PORTRAIT D’UNE MUSE Marlène Assayag & le Quatuor Arod

8 JUILLET 2018 CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

Avec le soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur dans le cadre du dispositif « Carte blanche aux artistes – Production Résidence » 8 JUILLET – 15H – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

SOPRANO Marlène Assayag*

Quatuor Arod LAURÉAT HSBC 2016 DE L'ACADÉMIE VIOLON Jordan Victoria VIOLON Alexandre Vu ALTO Tanguy Parisot VIOLONCELLE Samy Rachid * ancienne artiste de l'Académie

ANTON WEBERN ( 1883-1945 ) Langsamer Satz ( 1905 ) Mouvement lent pour quatuor à cordes

ARNOLD SCHOENBERG ( 1874-1951 ) Quatuor à cordes n° 2, op. 10 en fa dièse mineur avec voix de soprano ( 1907-1908 ) Mässig, moderato Sehr rasch, très rapide Litanei, langsam Entrückung, sehr langsam

ENTRACTE

ALEXANDER VON ZEMLINSKY ( 1871-1942 ) Quatuor à cordes n° 2 en ré mineur op. 15 ( 1813-1815 ) Sehr mäßig ( quasi andante ) – Heftig und leidenschaftlich ( moderato ) – Andante mosso – Etwas rascher ( allegretto ) – Tempo I – Andante ( nicht schleppend ) – Adagio – Ungemein ruhig – Steigernd – Noch langsamer – Schnell ( die Achtel ) – Im selben tempo, doch sehr ruhig – Tempo ( molto allegro ) – Andante – Sehr ruhig – Mit energischer Entschlossenheit ( allegro moderato ) – Andante ( nicht schleppend ) – Tempo I ( molto allegro ) – Ruhig – Tempo I ( frisch bewegt ) – Ruhiger – Andante ( etwas fließender, als vorher ) – Noch langsamer Portrait d'une muse

L’histoire commence au printemps 1906.

Arnold Schoenberg rencontre Richard Gerstl, un jeune peintre autrichien de vingt-trois ans. Le compositeur, dont la musique peine à rencontrer le succès, décide d'inviter le jeune homme dans sa maison du 9e arrondissement de Vienne afin qu’il lui enseigne la peinture, ainsi qu’à sa femme Mathilde, sœur d’Alexander Zemlinsky.

Au fil des mois, Gerstl gagne la confiance et l’estime de Schoenberg qui, de neuf ans son aîné, le prend sous son aile et l’aide à obtenir des commandes de portraits. Cette inégalable proximité permet au jeune peintre de rencontrer de nombreux artistes et de se lier d’amitié avec les élèves du compositeur au rang desquels figurent , , Heinrich Jalowetz, Karl Horwitz et Erwin Stein. Tous appartiennent à ce que l’on nommera plus tard la seconde école viennoise dont Schoenberg n’est autre que le père spirituel.

À partir de février 1908, Gerstl et Schoenberg vont même jusqu’à loger sous le même toit à Liechtensteinstraße 68/70. La même année, Schoenberg invite Gerstl à venir passer ses vacances d’été avec sa famille au lac de Traunsee. Schoenberg profite des premières semaines d’août pour compléter les trois derniers mouvements de son Deuxième Quatuor à cordes op. 10, dont le final marquera ses premiers pas vers l’atonalité.

Tout bascule lorsque Schoenberg découvre que Mathilde entretient une relation secrète avec Gerstl. Les deux amants sont contraints de fuir en pleine nuit et de se réfugier dans une auberge. Regagnant dès le lendemain la ville de Vienne, les fugitifs passent trois nuits supplémentaires dans la banlieue nord de Nußdorf.

Le 30 août, Mathilde revient une première fois vers Schoenberg tout en continuant de rendre visite à Gerstl dans son nouvel atelier situé non loin de chez elle. Soucieuse du bien de ses enfants et se laissant convaincre par Anton Webern, elle se résigne à quitter définitivement Gerstl et à revenir auprès de son mari.

Le 4 novembre 1908, Gerstl se voit refuser l’accès à l’après-midi musicale, rendez-vous quotidien des étudiants de Schoenberg. Le sentiment d’humiliation que cette exclusion engendre ainsi que la fraîche et douloureuse séparation avec Mathilde se révèlent pour lui insurmontables. De retour dans son petit atelier de Liechtensteinstraße 20, il se pend et se poignarde face à son miroir, entouré de toutes ses toiles. Il n’a que vingt-cinq ans.

Cet événement tragique bouleversera Mathilde qui, selon la légende, se recueillera chaque année sur la tombe de son amant défunt en compagnie de son mari Schoenberg. 15 ans plus tard.

Le cancer de Mathilde est diagnostiqué. Les Schoenberg sont alors en vacances au lac de Traunsee, destination fatale où Mathilde et Gerstl ont consommé pour la première fois leur amour clandestin. Schoenberg restera au chevet de sa femme jusqu’à son dernier souffle, le 18 octobre 1923.

Difficile de savoir si les événements de l’été 1908 ont eu un impact significatif dans le passage de Schoenberg à l’atonalité. On remarquera cependant que son monodrame Erwartung a été écrit moins de douze mois après la mort de Gerstl…

En outre, c’est à Mathilde que Schoenberg dédie son deuxième quatuor. On peut d’ailleurs lire sur la partition manuscrite la mention « Meiner Frau » ajoutée par le compositeur.

Schoenberg est loin d’être le seul à faire de la tragique romance de Mathilde une source d’inspiration pour sa musique. Quelques traces éparses sont perceptibles chez Alban Berg dans son opéra Wozzeck ou encore dans son Concerto de chambre. En tant que frère de Mathilde et élève de Schoenberg, Alexander Zemlinsky a certainement été plus affecté encore par cette histoire funeste. Plusieurs de ses ouvrages en sont imprégnés parmi lesquels son deuxième Quatuor à cordes Opus 15 qui, sept ans après les faits, retrace l’évolution de cette passion destructrice.

Qu’en est-il du Langsamer Satz d’Anton Webern ? Ce mouvement lent est composé en 1905 à la fin de la toute première année d’études de cet aspirant compositeur placé sous l’égide de Schoenberg. À cette date, le maître peut encore jouir de quelques années d’insouciance... Introduire le Langsamer Satz dans un programme articulé autour de la figure de Mathilde Zemlinsky est pertinent à plus d’un titre. Tout d’abord, il faut savoir que c’est une randonnée avec sa cousine Wilhemine, future femme de Webern, qui a inspiré ces quelques pages. De plus, ce quatuor est particulièrement marqué par l’héritage de Brahms, ce qui n’est pas étonnant si l’on considère l’intérêt que portait Schoenberg à ce compositeur, admiration qui transparaît tant dans sa musique que dans sa didactique.

« Les passions n’appartiennent pas aux hommes comme des choses naturelles. Elles sont toujours des exceptions ou des exagérations. Celui chez qui elles dépassent les bornes doit se considérer comme malade et songer à un remède pour sa vie et sa santé. […] Les passions doivent vite s’estomper, ou alors, il faut les chasser. »

Ces mots que Mathilde Zemlinsky auraient pu prononcer avant de franchir le seuil de son domicile conjugal sont ceux de Brahms. Ce dernier tente alors de freiner ses sentiments envers Clara Schumann. Les analogies avec l’histoire de Mathilde sont ici troublantes. Dès qu’il fait la connaissance du jeune Johannes Brahms, Robert Schumann se dit bouleversé par le génie de ce compositeur et partage bientôt cette intime conviction avec son épouse Clara. Très vite, Brahms devient un familier de la maison, invité à prendre ses repas quotidiens avec les Schumann qui se mettent au service de sa carrière. Robert Schumann lui apporte notamment son aide pour publier ses œuvres pour piano. Clara Schumann, première interprète des œuvres de son mari, devient peu à peu la muse de son ami Brahms qui, à la mort de Robert en 1856, s’installe chez les Schumann pour prendre soin d’elle.

Réunissant trois compositeurs rassemblés sous la bannière de la seconde école de Vienne et autant d’œuvres balançant entre fidélité envers la tradition et désir d’émancipation, ce programme s’attache à dépeindre le destin d’une femme, muse involontaire, dont l’impact sur l’art et la musique du début du XXe siècle fut considérable.

AURÉLIE BARBUSCIA & LE QUATUOR AROD ARNOLD SCHOENBERG ( 1874-1951 ) Quatuor à cordes n° 2, op. 10 en fa dièse mineur avec voix de soprano ( 1907-1908 )

Textes de Stefan George ( 1868-1933 )

Litanei Litanie

Tief ist die trauer Profond est le deuil die mich umdüstert. qui m’accable. Ein tret ich wieder Je reviens Herr! in dein Haus. dans ta maison, Seigneur !

Lang war die Reise Long fut le voyage, matt sind die Glieder les membres me pèsent, Leer sind die Schreine Mes malles sont vides, voll nur die Qual. mais ma souffrance déborde.

Durstende zunge Ma langue desséchée darbt nach dem Weine. demande du vin. Hart war gestritten Âpre fut le combat, starr ist mein Arm. gourd est mon bras.

Gönne die ruhe Accorde la paix schwankenden schritten aux pas qui vacillent, Hungrigem Gaume Émiette ton pain bröckle dein Brot! pour un palais affamé !

Schwach ist mein Atem Comme dans un rêve, rufend dem Traume mon souffle est faible. Hohl sind die Hände Ma main vide, fiebernd der Mund. ma bouche enfiévrée.

Leih deine Kühle Donne-moi ta fraîcheur, lösche die Brände éteins l’embrasement, Tilge das Hoffen Efface l’espoir, sende das Licht! envoie de la lumière en moi.

Gluten im Herzen Des braises brûlent encore lodern noch offen dans mon cœur, Innerst im Grunde Au plus profond de moi, wacht noch ein Schrei. j’entends un cri.

Töte das Sehnen Tue le désir, schliesse die Wunde! ferme les blessures ! Nimm mir die Liebe Ôte-moi l’amour, gib mir dein Glück! accorde-moi ta paix ! Entrückung Ravissement

Ich fühle luft von anderem planeten. Je sens l’atmosphère d’une autre planète. Mir blassen durch das dunkel die gesichter Dans le noir, pâlissent les visages Die freundlich eben noch sich zu mir drehten. Qui jusqu’alors me souriaient.

Und bäum und wege die ich liebte fahlen Arbres et chemins que j’aimais s’estompent, Daß ich sie kaum mehr kenne und Du lichter Devenus à peine perceptibles ; et Toi, éclat Geliebter schatten – rufer meiner qualen – Des ombres aimées – héraut [ de mes tourments –

Bist nun erloschen ganz in tiefern gluten Tu es désormais entièrement éteint, [ au cœur des braises, Um nach dem taumel streitenden getobes Pour, passé le tumulte d’un chaos déchaîné, Mit einem frommen schauer anzumuten. M’inspirer une terreur pieuse.

Ich löse mich in tönen kreisend webend Je me dissous en sons, tournoyants, agités, Ungründigen danks und unbenamten lobes De merci sans raison, de louange sans objet, Dem grossen atem wunschlos Me livrant sans espoir au grand souffle. [ mich ergebend.

Mich überfährt ein ungestümes wehen Un vent impétueux me submerge Im rausch der weihe wo inbrünstige schreie Dans l’ivresse de l’initiation où s’élèvent In staub geworfner beterinnen flehen: [ en ferventes clameurs – Les supplications de celles qui prient, [ jetées dans la poussière :

Dann seh ich wie sich duftige nebel lüpfen Je vois alors monter les douces nuées, In einer sonnerfüllten klaren freie Dans un espace libre, clair et empli de soleil Die nur umfängt auf fernsten Qui nimbe seulement les pics [ bergesschlüpfen. [ les plus lointains.

Der boden schüttert weiß und weich Le sol tremble, immaculé, mol, tel [ wie molke… [ une mousse de lait... Ich steige über schluchten ungeheuer Je franchis des crevasses abyssales ; Ich fühle wie ich über lezter wolke Je me sens, sur un ultime nuage, In einem meer kristallnen glanzes Nager en une mer de splendeur cristalline. [ schwimme – Ich bin ein funke nur vom heiligen feuer Je ne suis qu’une étincelle du feu sacré, Ich bin ein dröhnen nur der heiligen stimme. Je ne suis qu’un grondement de la voix sacrée. Marlène Assayag sous la direction de Jean-Christophe Spinosi : Serse ( Haendel ), Requiem ( Fauré ), Après des études de flûte à bec et de piano, Symphonie n° 9 ( Beethoven ), Le nozze Marlène Assayag découvre l’art lyrique di Teti e Peleo ( Rossini ), Le Comte Ory avec l’opéra pour enfants Fleur et le miroir ( Rossini ) et Il re pastore ( Mozart ). De 2013 magique ( Bacri ). Elle participe aux master- à 2015, elle endosse les rôles de Donna Anna classes de Nicolas Courjal, Laura Sarti, Jeff ( Don Giovanni, Mozart ), du Prince Caprice Cohen, Felice Venanzzoni, Antoine Palloc, ( Le Voyage dans la lune, Offenbach ) et de Vincent Le Texier, Marie-Ange Todorovitch La Reine de la Nuit ( La Flûte enchantée, et Ruggero Raimondi. En 2013, elle intègre Mozart ). En 2017, elle interprète le Feu, la le Centre national d'insertion professionnelle Princesse et le Rossignol dans L'Enfant et les des artistes lyriques ( CNIPAL ) et prend sortilèges ( Ravel ) avec la compagnie Jeune part en 2014 à la résidence Mozart de Opéra de France et Gilda dans Rigoletto l’Académie du Festival d’Aix. Elle obtient ( Verdi ) avec la Compagnie Opéra Nomade. de nombreuses récompenses : Premier Prix Elle est Constance dans une adaptation du Concours international de l’UFAM en de L’Enlèvement au sérail ( Mozart ) à la 2007 ( niveau Honneur ), Prix de concert de Philharmonie de Paris, puis à l’Opéra de la Schola Cantorum en 2008, Premier Prix Clermont-Ferrand. Lauréate de la Fondation et Prix du Public du Concours international Royaumont, elle travaille le rôle de Nanetta de chant « Les Symphonies d’Automne » dans Falstaff ( Verdi ) avec Jean-Paul Pruna de Mâcon en 2009, Prix de la mélodie au et Georges Lavaudant. Concours d’honneur de l’UPMCF en 2013, Pour la saison 2017-2018, elle figure dans Prix d’interprétation à la Armel Opera La Flûte enchantée, coproduction de la Competition en 2015 et Troisième Prix compagnie Opéra Nomade et du Centre d’Opéra au Concours international de chant lyrique Clermont-Auvergne. Elle suit le « Nuits lyriques de Marmande » en 2016. programme de formation à la médiation Elle fait ses débuts en 2008 dans le rôle « Artistes-relais » de l’Académie du Festival de Norina ( Don Pasquale, Donizetti ), puis d’Aix. Elle prend part à la création d’Aliénor d’Elvira ( L’Italienne à Alger, Rossini ), de Dauchez, Cacher la profondeur – spectacle Louise ( Le Nègre des Lumières, Saint- musical autour de la correspondance entre George ), de Prima Donna ( Viva la Mamma, Richard Strauss et Hugo von Hofmannsthal – Donizetti ), de Carolina ( Il matrimonio créé au Théâtre impérial de Compiègne et segreto, Cimarosa ), d’Anna ( Nabucco, repris dans le cadre d’Aix en juin, prélude au Verdi ) et de La Fée ( Cendrillon, Massenet ). Festival d’Aix. Elle travaille aux côtés de Petrika Ionesco, François de Carpentries, Federico Santi et Patrick Souillot. Elle chante par ailleurs le Requiem et l’Exsultate jubilate ( Mozart ), le Gloria et le motet In furore ( Vivaldi ), le Messie ( Haendel ) et les Stabat Mater de Pergolèse et Boccherini, et se produit régulièrement avec l’Ensemble Matheus Quatuor Arod saison 2017-2018, le Quatuor Arod se produit notamment à l'Auditorium du Créé en 2013, le Quatuor Arod bénéficie Louvre, au Théâtre des Bouffes du Nord de l’enseignement de Mathieu Herzog et à la Philharmonie de Paris, à l’Arsenal et de Jean Sulem ainsi que du Quatuor de Metz, à Bordeaux et à Montpellier, au Artemis à la Chapelle musicale de la Reine Bozar ( Bruxelles ), à Schloss Elmau, au Élisabeth de Bruxelles. Il travaille par ailleurs Mozarteum de Salzbourg, au Black Diamond régulièrement avec le Quatuor Ébène et de Copenhague, au Konzerthaus de Vienne, le Quatuor Diotima. En 2014, le quatuor au Concertgebouw d’Amsterdam, à la remporte le Premier Prix du Concours Tonhalle de Zurich, au Wigmore Hall de européen de la FNAPEC, puis en 2015, le Londres, mais aussi à Tokyo, en Finlande, en Premier Prix du concours Carl Nielsen de Suisse, en Italie ou encore en Serbie. Il suit Copenhague et en 2016, le Premier Prix du le programme de formation à la médiation Concours international de l'ARD de Munich. « Artistes-relais » de l’Académie du Festival Il est nommé « BBC New Generation Artist » d’Aix. Il enregistre pour le label Erato Warner pour les saisons 2017 à 2019 et « ECHO Classics un premier disque consacré à Rising Star » pour la saison 2018-2019. Mendelssohn paru à l’automne 2017. Le Quatuor Arod se produit dans de nombreux festivals : Verbier et Montreux Le Quatuor Arod participe au dispositif « Carte blanche aux ( Suisse ), Aix-en-Provence, Menton, Salon- artistes – Production Résidence » et bénéficie du soutien de la Région Provence-Alpes Côte d’Azur. de-Provence, La Folle Journée de Nantes, Prades, Heidelberg, Rheingau, Mecklenburg- Vorpommern, Bremen Musikfest, Mozartfest Würzburg, Spring Music Festival de . Il collabore avec des artistes tels que les altistes Amihai Grosz et Mathieu Herzog, le pianiste Éric Le Sage, les clarinettistes Martin Fröst, Romain Guyot et Michel Lethiec, ou encore les violoncellistes Raphaël Pidoux, Harriet Krijgh, François Salque et Bruno Philippe. Le quatuor est en résidence à la Fondation Singer-Polignac et à ProQuartet – CEMC. Il est Lauréat HSBC 2016 de l’Académie du Festival d’Aix et lauréat des Fondations Banque Populaire et Safran. Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal du Quatuor Arod. Il est habillé par Blandin et Delloye – Paris. En 2017, il crée le premier quatuor à cordes du compositeur français Benjamin Attahir ( commande de La Belle Saison, de ProQuartet et du Quatuor Arod ). Pour la

MARLÈNE ASSAYAG & LE QUATUOR AROD FESTIVAL Portrait d’une muse D’AIX-EN-PROVENCE 8 JUILLET – 15H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD DU 4 AU 24 JUILLET 2018 STÉPHANE DEGOUT & ALAIN PLANÈS Récital de mélodies françaises TOUTE LA PROGRAMMATION SUR 9 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD WWW.FESTIVAL-AIX.COM JONATHAN ABERNETHY & HÉLIO VIDA Chants du voyageur 12 JUILLET – 21H30 | HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE

TABEA ZIMMERMANN L’Alto à l’honneur 13 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

ORPHEUS XXI Moslem Rahal Quartet 14 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

ISABELLE ADJANI, ANNE ALVARO, ROKIA TRAORÉ… Soirée au profit de SOS Méditerranée 15 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

JORGE PARDO TRIO Flamenco sans frontières 16 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

DANIEL SEPEC, TABEA ZIMMERMANN & JEAN-GUIHEN QUEYRAS Divertimento à trois Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique 17 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD de développement durable et invite ses festivaliers à participer à cette démarche. ORCHESTRE DES JEUNES Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert, qui garantit la DE LA MÉDITERRANÉE gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile végétale sur du Création interculturelle papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts 18 JUILLET – 21H30 | HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE gérées de manière responsable. Concert symphonique La Mer Festival d’Aix-en-Provence 22 JUILLET – 17H | GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE Palais de l’Ancien Archevêché 13100 Aix-en-Provence N° de licences d’entrepreneur de spectacles COLLECTIF KAHRABA 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276 Ce murmure dans la nuit du monde impression - Espace Imprimerie 20 JUILLET – 15H & 20H | BOIS DE L’AUNE design graphique - Céline Gillier 21 JUILLET – 11H & 15H | BOIS DE L’AUNE