Offenbach Colorature Jodie Devos Münchner Rundfunkorchester Laurent Campellone MENU › TRACKLIST › Français › English › Deutsch › Sung Texts

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Offenbach Colorature Jodie Devos Münchner Rundfunkorchester Laurent Campellone MENU › TRACKLIST › Français › English › Deutsch › Sung Texts OFFENBACH COLORATURE JODIE DEVOS MÜNCHNER RUNDFUNKORCHESTER LAURENT CAMPELLONE MENU › TRACKLIST › FRANÇAIS › ENGLISH › DEUTSCH › SUNG TEXTS JACQUES OFFENBACH (1819-1880) BOULE DE NEIGE 1 COUPLET DE LA DOMPTEUSE « JE SUIS DU PAYS VERMEIL » 2’03 VERT-VERT 2 AIR DE LA CORILLA « LES PLUS BEAUX VERS SONT TOUJOURS FADES » 4’04 ORPHÉE AUX ENFERS 3 INVOCAtion d’eurydice « LA MORt m’appARAÎT SOURIANTE » 2’22 UN MARI À LA PORTE 4 VALSE-TYROLIENNE DE ROSITA « J’entends, ma belle » 4’02 FANTASIO 5 Air d’ELSBETH « CACHONS L’ennui de mon âme » 5’13 LES BAVARDS 6 Air d’INÈS « Ce sont d’étranges personnages » 2’50 MESDAMES DE LA HALLE 7 RONDO DE CIBOULETTE « QUEL BRUIT ET QUEL TAPAGE » 4’51 LE ROI CAROTTE 8 ROMANCE DES FLEURS « Le voilà… c’est bien lui » 4’06 LES BERGERS 9 OUVERTURE 4’39 A F NTASIO 10 Romance d’ELSBETH « VOILÀ TOUTE LA VILLE EN FÊTE » 4’03 LES CONTES D’HOFFMANN 11 Couplets d’olYMPIA « LES OISEAUX DANS LA CHARMILLE » 6’01 ROBINSON CRUSOÉ 12 Valse d’EDWIGE « CONDUISEZ-MOI VERS CELUI Que j’adore » 3’47 BOULE DE NEIGE 13 Romance d’OLGA « SOUVENANCE » 2’26 BOULE DE NEIGE 14 Chanson d’OLGA « ALLONS ! COUCHÉ » 3’59 LES CONTES D’HOFFMANN 15 PRÉLUDE & BARCAROLLE « BELLE NUIT, ô nuit d’amour » 4’03 LE VOYAGE DANS LA LUNE 16 ARIETTE DE FANTASIA « JE SUIS NERVEUSE » 2’22 TOTAL TIME: 60’59 JODIE DEVOS SOPRANO MÜNCHNER RUNDFUNKORCHESTER LAURENT CAMPELLONE DIRECTION ADÈLE CHARVET MEZZO-SOPRANO (15) › MENU AIS NÇ RA OFFENBACH COLORATURE F PAR ALEXANDRE DRATWICKI (PALAZZETTO BRU ZANE) Avec ce nouvel album consacré au répertoire romantique français, Alpha Classics et le Palazzetto Bru Zane poursuivent leur fidèle compagnonnage sur des sentiers peu fréquentés. C’est cette fois l’irrésistible et pimpante Jodie Devos qui met son talent au service d’un projet dans lequel elle s’est investie avec une curiosité et une exigence qui l’honorent. Suggéré par le Centre de musique romantique française, le répertoire exploré avait besoin de cette fraîcheur et de cette tendresse pour se révéler pleinement : en écoutant cette guirlande d’airs ainsi interprétés, on réalise à quel point Offenbach maîtrise l’art de la demi-teinte au même niveau que celui du comique ou de la dérision. À côté de quelques extraits célèbres, c’est aussi un visage inconnu du compositeur qui se révèle à travers des ouvrages oubliés. Il a par ailleurs été nécessaire que le Palazzetto Bru Zane réalise l’édition de la plupart des partitions prévues pour cet enregistrement. Avant de connaître les succès qui firent sa fortune, Jacques Offenbach fut un habitué des scènes secondaires modestes, sans argent ni personnel, où le minimum artistique était déjà considéré comme luxe. C’est là qu’il apprit à faire sonner un orchestre réduit comme s’il s’agissait d’une grande phalange symphonique, c’est là aussi qu’il développa sa connaissance de la voix afin de tirer le meilleur parti des chanteurs à sa disposition. Et, s’il faut en croire ses partitions, il eut au moins la chance de rencontrer des « premières chanteuses » à la technique vocale pyrotechnique, dont la virtuosité suffisait parfois à assurer le succès d’une pièce. Cet emploi lyrique – appelé tour à tour « chanteuse d’agilité », « chanteuse à roulade » ou « première chanteuse légère » – trace comme un fil conducteur entre la plupart des œuvres du compositeur, depuis les premières pièces anodines pour deux ou trois personnages aux grandes fresques de la maturité que forment La Vie parisienne, Robinson Crusoé et Orphée aux Enfers. La soprano colorature fait aussi l’ornement des opéras-comiques aux livrets moins bouffons (comme AIS NÇ RA Fantasio) et de l’unique opéra sérieux d’Offenbach – Les Contes d’Hoffmann – dont le rôle de la poupée F (réduit à un air, mais quel air !) est parmi les plus célèbres du répertoire français. L’origine instrumentale de la virtuosité vocale se fait sentir dans les morceaux en forme de valse, pages typiques du Second Empire qui firent la gloire d’un Gounod à la même époque Ariette( de Juliette ou Air des bijoux de Marguerite). C’est l’influence du piano des salons mondains autant que le brio des violonistes de concerto qui modèlent les lignes distinguées imaginées par Offenbach : celles de « Conduisez-moi vers celui que j’adore » (Robinson Crusoé), « Quel bruit et quel tapage » (Mesdames de la Halle), « Allons ! Couché ! » (Boule de Neige) ou encore « J’entends, ma belle » (Un mari à la porte). On perçoit aisément l’imitation du « jeu perlé » pianistique – que promeut Saint-Saëns au même moment –, la variété des coups d’archet hérités de Paganini (« détaché large » ou « staccato aérien ») et l’habitude générale d’orner par de libres cadences les retours réguliers du motif principal de la valse. La difficulté doit se cacher derrière une aisance et un aplomb fictifs, théorie essentielle de l’enseignement puis de l’héritage de Chopin, répandue alors dans toute l’Europe. Ce n’est plus exactement la même bravoure mécanique que dans les airs classiques de Grétry ou Boieldieu : le romantisme a jeté sur ces musiques son voile de poésie. Ce qui fait la grande qualité des rôles « à colorature » d’Offenbach, c’est que leur virtuosité adopte des visages divers, complémentaires, parfois inattendus, qui donnent à cet emploi (purement technique chez d’autres compositeurs) une dimension lyrique bien plus complète. Lorsque les personnages sont dotés de plusieurs airs, l’un d’eux est forcément de nature moins ébouriffante et travaille le potentiel rêveur, suave et tendre de la voix. Ainsi « La Mort m’apparaît souriante » (Orphée aux Enfers), « Le voilà… c’est bien lui » (Le Roi Carotte) ou la romance de la princesse Elsbeth (« Voilà toute la ville en fête », Fantasio) sont des pages noblement recueillies paraissant destinées à des sopranos lyriques capable de morbidezza dans le médium de la voix. AIS D’autres airs font d’abord mine de ne pas insister sur l’élément virtuose, mais créent la surprise par NÇ RA F une explosion soudaine et localisée de notes rapides et suraiguës. L’ariette de la Princesse (« Je suis nerveuse », Le Voyage dans la lune) est un portrait-charge grotesque d’une jeune capricieuse écervelée. On dirait le pendant musical d’une statuette du caricaturiste Dantan. La cadence à roulade et contre- mi bémol se veut la traduction musicale d’un trépignement de colère. Dans le fameux air de la Poupée (« Les oiseaux dans la charmille », Les Contes d’Hoffmann), la virtuosité parodie aussi le mécanisme immuable – mais qui pourtant s’enraye – d’un jouet sans esprit. L’air de La Corilla (« Quels rôles dites- vous ? ») dans Vert-Vert pousse l’ironie à son apogée : le personnage se moque effrontément d’un public inculte qu’elle satisfait sans effort par des vocalises excessives : « Les plus beaux airs sont toujours fades Et ne valent pas nos roulades. Des “ah !”, c’est tout ce qu’il me faut ! Des poètes les plus habiles Les paroles sont inutiles Car on n’en comprend pas un mot. » Air de La Corilla (Vert-Vert, Acte II, n° 7) Retrouvez plus d’informations sur Offenbach et les œuvres de ce récital sur bruzanemediabase.com AIS NÇ RA JODIE DEVOS SOPRANO F Après avoir étudié à l’Institut de Musique et de Pédagogie de Namur, Jodie Devos obtient un Master of Arts à la Royal Academy of Music de Londres. Lauréate de plusieurs concours, elle remporte en 2014 le Deuxième Prix et le Prix du public du prestigieux Concours Reine Elisabeth de Belgique, et intègre la même année l’Académie de l’Opéra-Comique à Paris. En 2015, elle est nommée Artiste Jeune Talent de l’année par les International Classical Music Awards (ICMA). Jodie Devos mène une carrière internationale, elle se produit sous la baguette de chefs tels que Paolo Arrivabene, Laurent Campellone, Mikko Franck, Leonardo García Alarcón, Philippe Jordan, Dmitri Jurowski, Louis Langrée, Antonello Manacorda, Enrique Mazzola, Marc Minkowski, François-Xavier Roth, Christophe Rousset, Guy Van Waas et collabore avec des metteurs en scène de renom comme Romeo Castellucci, Denis Podalydès, Emilio Sagi, Bob Wilson… Son timbre lumineux et sa virtuosité lui permettent d’aborder les rôles les plus emblématiques du répertoire de soprano colorature : Olympia des Contes d’Hoffmann, Eurydice dans Orphée aux Enfers, Lakmé, la Reine de la Nuit dans La Flûte enchantée, Blondchen de L’Enlèvement au sérail, Adèle du Comte Ory, Marie dans La Fille du régiment, Philine dans Mignon, La Fée de Cendrillon, Le Feu, Le Rossignol et La Princesse dans L’Enfant et les sortilèges, Adèle dans La Chauve-souris, Titania dans Le Songe d’une nuit d’été… Particulièrement saluée pour ses qualités de diction et de comédienne, elle interprète également avec succès le répertoire d’opéra français et en particulier l’opéra-comique : Le Timbre d’argent de Saint-Saëns, La Nonne sanglante de Gounod, Les Mousquetaires au couvent de Varney, Le Chalet d’Adam, Le Domino noir d’Auber… Jodie Devos enregistre en exclusivité pour Outhere Music France. AIS NÇ RA LAURENT CAMPELLONE F Laurent Campellone apprend la direction d’orchestre à Paris. Très jeune, il est assistant à l’Opéra de Toulon puis complète sa formation auprès de Christoph Eschenbach. À 29 ans, il remporte à l’unanimité le premier prix du Concours international de Spoleto (Italie). Depuis lors, Laurent Campellone a été invité à diriger de très nombreux opéras et concerts symphoniques, au Deutsche Oper de Berlin, à l’Opéra de Manaus, à Sofia, au Bolchoï, à Marseille, Spoleto, Toulon, Nantes et Angers, Bordeaux, Bogota... Longtemps Directeur musical de l’Opéra et de l’Orchestre symphonique de Saint-Etienne, Laurent Campellone a relancé une politique de redécouverte du répertoire lyrique français du XIXe siècle avec Massenet (Sapho, Le Jongleur de Notre Dame, Ariane, Le Mage...), Gounod (La Reine de Saba, Polyeucte), Lalo (Le Roi d’Ys)… Cette passion pour ces raretés françaises n’éclipse pas ses lectures très remarquées et saluées par la presse des partitions du grand répertoire italien ou autre.
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