French Constitutionalism Elisabeth Zoller
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
Load more
Recommended publications
-
Gardes Des Sceaux En France, D'hier Et D'aujourd'hui
GARDES DES SCEAUX EN FRANCE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI GARDES DESGARDES D’AUJOURD’HUI ET D’HIER EN FRANCE, SCEAUX GARDES DES SCEAUX EN FRANCE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI ÉDITO Depuis près de 300 ans, sans interruption, la Chancellerie située place Vendôme, accueille les chanceliers de France, gardes des sceaux et ministres de la justice.Une fonction qui existe, elle, depuis 1545. Située sur l’une des plus prestigieuses places de Paris, la Chancellerie témoigne en ces lieux de la pérennité de l’État. Danton, d’Aguesseau, Cambacérès ... les noms de personnalités illustres résonnent dans l’hôtel de Bourvallais comme pour en scander l’histoire. Tous y ont laissé leur empreinte. Extension, embellissement de l’hôtel d’une part, affirmation de la fonction de ministre de la justice de l’autre, ainsi se sont entremêlés pendant près de trois siècles architecture, art et politique. GARDES DES SCEAUX · ANCIEN RÉGIME FRANÇOIS OLIVIER 28 avril 1545 - 22 mai 1551 Rois de France : François Ier et Henri II © Gallica.bnf.fr/Bibliothèque nationale de France 5 GARDES DES SCEAUX · ANCIEN RÉGIME JEAN DE BERTRAND 22 mai 1551- 10 juillet 1559 Roi de France : Henri II © Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais/image château de Versailles 6 GARDES DES SCEAUX · ANCIEN RÉGIME FRANÇOIS OLIVIER 10 juillet 1559 - 2 janvier 1560 Roi de France : François II © Gallica.bnf.fr/Bibliothèque nationale de France 7 GARDES DES SCEAUX · ANCIEN RÉGIME JEAN DE MORVILLIER fin avril 1560 - 2 juin 1560 Roi de France : François II © Gallica.bnf.fr/Bibliothèque nationale de France 8 GARDES -
1958-1968. La Création Des Centres Hospitaliers Et Universitaires
LA GRANDE HISTOIRE DES CHU CHAPITRE 2 1958-1968. LA CRÉATION DES CENTRES HOSPITALIERS ET UNIVERSITAIRES Le 31 mai 1958, Pierre Pflimlin, président du Conseil, démissionne. Le 1er juin, l’Assemblée nationale investit le gouvernement du général de Gaulle, qui est nommé prési- dent du Conseil, doté de pouvoirs spéciaux. La Constitution de la Ve République est approuvée par réfé- rendum le 28 septembre, et de Gaulle est élu président de la République le 21 décembre. Il reste chef du gouverne- ment et ne prend ses fonctions présidentielles que le 8 jan- vier 1959. Ce même jour, Michel Debré est nommé Premier ministre ; Georges Pompidou lui succédera, du 14 avril 1962 au 21 février 1968. Les trois ordonnances de décembre 1958 : une nouvelle politique hospitalière La création du CHU est précédée, sinon préparée, par trois ordonnances importantes. Celle du 11 décembre 1958, accompagnée du décret n° 58-1202, portant réforme hospi- 39 L E CHU, L ’ HÔPITAL DE TOUS LES DÉFIS LA GRANDE HISTOIRE DES CHU talière, fonde trois instances nationales ayant pour missions ORDONNANCE N° 58-1373 DU 30 DÉCEMBRE 1958 la conception de la nouvelle politique hospitalière et le contrôle de sa mise en œuvre : la Commission nationale de Art. 1er - Dans les villes sièges de facultés de médecine, de facul- l’équipement hospitalier, le Conseil supérieur des hôpitaux tés mixtes de médecine et de pharmacie, ou d’écoles nationales et le Conseil supérieur de la fonction hospitalière. Les de médecine et de pharmacie, les facultés ou écoles et les cen- commissions administratives des hôpitaux voient leurs tres hospitaliers organisent conjointement l’ensemble de leurs membres passer de sept à neuf, dont trois représentant le services en centres de soins, d’enseignement et de recherche, conseil municipal. -
La Constitution De 1958 À Nos Jours
PHILIPPE BLACHÈR JEAN GARRIGUES PRÉFACE DE JEAN-LOUIS DEBRÉ Fait à Paris, le 4 octobre 1958, René Coty. Le président du Conseil des ministres, Charles de Gaulle ; le ministre d’État, Guy Mollet ; le ministre d’État, Pierre Pflimlin ; le ministre d’État, Félix Houphouët- Boigny ; le ministre d’État, Louis Jacquinot ; le ministre délégué à la présidence du Conseil,4 André Malraux ; le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Michel Debré ; le ministre des Affaires étrangères, Maurice Couve de Murville ; le ministre de l’Intérieur, Émile Pelletier ; Reproduction des signatures apposées sur l’original de la Constitution de 1958. le ministre des Armées, Pierre Guillaumat ; le ministre des Finances et des Affaires économiques, Antoine Pinay ; le ministre de l’Éducation nationale, Jean Berthoin ; le ministre des Travaux publics, des Transports et du Tourisme, Robert Buron ; le ministre de l’Industrie et du Commerce, Édouard Ramonet ; le ministre de l’Agriculture, Roger Houdet ; le ministre de la France d’Outre-mer, Bernard5 Cornut-Gentille ; le ministre du Travail, Paul Bacon ; le ministre de la Santé publique et de la Population, Bernard Chenot ; le ministre de la Construction, Pierre Sudreau ; le ministre des Anciens Combattants et Victimes de guerre, Edmond Michelet ; le ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones, Eugène Thomas ; le ministre du Sahara, Max Lejeune ; le ministre de l’Information, Jacques Soustelle ; le ministre délégué à la présidence du Conseil, André Boulloche. SOMMAIRE 11 PRÉFACE Jean-Louis Debré 15 AUX ORIGINES DE -
Mobile Health Teams, Decolonization, and the Eradication Era in Cameroon, 1945-1970 Sarah Cook Runcie
Mobile Health Teams, Decolonization, and the Eradication Era in Cameroon, 1945-1970 Sarah Cook Runcie Submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy in the Graduate School of Arts and Sciences Columbia University 2017 © 2017 Sarah Cook Runcie All rights reserved Abstract Mobile Health Teams, Decolonization, and the Eradication Era in Cameroon, 1945-1970 Sarah Cook Runcie This dissertation examines the intersecting changes of African decolonization and the post-World War II internationalization of public health by showing how Cameroonian and French health officials shaped global health programs on the ground in the 1950s and 60s. I approach this topic through the lens of two tightly interwoven developments in Cameroon: the history of colonial mobile health teams created by French military doctors and the advent of postwar global disease eradication campaigns. While colonial medicine and international health are typically treated as distinct historical subjects, I argue that global disease eradication programs in this period in Cameroon relied entirely on colonial mobile health teams and their reformulation after independence as a basis of infrastructure, personnel and knowledge. I specifically assert that Cameroonian and French health officials positioned mobile health teams as cornerstones of national health policy and regional health coordination in Central Africa and, in turn, as the basis for operations of attempted global disease eradication programs within Cameroon. As Cameroonian, French and international health officials negotiated the work of the mobile health teams through decolonization and the first decade of the independence, they were moreover charting new structures of authority and control over medicine and public health between the global and the local, and forging an international politics of public health rooted in the particular tensions of decolonization in the country. -
« Une Prise En Main Rigoureuse De L'appareil D'etat D'état
David Valence, « “Une prise en main rigoureuse de l’appareil d’État ?” Le pouvoir gaulliste face aux hauts fonctionnaires (1958-1962) », Histoire@Politique. Politique, culture, société, N°12, septembre- décembre 2010, www.histoire-politique.fr « Une prise en main rigoureuse de l’appareil d’État ? » Le pouvoir gaulliste face aux hauts fonctionnaires (1958-1962) David Valence Malgré son caractère polémique, le livre que publie en 1963 Jacques Duclos, numéro deux du Parti communiste français (PCF), sous le titre de Gaullisme, technocratie, corporatisme1 reprend un constat que formulaient beaucoup d’observateurs en ce début des années soixante : celui de l’identification du régime aux élites de la haute fonction publique2, dans un double mouvement de fonctionnarisation du politique et de politisation de l’administration. L’impression prévalait que la Ve République recrutait plus qu’auparavant ses hommes de pouvoir — ministres, élus ou membres de cabinets ministériels — au sein des élites administratives, tandis que le volontarisme du général de Gaulle contribuait à ouvrir un peu plus les carrières économiques, financières et de l’aménagement du territoire aux grands commis de l’État. Les premières années de la Ve continuent, aujourd’hui encore, d’être comprises comme l’âge d’or d’une certaine vision de l’action publique, fondée sur des analyses d’experts et conduite avec un souci maximal d’efficacité, fût-ce au détriment des préoccupations électorales. L’érection des hauts fonctionnaires en figure archétypale de la République gaullienne décourage apparemment tout questionnement sur les origines de cette identification. Comment les grands commis de l’État et le pouvoir politique en sont-ils venus à se confondre à ce point dans l’opinion publique de cette époque, alors que la IVe République avait, en apparence, permis à l’administration de conquérir une forme d’autonomie3 ? Les premières années de la Ve République 1 Jacques Duclos, Gaullisme, technocratie, corporatisme, Paris, Éditions sociales, 1963. -
International Review of the Red Cross, March-April 1988, No
INTERNATIONAL COMMITTEE OF THE RED CROSS Mr. CORNELIO SOMMARUGA, Doctor of Laws of Zurich University, Doctor h.c. rer.pol. of Fribourg University (Switzerland), President (member since 1986) Mrs. DENISE BINDSCHEDLER-ROBERT, Doctor of Laws, Honorary Professor at the Graduate Institute of International Studies, Geneva, Judge at the European Court of Human Rights, Vice-President (1967) . Mr. MAURICE AUBERT, Doctor of Laws, Vice-President (1979) Mr. ULRICH MIDDENDORP, Doctor of Medicine, head of surgical department of the Cantonal Hospital, Winterthur (1973) Mr. ALEXANDRE HAY, Honorary doctorates from the Universities of Geneva and St-Gan, Lawyer, former Director General of the Swiss National Bank, President/rom 1976 to 1987 (1975) Mr. RICHARD PESTALOZZI, Doctor of Laws, former Vice-President of the ICRC (1977) Mr. ATHOS GALLINO, Doctor h.c. of Zurich University, Doctor of Medicine, Mayor of Beninzona (1977) Mr. ROBERT KOHLER, Master of Economics (1977) Mr. RUDOLF JACKLI, Doctor of Sciences (1979) Mr. DIETRICH SCHINDLER, Doctor of Laws, Professor at the University of Zurich (1961 1973) (1980) Mr. HANS HAUG, Doctor of Laws, Honorary Professor at the St-Gan School of Advanced Economic and Social Studies, former President of the Swiss Red Cross (1983) Mr. PIERRE KELLER, Doctor of Philosophy in International Relations (Yale), Banker (1984) Mr. RAYMOND R. PROBST, Doctor of Laws, former Swiss Ambassador, former Secretary of State at the Federal Department of Foreign Affairs, Bern (1984) Mr. ODILO GUNTERN, Doctor of Laws, former member of the Swiss Council of States (1985) Mr. ANDRE GHELFI, former Central Secretary and Vice-President of the Swiss Federation of Metal Workers (1985) Mrs. -
La Constitution De 1958 À Nos Jours
PHILIPPE BLACHÈR JEAN GARRIGUES PRÉFACE DE JEAN-LOUIS DEBRÉ Fait à Paris, le 4 octobre 1958, René Coty. Le président du Conseil des ministres, Charles de Gaulle ; le ministre d’État, Guy Mollet ; le ministre d’État, Pierre Pflimlin ; le ministre d’État, Félix Houphouët- Boigny ; le ministre d’État, Louis Jacquinot ; le ministre délégué à la présidence du Conseil,4 André Malraux ; le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Michel Debré ; le ministre des Affaires étrangères, Maurice Couve de Murville ; le ministre de l’Intérieur, Émile Pelletier ; Reproduction des signatures apposées sur l’original de la Constitution de 1958. le ministre des Armées, Pierre Guillaumat ; le ministre des Finances et des Affaires économiques, Antoine Pinay ; le ministre de l’Éducation nationale, Jean Berthoin ; le ministre des Travaux publics, des Transports et du Tourisme, Robert Buron ; le ministre de l’Industrie et du Commerce, Édouard Ramonet ; le ministre de l’Agriculture, Roger Houdet ; le ministre de la France d’Outre-mer, Bernard5 Cornut-Gentille ; le ministre du Travail, Paul Bacon ; le ministre de la Santé publique et de la Population, Bernard Chenot ; le ministre de la Construction, Pierre Sudreau ; le ministre des Anciens Combattants et Victimes de guerre, Edmond Michelet ; le ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones, Eugène Thomas ; le ministre du Sahara, Max Lejeune ; le ministre de l’Information, Jacques Soustelle ; le ministre délégué à la présidence du Conseil, André Boulloche. SOMMAIRE 155 LES GRANDS MOMENTS DE LA Ve RÉPUBLIQUE Philippe Blachèr 11 157 4 octobre 1958. La promulgation de la Constitution 167 15 novembre 1959. L’apparition du domaine réservé du président 175 1961. -
Charles De Gaulle, Président Du Conseil
http://www.asmp.fr - Académie des Sciences morales et politiques. Charles de Gaulle, Président du Conseil par Alain Plantey, Membre de l’Institut. Certains phénomènes politiques sont très curieux. Si l'on y réfléchit: Charles de Gaulle a été le premier et le dernier des chefs de gouvernement de la quatrième République, le premier en 1945 et le dernier en 1958. On décrit généralement l'œuvre accomplie par le Général comme Président de la République. Mais, à son retour au pouvoir en 1958, il a commencé par être président du Conseil sous la présidence de René Coty. A cette époque, qui paraît maintenant lointaine, il a marqué l'histoire de France, autant qu'à d'autres périodes. Depuis 1946, le Général vivait retiré à Colombey. Il avait quitté le pouvoir dans des conditions difficiles et ne revenait à Paris que de temps en temps. Il logeait alors à l'hôtel La Pérouse où il recevait, mais peu. Ses quelques fidèles avaient trouvé au 5, rue de Solferino, un immeuble, qu'ils avaient commencé par louer et que nous avons ensuite acheté pour y placer son secrétariat ; il y travaillait et recevait quelquefois. Dans cet immeuble se trouvent aujourd'hui la Fondation et l'Institut Charles de Gaulle. En 1958, la France était tombée dans un état de grande incertitude. Le Président de la République, René Coty, homme honnête et droit, de santé difficile, n'avait aucun pouvoir politique réel. La Constitution de 1946 attribuait au gouvernement les principales prérogatives. Mais les autorités responsables révélaient leur instabilité et leur particulière incapacité de saisir la complexité des problèmes posés par l'émancipation des pays d'outre-mer. -
(The Judiciary in France
( The Judiciary in France (The Judiciary in France An essential prerogative of state sovereignty, the Judiciary has a fundamental role, namely ensuring that laws are complied with and that the rights of each individual are protected. While remaining firmly rooted in its founding principles such as equality, impartiality and independence, the Judiciary has shown itself capable of adapting to changes in society. The Judiciary is now closer to the people, it handles proceedings more efficiently and is more open to modern society. From the Chancellor to the Keeper The figure of the King judge is a strong symbol. As the King was The history of the Judiciary in France of the Seals, Minister of Justice ( believed to derive his power from God, he was expected to From divine origins to a system administered by the state administer justice fairly and quickly. Louis IX, better known as Saint Chancellors or Keepers of the Seals were dignitaries Louis, was a prime example in this respect. His reputation for saint- of the crown from the 5th century. Their roles were liness and fairness has come down to us through the centuries. sometimes combined and sometimes split. Having become the King’s most important officer in 1627, the Because it was impossible for the King to render justice personally Chancellor was entrusted with the seal, which was the for all the subjects of the kingdom, he was forced to delegate his symbol of royal power. He oversaw and sealed royal documents and chaired meetings of the King’s council. Throughout history, the French Judiciary has always changed in line powers. -
Projet De Loi Constitutionnelle Pour Une Démocratie Plus Représentative, Responsable Et Efficace (N° 911)
— 1 — Projet de loi constitutionnelle pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace (n° 911) Document faisant état de l’avancement des travaux des rapporteurs M. Richard Ferrand, rapporteur général, Mme Yaël Braun-Pivet et M. Marc Fesneau, rapporteurs En application du deuxième alinéa de l'article 86 du Règlement de l’Assemblée nationale. 25 juin 2018 Article 1er (art. 23 de la Constitution) Incompatibilité des fonctions de membre du Gouvernement avec l’exercice de fonctions exécutives locales Résumé du dispositif et effets principaux : L’article 1er du projet de loi constitutionnelle vise à inclure dans la liste des incompatibilités avec une fonction ministérielle figurant à l’article 23 de la Constitution, en plus d’une référence à tout mandat parlementaire, toute fonction de représentation professionnelle à caractère national, tout emploi public et toute activité professionnelle, l’exercice d’une fonction exécutive ou de présidence d’assemblée délibérante au sein d’une collectivité territoriale, d’un de ses groupements et des personnes morales qui en dépendent. Dernières modifications intervenues : L’article 23 de la Constitution n’a pas fait l’objet de modification depuis 1958. I. LE RÉGIME DES INCOMPATIBILITÉS DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT Les fonctions ministérielles sont incompatibles avec diverses fonctions, publiques ou privées, électives ou non. Au-delà de l’incompatibilité avec la fonction de Président de la République, issue de la coutume constitutionnelle, ces incompatibilités sont prévues aux articles 23, 57 et 71-1 de la Constitution. Elles visent à garantir la disponibilité et l’indépendance des ministres. — 2 — A. L’INCOMPATIBILITÉ AVEC LES FONCTIONS DE REPRÉSENTATION PROFESSIONNELLE À CARACTÈRE NATIONAL, LES EMPLOIS PUBLICS ET LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES L’article 23 de la Constitution prévoit, dans son alinéa 1er, l’interdiction du cumul des fonctions ministérielles avec celles de représentation professionnelle à caractère national ainsi qu’avec tout emploi public et toute activité professionnelle. -
Esloan Dissertation Final Version
SSStttooonnnyyy BBBrrrooooookkk UUUnnniiivvveeerrrsssiiitttyyy The official electronic file of this thesis or dissertation is maintained by the University Libraries on behalf of The Graduate School at Stony Brook University. ©©© AAAllllll RRRiiiggghhhtttsss RRReeessseeerrrvvveeeddd bbbyyy AAAuuuttthhhooorrr... Welfare and Warfare: Social Action for Algerian Migrants in Metropolitan France during the Algerian War A Dissertation Presented by Elizabeth Caitlin Sloan to The Graduate School in Partial Fulfillment of the Requirements for the Degree of Doctor of Philosophy in History Stony Brook University May 2012 Copyright by Elizabeth Caitlin Sloan 2012 Stony Brook University The Graduate School Elizabeth Caitlin Sloan We, the dissertation committee for the above candidate for the Doctor of Philosophy degree, hereby recommend acceptance of this dissertation. Herman Lebovics – Dissertation Advisor Professor of History Kathleen Wilson - Chairperson of Defense Professor of History Eric Beverley Assistant Professor of History Clifford Rosenberg Assistant Professor of History, City College of New York This dissertation is accepted by the Graduate School Charles Taber Interim Dean of the Graduate School\ ii Abstract of the Dissertation Welfare and Warfare: Social Action for Algerian Migrants in Metropolitan France during the Algerian War by Elizabeth Caitlin Sloan Doctor of Philosophy in History Stony Brook University 2012 This dissertation is a study of welfare services provided to Algerian migrants in France from the end of World War II through the Algerian War. The brutal war ending in Algerian independence in 1962 fell in the midst of thirty years of French industrialization fueled by the arrival of thousands of Algerian workers. It also followed over a century of definition and redefinition by the French state of what it meant that Algeria and France formed a single nation. -
Archives De Charles De Gaulle, Président De La République (1959- 1969)
Archives de Charles de Gaulle, président de la République (1959- 1969). Répertoire numérique détaillé des articles AG/5(1)/1-AG/5(1)/2806 Par Nicole Even Archives nationales (France) Pierrefitte-sur-Seine 2012 1 https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/IR/FRAN_IR_027940 Cet instrument de recherche a été encodé en 2012 par l'entreprise Numen dans le cadre du chantier de dématérialisation des instruments de recherche des Archives nationales sur la base d'une DTD conforme à la DTD EAD (encoded archival description) et créée par le service de dématérialisation des instruments de recherche des Archives nationales 2 Archives nationales (France) Préface REMERCIEMENTS Au moment où les Archives nationales publient l'inventaire des archives du général de Gaulle, président de la République, il convient d'associer à cet ouvrage, ceux qui m'ont confié ce projet, Isabelle Neuschwander, puis Agnès Magnien, directrices des Archives nationales, et Bruno Galland, alors directeur scientifique. J'associe à ces remerciements Christian Oppetit, ancien responsable de la section du XXe siècle, qui a suivi de très près ce projet auquel il tenait particulièrement. Je n'oublie pas le rôle joué par Catherine Mérot, responsable par intérim de la section, puis par Isabelle Chave, responsable du département de l'Exécutif et du Législatif, qui ont eu la tâche délicate de prendre en cours le projet et de le mener à bien. Il m'est impossible de passer sous silence le travail accompli par Simon Ostermann, stagiaire de l'Institut national des techniques de la documentation [INTD], qui a passé de longues journées à inventorier les documents de la partie dite « Élysée ».