Ouinzième 10 Aodl 1875.

âBORHElREMTS INSERTIONS h *,desl«'et 16 de chaque mo» LES INSEKTIOWS e31 par sont reçues au „ «aient d'avance. 8ur«aci du Ji otzrmài /S «S A©# 1 y rois m«ls et 9 B* SI* «a04» se paient â'av£UKce ' «O fr o» Annonces... SB e. la ligne tBES DÉPARTEMENT» AO POLITIOIÏE. JTTEBMRE. AGRICOLE ET COMMERCIAL 8 mola Réclame»... 60 a. „ «oU « §»* »* ** ,0 ., Un SJa «« | -s>b 8Î6v si » U OI.\il! . tr araissanf les Mardi, Jeudi et âamedi Hatat, rue J.-J. Rousseau, 8 ;—. M r Rnvover avec la demande d a- 10 —J —— iiM. Lafpteet C*, place de l<» ' bonnement Bourse 8, sont seuk chargés en bon d* poste, A CAHORS, IMPRIMERIE DE A. LAYTOU, RUE DU LYCÉE. à Paris de recevoir les annot- ées pour le Jocrnaldu .

peptasïen dm 1" nnnéro aeî st«U« un «««BincHenl H «il eat considérée eomiKe EID péaJ)«nnmiB«ni« Avis ita feairor»!' «• «inï*aé»"o, quand voï4«8r& s*> dësaboa»»»

La publication des Annonces Judiciaires et Légales est libre dans tous les Journaux du département. s==:::=:~r sS ^ ÊJ .novnoq lire! i>9 i «mot J Compagnie du Chemin de fer d'Orléans.—Service d'Eté. i i G n mal lsMe»« * Omnibus ïoite Omnitiai Omnlbui Omnibus sj'ioq ; Jtl j sh lu.î'flioo'ia/iiog i Poitu mixte Omnibus OmtHsas ■ixte mixte mixte (151) mixte (105) Poste mixte Omnlb.joor» Omnlb» mixte mute ■igf Pode mixte Caion. - .-Départ.. 5hl0.s 12h25' 5h40» Monsempron-Lfboi. — Départ, 8h4ti 5h19i 7h40i de foire milles ■ Départ. 7h45- 9h40r I 7h303 1 9h30<; 5h25i 7L54„ 5 26§ 12 47 5 55 AGEH — Arrivée 9 591 6 44* 9 57S M«rcflèsV 10 30? l Fumel 7 37S 9 37g 5 37S 7 571 Parnac 5 39 1 7 6 7 6 50i 1 45° Soturac Tonzac. 7 50 9 49 5 53 8 10 Luiecb « • • 5 47 1 20 6 16 Monsemproo-Liôos. — Départ. 7b 18? 3h 3g 7h34S Mcnsempron-Likos. — Armée. 8 36= 5 16 Duravel ... 8 2 9 57 6 7 8 19 Castelfranc 6 3 1 43 6 37 P4RIGOEOX.. — Arrivée. 10 58a 5 462 11 6" Pay-l'Bvêqne * • • 8 11 10 6 6 20 8 28 p y-l'Evèque 6 17 2 » 6 49 BORDEAUX. — . 3 28s 10 18 a Cas'elfranc. 1 • • ♦ • 8 30 10 20 6 27 2 14 fi 58 RODE? — . 2 6 43 8 46 Duravel < • •> 9 34 i Luzech. 8 44 10 32 7 2 9 » SotnracTonzac... 6 37 2 27 7 7 AURILLAC — . 9 42 Départ. 5h50i 2h ÔMOs Parnac. i 2 44 7 19 s 8 55 10 41 7 18 9 11 7 1 VIERZON — . 7 18 12 42i 7 53B Mcnsempron-Libos. - s Fumel .- • • — Arrivée. 7 15 g 7 31 Mercuès -— « 9 7 10 52 7 35 9 23 Jonsempron-Llbo».—Armée. -/ 3 2 51 7 26 PARIS — Arrivée. 12 39 - 3 4 a > 391 r Cahors.... — Arrivée. 9 25 11 8 7 54 9 41

ce département lo vote des lois constitutionnelles Cahors, le 19 Août 1875 Chambres. Tout citoyen qui se déclare parti- » Louis XVI, et nous regarderons, les ruines « Lorsque la solution apparaît, a-t-il dit, lorsque, san de l'Appel au peuple est donc l'adversaire » des Tuileries, reconstruisant dans notre » après une laborieuse préparation, une Constitution I w% de la loi; s'il est en même temps fonctionnaire » pensée attendrie cette fenêtre d'où I'empe- » définitive est volée, la presque unanimité de nos public, comme les maires, s'il est nommé par » reur assistait à la joie populaire... (Quel D'après les premières nouvelles de la session » commettans s'y attache. Fatigués de discussions le gouvernement, comme les maires actuels » souvent stériles, agriculteurs, commerçants, ou- » étonnant mélange de souvenirs et de senti- des Conseils généraux dans toute la France, le il est doublement et triplement coupable, et, » ments ! Nous irons à l'église... » Où n'iront- » vriers, industriels demandent à conserver l'état de il doit être frappé. caractère.de la nomination des bureaux n'a pas » choses établi et ne prêtent ni oreille, ni appui à » ils pas? Voilà notre façon, s'écrie le Pays La loi des maires, que nous n'avons pas à e très grande signification. Presque partout, » ceux qui persistent à attaquer les lois de leur » de célébrer nos anniversaires ! » UD apprécier ici, et qui n'a peut-être pas tous les Si les bonapartistes n'avaient que cette façon les choix ont porté sor les mêmes hommes que » pays par les intrigues, les factions et les émeu- » tes. • M. Dauphin a fait ensuite remarquer à ses caractères d'une institution durable et per- de célébrer leurs anniversaires, nous n'aurions l'an dernier. On ne cite que sept Conseils géné- collègues combien l'institution d'un gouvernement manente, donne à ces magistrats municipaux garde de nous plaindre; nous les laisserions raux qui aient fait exception a cette règle, ce régulier et défini rendait l'administration plus facile, l'investiture gouvernementale, et rend par poursuivre en paix leur excursion à travers conséquent le ministère responsable des écarts sont : les conseils do Puy-de-Dôme, où M. et il les a invités à profiter de ce nouvel avantage les lieux qui leur rappellent tant de bonheurs pour s'occuper plus activement que jamais des. inté- qu'il tolère et des rébellions qu'il ne châtie disparus. Mais le programme du Pays ne con- Bardoux a été élu en place de M. Ledru ; de rêts de leur département. pas. Le ministère est d'autaut plus obligé de tient pas seulement des élévations à Dieu et Lot-et-Garonne, où M Lacoste remplace M. de sévir, lo cas échéant, qu'il n'a pas seulement des méditations sur les mystères qui expli- ,nhn'i9ï é -gfiofl-guoll u enoznailD Bastard : de la Haute-Marne, où M. Gennuit le droit de révoquer les maires ; il les a choisis; quent la chute des empires. D'abord, ce pro- ils sont à la fois ses agents et ses créatures ; est remplacé par le général Boissonnet ; de gramme est adressé à S. A. Mgr le prince Revue des Journaux leurs fautes le compromettent directement. impérial, ce qui pourrait passer pour une M. Meurthe-et-Moselle, où Mézières cède le : Aussi n'est-ce pas une suspension de deux formule plus que polie; en outre, il contient elh6H6V luol sb eiqmoa e! lool fauteuil à M. llollin ; du Rhône, où M. Durand mois qui doit atteindre les hommes qui se des projets et des menaces assez extraordinai- ttfiBisei ucaïud i>-ra-s9/no51 mettent dans le cas du maire d'Echallat : res de la part de gens qui prétendent a laisser est remplacé par M. Terver ; delà Haute-Saône, L'Echo .aifcfloqèi et -jooq èSYSAai xuaa ieiigiol c'est la révocation pure et simple. » â d'autres le soin de troubler l'Etat, quand où M. Willemot remplace M. Aloiset ; enfin des Nous l'avons déjà dit, et nous le répétons, La Liberté revieDt sur la question des » certaines dates de l'histoire viennent ré- Vosges où M. Grandjean a été élu en remplace- nous ne demandons pas de destitutions en maires bonapartistes, et se donne beaucoup » sonner comme un écho sonore. » masse, par la raison bien simple que les maires meot de M. Claude. Il serait difficile de dire de mal pour démontrer que le principe de Est-ce pour se montrer de scrupuleuxùb? resteront presque tous dans la limite de leurs quel est le parti qui a gagné ou perdu le plus a l'Appel au peuple n'est pas contraire aux ins- servateurs des lois que les rédacteurs du titutions du pays. Toute l'argumentation de droits et de leurs devoirs, quand celte limite Pays nous annoncent l'époque « où la Cons- ces petites modifications. ' sera tracée d'une main ferme par le pouvoir. cotre contradicteur cons'ste à soutenir que le » titulion sera peut-être foulée aux pieds; où D'ailleurs, nous respectons les sentiments in- Dans la grande majorité des conseils, nou9 suffrage universel étant la base de ces insti- » la loi deviendra, entre les mains des radi- times, les affections et les regrets des hommes trouvons que les présidents nommés appartiens- tutions, et l'Appel au peuple étant une appli- » eaux, non plus le glaive qui protège, mais qui ont servi I Empire, ou qui ont cru avoir h cation du suffrage universel, il doit être permis » le poignard qui assassine?» Voilà de singu- nent, par leurs opinions connues comme par s'en louer, ou qui le regardent comme un de réclamer l'Appel au peuple. C'est, comme lières.prédiçtions pour des pèlerins fervents et leurs antécédents, k la politique conservatrice. excellent gouvernement. Que les maires pen- on voit, fort simple, et le polémiste de la tout absorbés par leur prétendues prières! Àu- sent ce qu'il leur plaît, c'est leur affaire; les M. Decazes a été nommé président du conseil Liberté, qui paraît un peu neuf, ne s'est pas rions-nous affaire à ces héros de mélodrammes préfets ont seulement à se demander si cer- général de la et M. Dufaurè, président mis en frais d'imagination. qui passent si rapidement du chapelet à l'es— tains bonapartistes ne laissent pas trop deviner « Inviter le gouvernement à montrer de la copette? Le Pays ne veut pas nous laisser de du conseil de la . Le conseil'général de leurs préférences secrètes. Mais quant aux fermeté contre les maires qui témoignent de doute à ce sujet, a Nous comptons sur vous, l'Aube a maintenu la présidence a M. Roy ; le témoignages de fidélité plébiscitaire, comme leur fidélité au principe de l'Appel au peuple, » Monseigneur, écrit-il au prince impérial, l'incartade du maire d'Echallat, il faut une conseil de l'Aveyron, à M. de Booald ; le conseil dit notre contradicteur, c'est bien nettement » et nous qni vous connaissons, qui.savons ce répression nette, claire, rigoureuse. Toute de ÏÀrâèche, à M. de Bernardi; le conseil du l'inviter à procéder à des destitutions en » que votre cœur renferme d'énergie virile, tolérance à l'égard d'une faute publique dé- masse. » Nous ne savons si l'on veut déci- » nous sommes tranquille; car vous n'imiterez Cantal, a M. de Parieu ; le conseil de la Corrèze, vient de la complicité, et les gouvernements dément nous faire passer pour féroces, mais » pas ces prétendants platoniques assis mé- sont responsables de tout scandale donné im- à M. Brunei ; le conseil du Gard, à M. de Cha- nous déclarons sans détour que nous croyons » jancoliquement sons l'orme, et qui ne su- baud La Tour ; le conseil de 1 Indre, à M. Clé- punément parleurs agents révocables. » rent rien tenter pour sauver la patrie, en effet que le gouvernement doit destituer s3 sans hésitation tout maire qui témoignera » attendant dans leur fanatisme stupide que Dent; le conseil du Morbihan a maintenu la Journal des Débats. publiquement de sa fidélité au principe de B la montagne allât vers eux, Vous, Monsei- présidence à M. de la Monoeraye, et la vice- » goeur, vous saurez aller à la montagne l'Appel au peuple, parce que tout maire qui Les bonapartistes ont célébré la fête du 15 prèsideuce à M. de Kerdrel; le conseil de la B et nous vous y suivrons ! Et ce qui fait donne ce témoignage est un factieux. août. Hélas! le temps n'est plus où « sur nos B votre force et votre grandeur, c'est que, a maintenu la présidence au marquis de Le plébiscite est contraire a nos institu- » places publiques ornées de guirlandes et tions, parce qu'il est en dehors d'elles; il est » tout en n'attendant la puissauce souveraine Talhouët ; le conseil de Seine-et-Marne, à M. D sur nos rues illuminées de feux éclatants » bien clair que ce qui n'est pas mentionné par il leur était permis d'étaler à leur aise un en- » que du libre consentement populaire, vous de Grelïalhe; le conseil de Maine-et-Loire, à - M. » êtes de ceux que de vains et coupabks la loi fondamentale est par elle absolument thousiasme facile et bien nourri. Aujourd'hui ue Durforl de Civrac, le conseil de la Seine- exclu. tout est sombre, les quais, les ponts, les » scrupules n'arrêteront pas lorsque, le règne leférieure, à M. Ancel; le conseil du Finistère, Reprocher à la Constitution de n'avoir pas les boulevards. Au lieu des démonstrations B de la loi venant à s'interrompre, la France B courra le danger de devenir la proie des â M. de Carné, etc., etc. été soumise à une sanction plébiscitaire, c'est tapageuses d'autrefois, il faut se contenter de » assassins et des incendiaires. » L'appel au contester le pouvoir souverain de l'Assemblée, promenades silencieuses et obscures ; « la J $anâ l'Oise, M. le duc d'Aumale a été réélu coup d'Etat est-il assez direct? Le bout de D c'est être factieux. '' j ^' » fêle est troublée par un deuil »; le 15 août Président. M. Eugène Levavasseur, directeur de ; c hallebarde se montre-t-il assez sous la robe de Demander l'Appel au peuple actuellement, « réveille des émotions poignantes » ; les bure? Est-il possible d'être à la fois plus dissi- Enregistrement et des domaines, l'un des hom- c'est outrager la Constitution, qui ne peut derniers fidèles sont réduits à traîner, d'églises être sujette à révision, jusqu'en 1880, que sur mulé et plus sincère? a Monseigneur, tenez- ^s les plus considérables du parti cohservàteur en églises, des souvenirs èt des espérances là seule initiative du président de la Répu- qu'ils n'ont plus le dioil de produire au grand » vous prêt! ajoute le Pays... Votre fa- ^t libéral dans le département, â été nommé b îque, cest être factieux. » mille a toujours eu la bonne fortune de vl Y jour, comme le chantre de Boileau, ils ne peu- ee présideut^ ^ Demander que la révision s'opère en 1880 vent plus être vus que de Dieu ! « Tout se » ramasser la couronne dans la boue où » elle était tombée. • Ce dernier mot est ie par voie d'Appel au peuple, c'est également » passe, s'écrie le Pays; entre notre âme et °u lit dans le Journal des Débats : outrager la Constitution, qui fixe la procédure Dieu !» Dos prières ! des pèlerinages ! tristes pavé de l'ours venant après bien des rodo- de la révision, et qui confie formellement montades. ressources pour un parti habitué à des céré- e « Le seul discours ayant uu caractère poliliijuo cette tâche matérielle à un Congrès des deux monies plus réalistes. L'odyssée des rédacteurs ahp a de la peine à soutenir le ton 'i"1 nous soit parvenu au moment où nous écrivons Chambres; c'est être factieux. du Pays ressemble presque à un enterrement. guindé qu'il s'est imposé , la vérité et lo na- ^ celui de M. Dauphin, président du Conseil géné- turel, un instant chassés, reviennent augilop. al L'Appel au peuple est donc un procédé que « Nous irons, disent-ils, visiter les endroits ^ la Somme. Après avoir remarqué que la la loi ne reconnaît pas, et qu'elle proscrit en » ofo naguère éclataient les transports d'un « Nos vœux,^ dit-il en terminant au prince domine est essentiellement conservatrice, àl. Dau- » impérial, s'énvolent vers votre jeunesse ra- h déclarant que le gouvernement se compose » peuple heureux et enthousiaste.... Nous P m a insisté sur l'excellent effet qu'a produit dans d'un président de la République et de deux » irons sur celte olace où tomba la tête de B dieuse, comme un essain d'oiseaux s'envole vers le printemps. » Il est bon que la France JOURNAL DU LOT

« , . .... Samedi dernier est arrivé à Paris El-Hadj- « Avant de cerner Trébigne, dit U Poliu^ h sache de qui se compose cet essaio d oiseaux quitte pour douze mois de prison. Il est Mahommed-el-Ouardani, conseiller privé de et vers quel printemps il vole à tire-d'aile. vrai qu'il faut compter comme surcroît de » Correspondenz, feuille officieuse de Vien peine la perte de sa position et de son honneur. l'empereur du Maroc. Ce personnage vient » les insurgés ont eu plusieurs combats H Français. Nousne dirons pas qu'aucun Prançiis ayant visiter la France et la Belgique, et étudier » les environs avec la faible garnison de cet? 6 reçu une bonne éducation et occupant une la création à Paris d'une école marocaine. » ville. Puisqu'ils sont parvenus à la cern On a dit loogtemps que la littérature de » on peut conclure de là qu'elle a été \'\ J' position élevée ne serait capable de com- S chaque peuple était le tableau fidèle de ses 6 mettre un acte semblable à celui du colonel » des escarmouches qui ont précédé cette on' mœurs, et qu'une nation pouvait aisément Baker; mais, en réalité, il faut remonter à » ration. » Le siège de Trébigne est donc t être connue et jugée d'après les œuvres de ses Le Parlement anglais a clos sa session. Le 0 près d'un demi-siècle dans nos annales ju- premier indice des progrès de l'iosurractiop romanciers et de ses auteurs dramatiques. Si discours de la reine prononcé à celte occasion diciaires pour retrouver un fait offrant quel- D'autre part, s'il faut en croire une correspon le cbab de Perse ou le sultan de Zanzibar renferme cette parole rassuante: « Je vois de- que analogie avec celui qui vient de soule- dance de l'agence Havas, les révoltés, q{,> " avaient voulu juger d'après ce critérium la vant moi, a dit la reine, avec espoir et 00 ver un tel seaodale en Angleterre. Si les *'] croyait désarmés, seraient au contraire abon France et d'Angleterre, ils auraient eu une » confiance, la perspective du maintien inin- mères françaises veulent conclure de ce pro- damment pourvus d'armes et de munitions juriste idée de nos mœurs, une haute opinion de » terrompu de la pa>x européenne. » cès qu'elles ont raison de ne pas laisser, qui ne permet plus de douter que leur mou'v/ de celles de nos voisins. Chez nous, depuis comme le font les mères anglaises, leurs ment ne fût préparé de longue maio. Aj„ - près d'un quart de siècle, le théâtre nous s filles sortir et voyager seules, ce n'«st pas s'expliqueraient les premiers succès de e| présente, sans paix ni trêve, des courtisanes C nous qui leur donnerons toit ; mais, pour On télégraphie de Berlin : bandes, doot les renseignements officiels Q , dévorant la fortune de leurs dupes, des épou- OU notre part, nous nous contenterons de con- faisaient un si triste tableau. C'est Mostar ses coupables qui trahissent, déshonorent et Le Moniteur officiel de l'empire répondant a clure qu'il y aurait quelque injustice a croire ville de l'Herzégovine, et non Monastir qui ' ruinent leurs maris, des fils naturels, des plusieurs journaux qui ont, à diverses reprises, est les Français aussi dépravés ou les Anglais paraît-il, tombé en leur pouvoir. La Presse dê enfants adultérins qui font à leur père des prétendu que le gouvernement belge, à la suite aussi vertueux qu'on pourrait être porté à Vienne affirme même que ce n'est ni Mostar cours de morale. Le roman est allé beau- d'avis officiels ou officieux du gouvernement de le supposer après avoir lu les livres qui se ni Monastir, mais une petite localité nommée coup plus loin encore : il est surtout des- l'empire, avait dû donner aux religieux et religi- publient à Paris et à Londres. Douzi-Monastir, que ses fortifications n'ont pa cendu beaucoup plus bas, il est tombé jusqu'à euses chassés de Prusse l'ordre de s'éloigner de s Si les Anglais voulaient bien imiter dans préservée contre un assaut sanglant. Quoiqu'il décrire complaisamment les passions les plus la frontière allemande, se déclare autorisé à affir- leur vie pratique les vertus des héros de en soit, l'étoile des insurgés ne décline p monstrueuses. Est-il permis d'aller plus avant mer qu'aucune invitation ou avis de ce genre n'a as leurs romaus, et si nos romanciers consen- été ni directement ni indirectement adressé au cabinet aussi vile que l'espérait Dervisch-Pacha ; et | dans la peioture des vices et de découvrir a taient à donner un peu plus libéralement à de Bruxelles de la part du gouvernement allemand. foudre de la colère du sultan, « prête â tomber des lèpres de l'âme humaine que nos écrivains leurs personnages imaginaires les qualités des » sur tous ceux qui oseraient faire la moiodre à la mode aient oubliées dans leurs études . . JAJ- Français du monde réel, tout irait mieux I » résistance », n'a jusqu'ici écrasé que n réalistes ? Il est permis d'en douter. itUes ? leS* n \ -ftt-r- j". - '.V. ar des deux côtés de la . métaphore la révolte de l'Herzégovine. Voyez, au contraire, le roman anglais,— On annonce uu pélérinage de catholiques nous ne parlons pas du théâtre, et pour cause. allemands à Lourdes. Le comte Fianz de (Journal des Débats.) — Quelles charmantes galeries de têtes de Stolberg publie dans la Germania le pro- Keepsake ! Quelles figures de jeunes filles visoire de ce pèlerinage. Les péleiios se ré- aogéliques, d'épouses chastes comme des ma- Informations uniront à Paris le 7 septembre, et consacre- : iol fil àb trones romaines. Il faut des loups dans la moilanol ront une plaque votive dans l'église de Notie- Chronique locale bergerie, il faut des vices dans un roman : Dame-des-Victuires ; puis départ pour Lou- L'application de la loi snr l'organisation du (1018892 £l ôb 89 29! S91 aussi tous les personnages ne sont-ils pas des ; enfin, arrivée dans cette ville le 9 et méridionale. service religieux dans l'armée de terre vient parfaits ; mais leurs défauts sont ceux qu'on sep em re. o! ^anail el de faire l'objet de nouvelles instructions adres- peut nommer sans embarras devant la jeune r ( asq s'a Z0£9iD ne hier à là fin de la séance. Les membres qui en mée, divisions et brigades. Le Journal des Avis « novels » d outre- Manche convoitent parfois font partie sont: MM. Bessières, Burgalières, Débals donne l'analyse de ces instructions. De vous annoncer, j'ai l'honneur, l'âne ou le bœuf de leur prochain, ils ne se Cambres, Duphénieux, Demeaux, baron Dufour L'article 5 de la loi du 20 mai 1874 dispose Qu!excellent versificateur, permettent jamais de convoiter sa femme. de Gozon, Lafon de Caïx, Mayzen, Roques, que, « les dimanches et fêtes conservées par Je brode en vers les plus doux thèmes, Quand deux jeunes gens s'aiment, c'est pour Theilhard, de Verninac, Vayssié. le Concordat, un office spécial est fait par les Sur noces, enterrements, baptêmes, le bon motif. La flirlation est admise à la ab .M easlqmei ai&oocd M éo ,9nnoi£0-J9-(cJ aumôniers titulaires ou auxiliaires pour les Chansons à flons-flons, à refrain, rigneur dans les œuvresdes romanciers anglais, iiuaasO .M ùo ^nuk-smli r.! oh :tnfl troupes de la garnison ; que, ces jours-là, le Epîtres galantes, enfin l'adultère en est rigoureusement exclu ; et travail est supprimé dans les ateliers et éta- Lettres d'amour à rimes riches, Nous apprenons avec plaisir que le Conseil si Dickens a osé mettre en scène une ou blissements militaires, conformément à la loi Bouls-rimés, odes, acrostiches, général, dans sa séance du 17 août, a voté une deux épouses coupables, il a eu soin de leur Pour le compte de tout venant, existante ; qu'enfin, dans les quartiers, caser- somme de 200 fr. pour encourager les travaui infliger au dénouement les plus effroyables Ecrivez-moi bureau restant, nes, camps et forts, les heures du service mi- de la Société des Etudes du Lot, châtiments, Voyez un peu d'après cela quelle A Paris, pour MONSIEUR ALPHONSE ! litaire sont réglées de manière que les militai- On sait que cette Société, dont l'utilité s'affir- idée notre dernier hôte oriental, le sultan Joignez DEUX FRANCS pour la réponse. res de tout grade aient la faculté de remplir me de plus en plus, reçoit déjà du ministère de Zanzibar, se serait faite de nos voisins librement leurs devoirs religieux. » une allocation annuelle de 300 fr. s'il s'était donné la peine de lire, avant de Afin d'assurer plus strictement eocore l'ap- qtuv!K)69d eonob e& 19 taol8i)r6qr;nod 8oit«m quitter ses Etats, les œuvres les plus célèbres Si) «"""""'j «■> ^-fnK'.hU ïtmq {cm 9b 8110 OÙ ôlbullu JfJE .ebufilO .V. eh JU3UI plication de ces diverses dispositions, le publiées depuis trente ou quarante ans des ministre de la guerre vient de décider que -soi XUB àiiciJaoD &sq !«s'o 9/q«9q os leqqÀ'l il 8Ut n-à hua deux côtés de la Manche, l'inspection que les chefs de corps sont tenus, 8b a Espagne et Turquie^ eooiJulil Les examens pour le baccalauréat ont com- Par malheur pour nos voisins et par mal- mencé mardi dernier. aux termes de l'ordonnance sur le service in- Les alphonsistes continuent à assiéger La heur pour nous, à côté des œuvres d'imagi- Le jury des sciences se compose de MM, térieur des corps de troupe, de passer chaque Seu-d'Urgel, et les Turcs poursuivent toujours nation il y a les témoignages de la réalité. Molins, Daguin el Joly. dimanche, ainsi que les revues ou parades les insurgés de l'Herzégovine, Les nouvelles A côté des romans et des comédies, où Le jury des lettres se compose de MM. d Hu- que les généraux sont autorisés à prescrire de qui nous arrivent de Madrid et de Riguse ont s'agitent des êtres de fantaisie, il y a les tri- gues, Compayré et Duméril. temps à autre le même jour, en vertu d'ins- cela de commun, qu'elles nous annoncent de bunaux, devant lesquels les personnages ', Les examens pour le baccalauréat ès-sciences tructions ministérielles en date du 22 avril grands préparatifs militaires et une victoire réels viennent débattre leurs intérêts et sont terminés. 1873, afin de permettre à tous d'apprécier la prochaine, sans que ces prédictions optimistes répondre de leurs mauvaises actions. Or il 23 candidats ont pris part aux épreuves écri- bonne tenue et l'instruction des troupes, et de se soient encore réalisées. Tout le matériel de est difficile de ne pas remarquer que les causes tes; 12 ont été admissibles aux épreuves ora- rehausser ainsi le prestige de l'armée vis-à-vis guerre est arrivé à la Seu-d'Urgel et le général célèbres de nos voisins ressemblent singuliè- les ; 7 ont été reçus dêfinilivement. des populations, seraient désormais réglées, Martioez Campos va commencer l'attaque gé- rement aux nôtres, et que chez ce peuple Le lycée de Cahors présentait 4 candidats. quant aux heures, de façon que les officiers et nérale, nous disent les dépêches espagnoles; si moral, d'après le témoignage de ses écri- Tous ont été admissibles, mais deux ont les hommes de toutes armes eussent toujours, et elles ajoutent aussitôt : La Gacélli publiera vains, le nombre des mauvais ménages, des aux;épreuves orales. dans la matinée du dimanche, au moins deux jeudi un décret relatif à la conscription. ■— Les 'maris volages et des épouses coupables ne Les deux qui ont réussi sont les heures à leur disposition pour pouvoir accom- troupes turques ont remporté de nombreux 4 semble pas être au-dessous de ce qa il est plir les devoirs de religion qui leur sont impo- succès sur l'insurrection, disent de leur côté bier avec la mention assez-bien, et Mestre. chez les compatriotes d'Alexandre Dumas fils, sés par leur culte respectif. les dépêches de la Sublime-Porte mais elles d'Augier, de Sardou et de Flaubert. 3n^ « -ÔID .M é 9ibfli I sb-rbîtroù oi ; iuo Ce résultat pourra d'ailleurs, dans la pensée n'ont pas encore mis fin à la révolte; en con- t Il faudrait même remonter bien haut dans du ministre, être facilement obtenu partout et séquence, le gouvernement s'est décidé à pren- nos annales judiciaires pour trouver un fait M. l'abbé Bercégol, le sympathique dans toutes les armes, sans que la tenue ou le dre des mesures énergiques : il a télégraphié analogue à celui qui vient de se passer chez la paroisse St-Barlhélémy, vient d'être service aient à en souffrir, en laissant aux hom- au gouverneur de Bosnie pour lui donner l'or- nos voisins. Un homme du monde, un mi- aumônier de la garnison. mes l'après-midi de la journée Ju samedi pour dre d'envoyer immédiatement en Herzégovine litaire distingué par l'éclat de ses services, 3V ëlUplJjfn Oii &v>LR ) fii nnalnicffl se livrer aux divers travaux de la caserne et toutes les troupes disponibles; il a dé plus un ami personnel du prince de Galles, le aux soins de propreté personnelle. expédié deux bataillons de Constantinople et .M è ,QnuM-J9-&ai ib Hôëao3 e! ;J colonel Baker, se trouve en chemin de fer Eu outre, les jours de fêtes légales, c'est-à- invité le gouverneur de la Crète à en diriger On nous écrit de Libos : avec une jeune fille du monde, la sœur d'un dire l'Assomption, la Toussaint, la Noël, trois sur le théâtre de la guerre. Singuliers dé ses camarades de l'armée. Cette jeuoe fille -9ûh Monsieur le Rédacteur, l'Ascension et la Pentecôte, il ne devra jamais triomphes qui provoquent de nouvelles levées a été conduite à la gare par sa famille. Elle Je vous serais obligé de vouloir bien publier être passé de revue, et, sauf ce qui est néces- d'hommes, de nouveaux armements! Vérité va retrouver quelques milles plus loin sa sœur saire pour le service normal, les hommes de- en deçà des Pyrénées, mensonge au-delà! la note suivante : et son beau-frère ; elle est montée seule dans vront avoir la libre disposition de h journée s'écriait Pascal. Nous sommes en progrès, Le départ du train de pèlerinage de Cahors a le wagon ; cela n'a rien d'extraordinaire en eUt entière pour remplir, selon que leur conscience puisque la vérité officielle est la même dans Lourdes est el reste fixé au 31 août. On P Angleterre, où les jeunes filles ont plus de encore se procurer des billets jusqu'au 23 août, le leur indiquera, leurs devoirs religieux. tous les pays que baignent la Méditerranée et liberté que les femmes mariées. Cet officier, fl Le Journal des- Débats ajoute en terminant inclusivement, en s'adrossant à M. le curé d en tête à tête avec cette enfant que tout re- l'Adriatique ! que « cette manière de procéder n'est pas nou- Au reste, il est toujours impossible de don- Libos, (Lot-et-Garonne). commande à son respect, à ses égards, à sa velle, puisque, en fait, elle a été constamment ner des détails précis sur les deux insurrec- Agréez, etc. protection, cause d'abord avec elle comme il suivie dans tous les corps bien commandés. » tions qui troublent en ce moment l'Europe. CAYLA, prêtre. l'eût fait dans le salon de sa mère; puis la con- En tous cas, elle ne peut être que favorable- L'Espagne poursuit lentement sa campagne versation prend un ton plus tendre, plus fa- ment accueillie ; il importe, en effet, autant an contre les carlistes, et la Turquie se débat au milier; bientôt la pauvre enfant éperdue, se point de vue religieux que pour la santé des milieu des difficultés que la plus petite révolte . a avisa Mi>i totmoVe! tatb voyant en butte à la plus criminelle des tenta- hommes, qu'ils aient, si cela est possible, par fait naître chez une nation profondément ébran- On nous écrit de Castelfranc : ,j tive,?, s'échappe du wigon tandis que le train 1 semaine un jour de repos. lée. Il n'est pas probable que les insurgés se Malgré la chaleur tropicale qu'il faisait I" "? continue sa marche rapide; elle ne sauve son fl ja9maii0){i9 no è supa9iq eldmûsgoi 'i^Ji^ wb soient déjà emparés de Trébigné, mais ils 16, il y avait beaucoup de monde à la f°'f A honneur qtf-an péril de ses jours. Le colonel sjioibfio asl wJieiv'TtitrTTîaa;! .?.aoi

Malgré la foire de Villefranche, il nous est s'est dévoué à ce pénible labeur, et il sait que ce saire de police du 7e arrondissement pour tâ- moins peuvent répondre sur les matières qui y beaucoup de marchands étalagistes. L'on a Maître des maîtres est fidèle et ne manque pas à ce- cher de découvrir s'il y a crime ou suicide. sont enseignées. Vcilà l'obligation, sinon légale, VVé en abondance jardinage, fruits, gâteaux, lui qui veut recourir à son aide : aussi quelle éner- du moins de fait. Le département des Vosges lOf tool Pïilles lapins et œufs ; tout a été vendu. Je gie nouvelle il puise dans cette assurance d'un si occupe toujours une des premières places dans puissant secours !..'. la statistique de l'enseignement primaire. Voici Vsite'pas à avancer que si la foire était fixée Le 28 décembre dernier, le nommé Glaize, ° t la fête du 15, le 10 par exemple, comme Mais chose étrange ! vrai mystère ! il se rencon- pourquoi. Aucun curé du diocèse, et l'évêque de Q gardien à la maison d'arrêt de Carpenlras, vint tre des hommes pleins de haine pour le Frère ; ces Saint-Dié les en a félicités dans une lettre pas- ^autres, il se ferait au moins quatre fois plus déclarer au maréchal des logis de gendarmerie Il serait urgent que les autorités de hommes seraient heureux de le voir disparaître — torale, n'admet à la première communion les d'affaires Pourquoi î ce Frère n'est-il pas du peuple, n'est-il qu'il avait été arrêté la veille, à neuf heures du stelfranc prissent leurs mesures pour qu il en enfants qui ne fréquentent pas l'école. Que ce- O pas pour le peuple ? mais tout est peuple en lui, soir, sur la route de Mazan, par deux individus i avenir. concours intelligent, que celte union du clergé fat ainsi a mais sa vie est toute entière pour le peuple, pour- qui lui avaient dérobé sa montre avec la chaîne, H. BlANiÉ. et des instituteurs se montre partout empressée, quoi donc cette haine — parce que le Frère ne peut et une somme de 4 fr. 50. Le bruit de cette et l'obligation existera. être qu'à la condition de mettre Dieu en tôle de sort arrestation se répandit bientôt dans la ville et les Le ministère de M. Duroy, l'enseignement pro- œuvre, et de donner la religion pour base à son environs, et causa une certaine émotion bien Nous avons le plaisir, d'annoncer au public, fessionnel, l'analyse des ouvrages de M. Rapet, enseignement. justifiée par les circonstances de l'arrestation et l'âooarition d'un ouvrage important p.w le l'exposé des principales méthodes, l'éducation J'en suis certain et la multitude qui se presse au- la qualité de celui qui en avait été la victime. vs ji, le docteur J-B. Yidaillet de Gourdon, des filles occupent les chapitres 4, 5 et 6. tour de nous m'en est un sûr garant, cette erreur Cette dernière considération fit naître dans Vcien receveur des finances, commandeur de Enfin, dans une remarquable conclusion, n'est pas partagée par l'intelligente et religieuse po- l'esprit du maréchal des logis des doutes sur la Si-Gréguire-le-Grand, membre correspondant M. André montre que la civilisation progresse pulation de Gramat. véracité de la déclaration du sieur Glaize, qui el lauréat de la Société des Etudes du Lot, vient en même temps que l'éducation. Il jette ensuite Habitants de Gramat, vous comprenez qu'une fut, depuis ce jour, l'objet d'une surveillance de faire imprimer la seconde édition de son un rapide coup d'œil sur les trois ordres d'en- société sans Dieu est aussi facile à concevoir qu'un restée longtemps sans résultats. Enfin, ce der- ouvrage : Biographie des hommes célèbres seignement et termine en demandant qu'en édifice sans fondements; vous sentez que la re- nier ayant été nommé gardien à la maison du département du Lot. France de même que chez les nations voisines, ligion est le ciment nécessaire de l'édifice social d'arrêt d'Aix, le maréchal des logis Steen écrivit L'auteur, jeune encore, publia en 1827 une el sans être académiciens comme lui vous comprenez la pédagogique ait, comme les autres sciences, à son collègue de cette ville, qui constata bien- première édition de cet ouvrage, que l'on trouve aussi bien que le sage auteur des Césars qu' « élec- ses chaires, ses examens et ses docteurs. tôt que Glaize portait à Aix la montre et la dans toutes les bibliothèques bien montées du tion ou hérédité, souveraineté du peuple ou sou- Le livre de M. André comble une regrettable chaîne qui lui avaient été volées à Carpenlras. Il Quercy; mais qui est complètement épuisée veraineté du prince, peu importe, nulle institu- lacune. L'intérêt avec lequel on le lit prouve que dans le commerce, il y a longtemps déjà. tion n'est durable et sérieuse que là où règne le était donc évident que la déclaration faite le 28 les questions pédagogiques, quand elles sont bien Actuellement, l'auteur, malgré son âge avancé, respect du droit, et le respect du droit n'est pas décembre était fausse. exposées et bien traitées, sont loin de manquer a ea le courage d'entreprendre la seconde édi- autre chose que le respect de Dieu. » Traduit, pour ce fait, devant le tribunal cor- d'attrait ; et en attendant que son vœu de voir ij rectionnel de noire ville, le sieur Glaize a été ûD) fortement augmentée par l'addition des no- Et voilà pourquoi l'enseignement des Frères est entrer cette science dans l'enseignement officiel lices sur les personnages marquants du pays surtout approprié aux besoins de notre époque. condamné mercredi dernier à six jours de pri- se réalise, nous conseillons à tous les maîtres de morts depuis 1827. C'est un beau volume in-8° Le Frère, homme du peuple par son origine, hom- son. Avis aux farceurs ! .arnSrn-iul icq Imeq ,naiJil un limno'l ". ^'o'.iM'jino la jeunesse de lire et d'étudier ces trois volumes, me de Dieu par sa vocation, le frère connaît le de 572 pages, qui sera bientôt en vente chez étro ?.b!<|.,'b .^riuveig g; julbhuotl ub nohiqxio'J ■ fruit de laborieuses et sagaces recherches. C'est tous les libraires de Cahors. peuple, aime le peuple dont il sort et pour Dieu un ouvrage que nous voudrions voir dans toutes qui l'appelle et lui suffit, se dévoue sans réserve les bibliothèques scolaires, parce que nous som- pour'ce peuple qu'il aime. Homme de Dieu, hom- La cour de Cassation vient de rendre un QT\F 1 3^* 93UG0 mes convaincus qu'il rendrait d'utiles services à DISTRIBUTION DES PRIX me du peuple le Frère apprend à ce peuple à arrêt dont feront bien de prendre connaissance tous ceux qui s'occupent des questions d'éduca- A l'Ecole des Frères de Gramat. jK aimer ce Dieu qui lui donne des maîtres dans tous ceux qui sont assurés contre l'incendie. lesquels se reflète sa bonté, et qui sont un per- Cet arrêt décide que lorsqu'il a été stipulé tion. L'auteur y a condensé la matière d'innom- Lundi 16 août, a eu lieu à Gramat sous la pétuel et vivant témoignage des sollicitudes de sa dans une police d'assurances que, « "a défaut de brables volumes, les résultats de longues et mi- présidence de M. Blaviel vicaire général, la providence pour les petits et les faibles. En en- paiement de la prime dans un certain délai, nutieuses lectures, tout en donnant à ce sujet distribution des prix, à l'école des Frères fon- seignant la religion au peuple, et la lui faisant sans qu'il soit besoin d'aucune demande ni mise abstrait une forme attrayante. Il a su, comme le aimer, il prépare à ce peuple les seules garanties en demeure, l'effet de l'assurance est suspendu do recommande le poêle, mêler le grave au doux, dée par M. Mercier. solides de paix et de liberté. plein droit et l'assuré n'a droit en cas d'incendie, et nous instruire en nous récréant. Après quelques petites pièces jouées avec Encore une fois que serait une société sans re- à aucune indemnité » cette clause est licite, et les beancoup d'entrain par les élèves de l'établis- ligion? un philosophe trop vanté il n'y a pas en- juges ne peuvent se refuser à l'appliquer. core si longtemps, en donnait celte idée : — il doit sement, M. le président a prononcé le discours En conséquence, doit être cassé, pour viola- en être des hommes comme des poissons, chez A 1C tion de l'article 1,134 du code civil, le juge- Bourse de Paris. lesquels les petits sont mangés par les gros. m .£ ,H3TJiq .i ment qui exonère l'assuré de la déchéance, sous Mes Chers Enfants, Laissez, laissez, chers Frères, laissez ces pauvres prétexte que la clause était imprimée, et que aveugles, insulter votre robe non moins illustre par Je remercie le digne Curé de cette ville, je re- l'assuré n'a pas été mis en demeure de payer la la poussière de nos écoles que par le sang dont mercie vos excellents maîtres de m'avoir appelé au prime. Paris, 49 août 1875. nous la vîmes empourprée naguère sur les champs milieu de vous. Je suis heureux de pouvoir, après oruoi Je. 9iT9v no i de bataille, et continuez de passer en faisant le Pour la chronique locale, A. Laytou. si tant d'autres, offrir un témoignage de reconnaissance ; Rente 3 p. •/. .-. 66,00 à l'homme généreux qui a su, si bien] choisir, en- bleu. Êflùlaz ;9| ohwfcinsh nO , Gramat, et précisément parce que cette école est ; ; -©M ?>li t» ?>ipoo ~M~ FTL~ if'.1C -k t ~M une école des Frères. Pêche! Pêche ! Pêche! Certes, ce ne sera pas moi qui chercherai à dé- 3-lli* fil «rjfihi ^OTffq NOS MAITRES AUJOURD'HUI !l ^àtiliatl 39iuoT réouverture de la pêche, de commencer une série enu'b Jj.flQÎ fO£osiïlA bonne volonté, leur zèle dans l'accomplissement Les deux cours préparatoires établis au cours Après nous avoir exposé les divers procédés d'articles pratiques illustrés sur les différentes maniè- d'une œuvre dont on ne comprend pas assez les res de prendre le poisson en eau douce et en eau pratique des salles d'asile par arrêté du 5 avril d'enseignement, les différents systèmes qui se salée. Le succès de ce charmant recueil, fondé il y a difficultés, les ennuis, le pénible labeur. L'institu- 1850, sont réunis désormais en tin seul, qui sont succédé, M. André passe successivement en HUIT ANS, parla maison Didot, de Paris, s'explique teur qui remplit son devoir est un homme admira- s'ouvrira le 15 novembre pour se terminer le revue dans son IVe livre, qui n'est pas le moins par la compétence de ses rédacteurs, dessinateurs et ble. Et cependant je le dis hautement une école de 15 juillet suivant. Cette décision aura son. effet intéressant de cet ouvrage si substantiel, lès graveurs. . tuyA | i questions se rapportant aux écoles primaires, On l'a dit avec raison : « La Chasse illustrée, c'est Sans doute, mes chers Enfants, vous êtes bien » l'ami intime de la maison, hôtel, château, ferme Les aspirantes devront adresser a M. le Mi- aux instituteurs et aux institutrices. » ou villa. » gentils, vous êtes d'excellents enfants : mais laissez- nistre de l'Instruction publique une demande Le premier chapitre est consacré au fameux moi vous le dire : pour bien tirer parti de vous,pour Au mois d'août prochain paraîtra L'ALMANACH d'admission au cours, soit comme boursières écrit de M. Jules Simon, l'Ecole dont l'auteur DE LA CHASSE ILLUSTRÉE, connue de tout le bien faire ressortir l'éclat de ces diamants, il faut apprécie le talent mais combat souvent les vues, monde des sportsmen. Prix : 1 fr.; par la poste, 1 bien des coups de ciseau, et avant que cette terre si internes, soit comme boursières externes. et à l'histoire dê l'instituteur depuis la Révolu- t&iftf&gaa'f if> anoïjibno'J séf èilîeoftoa tturl honne puisse recevoir la semence et la faire lever, il Celle demande devra être faite sur papier timbré et accompagnée : tion jusqu'à nos jours. M. André ne voudrait pas En ce moment, La Chasse illustrée publie une nou- faut tourner et retourner plus d'une fois le sol. velle d'un brio étourdissant : PHÉNOMÈNE, Bracon- de 1° De l'acte de naissance;de l'aspirante; qu'on fit de ce modeste fonctionnaire un agent nière-Aubergiste, par M. C. d'Araezeuil. H faut des soins incessants, une attention ; tons les instants, un zèle toujours alerte, un dé- 2° De son acte de mariage, s'il y a lieu ; politique, et il demande qu'on rende la nomina- Un numéro gratuit du journal, contenant dix pa- vouement sans réserve. Non ce n'est pas trop de 3° De l'acte de décès de son mari, si elle tion des instituteurs à leurs chefs naturels, c'est- ges d'impression, est envoyé à toute personne qui en fait la demande. l'homme tout entier pour ce grand labeur, ce n'est est veuve; à-dire aux recteurs et aux inspecteurs d'acadé- 4° Un certificat de moralité délivré par le mie. C'est un vœu fort légitime, el auquel nous Directeur, M. A. F.-DIDOT ; rédacteur en chef, pas trop de toute son intelligence, de tout son cœur M. H. EMILE CHEVALIER. pour bien remplir cette tâche. maire de la commune; ne pouvons que nous associer. Tel est le frère de l'école chrétienne : il n'est 5° Un certificat de vaccine. Dans le second il traite des écoles et du mode Prix d'abonnement : SO fr. par an ; S fr. par tri- mestre. 56, rue Jacob, à Paris. Pas divisé, il est tout à son œuvre, vous êtes sa famille, Les aspirantes devront avoir 18 ans au moins de recrutement du personnel enseignant. Il vou- vous êtes son père, sa mère, ses frères,ses enfants, son et 30 ans au plus. drait que tous les maîtres sortissent d'une école '°nt;il n'apas mômeàs'occuper delui.ony pense pour L'examen aura lieu au chef-lieu d'arrondis- normale primaire, mais cela étant impossible, ï A nos lecteurs lui;votre avancement, votre progrès, c'est son devoir, sement le premier lundi d'octobre. il demande aux commissions d'examen de mon- c'est sa tâche ; le devoir, la tâche imposés par celui Les aspirantes devront joindre à leur de- trer une juste exigence. Il s'agit en effet ici d'un La nouvelle loi sur la presse va profondément qui ne borne pas le salaire au pain de la vie qui mande le brevet de capacité ou le certificat intérêt supérieur. Donner à des ignorants le modifier les conditions de concurrence des journaux. Aussi ceux qui existent déjà font-ils des efforts con - P^e, à l'éclat éphémère de la gloire du temps par; d'aptilude, si elles en sont pourvues, ainsi brevet de capacité, c'est mettre en de mauvaises sidérables pour attirer des. abonnés; les journaux ■e Dieu qui donne la gloire immarcescible, la vie qui qu'une attestation constatant qu'elles ont la mains toute la jeunesse d'une commune, c'est bonapartistes abaissent leur prix ou offrent en prime ne finit pas. voix vouer à l'ignorance plusieurs générations. Il faut des montres en cuivre doré. Certains journaux répu- Aussi je ne m'étonne pas des succès qui récompen- bas-tS JfUOTJO dans les examens une sévérité bien justifiée, blicains les suivent dans celte voie et offrent des pen- ^it de tels efforts, des victoires qui couronnent de nucc d'autant plus qu'avec la liberté d'enseigner éta- dules en;zinc ou des fusils de salon. le |i .nonbil eb OJIB» obmïi) Réorganisée sous le patronage de Députés de la 's combats. Non, non si chaque concours vient .zuAu'tud mon ,»c»!uo'i S» a'iôi blie par les lois de 1833 et 1850, tout individu n°ns révéler d'une manière éclatante la supériorité Gauche, l'Opinion nationale n'a pas cru devoir recou- A Toulouse, le cadavre d'un noyé a été re- breveté peut ouvrir une école. Passant ensuite à rir à ces procédés. Sa rédaction, déjà si estimée, de l'enseignement des Frères nous ne devons pas tiré des eaux de la Garonne près du Pont- la question de la gratuité, M. André trouve que fait tous les jours de nouvelles recrues : M. L. Ratis- ^°us en étonner — les forces ne sont pas égales —le bonne vient d'entrer à l'Opinion nationale et on. Fr Neuf. Ce malheureux, qui ne portait sur son la gratuité absolue est chose mauvaise en tous ère n'est jamais seul dans l'arène; parla discipline, corps aucune trace de violences, avait des hal- points. nous assure que M. Pessard devient également colla- Par la tradition, il combat non pas seul, mais, en borateur de ce journal, où il pourra continuer en tères attachés autour des bras, pour paralyser Quant à l'obligation, soutenue par MM. Cou- faveur des institutions républicaines, la brillante Quelque sorte, avec les forces de tous les siens ; il a ses mouvements. Le cadavre, transporté à la eurs méthodes, il profite de leur sagesse et de leur sin, Carnot, J. Simon, l'auteur ne croit pas campagne que « l'ordre moral » était venu si bru- Morgue, a été reconnu. C'est celui de M. Oli- qu'on doive la faire entrer dans la loi. C'est dans talement interrompre. expérience, et il est tout entier à son œuvre, et son vier Ernest, âgé de 32 ans, professeur de phi- œuvreestson unique préoccupation, et il peut dire les mœurs qu'il faut la faire pénétrer. Dans la Abonnement : 16 francs par trimestre. losophie, domicilié rue Saint-Rome, 11, M. plupart des pays protestants, le pasteur chargé au Dieu des sciences, au Dieu qui éclaire tout Bureaux : 5, rue Coq-Héron. homme venant en ce monde, au Maître unique de Olivier avait disparu de son domicile depuis le de l instruction religieuse se rend chaque jour à a vérité, il peut dire à ce Dieu qu'il compte sur son 10 août. l'école, et n'admet à la confirmation, que les secours; car c'est pour lui, c'est en son nom qu'il Une enquête a été ouverte par le commis- enfants qui ont suivi assidûment l'école, ou du inotllbàqx;! * I ** JOURNAL Ï>U LOT

ancienne peinture japonaise. — Un chez soi, ta- bleau de M. Tony Faivre (d'après une photogra- e INSTITUTION PRÉPARATOIRE L'efficacité do PUliISîOL-BOSffiLT phie de la maison Goupil et C . — Le hamster Publications de la librairie Hachen (Prix Montyon) ayant été constatée pour vulgaire. AUX DIVERS BACCALAURÉATS ET AUX ÉCOLES 79, boulevard Saint-Germain, Paris. la destruction de tous les insectes nuisibles, Abonnement : Six mois, 15 francs. — Un an, '25 fr. DU GOUVERNEMENT Bureaux : -25, rue Monsieur-le-Prince, Pari.-. Le Dictionnaire abrégé de la langue française on engage MM. les propriétaires, vignerons, 16 Sous la direction de M. CH. MUSSET, vient de mettre en vente la librairie Hachette en- cultivateurs, etc., a faire l'expérience de ce — 1 ! 1 — Docteur ès scienees, aura bientôt sa place dans toutes les bibliothèau produit, comme préservatif et curatif des ra- Revue Scientifique. il a été exécuté avec l'approbation de M. Litir'6*' 41, place de la Visitation, Toulouse vages du phylloxéra, de l'oïdium, du M. Beaujean, son plus assidu collaborateur. C'eti' SOMMAIRE DO NUMÉRO 7 (1 4 AOUT 1875). ver blanc, etc. ,iul no eTquoq lia iuoi v.eca résumé du grand Dictionnaire, c'est la réduction 6,1 Le 16 août, ouverture des cours pour les Un litre de Phénol-Bobœuf peut être étendu L'état présent de l'armée française juge par un un seul volume de l'immense travail du maître. sessions d'octobre et de novembre. de 10 à 20 litres d'eau, selon le degré de ma- anglais: I. La direction; If. L'organisation; III. L'ouvrage paraît en 25 fascicules à 50 centime 19 Le matériel. —Association française pour l'avance- les 15 premiers fascicules sont en vente. Résultats généraux de l'année scolaire : 24 ladie de la vigne. Un quart de litre de ce mé- ment des sciences : Le Congrès de Lille et le Con- candidats présentés, 16 reçus. lange peut suffire pour chaque pied de vigne. grès de . — Académie des sciences de Paris. — Le litre de Phénol-Bobœuf, 3 fr. 50 ; on — Chronique scientifique. expédie en litre ou en bidon de 5, 10 et 25 ~0f* 3280iq G? 'àbliiiitl^fû fil 3*3 nil>l.at> 2i«G il * w JOURNAL DE LA JEUNESSE. - Sommaire i ois E la 141 livraison (14 août 1375). —TEXTE : La ton? litres. — Adresser les commandes et le prix mena oDe-a ,.a£.6{j ift» as .ta no'ai mon sb "iuoJ ! ,u petite, par J. Girardin. — Tourville, par R j Revue Politique et Littéraire. Crédit foncier de France. en manda ou valeur à l'Entrepôt général, 7, Coudray. — Les jongleurs japonais, par EtieiJ Emission à 485 fr. d'Obligations communa- rue Coq-Héron, Paris. SOMMAIRE DO NUMÉRO 7 ,14 AOUT 1875'. Leroux: — Les aventures du capitaine Magon v les de 500 francs 5 0/0, remboursâmes en WHmlïibnuz ÔAO'D Jsido'l .moi OD m'inLhil Les élections du Tiers Etat sous l'ancienne mo- L. Cahun. — Becquette, par Crafty. ' narchie, par M. Louis Pauliat. —De la date des DESSINS d'Emile Bayard, Crépon, Philippoteam 50 ans par voie de tirage au sort. Emissions au l pair d'Obligations communales 5 0/0. pour différents livres de la Bib.e, (suite et fin), par M. et Crafti. > REVUE ILLUSTRÉE des lettres, sciences, arts et Ernest Havel. — Une visite à l'Exposition de géo- une échéance de 10 ans et à 4 1/2 °/ pour une pou TÊ8I no fiiidoq 9Tt)oa9 eay'4 ,>". Jus'J ' 0 industries dans les deux mondes. graphie, par M. H. Gaidoz. — Notes et impressions, c échéance de 5 ans à moins de 10 ans. On sous- par N***. -- Les distributions de prix. — La semaine eVfjoil co'l oop .sgcivrjo JS3 sb r.oilibà vu;.-.-.,, crit: à Paris au Crédit foncier de France, rue Sommaire du n° 38. politique.,.^.,., fj £} i6i3vi;02 .sîiLVtod uo noiJ LE TOUR DU MONDE. — Nouveau jowml 0 da Neuve-des-Capucines, n° 19 ; dans les départe- ies Voyages. — Sommaire de la 762* livraison Texte: Prosper Mérimée, par M. A.-J. Pons. — On s'abonne au bureau dit journal, 17, rue de l'Ecole- (14 août 1875.) — Texte : Excursion au Canadi»! ments : aux Recettes des finances, chez MM. Les arts au Japon (suite), par M. A. Pompon. — de Médecine, à. Paris. à la rivière Rouge du Nord, par M. H. de Laroothe e Etienne Moret (suite, 3 partie). — Paris. — L.9 les notaires et chez tous les torrespondants du Chaque journal : Paris, Six mois 12 fr. Un an 20 1873. — Texte et dessins inédits. — Douze dessin, suicide, par M. Francisque Sarcey. — L'éduca- Crédit foncier. fr. Départements, Six mois 15 fr. Un an 25 fr, : de H. Clerget, Th. Weber, Taylor, Ph. Benois On peut chez les mêmes intermédiaires se tion suivant Fénelon, la Bruyère et Perrault, par F. Bassot et A. Deroy. M. Champfleury. — Le hamster, son histoire na- Les deux journaux réunis : Paris, six mois 20 fr. procurer, au cours, des obligations commu- Un an 36 fr. Départements, six mois 25 fr. Un an r:'(cq ob r.hu't)[,-;iui] ê'.giiiitiCSî'isq util Wc swii turelle, ses ravages, par M. Octave Sachot. ; nales 5 % rapportant 15 francs et remboursâ- 4avfe., >;:i,:;ho uW-ieq elqasa; an'emmod ,si»ri èJ ' ~'~ i ~ ; —. Gravures : Portrait du Titien, peint par lui-même. Pour les extraits et articles non sitné. mes à 300 fr. % waoehodd eb iioii Coryphées du Bouddha $ gravures), d'après une Prix du numéro : 50 centimes. Le propriétaire-gérant A. L. t y ou

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