 40 15 24 18 32 rh é » 7 50 » » » "... -jT-j — Oouelie (Arrêt). 6 44 15 28 18 36 LIMOGES | f, ' f 16 37 2 22 3 32 Caussade 7 o 10 24 1.6 42 21 39 » ( départ. 4 30 9 » 16 46 » 2 30 3 40 » Lalbenque 7 40 11 (5 17 25 — l arnac 6 5) 15 37 18 44 )) Luzech .... 6 57 BRIVE... ™ivée 7 22 11 55 '» 18 22 4 12 5 22 » Cieurac 7 45 11 15 17 34 ; _ - )) 15 44 18 52 Castelfranc. ( départ. 7 4! 12 32 16 25 18 35 18 50 4 20 5 29 » Sept-Ponts .... 7 50 11 27 17 4o » 7 10 16 19 5 — Pray.ssac Eve/). Gignac-Cresseiisac. 8 16 13 7 17 6 — 19 . 58 . ••— » arr . 8 7 11 35 11 59 17 53 21 37 22 21 » ;7 13 16 4 19 8 —- . CAHORS.. P uy-l'pJvcque... . 7 22 16 19 17 SOUILLAC ...... 8 40» 13 50 17 32 19 15 20 40 5 2 dép. 8 ;"2 13 11 12 3 18 3 21 41 22 25 » 13 CAZOULES 8 48 58 17 — —/. ■ — . Duravei 7., 29 16 21 19 25 13 40 2U 51 » Pradines. 8 39 13 19 — 18 10 , —>. — )) La Chap.-d-Mareuil 8 54 14 4 17 46 — 4- ta —-■ -' ; — Soturac-Touzac . 7. 37 16 29 19 33 Espère 8 47 13 30 i 'ïaàmftÊwmi 18 18 : i » — — — Fumel 7 48 16 44 Lamothe-Fénelon . 9 4 14 1-1 17 57 21 15 » St-Denis-Catus ... 9 1 13 48 —- 18 31 — » 42 19 Nozac 9 14 14 24 18 —. — — LÏBOS ; : ; 7 53 16 48 19 49 9 Thédirac-Peyril... 9 14 14 (i 18 44 ■ —. )) GOURDON 9 29 14 40 18 — 21 48 — 25 5 30 » Dégagnac 0 23 11 16 — 18 53 :— iY Saint-Clair 9 38 14 49 18 35 — — >OS ê i Cahors Saint-Clair i) 32 14 26 — 19 2 — : » Dégagiiac — — — 9 49 15 18 48 » GOURDON 14 9 50 14 46 12 4G 19 17. — 23 11 » LIBOS. dép'.'.. 9 Thédirac-Peyrilles. 10 15 11 19 2 — — 11 17 51 20 34 » Nozac. 9 58 14 56 • 19 25 — Fumel'. 9 20 41 Saint-Denis-Catus. 10 11 15 22 19 17 — — — » 18 17 58 Lamolhe-Fénel. .. 10 7 15 6 — 19 34 » Soturac-Touzac . 9 52 Espère 10 20 15 31 19 27 —. — — » 29 18 9 20 La Chap.-de-Mar . 10 14 15 15 — 19 41 .—. i » Duravei 9 59 Pradines 10 27 15 38 — — — — » 36 1,8 16 20 CAZOULES 10 20 15 21 :— 19 47 L » Puy-l'Evêque... . 9 44 24 21 6 » » 10 33 15 44 19 39 20 18 6 11 7 12 » 18 CAIIORS);)™; SOUILLAC 9 10 37 15 37 13 11 19 59 — 23 37 )) Prayssac (Arrêt). 9 52 32 21 14 11A51 17 12 » 20 22 6 16 7 16 7 32 18 Gignac-Cressens.. 8 11 4 16 22 20 29 . '. Castelfranc Sept-Ponts 12 1 17 54 — — . .— 7 43 9 58 18 38 21 20 a 52 11 32 16 55 13 48 20 59 23 31 0 16 » Luzech 32 Cieurac 12 15 18 11 » • — — — 7 59 BRIVE...... S - 10 10 18 51 21 ï d. » 13 54 » 23 40 0 26 » Parnac ...... Lalbenque 12 23 18 21 » -- il— ■ ■ —P 8 9 10 18 18 59 21 41 PARIS.. (A.) arr. » 21 55 » 8 42 ». Doueile (Arrêt).. Caussade 13 19 1 » —■ • ' ; 7 4 — 8 47 9 8 10 23 19 4 21 49 PARIS.. (O.) arr. 22 7 » 8 54 9 20 » Mercuès 55 MONTAUBAN arr. 13 35 19 40 » 21 31 7 29 8 25 9 25 10 29 19 10 21 Les trains " express " et " rapide " ne prennent les voj'agours que dans des conditions déterminées : consulter les int icalcurs. Pradines.... 10 37 19 18 » TOULOUSE.. arr. ,16 42 22 » 22 25 8 25 9 17 10 56 B : A lieu Ie entre Montauban et Brive le samedi ; 2* entre Montauban et Cahors le lundi. A : Ce train a lieu entre Cahors et Montauban, les lundi et samedi. CAHORS '.' 10 44 îp 25 22 8 W.7 Le Buisson à St-Denis-prèa-Martel St-Denis-prèa-Martel et Aurillac Toulouse à Capdenac, Brive et Paris De Oca.îii.oi'gs à Caîîcleii-^0 Le Buisson, dép » 6 50 10 57 » 19 TOULOUSE. dcp.| » » » 6 6 » 12 37 St-Dehis-près-Martel. 5 33 » 14 22 17 15 » 17 40 C) » » » • 10 25 » 17 51 18 50 Vayrac 5 42 » 14 30 17 23 » Sarlat 8 3 12 » 17 35 20 19 21 51 CAHORS . 8 15 12 10 16 14 CAPDENAC. j |> 1 24 6 54 10 23 10 48 13 30 18 28 19 01 Bétaillc (arrêt) 5 47 » 14 35 17 28 » 22 3 Cabessut.. 21 16 25 Cazoulès , » 8 45 12 39 19 15 21 19 FIGEAC 1 54 7 10 10 35 11' 4 13 56 8 24 12 Puybrun 5 56 » 14 44 17 37 » 18 43 22 10 Arcambal. 33 12 36 16 35 19 12 Le Pournel » 7 29 » 11 23 14 32 19 4 19 21 Bretenoux - Biars 6 14 » 14 59 17 53 » Souillac 7 51 10 55 13 32 19 28 15 45 » Vers 8 41 12 49 16 43 Assier 2 45 7 41 11 35 14 57 19 27 Port-de-Gagnac 6 22 » 15 7 18 1 » 19 15 22 42 Saint-Géry 48 13 12 16 48 6 » Flaujac (halle)... » 7 50 11 44 la 10 19 40 Laval-de-Cèré 6 34 » 15 18 18 11 » Le Pigeon 8 11 20 13 48 16 19 24 » Çonduçhé. $ 59 13 42 17 ^ u ^ Gramat 3 19 8 6 » 11 59 15 43 19 46 Lama ti vie 6 57 » 15 39 18 36 » 19 39 23 2 Saint-Cirq--la-Pc (j 5 13 52 17 6 Baladou . Arrêt. S 11 11 27 13 53 16 5 Rocàmadbu'r 3 34 8 19 » 12 9 16 2 19 49 19 »8 Siran (arrêt). 7 14 » 15 56 18 53 » 23 12 Sf-Mar tin-Labouvàl. 9 12 14 19 17 14 Monlvalent 4 7 8 34 ■ » 12 23 16 22 20 05 La Roquebrou 7 33 16 13 19 11 » Martel 8 20 11 56 14 2 16 14 20 3 » Càl'vignac i) 18 14 29 17 21 St-Denis-p.- ( arr. 4 21 8 45 » 12 33 20 l7 AURILLAC.. arrivée. 16 55 19 57 » 16 36 20 13 23 33 (j 13 17 34 8 15 » Sl-Denis-p.-M.ar. Martel ( dép 5 4 8 57 Cajarc 31 15 8 31 12 9 14 12 16 25 12 39 16 57 20 23 23 36 Monlbrun 9 15 29 17 44 20 Qualre-Routes — 5 17 9 9 » 17 11 40 S Aurillac à St-Denis-près-Martel St-Denis-pi'ès-Martel au Buisson 12 49 20 33 » Toîrac i) 48 15 50 17 53 20 | Turcnne 5 35 9 21 20 «H » 13 1 17 28 20 43 » Lamndeleine y 59 16 20 18 5 S'-Denis-p.-M. d. » 6 15 9 11 12 41 BRIVE ar. 6 10 9 43 13 23 18 3 21 5 21 AURILLAC.. départ. 5 39 9 54 » 17 14 » 17 do 0 10 CAPDENAC..... 10 10 16 38 18 17 PARIS (Orsay) ar. » 18 58 » 22 7 » 5 30 9 20 La Roquebrou 6 24 10 35 . » 17 58 » i Cahors : les 3 janv-, ;I aouU Martel » 6 30 9 26 12 56 18 9 (1) A Ht Siran (arrêt) » » lieu les jours Toit 6 38 10 47 18 12 3 nov. : le !«>■ des autre.-; nu is, ïiusi que le samedi après le J» Lamalivie 6 58 11 5 » 18 32 Baladou . Arrêt. » 6 37 9 33 13 02 18 20 Paris à Brive, Capdenac et Toulouse chaque mois. Laval-de-Cère 7 IX 11 21 » 18 51 » 19 25' 21 Port-de-Gagnac 7 27 11 29 » 19 » » Le Pigeon » 6 43 9 39 13 07 18 35 PARIS (Orsay) d, 15 22 61 7 9 50 » ' » 13e Ca;pc£«r>o.£i43 à Brive dép. 4 12 8 10 12 59 18 56 » » » Bretenoux-Biars 7 42 11 40 » 19 17 » Souillac » 7 5 9 49 13 17 18 55 19 49 Turenne 4 36 8 35 13 24 19 35 » CAPDENAC / 20 11 10 » Puybrun 7 51 11 49 19 27 » 13 31 19 7 Qualre-Routes.... 14.. 45 8 46 13 15 33 19 49 » » La madeleine...... 7 32 1.1 26 Bétaille (arrêt) [ 7 58 11 55 19 34 » Cazoulès » 7 » 20 19 18 St-Denis-p.- ( arr. 4 54 55 13 49 » » q^ohae. 7 43 11 43 Vayrac 8 8 12 2 » 19. 43 » 8 23 20 1 19 26 Sarlat 5 6 8 1 1 14 30 17 15 20 Martel ( dép 5 » 9 5 1i U'> 36 20 20 » » Monlbrun 7: 51 11 56 » St-Denis-près-Martei, 8 15 12 10 19 50 )) 2 19 40 Montvalent » 9 18 13 50 20 43 Cajarc. 8 12 39 » »• 19 50 Le Buisson. ar. 5 59 15 24 18 10 Hocamadour 14 » » Càtvignac « 12 12 55 » .5 29 9 38 11 21 16 19 57 Gramat 5 43 9 53 14 28 o.) 21 39 » St-Martin-Labouya 8 19 13 19 » De Sarlat à Gourdon De Gourdon à Sarlat A <) 20 5 riaujac (halte). » 10 t; 14 -.t tJ 48 » » ■ » Saint-Ciiq-là-Popiç 8 27 13 31 » SARLAT 8 34 17 25 6 » Conduché 8 33 13 56 20 11 » GOURDON 6 21 16 15 Assier.. 4 10 18 14 58 59 22 43 » 20 24 Carsac 8 45 17 38 6 30 Le Pournel » » » Saint-Géry 47 14 26 » Payrignàc (arr.) 16 23 10 29 15 8 » 20 29 Grolejac 8 53 17 50 » St-Girq-Madelon 6 39 16 30 FIGEAC 6 30 10 51115 31 j 23 23 » Vers « 52 14 43 » 20 37 Sl-Cirq-Madelon 8 59 17 57 9 » 15 28 » ■'•r' Grolejac 6 50 16 35 CAPDENAC ar 0 41 11 2115 23 37 » Arcambal 20 48 Payrignàc (arr.) 9 7 18 5 )) 10 15 43 » Carsac 7 2 16 44 d. 6 55 11 30 16 » » » Cabessut 9 20 56 GOURDON 9 16 18 15 >i SARLAT 7 19 16 55 TOULOUSE 11 R 16 29; 21 » » CAHORS. 9 18 15 53