Ouinzième 10 Aodl 1875
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Ouinzième 10 Aodl 1875. âBORHElREMTS INSERTIONS h *,desl«'et 16 de chaque mo» LES INSEKTIOWS e31 par sont reçues au „ «aient d'avance. 8ur«aci du Ji otzrmài /S «S A©# 1 ls y rois m« et 9 B* SI* «a04» se paient â'av£UKce ' «O fr o» Annonces... SB e. la ligne tBES DÉPARTEMENT» AO POLITIOIÏE. JTTEBMRE. AGRICOLE ET COMMERCIAL 8 mola Réclame»... 60 a. „ «oU « §»* »* ** ,0 ., Un SJa «« | -s>b 8Î6v si » tr araissanf les Mardi, Jeudi et âamedi U OI.\il! . Hatat, rue J.-J. Rousseau, 8 ;—. M r Rnvover avec la demande d a- 10 —J —— iiM. Lafpteet C*, place de l<» ' bonnement Bourse 8, sont seuk chargés en bon d* poste, A CAHORS, IMPRIMERIE DE A. LAYTOU, RUE DU LYCÉE. à Paris de recevoir les annot- ées pour le Jocrnaldu Lot. peptasïen dm 1" nnnéro aeî st«U« un «««BincHenl H «il eat considérée eomiKe EID péaJ)«nnmiB«ni« Avis ita feairor»!' «• «inï*aé»"o, quand voï4«8r& s*> dësaboa»»» La publication des Annonces Judiciaires et Légales est libre dans tous les Journaux du département. s==:::=:~r sS ^ ÊJ .novnoq lire! i>9 i «mot J Compagnie du Chemin de fer d'Orléans.—Service d'Eté. i i G n mal lsMe»« * Omnibus ïoite Omnitiai Omnlbui Omnibus sj'ioq ; Jtl j sh lu.î'flioo'ia/iiog i Poitu mixte Omnibus OmtHsas ■ixte mixte mixte (151) mixte (105) Poste mixte Omnlb.joor» Omnlb» mixte mute ■igf Pode mixte Caion. - .-Départ.. 5hl0.s 12h25' 5h40» Monsempron-Lfboi. — Départ, 8h4ti 5h19i 7h40i de foire milles ■ Départ. 7h45- 9h40r I 7h303 1 9h30<; 5h25i 7L54„ 5 26§ 12 47 5 55 AGEH — Arrivée 9 591 6 44* 9 57S M«rcflèsV 10 30? l Fumel 7 37S 9 37g 5 37S 7 571 Parnac 5 39 1 7 6 7 6 50i 1 45° Soturac Tonzac. 7 50 9 49 5 53 8 10 Luiecb « • • 5 47 1 20 6 16 Monsemproo-Liôos. — Départ. 7b 18? 3h 3g 7h34S Mcnsempron-Likos. — Armée. 8 36= 5 16 Duravel ... 8 2 9 57 6 7 8 19 Castelfranc 6 3 1 43 6 37 P4RIGOEOX.. — Arrivée. 10 58a 5 462 11 6" Pay-l'Bvêqne * • • 8 11 10 6 6 20 8 28 p y-l'Evèque 6 17 2 » 6 49 BORDEAUX. — . 3 28s 10 18 a Cas'elfranc. 1 • • ♦ • 8 30 10 20 6 27 2 14 fi 58 RODE? — . 2 6 43 8 46 Duravel < • •> 9 34 i Luzech. 8 44 10 32 7 2 9 » SotnracTonzac... 6 37 2 27 7 7 AURILLAC — . 9 42 Départ. 5h50i 2h ÔMOs Parnac. i 2 44 7 19 s 8 55 10 41 7 18 9 11 7 1 VIERZON — . 7 18 12 42i 7 53B Mcnsempron-Libos. - s Fumel .- • • — Arrivée. 7 15 g 7 31 Mercuès -— « 9 7 10 52 7 35 9 23 Jonsempron-Llbo».—Armée. -/ 3 2 51 7 26 PARIS — Arrivée. 12 39 - 3 4 a > 391 r Cahors.... — Arrivée. 9 25 11 8 7 54 9 41 ce département lo vote des lois constitutionnelles Cahors, le 19 Août 1875 Chambres. Tout citoyen qui se déclare parti- » Louis XVI, et nous regarderons, les ruines « Lorsque la solution apparaît, a-t-il dit, lorsque, san de l'Appel au peuple est donc l'adversaire » des Tuileries, reconstruisant dans notre » après une laborieuse préparation, une Constitution I w% de la loi; s'il est en même temps fonctionnaire » pensée attendrie cette fenêtre d'où I'empe- » définitive est volée, la presque unanimité de nos public, comme les maires, s'il est nommé par » reur assistait à la joie populaire... (Quel D'après les premières nouvelles de la session » commettans s'y attache. Fatigués de discussions le gouvernement, comme les maires actuels » souvent stériles, agriculteurs, commerçants, ou- » étonnant mélange de souvenirs et de senti- des Conseils généraux dans toute la France, le il est doublement et triplement coupable, et, » ments ! Nous irons à l'église... » Où n'iront- » vriers, industriels demandent à conserver l'état de il doit être frappé. caractère.de la nomination des bureaux n'a pas » choses établi et ne prêtent ni oreille, ni appui à » ils pas? Voilà notre façon, s'écrie le Pays La loi des maires, que nous n'avons pas à e très grande signification. Presque partout, » ceux qui persistent à attaquer les lois de leur » de célébrer nos anniversaires ! » UD apprécier ici, et qui n'a peut-être pas tous les Si les bonapartistes n'avaient que cette façon les choix ont porté sor les mêmes hommes que » pays par les intrigues, les factions et les émeu- » tes. • M. Dauphin a fait ensuite remarquer à ses caractères d'une institution durable et per- de célébrer leurs anniversaires, nous n'aurions l'an dernier. On ne cite que sept Conseils géné- collègues combien l'institution d'un gouvernement manente, donne à ces magistrats municipaux garde de nous plaindre; nous les laisserions raux qui aient fait exception a cette règle, ce régulier et défini rendait l'administration plus facile, l'investiture gouvernementale, et rend par poursuivre en paix leur excursion à travers conséquent le ministère responsable des écarts sont : les conseils do Puy-de-Dôme, où M. et il les a invités à profiter de ce nouvel avantage les lieux qui leur rappellent tant de bonheurs pour s'occuper plus activement que jamais des. inté- qu'il tolère et des rébellions qu'il ne châtie disparus. Mais le programme du Pays ne con- Bardoux a été élu en place de M. Ledru ; de rêts de leur département. pas. Le ministère est d'autaut plus obligé de tient pas seulement des élévations à Dieu et Lot-et-Garonne, où M Lacoste remplace M. de sévir, lo cas échéant, qu'il n'a pas seulement des méditations sur les mystères qui expli- ,nhn'i9ï é -gfiofl-guoll u enoznailD Bastard : de la Haute-Marne, où M. Gennuit le droit de révoquer les maires ; il les a choisis; quent la chute des empires. D'abord, ce pro- ils sont à la fois ses agents et ses créatures ; est remplacé par le général Boissonnet ; de gramme est adressé à S. A. Mgr le prince Revue des Journaux leurs fautes le compromettent directement. impérial, ce qui pourrait passer pour une M. Meurthe-et-Moselle, où Mézières cède le : Aussi n'est-ce pas une suspension de deux formule plus que polie; en outre, il contient elh6H6V luol sb eiqmoa e! lool fauteuil à M. llollin ; du Rhône, où M. Durand mois qui doit atteindre les hommes qui se des projets et des menaces assez extraordinai- ttfiBisei ucaïud i>-ra-s9/no51 mettent dans le cas du maire d'Echallat : res de la part de gens qui prétendent a laisser est remplacé par M. Terver ; delà Haute-Saône, L'Echo .aifcfloqèi et -jooq èSYSAai xuaa ieiigiol c'est la révocation pure et simple. » â d'autres le soin de troubler l'Etat, quand où M. Willemot remplace M. Aloiset ; enfin des Nous l'avons déjà dit, et nous le répétons, La Liberté revieDt sur la question des » certaines dates de l'histoire viennent ré- Vosges où M. Grandjean a été élu en remplace- nous ne demandons pas de destitutions en maires bonapartistes, et se donne beaucoup » sonner comme un écho sonore. » masse, par la raison bien simple que les maires meot de M. Claude. Il serait difficile de dire de mal pour démontrer que le principe de Est-ce pour se montrer de scrupuleuxùb? resteront presque tous dans la limite de leurs quel est le parti qui a gagné ou perdu le plus a l'Appel au peuple n'est pas contraire aux ins- servateurs des lois que les rédacteurs du titutions du pays. Toute l'argumentation de droits et de leurs devoirs, quand celte limite Pays nous annoncent l'époque « où la Cons- ces petites modifications. ' sera tracée d'une main ferme par le pouvoir. cotre contradicteur cons'ste à soutenir que le » titulion sera peut-être foulée aux pieds; où D'ailleurs, nous respectons les sentiments in- Dans la grande majorité des conseils, nou9 suffrage universel étant la base de ces insti- » la loi deviendra, entre les mains des radi- times, les affections et les regrets des hommes trouvons que les présidents nommés appartiens- tutions, et l'Appel au peuple étant une appli- » eaux, non plus le glaive qui protège, mais qui ont servi I Empire, ou qui ont cru avoir h cation du suffrage universel, il doit être permis » le poignard qui assassine?» Voilà de singu- nent, par leurs opinions connues comme par s'en louer, ou qui le regardent comme un de réclamer l'Appel au peuple. C'est, comme lières.prédiçtions pour des pèlerins fervents et leurs antécédents, k la politique conservatrice. excellent gouvernement. Que les maires pen- on voit, fort simple, et le polémiste de la tout absorbés par leur prétendues prières! Àu- sent ce qu'il leur plaît, c'est leur affaire; les M. Decazes a été nommé président du conseil Liberté, qui paraît un peu neuf, ne s'est pas rions-nous affaire à ces héros de mélodrammes préfets ont seulement à se demander si cer- général de la Gironde et M. Dufaurè, président mis en frais d'imagination. qui passent si rapidement du chapelet à l'es— tains bonapartistes ne laissent pas trop deviner « Inviter le gouvernement à montrer de la copette? Le Pays ne veut pas nous laisser de du conseil de la Charente. Le conseil'général de leurs préférences secrètes. Mais quant aux fermeté contre les maires qui témoignent de doute à ce sujet, a Nous comptons sur vous, l'Aube a maintenu la présidence a M.