03' ANNEE- — N* 106

DIMANCHE 9 SEPTEMBRE 1923

OR&A

Paraissant les Mercredi, Vendredi et Dimanche

1 > o ÏILII e m © îxt s. RéclaLO-tioxi «Si? ^«îÏ P.s cii 1 s»tration •• • 3 mois 6 mois 1 an CAIIORS. — 1, HUE DES CAPUCINS, 1. — CAHORS ei Départements limilroplies 4 fr. 25 8 fr. 15 fr. ANNONCES JUDICIAIRES (7 colonnes à la page) 0 fr. 80 filtres départements 4 fr. 50 8 fr. 50 i6 fr. ANNONCES COMMERCIALES (la ligne ou son espace) 0 fr. 80 A. COUESLANT, Directeur e RÉCLAMES 3 page ( — d" — ) 1 fr. 25 TÉLÉPHONE 31 COMPTE POSTAL : 5399 e M. DAROLLE, Co-Directeur — L. BONNET, Rédacteur en chef » 2 page ( — d° — ) 2 fr. » Los •:>.bonnements $gkpàient d avance- Joindre 50 centimes à chaque demande de changement d'adresse Les Annonces sont reçues au bureau du Journal. Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans le Journal du Lot pour tout le département.

dispensable à la résurrection des vain- trations très parlantes éclairent les cus, de reprendre le travail et l'accord Choix difficile Ambassades anéanties LES ÉVÉNEMENTS tiendra ensuite normalement. documents fournis dans cette bro- j Faut-il choisir entre eux ? Et dis- Tirages financiers chine. Et l'ensemble constitue un élo- L'ambassade d'Italie el les léga- Aussi bien, la capitulation du Reich cuter indéfiniment sur leur valeur quent plaidoyer en faveur de la fa- lions de Pologne, de Suisse et de Ville, de 1898 2 0/0 j, conflit Italo-Grec. — Un apparaît comme si certaine que le u speelive ? il ne le semble pas. Il e mille nombreuse. Tchéeo-Slovaquie ont été détruites. Le n» 552.307 gagne 100.000 fr. aveu allemand : les boches ont Daily Mail qui soutient si courageuse- faut mieux revenir au principe du Les ambassades de et des « Le mal qui tue la France » Le n" 107.176 gagne 50.000 fr. escroqué des quantités de ment la France écrit aujourd'hui : docteur Jacques Rertillon, cet ardent Etats-Unis el les légations de Chine Les quatre n1" suivants gagnent milliards au monde. — Dans « 'l'ont le problème est maintenant Conformément an plan imposé aux apoire du nataiisme : « Il faut les ap- et de Hollande ont été brûlées de chacun 10.000 fr. : la Ruhr. La capitulation du proche d'une solution, à moins que le cdrtcurrents; la brochure débute par pliquer tous, pour ne pas manquer fond en comble. 40.190 72.748 196.787 296.028 Reich est probable à brève gouvernement britannique n'ajoute à lift exposé du a mal qui tue là et lui qui pourrait réussir. • L'ambassade britannique a été sau- Les quatre n"9 suivants gagnent échéance. C'est l'avis de l'ex- ses folies passées, en excitant les Al- Fiance »._: te nombre des naissances vée ; la Banque du Japon n'est détrui- chacun 5.000 fr. :, lemands à renouveler leur opposi- françaises a diminué de 21.000 de te qu'en partie. chancelier Cuno. — La catas- tion. « 219.996 305.980 396.715 46.227 trophe du Japon. 1920 à 1921. il a diminué de 53.000 INFORMATIONS Un héros Quarante nos gagnent chacun 1.000 Cette hypothèse est invraisembla- de 1921 à 1922. Il diminue encore en Lu des héros de la terrible catas- francs. L'attention reste concentrée, sur le ble !... On ne peut décemment ad- 1023, (''est la course à la mort, c'est le trophe qui vient de. désoler le Japon, Ville de Paris 3 0/0 1912 conflit Italo-Grec. mettre que Londres s'efforcerait d'en- suicide d'un grand peuple ! Seul un En Pays occupés est Takia Yonemura, l'ojjérateur du L'accord ne paraît, pas imminent ! venimer le conflit au moment où il puissant effort, transformant tout en- La grève des mineurs de la Ruhr poste de T. S-. F. de Tomioka, situé à Le n° 436.187 gagne 100.000 fr. M. Mussolini reste intransigeant. semble approcher d'une solution. semble et nos lois et nos mœurs, peut Dians la région d'Essen, aucun ac- 200 kilomètres environ de Yokohama. Le n" 51.622 gagne 10.000 fr. L'Angleterre ne l'est pas moins. Cela Mais plus que jamais il faut éviter encore nous sauver, mais il doit être cord n'est encore intervenu entre pa- Pendant trois jours, il demeura à Les cinq n" suivants gagnent cha- nWniet à la Grèce de prolonger la dis- les pièges que nous tendent les vain- immédiat, sinon la France est per- lïons et mineurs. La conférence con- cun L000 fr. : due. son poste, sans aide, sans sommeil et rii^skm dans Fespojr d'une aide exté- cus. Il ne faut pas oublier que les xoquée le 4 septembre à Bochum, par sans vivres, lançant par le monde ra- 185.996 186.246 271.777 325.779 rieure. Athènes ne saurait cependant scrupules n'étouffent pas le chance- Quelques chiffres — ceux qui sont !i' commissaire d'Empire, n'a donné dio sur radio, donnant les seules nou- 576.302 esquiver la responsabilité du crime lier allemand. Ne disait-il pas en 1921 indispensables — sont cités ici ; en aucun résultat. Les patrons, tout en velles authentiques de la catastro- Trente-cinq n" gagnent chacun politique commis sur son territoire. au congrès de Stuttgart : cinquante ans l'Allemagne vient de rejetant les revendications des mi- phe, appelant au secours de ses mal- 500 fr. Cette responsabilité esL absolue en « Le. militarisme allemand n'est s'accroître de 21 millions d'habitants, neurs, ont annoncé que ceux qui con- heureux concitoyens, les navires qui Foncières 3 0/0 1879 -, ifu du droit international. plus, mais plus d'un allemand qui l'Angleterre de 16 millions, l'Italie de passaient au large et répondant tou- sentiraient à reprendre le travail tout Le n" 1.533.105 gagne 100.000 fr. ' Certes, on peut objecter que la ri- l'a maudit remercierait Dieu de grand 13 millions, l'Espagne de 4.500.000, jours avec le même calme et la même de suite recevraient une indemnité Le h° 1.617.992 gagne 100.000 fr. poste italienne a' été d'une brutalité cœur, s,'il pouvait, aujourd'hui le res- la France de 3 millions à peine. de dix millions de marks. Ceux qui courtoisie aux plus anxieuses deman- susciter »j, Le n' 284.334 gagne 25-000 fr. excessive. Mais Rome affirme que le Chaque ménage comporte moins ont repris le travail dès lundi dernier des. os bombardement de Corfou a été pré- Cet aveu prouve que M. poincaré d'enfants de dix ans en dix ans. A ce Les deux n suivants gagnent cha- ont reçu une de 30 millions Le dernier bilan cun 1.000 fr, : 1.101.373 1.385.257. cédé d'un tir de trois obus à blanc ; est bien avisé en déclarant que nous taux, s'il se maintient, noire popula- de marks. Voici, d'après les renseignements qu'-èri dépit de ce tir, ne permettant sortirons de la Ruhr uniquement le tion diminuera d'un tiers à chaque Cinq n°* gagnent chacun 5.000 fr génération. Des incidents ont eu lieu un peu reçus à Londres quelle est l'estima- gûcufl doute sur la suite de l'opéra- jour oit nous serons payés. partout. Le personnel de la mine Eli- tion, à l'heure actuelle, des morts et \\fSâ !s gouverneur de Corfou a re- Cela yiendra : l'ex-chancelier Çuno, Le nombre des mariages décroît sabeth, qui s'était massé devant les des victimes de la catastrophe. fusé'de capituler. C'est alors que des passant à Cherbourg, mercredi, à parallèlement. Et après le saut dfi aux portes de la mine pour protester con- 500.000 morts 3 millions de sans lioulets furent dirigés sur un bâti- bord du paquebot américain Rcliance Ï .ariages retardés contractés à la tre le lock-oul patronal, a dfi être dis- abri, 350-000 maisons détruites à ment railUmc qui «'aurait pas d" parlant pour New-York, a déclaré : paix, la courbe continue de redescen- persé par la police bleue. Tokio, 1 milliard dé livres sterling de abriter des civils. « Je fais, pour me reposer, un voyage dre lentement mais, hélas ! sûrement. Une cinquantaine d'arrestations ont dégâts; deux frères de l'empereur se- Evidemment tout cela ne supprime de six mois autour du monde. Je me Mortalité et natalité été opérées. i aient morts. pas îk conséquences déplorables du suis embarqué sur un paquebot amé- La diminution de la mortalité ne ON CADEAU REFUSÉ! tir Italien, mais la responsabilité de ricain pour être absolument il dépen- suffit pas à parer aux périls de la si- Ooùâàzuïiàtiou Une bataille B&vaîe nos voisins est fortement atténuée. dant. Mon regret est de n'avoir pu, en tuation. Les efforts des puériculleurs, Et mîefflÇ vaudrait pour Athènes un raison des circonstances, passer par d'un pillard allemand an cap flatteras la science et le dévouement' inlassable Le conseil de guerre d' a Le cuirassé « Virginia » a été coulé Il semble qu'il y ait des gens qui ne arrangement direct et rapide, que des Piaris. mais je compte him y séjour- ! ner à mon retour » ? des Variot. des Marfan et de leurs j -gé, par contumace, le capitaine au cap Hatteras, par une escadrille vivent que pour faire le bonheur de enquêtes et eontre,enquêtes qui au- disciples onf atteint ce résultat mer- Si M. Cuno compte séjourner à Pa- allemand Laquant, constructeur .d'a- de huit avions de bombardements de leurs semblables, et cpii se montrent ront pour résultat principal d'accroî- veilleux do diminuer des deux cin- vions à Berlin, qui dirigeait la kom- tre fortement La dette des Hellènes. ris dans six mois 'c'est bien qu'il est Langley Field. Presque toutes les d'une générosité telle que ceux qui quièmes la mortalité infantile de la mandature à Gizy (), en 1918, lombes atteignirent là cible, hachè- doivent en profiter sont les premiers ù Il y aurait surtout intérêt pour les convaincu que la Prusse aura donné France en quinze ans. mais cela nations européennes à ce que le con- satisfaction h 1S France avant cette et qui, n'ayant pu obtenir les faveurs rent les tourelles, détruisirent les che- s'en étonner et à refuser les cadeaux « prolonge le malade » et quand ces d'une jeune institutrice du pays, la dont on les... accable. flit fût réglé au plus vite. Aussi long- date '!.., minées et endommagèrent les mâts. jeunes Français viendront à la tîn de persécuta odieusement, ainsi que sa Le vaisseau coula en trente minutes. Le député Barthélémy, Joseph vient temps que le ciel du vieux continent *■■* leur vie, leur pays péwra avec eux famille, à qui il infligea des travaux sera chargé de nuages, des orages On est encore insuffisamment ren- L'autre attaque se produisit sur le d'en faire la regrettable expérience. s'ils n'ont été remplacés d'avance forcés, des réquisitions et des perqui- cuirassé New-Jersey », qui, s'il ne> Car il y a cadeaux et cadeaux ! soudains peuvent éclater avec une seigné sur la terrible catastrophe du par de jeunes et vivaees générations. Japon. Mais le désastre dépasse en sitions journalières, et vola l'a vaisselle coula pas, fut pratiquement mis hors C'est ainsi que M. Barthélémy, dépu- violence imprévue. On ne les domine- ; La diminution de ia mortalité a rait que par une union très étroite horreur tout ce qu'on a vu dans les et des objets de valeur, qu'il expédia de combat. Cette démonstration était té, a, tout récemment, déposé une une limite presque impossible à dé- chez lui. Il a été condamné à vingt organisée par l'aéronautique militai- proposition de loi tendant à doter des nations de l'Entente, et cette principaux cataclysmes enregistrés passer. La natalité n'en a pas. « Pl^s entente, hélas ! n'a rien de particuliè- par l'histoire. ans de travaux forcés et à vingt re américaine, qui veut prouver que l'île de Madagascar de représentants ou moins lentement, une France ans d'interdiction de séjour, les côies américaines peuvent être effi- au Parlement. rement étroit à l'heure actuelle ! Les derniers télégrammes donnent sans enfants se videra toujours, com- En présence du péril possible, ne comme très, probables les chiffres sui- cacement protégées au moyen d'avions Les Malgaches n'ont pas bondi de me un réservoir qui fuit et qui n'est de bombardement. Quant aux deux joie à cette nouvelle. Au contraire : les vaudrait-il pas mieux que l'Angle- vants : plus alimenté. » terre et la France, par une action Morts : 200 mille. LE CONFLIT IÏÂLO-GREC cuirassés, ils appartenaient à la flotte Chambres consultatives de la grande Depuis 1860, les trois quarts des des invalides. île ont émis aussitôt le vœu qu'il ne commune, s'efforcent de mettre fin au Sans abri : 6 millions. départements- 64 sur 86 exactement, La Petite-Entente menace de mobi liser conflit italo-grec ? Dégâts : 90 milliards de francs. soit pas donné suite à cette proposi- étaient moins peuplés en 1920 qu'en On lit dans le « Daily Telegraph »: tion. Un effort sérieux d'Athènes amè- Cette horrible catastrophe, écrit 1860. Le Lot a perdu 22 0/Q de sa po-j Les gouvernements de ta Petite-En- An Maroc nerait vraisemblablement une conces- notre confrère de la Journée Indus- Après la période d'organisation qui « Nous n'avons pas besoin de dé- pulation • la , 19 0/0 ; le tente, d'une manière plus ou moins putés, ont-elles répondu. Nous nous sion des Italiens. trielle, « touche l'humanité tout en- , 18 0 0. formelle, ont fait savoir à la France, suivit la jonction des groupes mobi- Personne, à l'heure actuelle, ne peut tière, non seulement par l'esprit de les dans le cœur du Moyen Atlas, de en sommes passés jusqu'à présent et Et aucun pays n'en est arrivé à no- comme d'ailleurs à tous les pays qui nous entendons continuer. » souhaiter la guerre, Mussolini sait solidarité morale qu'elle réveille dans sont de leurs amis, que : petites opérations de détails ont re- tre point de décroissance. L'Allema- pris. Le groupe du colonel de Cham- Sans doute, l'auteur de la proposi- l'ien qu'il n'a rien à gagner à rallu- l'univers civilisé, mais aussi par les 1. Si la S, D- N. né fait pas son de- gne subit une crise de natalité. Mais brun a attaqué les dissidents, qu'il a tion estimera que la réponse des mer l'incendie mondial. conséquences économiques et politi- elle n'a fait que s'accroître jusqu'en voir en ce qui concerne l'occupation *** ques qu'elle aura. Pour réparer les refoulés après un engagement assez Malgaches est brutale, et il dira 1908 ; l'Angleterre atteint son maxi- de Corfou, elles cesseront d'en être: vif. que les naturels de notre colonie Le ministre Allemand de l'économie dommages subis, le Japon sera con- mum en 1920. Notre natalité baisse membres ; elles pourraient, de plus, traint de se replier sur lui-même. Ce ne sont pas encore mûrs pour la civi- nationale, M. de ïtaumer, parlant de- depuis 1868 ; nous sommes donc en refuser d'accepter à l'avenir la juri- Des pourparlers, dans le but de la vant Je conseil économique du Reich, resserrement modifiera l'équilibre des soumission des montagnards' s'enga- lisation ! avance de quarante ans au moins diction des puissances de l'Entente, Tout cela ne sera que boniment : a eu le courage de faire des aveux activités et des ambitions dans le Pa- dans l'évolution de notre mal. si celle-ci permettait que les droits des gent difficilement dians la région. qu'il faut retenir. cifique, de l'Amérique à la Chine, de les Malgaches n'ont pas tort de pen- 5 petites nations fussent foulés aiiK H a dit : l'Australie aux Indes. En vertu du Les conséquence?? M. Léo» Bérard fait école ser et de dire qu'un Parlement ne fait pas le bonheur d'un peuple. « Nous avons vécu, d'abord, des phénomène de l'interdépendance éco- La seconde partie de la brochure 2. Si l'Italie continue à mobiliser et Le congrès international de police « pertes que les étrangers faisaient nomique pi, financière des nattons, expose les conséquences de cet état autrichienne a discuté à , El n'est-ce pas une bonne leçon fait des mouvements de troupes, les qu'ils nous donnent, à nous civilisés ? " sur le mark. Nous avons vécu eii- l'Europe ne tardera pas à percevoir de choses : une agriculture sans gouvernements de la Petite-Entente la question d'un langage internatio- su Fi de la représentation parlemen- " 'te du capital de nos rentiers. ses effets. Les Etats-Unis vont y trou- main-d'œuvre, une industrie sans mobiliseront également de leur côté. nal. Le docteur Drezsler, secrétaire du " Enfin, nous avons usé les réserves ver un surcroît de puissance. Le des- personnel et sans clients, un com- congrès, assura aux délégués que le taire, disent-ils, et partant, fi des lut- tes, des querelles électorales ! Ils ne ? mêmes de notre vie économique. tin de la Chine principalement s'en merce sans débouchés, des ccjlonips Un démenti de la Bulgarie latin était le seul langage possible, " J> autres réserves, il n'y en a plus- » trouvera modifié, et saiis doute éjargi. sans colons, une arau'e sans soldats. parce qu'il n'amènerait pas de jalou- les connaissent pas, mais ils en ont mmislre En tout cas, les nations occidenta- Kl la faillite d'un pays est l'abou- L'agence télégraphique bulgare com- sies internationales. Il ajouta que le entendu parler. Ils ont probablement l'Air boche reconnaît que munique la note suivante : 'Allemagne a cyniquement escroqué les, et au premier rang la France, se tissement logique de la lâcheté de ses latin convenait parfaitement aux té- appris comment on procédait aux «es quantités de milliards au monde doivent d'offrir rapidement au Japon nationaux devant ip devoir de la na- Nous sommes autorisés par les au- légrammes de police en raison de sa élections dans certaines colonies et en lui vendant du papier qu'elle a toute l'aide dont elles disposent, » talité. La ramifie nombreuse est seule tcrites compétentes à démentir de la concision. même dians certaines circonscrip- systématiquement avili. Lorsqu•sque celte Noire pays ne faillira pas à sou de- un remède contre la ruine collective. façon la plus formelle la nouvelle ré- tions de France. Et ça leur a suffi ource de revenus pandue à l'élratu d'api aquelle pour les en dégoûter. fallu a été tarie, il a voir. Déjà, hier, le gouvernement a C'est le Bcrliner l'agt'liUîtl qui écrit, Mort d'un sénateur , se retourner contre l'intérieur affirmé ses sympathies pour les Nip- en parlant de la misère actuelle des les autorités militaires bulgares au- Les Malgaches sont des sages ! et e raient ordonné à toutes les classes de Oii annonce la mort de M. Poirson, ..Ç. st la wubourgeoisii ; e allemande qui pons en s'associant officiellement au Allemands : « La famille est redeve- Nous aurions garde de les blâmer 3 ae In n;„i; ° 1 réserve, à partir de la classe 1912, de sénateur de Seine-et- et questeur «é la victime.' deuil du Japon. Demain, avec le mon- nue, dans la détresse présente, une du Sénat. d'avoir refusé le cadeau de M. Barthé- Aujourd'hui il faut aviser. Le mi- de entier, i] ira au secours du malheu- force économique : elle a. sauvé les se ienir prêtes à répondre à un appel lémy. Aussi bien, il y a des proposi- ,'s«e prussien ne voit le salut que éventuel sous les drapeaux, en prévi- tions plus intéressantes à soutenir, «ans i reux pavs. vievrx et sera sauvée par les jeunes. » arrêt de la presse à bn]elSi sion do complications pouvant surgir Les belles familles que celle de faire élire des députés A. C Les rem^qeg à la suite du conflit italo-grec. La médaille d'or de la famille fran- malgaches. ms cette éventualité ne pourra être OHO ' nvisagée que le jour où la lutte aura Les remèdes à la dépopulation for-, çaise vient d'être attribuée à Mme Est-ce que l'administration colo- Pri s, fln dans la Ruhr. ment le troisième chapitre de l'opus- Grasset, née Marie Michet, de Ser- niale fiait exploiter cette, colonie p Une menace de mort Umn Cc qu'affirme depuis long- cule de M. Paul Haury. Agir sur les Le tremblement de terre du Japon maize-les-Bains, qui a eu 24 enfants comme elle devrait le faire ? Est-ce , ls> avec obstination, la presse pour la France esprits est le premier moyen à em- en 25 ans. que les importations de produits de "•mçaise. 1 ployer. La diff.usion d'un travail Orphelinat français détruit A deux reprises elle donna nais- cette grande colonie sont assurés de la résista L'Alliance nationale pour l'accrois- Le correspondant de la « Chicago- façon même normale ? dansl nce allemande cesss e comme celui-là ne peut être qu'effi- sance à deux jumeaux. 8 ro ioils sement de la population française cace. Mais il faut aussi modifier no- Tribune » à Nagasaki, relate qu'un 1} y a des personnes qui prétendent icnromi § occupées : le travail vient de publier la brochure classée orphelinat français, dans lequel se cira rf* aussitôt ; la France adou- tre législation, combattre la mortali- Les ours dévorent que non, et elles sont bien psacées maxim première du concours pour le prix trouvaient 16 religieuses et 100 en- pour le savoir. t.uirc f , um l'occupation mili- té infantile et sauver 40.000 à 45.000 les troupeaux dans l'Ar ège P vec Michelin de la Natalité. fants a été englouti par les inonda- tion nn„ lressemenessement de la situa-- petites vies humaines chaque année. Des pâtres d'Ustou, se rendant sur En vérité, M. Barthélémy est plein nemie Cette brochure, intitulée : La vie ou tions. Tout le monde a péri. tion le Sseri a en voie de réalisa Et l'aspect économique du problè- les hauts parages du Collar, dans I de bonnes intentions, mais', à notre la mort de la France, est l'œuvre de me a préoccupé tous les spécialistes: Un train dans la mer avis, il aurait fait aussi bien de pro- M. Pau! Haury, ancien élève de l'Ecole l'Ariège, pour visiter leurs troupeaux, s«iUemeUf1S iom'naux allemands con- les primes à la natalité, l'aide aux Selon des détails reçus ici, un train ayant' trouvé la peau d'un mouton poser de faire rendre gorge aux. pro- 0r tement normale supérieure, professeur agré- familles nombreuses, les allocations fiteurs qui sont légion en France ou de ^'adrësV , . au chancelier de gé de l'Université. de voyageurs rmi approchait de Robe, fraîchement dévoré, donnèrent aussi- lreCtcment k la pi ofessionnelles, la modification du > taire baisser le prix de la vie. Le coric ., France, Destiné à montrer clairement à samedi, vers midi, aurait été précipi- tôt l'alarme aux pâtres de la région CSt Sagc M régime successoral, la lutte contre les Pour l'instant, ce sont des ques- dit et rénJ?' - Poincaré a tous les Français le danger formel te dans la mer ; trois cents voyageurs qui constatèrent que plus de trente I i!otl Une fa on taudis meurtriers, le vote familial tions qui priment toutes les antres, 'e nnv x - ? Précise que que constituent pour le pays la di- ont été noyés, d'autres ont réussi a moutons avaient déjà été dévorés dans si°ns n„ + xt au boilt des eonces- donnant à la famille nombreuse une se sauver à' la nage ; de nombreux si- divers troupeaux par trois gros ours Noire la question .électorale, à Mada- (le m &U a Berlin le minution continue de la population place prépondérante dans la nation rendîî f } moyen nistrés ont été recueillis à bord des suivis de quatre oursons aperçus par gascar, surtout si on appliquait à no- ,%r entei et l'insuffisance de la natalité, ce pe- sont autant de moyens qui peuvent la vL . «e possible : suppri- tit ouvrage de 32 pages contient l'es- ! vapeurs. La plupart sont dans un état un pâtre du port Martinat. tre grande colonie le système de la Alor ncc asSl être efficaces. Et M. Paul Haury 1 déplorable. Des dix mille Chinois qui proportionnelle ! s on0 « er P ^e de la Ruhr. sentiel de la question. Une grande battue a été organisée P mettra à cette région, in- expose brièvement les avantages de habitaient Yokoama, cinq mille tlans les communes d'Uslou et d'Au- H y a des propositions plus utiles Des graphiques clairs, des illus- chacun d'eux, i auraient perdu la vie. los pour la destruçtion de ces ani- à faire pour le pays ! Eaux. LOUIS BONNET. équipiers seront convoqués à deux avoir lieu ; il en fixe le montant et les Nous le répétons, ce fait authenti- Sine de la Banque séances d'entraînement dirigés par modalités, et adresse au Crédit natio- que que nous signalons mérite d'atti- nal une réquisition de payement. Vendredi soir, à l'arrivée de deux membres du Comité, et par M. Pour les Instituteurs du Lot rer l'attention du service des fraudes Chatelard ancien 1/2 de mêlée du Cet établissement n'effectue pas de NOTRE ÉCOLE NORMiLE Morts pour la France qui saura prendre toutes mesures l'express de 8 h. 18, un charreton payements à ses propres guichets^ poussé par un jeune homme descen- « Racing » membre de l'A. C. nûur le réprimer. *** mais à lacaissechoisie par l'intéressé d'Instituteurs Au moment où un décret ministé- dait la rue de la Banque qui, à cette parmi celles prévues par l'article 18 riel vient, dans des conditions plutôt L. B. Tous les équipiers possesseurs d'un heure-là n'était pas encore éclairée. maillot aux couleurs de l'A. C. sont de la convention : Trésorerie généra- singulières, de décider la suppression Le charreton alla buter une voitu- le, recettes particulières, perceptions, Nous recevons de M. Miquel, conseiller priés, avant le 12 courant de le re- de l'Ecole Normale d'instituteurs du Déclarations d'associations Banque de France et un certain nom- général "de , — en réponse aux rette dans laquelle se trouvait un bé- mettre chez M. Roi lès où le garde les Lot, le monument élevé à la mémoire Les déclarations d'associations sui- bé. Le choc ne fut pas trop rude et bre d'autres grandes banques. articles qui le visaient, ici — copie d'une récupérera à cette date. longue lettre contre « l'illégal décret de des instituteurs et anciens élèves- vantes ont été autorisées : l'enfant n'eut pas de mal. maîtres de l'Ecole Normale du Lot a M. Bérard ». Véloce-Club St-Céréen. — But : dé- Mais si la voiturette avait été heur- «TAT-CIVIL DE LA VILI.lt OE CAHOR| Il nous paraît inutile d'insérer l'envoi été définitivement mis en place lundi veloppement du sport cycliste. Siège: tée par un omnibus lancé à toute al- Le grand circuit Peugeot du au 8 septembre 1933 in-ecctenso. Mais cette lettre contient quel- dans la cour d'honneur de l'Ecole. mairie de St-Céré. lure, Je mal eut été irréparable. du 30 septembre ques affirmations troublantes. Ce monument est du plus bel effet. Naissances Société amicale des poilus de La- La rue de la Banque est si passa- Comme on pouvait le prévoir, l'an- Jumille Emilienne, rue Président M. Miquel dit : Entouré d'arbustes et de fleurs, sa bastide-du-Vert. — But : Perpétuer gère, à l'arrivée des trains, qu'elle de- nonce du grand circuit cycliste orga- silhouette se détache sur lia façade Wilson. Je suis certain qu'à moins que le le souvenir des morts pour la France- vrait être éclairée dès la fin du jour, nisé par les agents de la maison Peu- Rouget Fernand, rue Traversière-La- du pavillon central du bâtiment. Ministre de VInstruction publique ne Siège social Labastide-du-Vert. sinon des accidents sont inévitables- geot dans le Lot a été bien accueillie, Composé de deux marches en ro- barre, 0. trouve dans le département du ÎM Ce n'est pas la première fois que dans les milieux sportifs du sud-ouest. che de Vilhonneur, supportant un so- Publications de Mariages les complicités que je crois introuva- i ou s le disons. Chaque jour MM. Delcros et Fénelon, Bernard Raymond, professeur à Ca- cle surmonté d'une stèle couronnée Asile de bles, le décret de suppression devra L. B. agents à Cahors de la fameuse firme, hors et Girard Alice, s. p., à Lis- d'un fronton mouluré, le tout est en Le prix de journée pour l'entretien être rapporté. leçoivent de nombreuses demandes bonnc(Portugal). Et j'explique : belle pierre de Lavoux (des carrières des aliénés indigents à l'asile de Hyménée ce renseignements qui montrent tout Gelez Claude, contrôleur des Contri- La loi de 1879 étant formelle, M. le du Poitou). Leyme est porté de 4 fr. à 4 fr. 50 Nous sapprenons le prochain ma- l'intérêt que suscite l'épreuve du 30 butions Directes, à Ciarcassonne Ministre de l'Instruction publique a Orné de trois motifs décoratifs en jusqu'au 1°' janvier 1924. septembre. L'organisation se pour- () et Delport Germaine, s. p., basé son décret sur une délibération bronze appliqué sur la face principia- riage de Mlle Germaine Delport, la gracieuse fille du dévoué député du suit activement et nous pouvons af- à Cahors. du Conseil général du Lot deman- Le, ce sont à ta base le Livre de notre firmer qu'aucun détail ne sera négli- Lamothe Ernest, restaurateur et Vin- histoire maintenu ouvert aux derniè- Téléphones Lot, avec M. Geliez, contrôleur des dant la suppression. gé. La coquette et sportive ville de cent Laurence, s. p., à Cahors. Sur cette délibération du 24 avril Par arrêté préfectoral, M. le direc- Contributions directes à . res pages par l'épéè glorieuse de la St-Céré sera le point terminus de la 1923, je ferai deux observations for- teur des P. T, T. a été autorisé a pro- Aux futurs époux nous adressons Roudet Jean, avocat, à Saint-Vhiccnt- France. Là son) inscrits les noms de course pour les concurrents départe- Rive-d'Olt (Lot), et Bédué Marie, céder à l'établissement d'une ligne nos meilleurs vœux de bonheur. melles : nos victoires de 1914 à 1918 ; le tout mentaux. Elle aura aussi un contrôle 1°) Le texte officiel de cette délibéra- téléphonique entre Martel et Cressen- s. p-, à Cahors. repose sur un lit de lauriers. avec neutralisation de deux heures Laucou Maurice, employé de coin- tion que chacun peut lire et relire ne sac, par l'Hôpital Sl-.ïean le long des Au-dessus, contre la stèle, sont Pêcheurs à la ligne qui fonctionnera sous la direction merec et Aknéras Alice* robeusc à mentionne nuîiementunequelcon- disposés les attributs de l'enseigne- chemins de grande communication Nous rappelons aux membres de la ries fonctionnaires de FIL V. F. Les Cahors. que demande du Conseil généra! ii" 23 et 23 bi et traversant les terri- men1 primaire, lire, écrire cl comp- société de pisciculture de Qahors, coureurs auront largement le temps Para ire Louis, charron à Cahors el tendant à la suppression de l'Ecole ter, traversés par une palme rappe- toires des communes de Cressensac, qu'une réunion générale aura lieu ce de s'y ravitailler. Lafon Herminie, s. p., à , Normale j lant le martyr. Au sommet, sur le Muriel, Cazillac, Sarrazac et Stren- 2») Le texte officiel de cette délibéra- soir samedi S septembre, dans une Décès fionton, sont trois écus armoiriés des quels. tion n'est point le texte exact et il ne salle de la mairie. Gojôn Jean, représentant de com- villes de Cahors, et Gourdon Brûlée vive traduit, aucunement la pensée du merce, 01 ans, rue Fondue-Basse, 11. entourés de branches de chêne et Legs Le parquet de Cahors a élé infor- Lagarde Jean, horloger, 58 ans, Bon- Conseil général. En reculant mé d'un horrible accident survenu à En ce qui me concerne, en tous cas, timbrés du flambeau de l'Enseigne- En exécution de l'art. 3 du décret levard Gambetta. Vendredi soir, vers 2 h. 1/2, un . Mme Marie Fraysse, veuve j'affirme que le vœu que j'avais pré- ment. du Ie1 février 1896 relatif à la procé- camion-auto se trouvait dans la rue Marie, âgée de 05 ans, vivait seule senté à l'acceptation de l'assemblée Mais le motif principal de ce mo- dure à suivre en matière de legs aux J.-B. Delpech ; lie chauffeur voulut dans sa maison. En vaquant aux oc- départementale et que celle-ci avait nument est la statue d'un jeune éco- établissements publics ou reconnus faire reculer le camion jusqu'au Bou- cupations de son ménage, elle mit le Arrondissement de Canon approuvé, a été mal traduit par les lier, fjui, un pied sur chacune des d'utilité publique, le Préfet du Lot a marches, ses livres, ses cahiers et levard, mais il rata son coup. feu à ses vêlemcnls et fut entièrement services de dactylographie. l'honneur d'informer les héritiers in- Le lourd camion alla buter contre Labéraudie son béret sous le bras gauche s'incli- connus de Mlle de Combourg Louise, carbonisée. La fumée qui s'échappait l'urinoir dont la couverture en verre de la maison habitée par la victime Fête rot ire. — Voici le programme Quoi qu'il en soit d'ailleurs de la lec- ne légèrement dans un geste de re- en son vivant demeurant à Qahors, fui brisée en partie. attira cependant l'attention des voi- de la fêle votive des 1.5, Ifi et 17 sep- ture du vœu, même tel qu'il figure au cueillement très vrai ; reconnaissant cpie, par testament, en date du 8 no- Qui casse le verre, le paie : il fau- sins qui travaillaient dans les compte-rendu des débats, on ne peut des leçons reçues de ses bons éduca- vembre 1919, la dite Combourg Loui- I ombre de Labéraudie: dra réparer la couverture ! champs. Lorsqu'ils arrivèrent sur les Samedi 15. —- Réception de la musi- conclure que le Conseil général du teurs laïques, il vient apporter son se a, en Ire autres dispositions, légué lieux de l'accident, tous secours que ; retraite aux (lambeaux el bal Lot ait demandé la suppression de modeste souvenir : un simple petit à la ville de Cahors une somme de l'Ecole normale de garçons. Et pour- bouquet de fleurs qu'il dépose de sa Plainte étaient inutiles à la malheureuse et champêtre. 500 francs. Dimanche 16. — Réveil en fanfare : tant, le décret du 11 juillet 1923 le main droite au-dessous de l'inscrip- Egalement, M. Emile, en son M. el Mme G..., dépositaires de les sauveteurs ne firent que protéger tion dédicaloire gravée sur le socle bière, ont déposé une plainte contre l'immeuble dans lequel un commen- à 10 h., distribution des bouquets ; à spécifie textuellement : vivant demeurant à Cahors, par testa- 12 h., apéritif-concert ; à I5h.,jeui le sieur L... qui, vendredi, après une cement d'incendie venait de se décla- « Vu la délibération du Conseil Aux Instituteurs du Lot ment en date du 0 février 1923, a lé- divers : course aux ânes : course à la violenlc dispute, saisit des caisses vi- rer. « général du Lot en date du 24 morts pour la France. gué à l'hospice de Cahors, une som- valise : course en sacs; course aux des de bière cl les lança contré la da- « avril 1923 par laquelle cette Sur les deux faces latérales sont me de 2,000 francs. canards ; jeu delà crème; jeu delà « assemblée demande la suppres- gravés et peints les soixante-six me G... Bal renvoyé poêle ; mât de cocagne et course aux « sion de l'Ecole Normale d'Insti- noms et prénoms des instituteurs ou Associations syndicales Une enquête a été faite par la po- Eu raison du succès obtenu par la œufs ; à 15 h. 30. distribution de co- « tuteurs de Cahors par fusion élèves-maîtres tombés pour la défense lice : procès-verbal a été dressé. fête votive dû faubourg St-Ceorges, il cardes « souvenir de fête •» par les a Les propriétaires intéressés à avec celle d'un autre département lavait été question d'organiser un bal gracieuses jeunes filles du pays ; à « et constate l'impossibilité où elle du Droit et de la Liberté. l'élargissement, réparation, améliora- L'ensemble du Monumènl est d'une tion et entretien du chemin rural Recherché public, dimanche 9 septembre. Kl h,, ouverture du bal; à 19 h.,clôtu- « s'est trouvés d'établir un accord Mais, faute de musiciens, ce bal ne re du bal et apéritif-concert ; à 21 h„ bonne tenue, bien en harmonie avec dit de « Sais » (commune de Labasli- Le nommé Arthur Bessou, origi- « avec les départements voisins. » peul avoir lieu. La Commission des embrasement du village ; éclairage à le sujet pour lequel il a été édifié- de-du-Vert), oui déclaré se constituer naire de Labastidé-Murat, âgé de 30 Il csl dû au talent de M. Rongé, ans, est recherché par le Parque! de fêles a décidé de le renvoyer aux ven- giorno : à 22 h., grand bal de nuit : h Vraiment et pour ne point di re plus, en association syndicale, pour l'exé- sculpteur auquel de vives félicita- Bergerac pour enlèvement d'une fil- danges. I h., clôture du bal et farandole. il a fallu à M. le Ministre de l'Instruc- cution de ces travaux. Lundi 17.— A 11 h., apérilil'-eon- tions ont élé chaleureusement adres- lette de 13 ans. tion publique beaucoup de bonne Par arrêté préfectoral celle asso- cerl : à IG h., ouverture du bal et jeux sées. En outre, le Parquet de Figeac a volonté pour trouver dans le vœu du ciation a été autorisée. « Autour du Moujik » divers : à 19 h., clôture du' bal. faran- également lancé un mandai d'arrêt 24 avril le désir formulépar le Conseil Egalement, est autorisée l'associa- Notre distingué compatriote, M. : à 21 h., illu- Contributions indirect»» contre cet individu pour escroqueries dole e 1 apéritif- conce r l général que l'Ecole Normale de gar- lion syndicale pour l'amélioration et Raoul Labry, ancien professeur de minalions et grand bal de nu i l qui se Notre compatriote M. Boisse, sur- commises dans le Lot. çons soit supprimée alors que le tex- l'entretien du chemin rural dit de Première au Lycée GambeUn. vieni continuera très tard r, ans la nuit el numéraire des indirectes à Cahors, te, malheureusement tronqué, était Sirieys « (commune de Monlgesly)- de publier un nouveau livre suris qui se Ijerminera par le traditionnel est nommé vérificateur à . resté dans une forme si nébuleuse et Bal des Jardiniers Russie. grand-père ; cordial a dieu aux invi- et si imprécise. D'autre part, comment CONSEIL DE REVISION C'est jeudi 13 septembre qu'aura . Autour du Moujik (L) esl un livre tés. ne serions nous pas frappés par la Instituteurs et Institutrices dieu, dans la coquette salle du Palais de documentation a l'usage de ceux D'agréables surprises sont réser- célérité inaccoutumée qui a présidé à Voici l'itinéraire du Conseil de Ré- qui désirent approcher le moujik et vées aux étrangers qui viendront en Postes vacants () vision pour la classe 1924 et les ajour- des Fêles, le bat organisé par les jar- l'élaboration, puis à la signature du diniers, à l'occasion de la fête de le suivre dans ses aspirations et ses grand nombre nous honorer de leur L'inspection Académique nous com- nés des classes 1922 et 1923. déorol qui « pris date du 11 juillot 1923 révoltes depuis le servage jusqu'aux visite. alors qu'il était édicté en vertu de munique la note suivante : St-Maurjlle. Etrangers au département et exa- Comme on sait que les jardiniers troubles agraires de 1905-1906, prélude Le comité ne répond pas des acci- l'article 121 delà loi du 1erjuillet 1923; Un certain nombre d'emplois d'ins- men des demandes de première attri- ne font pas les choses à moitié, on de l'immense explosion de 1917. Il dents qui p'ourrajenl survenir pen- moins de il jours d'intervalle! tituteurs et d'institutrices pour des bution ou de renouvellement de sur- peut être certain que ce bal obtiendra comprend des textes dont'l'in térêt esl dabI ces1 jours fie fête. Non, quoi qu'en disent M. le Ministre postulants étrangers du département sis des jeunes gens appelés à être in- justement d'être de simples récits de Le Comité. de l'Instruction publique ainsi que du Nord sont vacants dans ce dépar- le succès qu'il mérite. choses vues et vécues à travers la corporés le 10 novembre 1923, same- La commission d'organisation est Catus quelques journalistes mal renseignés tement. campagne russe. Ils peuvent ainsi, du département, le Conseil général di 6 octobre, 14 heures. composée ainsi : Président : M. Par- ' ■ Fête votive. — Les fêtes des Ier, 2 el Les normaliens et les intérimaires Figeac-Est, lundi 8 octobre 10 h. 30. sans trop grande déformation littérai- du Lot n'a pas, en sa session d'avril des ; Vice-Président : M. Iches ; Se- 3 septembre ont eu un plein succès. " ayant exercé leurs fonctions avant Latronquière, lundi 8 octobre, 15 re ou doctrinale, nous donner une dernier, demandé la suppression de crétaires : MM. Malique et Belot ; idée assez précise de la mentalité Beaucoup de monde, beaucoup d'amu- le 1" janvier 1920 » peuvent adresser heures. l'Ecole Normale d'Instituteurs de immédiatement leur demande à l'Ins- Trésorier : M. Mercadier. moyenne du moujik, nous faire péné- sements, une organisation parfaite. Figeac-Ouest, mardi 9 octobre, Félicitons les jeunes gens de la Cahors. Je crois même pouvoir ajou- pection Académique du Lof, accom- trer dans l'obscur taillis de ses ter que les Conseillers généraux répu- 10 h. 30 classe 2-1, organisateurs' des Fêles, pagnée du certificat médical régle- Liacapelle-Marival, mardi 9 octobre, AVIRON CADURCIEN croyances façonnées par son histoire blicains qui sont la grande majorité serve, ou par la propagande révolu- d'avoir eu la touchante idée de dépo- mentaire. à l'Assemblée départementale n'onl 15 heures. Ouverture de la saison de Rugby tionnaire, et nous permettre, avec se]' au pied du Monument aux Morts , mercredi 10 octobre, jamais eu semblable intention. Les Le Comité de. Rugby vient d'élabo- une compréhension plus juste de la de la Grande Guerre une superbe protestations qu'ils ne manqueront 10 h. 30. ré r, non sans de sérieuses difficultés Russie présente, une vision plus nette palme. , mercredi 10 octobre, 15 pas d'élever, j'en ai la conviction, à la Mauvais marchand le calendrier de la saison 1923-1924. du bolchevisme aux champs. Le bal fut parfait, lé feu d'artifice De temps à outre, le service des session prochaine, montreront d'ail- heures. Les rencontres fréquentes à Cahors, La publication de ces textes sera superbe et les divers jeux très réussis. fraudes opère des prélèvements de , vendredi 12 octobre, Le lundi dans la matinée, les éou- leurs leur état d'esprit à cet égard. le nom, la réputation des quinze visi- fort utile aux gens d'étude qui, igno- reurs du Circuit de l'Ouest organise Pour ma part, je me suis élevé vio- vin, de lait, soit chez les débitants 10 h. 30. teurs qui viendront matcher nos équi- rant le russe, restent, dans leurs tra- Saint-Céré, vendredi 12 octobre, 15 par la « Petite » travefsètenl lemment, en commission des Finan- pour le vin, soit dans la rue pour le pes sur le terrain Lucien Desprals at- vaux, à la merci d'idées toutes faites notrecoquettecitéà toute allureenlre ces, contre l'éventualité de cette sup- lait. heures. tireront plus que jamais à notre stade ou d'hypothèses mal contrôlées. Elle Martel, samedi 13 octobre, 10 h. 30. deux rangs pressés de curieux; au- pression avec ou sans fusion. Il arrive, malheureusement trop la foule des sportifs Cadurciens, pri- le sera aussi à ceux que leurs fonc- Et c'est ma protestation, d'ailleurs cun accident n'eut lieu, grâce au ser- souvent que ces prélèvements permet- , lundi 15 octobre, 10 h. 30. vée depuis longtemps de cette attrac- tions ou leurs affaires mettront en appuyée par plusieurs de mes collè- , lundi 15 octobre, 15 vice d'ordre intelligemment organisé' tent de constater que les marchands, tion. Mais il ne suffit point que les rapport direct avec la Russie et la gues, contre cette éventualité que voire les propriétaires, ne sont pas Dans l'après-midi les courses «e heures. Sportifs accourent à ces manifesta- population russe. |0 nous craignons, mais que nous ne très consciencieux, et qu'ils répon- Cahors (Nord), mardi 10 octobre, bicyclettes furent menées avec br tions dignes d'intérêt au premier chef; (1) Un volume in-8 de la Collection de souhaitons pas, que devait traduire le dent devant le tribunal correctionnel par une équipe de coureurs M0' 10 heures. nous restons convaincus cpie les indif- Mémoires, Etudes el Documents pour vœu mal transcrit, votépar leConseil de ce délit toujours grave d'avoir, Cahors (Sud), mardi 10 octobre, servir à l'histoire de la guerre mondia- h aux. férents, s'ils veulent bien assister à général. pour gagner davantage, opéré le le 10 fr. En voici les résultats : 14 heures. deux m a iches seulement, ne voudront à Personnellement, j'ai donc pris mes Luzech, mercredi 17 octobre, 10 PAYOT, 100, Boulevard Saint-Germain, l" Miquel, 2" Barbance,.3" M S" mouillage. (dus, le dimanche, aller ailleurs qu'en Les jeunes gens du comité des i

Pour la guérison des : ENFANTS FAIBLES, PERSONNES DÉLICATES Lalades, Grippés et Convalescents

LYMPHATISME s Glandes, Gourmes des enfants, Sécrétion purulente des yeux et des oreilles. MALADIE3 DES OS : Rachitisme, Scrofule des enfants. MALADIES DE LA POITRINE : Coqueluche, Toux persistante, Grippe, Bronchite, Asthme, Catarrhe chronique, Angine de poitrine, Tuberculose. ANÉMIE : Faiblesse générale, Manque d'appétit, Formation difficile des jeunes filles, Règles anormales ou doulou- reuses, Désordres de l'âge critique. NEURASTHÉNIE. — CONVALESCENCE : des maladies iufec- tie-ases. Grippe, Influenza, Fièvre typhoïde.

Phosphiode QARNAL Le D' ORTEL tocleii Ftterne des KSpttaux Se Paris ATELIER PR1NCIPAI et le Corps Médical Hxif-.it es SèieeiiK de la Fwiiltl lie fit écrit : I « Le RECONSTITUANT et le DÉPURATIF le plus énergique et le plus 1M agréable est sans contredit la PHOSPHIODE QARNAL. C'est de l'Huile 9M ANNEXE : de Foie de Morue concentrée et débarrassée des corps gras qui la rendent indigeste et désagréable à prendre. Chaque flacon de PHOSPHSOOâ GARWAL renferma les principes dépuratifs et fortifiants contenus dans cinq litres d'Huile de Fois de Morue associes à du Phosphate de Chaux assimilable et à de l'Iode à l'état naissant. La PHOSPHiODE GARNAL fortifie les enfants faibles, fait disparaître Ses engorgements ganglionnaires, fortifie tes os. C'est le grand remède contre l'Anémie et les Pâles couleurs. Son action réconfortante sur le sj'stènie nerveux en fait un spécifique contre la neurasthénie. Par son iode, elle s'impose aux personnes atteintes de rhumatismes, de bronchites aiguâs ou chroniques, et de toutes les affections de poitrine. Administrée aux convalescents, elle hâte 'le retour des forces, stimule l'appétit, fortifie les farouches, » " Prix du flacon: 10 francs.—Grandeur unique.

me l'ont enseigné ! Regarde-moi, fils Feuilleton du « Journal du Lot s 22 phaiement quelques paires de chau- ce et terminé par un peuplier soli- t-ili Vous voulez sans doute faire for- am d'une femme pure... ton cœur est plein lut rappelèrent un peu les Cil E settes de soie. taire, animait le paysage. Mais la tune ? Vous le pouvez, vous avez de Elys.ées de Paris. Un dimanche, » de larmes, mais tu vaincras tes enne- — C'est à moi, répondit-il avec plupart du temps, dans la plaine pla- belles manières, une belle figure cl s'égara du côté de la Porte-de-Fer.c mis, et tu seras un homme riche et tristesse. ie et sans limites, on ne voyait que une belle stature. Vous devez être faubourg-ghetto où les israélites honoré,' L'employé leva les yeux pour re- LES des chardons bas, ou des pins clair- heureux en amour ! tassent, formant ville part, a^ Elle pirouetta sur ses orteils nus garder son interlocuteur ; puis, com- à semés , se suivant par rangées à demi La silhouette d'Eljbièta Mona- leurs jours ouvrables, leurs eftuhWU' ROMAN PAR LÀ souillés de houe, donna un morceau pi'enant sans doute qu'il pût posséder régulières sous le ciel gris. îovvska passa dans la mémoire du leurs modes, leur langage singuue. de pain à un petit enfant qui men- oes chaussettes de soie, rabattit le Le dernier changement de train jeune homme • mi-hébreu, mi-iallemand. . BAILLEHACHS diait et partit plus loin dans le han- couvercle de la malle et y traça une Ja Comtesse d© eut lieu par la nuit noire. Epuisé, Bo- — Monsieur Troski, dit-il douce- Un autre dimanche, il visita , gar, vendre l'eau fraîche aux voya- barre à ïa craie. leslas somnolait, en tenant son bras ment, je ne suis ambitieux ni en for- zienki, ce Trianon de Varsovie, 1 geurs grossiers. — Excellence, fît le truand qui malade ; il fut presque surpris des tune, ni en amour ; mon seul désir attend, comme le nôtre, une hagu< — C'est une belle juive, dit un L, portait le bagage, suivez-moi ; je cris des conducteurs annonçant l'ar- est de faire honnêtement mon devoir, magique pour le ressusciter, XX paysan. Dommage de penser que c'est vais vous montrer le train. rivée à Varsovie. Le va-et-vient d'une et de gagner hononablement mon pain. une sorcière ! équipages descendaient la côte W — Vous savez, dit Boleslas, que giande gare le ranima un peu ; il mit Au bureau, le travail était sensible- nante à une vitesse vertigineuse, ]> — Bois, dit-elle, c'est propre ; La Des habitués la hélaient : vous n'aurez que deux kopeks pour sa malle à la consigne et alla finir sa ment le même, que chez Galgocz : be- passer au pa à côté du palais, i"||l J propreté de l'âme est une vertu. — Hé ! fille du diable, approche s la peine, même en m'appelant Excel- nuit dans le premier hôtel venu, dont sogne classique de toute maison de et puéril, avec ses dépendances o Il but avec plaisir l'eau fraîche ; un peu par ici ! 1 ence. la paillasse lui parut douce. commerce importante pour un em- elle Le regardiait : grâce achevée, temple de l'AW ^ Enfin, un grand bruit de verrous — Oh .' :"d l'homme en haussant Dès le lendemain, il se présenta ployé polygotte. Le patron, Antoniou du — Moi, fit-elle, je vends de l'eau à théâtre de verdure aux bords . "- ,t se fit entendre, et la porte donnant les épaules, Excellence ou chien sa- aux bureaux d'Antoniou Pilkéwitch, Pilkéwitch, était un grand et gros el la gare' pour gagner quelques digne de Walleau. Les saules m»^ sur la salle fut ouverte. Des gendar- vant, c'est bien la même chose, pour- un fabricant de. boîtes, ami d'Henri homme, un peu asthmatique, por- gros (1), mais ma vie est chez moi ; leurs bourgeons verts dans les ■ mes russes appelèrent à haute voix vu cpie ce ne soit pas un Allemand ! Braumann. Il fut bien reçu, on le fé- tant une barbe clairsemée et grison- j'ai un fiancé. calmes, paysage classique, de cW les voyageurs, en lisant les noms sur Allons, viens, frère ; tu me donneras licita de son bon accent, et Pilkéwitch nante. Il venait plusieurs fois par — Vendez-vous aussi un peu de les passeports. latine. , ^ deux kopekss un petit morceau de lui-même l'installa à une table, le jour inspecter le travail des employés — Comment se trouver scub pain ? demanda R.adetski, en repo- — Si je porte ta mialle, tu me don- ton pain, et tu me permettras de rail au courant des- heures de présen- et fut frappé de la façon dont Ra- paysé ou malheureux, quand 01 sant le verre. J'ai bien faim. neras deux kopeks ? demanda un m'asseoir aussi un peu sur ta malle, ce et de travail. Son voisin, Mihal detski écrivait ïe français et l'alle- garde ceci ? pensait Boleslas. , Elle disparut par la porte dérobée pauvre hère à Boleslas. e Tioski, lui recommanda une pension mand. Cette constatation l'amena à Pilkéwitch passait, avec sa 1. la cl revint un moment plus tard avec Le marché fut vite conclu. XXI c de famille dans le voisinage et l'ac- ! remarquer la pâleur du nouveau ve- et sa fille, toutes deux vêtues a> un morceau de pain noir mal levé, — Radetski ! appela le gendarme. j Un certain degré de lassitude pro- compagna à la gare pour aller cher- j nu, à s'enquérir de sa santé, puis à sobriété cossue qui distingue it> , , t dans lequel se trouvaient des tran- IL le dévisagea un inoment, pour • voque l'ahurissement et l'indilTéren- s cher sa malle. J lui donner une demi-heure de plus , soviennes. Le jeune homme ^ ^ ' n' ches de pommes de terre. voir si le signalement était exact, r s e ' ce. Ce fut sans y prendre d'intérêt Ce Mihal Troski était un de ces pour son repas de midi, afin , qu'il eût groupe vint vers lui pour les P ^ ^ — Tiens, dit-elle, voilà du pain. puis lui rendit les papiers et passa que Boleslas vit défiler sous ses yeux petits employés laids et humbles, sau- le temps de prendre l'air. s lations. Un moment, l'on paria ^ C'est deux kopeks (2), le tout en- cC aux suivants. La visite de la douane, les steppes mornes, coupées de forets vages et sans personnalité, comme on Cela permit à Boleslas de se pro- cour de jadis, des fêtes donnée*'j semble ; et puiques tu as été réser- comme à toutes les frontières, man- eS cie pins, de la Pologne. Le sable clair en trouve encore dans tous les bu- mener un peu dans la ville, si cu- même château de Lazienki p _ r- vé dans tes paroles avec la petite nVe qua d'aménité. On bouleversa les r.pparaissait par places entre les touf- reaux de tous les pays, assidus et si- rieuse et si pittoresque, capitale par beaux soir d'été. Cette ?;t>urte t marchande d'eau, je te dirai ce que je malheureux paquets, on déroula les s fes de chardons sauvages ou de sei- lencieux, véritables soldats du com- excellence. Il flâna aux magasins de sa tion suffit pour inspirer air vois pour toi, tel que les vieux Juifs papiers des emballages, on fripa les gle cultivé qui se déroulaient, mono- merce par leur obéissance et leur aveu la Marchalkowska et du Nouveau- kéwîtch une haute idée de a pauvres effets. tc-iies, interminables. Parfois, un pe- gie dévouement, U admira Radetski, Monde, mieux atdialiandés que ceux car dès le lendemain il , |e9 (1) Un gros vaut à peu près un liard. — Où as-tu volé cela ? demanda le f( s tit vidage, tout, en longueur, composé grand, jeune et beau. de Vienne même. Il prit les trams passer la soirée chez eux 1°- (2) 5 centimes. préposé à Boleslas, en sortant triom- de cabanes d'un seul étage, commen- — Vous êtes ambitieux ? demanda- électriques pour aller aux Allées, qui quinzaines, ^pje)