HEATRE D^ÂVJGNON ET DES PAYS DE VAUCLUSE

ORCHESTRE "LYRIQUE DE RÉGION' AVIGNON PROVENCE

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I mi ¿ih 20iri2011 SAMEDM5 JANVIER - 20H30

Dans le cadre du bicentenaire de la naissance de

PREMIERE AUDITION A AVIGNON LA LEGENDE DE SAINTE- ELISABETH

Oratorio de Franz Liszt (Editions musicales Peters)

Co-réalisation Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence Musique Sacrée en Avignon

Avec le soutien de Radio Classique et de France Bleu Vaucluse Direction musicale Direction de la Maîtrise Alain Altinoglu Florence Goyon-Pogemberg

Direction des Choeurs Etudes musicales Michel Piquemal Sylvain Souret Aurore Marchand

Elisabeth Ludwig Christina Dietzsch Marc Barrard

Comtesse Sophie Le Sénéchal/un magnat hongrois Nora Gubisch Olivier Heyte

Elisabeth enfant Hermann Pauline Nachman* Chul-Jun Kim

Frédérik II Jean-Marie Delpas

Ludwig enfant *Pages du Centre Augustin Mathieu* de Musique Baroque de Versailles

MAITRISE DE L'OPERA- ORCHESTRE LYRIQUE CHŒUR REGIONAL CHŒUR DE L'OPERA- THEATRE DAVIGNON DE REGION AVIGNON PROVENCE-ALPES- THEATRE DAVIGNON ET DES PAYS PROVENCE COTE DAZUR ET DES PAYS DEVAUCLUSE DEVAUCLUSE

Direction Délégué général Direction Direction Florence Philippe Grison Michel Piquemal Aurore Marchand Goyon-Pogemberg

Directeur technique Régisseur général Régie surtitrage Noël Lemaitre Patrice Blancke Sabine Sendra

Régisseurs de scène Directeur de production Nathalie Bruno et de la scène Michele Soro Philippe Turchi Franz Liszt et la Légende de Sainte-Elisabeth

Assurément, Franz Liszt eut l'envergure d'un géant. Par bien de ses traits, il offre des similitudes avec Victor Hugo. Même ample stature, celle qu'une longévité accroît ; de la génération des compositeurs de 1810 - Mendelssohn, Chopin, Schumann -, Liszt fut le seul à avoir éprouvé une longue vie créatrice. Et celle qui permit, à Hugo et Liszt, au soir de leur vie, d'être devenus « le père » : père des lettres pour l'un, père de la musique pour l'autre. Même place dévolue à la politique : tous deux portèrent des idées pro- gressistes, révolutionnaires aux yeux de certains, mais assurément généreuses et utopiques (toutefois, Hugo fut le seul à plonger dans le champ public, au péril de sa vie et au risque d'un long exill. Même ampleur spirituelle : animés d'une « foi du charbonnier >>, tous deux nourrirent un mysticisme personnel : si Hugo s'érigea en maître d'une spiritualité universelle (sa maison d'exil, Hauteville House, à Guernesey, ne laisse aucun doute à ce sujet), Liszt, renouant avec la foi naïve et fébrile de son enfance, reçut en 1865 les trois ordres mineurs de l'église romaine. Mêmes tragiques destinées familiales : tel Hugo avec Léopoldine, Liszt vit mourir, jeunes, deux de ses trois enfants : Blandine (à 26 ans) et Daniel (à 20 ans). Enfin, même souffle épique pour chanter l'histoire mythique de l'huma- nité : La légende de Sainte-Elisabeth de Liszt et La légende des siècles de Hugo l'attestent.

Liszt, un long fleuve généreux

La vie de Liszt peut s'écrire en trois actes.

Acte I (1811-1844) : te virtuose-compositeur. Baptisé du prénom Ferenc (l'équivalent hongrois de François en France ou de Franz dans d'autres contrées européennes), il connut, dès onze ans, la vie d'un jeune virtuose itinérant dans une Europe que les traités de Vienne avaient rendue plus cosmopolite que jamais. Toutefois, dépassant l'adulation dont il était l'objet, il épanouit ses inquiétudes créatrices au contact de quatre révolutions rapprochées : une révolution politique (les inoubliables journées de juillet 1830 lui furent un idéal de vie publique libre, avant que, en 1831, il ne fréquentât les cercles saint-simoniens) ; une révolution compositionnelle (révélée au public en décembre 1830, la Symphonie fantastique de Berlioz lui dévoila d'insoupçonnés espaces de création) ; une révolution de la profession musicale (en 1832, un concert de Paganini le conduisit à publier, deux ans plus tard, ses réflexions sur son métier dans De la situation des artistes et de leur condition dans la société] ; enfin, une révolution spirituelle, sur laquelle quelques éclair- cissements sont nécessaires.

En 1834, Liszt rencontra Félicité-Robert de Lamennais (1782-1854), dont le parcours politique cousine avec celui de Hugo : d'une famille dévouée au souverain régnant (la royauté pour Lamennais, l'empereur pour Hugo), il passa à des idées progressistes qu'exalta la Révolution de 1830. (l tenta de concilier la religion catholique traditionnelle avec le progrès social, via l'instauration de la démocratie. Mais cette liberté d'esprit se paya au prix fort : l'excommunication. C'est pendant quatre semaines de l'automne 1834 que Liszt séjourna chez Lamennais, près de Dinan : « Vraiment, c'est un homme merveilleux, prodigieux, tout à fait extraordinaire. Tant de génie et tant de cœur = élévation, dévouement, ar- deur passionnée, esprit perspicace, jugement profond et large, simplicité d'enfant, sublimité des pensées et des puissances de l'âme : tout ce qui fait l'homme à l'image de Dieu est en lui. Jamais je ne lui al encore entendu dire MOI !... ». écrivit Liszt, alors âgé de 23 ans, à Marie d'Agoult, sa première compagne lils allaient se séparer en 18441, et la mère de ses trois enfants.

Acte II (1844-1862) : le créateur. Pendant cette période, Liszt déploya ses gigantesques ailes. En voici les principales étapes. En 1844, il fit la connaissance de Wagner ; quoique souvent gâtée par le caractère difficile de Wagner, leur amitié fut, artistiquement, décisive pour tous les deux. En 1847, il rencontra Carolyne Iwanowska, princesse de Sayn- Wittgenstein. Avec cette femme aussi fortunée que cultivée, il s'établit à Weimar Plus intellectuelle que Marie d'Agoult, cette nouvelle com- pagne allait encourager Liszt à ne jamais cesser de penser son mé- tier Pendant cette période weimarienne, Liszt se montra encore plus généreux et désintéressé : touchant certes de hautes rémunérations lors de ses tournées de concerts, il accepta, contre une modeste rému- nération, la charge de maître de chapelle à la cour du grand duc de Saxe-Weimar ; en outre, il prit la suite de Mendelssohn (prématurément décédé en 18471 en passeur de la musique de ses grands collègues (Berlioz, Schumann et, surtout, Wagner, son seul « frère » en ambition Hi i créatrice, dont il dirigea Tannhäuser et, en 1850, créa Lohengrin]. Pendant cette période, il approfondit sa pensée, notamment à propos de la musique de l'avenir [Zukunftmusik]. Signalons aussi son aspiration à unir poésie et musique qui prit corps dans un nouveau genre : le poème symphonique. Et fleurit sa passion pour l'art de Wagner qu'il qualifia de « dieu indien à je ne sais combien de têtes et de mains » et de premier Wort und Tondichter (poète, musicien et dramaturge). Au-delà de son statut de futur gendre (Wagner allait s'unir à Cosima, fille de Liszt), le futur auteur de Parsifal trouva en Liszt un confident. Quoique contemporains (Wagner naquit seulement deux ans après Liszt), rien n'y fit : Liszt fut le père et Wagner le fils. Auprès de Wagner, Liszt approfondit son art d'orchestrer, tandis que, de Liszt, Wagner apprit ce qui allait le faire passer de ses opéras romantiques [Der fliegende Hollander, Tannhauser, Lohengrin] à ses drames démiurgiques [Der Ring des Nibelungen, Tristan und Isolde, Der Meistersinger von Nürnberg et Parsifal]. De son côté, Liszt conçut alors ses ouvrages les plus ambitieux : Sonate en si mineur, pour piano ; Sinfonie zu Dantes Divina Commedia ; Eine Faust-Symphonie ; et cet oratorio Die Legende von der heiligen Elisabeth [La légende de Sainte-Elisabeth].

Acte III (1862-1886) : le « padre » de la musique. Padre s'entend dou- blement : l'attractivité et le sens religieux. Attractivité car, pendant trois décennies, Liszt fut le seul maître que les jeunes compositeurs euro- péens Ide Saint-Saëns à Moussorgsky ou Borodine) ambitionnaient de rencontrer pour en recevoir la certitude que composer était leur voie. Et sens religieux, car le catholicisme nourrit cette période : « Si j'avais eu une autre éducation et suivi une autre profession que celle d'un pianiste à peu près compositeur, peut-être que Dieu m'aurait fait la grâce d'augmen- ter le nombre des bons prêtres. C'était mon instinct et mon aspiration à l'âge de quinze à dix-huit ans » [lettre à Carolyne de Sayn-Wittgenstein, le 30 janvier 1873]. Marqué par son saint patron, François d'Assise, dont la vie convertie fut toute entière dévouée aux meurt-de-faim, Liszt entreprit un cheminement spirituel dont la réception des trois ordres mineurs, en 1866, à Rome et sous les auspices directes du pape, ne fut qu'un des aspects. Énoncer ses œuvres les plus essentielles est égale- ment éloquent : l'oratorio Christus, divers psaumes. Requiem, de brèves pages pour piano. Via Crucis et Ossa arida (ces trois ensembles de pièces frôlent l'atonalité). Survivant de trois ans à ce gendre dont l'emprise sur la musique occidentale l'éblouit, il mourut en 1886, couvert d'honneurs. La légende de Sainte-Elisabeth

Etonnant Liszt. Celui qui, avec une poignée de collègues tel Paganini, « inventa » le concert moderne (avec ses rituels et son vedettariat) fut aussi un grand mystique. Fasciné par le plain-cfiant, par la polyptionie de la Renaissance (en son seul visage épuré, celui de Palestrina) et par la culture médiévale (alors à peine issue du néant où elle était assou- pie), il fit souffler, sur ses oratorios et grandes messes, sa foi comme un irrépressible vent épique. LHistoire y palpite, et nous aussi. Et, quelque grande que fût sa liberté à l'égard des lois civiles et reli- gieuses (ses vies maritales avec Marie d'Agoult, puis avec la princesse 4 Sayn-Wittgenstein, et ses trois enfants nés hors-mariage], FerenD Liszt fut tôt fasciné par l'état ecclésiastique. Nul ne doute que son ample corpus de musique sacrée soit profondément sincère. Qu'il se situât dans le cœur de la loi romaine ou qu'il inclinât vers des doctrines mar- ginales, voire excommuniées (Lamennais], son creuset fut chrétien. Or, - en Occident, sauf à s'en tenir au simple plain-chant, la polyphonie la plus simple porte déjà sa part de théâtralité, tandis que célébrer un rite ou un(e] saint(e) nationaux participe du champ politique. Toute la mu- sique sacrée lisztienne - impure par essence car destinée « au monde » Jfy ' - n'en exprime pas moins une ardente foi. Si peu souvent joué, l'oratorio La légende de Sainte-Elisabeth est une fresque en l'honneur de la « patronne » de la nation hongroise. Dédié au duc Louis )) de Bavière et écrit entre 1857 et 1862 sur un livret d'Otto Roquette, il s'organise en deux parties (deux actes, pourrait-on dire) et en six numéros (presque des tableaux). Quoique cet ouvrage se tienne i i ! ' V aux portes de l'opéra, Liszt en interdit formellement toute représen- i fr tation scénique. Et même si le compositeur se garda bien de le mêler 1-* , aux combats idéologiques qui nourrissaient alors la « naissance » de la nation hongroise, La légende de Sainte-Elisabeth a une indéniable portée : t r politique. Pour écrire le livret. Otto Roquette s'inspira de six récentes fresques que, en 1854-1855, Moritz von Schwind avait réalisées au château de la Wartburg. Situé entre Weimar et Eisenach (la ville natale de Johann- Sebastian Bach), cet édifice fut jusqu'en U40 le siège des comtes de Thuringe. Pour Liszt, ce lieu n'était pas inconnu : au début du XI))®""® siècle, s'y était tenu un concours de chant que Wagner avait intégré dans Tannhauser ; puis il avait protégé Luther, avant d'avoir été en 1817 le siège d'une effervescence politique qui réclamait l'édification de la nation allemande. Landgravine (= comtesse) de ce château, Élisabeth de Hongrie (1207-1231) refusa l'héritage princier que lui avait apporté son veuvage. Chassée de ses terres par sa belle-mére - la landgravine Sophie -, elle quitta le château de la Wartburg et se rendit à Marburg où, à l'image de François d'Assise (le saint patron de Liszt, ne l'oublions pas], elle soulagea les miséreux et, dans le plus extrême dénuement, remit sa jeune vie à Dieu. Sa tombe, qui attira aussitôt de nombreux pèlerinages, aurait suscité des miracles ; sa précoce canonisation, en 1235, couronna sa légende.

-V ' A .y Les principales étapes du récit se succèdent ainsi :

La première partie débute par une introduction orchestrale. Puis le pre- mier tableau, intitulé «Arrivée d'Elisabeth à la Wartburg », comprend les séquences suivantes : souhaits de bienvenue du peuple, des landgraves et des chevaliers ; salut des magnats hongrois et chœur des vassaux ; promesses solennelles du landgrave Hermann ; première entrevue entre le landgrave Ludwig (V de Thuringe et Élisabeth ; jeux et danses d'enfants ; reprise du chœur de bienvenue. MICHEL PIQUEMAL Direction du Chœur Régional Provence-Alpes-Côte d'Azur

Michel Piquemal commence Sa discographie est riche et diversifiée. En qua- ses études de chant à la lité de baryton, il a enregistré des œuvres de Liszt, Maîtrise de l'ORTF, puis pour- Sauguet, Lalo, Rossini et récemment, avec la pia- suit sa formation avec Denise niste Christine Lajarrige, des mélodies de Poulenc. Duval et pour Avec ses diverses formations, ont été réalisés des la mélodie française, Suzanne enregistrements consacrés à Rossini, Mendelssohn, Anders et Paul von Schilawski Brahms, Schubert, Cornelius, Donizetti, Fauré, au Mozarteum de Salzbourg Ropartz, Poulenc, Lendvay, Duruflé, Honegger ou pour l'interprétation du lied. encore Tomasi. En 1978, il fonde l'Ensemble Vocal Michel Piquemal À la tête de son Ensemble Vocal, Michel Piquemal avec lequel il crée des œuvres de François Vercken, remporte en 1996 les Troisièmes Victoires de la Roger Calmel, Jacques Caslerède, Kamillo Lendvay, Musique Classique avec l'enregistrement consacré à , ou encore Jean- l'intégrale de la musique sacrée de Maurice Duruflé, Louis Florentz. paru chez Naxos. Deux ans plus tard, c'est avec Le De 1985 à 1994, il enseigne au Conservatoire Roi David d'Honegger, enregistré sous le même la- National Supérieur de Musique de . En 1987, il bel, cette fois avec le Chœur Régional Vittoria d'Ile- se voit confier la direction du Chœur Régional Vittoria de-France, qu'il obtient la même récompense. d'ile-de-France et, en 1989, celle du Chœur Régional Depuis 1994, Michel Piquemal donne un cours d'in- Provence Alpes Côte d'Azur terprétation de mélodies françaises à l'Académie Michel Piquemal est invité à diriger de nombreux Internationale d'Eté de Nice. orchestres, tels que ceux de Bordeaux, Cannes, Officier des Arts et des Lettres et Chevalier de la Marseille, Nice, Avignon, Nancy, l'Orchestre National Légion d'Honneur, il a reçu le prix hongrois Pro de Lille, l'Orchestre National d'Ile-de-France, l'Or- Artibus. chestre Philharmonique des Pays de la Loire, l'En- LOpéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse semble Orchestral de Paris, l'Orchestre Symphonique l'a accueilli en 2005 pour diriger un concert sym- d'Etat Hongrois, l'Orchestre de la Radio de Budapest, phonique et en 2006 pour la Grande liesse en ut et le l'Orchestre de Bucarest, l'Orchestre Philharmonique Requiem de Mozart. de Liège, l'Orchestre de Bretagne, l'Orchestre des Concerts Lamoureux.

AURORE MARCHAND Direction du Chœur de l'Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse

Aurore Marchand intègre en de nombreux concerts de musique de chambre pour 1983 le chœur professionnel les Châteaux de la Loire. de l'Opéra de Tours, participe En 2001, elle participe aux Chorégies d'Orange pour à toutes les productions en Aida et Rigoletto, et sera réinvitée en 2003 pour Oie//o. qualité de soprano et se voit En septembre 2002, elle prend la direction des attribuer des petits rôles dans chœurs de l'Opéra de Tours et prépare pour les dif- divers opéras et opérettes. En férentes saisons lyriques de nombreux ouvrages 1995, elle ajoute à son activité dont Jenufa (Janacek), Le ivlikado (Sullivan), La Belle d'artiste des chœurs au sein de l'Opéra, celle de la Hélène (Offenbachl, Un Ballo in i^aschera et Don Carlo régie des chœurs. A/erdil. Elle se produit par ailleurs en soliste dans des Depuis septembre 2007, Aurore Marchand est chef œuvres telles que le Stabat tvfater (Pergolesel, de chœur de l'Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays la Messe en ut (Mozarll, Rose et'Colas (opéra de de Vaucluse. Monsignyl, Carmina Burana (Cari Orffl et participe à FLORENCE GOYON-POGEMBERG Direction de la Maîtrise

Née en 1964, en région pari- Florence Goyon-Pogemberg entre à l'Opéra Théâtre sienne, Florence Goyon- d'Avignon en 1988, en qualité de pianiste de ballet. Pogemberg effectue ses Répétitrice et pianiste de scène depuis 1990 [Mireiiie, études générales et musicales La Traviata, Ii Trovatore. Lucia di Lammermoor]. elle dans le cadre des classes mu- complète sa formation de chef de chant en effectuant sicales jusqu'à l'obtention du un stage avec Janine Reiss en 1992. baccalauréat série Fil. Parallèlement à ses activités professionnelles, elle Elle étudie le piano dès l'âge s'occupe de 1999 à 2004 d'un groupe de chanteurs de six ans avec Renée Heuclin, amateurs « Vocal en Scène », avec lequel elle monte Anne-Marie Mangeot, Eliane Richepin et suit des plusieurs spectacles en musique et en espace. stages d'été avec Bruno Rigutto. Elle participe régulièrement avec la Maîtrise, dont Plusieurs fois diplômée aux Concours de l'U.M.I.P elle est la directrice depuis 2008, aux animations Age et aux Concours Léopold Bellan, elle obtient éga- d'Or-Temps Libre de l'Opéra-Théâtre d'Avignon et lement une médaille d'or, niveau Excellence, au des Pays de Vaucluse. Conservatoire national d'Orsay (Essonne). De 1982 à 1988, ede partage son activité musicale entre l'enseignement, l'accompagnement et la création d'un opéra pour enfants de Jean-Michel Damase.

SYLVAIN SOURET Eudes musicales

Sylvain Souret étudie à l'Ecole de danse de l'Ecole Nationale de Musique et Danse de Musique de Miramas avec du Grand Avignon. Claudine Zerbib, puis s'initie En 2005, il conduit les auditions chez Lawrence Foster durant deux ans à la technique à Monaco et chez Ileana Cotrubas à Videfranche- pianistique avec Stéphane sur-Mer, sera accompagnateur du Concours Bourdoncle. International de Chant de Carafa en Italie, se spé- Deuxième au concours d'en- cialise avec le chef de chant Denis Dubois, à l'Opéra trée, il esl remarqué par National de Paris, et avec Janine Reiss. Evelina Pitti. (I affine sa tech- Il est invité en 2006 en qualité de pianiste de ballet nique avec celle-ci, il obtient ses prix et travaille avec pour Aida aux Chorégies d'Orange, qui le réinviteront Sabine Vatin, conseillère musicale du Théâtre du en 2007 pour Madama Butterfly. Châlelet à Paris. En 1998, il se produit avec la sopra- Durant la saison 2008/2009, il accompagne le ténor no Fabienne Desambrois dans le cadre du Festival Ignacio Encinas, est invité à Salon-de-Provence d'Aix-en-Provence. En 1999, il est à Bruxelles, au pour les études musicales de Madama Butterfly et Concours Reine Elisabeth, pour un concert consacré de La Traviata, ainsi que pour une série de concerts à Frédéric Chopin, et à Montpellier pour un récital lyriques. Verdi, et en 2000, il se produit en concert au Palais Durant la saison 2008/2009, il a été chef de chant des Papes d'Avignon, il est engagé en 2001 pour La au CNIPAL (Centre National d'Artistes Lyriques) et Boheme par la Compagnie Lyrique Opéra 2001 de travaille régulièrement avec Yvonne Minton et Alain Madrid, qui le réengagera en 2004 pour Madama Fondary. Butterfly. En 2009, il a fait une tournée en France avec Carmina Il accompagne en 2002 les master classes de Gabriel Burana, dans une version piano et orchestre. Bacquier et de Silvia Voinea à Marseille, et sera du- De 2005 à 2009, il a été pianiste du Ballet à l'Opé- rant deux ans pianiste accompagnateur des classes ra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse, et a réalisé en 2010 les études musicales de Un de la Canebière. MARC BARRARD Ludwig

Marc Barrard a fait ses études Mélisande], Chabrier (Le Roi malgré lui], Adam (Le musicales au Conservatoire Toréador), Audran [La Mascotte], Le Naour (/4 Ju/i/efl, de Nîmes et a travaillé avec Alfano [Cyrano de Bergerac, enregistré en DVD chez Gabriel Bacquier En 1984, il Universali, Ibert [L'Aiglon]. Honegger [Les Aventures remporte le prix spécial de du Roi Pausole]. Massé [Les Noces de Jeannette]. la Chambre Syndicale des Philidor [Tom Jones]. Burgan [Peter Pan]. Damase Directeurs de Théâtres de [La Colombe]. Offenbach [La Périchole!, Poulenc France, à la suite duquel il [Dialogues des Carmélites], est invité par les Chorégies Plus récemment, on l'a entendu dans Marius et d'Orange pour Macbeth, puis pour Hérodiade et Lucia Fanny à Marseille, Die Fledermaus et Cyrano de di Lammermoor. Bergerac à Monte-Carlo ; Orfeo ed Euridice à Bologne Il est également invité par les scènes nationales et Montpellier, La Boheme à Lausanne et Nice, et internationales (Fenice de Venise, Carlo Felice Dialogues des Carmélites à Oviedo, Saint-François de Gênes, Teatro Giuseppe Verdi de Trieste, Teatro d'Assise à Montréal, Lakmé à Nice, Werther à Comunale de Bologne, Reggio de Turin, Scala de Strasbourg et Les Pêcheurs de Perles à Séville... Milan, Opéras de Las Palmas, Lausanne, Helsinki, En concert, il interprète notamment Carmina Monte-Carlo, Deutsche Oper de Berlin, Opéra Royal Burana, Montségur (Landowski (avec l'Orchestre de Wallonie, Concertgebouw/ d'Amsterdam, New National du Capitole de Toulouse sous la direction Israeli Opera de Tel Aviv, Teatro Colon de Buenos- de Michel Plasson, avec lequel il reprend LEnfant et Aires, Houston Grand Opera, Opéra de Los Angeles, les Sortilèges et Dialogues des Carmélites à Dresde, ou encore Washington National Opera. Coup de Roulis et [Oratorio de Noël (Bach) avec l'En- Le répertoire actuel de Marc Barrard comprend no- semble Orchestral de Paris, LHeure Espagnole avec tamment les opéras de Rossini (// Barbiere di Siviglia, l'Orchestre National d'Ile-de-France, Die Schöpfung H Turco in Italia, Le Comte Ory et La Cenerentola], (Haydn) avec l'Orchestre Symphonique de Mulhouse ; Donizetti [Don Pasquale, L'Elisir d'Amore, Viva La Der Freischütz avec l'Orchestre de Paris dirigé par Mamma et Lucia di Lammermoor], Bellini (/ Puritani Christoph Eschenbach, et le Requiem de Fauré au et La Straniera], Verdi [Falstaff et La Traviata!, Puccini Teatro Lirico Verdi de Trieste. [Turandot et La Boheme], Leoncavallo (/ Pagliacci], Parmi ses projets, on notera Manon Lescaut, La Salieri [Les Dana'fdes], Mercadante (// Giuramento], Boheme, Lltaliana in Algeri et le Requiem de Brahms Mozart (Le Nozze di Figaro, Cosi Fan Tutte et Die à Marseille, Faust à Barcelone, Roméo et Juliette Zauberflote], Haydn [L'Incontro Improvviso], Gluck à Lausanne, Werther à Oviedo, Samson et Dalila [Iphigénie en Tauride, Iphigénie en Aulide et Orfeo et Manon Lescaut à Montpellier, Les Huguenots à ed Euridice], Britten [A Midsummer night's dream], Strasbourg ou encore Turandola Orange. Tomasi [L'Atlantide], Strauss [Die Fledermaüs]. sans LOpéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse oublier naturellement le répertoire français qu'il sert l'a accueilli en 1994 pour Faust, en 1995 pour Don avec beaucoup de distinction : Gounod [Mireille, Faust Pasquale, en 1997 pour II Barbiere di Siviglia, en et Roméo et Juliette], Berlioz [Les Troyens], Meyerbeer 1998 pour / Puritani, en 2002 pour Manon, en 2003 [Les Huguenots, enregistré à Montpellier en intégrale pour Faust, en 2009 pour Manon et pour les fêtes de chez Erato), Ravel [L'Enfant et les Sortilèges], Bizet fin d'année 2009-2010 pour Marius et Fanny On le [Carmen et Les Pêcheurs de Perles], Massenet [Manon retrouvera en novembre 2011 pour Tha'fs et en no- et Werther], Magnard [Bérénice], Debussy [Pelléas et vembre 2012 pour La Traviata, Début dans le rôle. OLIVIER HEYTE Le SénéchaL/ un magnat Hongro IS

Olivier Heyte entre au Il interprète de nombreux ouvrages de musique Conservatoire National sacrée (Mendeissohn, Fauré, Boulanger, Beethoven, Supérieur de Musique de Paris, Bach, Berlioz, Mozart, Rossini, Verdi, Puccini). Fin où il obtient un Premier Prix de mélodiste, il se produit aussi bien dans des cycles Chant en 1996, puis rejoint la Schubert, Duparc, ibert, que dans des programmes troupe de l'Opéra-Comique à Gershwin ou Weill, ainsi que dans l'opérette. Paris, où il reste quatre ans. Au cours de la saison 2007/2008, on a pu notam- Invité par l'Opéra National de ment l'entendre dans II Barbiere di Siviglia, Un Ballo Paris, le Théâtre du Châtelet, in Maschera à l'Opéra de Marseille, Manon à Reims, l'Orchestre National de France, l'Orchestre National L'Amour Masqué a Saint-Etienne et Faust a Massy. de Pologne, les principales scènes régionales fran- Olivier Heyte a participé aux Chorégies d'Orange çaises et par de nombreuses scènes européennes, en 2005 [Les Contes d'Hoffmann], en 2007 [Madama ses rôles de prédilection sont Guglielmo iCos; fan Butterfly] et en 2008 [Carmenl. tutte], Il Conte (i_e Nozze di Figaro], Don Giovanni Dernièrement, il a chanté dans L'Amour Masqué à et Eugène Onéguine Irôles-titre), Malattesta IDon Marseille et dans Manon à l'Opéra de Massy. Pasquale], Robinson [Il Matrimonio Segreto], Zurga L'Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse [Les Pêcheurs de Perles], l'a déjà accueilli en 2000 dans Mille ans sont comme Son répertoire comprend aussi Dialogues des un jour dans le ciel, en 2001/2002 dans Madama Carmélites, Don Carlo, Manon, Un Ballo in Maschera, Butterfly, La Fille du Tambour Major, Manon, La Vie Madama Butterfly, Les Contes d'Hoffmann, Paust, La Parisienne, en 200A dans Un Ballo in Maschera et Vie Parisienne, La Veuve Joyeuse, Turandot, Idoménée pour ces dernières fêtes de fin d'année dans La Vie de Campra, Le Mikado.., Il chante le rôle-titre de Parisienne. Milton et Julie pour le Festival Pergolesi-Spontini. Début dans les rôles du Sénéchal et du magnat Hongrois.

457, avenue Aristide Briand - 84310 Morières-lès-Avignon Tél. +33 (0)4 90 22 6S 65 - Fax +33 (0)4 90 33 43 31

CAVEAUX DÉGUSTAtlON VENIE Morières-lès-Avignon Le Thor Tél. +33 (0)4 90 22 65 64 Tél./Fax +33 (0)4 90 33 82 39 Chàteauneuf-de-Gadagne Caumont-sur-Durance Tél. +33 (0)4 90 22 63 63 Tél./Fax +33 (0)4 90 23 06 97

E-mail : [email protected] u CHULJUN KIM Hermann

Diplômé en 2002 en musicolo- et le Prix de diction au Concours International UFAM gie de l'Université Han-Yang de de Paris. En 2008, Chul Jun Kim est finaliste du Séoul, Chul Jun Kim poursuit Concours International de Bourgogne et se voit attri- ses études de chant en Italie buer le Deuxième Prix du Concours de Chant Lyrique au Conservatoire de Novara, «Nantes Les S'sentiels». puis à l'Académie de la Scala Chul Jun Kim fait ses débuts en France en 2008 de Milan. dans le rôle de Don Prudenzio du Viaggio a Reims de Il rejoint ensuite la France Rossini, opéra présenté en tournée durant les sai- pour étudier au Conservatoire sons 2008 - 2009 et 2009 - 2010. National Supérieur de Musique de Paris. En novembre 2009 en Hongrie, il est Le Friauche dans Dès 2004, il se produit sur scène dans le rôle de Le Dernier Jour d'un condamné de David Alagna, dans Dulcamara dans L'EUsir d'Amore de Donizetti et ce- une mise en scène de Nadine Duffaut, au Théâtre lui de Bartolo dans II Barbiere di Siviglia de Rossini. Csokonai de Debrecen et au Théâtre National de Il est ensuite Colline dans La Boheme de Puccini au Szeged, opéra retransmis par la chaine de télévision Théâtre Little Angels de Séoul, rôle qu'il reprend en Mezzo. Italie au Théâtre Communal de Borgolavezzaro, ainsi Chul Jun Kim compte à son répertoire des rôles qu'au Théâtre Unione Alagna. mozartiens comme ceux de Bartolo dans Le Nozze En 2006, Chul Jun Kim interprète le rôle de Lazaro di Figaro, Don Alfonso dans Cosi fan Tutte ou encore dans La Figlia di Jorio d'Alberto Franchetti au Leporello et Masetto dans Don Giovanni. Théâtre Piccolo Reggio de Turin, Don Quichotte Il donne de nombreux récitals en Italie et se consacre dans El Retablo de ivtaese Pedro de Manuel de Falla, au répertoire sacré, chantant notamment la partie de puis chante les rôles du Fauteuil et de l'Arbre dans basse soliste de la Petite ivlesse Solennelle de Rossini L'Enfant et les Sortilèges de Ravel au Conservatoire (Novara-Italie), ainsi que le Requiem de Mozart à National Supérieur de Musique de Paris. Toujours l'Eglise Saint-Germain-des-Prés à Paris. en 2006, il obtient le Premier Prix au Concours Parmi ses projets, citons Die Zauberflbte à l'Opéra- International de Chant Lyrique à Théâtre d'Avignon et des pays de Vaucluse en avril Alessandria en Italie, puis est finaliste en 2007 du prochain.' Concours de Genève et remporte le Deuxième Prix Début à Avignon et dans le rôle.

JEAN-MARIE DELPAS Frédérik II

Après des études de chant à Le public a pu aussi l'applaudir au Festival Alfredo Nîmes, puis au Conservatoire Kraus de Las Palmas dans le rôle de Frédéric [Lal

PAULINE NACH MANN Elisabeth enfant

AUGUSTIN MATHIEU Ludwig enfant

Les Pages & les Chantres sont programmés dans les plus grands festivals de musique baroque, français ou étrangers, sous la direction de leur chef perma- nent, Olivier Schneebeli. Ils sont également invités à se produire sous la direction de nombreux directeurs musicaux, tels que Gustav Leonhardt, Jean-Claude Malgoire, Ton Koopman, Vincent Dumestre ou encore Giovanni Antonini. Ils ont réalisé une vingtaine d'enregistre- ments discographiques. Le prochain, consacré au Requiem de Campra, enregistré à la Chapelle royale, sortira en 2011 chez K617. Aujourd'hui, le chœur des Pages a acquis une maî- Dès sa création en 1987, Le Centre de Musique trise musicale et technique qui lui permet également Baroque de Versailles s'est doté d'un chœur. Les de mettre en œuvre ses propres programmes pour Pages & les Chantres, dont l'effectif évoque celui de voix d'enfants, indépendamment du chœurd'adultes. la Chapelle royale sous le règne de Louis XIV, et dont On a pu entendre en concert le chœur d'enfants des l'une des missions principales est la valorisation du Pages, sous la direction d'Olivier Schneebeli, mais patrimoine musical français des XVII^"" et XVIII®"^® également en tournée avec Les Arts Florissants siècles. dans la tragédie lyrique David et Jonathas de Marc- Au sein de cette Maîtrise cohabitent intimement Antoine Charpentier, en Europe et en Amérique la- projet pédagogique et projet musical : Les Pages tine. Ils ont enregistré pour le label Alpha, le Stabat regroupent une cinquantaine d'enfants en classes Mater de Pergolèse, avec Le Poème Harmonique. à horaires aménagés de l'Education Nationale, du Ainsi, à la confluence des deux missions de la CE2 à la . Ils commencent ce cursus spé- Maîtrise, l'enseignement du chant et la valorisa- cifique à l'Ecole Wapler de Versailles, à travers les tion du patrimoine musical baroque font-ils revivre enseignements de technique vocale, solfège, chœur, un mode unique de transmission des savoirs : celui déchiffrage et interprétation, dispensés au Centre d'une véritable « troupe vocale ». de Musique Baroque de Versailles. Entrant ensuite Les Pages & les Chantres du Centre de Musique au Collège Rameau, les enfants commencent éga- Baroque de Versailles sont subventionnés par le lement à se produire en concerts publics aux côtés Ministère de la Culture, le Conseil régional d'Ile-de- des Chantres, adultes en formation professionnelle France, le Conseil général des Yvelines et la Ville de supérieure. Versailles. ORCHESTRE •LYRIQUE DE RÉGIQN" AVIGNON PROVENCE

Délégué général Chef d'orchestre invité PHILIPPE GRISON ALAIN ALTINOGLU

FORMATION POUR LA LEGENDE DE SAINTE-ELISABETH

Violon solo supersoliste Violoncelles Cors CORDELIA PALM NICOLAS PAUL ERIC SOMBRET EMMANUEL LECUREUIL GAËLLE CLAUDIN Premiers violons JEAN-CHRISTOPHE BASSOU ORIANE BAUD SOPHIE SAINT-BLANCAT JEAN-VICTOR BAHUAUD LAURENCE GRAVIER SYLVIE BONNAY SÉBASTIEN CHARLES MARC AIDINIAN Trompettes JEAN-LUC AMIEL Contrebasses HERVÉ CUNTY CÉCILE DE ROCCA-SERRA FRÉDÉRIC BETHUNE THIERRY AUBIER CORINNETARBOURIECH JEAN-CLAUDE GALIGNE ALAIN LONGEARET JEANNE MAIZOUE-BARSEY ERIC CHALLAND MARIE HAFIZ Trombones ANNE-SOPHIE PRESSAVIN Flûtes DIDIER COMTE ODILE BRUCKERT THIERRY COMTE Seconds violons NICOLE LIBRAIRE FRANCKBLONDELA GABRIELLA KOVACS HENRI VAUDÉ PASCALECHAYLADE Tuba NATHALIE SOMBRET Hautbois DANIEL BELTRAMO NATALIA MADERA FRÉDÉRIQUE COSTANTINI PASCALEWATELLE THIERRYGUELFUCCI Timbales ANNE-MARIE BERNARD PATRICE BARSEY MARIE-FRANÇOISE ANTONINI MICHEL BERRIER MARTINE AUBERT Clarinettes Percussions CHRISTOPHE HOCQUET HERVÉ CATIL Alti DIDIER BREUQUE ALEXANDRE RÉGIS FABRICE DURAND MARIE-CLAUDE CONRAD Bassons Harpe ANNIE PAOLELLA ARNAUD COIC MARTINE FLAISSIER MICHEL TIERTANT PASCALCHABAUD LAURENCEVERGEZ Orgue/Harmonium MURIELSOLFRINI JEAN-MARIE PULÌ

Chef Comptable Secrétaire de direction Chargée de mission, JANY FRANCOIS BÉNÉDICTE DENTON Nouveaux Publics ISABELLE RONZIER

Régisseur général Régisseur Adjoint, Conducteur Musicien bibliothécaire DANIEL LOUSTAUNAU LIONEL BERGONT DAVID GOBBE

Technicien d'orchestre, conducteur (intermittent) MARC-ANTOINE DEGRENIER CHŒURS REGIONAL PROVENCE - ALPES - COTE D'AZUR

Directeur artistique Chefs de chœur MICHEL PIQUEMAL NICOLE BLANCHI VINCENT RECOLIN

Soprani Alti Basses JESSICA ALDIS ANNEARNOULD MICHEL BAIN JOCELYNE BLANCHI MARTINE ARNOULD JEAN-MARIE BALFOURIER VALÉRIE BRIGOT SARAH BAROUSSE THIERRY BARTHELEMY CAROLINE CAILLAT LISE BOSSI JEAN BREMONDY ELISABETH CAROZ BÉRENGÉRE DE LA BRETESCHE HERVÉ BQTTOLLIER ANNE CAUSSANEL ANNE-MARIE CHABOT SÉBASTIEN BOUGEROL MARIE CHICHIN LUCIE CONVARD MARTYN CROSSLAND MICHÈLECORDOLEANI CATHY COSTE RÉMI DE LACROUÉE SANDRINE COSTA PINA ARIANE FERMAUD CHRISTIAN DALMASSO VÉRONIQUE COUTIER ANNE-MARIE FERRANDEZ ERIC DELGADO DAPHNÉ DELORME VIRGINIE FONTANA NICOLAS DEREN ANNA-BELLE DUCREUX CHRISTINE HAUD BERNARD DUQUENNOY JENNIFER FELIX ELVIRA HOFFMANN PAUL FELIX LILIANE GLASSER MARIANNE HOLUBOWlCZ PHILIPPE GAUTHIER ARLETTE GRANOUX ISABEL LESEIGNEUR THIERRY GAVIARD ANNE-FRANCOISE JOANBLANQ CLAUDE LEVEQUE ANTONIO IBANEZ EVELYNE LETAILLE CATHY MALGHERINI VINCENT MAGRY CHRISTINE MAIFFRET CHRISTINE MARCORELLES ALBAN MARTINEZ FRANÇOISE MEUNIER ODILE MOREAU ARMAND MORANDY ELISE MOURRAT CORINNE RICHARD-POMET TRI NGUYEN VIVIANE SUHAMI MARILOU ROMAN HERVÉ RIGAT MICHELINETHIEBAUT ANNE VIDAL IRAKLITANDASHVILI MICHELLETORREGROSSA JOSÉVIENOT GÉRARDTRUCY SOFIA ZEDDE SANDRINE ZEGERS Ténors PIERRE BORD PAUL-JEAN CAHEN JACQUES CHABOT GEORGES HENRIDUCREUX BERTRAND GRUSON ARNAUD LEPRETRE JEAN-LOUIS MEUNIER ANTOINE THYSS CHŒUR DE UOPERA-THEATRE D^AVIGNON ET DES PAYS DE VAUCLUSE

Direction AURORE MARCHAND

Soprani Alti Ténors Barytons basses ROLANDE GARCIA CATHERINE BENTEJAC ARNAUD LANEZ ANTOINEABELLO KANA-YUKO KUMAMOTO ADABONORA PATRICE LAULAN JEAN-ERANÇOIS BARON VANINA MERINIS JULIE MAUCHAMP SERGE MIONE GUO CHEN BÉATRICE MEZRICH WIEBKE NOLTING ALEXIS OTERO MICKAËL LE STRAT ISABELLE MONPERT XAVIER SEINCE MARIE SIMONEAU

Régisseur du Chœur Bibliothécaire Pianiste répétitrice WIEBKE NOLTING VANINA MERINIS FLORENCE GOYON-POGEMBERG

MAITRISE DE UOPERA-THEATRE D^AVIGNON ET DES PAYS DE VAUCLUSE

Direction FLORENCE GOYON-POGEMBERG

INES BAKIR LUANA HOLTZ DE DIEGO RONAN AUTARD LOUISE BERTHET SYDNEYJOUFFRET ADRIAN AUTARD CÉLESTINE BLANC MARIE LESTRELIN JEAN AZOU HANNA BOUDJHOUER CHLOÉ MALIK MARIUS BEGEL-ANDRE CHARLOTTE BOUTIN-VERSIN CAPUCINE MARGUET HUGO COLARD LOLA CATIL CLÉMENCE MILLET HUGO LESTRELIN CONSTANCE CHAMPETIER MARIE MUSCAT THOMAS LESTRELIN AURORE CHEVILLOTTE LISA NANNUCCI CLÉMENTSTAUFFENEGGER MARGAUXCOLARD CÉCILE QUEUDOT JULIE COUVERT SOFIA QUIDOU AURORE DECHOZ ISIS REYNAUD DALLAGNOLA LOUISE DESPORTES JULIE ROSET NINON DURON MARIE SOCQUET MATHILDE FORIEL-DESTEZET ANNE-LUCILE STAUFFENEGGER ADÉLAÏDE FOURCADE MARIE-KHANETOMEÏ NAOMI GRAND MATHILDE TRITON MUSIQUE SACRÉE EN AVIGNON

L'association Musique Sacrée en Avignon a été créée en 1966 par le chanoine Georges Durand. Lobjet de l'association est la promotion de toute la musique sacrée : elle occupe à ce titre une place spécifique auprès d'autres Sociétés et Associations culturelles.

Les activités de diffusion s'exercent dans le cadre de quatre rubriques : les concerts, les musiques spirituelles du Soir, les Musiques du Dimanche à la Métropole Notre-Dame-des-Doms.

Les activités de création témoignent d'une volonté d'ouverture, notam- ment au travers du Cycle de musiques sacrées du Festival d'Avignon qui présente régulièrement des œuvres en première audition.

Musique Sacrée en Avignon développe une politique d'échanges cultu- rels avec plusieurs partenaires dans le cadre de co-productions, co-réa- lisations ou encore de simples collaborations, lui permettant d'élargir son rayonnement territorial au sein de la ville, du Département de Vaucluse et en Région Provence - Alpes-Côte d'Azur

Diversité, inventivité caractérisent les programmations de Musique Sacrée, tant dans le choix des musiques que dans la mise en œuvre des moyens pour les produire, en donnant une part importante aux structurelles culturelles institutionnelles : l'Opéra-Théâtre d'Avignon, l'Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence, le Chœur Régional Provence-Alpes Côte d'Azur, le Festival d'Avignon, le Festival des Chœurs Lauréats de Vaison- la- Romaine.

Musique Sacrée en Avignon, bien ancrée dans son environnement, fait également appel à des musiciens amateurs et professionnels de la région (chœurs, solistes, instrumentistes locaux et régionaux! pour des musiques plus intimistes ouvertes à un large public. Les Musiques Spirituelles du Soir, les Musiques du Dimanche à Notre-Dame-des- Doms d'Avignon valorisent l'orgue doré, ou encore le Cycle de Cantates de Bach, permettant ainsi au plus grand nombre d'entendre des mu- siques trop souvent réservées aux initiés.

Une démarche pédagogique où se rejoignent le « social » et le «culturel». PROCHAIN SPECTACLE D'OPERA 20

DIMANCHE 20 FÉVRIER - UH30 MARDI 22 FÉVRIER-20H30

Sous l'égide de l'Association des « Amis du Théâtre Lyrique » EUGENE ONEGUINE de Piotr lllitch Tcha'i'kovski

Direction musicale : Rani Calderon Direction des Chœurs : Aurore Marchand Etudes musicales ; Kira Parfeevets

Mise en scène : Claire Servais Chorégraphie : Eric Belaud Décors et Costumes : Jean-Pierre Capeyron Lumières : Olivier Wery

Tatyana Novakova - Marie Lenormand - Doris Lamprecht - Isabelle Vernet

Armando Noguera - Florian Laconi - Nicolas Courjal Christophe Mortagne - Jean-Marie Delpas

Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence ^^ Chœurs et Ballet de l'Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse

Production de l'Opéra-Théâtre de Metz

PROCHAINS SPECTACLES

MARDI 18 JANVIER-20H30 ANNEGASTINEL Violoncelle CLAIRE DESERT Piano

BEETHOVEN - BRITTEN - SCHUMANN - CHOPIN

MERCREDI 19 JANVIER - 20H30 LA SERVA AMOROSA de Carlo Goldoni mise en scène : Christophe Lidon avec Clémentine Célarié - Robert Hirsch - Claire Nadeau

VENDREDI 21 JANVIER - 20H30 MAISON DE POUPÉE d'Henrik Ibsen mise en scène : Michel Fau avec Audrey Tautou - Michel Fau

Directeur de la publication Opéra-Théâtre d'Avignon Licences GérardFacq et des Pays de Vaucluse n°1-135359 / 2-135360 / 3-135361 Brochure réalisée par BP 111-84007 Avignon Cedex 01 Photogravures - Impression : Marie-Christine Vincent Tél. 04 90 82 42 42 ladministrationi MC-Caractère attachée de presse Tél. 04 90 82 81.40 ItocationI Marion Duffaut et Santa Sebastiani Télécopie : 04 90 82 81 41 p • ^ secrétariat ' ^ ^ 1 ' ClCf^

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