DESO, G. 2006. Note sur un type de ponte particulier chez borbonica borbonica (Mertens, 1966) Reptilia : Sauriae Geckonidae (île de La Réunion. Bull. Phaethon, 23 : 29-36.

Bulletin Phaethon 2006, 23 : 29-36.

Note sur un type de ponte particulier chez Phelsuma borbonica borbonica (Mertens, 1966) (Reptilia : Sauriae : ) Ile de La Réunion

Grégory DESO* * 119 rue du feretra, appt. 101, 31400 Toulouse. Email : [email protected]

I. Introduction

Certains des du genre Phelsuma ont pour habitude de fixer leurs oeufs à un support. Phelsuma borbonica en fait partie et l'on peut parfois rencontrer des pontes communes pouvant dépasser les 200 oeufs (Probst & Déso, 2001). Or, lors d'un relevé faunistique et floristique sur la route forestière de la plaine d'Affouches, nous avons observé, avec Jean-Michel Probst, un site de ponte particulier qui mérite d'être décrit. Il s'agissait d'une cavité dans un arbre appartenant à une espèce introduite, le Bois d'andrèze (Trema orientalis) où nous avons observé plusieurs pontes de Phelsuma borbonica borbonica à moitié enfouies dans de l'humus.

Certains auteurs ont souvent pour habitude de signaler les caractéristiques de ponte, en caractérisant certaines espèces de Phelsuma « egg gluer species » ce qui veut dire qu'elles collent leurs œufs sur un support. La liste ci-dessous énumère quelques espèces à oeufs adhérents à un support. Les espèces endémiques de l'île de la Réunion sont signalées par un astérisque (*). Nous listerons donc 17 espèces fixatrices d'œufs et plusieurs espèces non fixatrices. Ce qui regroupe un grand nombre d'espèces de Phelsuma , qui sont séparées ici par leur caractéristique de ponte. Ces informations ont été relevées à travers la littérature et pour quelques espèces par des observations personnelles. II. Les espèces de Phelsuma fixatrices d'œufs

La première liste ci-dessous énumère 17 espèces dont les œufs adhèrent à un support. Cette liste comprend 8 espèces malgaches, 7 espèces des Mascareignes, 1 espèce seychelloise et 1 autre provenant de l'île d'Andaman. Les espèces endémiques de l'île de la Réunion sont signalées par un astérisque (*) et les espèces introduites sur l'île de la Réunion sont suivis par (+).

Phelsuma andamanense (Blyth, 1860) ; Phelsuma astriata + (Tornier, 1901) ; Phelsuma barbouri (Loveridge, 1942) ; Phelsuma berghofi (Kruger, 1996.) ; Phelsuma borbonica * (Mertens, 1966) ; Phelsuma cepediana + (Merrem, 1820) ; Phelsuma dubia (Boettger, 1881) ; Phelsuma flavigularis (Mertens, 1962) ; Phelsuma guentheri (Boulenger, 1885) ; Phelsuma guimbeaui (Mertens, 1963) ; Phelsuma hielscheri (Rösler, Obst & Seipp, 2000) ; Phelsuma inexpectata * (Mertens, 1966) ; Phelsuma malamakibo (Nussbaum, Raxworthy, Raselimanana & Ramanamajato, 2000) ; Phelsuma modesta (Mertens, 1970) ; Phelsuma ornata (Gray, 1825) ; Phelsuma rosagularis (Vinson & Vinson, 1962) ; Phelsuma vanheygeni (Lerner, 2004).

Phelsuma pronki était considéré comme espèce à ?ufs adhérents sur un support (Henckel & Schmidt, 1995), mais d'après de récents travaux (Van Hegen, 2004 b) il semblerait que cela ne soit pas le cas.

Réf : Bour et al., 1995 ; Glaw & Vences, 1994 ; Glaw et al., 1999 ; Henckel & Schmidt, 1995 ; Van Heygen, 2004 a,b ; Lerner, 2004 ; Probst, 1997 ; Probst & Deso, 2001 ; Austin et al., 2004 ; Harmon et al., 2005.

III. Les espèces de Phelsuma non-fixatrices d'œufs La liste ci-dessous mentionne 23 espèces qui déposent ou enfouissent leurs œufs. Nous regrouperons donc 22 espèces de la région malgache au sens large (Seychelles, Comores, etc.) et 1 autre de la zone côtière d'Afrique orientale. Les espèces introduites et établies sur l'île de la Réunion sont suivies par le signe (+)

Phelsuma abotti (Stejneger, 1893) ; Phelsuma antanosy (Raxworthy & Nussbaum, 1993) ; Phelsuma befotakensis (Krüger, 1996) ; Phelsuma comorensis (Boettger ,1913) ; Phelsuma breviceps (Boettger, 1894) ; Phelsuma guttata (Kaudern, 1922) ; Phelsuma kely (Schönecker, Basch & Glaw, 2004) ; Phelsuma klemmeri (Seipp, 1991) ; Phelsuma lineata + (Gray,1842) ; Phelsuma laticauda + (Boettger, 1880) ; Phelsuma madagascarensis + (Gray, 1870) ; Phelsuma masohoala (Raxworthy & Nussbaum, 1994) ; Phelsuma mutabilis (Grandidier, 1869) ; Phelsuma nigristriata (Meier, 1984) ; Phelsuma parkeri (Loveridge, 1941) ; Phelsuma pronki (Seipp, 1995) ; Phelsuma pusilla (Mertens, 1964) ; Phelsuma quadriocellata (Peters, 1883) ; Phelsuma robertmertensi (Meier, 1980) ; Phelsuma seippi (Meier, 1987) ; Phelsuma serraticauda (Mertens, 1963) ; Phelsuma standingi (Methuen & Hewitt, 1913) ; Phelsuma sundbergi (Rendahl, 1939).

Réf : Raxworthy & Nussbaum, 1993 ; Glaw & Vences, 1994 ; Glaw, Vences & al., 1999 ; Henckel & Schmidt, 1995 ; Lehtinen, 2002 ; Van Heygen, 2004 a,b ; Lerner, 2004 ; Schönecker & al., 2004.

IV. Taxonomie et répartition

Le Lézard vert cité ici est une petite espèce de rangée dans l'Ordre des Squamates. Il fait partie de la Famille des Gekkonidae qui comporte 85 genres et plus de 1050 espèces dans le monde (Uetz, 2005). Deux espèces de Phelsuma sont endémiques de la Réunion, Phelsuma borbonica et Phelsuma inexpectata. (Bour & Moutou, 1982 ; Moutou, 1983 a, b ; Cheke, 1987 a, b ; Lehr, 1992 ; Probst, 1995, 1997 et 1999 ; Girard, 1995, 1997). Le Phelsuma borbonica borbonica est la sous-espèce nominale endémique de la Réunion. Ce petit Gekkonidae habite les milieux forestiers indigènes du Nord, du Centre, de l'Est, du Sud Est, et quelques forêts d'altitude de l'Ouest de la Réunion (Probst & Deso, 2001). Une petite zone bien délimitée et enclavée au Sud Ouest de l'île, abrite la forme pure, du taxon sub-spécifique Phelsuma borbonica mater . Un taxon a été déterminé sur l'île d'Agalega en 1975, par M. Anthony Cheke « Phelsuma agalegae » et caractérisé comme proche de Phelsuma borbonica (Cheke, 1975). Il est aujourd'hui considéré comme une entité sub-spécifique appartenant à Phelsuma borbonica : Phelsuma borbonica agalegae (Hallmann & al, 1997).

V. Détail de l'observation

L'observation s'est déroulée lors d'une étude d'impact, sur la route forestière de la Plaine d'Affouches, encadrée par Nature et Patrimoine et destinée à l'O.N.F. Nous relevions les différentes espèces végétales envahissantes introduites installées sur les bords de la route. C'est alors que l'on observa un petit groupe d'individus appartenant à Phelsuma borbonica borbonica . Il était situé approximativement à cinq mètres du bord de la route sur un arbre indigène mort ( Dombeya sp ). On en dénombra trois individus : un gros mâle adulte, et deux femelles. Plus près de nous, sur un Jamrosat ( Syzygium jambos ) se trouvait deux autres individus : un mâle adulte, bien moins corpulent que le précèdent, présent en compagnie d'une femelle. Tous ces individus semblaient être en thermorégulation. Nous décidons alors de les observer aux jumelles.

Au bout de quelque temps, on observa une femelle gravide qui se rapprocha de la route en se déplaçant assez rapidement à travers des couloirs de végétation basse. La bordure de la route forestière a été élaguée par l'homme et ensuite colonisée par la fougère aigle ( Pteridium aquilinum ), qui est une fougère bio-indicatrice des milieux incendiés, et de la vigne maronne ( Rubus alceifolius ), une des espèces introduites les plus envahissantes de l'île (Probst, comm. pers. & obs. pers). Cette femelle grimpa avec une grande agilité sur un arbre, originaire d'Australie, Trema orientalis (appelé à la Réunion bois d'Andréze) pour se diriger vers une cavité du tronc.(Fig.3). Nous avons donc décidé de regarder à l'intérieur, muni d'une lampe de poche, en faisant attention de ne pas toucher à l'arbre. Il y avait à l'intérieur, sur le sol de la cavité notre femelle accompagnée d'une autre femelle gravide, ce qui nous faisait un total de sept individus. Très rapidement elles ont disparu a l'intérieur, dans l'anfractuosité de l'arbre. Sur le sol de la cavité qui est constitué d'humus, on observa deux œufs de Phelsuma b. borbonica à peine enfouis collés l'un à l'autre ainsi que deux autres paires d'œufs (toujours collés deux à deux) qui étaient enfouis, à la moitié. Nous n'avons pas cherché à savoir s'il y avait d'autres œufs enfouis plus profondément.

Phelsuma borbonica est une espèce protégée par l'arrêté ministériel du 17 février 1989 et comme nous le stipulons plus bas il est interdit d'y toucher. Ajoutons que contrairement aux œufs d'oiseaux, les œufs de ne doivent pas être déplacés sous peine d'étouffement de l'embryon. Les conséquences d'une recherche d'œufs dans l'humus seraient catastrophiques. Cela reviendrait à dégrader un site de ponte, déjà fortement malmené dans la nature.

Nous sommes retournés sur ce site un an plus tard et nous avons observé qu'il était toujours utilisé. Il y avait d'autres œufs toujours mi-enfouis et une coquille vide qui témoignait d'une récente éclosion. En effet, les coquilles d'œufs vides sont assez vite consommées par les femelles. Cette ingestion leur permet probablement de reconstituer plus rapidement un stock calcique dans leurs poches endolymphatiques. (Gardner, 1985 ; Obs. F. Girard & Obs. pers). Chez certains Gekkonidae lorsque ces sacs endolymphatiques sont bien remplis, ils peuvent donner un aspect boursouflé de chaque côté du cou (Fretey, 1986 ; Ineich & Gardner, 1989 ; Bauer, 1989 & Obs. pers). Une femelle sortant de cette cavité a été filmée lors d'un reportage que nous avons tourné avec R.F.O pour une campagne de sensibilisation et de protection de l'Herpétofaune de France (Nature et Patrimoine & R.F.O., 2001).

Fig. 1. Fig. 2 .

Fig. 3.

Fig.1. Phelsuma b. borbonica (femelle) «en insolation sur un Trema orientalis » Fig.2. Phelsuma b. borbonica (femelle) « sortant la tête de la cavité du tronc du Trema orientalis » Fig.3. Trema orientalis dont la cavité est exploitée par Phelsuma b. borbonica.

V. Discussion- conclusion

En général, les œufs de Phelsuma borbonica sont solidement fixés à un support. Ceci leur donne un aspect déformé et aplati qui épouse le support. Sur ce site, Phelsuma b. borbonica a choisi de déposer ses œufs dans le bois en décomposition plutôt que de les coller sur les parois trop «souples» de l'intérieur du tronc. Il s'agirait donc d'un comportement encore non décrit pour l'espèce. Il semblerait que les parois de la cavité qui présentaient une couche de bois pourri et en cours de décomposition ont été un facteur limitant. Ceci pourrait avoir empêché les femelles de fixer leurs œufs. Or, il n'en est rien. Cette observation de terrain nous montre son adaptabilité. Sur les nombreux sites de ponte que nous avons observé, seul celui-ci présentait cette particularité.

Nous avons observé des comportements similaires de non - fixation, chez Phelsuma madagascariensis (introduit et établit dans deux zones séparées de l'Ouest et l'Est de l'île), ainsi que chez Phelsuma laticauda (introduit et présent sur le littoral nord, ouest et actuellement en progression vers le Sud de l'île (obs. pers) et chez Phelsuma lineata (introduit et présent dans une ravine anthropisée de l'Est) . Mais chez ces derniers, cette « habitude » d'enfouir ou déposer leurs œufs est bien connue, et a été citée dans plusieurs articles et notes d'élevages en captivité. De plus, les non-fixations catégoriques des pontes font partie d'une des particularités chez ces derniers. Cela leur donne même lieu d'être rangé dans différents groupes que proposent certains auteurs, en s'appuyant et relatant des caractéristiques similaires (Van Heygen, 2004 b).

Cet article a pour but de montrer l'adaptabilité de ce Phelsuma , et ne suggère aucunement de ranger cette espèce dans les groupes de Phelsuma non fixateurs d'œufs. Il met ici en évidence la faculté de l' à trouver un moyen adaptatif face à l'impossibilité de fixer ses œufs. Ceci nous indique de redoubler de prudence tant à la détermination et à la classification hâtive comme espèce non fixatrice, sur la base d'une seule ponte observée. Si des informations similaires sur différents taxons du genre Phelsuma de la Réunion ont déjà été relevées, nous serions très intéressés d'être contactés.

Il est important de rappeler que les lieux de pontes des Phelsuma , ou d'autres Gekkonidae, ne doivent en aucun cas être touchés de même que leurs abords. Le simple fait de toucher les rochers ou les arbres qui abritent une ponte met les Phelsuma et leurs œufs en péril ! Il a en effet été signalé à plusieurs reprises que les rats ( Rattus rattus, Rattus norvegicus ) suivent les couloirs odorants laissés par l'homme, afin d'y chercher leur nourriture. Ces mammifères et d'autres sont bien connus pour leurs prédations sur les reptiles et leurs œufs. (Delaugerre, 1980 ; Fretey,1986 ; Cheke, 1987 ; Cheylan & al., 2004 ; Bell, 2002 ; Varnham, 2002 ; Probst & al. 2001 ; Nature et Patrimoine & R.F.O, 2001 ; Com. pers de C. Jones in Guegan, R. 1996).

Remerciements

L'auteur remercie ici bien chaleureusement pour la relecture et la correction avisée de Monsieur Francis Girard, avec l'efficace collaboration de Monsieur Jean-Michel Probst (directeur de l'association Nature et Patrimoine), de Monsieur Ivan Ineich (Herpétologue au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris) et pour les précieux conseils de Jérôme Maran et Olivier Calvez.

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publié par Jean-Michel PROBST publié dans : natureetpatrimoine Commentaire(0) Recommander