Pour les articles homonymes, voir Armstrong et Emma Custer et plusieurs demi-frères et sœurs plus âgés George Armstrong. que lui[2]. Ambitieux mais insubordonné, il sort dernier de la pro- George Armstrong Custer est un général de cavalerie motion de 36 cadets de West Point en 1861[3]. Il rejoint américain (5 décembre 1839 New Rumley, Ohio - 25 juin alors un régiment de l'US Army à la première bataille de 1876, Montana). Il est célèbre pour ses exploits durant Bull Run. En tant qu'officier d'état-major, son audace et la guerre de Sécession et sa défaite lors de la bataille de son énergie, en particulier lors de sa fougueuse reconnais- Little Big Horn face à une coalition de tribus indiennes. sance vers la Chickahominy River, l'amènent à la connais- Il est une des principales figures américaines des guerres sance du général George McClellan qui en fait son aide indiennes du XIXe siècle. de camp, comme capitaine[4].

1 Biographie

1.1 La guerre de Sécession

Avec le grade de lieutenant, 1862

En 1863, promu brigadier général des engagés volon- taires, il se distingue à la bataille de Gettysburg[5] et dans les opérations suivantes de la campagne de 1863[6]. Lorsque la cavalerie de l'armée du Potomac est réorgani- sée sous le commandement de Philip Sheridan en 1864, Custer prend part à de nombreuses manœuvres de cava- lerie à la bataille de la Wilderness et dans l'Armée de la Shenandoah (Union). En février 1864, il attaque un camp de confédérés dans la bataille de Rio Hill. Nommé au Custer, 17 ans, cadet à West Point commandement d'une division en septembre, il combat le 9 octobre dans une brillante attaque de cavalerie à la George Custer est né ans l'Ohio en 1839. Il est le fils [6] d'Emanuel Henry Custer (1806–1892), forgeron devenu bataille de Woodstock . par la suite fermier, descendant d'immigrants allemands Toujours capitaine, il reçoit rapidement un brevet lui per- Paulus et Gertrude Küster (venue de Rhénanie en 1693), mettant d'agir en tant que major, lieutenant-colonel, co- et de Marie Ward Kirkpatrick (1807–1882), d'origines lonel et même major-général des détachements de volon- irlandaises. Ses frères Thomas Custer et Boston Custer taires pour ses services rendus à Gettysburg, à la bataille (en) sont tous les deux morts avec lui sur le champ de ba- de Yellow Tavern, à la bataille de Winchester et surtout taille de Little Bighorn[1]. Il a pour sœur cadette Margaret à la bataille de Cedar Creek. Custer est à ce jour le plus

1 2 1 BIOGRAPHIE jeune officier faisant fonction de général de division de de poste (il a voyagé avec escorte pour chercher des four- l'histoire de l'Armée des États-Unis[4]. Il sert avec le géné- nitures et pour voir sa femme) et parce qu'un déserteur ral Philip Sheridan dans le dernier grand raid de cavalerie, armé avait été abattu par ses troupes. Il est suspendu pour l'emporte à la bataille de Waynesboro, la bataille de Din- une année mais est rappelé quelques mois plus tard par le widdie et la bataille de Five Forks, où son propre frère ob- général Phillip Sheridan[12]. tiendra la plus haute distinction américaine, la Médaille [7] Le 27 novembre 1868, il participe à la campagne d'hiver d'Honneur . contre les Cheyennes, notamment à la bataille de Washi- Il épouse Elizabeth Clift Bacon (en) le 9 février 1864, le ta River. Custer affirma avoir tué 103 guerriers mais il père de la mariée, le juge Daniel Bacon, ayant finalement s’agissait surtout de vieillards, de femmes et d'enfants[13]. approuvé le mariage lorsque Custer est nommé général de Selon les Cheyennes, 11 chefs de guerre ont été tués[14]. brigade[8]. Les troupes américaines firent prisonniers 53 femmes et À la fin de la guerre, fait brigadier et major général de enfants. Cet engagement est considéré comme un des pre- l'armée régulière, il est promu major général des troupes miers succès significatifs de l'armée américaine contre les volontaires, puis sollicité par les républicains mexicains, Indiens des Plaines du Sud. Puis il est chargé en 1871 de en lutte contre les impériaux soutenus par la France, pour traquer le Ku Klux Klan dans les terres hostiles du Ken- prendre le commandement des forces armées de la Ré- tucky. Il essaie, sans succès, d'investir en bourse. publique. Le gouvernement américain s’y oppose. Custer n'en clame pas moins à Sheridan qu'avec dix mille cava- [9] liers il aurait pris Mexico en moins de six mois . 1.3 L'expédition le long de la rivière Yel- lowstone

Article détaillé : Expédition de la rivière Yellowstone.

En 1873, il est envoyé dans le territoire du Dakota pour protéger une ligne de chemins de fer contre les Sioux, la future Northern Pacific Railroad qui reliera le lac Su- périeur à l'Océan Pacifique. Le 4 juin 1873, le chemin de fer atteint la petite ville nouvelle de Bismarck, en- core en projet et à peine habitée. George A. Custer y est accueilli par son ami Clement A. Lounsberry, un co- lonel de l'armée américaine pendant la Guerre de Sé- cession[15] devenu journaliste, qui pour la première fois paraître le 11 juillet le Bismarck Tribune. Custer lance alors à l'été 1873 l'Expédition de la rivière Yellowstone, le long d'un autre affluent du Missouri, dans le Montana. Il s’agit d'étudier la faisabilité d'un futur parcours fer- roviaire, sur 500 miles, le long de la rivière. Les ingé- nieurs chargés d'étudier le tracé sont protégés par 1500 soldats, qui se heurtent aux Sioux. Custer est accompagné du général Tom Lafayette Rosser (1836 – 1910), son ex- camarade de chambrée à West Point, tandis que le chef de l'expédition est le général David Sloane Stanley, un al- coolique qui déteste Custer[16]. Custer et sa femme Elizabeth, 1864 Le 4 août, Custer et le 7e de cavalerie rencontrent les Sioux pour la première fois. Deux assauts indiens sont brisés[17]. Mais de nouveaux affrontements ont lieu les 1.2 Les Guerres indiennes 11 et 16 août. Ces escarmouches réduisent la confiance de Wall Street dans la compagnie des chemins de fer À la fin de la guerre de Sécession, l'armée de 1,5 mil- Northern Pacific Railway, qui rate dès septembre le pla- lions d'hommes est réduite à 30 000 soldats et Custer cement d'une émission obligataire, provoquant la quasi- reprend son grade ordinaire de capitaine[10]. Le 12 no- e faillite, le 18 septembre 1873, de son principal action- vembre 1866, il est fait lieutenant-colonel du 7 régi- naire et créancier, Jay Cooke. C'est la Panique du 18 sep- ment de cavalerie, et prend part sous les ordres du général tembre 1873, obligeant Wall Street à fermer ses portes Winfield Scott Hancock à l'expédition contre les Indiens [11] pendant dix jours. En novembre 1873, Custer et son ré- Cheyennes . giment établissent leurs quartiers dans le Fort Abraham La même année, il passe en cour martiale pour abandon Lincoln[18]. 1.5 La bataille de Little Big Horn 3

1.4 L'expédition dans les Black Hills

Article détaillé : Expédition des Black Hills. En 1874, Custer est à la tête des 1 200 soldats partici-

Pique-nique avec des officiers du 7e de cavalerie, 1876

1.5 La bataille de Little Big Horn

Article détaillé : Bataille de Little Big Horn.

La bataille de Little Big Horn (surnommée en anglais « Custer’s Last Stand » : « l'ultime résistance de Cus- ter ») s’est déroulée le 25 juin 1876 à proximité de la ri- Chasse au grizzly avec son ami et éclaireur indien Bloody Knife, vière Little Bighorn (affluent du Bighorn, un affluent de la 1874 Yellowstone), dans le Montana. À la tête des 647 hommes du 7e régiment de cavalerie, Custer décide d'attaquer un vaste campement indien dans lequel s’étaient rassem- pant à l'expédition des Black Hills, alors territoire indien, blés plusieurs milliers de Cheyennes et Sioux à l'appel afin d'étudier la possibilité d'installer un fort derrière les de . D'abord surpris, les indiens repoussent la collines. De l'or est trouvé, conformément aux rumeurs première attaque menée par les 3 compagnies du major qui attestaient de la présence du métal jaune depuis des Reno. Puis, menés par les chefs Sioux et Gall années, ce qui provoque la ruée vers l'or dans les Black et le chef cheyenne Lame White Man, ils se portent à la Hills. Des prospecteurs s’y installent au mépris du traité rencontre des cinq compagnies de Custer. Custer et ses de Fort Laramie (1868). Le 2 juillet 1874, Custer, que les 215 hommes sont anéantis. Mort aux côtés de Custer, le indiens avaient surnommé “Pahuska” (Cheveux Longs), jeune Mark Kellogg est le premier reporter de l'histoire s’enfonça profondément dans les Black Hills à la tête du de l'Associated Press à mourir sur un champ de bataille. 7e régiment de cavalerie, atteignant la région de Paha Sa- pa, lieu sacré jamais foulé par l'Homme blanc. Il trace ainsi une route sur le passage de ses troupes, que les In- diens surnommeront “La piste des voleurs”, car elle sera par la suite empruntée par tous les colons et chercheurs d'or qui profaneront par la suite les Black Hills. Il a amené avec lui une dizaine de journalistes. Le premier journal à sortir le scoop de la découverte de l'or est celui de son ami, le Bismarck Tribune. Custer écrivit dans le même temps, sous le pseudonyme de Nomad, des articles dans les journaux, qui sont réunis dans un livre, Ma vie dans les Plaines qui devint un best-seller[19]. Au printemps 1876, il risque d'être radié de l'armée pour avoir critiqué devant une Commission officielle la poli- tique des réserves indiennes du gouvernement des États- Champ de bataille de Little Big Horn : la stèle marquée de noir [4] Unis . indique où est tombé Custer En 1876, on lui confie une autre mission qui conduit le 25 juin à la bataille de Little Big Horn où il meurt au combat. 4 4 DANS LA CULTURE POPULAIRE

2 Mythes, erreurs et mensonges était : « Les seuls bons Indiens que j'ai vus étaient [6] sur le général Custer des Indiens morts ») .

3 Ce qu'ils ont dit de Custer

« Custer est l'homme le plus capable de la cavalerie » Gé- néral Philip Sheridan « Les hommes de la brigade l’adorent et l’adoreront pour l’éternité. […] À chaque fois qu’il croisait une compagnie, il la saluait en enlevant son chapeau. Tout le monde l’ac- clamait. Les soldats l’admiraient, le vénéraient même. » Soldat James Avery, de la brigade de Custer pendant la guerre de Sécession « Il [Custer] m'écœure complètement. C'est l'exemple le plus accompli de petit tyran que j'aie jamais vu. » Capi- taine Barnitz, officier américain servant sous les ordres de Custer pendant les campagnes de 1867-1868 contre les Cheyennes « Je l'ai admiré. Toutes les femmes cheyennes parlaient de lui comme d'un bel homme. […] [Après Little Big Horn], je me suis souvent demandé si mon cheval avait jeté de la poussière sur son corps, alors que je galopais entre les soldats morts, là où il reposait. » Kate BigHead, Indienne cheyenne « Si nous oubliions quelque chose pendant nos cérémonies, il nous la rappelait. » Red Star, Indien arikara, témoi- Dès la mort de Custer, son épouse souhaite entretenir le gnant de l'intérêt de Custer pour les coutumes indiennes mythe de héros du général, fait lire à cet effet certaines « Custer était un chef brave. Les Indiens l'ont respecté et lettres personnelles de son mari à l'écrivain de roman ne l'ont pas scalpé. » Chef sioux Sitting Bull[22]. de gare Frederick Whittaker. Ce dernier rassemble des anecdotes fameuses et flatteuses sur le général à partir de journaux et magazines pour écrire la première biographie 4 Dans la culture populaire de Custer en 1876, Complete Life of George Armstrong Custer, ouvrage à l'origine de la légende de Custer reprise dans les trois autobiographies écrites par Elizabeth Bacon 4.1 Cinéma Custer[20]. • Une aventure de Buffalo Bill,(The Plainsman), de Quelques semaines après la bataille de Little Bighorn, Cecil B. de Mille (1936) avec John Miljan dans le l'éclaireur et artiste Bill Cody se produit dans une pièce rôle du général Custer au côté de Gary Cooper (Wild à New York, First Scalp for Custer qui mythifie cette ba- bill Hickock) et James Ellison (Bufallo Bill) ; wes- taille et fait de Custer un martyr de la cause du progrès tern classique glorifiant la conquête de l'ouest. américain[21]. • Nombre de mensonges ont été véhiculés sur Custer. Voici La Charge fantastique (''They Died with their Boots les réfutations les plus importantes : taker’s Complete Life on) de Raoul Walsh (1941), une version romancée of George Armstrong Custer de la vie de Custer, interprété par Errol Flynn, avec Anthony Quinn dans le rôle de Crazy Horse et Olivia de Havilland dans le rôle de la femme de Custer, • Custer n'a jamais été surnommé de son vivant Elizabeth. « Tueurs de squaws », « Cheveux Jaunes », « Tête Jaune » par quiconque. • Le Massacre de Fort Apache (Fort Apache) de John Ford (1948) allégorie sur la défaite de Little Big • Custer n'a jamais dit la célèbre phrase : « Un bon Horn (assimilée comme souvent à un massacre). Indien est un Indien mort », par exemple dans un Custer, interprété par Henry Fonda, se fait appeler épisode de la série Docteur Quinn, Femme Médecin ici Thursday et combat les Apaches de Cochise. (ce serait son supérieur hiérarchique en 1868, le gé- néral Sheridan, qui l'aurait dite, et la phrase précise • Sitting-Bull de (1954). 5

• Le Massacre des Sioux (The Great Sioux Massacre), ans, Paha Sapa, un Indien Lakota, survivant de la ba- de Sidney Salkow (1965) taille Little Big Horn, projette de dynamiter le Mont Rushmore. Il vit pourtant avec l'âme du genéral Cus- • Custer, l'homme de l'ouest, (Custer, man of the west) ter, qui s’est infiltrée dans son corps lors de la bataille de Robert Siodmak (1967) avec Robert Shaw dans alors que le jeune Indien n'avait que 10 ans. le rôle du général.

• Little Big Man d’Arthur Penn (1970) avec Dustin Hoffman, une parodie de la bataille de Little Big 5 Notes et références Horn où le général est présent tout au long du film comme artisan du génocide des Indiens. Il est inter- [1] Charles B. Wallace, Ohio d'enfance de Custer : Un bref prété par Richard Mulligan. compte rendu de la vie de Major-général George Arm- strong Custer, Freeport Press, 1978, p. 6 • Touche pas à la femme blanche ! de Marco Ferre- ri(1974), Une parodie de , de la bataille de [2] (en) Edward L. Daily, The Legacy of Custer’s 7th U.S. Little Big Horn (1876) et son célèbre général Cus- Cavalry in Korea, Turner Publishing Company, 1990, p. ter, interprété par Marcello Mastroianni. Elle a été 12 tournée au chantier du futur Forum des Halles, dans [3] (en) Tom Carhart, Sacred Ties : From West Point Broth- le centre de Paris. ers to Battlefield Rivals : A True Story of the Civil War, Penguin, 2010, p. 57 • Docteur Quinn, femme médecin (série TV 1993- 1998). Il apparaît notamment dans les saisons 4 et [4] Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire, 6 de la série ; le général se heurte à l’hostilité de la Anovi, 2006 communauté pour sa haine des Indiens. [5] Civil War General of the Day • Son of the Morning Star, film biographique avec Ga- ry Cole et Rosanna Arquette (1997). [6] custerwest.org : General Custer/Little Bighorn

• La Nuit au musée 2 avec Bill Hader dans le rôle du [7] Medal of Honor recipients : Thomas W. Custer général (2009). [8] (en) Kevin M. Sullivan, Custer’s Road to Disaster : The Path to Little Bighorn, Globe Pequot, 2013, p. 34

4.2 Bande dessinée [9] Alain Gouttman, La Guerre du Mexique (1862-1867) : le mirage américain de Napoléon III, Perrin, 2008 Dans la série Blueberry, de Charlier et Giraud, il apparaît [10] (en) George R. Lee, U.S. History, Grades 6 - 8. People sous les traits du général Allister : and Events : 1865 - Present, Carson-Dellosa Publishing, 2008, p. 18 • La piste des Sioux ; [11] Appelée le plus souvent “campagne de 1867”. Voir Ut- • Le général Tête Jaune ; ley, Custer, Cavalier in buckskin, University of Oklahoma Press, rééd.2001 • Le bout de la piste. [12] Monaghan, Custer : The life of General George A. Custer, University of Nebraska Press, 1971 Dans Sky Hawk, de Jirô Taniguchi, deux samouraïs dé- chus aident la tribu des Sioux oglalas menée par Crazy [13] (en) James Donovan, A Terrible Glory, Little, Brown and Horse à affronter Custer. Company, 2008, p. 62-63

Dans Lakota, de Serpieri et Naugatuck de Sergio Toppi, [14] Liste des chefs de guerre tués, donnée à l'interprète Ri- il y a une évocation de la bataille de Little Big Horn. chard Curtis : Buffalo Tongue ; Tall White Man ; Tall Owl ; Poor Black Elk ; Big Horse ; White Beaver ; Bear Tail ; Running Water ; Wolf Ear ; The Man That Hears the 4.3 Roman Wolf ; Medicine Walker ; Black Kettle ; Little Rock. Stan Hoig, “The Battle of the Washita, University of Oklahoma • (en) Robert Conroy, 1882 : Custer in Chains, Baen, Press, pp.200-201 5 mai 2015, 400 p. (ISBN 978-1476780511). George Armstrong Custer survit à la bataille de Little Big [15] Biographie et éclairages sur le colonel Lounsberry Horn. Il est élu président des États-Unis et provoque [16] “After the war : the lives and images of major Civil War une guerre hispano-américaine. figures after the shooting stopped, par David Hardin, page 263 • (fr) Dan Simmons (trad. Odile Demange), Black Hil- ls,« Collines Noires », Paris, Robert Laffont, 17 oc- [17] Joly, Custer, la vérité sur les guerres indiennes des grandes tobre 2013, 544 p. (ISBN 2-221-12265-8). À 71 plaines d’Amérique du Nord, France-Empire, 2005 6 6 VOIR AUSSI

[18] (en) Jeffry D. Wert, Custer. The Controversial Life of 6.4 Bibliographie en anglais George Armstrong Custer, Simon & Schuster, 1996, p. 192 • Stephen E. Ambrose, Crazy Horse and Custer : The Parallel Lives of Two American Warriors, Double- [19] My Life on the Plains, by General Custer day & Co, 1975 [20] (en) Tom Quirk, Gary Scharnhorst, American his- tory through literature, 1870-1920, Charles Scribner’s • Evan S. Connel, Son of the Morning Star, General Sons/Thomsom Gale, 2006, p. 227 Custer and the Little Bighorn, Pimlico Books, rééd. 1999 [21] (en) Charles E. Rankin, Legacy : new perspectives on the Battle of the Little Bighorn, Montana Historical Society • Lawrence A. Frost, The Custer Album, a Pictorial Press, 1996, p. 233 Biography of General George A. Custer, University [22] Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire, of Oklahoma Press, 1964 Anovi, 2006 • Jerome A. Greene, Washita 1868 : The Army and the Southern Cheyennes, University of Oklahoma Press, 2004 6 Voir aussi • Marguerite Merington (éd.), The Custer Story, The • Notices d’autorité : Fichier d’autorité international Life and Intimate Letters of General Custer and His virtuel • International Standard Name Identifier • Wife Elizabeth, The Devin-Adair Company, 1950 Bibliothèque nationale de France • Système univer- • Jay Monaghan, Custer : The life of General George sitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès A. Custer, University of Nebraska Press, 1971 • Gemeinsame Normdatei • WorldCat • Gregory J. Urwin, Custer Victorious, The Civil War Battles of General George Armstrong Custer, Univer- 6.1 Articles connexes sity of Nebraska Press, rééd. 1990 • Guerres indiennes • Louise Barnett, Touched by Fire : The Life, Death, and Mythic Afterlife of George Armstrong Custer, • Bataille de Washita River Henry Holt & Company, 1996 • Bataille de Little Big Horn • Eric Joly, Custer, la vérité sur les guerres indiennes • Sitting Bull des grandes plaines d’Amérique du Nord, France- Empire, 2005 • Crazy Horse • Robert M. Utley, Custer, Cavalier in buckskin, Uni- • Sioux versity of Oklahoma Press, rééd.2001 • Cheyennes • Jeffry Wert, Custer : The controversial life of George • Custer’s Revenge Armstrong Custer, Touchstone Books, 1996

6.2 Liens externes • Portail des Nord-Amérindiens • portail historique sur Custer, l'Ouest américain et la • bataille de Little Big Horn Portail de la guerre de Sécession • (en) My life in the plains, l'autobiographie de Custer. • Portail du western

6.3 Bibliographie en français • Portail des forces armées des États-Unis

• David Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une ba- taille légendaire (édition augmentée), Editions Ano- vi, 2006/2008 ISBN 2-914818-28-9 • Farid Ameur, Sitting Bull, héros de la résistance in- dienne, Paris, Larousse, 2010. • Eric Joly, Custer, la vérité sur les guerres indiennes des grandes plaines d'Amérique du Nord, France- Empire, 2005 ISBN 2-7048-0991-7 7

7 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image

7.1 Texte • George Armstrong Custer Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Armstrong_Custer?oldid=116902646 Contributeurs : Nataraja, Fabien1309, Alexboom, Koyuki, Archeos, MedBot, Sam Hocevar, Phe-bot, La pinte, Jblndl, Romary, Darkoneko, Bradipus, Criric, Bayo, Leag, Bob08, Xavier Combelle, Mister Cola, L'amateur d'aéroplanes, Chobot, Stéphane33, RobotE, Zetud, Probot, Lmaltier, Gzen92, Vanina82, RobotQuistnix, Tavernier, YurikBot, Jerome66, Ico, Passoa15, Alphabeta, Guimard, Rled44, Kirtap, Knightelf, Mith, Cédric Boissière, Ben Siesta, Florival fr, Cchene, Chico75, Jackglandu, Thijs !bot, Attis~frwiki, Jls, Brejnev, Pj44300, JAnDbot, .anacondabot, Kyrhu, Western, Erabot, Schiller, DanRoz, Salebot, Bot-Schafter, Jrma, DodekBot~frwiki, Isaac Sanolnacov, Liorek, TXiKiBoT, Wiki- frédéric, Manuel Trujillo Berges, Khaerr, Custer, Jesmar, Dikay, GwenofGwened, Ice Scream, SieBot, Skiff, MystBot, Alecs.bot, Custer- west~frwiki, Lepsyleon, Vlaam, Lilyu, Jeannine Adam 1934, DumZiBoT, BOTarate, Carnage 2000, Alexbot, ZetudBot, Julien1978, Bub’s wikibot, Inmediatic, Harmonia Amanda, Utopies, LinkFA-Bot, Luckas-bot, Celette, Micbot, Nallimbot, GrouchoBot, Rickey~frwiki, Ta- langaï, DSisyphBot, ArthurBot, Xqbot, Ytrezap, Tango Panaché, JackBot, Alex-F, MastiBot, Coyote du 57, Lomita, RedBot, AviaWiki, Florn88, CptKeyes, EmausBot, Salsero35, ZéroBot, Francis Brown, Alcide talon, JoleK, Gael13011, Jules78120, Jirayr 92, MerlIwBot, Utilisateur disparu, OrlodrimBot, AutoritéBot, Mario300, Ramzan, OrikriBot, Ottis Shah, Clem92, Addbot, Tikky19, KasparBot et Ano- nyme : 98

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