Dossier De Presse 2019 L’Agrandissement Du Musée Unterlinden P.3 Un Projet De Renommée Internationale

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Dossier De Presse 2019 L’Agrandissement Du Musée Unterlinden P.3 Un Projet De Renommée Internationale Dossier de presse 2019 L’agrandissement du Musée Unterlinden p.3 un projet de renommée internationale Urbanisme, architecture et muséographie Extension du Musée par Herzog & de Meuron p.4 La rénovation des Monuments Historiques par Richard Duplat p.6 Présentation du Musée Unterlinden p.7 Parcours de visite et collections p.8 Accueil Billetterie Vestiaire Boutique L’ancien couvent des dominicaines p.9 Cloître : Arts du Moyen Âge et de la Renaissance Chapelle : Retable d’Issenheim et l’art entre 1510 et 1520 L’entresol du Cloître : de l’Église à la demeure, 1520 – 1530 ; l’archéologie 1er étage : les arts décoratifs, l’Histoire locale, les arts et traditions populaires La Galerie p.24 Histoire du Musée La Maison : Trois œuvres emblématiques Arts du 19e siècle – 20e siècle L’Ackerhof, dénomination de l’aile moderne p.28 Collection d’art moderne La Piscine p.35 Espace événementiel, café-restaurant Annexes p.39 Informations pratiques / contacts Les publications du Musée Unterlinden Les éléments chiffrés – les financeurs Citations Herzog & de Meuron Colmar en bref et en quelques chiffres L’agrandissement du Musée Unterlinden un projet de renommée internationale Le 12 décembre 2015, après trois ans de travaux, le Le Musée et ses abords se présentent aujourd’hui Musée Unterlinden a ouvert ses portes, agrandi et comme une réalisation tant architecturale, rénové. muséographique qu’urbaine. En doublant sa surface totale pour offrir aux visiteurs un parcours Cette extension, dont la Ville de Colmar était et une nouvelle présentation, le Musée affirme sa maître d’ouvrage, a été conçue et réalisée par le vocation d’ouverture et d’accessibilité à tous. cabinet d’architectes Herzog & de Meuron et le cabinet Richard Duplat pour la restauration de l’ancien cloître. Plan du Musée Unterlinden 1. Entrée, sortie 6. Ackerhof 2. Cloître 7. Piscine 3. Chapelle 8. Cour 4. Petite Maison 9. Office de tourisme 5. Galerie 9 3 Urbanisme, architecture et muséographie par Herzog & de Meuron Extension du Musée Unterlinden à Colmar Concours 2009, projet 2009-2012, réalisation 2012-2015 Dans le projet d’extension du musée Unterlinden le couvent, dont la façade a été délicatement à Colmar, réalisé par le cabinet d’architectes rénovée. Les travaux de rénovation ont été Herzog & de Meuron, les trois dimensions que sont planifiés et exécutés en étroite collaboration l’urbanisme, l’architecture et la muséographie sont avec les architectes des Monuments Historiques. étroitement associées. Le projet interroge les notions de reconstruction, de Débarrassées des structures muséographiques simulation et d’intégration. des années 80, les salles ont retrouvé un état similaire à celui d’autrefois. Nous avons dégagé Urbanisme d’anciens plafonds en bois et rouvert des fenêtres Le musée Unterlinden est constitué de deux longtemps murées, donnant sur le cloître et la ville. ensembles qui se font face de part et d’autre Le toit de l’église a été assaini et la nef dotée d’un de la place Unterlinden, reliés par une galerie nouveau plancher. Un escalier en spirale qui ne souterraine. D’un côté le couvent médiéval, avec se donne pas immédiatement comme un nouvel la chapelle, le cloître ouvert et un jardin. De élément architectural, conduit le visiteur à la galerie l’autre côté, le nouveau bâtiment d’exposition souterraine, qui relie le couvent et le nouveau fait écho au volume de la chapelle et forme avec bâtiment. les anciens bains municipaux - qui abritent les bureaux, la salle événementielle, la bibliothèque, Pour la galerie et l’Ackerhof, où sont présentées les le café et l’office du tourisme - une deuxième collections des 19e et 20e siècles, nous avons choisi cour. un langage architectural abstrait, contemporain, blanc. Au second étage du nouveau bâtiment, Située entre ces deux pôles du musée, la place le volume de la salle dédiée aux expositions Unterlinden retrouve sa signification ancrée temporaires évoque, avec son toit à pignon et sa dans l’histoire, à l’époque où écuries et ferme hauteur extraordinaire de 11,50 mètres, la chapelle formaient vis-à-vis du couvent, un ensemble des Dominicaines. L’espace central des anciens appelé Ackerhof. Ce qui était, avant la rénovation bains, la Piscine, communique avec les nouvelles du musée, une gare routière est aujourd’hui une salles d’exposition. Il peut accueillir des concerts, nouvelle place, publique et urbaine. Le canal de la des performances, des conférences, des fêtes Sinn, dont les eaux s’écoulent sous la vieille ville diverses ou des installations d’art contemporain. de Colmar, est rouvert et devient l’élément central de ce nouvel espace public. Tout près de l’eau, Les façades de l’Ackerhof et de la petite maison, une petite maison marque la présence du musée ainsi que les murs délimitant la nouvelle cour, ont sur la place. Elle reprend la position, la volumétrie une texture rugueuse, faite de briques. Un dialogue et la forme du bâtiment d’entrée de la ferme qui se crée avec le couvent aux façades de moellons s’y trouvait autrefois. En regardant à travers ses et de crépi, où styles et époques se superposent. deux fenêtres, on peut apercevoir l’intérieur de la Dans l’épaisseur des murs sont découpées quelques galerie souterraine en contrebas, qui relie les deux fenêtres en ogive. Les toits sont en cuivre. Le sol de ensembles. la nouvelle cour est recouvert de grès, comme la place Unterlinden. Au cœur de cette cour, un verger, Architecture le pomarium, se développe sur un socle de pierre et Nous avons cherché une configuration urbaine de briques. et un langage architectural qui s’intègrent dans la vieille ville, tout en manifestant son caractère contemporain à ceux qui y regardent de plus près. Située au centre de la place, face au canal, l’entrée du nouveau musée donne sur 4 Collections et muséographie fort du parcours, qui rapproche trois œuvres Développée en étroite collaboration avec représentatives de trois directions de l’art du 19e Jean-François Chevrier et Élia Pijollet, dans siècle et marque le début de la transition vers l’art un constant dialogue avec les conservateurs moderne, reprise et développée dans la suite de la du Musée Unterlinden, la muséographie a été galerie. pensée en relation avec l’architecture : nous avons eu le souci de valoriser au mieux chaque La partie la plus longue, qui constitue à proprement espace et chaque œuvre, tout en rendant lisibles parler la « galerie » accueille la collection d’art du les ensembles et les relations (artistiques, 19e siècle et une première partie de la collection chronologiques, historiques). 20e siècle, jusqu’au début des années 1930. L’espace en longueur est structuré par trois cabinets La structure composite et hétérogène de la d’art graphique, consacrés respectivement au collection se redouble dans celle du bâtiment, 19e siècle, à la photographie et au début du 20e assemblage d’entités architecturales d’époques et siècle. Posées à intervalles irréguliers le long de de styles très divers. Nous avons cherché à clarifier l’axe central, ces trois petites boîtes blanches le parcours en définissant des relations simples définissent quatre séquences spatiales. Les deux et lisibles : le Cloître abrite l’art médiéval (et au longs murs continus permettent un accrochage premier étage les collections d’art décoratif et d’art sans interruption en deux « lignes ». Le rythme de populaire) ; la Galerie la transition du 19e au 20e l’accrochage est donné par les séquences ouverture siècle, vers l’art moderne ; l’Ackerhof l’art depuis / resserrement : espace ouvert entre deux cabinets, les années 1930 et les expositions temporaires. espace plus intime de part et d’autre de chaque À chacune de ces trois entités correspond un cabinet, propice aux petites œuvres. traitement particulier des espaces intérieurs (matériaux, couleurs, proportions et partitions). Le rez-de-chaussée et le premier étage de l’Ackerhof accueillent la collection de peinture Le Retable d’Issenheim n’a pas changé et de sculpture des années 1930 à aujourd’hui. d’emplacement : il se déploie dans la chapelle La muséographie a été conçue de manière à attenante au cloître, dont l’espace intérieur a faire apparaître la signification historique de la été clarifié. Il est présenté dans une nouvelle collection, stimuler sa complexité et être ouverte à structure qui libère les panneaux de bois peint, son enrichissement à venir. de manière à rendre visible le chef d’œuvre de l’art plutôt que l’image de dévotion. L’éclairage La division de l’espace en salles cloisonnées a été a été entièrement repensé. écartée, car la recherche d’une pureté abstraite ne convient pas à la collection : une succession de L’important ensemble d’art médiéval des 14e volumes autonomes la figerait en petits ensembles au 16e siècles est présenté dans les salles qui fermés sur eux-mêmes. Nous avons cherché au entourent le cloître au rez-de-chaussée et dans contraire à rendre visibles des tensions historiques une partie du sous-sol, selon une présentation dans des espaces fluides et découpés. Le système chronologique rassemblant les supports divers – de cimaises suspendues, développé spécifiquement tableaux, retables, sculptures, reliefs, vitraux, objets pour le musée Unterlinden, permet d’associer d’art – par période et par foyer géographique. mobilité et structure rigoureuse de l’espace. L’accrochage est dense, il permet un réseau de relations très vivant et parlant entre les œuvres. Chacun des deux niveaux est traité comme une Cette densité est modulée par deux moments unité spatiale continue, où les œuvres dialoguent plus amples : la deuxième salle (1420-1470) et la : dès l’entrée, le niveau est perçu par le visiteur chapelle. comme une entité – un seul volume –, dont il découvre le contenu et les articulations au fil de La galerie se présente comme une suite de trois son avancée dans la salle.
Recommended publications
  • Michaela Schedl Tafelmalerei Der Spätgotik Am Südlichen
    Michaela Schedl Tafelmalerei der Spätgotik am südlichen Mittelrhein Mainz 2016 Selbstverlag der Gesellschaft für mittelrheinische Kirchengeschichte Teil III Künstler, Städte und Werke 110 Thema (Abb. IV )505 *, wobei der Maler bei der Architektur des Stadttors jedoch auf die gotischen Bauformen des Stichs verzichtete. Darüber hinaus lag ihm dessen DieStich Vision des Kaisers Konstantin vor, bei dem ihm der Kaiser als Vorlage für den Guten Hauptmann diente.507 Nur bei diesem Meister ist die Kenntnis dieser Kupferstiche nachzuweisen, sonst bei keinem anderen Kollegen am südlichen Mittelrhein. Abschließend sei noch im Hinblick auf Hanau darauf hingewiesen, dass wir außer den Werken der Glas- und Wandmalerei sowie Schnitzerei, die von Philipp I. d. J. in Ha­ nau in Auftrag gegeben wurden und noch erhalten sind, neben dem WörtherKreuzi- gungsaltar noch ein oder zwei weitere spätgotische Werke der Tafelmalerei der Main- Kinzig-Stadt kennen. Nicht erhalten, aber in Quellen belegt ist ein Maria-Magdalena- Bild, das verschiedene Personen am 18. Mai 1446 für die Hanauer Stiftskirche von dem in Frankfurt tätigen Maler Sebald Fyoll508 kauften. Hierfür erhielt er 20 Gulden.509 Erhalten, aber nicht in Quellen belegt ist darüber hinaus die großformatige Tafel eines jungen Paars, des Gothaer Liebespaars (Abb. 72), auf dem sich das Wappen derer von Hanau oder Eppstein befindet. Zülch gibt zudem ein Schreiben von 1467 an den Frankfurter Rat wieder, in dem von einem weiteren in Frankfurt tätigen Maler und Ofenmacher Hans Wetzel die Rede ist, der u. a. für den Hanauer Grafen tätig war. Dieser bezeichnete ihn als: „unser Werkmeister und Diener“510. b) Höchst am Main / Kreuzigungsaltar (Kat.
    [Show full text]
  • Der Sogenannte Staufener Altar Und Seine Nachfolge
    Daniel Hess Der sogenannte Staufener Altar und seine Nachfolge. Zur oberrheinischen Malerei um 1450 Zu den bezauberndsten Begegnungen mit Alten Meistern im Ausführung ist mäßig. Die Zeit ihrer Entstehung dürfte um deutschen Sprachgebiet zählen sicherlich die Gemälde im 1450 anzusetzen sein« 3 . Da die Beschreibung auf keine an­ Kreis des Frankfurter Paradiesgärtleins, die ein eindrucksvol­ deren damals in der Sammlung Hirseher befindlichen Tafeln les Zeugnis jener bereits vor den Konzilien in Konstanz und zutrifft, kann es sich nur um die beiden 1858 an die Karlsru­ Basel einsetzenden künstlerischen Hochblüte am Oberrhein her Kunsthalle verkauften Tafeln unseres Altars gehandelt ha­ ablegen. Nach dem letzten größeren Überblick über die ge­ ben. Waagens Beschreibung und kunsthistorische Einord­ samte Gemäldegruppe anläßlich der Ausstellung der vier nung ist bestechend präzise, so daß auch seine Provenienz­ neuerworbenen Johannes-Täfelchen in Karlsruhe 1994 und angabe kaum Zweifel erlaubt, zumal seit dem Ankauf Hir­ nach dem jüngst von Robert Suckale unternommenen Versuch schers höchstens neun Jahre vergangen .~aren. einer Verbindung dieser Werke mit überlieferten Künstlerna• Trotz dieser eigentlich eindeutigen Uberlieferung wurde men, wird hier nur die Werkgruppe des sogenannten Staufe­ die seit der grundlegenden Arbeit llse Futterers4 als gesichert ner Altars und seines unmittelbaren Umfelds zur Sprache geltende Herkunft von Werner Noack 1951 unter dem Hin­ 1 kommen • Aus diesem engen Blickwinkel heraus soll versucht weis abgelehnt, daß sich die acht Marientafeln laut Kunst­ werden, Ansätze zur Lokalisierung und Identifizierung der denkmalbond von 1904 früher im Pfarrhaus von Staufen be­ bislang in Basel, Colmar oder Freiburg vermuteten Werkstatt funden hatten, bevor sie dann in den Besitz des Freiburger zu entwickeln und gleichzeitig die künstlerischen Zusammen­ Rechtsanwalts Ludwig Marbe übergingen5 .
    [Show full text]
  • Perspective, 2 | 2007 Le Culte Des Images, Le Désir Des Sorcières
    Perspective Actualité en histoire de l’art 2 | 2007 La Grande-Bretagne/Période moderne Le culte des images, le désir des sorcières. Travaux récents sur l’art allemand de la Renaissance François-René Martin Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/perspective/3831 DOI : 10.4000/perspective.3831 ISSN : 2269-7721 Éditeur Institut national d'histoire de l'art Édition imprimée Date de publication : 30 juin 2007 Pagination : 377-381 ISSN : 1777-7852 Référence électronique François-René Martin, « Le culte des images, le désir des sorcières. Travaux récents sur l’art allemand de la Renaissance », Perspective [En ligne], 2 | 2007, mis en ligne le 31 mars 2018, consulté le 01 octobre 2020. URL : http://journals.openedition.org/perspective/3831 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ perspective.3831 Ce document a été généré automatiquement le 1 octobre 2020. Le culte des images, le désir des sorcières. Travaux récents sur l’art allema... 1 Le culte des images, le désir des sorcières. Travaux récents sur l’art allemand de la Renaissance François-René Martin RÉFÉRENCE Edgar Bierende, Lucas Cranach d. Ä. und der deutsche Humanismus. Tafelmalerei im Kontext von Rhetorik, Chroniken und Fürstenspiegeln, Munich/Berlin, Deutscher Kunstverlag, 2002, 518 p., 110 fig. n. et b. ISBN : 978-3-422-06339-6 ; 68 €. Bodo Brinkmann, Hexenlust und Südenfall. Die Seltsamen Phantasien des Hans Baldung Grien. Witches’ Lust and the Fall of Man. The Strange Phantasies of Hans Baldung Grien (avec un essai de Berthold Hinz), Francfort-s.-M./Petersberg, Städel Museum/Michael Imhof, 2006. 272 p., 156 fig. coul. ISBN : 978-3-86568-225-3 ; 29,95 €.
    [Show full text]
  • Peintures Murales Et Plafonds Peints (Xiiie - Xve Siècles)
    Ilona HANS-COLLAS, Docteur en histoire de l'art LE DÉCOR DES MAISONS DANS L'EST DE LA FRANCE : PEINTURES MURALES ET PLAFONDS PEINTS (XIIIE - XVE SIÈCLES) Notre connaissance actuelle des décors peints dans la demeure médiévale est fortement tributaire d’un contexte historiographique, topographique, immobilier, plus ou moins favorable selon les périodes. Le corpus s’enrichit constamment et permet de jeter un regard nouveau sur la place et la fonction des peintures. Dès le XIIIe siècle, les murs et les plafonds des maisons étaient peints. Le répertoire décoratif s’adaptait parfaitement au cadre architectural. La continuité des décors dans le temps, tout comme la qualité et la variété des motifs – figurés ou non – révèlent un goût constant pour la couleur dans la demeure. Metz et ses décors peints Ville épiscopale rattachée à l’Empire, la ville de Metz se développe surtout sous le règne de l’évêque Jacques de Lorraine (1239-1260). Metz fut une ville active, ouverte et très peuplée, dépassant au XIVe siècle largement en nombre d’habitants d’autres villes comme Trèves, Toul ou Verdun. Cette situation démographique et la prospérité générale de la ville entraînent un élan constructeur dont bénéficient les édifices civils à partir du XIIIe siècle. Les décors peints y ont trouvé immédiatement une place importante. À ce jour, le nombre de bâtisses civiles avec des décors peints du XIIIe au XVe siècle – conservés ou documentés – s’élève à une trentaine, chiffre considérable qui place la ville, à l’échelle de la France, parmi les plus riches en décors médiévaux1. 1 S’y ajoutent quelques décors du XVIe siècle (6 maisons).
    [Show full text]
  • Carte Des Pistes Cyclables De Strasbourg
    . du Breuil R Rue Jeanne d'Arc R u Rue du Allée du e Lycée u B im a o Rue Becquerel Souvenir e R. de Wasselonne Square n e kcemrihcS ed.R kcemrihcS e e 5 e c Charles de h z s n Rue Chautodest v k cœur des quartiers et tout à fait adaptées à la pratique du vélo. vélo. du pratique la à adaptées fait à tout et quartiers des cœur Bischheim R. de t l e u l'Abattoir e e Rue l Clinique rl èr in n Rue du in Foucauld e a e ci ubép a c M N de a l'A Sainte-Anne capitale européenne à travers de nombreuses rues et pistes au au pistes et rues nombreuses de travers à européenne capitale Rue e a e R. de Molsheim R.de Ste R l ier d Q W Petersgarten ue Principale e G A l' Aubépine ent Violettes r d d u Chemin des Ru Frêne e S a e e Marie aux Mines la Mairie du u a l'Aubépine ai a P u R Rue l Pass.de d L Rue du Platane R R En-dehors de ces itinéraires jalonnés, découvrez aussi la la aussi découvrez jalonnés, itinéraires ces de En-dehors A R u R Parc de la e g u Barrage e e l S Jaell d u u r u e d L'ILL D e u R.d' d Rue du Tribunal o d c R g R Imp. Rue e b u e e Pl.J.
    [Show full text]
  • Pressedossier 2018
    Pressemappe 2018 Gilbert Meyer Bürgermeister von Colmar In Colmar, eine Stadt mit langer Geschichte neue Unterlinden nunmehr als Bindeglied ‘‘ und zahlreichen Facetten, besitzt die Kultur fungieren – als ein attraktives, pulsierendes einen hohen Stellenwert (18% des Zentrum und als ein Ort der Begegnung städtischen Haushalts). In diesem zwischen den Einwohnern Colmars und dynamischen Umfeld nimmt das Musée den Besuchern der Stadt. Colmar ist Unterlinden ohne Zweifel die Rolle des zugleich ein lebendiges Wirtschaftszentrum Flaggschiffs ein. Sein Ruf, der zu einem im Herzen des Elsass. Die hier ansässigen nicht unwesentlichen Teil auf dem des Unternehmen und künftige Investoren Isenheimer Altars beruht, macht es zu erwarten von ihrem Standort, dass er eine einem der bedeutendsten Museen des gut sichtbare Position einnimmt und Elsass und des Oberrheins, das jedes Jahr unverkennbare Werte ausstrahlt. Auch in Tausende Besucher aus Frankreich, dieser Hinsicht setzt das neue Musée Deutschland, der Schweiz und anderen Unterlinden ein starkes Signal: das einer Ländern anzieht. Wir sind davon überzeugt, Region, die stolz auf ihre Wurzeln ist dass deren Zahl weiterhin zunehmen wird und in eine auf die Zukunft und dass diese Menschen ausgerichtete Entwicklung ihren Besuch – vor allem investiert. Im Hinblick auf Image, dank des außergewöhnlich Tourismus, Wirtschaft und gelungenen weitere Bereiche stellt das architektonischen und Musée Unterlinden eine museografischen Konzepts treibende Kraft im Leben unserer des Architekturbüros Stadt dar. Aus diesem Grund hat Herzog & de Meuron in sich Colmar an den insgesamt noch besserer Erinnerung 44 Millionen Euro, die für die behalten werden. Als Erweiterung des Museums und Bürgermeister von Colmar die Neugestaltung des Quartiers möchte ich an dieser Stelle erforderlich waren, mit mehr als die städtebauliche 17 Millionen Euro beteiligt – für Dimension dieses eine Stadt dieser Größe ein Vorhabens unterstreichen: Die Einrichtung beachtliches Engagement.
    [Show full text]
  • Le Nouvel Unterlinden
    NEW ID Le nouvel Unterlinden Willkommen 1512–1516, Mischtechnik (Tempera und Öl) auf Lindenholz, Musée Unterlinden, Colmar Musée Unterlinden, Lindenholz, und Öl) auf (Tempera Mischtechnik 1512–1516, Muttergottes mit Kind, Muttergottes mit Kind, Isenheimer Altar, Grünewald, Grünewald, musee-unterlinden.com me Crédit Mutuel Centre Est Europe, Timken Foundation, M. Thomas Dietschweiler, M. et M William et Judith Scheide Pressemappe 2018 Inhaltsverzeichnis Die Vergrösserung des Musée Unterlinden S.3 Ein Projekt von internationalem Ruf ___________________________________________ Städtebau, Architektur, Sammlung und Museografie Erweiterung des Museums durch Herzog & de Meuron S.4 Denkmalpflege durch Richard Duplat S.6 ___________________________________________ Präsentation des Musée Unterlinden (1853 – 2015) S.7 ____________________________________________ Besucherrundgang: Die Sammlungen S.9 Eingangsbereich Das ehemalige Dominikanerinnenkloster S.10 Kloster: Die Kunst des Mittelalters und der Renaissance Kapelle: der Isenheimer Altar und die Kunst von 1510 bis 1520 Die Zwischenetage des Klosters: von der Kirche zum profanen Raum Merovingerzeit Romanischer Kunst Archeologie Die Galerie S.25 Der Ackerhof : das neue Gebäude S.27 La Piscine S.31 ___________________________________________ Anhang S.32 Praktische Informationen Die Publikationen des Musée Unterlinden Zitaten Herzog & de Meuron Aktuelle Ausstellung S.35 Kommende Ausstellungen S.37 ________________________________________________________________________ 2 Die Vergrösserung des Musée Unterlinden Ein Projekt von internationalem Ruf Das Unterlindenmuseum hat am 12.12.2015 museographische und urbane Entwicklung. eröffnet nach drei Jahren Umbauzeit seine Tore, Seine Fläche wurde verdoppelt, um den vergrößert und renoviert. Besuchern einen neuen durchdachten Diese Vergrößerung wurde von der Stadt Rundgang in einem neuen „Schatzkästlein“ zu Colmar in Auftrag gegeben und durch das offerieren. Ziel des Museums ist es, für alle Architekturbüro Herzog & de Meuron und das geöffnet und erreichbar zu sein.
    [Show full text]
  • Du Boulevard À La Ruelle Les Noms De Rues De La Ville De Strasbourg Wege Und Stege Die Straβennamen Der Stadt Straβburg
    Du boulevard à la ruelle Les noms de rues de la Ville de Strasbourg Wege und Stege Die Straβennamen der Stadt Straβburg Répertoire bilingue Zweisprachiges Verzeichnis avec les noms traditionnels mit den herkömmlichen Namen en langue régionale in der Regionalsprache Photos de couverture Chantier de la plateforme logistique Titelbilder fluviale dénommée Fischerstaden sur le Quai des Pêcheurs (2018) Baustelle des Fischerstaden genannten Ladestegs (2018) Exemple de « plaque de rue » du 18e siècle : le nom de la rue Straßennamenbeschilderung des Schiffleutstaden est sculpté sur une 18. Jahrhunderts: Steininschrift façade du Quai des Bateliers (2018) am Schiffleutstaden (2018) Du boulevard à la ruelle Les noms de rues de la Ville de Strasbourg Wege und Stege Die Straβennamen der Stadt Straβburg Répertoire bilingue avec les noms traditionnels en langue régionale Zweisprachiges Verzeichnis mit den herkömmlichen Namen in der Regionalsprache Conseil de l’Europe/Europarat Toute demande de reproduction ou de Alle Anfragen bezüglich einer traduction de tout ou d’une partie de ce Vervielfältigung oder Übersetzung des document doit être adressée à la Direction Dokuments in Teilen oder in Gänze sind de la communication (F-67075 Strasbourg an die Abteilung für Kommunikation ou [email protected]). Toute autre zu richten (F-67075 Straβburg oder correspondance relative à ce document [email protected]). Sonstiger doit être adressée à la Direction générale de Schriftverkehr zu diesem Dokument ist la démocratie ([email protected]). an die Generaldirektion Demokratie zu richten ([email protected]). Couverture et mise en page : Service de la production des documents et des Umschlag und Gestaltung: Dienst für publications (SPDP), Conseil de l’Europe die Herstellung von Dokumenten und Veröffentlichungen (DHDV), Europarat Photo p.
    [Show full text]
  • Artistic Activity in the 15Th Century
    Cloître 0 1420 – 1470 Artistic activity in the 15 th century (1420 – 1470) The relative artistic uniformity of of the Cross. The physical presence of the the International Gothic was followed by figures and the use of light to model the a more complex period in which regional bodies and animate the drapery in the two stylistic currents emerged, often under works prove the influence of the art of the the influence of a significant figure. Southern Netherlands. The 1450s saw the emergence of artists with a characteristic style, whose This influence is also tangible in the output is known and for whom we have painted panels of the Altarpiece of the documentary sources. The painter Jost Passion commissioned by the canons* of Haller, for example, is attested as having the collegiate church of St Martin in been in Strasbourg from 1438. He trained Colmar from the local painter Caspar in the city but also worked in Metz and Isenmann in 1462. Saarbrücken. This immense altarpiece, which is now incomplete, was finished in 1465, as is proved by the date inscribed on the reverse side. It demonstrates the way in which the artist drew upon different influences to forge his own style, in which the art of presentation and narrative does not conceal his interest in the indivi- Jost Haller, Tempelhof Altarpiece, from Bergheim, c. 1445, oil on panel dualisation of his figures. These links to the Southern Netherlands In around 1445 – 1450, he painted the are so subtle that they probably explain Tempelhof Altarpiece from Bergheim, why the two little figures from a Nativity which combines the theme of the princess (the Virgin and an Angel) were attributed to sacrificed to the dragon being saved by St the Upper Rhine when they were bought in George with an image of Christ presented 1985.
    [Show full text]
  • L'organisation Militaire De La Ville De Haguenau (1375-1425) Par
    1 L’organisation militaire de la ville de Haguenau (1375-1425) par Guillaume ARBOGAST L’objet du mémoire de recherche consiste en une analyse de l’organisation de l’institution militaire de la ville de Haguenau sur une période principalement comprise entre les années 1375 et 1425. Divers exemples de l’engagement haguenovien dans les conflits du Bas Moyen Age, ayant eu lieu durant la période visée ou bien dans ses proches environs temporels, furent mentionnés dans les lignes de ce travail avec le but affiché de fournir un vaste éventail des aspects militaires de l’époque, pour une la seconde ville d’Alsace, à égalité avec Colmar, et membre de la Décapole. Remontons en premier lieu à la fondation de la ville de Haguenau, que l’historiographie récente fait remonter aux alentours de 1115. Le fondateur de la bourgade de l’époque centrée sur un château fut Frédéric le Borgne, duc de Souabe et d’Alsace. Rapidement, la ville s’étendit et dépassa le cadre primaire du château et de la rivière Moder sur laquelle elle était centrée. Au début du XIVe siècle, la ville était la plus étendue d’Alsace, derrière Strasbourg, en recouvrant une surface de 81 hectares et ceinturée par trois enceintes, la protégeant des agressions extérieures. Du point de vue institutionnel, Haguenau fut d’emblée considéré comme un centre politique et administratif important pour le pouvoir impérial. En 1280, le pouvoir central de l’Empire créa l’institution du Grand Bailliage, qui fut d’office implantée à Haguenau, où elle resta jusqu’à l’Epoque Moderne.
    [Show full text]
  • November 2002 Newsletter
    historians of netherlandish art NEWSLETTER Dedicated to the Study of Netherlandish, German and Franco-Flemish Art and Architecture, 1350-1750 Vol. 19, No. 2 www.hnanews.org November 2002 Joseph Heintz (1564-1609), The Penitent Magdalen. Oil on canvas, 84.5 x 69 cm. The Art Museum, Princeton University. Museum purchase and partial gift of Stephen Mazoh Photo credit: Bruce M. White HNA Newsletter, Vol. 19, No. 2, November 2002 1 From the President Finally, let me mention that the College Art Association meeting in New York this coming February will feature an HNA-sponsored The HNA website is finally complete: www.hnanews.org. It had session chaired by members Andrea Pearson and Lisa Deam – Friday, a slow birth, as many of you have noticed. But now that you can February 21, from noon until one-thirty, in the Beekman Parlour, 2nd access it in its entirety, you will see a number of helpful features. In floor of the Hilton. Time and venue of the Reception will be an- the Links category, for example, you will find a new section on Dutch nounced on the Message Board, and of course, in the program of the language instruction, not to mention addresses of photographic College Art Association meeting. services, research facilities, libraries, and dealers. The Members Only section offers yet more. The Membership Directory now gives you All the best, information that can be updated twice a year, if necessary. The Archive of Past Reviews of Books (going back to 2000) allows you to Alison M. Kettering, search for that anthology or book whose editor or author simply escapes your befogged memory.
    [Show full text]
  • Un Bilan Des Travaux Concernant L'héraldique Médiévale Messine (Xixe-Xxie S.) Jcblanchard
    Un bilan des travaux concernant l’héraldique médiévale messine (XIX e-XXI e s.) Dresser un bilan des travaux qui, du XIX e au XXI e siècle, ont éclairé la connaissance de l’héraldique messine, c’est d’abord rendre un hommage aux personnalités qui, s’intéressant plus généralement à l’histoire de Metz, ont rassemblé une abondante documentation concernant les armoiries messines et plus particulièrement celles du patriciat messin, cette oligarchie urbaine qui a présidé du XIII e au XVI e siècle aux destinées de la cité 1. On évoquera donc successivement la biographie et surtout la bibliographie de trois personnages clés de l’historiographie messine : Jean-François-Gilbert Gérard d’Hannoncelles, Auguste Prost et Jean Schneider. Aux ouvrages et réflexions de ces trois précurseurs, il conviendra d’ajouter quelques références issues de recherches d’autres spécialistes qui se sont penchés, directement ou non, sur l’héraldique messine. Dans un second temps, il sera question des progrès faits dans des disciplines connexes ou des domaines susceptibles d’apporter des compléments d’information à l’étude des armoiries. L’effort catalographique mené par les archivistes en matière de sigillographie est de loin le plus remarquable mais nous verrons que les historiens de l’art et les archéologues ont également apporté une part non négligeable au renouvellement des connaissances héraldiques. Il conviendra de dégager en conclusion les pistes vers lesquelles la recherche héraldique pourrait se tourner afin de contribuer au renouvellement des questionnements et des problématiques posés par la connaissance des élites de la cité messine du XIII e au XVI e siècle.
    [Show full text]