Orchestre "Lyrique De Région' Avignon Provence

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Orchestre HEATRE D^ÂVJGNON ET DES PAYS DE VAUCLUSE ORCHESTRE "LYRIQUE DE RÉGION' AVIGNON PROVENCE - - - i. " - V-v s fi \ • Jr , m I mi ¿ih 20iri2011 SAMEDM5 JANVIER - 20H30 Dans le cadre du bicentenaire de la naissance de Franz Liszt PREMIERE AUDITION A AVIGNON LA LEGENDE DE SAINTE- ELISABETH Oratorio de Franz Liszt (Editions musicales Peters) Co-réalisation Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence Musique Sacrée en Avignon Avec le soutien de Radio Classique et de France Bleu Vaucluse Direction musicale Direction de la Maîtrise Alain Altinoglu Florence Goyon-Pogemberg Direction des Choeurs Etudes musicales Michel Piquemal Sylvain Souret Aurore Marchand Elisabeth Ludwig Christina Dietzsch Marc Barrard Comtesse Sophie Le Sénéchal/un magnat hongrois Nora Gubisch Olivier Heyte Elisabeth enfant Hermann Pauline Nachman* Chul-Jun Kim Frédérik II Jean-Marie Delpas Ludwig enfant *Pages du Centre Augustin Mathieu* de Musique Baroque de Versailles MAITRISE DE L'OPERA- ORCHESTRE LYRIQUE CHŒUR REGIONAL CHŒUR DE L'OPERA- THEATRE DAVIGNON DE REGION AVIGNON PROVENCE-ALPES- THEATRE DAVIGNON ET DES PAYS PROVENCE COTE DAZUR ET DES PAYS DEVAUCLUSE DEVAUCLUSE Direction Délégué général Direction Direction Florence Philippe Grison Michel Piquemal Aurore Marchand Goyon-Pogemberg Directeur technique Régisseur général Régie surtitrage Noël Lemaitre Patrice Blancke Sabine Sendra Régisseurs de scène Directeur de production Nathalie Bruno et de la scène Michele Soro Philippe Turchi Franz Liszt et la Légende de Sainte-Elisabeth Assurément, Franz Liszt eut l'envergure d'un géant. Par bien de ses traits, il offre des similitudes avec Victor Hugo. Même ample stature, celle qu'une longévité accroît ; de la génération des compositeurs de 1810 - Mendelssohn, Chopin, Schumann -, Liszt fut le seul à avoir éprouvé une longue vie créatrice. Et celle qui permit, à Hugo et Liszt, au soir de leur vie, d'être devenus « le père » : père des lettres pour l'un, père de la musique pour l'autre. Même place dévolue à la politique : tous deux portèrent des idées pro- gressistes, révolutionnaires aux yeux de certains, mais assurément généreuses et utopiques (toutefois, Hugo fut le seul à plonger dans le champ public, au péril de sa vie et au risque d'un long exill. Même ampleur spirituelle : animés d'une « foi du charbonnier >>, tous deux nourrirent un mysticisme personnel : si Hugo s'érigea en maître d'une spiritualité universelle (sa maison d'exil, Hauteville House, à Guernesey, ne laisse aucun doute à ce sujet), Liszt, renouant avec la foi naïve et fébrile de son enfance, reçut en 1865 les trois ordres mineurs de l'église romaine. Mêmes tragiques destinées familiales : tel Hugo avec Léopoldine, Liszt vit mourir, jeunes, deux de ses trois enfants : Blandine (à 26 ans) et Daniel (à 20 ans). Enfin, même souffle épique pour chanter l'histoire mythique de l'huma- nité : La légende de Sainte-Elisabeth de Liszt et La légende des siècles de Hugo l'attestent. Liszt, un long fleuve généreux La vie de Liszt peut s'écrire en trois actes. Acte I (1811-1844) : te virtuose-compositeur. Baptisé du prénom Ferenc (l'équivalent hongrois de François en France ou de Franz dans d'autres contrées européennes), il connut, dès onze ans, la vie d'un jeune virtuose itinérant dans une Europe que les traités de Vienne avaient rendue plus cosmopolite que jamais. Toutefois, dépassant l'adulation dont il était l'objet, il épanouit ses inquiétudes créatrices au contact de quatre révolutions rapprochées : une révolution politique (les inoubliables journées de juillet 1830 lui furent un idéal de vie publique libre, avant que, en 1831, il ne fréquentât les cercles saint-simoniens) ; une révolution compositionnelle (révélée au public en décembre 1830, la Symphonie fantastique de Berlioz lui dévoila d'insoupçonnés espaces de création) ; une révolution de la profession musicale (en 1832, un concert de Paganini le conduisit à publier, deux ans plus tard, ses réflexions sur son métier dans De la situation des artistes et de leur condition dans la société] ; enfin, une révolution spirituelle, sur laquelle quelques éclair- cissements sont nécessaires. En 1834, Liszt rencontra Félicité-Robert de Lamennais (1782-1854), dont le parcours politique cousine avec celui de Hugo : d'une famille dévouée au souverain régnant (la royauté pour Lamennais, l'empereur pour Hugo), il passa à des idées progressistes qu'exalta la Révolution de 1830. (l tenta de concilier la religion catholique traditionnelle avec le progrès social, via l'instauration de la démocratie. Mais cette liberté d'esprit se paya au prix fort : l'excommunication. C'est pendant quatre semaines de l'automne 1834 que Liszt séjourna chez Lamennais, près de Dinan : « Vraiment, c'est un homme merveilleux, prodigieux, tout à fait extraordinaire. Tant de génie et tant de cœur = élévation, dévouement, ar- deur passionnée, esprit perspicace, jugement profond et large, simplicité d'enfant, sublimité des pensées et des puissances de l'âme : tout ce qui fait l'homme à l'image de Dieu est en lui. Jamais je ne lui al encore entendu dire MOI !... ». écrivit Liszt, alors âgé de 23 ans, à Marie d'Agoult, sa première compagne lils allaient se séparer en 18441, et la mère de ses trois enfants. Acte II (1844-1862) : le créateur. Pendant cette période, Liszt déploya ses gigantesques ailes. En voici les principales étapes. En 1844, il fit la connaissance de Wagner ; quoique souvent gâtée par le caractère difficile de Wagner, leur amitié fut, artistiquement, décisive pour tous les deux. En 1847, il rencontra Carolyne Iwanowska, princesse de Sayn- Wittgenstein. Avec cette femme aussi fortunée que cultivée, il s'établit à Weimar Plus intellectuelle que Marie d'Agoult, cette nouvelle com- pagne allait encourager Liszt à ne jamais cesser de penser son mé- tier Pendant cette période weimarienne, Liszt se montra encore plus généreux et désintéressé : touchant certes de hautes rémunérations lors de ses tournées de concerts, il accepta, contre une modeste rému- nération, la charge de maître de chapelle à la cour du grand duc de Saxe-Weimar ; en outre, il prit la suite de Mendelssohn (prématurément décédé en 18471 en passeur de la musique de ses grands collègues (Berlioz, Schumann et, surtout, Wagner, son seul « frère » en ambition Hi i créatrice, dont il dirigea Tannhäuser et, en 1850, créa Lohengrin]. Pendant cette période, il approfondit sa pensée, notamment à propos de la musique de l'avenir [Zukunftmusik]. Signalons aussi son aspiration à unir poésie et musique qui prit corps dans un nouveau genre : le poème symphonique. Et fleurit sa passion pour l'art de Wagner qu'il qualifia de « dieu indien à je ne sais combien de têtes et de mains » et de premier Wort und Tondichter (poète, musicien et dramaturge). Au-delà de son statut de futur gendre (Wagner allait s'unir à Cosima, fille de Liszt), le futur auteur de Parsifal trouva en Liszt un confident. Quoique contemporains (Wagner naquit seulement deux ans après Liszt), rien n'y fit : Liszt fut le père et Wagner le fils. Auprès de Wagner, Liszt approfondit son art d'orchestrer, tandis que, de Liszt, Wagner apprit ce qui allait le faire passer de ses opéras romantiques [Der fliegende Hollander, Tannhauser, Lohengrin] à ses drames démiurgiques [Der Ring des Nibelungen, Tristan und Isolde, Der Meistersinger von Nürnberg et Parsifal]. De son côté, Liszt conçut alors ses ouvrages les plus ambitieux : Sonate en si mineur, pour piano ; Sinfonie zu Dantes Divina Commedia ; Eine Faust-Symphonie ; et cet oratorio Die Legende von der heiligen Elisabeth [La légende de Sainte-Elisabeth]. Acte III (1862-1886) : le « padre » de la musique. Padre s'entend dou- blement : l'attractivité et le sens religieux. Attractivité car, pendant trois décennies, Liszt fut le seul maître que les jeunes compositeurs euro- péens Ide Saint-Saëns à Moussorgsky ou Borodine) ambitionnaient de rencontrer pour en recevoir la certitude que composer était leur voie. Et sens religieux, car le catholicisme nourrit cette période : « Si j'avais eu une autre éducation et suivi une autre profession que celle d'un pianiste à peu près compositeur, peut-être que Dieu m'aurait fait la grâce d'augmen- ter le nombre des bons prêtres. C'était mon instinct et mon aspiration à l'âge de quinze à dix-huit ans » [lettre à Carolyne de Sayn-Wittgenstein, le 30 janvier 1873]. Marqué par son saint patron, François d'Assise, dont la vie convertie fut toute entière dévouée aux meurt-de-faim, Liszt entreprit un cheminement spirituel dont la réception des trois ordres mineurs, en 1866, à Rome et sous les auspices directes du pape, ne fut qu'un des aspects. Énoncer ses œuvres les plus essentielles est égale- ment éloquent : l'oratorio Christus, divers psaumes. Requiem, de brèves pages pour piano. Via Crucis et Ossa arida (ces trois ensembles de pièces frôlent l'atonalité). Survivant de trois ans à ce gendre dont l'emprise sur la musique occidentale l'éblouit, il mourut en 1886, couvert d'honneurs. La légende de Sainte-Elisabeth Etonnant Liszt. Celui qui, avec une poignée de collègues tel Paganini, « inventa » le concert moderne (avec ses rituels et son vedettariat) fut aussi un grand mystique. Fasciné par le plain-cfiant, par la polyptionie de la Renaissance (en son seul visage épuré, celui de Palestrina) et par la culture médiévale (alors à peine issue du néant où elle était assou- pie), il fit souffler, sur ses oratorios et grandes messes, sa foi comme un irrépressible vent épique. LHistoire y palpite, et nous aussi. Et, quelque grande que fût sa liberté à l'égard des lois civiles et reli- gieuses (ses vies maritales avec Marie d'Agoult, puis avec la princesse 4 Sayn-Wittgenstein, et ses trois enfants nés hors-mariage], FerenD Liszt fut tôt fasciné par l'état ecclésiastique. Nul ne doute que son ample corpus de musique sacrée soit profondément sincère.
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