Ruellet-Thèse : Infestation Des Coquilles D
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Université de Caen / Basse-Normandie U.F.R. : Institut de Biologie Fondamentale & Appliquée Ecole Doctorale Normande Chimie-Biologie THESE intitulée Infestation des coquilles d'huîtres Crassostrea gigas par les polydores en Basse-Normandie : recommandations et mise au point d’un traitement pour réduire cette nuisance présentée par Thierry RUELLET sous la direction d’Yvan LAGADEUC, Jean-Claude DAUVIN et Joël KOPP en vue de l’obtention du Doctorat de l’Université de Caen Spécialité : Physiologie, Biologie des Organismes, populations, interactions (Arrêté du 25 avril 2002) Soutenue le 28 juin 2004 Membres du Jury : Pr. Jean-Claude DAUVIN, Dir. de la Station Marine de Wimereux Université des Sciences et Technologies de Lille (co-directeur de thèse) Patrick GILLET, Dir. de recherche, Vice-recteur de l’Université Catholique de l’Ouest Université Catholique de l’Ouest, Angers (rapporteur) Philippe GOULLETQUER, Dir. du Laboratoire de Génétique et de Pathologie IFREMER, La Tremblade (rapporteur) Joël KOPP, Cadre de Recherche Conchylicole au Laboratoire Environnement Ressources de Normandie IFREMER, Port-en-Bessin (co-directeur de thèse) Pr. Yvan LAGADEUC, Dir. du Centre Armoricain de Recherches en Environnement Université de Rennes 1 (co-directeur de thèse) Pr. Michel MATHIEU, Dir. du Laboratoire de Biologie et Biotechnologies Marines Université de Caen / Basse-Normandie « Une description absolue de l’espèce sur laquelle il a été formé, et que Bosc a appelée polydore cornue, Polydora cornuta, mettra plus en état d’apprécier la valeur de ce genre que tout ce qu’on pourroit en dire. » L.A.G. Bosc, 1802 in Histoire Naturelle des Vers, contenant leur Description et leurs Mœurs (première description d’une polydore) 2 Avant-propos : Avant même de commencer la présentation de mon travail, il me tient à cœur de remercier certaines personnes, au premier rang desquelles Joël Kopp. Co-directeur de cette thèse, il m’a accueilli en 2000 au sein du Laboratoire Conchylicole de Normandie dont il était alors le responsable. Toujours disponible, bien au-delà de son rôle de co-directeur, il m’a guidé tout au long de ce travail appliqué à la conchyliculture normande qu’il connaît si bien. Je ne peux que l’en remercier et souhaiter bon vent à Moo Noi dans sa nouvelle entreprise. Je souhaite également remercier Jean-Claude Dauvin avec qui j’ai commencé cette étude lors de mon DEA en 2000. Je me souviens encore de cette journée d’octobre 1999 à Banyuls où il proposa à notre promotion le sujet de stage qui allait me faire plonger dans l’univers des polydores. J’étais alors ravi de pouvoir travailler aux côtés d’un éminent spécialiste des polychètes et de collaborer avec la station IFREMER de Port-en-Bessin. C’est tout naturellement qu’il accepta de co-encadrer cette thèse lorsque l’étude pu se poursuivre. C’est au cours du même séminaire de DEA que je fis connaissance avec Yvan Lagadeuc, alors Professeur à l’IUT de Caen. Ces cours avaient captivé l’ensemble de l’assistance mais étaient bien loin de mon sujet de recherche. Quelle ne fut donc pas ma surprise quand j’appris qu’il avait étudié les polydores à Wimereux. Lorsqu’il fallut trouver un co-directeur de thèse basé à Caen, c’est donc évidemment à lui que nous nous sommes adressés. Je tiens à lui exprimer ma sincère reconnaissance d’avoir accepté cette tâche. Je me dois aussi de remercier Paul Nival d’une part de m’avoir fait confiance en me prenant dans son DEA, et d’autre part de m’avoir permis de faire un stage orienté « ressources vivantes » alors que j’étais inscrit dans la filière modélisation. Je lui dois encore un grand merci. Depuis 2000, que de monde a séjourné dans le bureau où je suis. Tout ce petit monde m’a été fort sympathique. La bonne humeur de chacun a permis de rendre ce séjour agréable et je leur dois donc un grand merci. J’en garderais un bon souvenir. Tout d’abord celui d’une collègue et amie, Florence Cornette, qui m’a accueilli dans la communauté portaise et dans son bureau en septembre 2000. Son dynamisme et sa joie de vivre n’avaient pu que me sauter aux yeux quelques mois auparavant lorsqu’elle débarqua à la SMW pour m’aider à trouver un vermifuge efficace sur les polydores. Flo me fit ensuite découvrir la Normandie. C’est avec plaisir que nous avons pu travailler ensemble, tant sur le terrain qu’au laboratoire. Outre son amitié, je lui dois l’idée des radiographies et sa collaboration dans cette manip. Encore merci pour tout. Quelques semaines après mon arrivée, Gregory Messiaen vint remplacer temporairement Michel Ropert parti faire quelques acrobaties à l’autre bout du monde. Greg a apporté sa pierre à l’édifice de la bonne ambiance de travail, et ne peut donc qu’en être remercier. Quelques mois après, Charlotte Simonne rejoignit l’équipe. Elle apporta sa bonne humeur normande et accepta par la suite de former aux dosages biochimiques un stagiaire pour effectuer les analyses présentées dans cette thèse. Je me dois aussi de la remercier pour les marées « périlleuses » à Lestre et à Utah. Promis : la prochaine fois je fournis palmes, masque et tuba à la place des waders. Bien avant que le stagiaire bioch’ n’arrive, je me mis à encadrer une autre stagiaire de maîtrise à qui je dois un grand merci pour les longues heures passées les yeux rivés à la binoculaire. Valérie Laisney m’a en effet permis d’établir les premières cartographies expérimentales de l’infestation en Baie des Veys. Nous étions alors quatre dans le bureau. Puis les mois passèrent et Bénédicte Mundreuil arriva, reprenant la place laissée vacante par Valérie. En plus du travail qu’elle menait dans le cadre de son stage de fin d’étude, Béné m’aida à plusieurs reprises dans les comptages d’huîtres. Merci notamment pour Lestre. Puis Flo s’en alla retrouver La Tremblade. Nous nous retrouvions à regret de nouveau à trois. Pas pour bien longtemps car Sylvain arriva quelques semaines plus tard, et avec lui son flot de questions fondamentales (je n’en doute pas) mais qui restent pour moi encore énigmatiques. Si vous savez combien un goéland rejette d’excréments par 3 an, je lui transmettrai la réponse. En tout cas merci car ces questions ont l’art de détendre l’atmosphère. Sylvain parti, Virginie Hugonnet arriva peu de temps avant que Bénédicte ne parte-t-elle aussi. Qui a dis que les Portais n’étaient pas accueillants ? S’il fallait un exemple de franchise et de bonne humeur malgré les difficultés rencontrées au travers de la précarisation des postes, je citerai sans hésiter Virginie. Qu’elle en soit remerciée. Nous nous retrouvâmes que tous les deux lorsque Charlotte eue son bureau suite à l’extension de la station. Là encore, cela ne dura pas très longtemps car ce bureau déteste le vide. Je pris Jérôme Werda en stage pour analyser la qualité de chair des huîtres traitées à Lestre. Il cohabita donc avec nous. Je me dois de le remercier pour les analyses mais aussi sa ténacité car dès qu’un résultat était douteux, il recommençait les analyses de lui-même quel que soit son emploi du temps. Les stages ne durent qu’un temps et de nouveau nous n’étions plus que deux. Puis vint l’été et avec lui Sophie Baguenard. Que lui dire si ce n’est merci pour tous ces week- end et soirées avec l’équipe du foyer qui m’ont permis de travailler détendu ?. Merci aussi à Sophie pour son amitié et ses encouragements. Quelques mois passèrent et Anne-Laure séjourna quelques temps ici. Elle amena une grande nouveauté dans le bureau : le silence absolu, fort appréciable en période de rédaction. Puis Virginie s’en alla et je me retrouva seul dans ce grand bureau. Au moment où je rédige ses quelques lignes, il y a encore une nouvelle tête : Fabienne. Toujours souriante, en quelques semaines seulement tout le labo lui doit déjà un grand merci pour les spécialités culinaires bretonnes. Je n’oserais plus jamais faire de crêpes tant la comparaison est impossible. En dehors de ce bureau, c’est aussi toute une équipe qui est à Port-en-Bessin. Je voudrais ici la remercier en particulier pour le travail accompli : les prélèvements de plancton par les ex-DEL-PB, les mesures de classe de taille et la réalisation des vidéos avec le matériel de RH (merci à Marie-Laure de m’avoir si souvent prêté sa salle), les prélèvements et les comptages avec les ex-LCN (merci à Michel et à Eric), et les nombreux dépannages informatiques (merci à Michel et à Philippe). Merci aussi à Eric, Nico, Charlotte, Joël (désolé pour ceux que j’oublis) de m’avoir si souvent signalé ou approvisionné en renards, blaireaux, oiseaux, … Le présent travail n’aurait pas été possible sans l’aide de nombreux ostréiculteurs. Je voudrais remercier en particulier Patrick Perdriel pour avoir hébergé le point (parfois envahissant) de suivi temporel en Baie des Veys. Merci également à Jacques Desprès d’avoir hébergé le point de suivi temporel à Utah Beach et merci pour les moules (les meilleures de la région). Merci aussi à Eric Leterrier d’avoir hébergé l’essai grandeur nature de saumurage et d’avoir fourni les huîtres pour cette manip. Merci également à Franck Garnier pour la manip de transfert, à Francis Trébutien pour les premiers essais de saumurage, et à l’ensemble des professionnels qui ont accepté de me fournir les échantillons nécessaires à la réalisation de ce travail.