Appendix 8: Abstracts
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
African Chiroptera Report 2009 2849 Appendix 8: Abstracts Aellen, V. (1956a). Speologica africana. Chiroptères des grottes de Guinée. L’étude de la faune des Chiroptères de la Guinée française a été fort négligée jusqu’à ces dernières années. Aussi, lorsque M. A.VILLIERS m’a proposé d’examiner une série de Chauves-Souris qu'il avait capturées dans des grottes de ce pays. J'ai accepté d'emblée. en pensant qu'il y avait certainement des espèces intéressantes. La collection comprend 52 spécimens appartenant à 5 espèces. Toutes sont nouvelles pour la Guinée française, sauf Rhinolophus maclaudi qui n était connu que par un seul individu. Une des formes est nouvelle pour la science et je me fais un plaisir et un devoir de la dédier au collecteur. Ces Chiroptères sont tous conservés en alcool. Ils sont déposés dans les collections zoologiques de l'IFAN à Dakar. Aellen, V. (1956b). Le Parc National du Niokolo-Koba. (Premier fascicule). II. Chiroptères. Les Chiroptères faisant l'objet de cette étude sont au nombre de 58 et représentent 15 espèces. La plupart proviennent de Badi (Sénégal, Haute-Gambie, 13°15' N, 8°20 W), à la limite des savanes guinéennes et soudanaises. Ils ont été obtenus par des indigènes dans des cases ou des arbres creux. L'intérêt de cette collection réside dans le fait que son étude apporte 9 espèces nouvelles pour le Sénégal et permet de mettre quelques formes en synonymie: Hipposideros gigas viegasi MONARD = Hipposideros commersoni gambiensis ANDERSEN. Hipposideros braima MONARD = Hipposideros caffer tephrus CABRERA. Mops osborni occidentalis MONARD = Tadarida condylura wonderi (SANBORN). La position systématique de "Nycticeius leucogaster CRETZSCHMAR" est revue. Cette forme, qui était considérée jusqu'à présent comme une sous-espèce de Scotophilus nigrita (SCHREBER), devient maintenant une espèce nominale dont Scotophilus viridis (PETERS) est une sous-espèce. Aellen, V. (1957). Les Chiroptères africains du Musée zoologique de Strasbourg. Les collections du Musée Zoologique de Strasbourg renferment 30 espèces (34 formes) de Chiroptères africains représentés par 55 spécimens. Allen, G. M. (1908). Notes on Chiroptera. The collection of bats in the Museum of Comparative Zoology contains upwards of 190 species, represented by skins, skeletal parts, and alcoholic specimens. Many of these specimens are of unusual interest. I have made the following notes while studying this material recently. In the case of certain imperfectly known species detailed series of measurements or other data of interest are given, and five species are described as new. Of especial note are the collections received from the Thayer Expedition to Brazil, made in 1865, under the direction of Louis Agassiz ; also a considerable number of Indian bats sent at about the same time by Rev. M. M. Carleton from northern India and the Koolloo Valley. More recently a valuable series of alcoholic specimens from Java and Japan was presented by Mr. Thomas Barbour, in part collected by himself in 1906-07. I am indebted to the authorities of the Museum of 2850 ISSN 1990-6471 Comparative Zoology for the privilege of making this report, and to the United States National Museum, through Dr. M. W. Lyon, Jr., for the loan of certain specimens. All measurements are in millimeters, and colors are after Ridgway's Nomenclature of colors. I have followed the nomenclature and order adopted by Miller in his monograph on "The families and genera of bats" (Bull. 57, U. S. Nat. Mus., 1907). Allen, G. M. (1923). New Chinese bats. Over five hundred bats have been thus far sent back by the Asiatic Expeditions under the leadership of Mr. Roy C. Andrews. These are chiefly from Fukien, Szechwan, southeastern Yunnan, and North China. The series of skins is well supplemented by specimens in alcohol, and in many cases wide- ranging species are represented by a number of skins from the coastal regions as well as by others from the higher or more inland provinces, so that an unusual opportunity is afforded for a comparison of the lowland and the upland members of a species. This is undoubtedly the.largest single collection of bats yet obtained by any one expedition in China, and my thanks are due The American Museum of Natural History for the opportunity to study this important series. Anthony, H. E. (1926). Preliminary report on Ecuadorean mammals. No 7. This is the seventh short paper in a series of preliminary reports upon the mammals of Ecuador. The purpose of these papers is the description of new forms which are discovered as material is gradually accumulated from the field. In a collection of mammals made near the Rio Curaray, in eastern Ecuador, by Olalla e Hijos for the American Museum, are two specimens of the interesting marsupial genus Glironia, the first to be received at any institution in this country; and, as far as I can ascertain, the only specimens taken since the type and one other recorded by Thomas in 1912. These two specimens represent different species, one quite closely related to venusta Thomas, the other apparently quite distinct. Benedict, F. A. (1957). Hair structure as a generic character in bats. Since Cook's work (1868) on the hair of Indian bats, few studies have been made on the hair of the Chiroptera. Cole (1924) and Nason (1948) have stated that hair structure is of little taxonomic value in bats. Mayer (1952), however, has shown that hair structure can be used in distinguishing bats of the California fauna, and Volshina's (1951) preliminary study has also shown differences of hair structures in a few pteropids and in one emballonurid. The present study of bat hair is more extensive than any previous one and indicates clearly that hair structure can be a useful taxonomic tool, particularly for categories above the species level. Benoit, P. L. G. (1958a). Les Polyctenidae du Congo Belge (Hemiptera - Cimicoidea). Après avoir été négligée durant de longues années, la famille des Polycténides, composée exclusivement d'espèces parasites de Chauves-souris, a connu les faveurs de divers chercheurs au Congo Belge durant les dix dernières années. Jusque là, deux spécimens seulement avaient été récoltés dans nos Territoires d'Outre-Mer: -un spécimen par J. RODHAIN en 1920, un par A. COLLART en 1926. A partir de 1948 par contre nos collections se sont enrichies de plus de vingt-cinq spécimens grâce aux recherches de N. LELEUP,M.LIPS,F.ANCIAUX DE FAVEAUX et finalement A. FAIN. Dans leur excellente monographie de la famille G. F. FERRIS et R. L. USINGER (Microentomology, vol. African Chiroptera Report 2009 2851 IV, 1939, contrib. number II citent quatre espèces africaines: Eoctenes intermedius SPEISER, E. nycteridis HORVATH, Adwoctenes horvathi JORDAN et Hypoctenes clams JORDAN; aucune de ces espèces n'y est signalée du Congo Belge. COOREMAN en 1951 Rev. Zool. Bot. Afr., 44, pp. 339-341 consacre une première publication à l'existence de la famille au Congo Belge pour les deux espèces africaines du genre Eoctenes. Quelques années plus tard le même auteur Rev. Zool. Bot. Afr., 51, 1955, pp. 107-108 signale la capture d'Adroctenes horvathi JORDAN au Congo Belge. Depuis ces deux publications de nombreux spécimens sont parvenus au Musée du Congo Belge; ils nous fournissent d'utiles précisions sur la distribution géographique et le choix de l'hôte. Tous les spécimens originaires du Congo Belge cités dans cette publication font partie des collections du Musée Royal du Congo Belge. Benoit, P. L. G. (1958b). Contribution a l'étude de Spinturnicidae du Congo Belge. Dans l'état actuel de nos connaissances, les Spinturnicides, parasites du cheiropatagium des Chauves-souris, 'n'ont pas souvent été signalés du Congo Belge. On ne sait pas encore si ces Acariens jouent un rôle dans la transmission de germes pathogènes. Ils sont incontestablement hématophages et la présence de sang dans le tractus digestif de la plupart des spécimens constitue d'ailleurs un obstacle au montage direct des spécimens en préparations microscopiques. Il est presque toujours indispensable de les faire bouillir dans une solution de KOH à 5-7 % puis d'expulser le contenu liquifié du corps par de légères pressions. Ces pressions se font de préférence à l'aide d'un objet obtus à l'extrémité. Après un passage d'environ dix minutes dans l'acide acétique cristallisable, le montage en milieu de Hoyer m'a donné toute satisfaction. Il est préférable de colorer les nymphes à l'éosine en solution chlorhydrique. L'emploi de KOH en solution supérieure à 7 % est à proscrire; à cette concentration la microsculpture cutanée est entamée, elle devient indistincte et disparaît parfois entièrement. Bobrinskoj, N. (1929). Bats of Central Asia. Though the study of the systematic and geographical distribution of Bats of Siberia and Turkestan develops rapidly as a result of the recent research of Russian explorers and those of Near Asia, India and China thanks to the work of English and American scientists, the vast area of Central Asia remains quite unexplored. There is however in the Zoological Museum of the Academy of Sciences a not very numerous but most valuable material of Chiroptera from Central Asia formed by different renowned Russian explorers, beginning with the famous N. PRZEVALSKIJ. It is therefore quite clear that I first paid attention to this collection when delegated by the Trustees of the Zoological Museum to revise their Collection of Bats. In my article "Preliminary information on Bats of Central Asia" I gave: 1) a list of the Central Asiatic forms, according to the very poor literary information that is available, 2) a catalogue of the Collection mentioned after arranging it as I considered advisable, and 3) diagnoses of new species and subspecies. Being very restricted in print I could mention only very briefly the most important indications, and the diagnoses of the new forms were published only in Russian.