8Edwa [Online Library] L'affaire Du Pull-Over Rouge, Ranucci Coupable ! : Un Pull-Over Rouge Cousu

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8Edwa [Online Library] L'affaire Du Pull-Over Rouge, Ranucci Coupable ! : Un Pull-Over Rouge Cousu 8edwa [Online library] L'affaire du pull-over rouge, Ranucci coupable ! : Un pull-over rouge cousu... de fil blanc Online [8edwa.ebook] L'affaire du pull-over rouge, Ranucci coupable ! : Un pull-over rouge cousu... de fil blanc Pdf Free Par Gérard Bouladou *Download PDF | ePub | DOC | audiobook | ebooks Download Now Free Download Here Download eBook Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #852251 dans LivresPublié le: 2005-03-02Langue d'origine:FrançaisNombre d'articles: 1 6.30 x 1.06l x 9.45L, Reliure: Broché383 pages | File size: 73.Mb Par Gérard Bouladou : L'affaire du pull-over rouge, Ranucci coupable ! : Un pull-over rouge cousu... de fil blanc before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised L'affaire du pull- over rouge, Ranucci coupable ! : Un pull-over rouge cousu... de fil blanc: Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles4 internautes sur 6 ont trouvé ce commentaire utile. Un livre intéressant, mais....Par Mofflin WilliamL'ouvrage est intéressant, et même d'une certaine manière très convaincant, mais sa seule existence est problématique. En effet, Christian Ranucci a été jugé, condamné et exécuté. Il est donc coupable aux yeux de la justice et de la société. Pour quelles raisons Mr Bouladou pense-t-il donc nécessaire de démontrer que Ranucci est vraiment "LE" coupable, si ce n'était justement qu'il existe aujourd'hui encore un très sérieux doute sur sa culpabilité ? Sans ce doute, sans les arguments de la défense, il n'aurait pas écrit ce livre. Malgré sa démonstration les éléments de l'enquête laisse toujours planer des zones d'ombres et sa version des faits "éclaire" la possible ou même la probable culpabilité mais n'écarte pas le doute. Dés lors en lisant le livre l'on a la désagréable sensation que l'auteur, commandant de police judiciaire, cherche surtout à réhabiliter l'honorabilité et les compétences professionnelles des enquêteurs.Mais n'est-ce pas justement là le fond de toute l'affaire ?En l’occurrence, les enquêteurs et le magistrat instructeur ont-ils cherché à connaitre toute "LA" vérité afin de prouver "LA" culpabilité de l'accusé, ou alors ont-ils fait d'un suspect "UN" coupable en s'appuyant ou en interprétant à charge "UNE" part seulement de la vérité ?Nous avons la fâcheuse impression, que Mr Gérard Bouladou, continu sur cette voie. Faut-il dès lors y voir un travers de toute la profession ? D'une certaine manière son livre semble en être le révélateur, et me fait aussi m'interroger sur le fonctionnement de la police et l'état d'esprit des enquêteurs tout autant que ce que j'apprends d'inédit sur l'affaire. Car rappelons-nous bien que si Ranucci est innocent c'est qu'inversement la police serait coupable. Coupable de lui avoir injustement attribué le crime. Pour la police Ranucci est désormais pour toujours et à jamais coupable. Coupable parce que condamné et exécuté. Par la force des choses il n'y plus d'alternative possible. Enfin, il ressort de la lecture du livre un sentiment de malaise car si l'on prend la peine de se souvenir qu'au procès le réquisitoire précède obligatoirement les plaidoiries de la défense, Les accusations de Mr Bouladou ne coulent pas de source puisqu'elles sont produites plus de trente ans après les plaidoiries de Mes Lombard et Forsonney, et près de trente ans après la parution du "Pull-Over Rouge" de Gilles Perrault. Or, toujours trente ans auparavant, au Palais de Justice d'Aix-en-Provence, les jurés eurent "en leur âme et conscience" à décider de la culpabilité de Christian Ranucci dans l'ignorance de ce qu'évoque l'auteur. L'attitude de Mr Bouladou oblige donc l'accusé à devoir indéfiniment prouver son innocence. A moins de faire sien les propos de l'Inspecteur Bernard Varlet lors du troisième procès de Patrick Dils aux Assises du Rhône : "il vaut mieux un innocent en prison qu'un coupable en liberté"(sic), l'on en arrive ainsi à la seule conclusion qui s'impose: le doute devait bénéficier à l'accusé, et plus particulièrement à cette époque où le châtiment "irréparable" était encore en vigueur.4 internautes sur 7 ont trouvé ce commentaire utile. Coupable ou innocent, même manipulation des auteursPar Eric GrilletPersonnelement, je considère ce livre ( au demeurant fort bien écrit ) comme l'oeuvre d'un policier soucieux de ne pas déshonnorer ses collègues. Il est cependant curieux ( à mon sens ) que tant de personnes se soient murées dans le silence, et se réveillent d'un seul coup. Coupable ou innocent, on ne peut admettre l'idée que tant de proches de Ranucci se soient tûes, surtout si ces derniers le connaissaient comme un garçon instable. Rappelons également que peu de temps après l'éxécution de Ranucci, un garçon était accusé du meutre d'un membre de sa famille, que ce garçon avait avoué le meurtre, et se rétractait quelques jours plus tard. Après enquête ( journalistique ) on découvrira que le jeune homme était innocent, et chose curieuse, chose étrange, l'équipe de police ayant obtenue les avoeux de ce garçon, n'était autre que l'équipe du commissaire en charge de l'affaire Ranucci à cette époque. Et celà peut se vérifier à travers une vidéo disponible sur le site de l'INA. Je reste convaincu de l'innocence de Ranucci, il y a trop d'éléments probants qui vont dans ce sens pour qu'on les ignores. Les changements de témoignages, le petit frère qui n'a pas reconnu le ravisseur de sa soeur, le garagiste qui certifiait sur l'honneur avoir vu une Simca 1100, et plus important que tout, le fait que le ravisseur ne portait pas de lunette. Et enfin, il convient de prendre en compte l'affaire Patrick Henry pour voir que l'affaire a été baclée, parcélaire et orientée. Et l'opinion de l'avocat général, n'en parlons pas. De son propre avoeux ( télévisé, et écrit ), il avait décidé avant même le début des débats qu'il réclamerait la peine de mort. Si Ranucci ( comme l'a dit l'avocat général ) semblait détaché du procès par son comportement, lui, en était totalement "absent", et n'attendait que son réquisitoire pour finalement laisser libre court à son penchant partisant de la peine de mort. D'ailleur, les interviews qu'il a donné, et la lettre écrite au procureur de la république ( lettre qui a été diffusée dans un excéllent reportage ) laisse entendre clairement, que même si Ranucci avait fait des excuses à la famille, il aurait été condamné à mort. Et dans le box des accusés à marseille ce jour là, il y avait deux accusés. Ranucci et Patrick Henry. A travers l'éxécution de l'un, on a voulu laver deux meurtres crapuleux. Et après ? Et bien 30 années de manipulation diverses, des règlements de comptes littéraires, des émissions orientées, et tout celà pour arrivé au même résultat, Ranucci ne sera jamais réhabilité. Et quand bien même il le serait, il restera pour beaucoups l'assassin d'une petite fille qui a mérité ce qui lui est arrivé. Patrick Dills en est le meilleur exemple. Innocent, et pourtant toujours coupable pour bien des gens.18 internautes sur 23 ont trouvé ce commentaire utile. A lire absolumentPar Renaud DegrezJ'ai lu "Le pull-over rouge" voici quelques années : un choc. Je me suis laissé porté par le style de Gilles Perrault, sa véhémence et surtout ma méconnaissance du fonctionnement de la justice et une paresse me faisant négliger tout sens critique. Ranucci innocent ; la justice coupable, pensai-je alors. Je louai même le film! J'aimais déjà beaucoup moins son propos simpliste et excessivement manipulateur. Ma vision de l'affaire restait inchangée : innocent. J'appellerais cela le syndrôme X-Files : une cabale se joue contre nous et nous devons la dévoiler. Avons-nous toujours raison pour autant ? Certes il est incontestable que des manoeuvres secrètes se déroulent en coulisse (voir p.ex. les test de sur-radiation sur des enfants handicapés par le FBI en 1945), mais il faut être prudents avant d'y regrouper toutes les affaires troubles (ou moins troubles) pour lesquelles le contexte nous dépasse. Le livre de M. Bouladou, policier professionnel, donne un angle neuf sur la situation, avec un style infiniment plus objectif que celui de Perrault, confronte les témoignages comme le faisait Perrault et relève lui aussi des incohérences et des changements... chez les défenseurs de Ranucci. Un comble! Il nous explique un peu ce monde judiciaire si codé... mais pas si crypté qu'on voudrait le faire croire. Un monde où l'erreur est humaine, mais doit être remise en contexte et non être rapidement estampillée "preuve de manipulation". Il est évidemment regrettable qu'on n'ait pas pratiqué le MMPI sur Ranucci, mais, même si celà ne fait que vingt ans, c'était, technologiquement parlant, un millénaire auparavant. Je ne suis pas encore absolument convaincu que Ranucci était coupable, bien que je penche aujourd'hui franchement vers cette orientation, mais je sais que j'ai été manipulé, peut-être par la justice, mais sûrement par les défenseurs du condamné, par action ou par omission. Merci à M. Bouladou pour son travail extraordinaire et ce rappel qui nous invite à rester attentif et critique. Présentation de l'éditeurLe commandant Gérard Bouladou, après une carrière de trente ans dans la Police nationale, détaille dans ce livre l'enquête la plus captivante à laquelle il se soit livré. Plusieurs années passées dans des services d'investigation, notamment dans la fameuse Brigade de répression du banditisme à Paris, l'ont amené à maîtriser les techniques les plus pointues de l'enquête policière et les règles de la procédure pénale.
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