DE VALOGNE Feuillu Politique, Agricole, Uoaadïerciule, Industrielle, Scientifique, Littéraire Et D’Annonces
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Numéro 33. — Dimanche'23 Août 1008. 5 Geiatim es Soixantë-quinziêniè année. JOUR DE VALOGNE Feuillu Politique, Agricole, Uoaadïerciule, Industrielle, Scientifique, Littéraire et d’Annonces CHEMIN DE FER. — Paris-Cher:, urg : ô 3 matin : S h. 41) matin; ABONNEMENTS midi 59; 2 h. 6 soir express;: 4 h. 37 soir ; ti. .s >oi! rt h. 17 soir- 10 h. 54 soir. — RÉDACTION ET ADHÏN1STRATION Pour la tille, 3 fr. 50 ; Manche et limitrophes, 4 fr.; Paria et Départements, 4 fr. 50 Cherbourg-Paris: $ h. 34 matin; 6 h. 12 n :.lÎ!i expie» ; t> h. 44 mat. express : Le prix de Vabonnement se paye d’avance. Les recouvrements se font une 9 li. m. e\p. ; midi 13: 4 h. 53 s ., 5 h. 53 exp. i n 88 s. — Dimanches et jours 25, Rue Carnot, A14JL.OGNES fois par an en décembre. de fêtes un train part de Cherbourg à 2 h. du soir | our arriver a Valognes a 2 h. 40 s ANNONCES \'ulognes (ville) Barfleur : départs 5 h matin: 9 b. 40 matin; midi 55; 5 h. 25 Les manuscrits non inséré^ne sont pas rendus Judiciaires, la ligne 0 fr. 46 ; Réclames, la ligne 0 fr. 25 ; Locales. 0 fr. 50. soir ; 8h.U6 s.: (10 h. 24s. dim. et fêtes . O s deux derniers trains ne vontquejusqu’u On peut traiter a forfait pour les annonces souvent répétées — Les annonces sont Les lettres et mandats concernant la réd ^ uant l: administration doivent reçues aux Bureaux du Journal, jusqu’au vendredi soir, et a l’A gen ce de la Presse St-Martin. — llarfleur-Valoynes [ville) : 5 h. i J mat. (De St-Martin) : 7 h. 54 être adresses a M. le Directeur du Journal de Valognes. matin; il h. 53 m ; 3 h. 56 soir; 7 b. 29 soir ; 10 h. 1 soir, duiandies et fêtes . N ouvelle, 42, rue Notre-Dame-des-Victoires, Paris. — Journal légalisé, 25 cent. Le sol ! Nous avons rétabli ta gabelle ! 190S et les instances introduites avant la ligues et de toutes les associations déjà vers la gare pour recevoir d’autres sociétés. Nouvelles de la Semaine c’est royal Nous mesurons, nous vendons promulgation de cette loi. constituées. Une foule enthousiaste h-s accompagne et au poids de l’or ce qui paraît ressentit 1, Sour ces dernières, il s’agit d’instances Pendant les vacances, il faut envoyer des salue les nombreux musiciens qui viennent ★ La situation au Maroc redevient mau l'indispensable à un peuple qui vil de pois terminées avant la mise à exécution de la délégations aux sénateurs et aux députés. prendre part au concours. Au retour de la vaise. Une reconnaissance a été accueillie son et ne le inange que salé ! Nous raré Ici nouvelle, les actes de procédure réguliè Le »:ège du Secrétariat général de ce Co gare, une retraite aux flambeaux traverse a coups de fusil pat des Marocains. Cn .'at fions à plaisir la plus précieuse marchan rement faits dans les formes ^ordinaires C. mité est établi à Palis, i23, rue Montmar la ville, et, les sociétés sont conduites par tend à une attaque par de nombreuses dise ; nous créons arbitrairement la gène d’Etat, 1er juillet 1887, D. F. 83.3.124). tre, où l’on peut dès maintenant, s’adresser leurs commissaires à leurs logements res bandes. Le général Lyautey organise la et la privation ! s il s’agit, au contraire, [l'im^auces en pour les conférences et les tracts. pectifs. défense. L ’alcool ! Ici, nos hommes de génie ont cours, les actes déjà consommés restent ac Ecrire : Comité d initiative pour la défen Le lendemain matin, un ciel pur promet ★ Ordre a été donné d'expédier de nou des plans grandioses. L'indigène buvait un quis, et il doit leur être fait application du se des Droits du Père de famille, 123, rue un soleil radieux. veaux renforts en lndo-Cbine pour réprimer alcool qu'il aimait ; on lui a détendu de le tarif ordinaire. Mais la procédure sera sui Montmartre, Paris. A S.heures du matin une distribution ex les attaques qui deviennent de plus en plus boire ; on lui en impose un autre, l'alcool vie dorénavant dans la forma sommaire et D’ores et déjà le Comité fait appel à tou traordinaire de pain est faite au bureau de nombreuses. civilisateur, qu'il n’aime pas, qu'il 'ne boit comportera l’application du £irif sommaire. tes les bonnes volontés, et il est prêt à se bienfaisance.- pas, mais qu’il est obligé d’acheter, sous V. Dalloz, supp. \'u Lois, nc* 198 et suiv. joindre à elles, tant à Paris que dans les La matinée est consacrée aux divers con ★ Une compagnie de tirailleurs sénéga peine d’endurer les pires vexations. 202 et 203. ) départements, pour combattre l’école athée cours de lecture à vue et d’exécution. lais serait cernée en ce moment par une 11 n’est pas content... Il se révolte... nous Quant a l'exécution du jugement du 3 fé et untipatriotique et pour éviter le vote de L'après-midi, après le concours d’hon peuplade anthropophage à Hauts-lvind Ga rennuyons, et nous voir partir est son plus vrier dernier, je puis vous donner l’assu la lui monstrueuse qu’ou nous prépare. neur toutes les sociétés guidées par leurs bon); il y aurait lu tirailleurs tués ou bles doux rêv e... Cela vous étonne ? rnettez- rance que, des que la Direct >u de la Dette commissaires se réunissent place du Châ sés. vous à sa place ! Nous expédions là-bas inscrite m’aura adressé le di plicutadu litre teau ; c-lles prennent place pour le festival. ★ L’état des blessés survivants de la nos enfants qui paierontde leur jeune sang litigieux qui est resté entre .es mains des A. Lourdes M. Allix,le sympathique chef de la Musique Couronne est satisfaisant. Le nombre des l’inertie administrative la sottise politicien anciens représentants legaux de la Fabrique municipale gravit la petite estrade dressée morts est de neuf. ne ! Le Maroc d'un côté, l'Indo-Ohine de de D .. , je le ferai remettre a M1*16 veuve Zola, celui-là qui a tout fait pour ridicu au milieu des sociétés, et, à son geste, un ★ M. Blot, sous-chef de la sûreté, a l’autre ; voilà d'assez bonnes sangsues pour C ... avec les arrérages échu: depuis le let liser les pèlerins qui, chaque année, accou uiillier de musiciens attaquent dans un ac saisi au ministère de la guerre des casques vider le trop-plein de nos veines î janvier 190' , après avoir prélevé toutefois, rent plus nombreux prier à la Grotte de cord parfait le pas redoublé Spearmint et et cuirasses, pièces à conviction pour la E m ile de Saint-A u ba x . parprivileg e, sur ces arrérages, les frais de l’Apparition et chercher soulagement et La Marseillaise. fusillade de Villeneuve-Saint-Georges. l’instance. Si le montant de ces .arrérages guérison aux euux de la fontaine, Zola, dis- Ensuite, les trente sociétés défilent, en ne suffit pas pour couvrir les frais, Mme .e, est mort et malgré sa pauthéouisation, un imposant cortège, à travers nos rues, en ★ Un incident protocolaire se serait pro veuve C .., devra, avant d’entrer en posses d’ailleurs laborieuse, sa mémoire ne provo exécutant divers morceaux de leur réper duit à Guernescy entre le commandant du La Princesse sion du tare, verser les fonds suffisants que eu général que d u ... rancœur. toire, pendant que la foule se répand en ac vaisseau-école français Bougainville et le pour parfaire Insomnie nectaire au paye Mais Lourdes mi survit, et ce, plus vivant clamations. gouverneur de l’île. Si le Journal Officiel n’est pas toujours ment desdïîs frais. v-' ~ encore que jamais. Le défilé prend fin, les sociétés reviennent it Edouard VII est à Marienbad pour sa amusant à lire il est quelquefois instructif, Eu effet, l’ai. 2 du $ 13 du l'art. 3 de la loi C’est ainsi qu'à 1 occasion du Pèlerinage place du Château et se rangent autour de la cure annuelle. Clemenceau est à Carlsbad ; et nous fait mieux comprendre les beautés du 13 avril 1908 dispose que «• les frais ex national, lU0,Oü0 pèlerins y sont annonces tribune réservée aux membres du Jury. Les il est très probable qu’ils auront une entre d'un gouvernement qui, au point de vue fi posés par le séquestre seront, dans tous les pour aujourd’hui dimanche. Fr . chefs et les porte-bannières prennent place vue. nancier du moins, mérite le nom de« cher ». cas, employés en frais privilégiés sur le bien dans l’enceinte réservée. FaîÜères ayant donné sa lllle en mariage séquestré, sauf recouvrement contre la C’est l’heure des récompenses. M. Poutas- ★ Le 00e anniversaire du sacre de Fran à M. Lanes, secrétaire générai delà Prési partie adverse condamnée aux dépens, ou Larue, secrétaire général, donne lecture du çois-Joseph a été célébré avec éclat en Au dence, a voulu, suivant l’expression deCor- sur la niasse générale dos biens recueillis palmarès, que nous publions plus loin, et triche, au château de Wilhelmhœhe ; Guil nély, assurer aux heureux époux le pain par l'Etat ». chaque résultat proclamé est applaudi. La laume 11 a porté un toast d’amitié. des vieux jours, et vient de faire nommer Cette disposition est d’ordre public ; elle Pour le maintien de la peine de mort. remise des diplômes, est seule fuite, les pal ★ En cours de manœuvre le Suffren a son gendre trésorier-général de Seine-et- est, dès lors, certainement rétroactive.