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Villes et Pays d’art et d’histoire au fil du pays

laissez-vous conle ptayes r d’ Val d’Allier Sud ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page2 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page3

Scupltées par l’érosion, Surplombant le val d’Allier, le village A , la chapelle de Brionnet Sur fond de massif du Sancy, les estives de enserrent Paysage du Livradois aux environs A la vigne a reconquis les cheminées de fées de Boudes de Nonette s’affiche méridional. prolonge la silhouette d’un très ancien le lac d’en-Haut, ancien cratère et le lac d’en-Bas, d’origine glaciaire. d’Egliseneuve-des-Liards. les pentes du plateau de la chaux. doivent leur existence à leur volcan. “chapeau” de roche résistante.

La richesse écologique du Le pays des couzes Terres d’estive Un vaste jardin e val d’Allier Rive gauche de l’Allier, les affluents Au sud-ouest du pays s’étend A la périphérie des villages,

u Les belvédères Coteaux Le Livradois s . r e q i e ou couzes, ont donné leur nom le vaste Cézallier : en ce haut les basses vallées des affluents c L’Allier parcourt le pays du sud de la Limagne et terres rouges Le quart oriental du pays s’étage i g l n l à un territoire verdoyant et altier “pays du seigle”, le socle de l’Allier portent la marque o au nord. Cette rivière constitue e La rivière et son cordon vert Au sud s’individualise la plaine sur les contreforts du massif l A u ’ o hérité du volcanisme des Monts- primaire est presque entièrement des cultures fruitières et de leur l un des plus beaux exemples sillonnent la limagne ou plaine du Lembron, cuvette émaillée granitique du Livradois, aux q é

é e g européens de dynamique fluviale. Dore et du Cézallier. A l’origine recouvert de coulées volcaniques. paysages secrets, contés par réseau d’irrigation quadrillant s d’Issoire, bassin d’effondrement de villages blottis au bas

d e

s de la succession de longs plateaux Le relief ondule à perte les anciens vergers. La vigne n Des divagations de son cours nombre d’auteurs (Henri r rempli de couches de sédiments : des pentes et sur le rebord s i e t

e résulte une grande variété et de vallées escarpées, domaine d’horizon, au gré des bosses Pourrat, Lucien Gachon). se plut sur les coteaux solaires

r argiles, sables, grès et marno- des escarpements, encerclée par e h

a e n c de milieux sauvages. Crainte des des rochers et des pinèdes, on et des cuvettes modelées par Ce vert pays de moyenne jusqu’au XIX siècle. i

i calcaires. L’important dépôt une ronde de tables basaltiques. p l

r

c trouve les épanchements de lave les glaciers. Sur les rebords Si celle-ci n’a survécu que sur à riverains pour son imprévisibilité, carbonifère de Brassac a été Les coteaux secs et chauds montagne vallonnée et boisée,

a é l t

du Tertiaire et du Quaternaire. du massif les rivières plongent certains terroirs, son héritage d elle fut pourtant le lit de la exploité du Moyen âge au des basses vallées des couzes a connu une forte densité n

e e e e Ces tables basaltiques ou chaux dans la plaine en gorges e se traduit par une richesse d navigation batelière jusqu’au de population au XIX siècle, s XX siècle. Dominant cette plaine et du Lembron sont le territoire g

é a e s XIX siècle. Au nord, elle s’encaisse ont ensuite été mises en relief abruptes. Ici et là, les lacs et les à la source d’une foison patrimoniale omniprésente, t s fertile aux cultures ordonnées, de prédilection d’une végétation a g e s y é n a ’ en gorges abruptes dans un bloc par l’érosion des couzes. insolites milieux de tourbières de hameaux dont la dispersion celle des “cascades de terrasses”

s les édifices volcaniques de de type méditerranéen et d’une e p

i d granitique soulevé par la tectonique, Des culots de lave dominent renforcent l’ambiance nordique contraste avec l’habitat groupé ou palhas, aménagées par les y s e l’ère tertiaire, mis en relief par lande arbustive colonisant u n l

q les villages, souvent prolongés des lieux. Sur ce royaume de hommes. Les silhouettes o , le horst de Saint-Yvoine. l’érosion, constituèrent autrefois pentes et terrasses. Sculptées des anciens villages viticoles,

c e s

t C’est à l’érosion de ses eaux que par la silhouette d’une tour l’herbe voué au pastoralisme, emblématiques des tonnes de e aujourd’hui céréaliers,

p a autant de sites défensifs. Ce sont par l’érosion en cheminées e a r l

è n l’on doit la formation de la butte ou d’une chapelle romane, ultime défriché et pâturé depuis du bas pays. vignes et pigeonniers donnent b aujourd’hui d’incomparables de fées ou cirque, les terres g g a r a t de grès blond, dit arkose, promontoires panoramiques, vestige d’un château médiéval. rouges et violacées du Lembron des temps ancestraux, s’éparpille le “la” d’une partition paysagère i s e r v y de Montpeyroux. un semis de villages, hameaux aux accents méridionaux. é auxquels s’accrochent les villages. constituent un gisement rare a u a p L e s V et fragile. Plusieurs sources et burons, habitat temporaire minérales jaillissent, formant de l’ancienne estive fromagère. travertins et griffons. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page4 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page5

A Saint-Gervazy, le dolmen Dans cette statue du IIe siècle après J.-C., découverte à Une représentation très symbolique Marguerite de Valois, plus connue L’ovale des actuels boulevards d’Issoire évoque le tracé des fortifications A Brassac, le chevalement métallique de l’Ustau du Loup est aussi en 1939, le cavalier personnifie la divinité terrassant l’Anguipède, du château comtal et royal d’Usson figure sous le nom de Reine Margot, qui protégeaient la cité médiévale. du puits de Bayard a été remis appelé Allée des Fées. créature hybride incarnant les forces du chaos. dans l’Armorial de Revel, manuscrit fut comtesse d’ et vécut en état en 2002 pour témoigner du XVe siècle. à Usson de 1586 à 1605. de l’histoire du bassin minier.

é r t e i n l e s

l Des migrations Au bord de la voie Le temps des princes Les dernières mutations u r A

’ pionnières La conquête gallo-romaine 1000 ans de construction Depuis 1155, une branche des Des voyageurs influents L’activité batelière marchande sur p d

comtes d’Auvergne se distingue : e e l’Allier est contemporaine m l L’homme serait présent dans de nouveaux espaces La photographie aérienne et La christianisation démarre Aux XV et XVI siècles la è c l e a

e i . les Dauphins d’Auvergne. À partir du développement du vignoble v le val d’Allier au moins depuis Sur les plateaux du Cézallier, un riche mobilier archéologique au IV siècle avec la création bourgeoisie et la noblesse locales a

n

s e i des châtellenies de et des mines de Brassac, mais l o 700 000 ans. Localement, les tertres funéraires marquent nous renseignent sur l’organisation des premières paroisses. fournissent aux rois de

i

u , t e et , ils développent à partir de 1850, c’est le chemin q les témoignages les plus anciens des domaines agricoles ou village e les territoires colonisés par les Au X siècle sont fondées quelques grands serviteurs, a

l c e b i remontent à la fin du paléolithique, groupes d’agriculteurs-éleveurs au dans le Lembron, entre les abbayes bénédictines d’Issoire leur territoire vers le Cézallier comme Thomas Bohier, Antoine de fer qui favorise l’émigration c e s a n e e o r vers -15 à -10 000 ans. Les bords dernier millénaire avant notre ère. et Neschers, ou encore aux portes et de , V fille de en s’alliant au XIV siècle Duprat et Rigault d’Aureille. vers Clermont et Paris. Au début u c o d é v de l’Allier et des couzes fournissent d’Issoire. A Charbonnier une Cluny. Cellules économiques, à la famille des Mercœur. Nourris de leurs voyages, ceux-ci du siècle suivant le phénomène r m Situé à deux pas des principaux a l f p En 1426 les Bourbon-Montpensier s’accentue avec la guerre de 14-18

alors aux chasseurs-cueilleurs agglomération gallo-romaine m centres du pouvoir arverne foyers de culture, étapes sur la construisent des hôtels particuliers t t o f i

ô héritent du Dauphiné d’Auvergne, et la fin du vignoble. n nomades des lieux d’escale. a été récemment révélée. voie des pèlerinages, elles tissent et des châteaux au tournant du c que sont les oppida de Gergovie t

e e e u A Neschers, l’abbé Croizet et , le pays suit ensuite Après l’insécurité du Bas Empire dans les campagnes leur réseau de tandis que rive droite de l’Allier, Moyen âge et de la Renaissance. Au cours du XX siècle, élans l m d

e p e découvre en 1840 un bois qui incite les hommes à réinvestir les comtes d’Auvergne puis le roi et reculs économiques alternent

prieurés-cures. A la fin de l’empire A la fin du XVI siècle, la ville s l le sort politique de la puissante t a u e p i a de renne au décor magdalénien les forteresses publiques, la culture carolingien, le comté d’Auvergne de France contrôlent les forteresses d’Issoire et ses alentours subissent autour d’Issoire et de Brassac. confédération celtique. u o e m d’Usson et de Nonette. Le pays s’engage aujourd’hui dans v dans un abri sous roche. antique se prolonge en plaine devient objet de convoitise entre les destructions des guerres de

i Le cours de l’Allier guide alors

p l s

c A la même période, l’insécurité une nouvelle voie : accueillir les y s Les communautés paysannes du au sein des domaines les rois capétiens et les Ducs religion. Exilée au château d’Usson e le colportage des ouvrages forgés

n l n a u néolithique moyen se sédentarisent et l’habitat se densifie dans de l’aristocratie mérovingienne d’Aquitaine, pendant que chronique permet aux habitants pendant 19 ans, Marguerite activités et les nouveaux résidents

r u t ’

u e e de prendre en charge leur défense tout en valorisant le patrimoine s p a ensuite sur des zones fertiles la plaine aux III et II siècles contés par Grégoire de Tours. les féodaux se disputent châteaux de Valois, la “reine Margot”, d n e e

c et d’édifier les forts villageois. culturel et les paysages.

é et des promontoires défensifs. n avant J.-C, à l’aube de la conquête et seigneuries. Au XIII siècle imprime de sa libre pensée la vie t n o o a l’Auvergne passe sous le contrôle politique et artistique. c romaine (52 avant J.-C.). ’

L e D d a du roi, de ses baillis et des princes apanagistes. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page6 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page7

A l’abbatiale Saint-Austremoine d’Issoire les regards sont guidés Le décor extérieur de l’église de Mailhat A Dauzat-sur-Vodable, l’église Saint-Géraud En pleine campagne, Vers 1456, le château et le village du Broc sont représentés A l’issue d’un brillante carrière auprès des rois de France, vers le chœur, les chapiteaux du rond-point et le décor peint fait la part belle aux chapiteaux sculptés s’élève sur un promontoire aménagé au XIIIe siècle des forts de se distingue par dans l’Armorial de Revel, ainsi que quelques habitants… Rigault d’Aureille se retira dans son nouveau château composé au XIXe siècle par Anatole Dauvergne. dans le grès, inspirés du bestiaire roman. par l’Abbé d’Aurillac et le Dauphin d’Auvergne. une architecture médiévale soignée. de Villeneuve. e u q s o r p u

é D’une abbaye à l’autre Aux sources du décor Le privilège de la défense La vie de château e ’ l s

s

A Issoire, l’abbaye bénédictine Le règne du roman La sculpture se concentre Innovations Avant l’an mil, certains Forts et sites Revel A la fin du Moyen âge i à s

t t e â Saint-Austremoine est reconstruite sur les chapiteaux, le portail promontoires étaient aménagés s’épanouissent dans les campagnes l Petit chœur à abside ou chevet et redécouverte Vers 1456, l’armorial de Revel n b a e

e r au XII siècle. L’abbatiale romane plat, nef unique sur laquelle et les modillons. De la ville aux en forteresses publiques dotées répertorie les possessions du Duc de nouveaux logis nobles s Le “vaisseau” de l’église u e

m er l r se distingue par l’ampleur s’accolent des chapelles gothiques, montagnes, traditions savantes de défenses en terre. Charles I de Bourbon, seigneur où les attributs défensifs,

e Saint-Dizaint d’ montre

, l e s e

s de ses proportions, l’harmonie et profanes inspirent diversement À partir de la fin du X siècle, même imposants, sont surtout p clocher carré à arcatures que les innovations gothiques apanagiste d’Auvergne. n e r u . c o et le décor de son chevet. Plan à les sculpteurs. A Issoire l’influence la faiblesse de l’autorité centrale symboliques : manoirs ou

i ou à peigne, portail méridional… Dans ce précieux document,

e ont trouvé une expression aboutie n n t p e a o trois nefs, déambulatoire et crypte biblique s’exprime clairement sur favorise l’accaparement maisons fortes de Saint-Gervazy, voici quelques traits communs dans les campagnes. Ce style compilant vues miniatures i c u t u i l rappellent que ce sanctuaire fut les chapiteaux historiés du chœur du pouvoir par les seigneurs Saint-Cirgues, Chaméane, f a f à la constellation des églises perdure ensuite longuement, et armoiries des vassaux, d a u t i é

t n ’ r r aussi lieu de pèlerinage. avec la Passion du Christ. et la multiplication des châteaux, Montfort. Edifié au tournant i r romanes du pays. au point d’être le principal maître on découvre l’architecture l

c u

o e e

x Au pied des montagnes, Dans la nef, modèles antiques marqueurs territoriaux tout des XV et XVI siècles par f e A l’abri des forts villageois des châteaux et l’organisation

e d’œuvre des modifications

u u t d a à l’isolement et le dépouillement et morale ambivalente du bestiaire autant que résidence seigneuriale Rigault d’Aureille, le château

e et des commanderies hospitalières des bourgs subordonnés. D’autres g

postérieures des églises.

i e s s

r e t v cistercien de l’abbaye et templières, elles se profilent roman cohabitent au milieu L’engouement du XIV siècle ou organe militaire. Leurs vestiges villages, dépourvus de châteaux, de Villeneuve en est le chef de file. e

r v e é a e de Mégemont contrastent avec d’un univers végétal. A Mailhat emblématiques, donjons, tours, Au cœur d’Issoire la bourgeoisie l u aussi souvent dans un décor pour le Moyen âge, sur les traces ont été transformés par les v

h t e c œ i u l’urbanité et le décor de la voûte naturel qui renforce leur pouvoir ces influences se conjuguent courtines, corps de logis, sont habitants en refuges fortifiés, de robe se dote d’hôtels r de Prosper Mérimée, Viollet d t e

s i O de la chapelle de Sauxillanges, pour créer un riche décor. Enfin visibles à Montpeyroux, Le Broc, particuliers autour de l’actuelle t d’attraction. Les anciennes à , , Sauvagnat Le Duc et des Mallay, est aussi à p a i .

f e s u ultime vestige du prieuré clunisien. chapelles castrales qui prolongent d’Orsonnette à La Godivelle, Nonette, Montaigut-le-Blanc, ou Boudes. Ces forts villageois place de la République, tandis

l l’origine des édifices néo-romans i r e s a l f l

s les promontoires rocheux sont d’énigmatiques figures envahissent Chalus, Saint-Floret, Champeix. se repèrent à leurs vestiges qu’à deux pas de la ville, v de Perrier, Montpeyroux e e u é l u n i

en toute liberté les corniches. les châteaux de p a emblématiques du territoire. et de l’importante restauration d’enceinte, à un parcellaire t

a d t n é et Hauterive développent h de l’abbatiale d’Issoire. resserré et un bâti très dense de n o s m D ’ C o caves et “loges” pour les habitants leur organisation domaniale et leurs biens. autour de corps de logis classiques des XVIIe-XVIIIe siècles. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page8 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page9

L’habitat troglodytique se niche Ambiance caractéristique des villages resserrés des vallées des Couzes. Un des plus beaux ensembles de patrimoine Cette maison de Montpeyroux Sur les plateaux, l’habitat des hameaux se développe sans contrainte, Cette facade de style éclectique dans les tufs de Perrier et du Les maisons étroites à étages se distinguent à peine du pigonnier aux dédié à l’eau se situe à Ternant-les-Eaux. a conservé son perron extérieur les longues granges-étables s’alignent sur la maison d’habitation. fut réalisée en 1883 pour la Cézallier. murs surélevés. protégé par un auvent ou courcour. Caisse d’Epargne d’Issoire. x u a i r

é é La forme du site Du couderc au foirail Fermes et domaines Les cités minières t n a Souvent étagés, les villages Le couderc est une place herbeuse En général se mêlent dans De nouvelles architectures n De la roche au mur La maison vigneronne Abris temporaires m o du val d’Allier développaient commune. Il réunit les éléments les bourgs du val d’Allier maisons se diffusent discrètement à partir ç Du sous-sol à l’habitat, toutes les La renommée de la culture viticole La tonne de vigne servait d’abri x a f u autour d’eux une organisation natures de roche se rencontrent : collectifs, sert de pacage a durablement influencé étroites aux façades alignées sur la et de remise au vigneron. du bassin minier, ouvert aux

a a

a u x

, concentrique : en lisière pierres volcaniques et grès et de prolongement à la maison. l’architecture des bourgs, bien rue et semis de bâti agricole : Elle se transforme parfois, dans influences, ou de la ville d’Issoire, s i e r l

des maisons, les potagers aux sédimentaires, mais aussi granites, Il est l’apanage du Livradois au-delà des zones viticoles. caves, pigeonniers, granges, loges les vignes, en lieu de villégiature qui s’industrialise. e . b i t a murs clos, ensuite les parcelles et c’est autour de lui que le bâti à porcs. On y observe aussi Styles néo-classique, éclectique,

n gneiss, schistes, pavés d’argile, Le modèle le plus typé est le logis avec perron, cheminée, tonnelle. a s é r i r s i

e de vignes, enfin vergers et cultures se distribue : logis, étables et des fermes, où logis et annexes école régionaliste, art nouveau d calcaires. Chaque matériau compact du vigneron Sur les plateaux se cachent les a é d

n au bas des coteaux. granges, accolés ou disposés en L. agricoles se distribuent autour puis déco, impriment leur

a t disponible en abondance peut ou polyculteur-éleveur. Adapté abris en pierre sèche des bergers. s m n

e e

l Sur les plateaux du Livradois et Dans le Cézallier les hameaux d’une cour qui s’ouvre sur la rue marque sur les façades des XIX

o être utilisé de façon systématique, aux villages resserrés, il superpose Au fil des coteaux, les pigeonniers m c c

i e m è

du Cézallier, chefs-lieux, hameaux s’organisent souvent en barriades par un portail ornemental. et XX siècles. e alors que certains villages, cave, cuvage ou bergerie en bas, développent leur riche typologie : i l r

s

o et domaines se distinguent ou rangées de maisons et annexes, La maison de maître est également Le développement du bassin

s situés au contact de sols différents, habitation à l’étage, pigeonnier côté plaine, tour carrée avec s s è - e s r par leur éparpillement dans présentent des murs appareillés aux toits d’ardoises à forte pente, au sommet. En façade, le perron très répandue. Elle est bâtie toiture de tuiles canal inclinée de Brassac s’accompagne d t e t u

les clairières et en bordure hérités des couvertures de chaume. sur un plan carré avec chaînages de l’apparition d’un habitat e e en blocage de mœllons couvert ou estre, est un espace vers l’est ; côté montagne, tour o l r s

a des pâtures, si possible à l’abri A l’entrée de certains chefs-lieux, d’angle en pierre de , qui s’intercale entre les bourgs u polychromes. L’usage des pierres semi-privé emblématique. circulaire avec toiture conique r e t l u

c e s des vents dominants. taillées était principalement le vaste espace du foirail Bordée d’une génoise, la toiture toiture à deux ou quatre pentes, en lauze. Sur le Cézallier, ruraux : les cités minières. r s e

t n

é Plusieurs villages troglodytes accueillait à la dévalade les foires baies rectilignes. En périphérie des Construites pour accueillir i réservé aux ouvertures, avec à une ou deux pentes de tuiles les burons d’estive abritaient a t h m é

d se sont exceptionnellement nichés aux bestiaux. bourgs on rencontre d’opulentes les ouvriers venus de l’étranger, i c l’emploi de nouveaux matériaux canal, confère à cet habitat hommes et bétail.

r c s e

a dans les falaises en tuf des vallées variations de ce modèle, cœur les petites maisons groupées é à partir du XIX siècle : un caractère méridional. Dans ces maçonneries de pierre o

s s e i

o r des couzes. briques et pierres de Volvic, des domaines de polyculture couvertes de lauzes ou d’ardoises, par deux, quatre ou plus, a n u u F L p acheminées par le rail. céréalière. on transformait le lait en fromage. sont dotées de jardins individuels. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page10 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page11

Chaque pierre de l’ancien château du Fromental A l’abbatiale d’Issoire, les couleurs parachèvent La pierre de Volvic se prête Frontalité et solennité Le combat de Palamède sur une des scènes Un jeu de couleurs met en valeur Ce pigeonnier du Lembron de Rentières raconte une histoire, mais ici la sculpture du chapiteau de la Cène. à des jeux d’ombre et de prime dans cette des peintures murales du XIVe siècle de cette façade de la place conserve un décor peint symétrique la polychromie répond plus à des nécessités lumière sur le visage représentation Saint-Floret. de la République à Issoire. encadrant l’accès aux nichoirs. de construction que de décors. d’une sirène de la fontaine de la Vierge en Majesté aux Lions de Plauzat. de Colamine-sous- Vodable.

Effets polychromes La couleur fille Des sujets profanes Décors de façades Les constructeurs du Moyen âge Les peintures murales de lumière Les couleurs de Marie A la fin du Moyen âge l’art Relevés et pochoirs Très esthétiques pour l’œil ont joué de la matière Lorsqu’elles sont réalisées Les théologiens du Moyen âge La dévotion mariale est un seigneurial prend de l’ampleur. Au XIXe siècle, les restaurateurs contemporain, les appareillages

y s s et de la lumière pour créer à l’intérieur des édifices, associent la couleur à la lumière phénomène majeur dans le De nouveaux sujets inspirent redécouvrent la polychromie polychromes des murs étaient t

n des effets graphiques. les peintures sont appliquées après divine et dans la pratique monde chrétien byzantin les peintres des logis nobles. médiévale sous les badigeons pourtant souvent destinés à être e

l , p a r a Sur les édifices romans, les maîtres dessin sur un enduit à la chaux, médiévale, le décor peint achève et occidental. Encouragé par Le château de Saint-Floret abrite et les décors postérieurs. recouverts. Sur les façades en t u

e t d’œuvre ont parfois agencé frais ou réhumidifié. Jusqu’au la construction de l’église. l’Eglise, le culte de la Mère treize scènes rescapées de l’unique À nouveau et dans un esprit de particulier s’appliquaient les enduits l u e

u des pierres de différentes couleurs e Ancien et nouveau Testaments, représentation connue du roman au mortier de chaux, recouverts

s XIX siècle et la découverte de Dieu rencontre la piété restitution, ils couvrent colonnes, o r d

c pour façonner un décor. de Tristan. Elles se déroulent par un badigeon coloré.

o Vies des saints inspirent

des colorants synthétiques, populaire. L’Auvergne romane est arcs et nervures de frises

s a l é En témoignent parfaitement les oxydes minéraux sont la en priorité les figurations. le foyer de production des statues en registres superposés occupant géométriques ou végétales La composition de la façade était s

r e t

les mosaïques du chevet principale base des couleurs, mais À Champeix, l’église Saint-Jean en bois peint de Vierges assises toutes les surfaces hautes et réalisent sur les culs-de-four finalisée par des bandeaux, frises, d s

e s de l’abbatiale d’Issoire où alternent des matières végétales ou animales renferme quelques fragments à l’Enfant, dites en Majesté. de la salle. Sur fond de ciel rouge, d’imposants Christ en Gloire. chaînages d’angles, faux u n . s q matériaux sédimentaires du banquet d’Hérode. la mise en scène des combats encadrements aux couleurs o sont aussi employées. Ces figures solennelles privilégient Toutefois, la systématisation e u r l i y e t e e a et volcaniques. À Sauxillanges, Au Moyen âge, les ocres rouges Aux XIV et XV siècles, une approche symbolique. chevaleresques use de détails du pochoir, ou de nouvelles contrastées. Attribut social a u p i e

r q arkoses blondes et roses et jaunes, le noir et le blanc, le thème de la mort se devine Si l’évolution du sentiment réalistes et s’essaie à la perspective. associations de couleurs, au XIX siècle, ces décors peints

a u e

v s’intercalent sur les claveaux Le château de Villeneuve s’appliquent par ailleurs à un seul d dans une certaine mesure le vert dans la peinture votive de l’église religieux humanise ensuite distinguent ces peintures de leurs

d

s

s d’une ancienne église du prieuré est un conservatoire de peintures bâtiment agricole, le pigeonnier, e et de plus en plus le bleu, du Chastel à Saint-Floret la représentation de la Vierge, modèles. Beaucoup d’églises e c o u l n d u o

clunisien. murales de la Renaissance. emblème de la civilisation viticole

i sont les couleurs dominantes. et prédomine à Issoire dans elle demeure parée jusqu’au du pays conservent de tels décors, q é t i

r e

a Motifs héraldiques et figures auvergnate. Au sommet des murs, t Selon les contextes, l’usage des la représentation du Jugement XVII siècle d’une robe de couleur sans doute en référence g c s

i

o mythologiques, scènes agrestes les génoises de tuiles rouges t couleurs et de leur combinaison dernier, un des thèmes favoris rouge, symbole de son humanité à l’ensemble complet, réalisé u r v L e s A a é peut être porteur de sens. du Moyen âge. et d’un manteau bleu, et combats s’inscrivent en 1859 dans l’abbatiale d’Issoire servaient à protéger les enduits signe de son élection divine. dans une profusion de médaillons à partir des planches d’Anatole de l’eau. et de cartouches. Dauvergne. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page12 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page13

Saint-Nicolas, patron Les ateliers des potiers présentent les réalisations contemporaines C’est autour de Champeix que l’on La qualité des pâtures d’altitude est une des clés de la saveur du Saint-Nectaire des mariniers de l’Allier, d’un savoir-faire plurimillénaire. vient s’approvisionner en pommes. et de la viande salers. à Brassaget. . .

. Mineurs et mariniers L’industrie La tradition fruitière Saveurs fromagères

s n r

e L’exploitation du charbon dans le De l’arkose contemporaine Artisans d’art Les pommiers se plaisent sur les Eau de source Si la fabrication traditionnelle o u i e r t bassin de Brassac prend son essor à l’améthyste Aujourd’hui les industries Installées dans le bassin minier, sols frais et humides des pré-vergers ou nectar de vigne ? du fromage dans les burons a v é a au XVIIe siècle et ne cessera du bassin d’Issoire ne sont plus les maisons passementières des vallées des couzes, irrigués de l’estive a vécu, la transhumance s r D’autres ressources du sol ont fait On doit au volcanisme et aux

c e s s f a i qu’en 1978. Au XIX siècle, dépendantes des ressources et leurs ouvrières à demeure par les béals. Malgré sa nature se poursuit avec les bêtes à viande, t l’objet d’exploitations parfois fractures du socle la présence de e a - s l n i 2 000 bateaux sont construits durables. C’est le cas de l’arkose, du sous-sol et désormais le savoir- réalisaient dans les années 1920 délicate, la “pomme à bateau” sources d’eaux minérales chargées dont la rousse et savoureuse salers a r e u

n chaque année à par d’Auvergne approvisionna Paris aux majestueuses cornes.

d faire prime. Autour de l’alumi- des modèles en perle de jais

q le grès extrait dans le secteur de de gaz, fer et sels minéraux.

n

x e t les charpentiers de la marine. au XVII siècle. Plus que jamais, flore des prairies o nium et de la fonderie, des pour les maisons de mode o i e e Montpeyroux, utilisé du Moyen À Boudes, Saint-Floret et Saurier, t ’

é e e En 1794 on dénombre à Brassac Entre 1900 et 1950, les vergers et sols volcaniques donnent d

v équipements automobile et aéro- parisiennes. Aujourd’hui autour ’ âge au début du XX siècle. une végétation d’affinité maritime,

r i t d

a 321 mariniers, au caractère réputé migrent sur les terrasses aux cinq AOP d’Auvergne nautique, l’industrie locale tient du bois, des arts de la terre e

o À et au pied du Livradois, dite halophile, pousse à leurs

c s e e frondeur, vivant du transport une place majeure à l’échelle na- abandonnées par la viticulture, leurs parfums si reconnaissables : m tuileries, briqueteries, poteries et et de la couleur, nombre abords. Depuis les années 70 r v

i é

a du charbon et des marchandises. le Puy-de-Dôme occupe le fourme d’, cantal, salers, a fours à chaux exploitaient argiles tionale. Pour mémoire, la halle de d’artisans d’art sauvegardent et grâce aux soins constants

f m s - Le commerce du bois de la deuxième rang de la production saint-nectaire et bleu d’Auvergne,

e l’atelier de laminage de la SCAL, et revisitent d’anciens savoir-faire. r et calcaires. À Saint-Germain- des viticulteurs, la vigne a e t i r l t

Margeride et du Livradois française. La canada primait alors sans compter chèvres et brebis. o Lembron, l’usine de la Chadène actuellement Constellium, est Au fil du pays vous rencontrerez s’épanouit à nouveau sur e n v s d a o s’effectue aussi par voie d’eau, utilisait la force hydraulique construite à partir de 1940 sur les forgeron, facteur d’instruments, au sein d’une infinité de variétés deux terroirs historiques Près de Montaigut-le-Blanc,

s c r mais le rail met un terme à la et la gelée de pomme servait de le quartier des caves viticoles

n plans des frères Perret. potiers, émailleurs sur lave, x

u de la couze pour fabriquer du pays. Autour de Boudes, e u o r batellerie sur l’Allier vers 1850. À la même période on doit restaurateurs d’art, etc. matière première à la confiserie de Saint-Julien sert aussi f des couleurs comme le brun Neschers, sous l’appellation

e , i e e r e Au XX siècle se succèdent au clermontoise. Noyers, pruniers, pour l’affinage du saint-nectaire, c e u r Van Dyck, commercialisé à Paris. à Pierre Jeanneret, Jean Prouvé Côtes d’Auvergne (AOC/AOP), l r é l a r

v fond des puits les paysans-mineurs poiriers, pêchers abondaient aussi, également pratiqué par les e Enfin l’améthyste était puisée et Charlotte Perriand les pavillons les viticulteurs reconquièrent c p

u

a t locaux puis une majorité démontables conçus pour sans oublier l’angélique d’Issoire. fromagers dans les caves d’Issoire.

u dans les filons du Livradois les terrasses et plantent pour u c S A a o de mineurs étrangers. pour alimenter en pierre violette répondre à la situation d’urgence principaux cépages pinot noir, d’Auvergne la taillerie de . de 39-40. gamay et chardonnay. ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page14 ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:29 Page15

Saint-Amant- Clermont-Fd Principaux sites du Pays d’art et d’histoire Ardes Issoire Château et peintures murales (MH) D. 213 A. 75 Eglise gothique Saint-Dizaint (MH) Abbatiale Saint-Austremoine (MH) Eglise, tombes rupestres et ossuaire Vic-le-Comte Ville haute, fondation des Mercœurs et vestiges de l’abbaye du Chastel (MH) Place de la République et hôtels Saint-Gervazy particuliers, tour de l’horloge La Sauvetat D D Eglise Saint-Médard (ISMH) Château et église Saint-Gervais (ISMH)- 8 Montpeyroux . Château d’Hauterive : jardin remarquable 7 2 . 9 Anzat-le-Luguet Vierge en Majesté Plauzat 9 25 9 . Parent L’Ailloux 7 Signal du Luguet, Cirque d’Artoux Dolmen d’Unsac, architecture traditionnelle D Eglise romane Notre-Dame de Mailhat Ludesse Yronde- Tour romane de Besse (ISMH) Saint-Hérent et-Buron (MH)-Vierge en majesté Sauvagnat- Sugères Auzat-la-Combelle Eglise de promontoire St-Babel D Eglise Saint-Géraud (ISMH) Ludesse Sainte-Claire, Peintures murales et ossuaire Saint-Nectaire Ste-Marthe . 9 Commanderie de Chaynat (ISMH) CHAMPEIX 96 Carreau et cité minière de La Combelle (ISMH) Montaigut-le-Blanc Neschers Mareugheol Aulhat-St-Privat Egliseneuve-uve- Bansat Saint-Jean Saint-Gervais 6 Fort villageois Fort villageois, église Sainte-Couronne (ISMH) . 99 bon 6 Eglise de promontoire Saint-Jean Baptiste D ham St-YvoineS 9 des-Liardsd rds C 9 Eglise fortifiée Saint-Julien (ISMH) Montaigut-le-Blanc e (ISMH) ouz A Flat . Village de caractère, fortifications, église C Clémensat lli D Boudes Le Mont-Dore e Saint-Yvoine - r Caves de Saint-Julien Verrières r Village viticole, fort villageois e é St-Vincent Pardines SAUXILLANGES Panorama et site de l’église r . Montpeyroux C

Vallée des Saints (espace naturel sensible) d St-Floret s u St-Diéry ISSOIRE n S

Village de caractère, village viticole o Saurier St-Quentin-S n- i

Perrier r t i 6 Brassac-les-Mines e

8 .2 i l 7 St-Cirgues Varennes d D (Plus beau village de France) l 9 Eglise, fort villageois et pont médiéval (ISMH) é

Creste A

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C sur-Sauxillangess ges Musée et carreau de la mine ’ D e

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sur-Usson v sur-Couze Co Tour romane et fortifications (MH), u l z uze Pa Pic, orgues et chapelle de Brionnet e vin a

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Pavin Brenat V

Parentignat carrières, terrasses e

Usson e d r

i Saurier Puy d'Ysson L’E Eglise fortifiée Saint-Barthélémy (ISMH) Sauvagnat-Sainte-Marthe l o au a i St-Rémy- -Mè s r re Neschers s I o St-JeanS Fort villageois, architecture traditionnelle ’

856m de-Chargnat d

Le Broc m

r x Fort villageois s y

i A a en-Val

e Fort villageois, village de caractère - P St-Pierre- l Puy de Brionnet ChaméaneC Sauxillanges

4 / e Nonette s y Tourzel- Vodable Le Broc e 1 z Besse et Colamine lb o Chapelles et vestiges du prieuré clunisien u n a 927m 2 SSt-Etiennenne Chadeleuf o a Ronzières Village de caractère, dyke volcanique r V . t C

St-Martin-

Saint-Anastaise Fort villageois, architecture traditionnelle (ISMH) u ssur-Ussonson t e D

et vestiges du château e

D

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Mégemont 2 . e .3 Mareugheol des-Plains Architecture médiévale et rurale y Chalus u VernetV Eglise Saint-Nicolas (ISMH)- Bords d’Allier N z P

D -

u / 3 6 Ternant- Château (MH), village viticole, chapelles e

o la-Varenne r D Orbeil Solignat 6 2 Ambert C . Le Breuil Mailhat Bansat . 9 u T Villeneuve 99 Notre-Dame et Sainte-Madeleine o D Dauzat-sur les-Eaux Nonette D h Jardin des Senteurs Panorama du puy d’Ysson D sur- . n

o D.48 Lamontgie 9 D B Vodable 9 Chaméane A . Chalus Couze 9 Orsonnette -

La Chapellelle Ternant-les-Eaux C

r - Orsonnette e

Eglise Saint-Pierre aux Liens (ISMH) i r Eglise romane Sainte-Madeleine (MH) l l St-Hérent ssur-Ussonn Eglise Sainte-Marguerite (ISMH) e Saint-Germain-l'HermS i A l ’ La Chapelle- Boudes D. 214 Site Mémoire de la Résistance l d A

Pardines ’ et petit patrimoine l d CChampagnat a Marcousse Auzat- l

Esteil V

Champeix Fort villageois, église a e

Roche-Charles V z le-Jeune

ST-GERMAIN-LEMBRON la-Combelle u Village de caractère, site du Marchidial Tourzel-Ronzières n o Parentignat o r

la-Mayrand C b

Peslières / JUMEAUX Eglises Saint-Jean et Sainte-Croix (ISMH) Eglise de promontoire de Ronzières (ISMH) l o Château, parc et jardins (MH) m i e z Beaulieu Site archéologique L Jardins et pailhats / O

Vichel d

Rentières . 2 Valz-sous Perrier r

s a 3 e G . 4 n

d -

(La) Chapelle-sur-Usson r D r 1 Brassac-les-Mines Village troglodyte Usson Châteauneufuf e ’A 2 e . r B d i C D o . uze Le Montcelet Eglise Saint-Julien (ISMH) Village de caractère (Plus beau village de o s

St-Martin-d’Ollières Plauzat s M I

’ -

France) d 738m Chassagne St-Jean-St-Gervais Eglise Saint-Pierre (MH), é e St-Gervazy t l

Augnat l u i

Charbonnier- a La Godivelle Vestiges de l’abbaye cistercienne Eglise Saint-Maurice (ISMH), pic et orgues v n ARDES fort villageois, fontaine des lions / r u

les-Mines Auzon e i t de Mégemont (MH) volcaniques m Rentières s e m

D n o c .7 o 2 Coudes Eglise Notre-Dame (ISMH) 1 .23 Vernet-la-Varenne s

D n M e

o . n d g Ponts gothique (ISMH) et suspendu, Vallée de Rentières r St-Alyre- la Château de Montfort : Maison de l’améthyste H A l D.

/ Apchat A 5 -

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rives de l’Allier e ès-Montagne et promontoire du Fromental o d g è a p S i

AUDIO5 VISITES au Courgoul . 04 73 55 29 633 Roche-Charles-la-Mayrand u

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Site naturel du plateau et tour du Montcelet M

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Site des pailhats, anciennes terrasses

Promontoire de Roche-Charles, A s D N. 9 A N ’ e .7 . L 1 2 u 0 Villeneuve - 1 Par téléphone mobile de culture 2 chapelle (ISMH) q i

A 8 L h

8 A l Village de caractère p

l 5 P i Dauzat-sur-Vodable a . Saint-Alyre-es-Montagne r Dépliant-carte disponiblee S g

r D A o / Eglise de promontoire Saint-Géraud (ISMH) Château (MH) et hôtel d’Aureilhe (ISMH) t Eglise Saint-Alyre (MH), lac e

Anzat-le-Luguet o h h à l’Office de Tourisme des t r

(Coût communicationion p

Eglise Saint-Claude, architecture traditionnelle e

Esteil Saint-Babel s B t

standard) i d

PPays d’Issoire - Val d’Allier C é Vestiges du prieuré Forêt de la Comté, architecture traditionnelle - Vodable r C Blesle Commentaires audios également téléchargeables sur : M Signal du Luguet (La) Godivelle Saint-Floret Eglise Saint-Mary de Colamine (ISMH)- wwww.paysdissoirevaldalliersud.fr - rubrique “DécouvrirLeLe PPuyuy et visiter”” 1551 Eglise Saint-Blaise, architecture traditionnelle Village de caractère (Plus beau village de Vierge de Majesté, architecture St-Flour Lacs et tourbières, réserve naturelle France) traditionnelle et médiévale Aurillac BrioudeBrioude MH : classé monument historique - ISMH : inscrit monument historique ISSOIRE laissez-vous conter 2014 204x203.xp_Mise en page 1 30/05/2014 08:30 Page16

Le Pays d’Issoire Val d’Allier Sud appartient au réseau national des Villes et Pays d’art et d’histoire... Le Ministère de la culture et de la communication, direction de l’architecture, attribue l’appellation Villes et Pays d’art s

et d’histoire aux collectivités locales qui animent leur patrimoine. e 2 5 9 Il garantit la compétence des guides conférenciers et des animateurs n é i ( … ) . é s , 1 r

du patrimoine et la qualité de leurs actions. s i s i s y e r a

Des vestiges antiques à l’architecture du XXI siècle, les villes et pays n t p l P e e q u a mettent en scène le patrimoine dans sa diversité. s t r u d , P e . m s e r l i

Aujourd’hui, un réseau de 179 villes et pays vous offre son savoir-faire h a t n t o e s r s e à I

sur toute la France. n s s r o u p , ” A - l c e o n e v e

r l à d a Le service animation du patrimoine e g n e i l t l r l e e r A

coordonne les initiatives du Pays d’Issoire Val d’Allier Sud, ’ d u v

l o u g e - d u L , c a

Pays d’art et d’histoire. Il propose toute l’année des animations v s

n A e b l u t

m p a t s pour les habitants, les visiteurs et les scolaires. o m e e a

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g n e o

Il se tient à votre disposition pour tous vos projets. l s s a t i , c t r U ’ d e

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A proximité ’ u n r i m a s t o u r , i c i P o l t

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Billom Saint-Dier, le Haut-Allier, le Forez, Communauté, Moulins, u i d S s n t s e l e l

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le Pays de Saint-Flour et la Communauté d’agglomération du Puy-en-Velay r a o u z H e n r b m e c

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bénéficient de l’appellation Villes et Pays d’Art et d’Histoire. n u t s e c

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Réservation : , p l

e e l e i e t à a i t Agglo PaysPay sd’Issoire d’Issoire t e v i e i s a e b a o u g r b

Val d’Allier Sud a r Service Patrimoine b ’ c l l

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Place duBP Po 90162stillon l n t d r d e C o u z o à 95 rue635 de00 LavaurIssoire s n e

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Tél. 0463504 73 55 Issoire90 48 i g n e r a , d u v e p e e

, l e www.paysdisTél.soir e04va l73da l55lier 94sud 56.fr t u s u m i è c v a s e e h

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9 Pplacelace Saint-PaulSaint-Paul o e C d e D M m é l 6350063500 IssoireIssoire o n d i t Tél.Tél. 0404 7373 8989 1515 9900 wwwissoire-tourisme.com.sejours-issoire.com