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DOSSIER DE PRESSE

INFOS PRATIQUES

Organisation et Renseignements Palais des Festivals et des Congrès - Direction de l’Evénementiel La Croisette CS 30051 - 06414 CANNES Cedex - Tél. : 04 92 99 33 83

Points de vente BILLETTERIE Palais des Festivals : Sur place : Esplanade G.Pompidou – Accès par l’Office de Tourisme de Cannes Par téléphone : avec transmission carte bancaire +33 (0)4 92 98 62 77 Par mail : [email protected] Du lundi au samedi de 10h à 18h et 1 heure avant chaque représentation sur le lieu du spectacle. Par internet : www.palaisdesfestivals.com En vente également dans les points de ventes habituels

Tarifs Spectacle Tarif Public : 26 € Tarif Réduit / Groupe : 23 € Abonné : 20 € -26 ans : 15 € / -10 ans : 12 €

Parking Forfait parking du Palais des Festivals : 5,50€ pour 7 heures de stationnement Billet de sortie à retirer à la billetterie ou à l’accueil du spectacle et règlement directement aux bornes de sortie du parking. Nouveau fonctionnement : Billet de sortie à retirer à la billetterie ou à l’accueil du spectacle et règlement directement aux bornes de sortie du parking.

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Contacts Presse : Elisabeth LARA – Tél : 04 92 99 84 46 – [email protected] Blandine Dugenetay – Tél : 04 92 99 84 45 – [email protected]

Arielle Dombasle & Nicolas Ker « Sous le spectre du velvet » Durée : 1h30

Arielle Dombasle : voix Nicolas Ker : textes, arrangements musicaux, voix et guitare

Henri Graetz : violons, claviers et guitare Eat Gas : guitares Mark Kerr : batteries Luc Rougy : guitares et claviers Arnaud Roulin : claviers Chœurs : ensemble vocal des musiciens

LE SPECTACLE

A la question éternellement posée à une enfant, petite Française qui habitait New York, fille de diplomate, Francion- Lise Garreau-Dombasle, ma mère, « tu préfères la France ou l'Amérique ? », elle répondait : « je préfère le bateau ». Arielle a raconté cette histoire à Nicolas Ker et c'est ainsi qu'est née cette odyssée, La Rivière Atlantique, dans le sillage des grands paquebots qui jadis fendaient l'océan. L'océan, cet entre-deux plus vaste que l'univers. L'esprit océanique.

Par vents et tempêtes, voici un baptême dans le cœur des eaux. La rencontre d'Arielle Dombasle et de Nicolas Ker est en soi de l'ordre du conte fantastique. Ils partagent le même goût pour les stances de Lord Byron, les stories d’Edgar Alan Poe et de Philipp K. Dick, les encres de Victor Hugo et les poèmes en prose de Charles Baudelaire. Fascination des abîmes, la rêverie, la chair, la mort et le diable. La noblesse des héros face à la cruauté des destins. Goethe, Kleist, Gustav Friedrich en tête : seules les intoxications sentimentales triomphent du néant.

Recherche du vertige, du dramatique, du mystérieux, de l'épique, de l'exaltant, de l'onirique. La voix rare d'Arielle Dombasle et celle du ténébreux crooner-rocker de Nicolas Ker évoquent tout cela. Nicolas Ker a composé tous les thèmes musicaux de l'album et a écrit tous les textes. Ils cisèlent les puissantes nappes de violon et le velours des violoncelles dans des rythmes psycho-pop envoutants, lancinants, tranchants comme des lames. Retour incantatoire des mots, qui, placés dans la mélodie, télescopent le sens habituel et donnent ce halo indéfinissable de languides mystères et de fièvres hantées. Fusion des deux voix, beauté envoutante des timbres lignes mélodiques d'une absolue modernité, harmonie instrumentale parfaitement ciselée : tout cela opère ici comme des charmes d'anges pervers et donne une intense et rare émotion

Facebook https://fr-fr.facebook.com/ArielleDombasleetNicolasKer/

L’ALBUM

Résultat de plus de deux ans de travail, il comporte 12 titres écrits et composés par Nicolas Ker en étroite collaboration avec Henri Graetz, ayant le romantisme noir pour essence profonde. À l'origine de cet album se trouve une demande formulée par Arielle Dombasle à Nicolas Ker après leur rencontre au Cirque d'hiver en septembre 2014: « Écrivez-moi un album Nicolas » Un premier duo, "My Love for Evermore", sera enregistré pour l'album « French Kiss » d'Arielle Dombasle avant que tous deux s'engagent de manière plus approfondie dans un travail pleinement artistique. Initialement, leur collaboration devait donner naissance à un EP, « Les Arbres Pliés », mais l'abondance artistique du duo en a voulu autrement ; c’est ainsi que La Rivière Atlantique a vu le jour. Avec la collaboration étroite d’ Henri Graetz depuis le tout début du projet, Arielle Dombasle et Nicolas Ker ont travaillé pendant une période de trois ans sur la création, l'écriture et la composition des différents morceaux de La Rivière Atlantique au gré de leurs voyage. Sombres sans une once de tristesse, d’un esthétisme diablement raffiné, puissamment rock et parcourus d’un zeste de baroque, les titres semblent bruisser d’échos de Lou Reed, Léonard Cohen ou Johnny Cash. C’est d’une créativité à vous donner des frissons, gorgée d’échos de multiples références poétiques, littéraires, musicales et qui vous touchent au cœur dès la première écoute.

LES CHANSONS

 I’m Not Here Anymore  Point Blank Nicolas Ker Nicolas Ker

 The Endless Summer  The Other Sister Nicolas Ker Nicolas Ker

 Carthagena  Go dis the Slave Nicolas Ker Nicolas Ker

 The Tempest  Cats from Heaven Nicolas Ker Nicolas Ker

 Happiness Still in Blue  Good Night Precious Nicolas Ker Nicolas Ker

 The Ice Skater Cries  The Bridal Veil Nicolas Ker Nicolas Ker

La vidéo du clip « I’m Not Here Anymore »

BIOGRAPHIES

ARIELLE DOMBASLE

Née dans le Connecticut, Arielle Dombasle grandit au Mexique en effectuant plusieurs voyages en France. Apres le décès de sa mère, elle passe une année dans le Sud de la France, où elle se forme à la danse classique au sein de l’école Rosella-Hightower à Cannes, avant de poursuivre son apprentissage au Mexique puis à Paris à partir de 1976 au Conservatoire International de musique de Paris. A côté de la danse, Arielle pratique également le théâtre dans une troupe qu’elle a monté à et le chant à Paris.

Elle débute sa carrière au cinéma en 1979 dans d’Eric Rohmer, après un premier grand rôle au théâtre dans La Petite Catherine de Heilbronn d'. C'est surtout le succès de Pauline à la plage, en 1982, qui lui donne sa notoriété auprès du public français. Elle mène une carrière au théâtre et au cinéma, sous la direction des plus grands réalisateurs et metteurs en scène : , , Cédric Kahn, Bernard Henry-Lévy.

En 2005, elle incarne à la télévision, l’impératrice Sissi adapté par Jean-Daniel Verhaeghe, puis en 2006, Milady dans le téléfilm éponyme de Josée Dayan. En 1999, Arielle Dombasle est nommée à la 24e cérémonie des César dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle pour L'Ennui de Cédric Kahn46. En 2001, elle reçoit au Festival du film de Cabourg le prix de l'actrice la plus romantique pour Les Âmes fortes de Raoul Ruiz. En 2007, elle est invitée par le Crazy Horse pour une série de 17 représentations entre le 11 et le 18 février. Du côté de sa carrière musicale, Arielle sort son premier album Liberta en 2000, Extase en 2002, Amor, Amor en 2005 et C’est si bon en 2006. Ces quatre opus mêlant pop et lyrique ont été couronnés de trois disques d'or et d’un double disque de platine. C’est en 2009 qu’elle revient avec son cinquième album Glamour à mort, et enchaine avec Diva Latina en 2011 où elle reprend des grands standards hispaniques tels que Porque te vas, Mala Vida ou Hasta Siempre. En 2013, Arielle enregistre à Londres un album avec le groupe ERA, inspiré à la fois par la musique sacrée, la musique de film et l'univers techno de la musique trance. En 2015, elle s’associe au groupe Rockabilly, Hillbilly Moon Explosion, pour concevoir l’album French Kiss. En 2016, l’album La Rivière Atlantique nait d’une collaboration avec Nicolas Ker, après trois ans de travail.

Sources : Site officiel Arielle Dombasle : http://www.arielle-dombasle.com/ Page wikipedia Arielle Dombasle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arielle_Dombasle

NICOLAS KER

Chanteur, compositeur, parolier et interprète, Nicolas Ker est un artiste dandy aux multiples facettes à la croisée des genres. Authentique rocker à la voix d'or de crooner et à l’érudition spectaculaire ; passant allégrement du rock à l’électro avec une virtuosité propre aux grands artistes touchés par la grâce du génie poétique de la création.

Après avoir passé une partie de sa vie au Cambodge, à Istanbul, Le Caire, puis à La Réunion, Nicolas Ker arrive en France en 1985 et se laisse bercer par David Bowie, les Doors, Cure, PL, Neon Judgment et Chris & Cosey qui composent son spectre musical de référence. Les mots de Marcel Proust, Jean Cocteau, Stéphane Mallarmé et Gérard de Nerval complètent, quant à eux, son grand dessein artistique.

Avec ses accents de David Bowie, Nicolas Ker oscille entre Jim Morrison et Ian Curtis. Artiste polymorphe aux nombreux talents, poète suscitant l’admiration de ses compères, Ker rencontre le succès avec les groupes Poni Hoax, dont il est le chanteur et Paris, dont il est le membre fondateur. C’est avec eux qu’il se produit sur les scènes du monde entier ; de Paris à New York en passant par Londres ou encore Moscou.

Nourri par ses années d’expériences avec Poni Hoax et Paris, Nicolas Ker a atteint une telle maturation artistique qu’il lui est venu le désir de s’offrir un premier album solo à son image, Les Faubourgs de l’Exil. Cet opus est un portrait singulier et possédé, mettant en avant la voix si pénétrante et infusée de toutes les âmes qui habitent le chanteur.

Insatiable dans la création de son art, il compose La Rivière Atlantique avec Arielle Dombasle et co-écrit et co- compose la bande originale du film Peshmerga de Bernard-Henry Lévy, avec Henri Graetz et Eat Gas.

Source : Page Facebook officielle Nicolas Ker : https://www.facebook.com/pg/NicolasKerOfficiel/about/?ref=page_internal

LA TOURNEE

LA PRESSE EN PARLE

« Arielle Dombasle et Nicolas Ker signent un disque passionnant, qui ressusciterait presque le duo mythique Nancy Sinatra-Lee Hazlewood, sous influence Pasolini. Récit d'une belle épopée rock. » Les InRocKs

« Une rencontre entre la diva soprano et Nicolas Ker, leader du groupe Poni Hoax, chanteur rock à la voix torturée. Le résultat est étonnant, extrêmement riche, véritablement délicat, entre le velours des violons et le cuir des guitares. Ces deux-là se sont définitivement bien trouvés. » Paris Match

« Un conte romantique et funeste, revêtu d'un rock habilement arrangé cette fois de violon et d'orgues, où planent ici et là les ombres de Nick Cave, Neil Hannon et Robert Smith. Le forfait est particulièrement réussi. » Télérama