Annales De La Société Entomologique De France

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Annales De La Société Entomologique De France Ro de 7 A ee D h TO Are = w . en 2 em An tn À. DUT a D Æ PRES r PT A A Ce 2 eo Pen oo 2, ee I SE A A AE RO on ee eo { 6 . A SSRELS 7 s TT ge ae gd w A one A tel RL an nou Æ robe CRE te dem min LE dt ne Doha ae merite cn 0 D ss adten. A MERE Ÿ " ve HA ao ve AND es NT ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE. Ÿ (: va : F2 CAS ” » _ + 2 2 IMPRIMERIE D'HIPPOLYTE TILLIARD, Rue St-Hyaciuthe-St-Michel, 30, ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE. Natura maximè miranda in minimis. TOME DIXIÈME. CH. PITOIS, ÉDITEUR. ON SOUSCRIT : CHEZ P. BERTRAND, LIBRAIRE, RUE ST-ANDRÉ-DES-ARCS, 98. STRASBOURG, V° LEVRAULT, rue des Juifs, 33. 1841. (EE ut xie RU 4 w 2 Ÿ Mr" der taf 4 CAE Le 21 D AR Nes à! À ‘ 1 à k : ur me 1 ÿ P { n l # F À P- | à mu} NE - ner n | MN 7 k PA 2 ne ’ " ' er | NT L L ï : " | a _ | LU ! | N Li + l ". + LU “ ! L n c à Û L 1 l 4 l " \ dre ae Ê d. AUTUR RE t d 2 EUR L Ï Ÿ Î ÿ SA * À 4 : ÉRAS duos mo h PL | { \ L .h'e F Au ln À l (8) pl “2 3 | A4 TA OA TA QU Lean Yi le | | ! LUS ‘1148 sx ê ! sg LA aa, À ré CHA À (MR rar 1 e T$ | 18 1 éme PE « ul | ; as * “ L à # [LUEUR AC 11 Ÿ F of Rte ‘ ; e | i ‘ ñ “ n “ l | . ñ ANNALES ’ DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE. ERA ARR ARR RAR A RAA AURA ARR RAR A AR RAR ARS RAR AR RAR AA ARE AE AR AR LA NA RAR DE LR HISTOIRE DES METAMORPHOSES D'UNE OEDÉMEÈRE. Par M. Léon Durour. (Séance du 5 août 1340.) Non-seulement les livres d’entomologie ne nous disent rien sur les métamorphoses du genre OEdemera, mais ils avouent. qu'ils ne savent rien. Voici donc une histoire nouvelle à enre- gistrer, et, de plus, une erreur à redresser, un double emploi à signaler; car le mâle et la femelle d’une même espèce ont été pris pour deux espèces différentes. Sans plus de préam- bule, établissons les faits. 14° LARVE. Larva hexapoda, cephala, antennata, elongata, albida, molliter villosa; capite prothoraceque latioribus ; antennis exsertis qua- 6 ANNALES dri articulatis, articulo primo brevissimo , ultimo subuliformi ; pedibus vix prominentibus; abdominis segmento tertio quarto- que subtus bimammillatis, ultimo simplici obtuso. Long. 5-6 lin. Hab. in ligno quercino putrescente. Dans le mois de mars 1840, je trouvai au milieu des fibres décomposées et humides d’un vieux madrier de chêne cou- ché à terre dans mon jardin, des larves qu’au premier coup d’œil je pris pour celles d’un Buprestis, à cause de leur forme plus dilatée en avant et de la lenteur de leurs mouvements. Une étude attentive me convainquit bientôt qu’elles devaient appartenir à un coléoptère d’un genre différent. Cette larve est allongée, blanchâtre avec une légère teinte jaune, d’une texture tendre et molle, velue de poils très fins assez longs, munie de six pattes articulées qui débordent fort peu le corps, composée de douze segmenis distincts, la tête non comprise, dont les abdominaux sont plus étroits et plus étranglés. La tête, de la même couleur que le reste du corps, mais d’une consistance calleuse, est grande, arrondie sur les côtés, tronquée en avant, un peu débordée en arrière par le seg- ment prothoracique : on y aperçoit deux traits linéaires super- ficiels qui de l’origine des antennes vont converger au milieu du bord postérieur. Antennes saillantes, droites, de quatre articles, le premier très court, les deux suivants cylindriques, le dernier subuliforme. Chaperon transversal, étroit, mais dis- ünct. Labre orbiculaire, velu. Mandibules cornées , brunes, assez robustes, susceptibles de s'ouvrir beaucoup, tridentées à leur pointe, avec une saillie au milieu de leur bord interne. Mächoires blanchâtres, coriacées;, léur lobe interne garni de sojes arquées, sans crochet. Palpes maxillaires insérés sur un DE LA SOCIÈTÉ ENTOMOLOGIQUE. 1 angle assez large de la mâchoire, de trois articles, dont le pre- mier court, le second cylindrique, le troisième subuliforme. Lèvre à languette oblongue, terminée par deux soies raides. Palpes labiaux de trois articles, dont le dernier obtus et de la même grosseur. Des trois segments thoraciques ou pédigères , le premier est aussi large que la tête et plus grand que les suivants : ceux-ci sont plus étroits, comme échancrés en arrière avec une ligne médiane dorsale enfoncée ; tous velus sur les côtés et au dos. Pattes courtes, blanchâtres, de trois articles , sans y compren- dre ni la hanche, ni le crochet terminal, qui est assez long et fort. Segments abdominaux au nombre de neuf, dont la largeur est décroissante d’avant en arrière, le dernier plus petit, sim- ple, arrondi; les deux premiers velus au dos comme les tho- raciques , les autres seulement sur les côtés; le troisième et le quatrième ayant en dessous une paire de mamelons ambula- toires conoïdes , avec des aspérités pileuses microscopiques. Stigmates au nombre de neuf paires, petits, incolores, ar- rondis, un prothoracique et huit abdominaux, situés sur les bords latéraux inférieurs et un peu antérieurs. Les larves de l’OEdémère se nourrissent de la substance du bois qu’elles rongent avec leurs mandibules, et où elles se creusent des galeries cylindriques assez larges, mais de peu de longueur. L'époque où je les ai trouvées me fait présumer qu'elles passent dans cet état tout l’hiver et une bonne partie du printemps. Je les ai élevées en renfermant dans un bocal des fragments du bois dans lequel elles étaient logées, et que j'avais l’attention de tenir à l’ombre et d’humecter de temps en temps. Vers le 45 mai, la plupart d’entre elles avaient passé à l'état de nymphe, et c’est au commencement de juin que j'obtins plusieurs insectes ailés. 8 ANNALES 2° NyYMPHE. Nympha nuda, obvoluta, oblonga, albida, villosa, abdominis seymentis primis utrinque subtriangularibus ; capite inflexo occulto. Long. 4 lin. On la trouve à nu dans les galeries pratiquées par la larve. Sa physionomie rappelle celle de la Pyrochre, dont j'ai fait connaître les métamorphoses, mais elle n’a pas de spinules. Sa tête, fléchie sous le prothorax et invisible par la région dorsale de l’insecte, a des antennes longues qui se reploient sous le corps, où leurs bouts se dépassent l’un l’autre. Les palpes sont étalés, les mandibules sont apparentes, et on aper- çoit à la bouche deux pièces triangulaires qui appartiendront aux mâchoires. Les tarses postérieurs dépassent seuls le bout des élytres, sous la forme d’une pièce cylindrique non sensi- blement articulée, terminée par un article court qui est vrai- semblablement le réceptacle des ongles futurs. Les quatre premiers segments de l'abdomen forment sur les côtés une sail- lie triangulaire bien marquée. Le dernier est bifide ou divisé en deux pièces triangulaires séparées par le bord arrondi du segment. 3° INSECTE AILÉ, Œdemera dispar, Nos. OEdémère dépareillée. Mas. OEdemera seladonia, Oxiv., Encycl., n° 47. Necydalis seladonia, KFasr., Syst, El., 11, p. 370. OŒdem. calcarata, Dur., Rech, anat. sur les Coléopt., n° 96. DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE. 9 - Fæmina. OEdem. ruficollis, Oriv., 1b., no 18. Necydalis ruficollis, Far, tb. Viridis vel cœrulescens; villoso-pubescens; thorace inœæquali, tn fœmina rufo-fulvo; elytris haud attenuatis , trilineatis, apia in mare tumidulis; fœminæ abdomine rufo-fulvo; maris femori- bus quatuor anticis apice unispinosis, fæminæ inermibus. Long. 4 1/2, 5 lin. Hab. œæstate frequens in variis floribus Galliæ meridionali-occi- dentalis. (Saint-Sever.) Il ne saurait me rester le moindre doute sur l'identité spé- cifique de ce mâle et de cette femelle, puisque les mêmes larves leur ont donné naissance sous mes yeux, et ce double emploi flagrant dans les ouvrages d’entomologie m'excuse d’enfreindre la règle sur le respect des noms déjà établis. Les deux sexes se ressemblent par la taille, la configura- tion générale et la communauté des habitudes, car on les rencontre à la même époque et sur les mêmes fleurs. La cou- leur est plus fréquemment d’un vert bleuâtre dans le mâle que dans la femelle. Antennes, bouche, tibias et tarses noirs. Tête et corselet avec un fin duvet grisâtre. Élytres couvertes d’une pubescence dorée, avec trois lignes élevées, dont celle du milieu moins saillante; leur bout, dans le mâle, avec une intumescence ovalaire qui est loin d’être toujours bleue; cette intumescence nulle ou effacée dans la femelle. Abdomen de celle-ci d’un roux fauve, avec le dernier segment noirâtre au bout. La dent épineuse du bout des cuisses intermédiaires plus prononcée qu'aux antérieures. Fabricius, qui le premier 10 ANNALES a fondé la Necyd. seladonia, ne fait aueune mentionde ces dents, et Olivier ne parle que de celles des cuisses de devant. Je ne m'explique pas comment cet auteur n’a pas remarqué celles des cuisses intermédiaires. Y aurait-il erreur de sa part, ou son espèce est-elle différente de la nôtre? Explication des fiqures de la planche 1, part. 1. Larve de l'OEdemera dispar, avec (à côté) la mesure de sa longueur naturelle. Cette figure est prise dans un moment où la larve, placée dans l’eau, et violentée, offrait ses segments séparés par des étranglements plus prononcés. Une patte détachée. Antenne détachée. Chaperon et labre.
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