Just Playing Mad: Irrationalism in Automatism Via Claude Gauvreau
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X Ecrits II 1. Journal, Correspondance (1923-1953) BIBLIOTHÈQUE DU NOUVEAU MONDE comité de direction Roméo Arbour, Yvan G. Lepage, Laurent Mailhot, Jean-Louis Major De Paul-Emile Borduas dans la même collection Ecrits I (André-G. Bourassa, Jean Fisette et Gilles Lapointe) La « Bibliothèque du Nouveau Monde » entend constituer un ensemble d'éditions critiques de textes fondamentaux de la littérature québécoise. Elle est issue d'un vaste projet de recherche (CORPUS D'ÉDITIONS CRITIQUES) administré par l'Université d'Ottawa et subventionné par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. BIBLI OTHÈ QU E DU NOUVEAU MONDE Paul-Emile Borduas Écrits II 1. Journal, Correspondance (1923-1953) Édition critique par ANDRÉ-G. BOURASSA et GILLES LAPOINTE Université du Québec à Montréal 1997 Les Presses de l'Université de Montréal C. P. 6128, succursale Centre-Ville, Montréal (Québec), Canada H3C 3J7 Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada a contribué à la publication de cet ouvrage. Données de catalogage avant publication (Canada) Borduas, Paul-Emile, 1905-1960 (Bibliothèque du Nouveau Monde) Écrits II, tome 1 : Journal, Correspondance (1923-1953) Édition critique / André-G. Bourassa (1936- ) et Gilles Lapointe (1953-) Comprend des références bibliograhiques. ISBN 2-7606-1690-8 ND249.B6B67 1987 759.11 C88-004202-8 «Tous droits de traduction et d'adaptation, en totalité ou en partie, réservés pour tous les pays. La reproduction d'un extrait quelconque de ce livre, par quelque procédé que ce soit, tant électronique que mécanique, en particulier par photocopie et par microfilm, est interdite sans l'autorisation écrite de l'éditeur.» ISBN 2-7606-1692-4 (tomes 1 et 2) ISBN 2-7606-1690-8 (tome 1) Dépôt légal, 1er trimestre 1997 Bibliothèque nationale du Canada Bibliothèque nationale du Québec © Les Presses de l'Université de Montréal, 1997 Paul-Emile Borduas, Paris, 1957; à l'arrière-plan, Composition n° 35 (photo Philip Pocock). -
Une Bibliographie Commentée En Temps Réel : L'art De La Performance
Une bibliographie commentée en temps réel : l’art de la performance au Québec et au Canada An Annotated Bibliography in Real Time : Performance Art in Quebec and Canada 2019 3e édition | 3rd Edition Barbara Clausen, Jade Boivin, Emmanuelle Choquette Éditions Artexte Dépôt légal, novembre 2019 Bibliothèque et Archives nationales du Québec Bibliothèque et Archives du Canada. ISBN : 978-2-923045-36-8 i Résumé | Abstract 2017 I. UNE BIBLIOGraPHIE COMMENTÉE 351 Volet III 1.11– 15.12. 2017 I. AN ANNOTATED BIBLIOGraPHY Lire la performance. Une exposition (1914-2019) de recherche et une série de discussions et de projections A B C D E F G H I Part III 1.11– 15.12. 2017 Reading Performance. A Research J K L M N O P Q R Exhibition and a Series of Discussions and Screenings S T U V W X Y Z Artexte, Montréal 321 Sites Web | Websites Geneviève Marcil 368 Des écrits sur la performance à la II. DOCUMENTATION 2015 | 2017 | 2019 performativité de l’écrit 369 From Writings on Performance to 2015 Writing as Performance Barbara Clausen. Emmanuelle Choquette 325 Discours en mouvement 370 Lieux et espaces de la recherche 328 Discourse in Motion 371 Research: Sites and Spaces 331 Volet I 30.4. – 20.6.2015 | Volet II 3.9 – Jade Boivin 24.10.201 372 La vidéo comme lieu Une bibliographie commentée en d’une mise en récit de soi temps réel : l’art de la performance au 374 Narrative of the Self in Video Art Québec et au Canada. Une exposition et une série de 2019 conférences Part I 30.4. -
Osu1199254932.Pdf (640.26
FROM MUSE TO MILITANT: FRANCOPHONE WOMEN NOVELISTS AND SURREALIST AESTHETICS DISSERTATION Presented in Partial Fulfillment of the Requirements for the Degree Doctor of Philosophy in the Graduate School of The Ohio State University By Mary Anne Harsh, M.A. ***** The Ohio State University 2008 Dissertation Committee: Approved by Professor Danielle Marx-Scouras, Advisor Professor Karlis Racevskis ______________________________ Advisor Professor Sabra Webber French and Italian Graduate Program ABSTRACT In 1924, André Breton launched the Surrealist movement in France with his publication of Manifeste du surréalisme. He and his group of mostly male disciples, prompted by the horrors of World War I, searched for fresh formulas for depicting the bizarre and inhumane events of the era and for reviving the arts in Europe, notably by experimenting with innovative practices which included probing the unconscious mind. Women, if they had a role, were viewed as muses or performed only ancillary responsibilities in the movement. Their participation was usually in the graphic arts rather than in literature. However, in later generations, francophone women writers such as Joyce Mansour and Suzanne Césaire began to develop Surrealist strategies for enacting their own subjectivity and promoting their political agendas. Aside from casual mention, no critic has formally investigated the surreal practices of this sizeable company of francophone women authors. I examine the literary production of seven women from three geographic regions in order to document the enduring capacity of surrealist practice to express human experience in the postcolonial and postmodern era. From the Maghreb I analyze La Grotte éclatée by Yamina Mechakra and L'amour, la fantasia by Assia Djebar, and from Lebanon, L'Excisée by Evelyne Accad. -
Le Cercle Des Automatistes Et La Différence Des Femmes »
CORE Metadata, citation and similar papers at core.ac.uk Provided by Érudit Article « Le cercle des automatistes et la différence des femmes » Rose Marie Arbour Études françaises, vol. 34, n°2-3, 1998, p. 157-173. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/036107ar DOI: 10.7202/036107ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : [email protected] Document téléchargé le 12 février 2017 09:09 Le cercle des automatistes et la différence des femmes ROSE MARIE ARBOUR À Montréal, dans les divers mouvements qui ont marqué les décennies trente, quarante et cinquante, la « question des femmes » n'existait pas pour les historiens et pour les critiques d'art, ni pour les artistes elles-mêmes, du moins pas dans les termes qui caractériseront cette problématique à partir des années soixante-dix. Cela ne signifie pas qu'une conscience de l'identité sexuelle n'existait pas alors, selon des conceptions propres à cette période1. -
1945-2019 EG : Exposition De Groupe ES
Catalogue raisonné de Jean Paul Riopelle Liste des expositions et bibliographie – 1945-2019 EG : exposition de groupe ES : exposition solo ED : exposition en duo 1945 EG : 62e Salon du printemps, Musée des beaux-arts de Montréal, cat., 5-29 avril 1945. BIBLIOGRAPHIE Paul Duval. « Montreal Artists EstablisHing New Landmarks in Canadian Art ». Saturday Night, 10 novembre 1945, p. 24. 1946 EG : The Borduas Group, Studio Boas, New York. Borduas, Gauvreau, Leduc, Mousseau, Riopelle et Viau, janvier 1946. EG : Septième exposition annuelle de peintures et dessins, Société d’art contemporain, Musée des beaux-arts de Montréal, cat., 2-14 février 1946. EG : Exposition automatiste, 1257, rue AmHerst à Montréal. Borduas, Barbeau, Leduc, Mousseau, Gauvreau, Fauteux et Riopelle, 20-29 avril 1946. 1947 Signature du manifeste Rupture inaugurale avec le groupe d’André Breton le 21 juin 1947. EG : Automatisme, Galerie du Luxembourg, Paris, avec Barbeau, Borduas, Fauteux, Leduc, Mousseau et Riopelle, 20 juin-13 juillet 1947. Mise à jour : 20 décembre 2019. EG : Le Surréalisme en 1947, Exposition internationale du surréalisme, Galerie MaegHt, Paris, présentée par André Breton et Marcel DucHamp, cat. Pierre à feu, MaegHt Éditeur, 7 juillet-30 septembre 1947. EG : Salon des Surindépendants, Paris, octobre 1947. ED : Mousseau-Riopelle, cHez Muriel Guilbault, 374, rue SHerbrooke Ouest à Montréal, 29 novembre-14 décembre 1947. EG : Mezinárodní Surrealismus, Topicuv Salon, Prague, avec Baskine, Bellmer, Brauner, Bouvet, Donati, Ernst, Herold, Jean, Kiesler, Kujavski, Lam, Matta, Miró, Riopelle, Serpan, Tanguy, Toyen, Trouille et Younane, cat. EG : L’Imaginaire, Galerie du Luxembourg, Paris. Exposition présentée par J.J. MarcHand, avec Arp, Atlan, Brauner, Bryen, Hartung, Leduc, Mathieu, Picasso, Riopelle, Solier, Ubac, Verroust, Vulliamy et Wols. -
Le Discours Muséal À Travers L'exposition Des Collections De
Université de Montréal Le discours muséal à travers l’exposition des collections de quatre musées d’art: Montréal, Québec, Joliette et Sherbrooke par Nathalie Houle Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques Faculté des arts et des sciences Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de Maîtrise ès arts (M.A.) en histoire de l’art août 2013 © Nathalie Houle , 2013 Université de Montréal Faculté des études supérieures Ce mémoire intitulé : Le discours muséal à travers l’exposition des collections de quatre musées d’art : Montréal, Québec, Joliette et Sherbrooke Présenté par : Nathalie Houle A été évalué par un jury composé des personnes suivantes : Nicole Dubreuil Président-rapporteur Christine Bernier Directrice de recherche Johanne Lamoureux Membre du jury RÉSUMÉ Les musées d’art sont des lieux privilégiés pour contempler les productions artistiques du passé et d’aujourd’hui. En vertu de leur mandat, ceux-ci ont la tâche difficile de concilier leurs fonctions de délectation et d’éducation du public. Certains favorisent une approche plutôt que l’autre, mais tous portent un regard subjectif sur ce qu’ils exposent. Même si les œuvres semblent être disposées naturellement dans les salles, tout ce qui relève de la conception et de la réalisation des expositions est savamment construit et résulte d’un parti-pris de la part du musée. En fonction de ses choix, c’est-à-dire de ce qu’elle présente ou non et comment elle le fait, l’institution muséale participe à la définition de ce qu’est l’art et influence la signification des œuvres. -
Whose Canada?Canada? Ernest Mayer, Courtesy of the Winnipeg Art Gallery
FEATURE STORY WHOSEWHOSE CANADA?CANADA? GALLERY OF CANADA; TRANSFER FROM TRANSPORT CANADA NATIONAL CENTRE LEFT: COURTESY OF THE WINNIPEG ART GALLERY. ERNEST MAYER, PHOTOGRAPH: OF THE WOMEN’S COMMITTEE AND WINNIPEG FOUNDATION; ACQUIRED WITH THE ASSISTANCE COLLECTION OF THE WINNIPEG ART GALLERY. TOP RIGHT: THE ART GALLERY OF ONTARIO. THE THOMSON COLLECTION AT TOP LEFT: GALLERY OF CANADA; GIFT A. SIDNEY DAWES NATIONAL RIGHT: GALLERY OF CANADA. BOTTOM NATIONAL CENTRE RIGHT: PHOTOGRAPHER: ERNEST MAYER. OF MR. AND MRS. BERNARD NAYLOR; ESTATE GIFT FROM THE COLLECTION OF THE WINNIPEG ART GALLERY; BEQUEST OF CHARLES S. BAND. TOP RIGHT: ART GALLERY OF ONTARIO, LEFT: Artists show us our country and ourselves WINTER in many different ways. A Winter Incident about 1860 Cornelius Krieghoff oil on canvas, 32.8 X 45.8 cm What happened here?!! Kitchen Door with Ursula 1966 Christiane Pflug oil on canvas, 164.8 x 193.2 cm Can you see spring in this winter picture? Winter Landscape 1956 Jean-Paul Lemieux oil on canvas, 57.2 x 104.4 cm No Big Deal For most of Canada’s past, art has simply Library Alamy and Archives Canada, been a part of regular life. Susanna Moodie found time in the busy life of an early Ontario settler to capture the beauty around her, like these wild roses. The owl mask on the right was created by Gilbert Dawson, a Kwagiulth carver from Vancouver Island. Masks representing spirits, animals and people have been used in Kwakwaka’wakw dances and ceremonies for thousands of years. 66 KAYAK DEC 2018 Kayak_66.indd 6 2018-11-12 4:08 PM BUILDINGS TOP LEFT: THE THOMSON COLLECTION AT THE ART GALLERY OF ONTARIO. -
Exhibitions, Manifestos, and the Seventieth Anniversary of Refus Global Ray Ellenwood
Document generated on 09/29/2021 1:23 a.m. RACAR : Revue d'art canadienne Canadian Art Review Exhibitions, Manifestos, and the Seventieth Anniversary of Refus global Ray Ellenwood Volume 44, Number 1, 2019 URI: https://id.erudit.org/iderudit/1062156ar DOI: https://doi.org/10.7202/1062156ar See table of contents Publisher(s) UAAC-AAUC (University Art Association of Canada | Association d'art des universités du Canada) ISSN 0315-9906 (print) 1918-4778 (digital) Explore this journal Cite this review Ellenwood, R. (2019). Review of [Exhibitions, Manifestos, and the Seventieth Anniversary of Refus global]. RACAR : Revue d'art canadienne / Canadian Art Review, 44(1), 99–105. https://doi.org/10.7202/1062156ar Tous droits réservés © UAAC-AAUC (University Art Association of Canada | This document is protected by copyright law. Use of the services of Érudit Association d'art des universités du Canada), 2019 (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. https://apropos.erudit.org/en/users/policy-on-use/ This article is disseminated and preserved by Érudit. Érudit is a non-profit inter-university consortium of the Université de Montréal, Université Laval, and the Université du Québec à Montréal. Its mission is to promote and disseminate research. https://www.erudit.org/en/ Exhibitions, Manifestos, and the Seventieth Anniversary of Refus global Reviews | Recensions Ray Ellenwood August 8, 2018, was the 70th anniver- sary of the publication of Refus global, the manifesto of a multi-disciplin- ary group of Montreal artists called the Automatists, widely recognized as important avant-garde figures in the history of Canadian modern- ism. -
Refus Global Went on Sale in Montreal on 6 August 1948, It Waws a Pivota.I Moment for the Group Which Produced It
THE AUTOMATIST MOVEMENT OF MONTREAL Towards Non-Figuration in Painting, Dance, and Poetry Ray Ellenwood "... il faut sentir vraiment autre chose dans la matière verbale que de plates similitudes logiques pour pouvoir vibrer à la poésie." — [Claude Gauvreau] HEN Refus global went on sale in Montreal on 6 August 1948, it waws a pivota.i moment for the group which produced it. Only a few months earlier, they had been dubbed "les automatistes" by a local journalist and the name stuck, appropriate or not. Although the lead manifesto was written by a painter, Paul-Emile Borduas, it was signed by fifteen other people who were active in various artistic pursuits and Borduas' manifesto was only one part of a substantial publication which included photographs of paintings and people, as well as eight other texts, among them three short dramatic pieces by Claude Gauv- reau and an essay on dance by Françoise Sullivan. Refus global1 was a squaring of accounts in many ways. Borduas' major text was a broadly political statement after the European mode, calling for a revolution in sensibility, condemning a Quebec society which he found repressed and repres- sive. Public reaction in 1948 was almost entirely focussed on the lead manifesto and its social commentary. Not surprisingly, interest in Refus global as a primary docu- ment of Quebec's "quiet revolution" has continued over the years. I would like to concentrate, however, on the Automatists as a group of artists, predominantly but not exclusively painters, who sought to define themselves not only in opposition to an academic establishment but also in contrast to related branches of modernism such as Surrealism. -
Toronto Improvisation, Abstract Expressionism, and the Artists' Jazz
Critical Studies in Improvisation / Études critiques en improvisation, Vol. 11, Nos. 1-2 “We Can Draw!”: Toronto Improvisation, Abstract Expressionism, and the Artists’ Jazz Band David Neil Lee The improvised performance practice that came to be known as “free jazz” burst into prominence around 1960, and soon proved itself a genre extremely permeable to influences from other artistic disciplines. It was, as John Szwed writes, “. played by musicians who often seemed to have completely escaped the jazz recruitment process. They were classically trained virtuosos and musical illiterates, intellectuals and street rebels, and highbrows disguised as primitives” (Szwed 236). Ted Gioia calls the first free jazz musicians “. almost all outsiders . an outgrowth of the bohemians and ‘angry young men’ of the 1950s” (Gioia 311). To make the members of this new movement even harder to pigeonhole, George E. Lewis points out that the new music’s emergence “was a multiregional, multigenre, multiracial, and international affair” (Lewis 40). If there was any consistency among these varied practitioners, it lay in their identification—imposed either by themselves or by their circumstances—as, in Gioia’s terminology, “outsiders,” and in their adoption of the music, what Lewis describes as “a symbolic challenge to traditional authority” (40). Over the previous two decades, abstract expressionist art had been evolving a similar language of resistance, positioning itself as a symbolic challenge to authority. It also polarized opinions in the visual art world just as free improvisation would do in the jazz world. Serge Guilbaut, for instance, writes that Jackson Pollock’s work was seen as “. ‘unpredictable, undisciplined, explosive’ . -
Le Cercle Des Automatistes Et La Différence Des Femmes Rose Marie Arbour
Document généré le 30 sept. 2021 15:18 Études françaises Le cercle des automatistes et la différence des femmes Rose Marie Arbour L’automatisme en mouvement Résumé de l'article Volume 34, numéro 2-3, automne–hiver 1998 À la parution de Refus global, l'abstraction en peinture était la voie royale et logique pour marquer la rupture avec la tradition artistique et une société URI : https://id.erudit.org/iderudit/036107ar conservatrice. C'est dans ce contexte d'affrontement de l'abstraction gestuelle DOI : https://doi.org/10.7202/036107ar que les automatistes se sont fait connaître et que les stratégies du groupe se sont définies. Une telle conjoncture explique l'effacement de pratiques Aller au sommaire du numéro artistiques multidisciplinaires auxquelles les femmes du groupe étaient toutes reliées. C'est seulement beaucoup plus tard que le rôle des femmes artistes et leur apport multidisciplinaire au mouvement automatiste ont été réévalués, nous donnant une image plus complexe des rapports de pouvoir et de Éditeur(s) légitimation symbolique qui avaient alors cours au sein du groupe. Les Presses de l'Université de Montréal ISSN 0014-2085 (imprimé) 1492-1405 (numérique) Découvrir la revue Citer cet article Arbour, R. M. (1998). Le cercle des automatistes et la différence des femmes. Études françaises, 34(2-3), 157–173. https://doi.org/10.7202/036107ar Tous droits réservés © Les Presses de l'Université de Montréal, 1998 Ce document est protégé par la loi sur le droit d’auteur. L’utilisation des services d’Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d’utilisation que vous pouvez consulter en ligne. -
Théorisation Et Contextualisation Des Microchromies Dans Le Cheminement Artistique Et Spirituel De Fernand Leduc
Université de Montréal Théorisation et contextualisation des microchromies dans le cheminement artistique et spirituel de Fernand Leduc par Marianne Blais-Racette Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques Faculté des arts et des sciences Mémoire présenté en vue de l’obtention du grade de Maître ès arts (M.A.) en histoire de l’art Août 2018 © Marianne Blais-Racette, 2018 Résumé Notre travail propose une lecture à la fois théorique et contextuelle des œuvres de Fernand Leduc produites à partir des années 1970 : les microchromies. Cherchant d’abord à comprendre le fonctionnement intrinsèque de ces œuvres, nous analysons de manière formelle quatre microchromies en portant une attention particulière sur les problématiques que chacune tente d’élucider. Le regard que nous portons sur les microchromies s’appuie sur les relations qu’entretient l’œuvre d’art avec la littérature de l’artiste, permettant ainsi de cerner l’évolution de sa pensée et de son art. Par cette double lecture, nous sommes en mesure d’inscrire les microchromies dans un cheminement long de plus de soixante-dix ans d’expérimentations artistiques et d’explorations spirituelles. À cet effet, nous analysons les courants artistiques et les philosophies qui ont, de près ou de loin, participé à la métamorphose de la démarche picturale de l’artiste. Les microchromies étant les œuvres les plus tardives de la carrière de Leduc, nous en proposons une analyse comparative avec les œuvres du début de sa carrière dans le but d’élucider ce cheminement continuel. Ainsi, il nous est possible de déterminer en quoi les microchromies peuvent être, ou non, inscrites dans la « rythmique du dépassement » en tant qu’aboutissement de sa carrière.