BACHERE Abel BAISSIERE Pierre Louis Antoine cASSIGNOL Antoine cASTILLOU Basile François CASTILLOU Henri jean pierre DEVILLE GUILLAUME MARIUS FERT Albert lIMOUSIS François Joseph MONIER Gaston Louis Henri PITIE AUGUSTE LOUIS ROBERT Louis Elie Léon SAGNES Pierre Elie SICARD Jacques Jean Marius

Nous commémorons cette année le centenaire du début de la Grande Guerre. Ce conflit international a fait plus de 9 millions de morts et 20 millions de blessés, cette hécatombe a endeuillé des familles, des villages... Voici les noms des soldats villarzelois morts pour la , et à travers leur état civil une partie de leur histoire, une partie de notre histoire... Sur le monument aux Morts de Villarzel Cabardés, dix noms de soldats sont inscrits : BAISSIERE Antoine, CASSIGNOL Antonin, CASTILLOU Basile, CASTILLOU Henri, FERT Albert, LIMOUSIS François, MONIER Gaston, ROBERT Louis, SAGNES Elie et SICARD Jacques. Cependant, sur l’état civil de Villarzel Cabardés, nous en trouvons trois de plus : DEVILLE Guillaume Marius, PITIE Auguste Louis et BACHERE Abel. Soldats inscrits au monument aux Morts de VILLARZEL CABARDES

FERT Albert BAISSIERE Antoine Maréchal des Logis du 19ème Régiment de Dragons Soldat 2ème classe du 9ème Cuirassiers Matricule 25 Recrutement Pont St Esprit Matricule 65 Recrutement – classe 1906 Né le 28.10.1882 à Viviers (Ardèche) Né le 18.11.1886 à Villarzel Cabardés Décédé le 24.08.1917 à Vesoul (Haute Saône) Fils de BAISSIERE Hippolyte Louis et de METGE Inhumé à Vesoul au Carré Militaire tombe 158 Décédé le 09.05.1917 des suites de ses blessures à Soissons Inscrit à Villarzel Cabardés car son régiment était stationné à Inhumé au Cimetière Communal St Christophe de Soissons (Carré E – Tombe 117)

CASSIGNOL Antoine Jean CASTILLOU Basile Sergent au 60ème Régiment d’Infanterie Soldat 2éme classe 22ème Régiment d’infanterie Coloniale Matricule 684 Recrutement Narbonne – Classe 1912 Matricule 327 Recrutement Narbonne – Classe 1903 Né le 01.09.1882 à Villeneuve la Comptale Né le 24.04.1883 à La Gardie (Villarzel Cabardés) Fils de CASSIGNOL Pierre et de PLANCADE Anne domiciliés à Villarzel Cabardés Fils de CASTILLOU Jean François et de VAISSIERE Rosalie Porté disparu le 16.04.1917 à Loivre (Marne) Décédé le 01.03.1915 des suites de ses blessures à Braux sur Déclaré « Mort pour la France » le 11.08.1921 par le Tribunal de Carcassonne Cokière (Marne) Transcrit le 19.10.1921 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés Transcrit « Mort pour la France » le 29.10.1915 sur le registre d’état civil de Laure Minervois

CASTILLOU Henri LIMOUSIS François Eugène Soldat 2ème classe régiment d’infanterie Soldat 2ème classe au 113ème Régiment d’Artillerie Lourde Matricule 192 Recrutement Narbonne – Classe 1897 Matricule 460 Recrutement Narbonne – Classe 1918 Né le 15.07.1877 à Villarzel Cabardés Né le 28.01.1884 à Villarzel Cabardés Fils de CASTILLOU Noël et de TREIL Marie Fils de LIMOUSIS Jean Eugène et de BISCAN Jeanne Julie Décédé le 13.11.1914 d’une maladie contractée en service à TIZI OUZOU (Algérie) Décédé le 19.10.1918 à Ravigny commune de Monthaison Déclaré « Mort pour la France » le 22.08.1925 arrondissement de Verdun (Meuse) Déclaré « Mort pour la France » le 30.01.1920

MONIER Gaston Louis Henri ROBERT Louis Elie Léon Soldat du 89ème Régiment d’Infanterie Soldat 11ème Régiment d’Artillerie Matricule 103 Recrutement Narbonne – Classe 1910 Matricule 1190 Recrutement Narbonne – Classe 1906 Né le 17.02.1890 à Villarzel Cabardés Né le 12.05.1886 à Villarzel Cabardés Fils de MONIER Paul et de CHIFFRE Irma Marie Fils de ROBERT Louis Théodore et de GRIFFE Eugénie Décédé le 16.04.1917 « tué à l’ennemi » route 44 à La Ville au Bois (Aisne) Décédé le 07.10.1918 lors d’une permission chez ses parents Transcrit le 21.05.1920 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés Transcrit le 07.10.1918 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés SAGNES Pierre Elie SICARD Jacques Jean Marius Soldat au 96ème Régiment d’Infanterie Soldat au 81ème Régiment d’Infanterie Matricule 8 Recrutement Narbonne – Classe 1900 Matricule 345 Recrutement Narbonne – Classe 1913 Né le 08.04.1880 à Villarzel Cabardés Né le 19.08.1893 à Villarzel Cabardés Fils de SAGNES Joseph et de CHIFFRE Marie Fils de SICARD Louis Baptiste et de CHIFFRE Louise Lisette Porté disparu le 02.08.1916 à Thiaumont (Meuse) Décédé le 21.12.1914 « tué à l’ennemi » à la bataille de Déclaré « Mort pour la France » le 02.08.1916 Lorraine Transcrit le 12.05.1921 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés Déclaré « Mort pour la France » le 19.06.1919 Transcrit le 18.07.1919 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés

Soldats non inscrits sur le monument aux Morts de VILLARZEL CABARDES mais inscrits sur les registres d’état civil de VILLARZEL CABARDES

BACHERE Abel Caporal au 1er Régiment du Génie Matricule 324 Recrutement Narbonne – Classe 1902 Né le 06.01.1882 à Villarzel Cabardés Fils de BACHERE Mathieu et de BRU Marie Porté disparu le 24.08.1917 à Verdun à la cote 304 dans la Meuse Déclaré « Mort pour la France » le 13.07.1921 par le Tribunal de Carcassonne Transcrit le 19.10.1921 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés Inscrit au monument aux Morts à Labastide d’Anjou

DEVILLE Guillaume Marius Marsouin au 42ème Régiment d’Infanterie Coloniale Matricule 68 Recrutement Carcassonne – classe 1903 Né le 03.01.1883 à Vaux (Haute Garonne) Domicilié à Villarzel Cabardés Fils de DEVILLE Jean François et SONAL Marie Porté disparu le 31.08.1914 à Haudiomont (Meuse) Déclaré « Mort pour la France » le 09.03.1921 par le Tribunal de Carcassonne Transcrit le 11.03.1921 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés

Petite histoire : Le 42ème Régiment d’Infanterie Coloniale a été créé en 1914, il était rattaché à la 149ème Brigade d’Infanterie puis à la 10ème DIC pour participer à la bataille de la Somme. En 1918, le régiment fait mouvement en Serbie auprès de la 11ème DIC. En novembre 1918, il participe à l’occupation des ports de l’adriatique, il est dissous le 01.04.1919.

PITIE Auguste Louis Chasseur au 14ème Bataillon des Chasseurs Alpins Matricule 1318 Recrutement Narbonne – Classe 1912 Né le 25.04.1892 à Mazamet (Tarn) Fils de PITIE Auguste et VIDAL Jeanne domiciliés à Décédé le 03.10.1918 à Lesdins (Aisne) Inhumé à Levergies (Aisne) Inscrit au monument aux Morts à Villegly Transcrit le 30.01.1920 sur le registre d’état civil de Villarzel Cabardés

LES FUSILLES POUR L EXEMPLE

Nous devons bien sur rappeler que lors de cette Grande Guerre en France, 2400 « Poilus » auront été condamnés à mort et 600 fusillés pour l’exemple, les autres étant condamnés à des travaux forcés. Ces condamnations ont été prononcées pour refus d’obéissance, mutilations volontaires, désertion, abandon de poste devant l’ennemi ou mutinerie comme au Chemin des Dames en 1917. Ce centenaire est une grande occasion de réhabiliter tous ces hommes tués par leur pays pour qu’ils soient considérés comme des martyrs et non comme des lâches…

Lieu où a disparu BACHERE Abel Photo d’une tranchée cote-304 à Verdun

Registre d’état civil des Armées

Lettre d’Henri Barbusse à sa femme, 21 Juin 1915 « Dans le boyau même, il y avait des cadavres qu’on ne peut retirer de là ni ensevelir (on n’a pas eu le temps jusqu’ici), et qu’on piétine en passant. L’un d’eux, qui a un masque de boue et deux trous d’yeux, laisse traîner une main qui est effilochée et à moitié détruite par les pieds des soldats qui se hâtent, en file, le long de ce boyau. On a pu le voir, le boyau étant couvert à cet endroit, on a allumé, une seconde. N’est-ce point macabre, ces morts qu’on use de la sorte comme de pauvres choses ? » (Lettres de Henri Barbusse à sa femme, 1914-1917, Ernest Flammarion éditeur, 1937, p. 151.)

LES FEMMES ET LA GRANDE GUERRE

Au cours de la première guerre mondiale, les femmes n’ont pas combattu dans les tranchées, mais elles ont largement contribué à faire vivre l’économie du pays pendant les quatre années de guerre. Grâce aux infirmières, agricultrices, ouvrières et marraines de guerre, la nation a tenu bon.

Le 7 aout 1914, le Président du conseil René VIVIANI lance un appel aux femmes mais surtout aux paysannes en pensant que la guerre serait de courte durée : « Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. Préparez-vous à leur montrer, demain, la terre cultivée, les récoltes rentrées, les champs ensemencés ! Il n'y a pas, dans ces heures graves, de labeur infime. Tout est grand qui sert le pays. Debout ! A l'action ! A l'œuvre ! Il y aura demain de la gloire pour tout le monde »

A partir de fin 1915, la mobilisation est générale, elle atteint son apogée fin 1917, les femmes travaillent dans les usines, ces femmes sont appelées les « Munitionnettes ». Le travail dans les usines est très dur, les cadences sont infernales et très éprouvantes, comme le montre se témoignage paru dans La voix des femmes : " L'ouvrière, toujours debout, saisit l'obus, le porte sur l'appareil dont elle soulève la partie supérieure. L'engin en place, elle abaisse cette partie, vérifie les dimensions (c'est le but de l'opération), relève la cloche, prend l'obus et le dépose à gauche. Chaque obus pèse sept kilos. En temps de production normale, 2500 obus passent en 11 heures entre ses mains. Comme elle doit soulever deux fois chaque engin, elle soupèse en un jour 35 000 kg. Au bout de 3/4 d'heure, je me suis avouée vaincue. J'ai vu ma compagne toute frêle toute gentille, dans son grand tablier noir, poursuivre sa besogne. Elle est à la cloche depuis un an. 900 000 obus sont passés entre ses doigts. Elle a donc soulevé un fardeau de 7 millions de kilos. Arrivée fraîche et forte a l'usine, elle a perdu ses belles couleurs et n'est plus qu'une mince fillette épuisée. Je la regarde avec stupeur et ces mots résonnent dans ma tête : 35 000 kg".

Les infirmières vont aussi jouer un rôle important pendant le conflit car elles apportent les soins mais surtout un soutien moral aux troupes ainsi que les « marraines de guerre » qui écrivent, envoient des colis aux soldats sur le front et qui rendent visite aux soldats blessés dans les hôpitaux.

Femmes dans les usines

Infirmières

Femmes et enfants dans les champs

Femmes dans les usines

Exemple de lettre écrite du front Beaucoup de lettres écrites du front étaient illustrées de dessin fait par les soldats

Ordre de mobilisation générale du 2 août 1914

Carte postale datée du 25.07.1917

11 Novembre 1918 fin de la Guerre Signature de l’Armistice

Sites internet à découvrir sur la Grande Guerre 14-18 : http://cote304.563creations.fr http://www.premiere-guerre-mondiale-1914-1918.com http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr http://centenaire.org http://www.memorial-genweb.org

HISTOIRE : MAIS OU EST DONC PASSE VILLARZEL ?

Villarzel perdu quelque part, entre confins du Cabardés et « marches » du Minervois ! L’espace est pourtant bien mince pour y retrouver sont territoire… et son âme. Il faut donc trancher entre ces deux entités géographiques et historiques, mais peut être aussi économiques, et restituer à Villarzel sa véritable identité.

Au plan économique, le plus simple à concevoir, situer Villarzel dans le Minervois n’est pas une aberration, et peut raisonnablement se justifier. En effet, la principale activité de la commune, la viticulture, pourrait permettre un rattachement à cette région AOC pour en valoriser la production. Ce fut le cas pour le village de Malves (1). Cet argument trouvait sa pleine justification après la deuxième guerre mondiale et jusqu’au début des années 90, quand nombre de viticulteurs procédaient eux-mêmes à la vinification de leur récolte et recouraient aux services de négociants pour écouler leur production. Une appelation « Minervois » eut été d’un plus grand profit pour les producteurs. C’est ce qui fut tenté, vainement, pendant une trentaine d’années, comme en témoigne la presse locale dans le milieu des années 90(2). Toutefois, cet aspect économique, ne saurait plus être, aujourd’hui, un argument de poids, la majeure partie de la production de Villarzel étant vinifiée et commercialisée par la cave coopérative de Laure Minervois, avec l’appelation « Lauran Cabaret, Minervois AOC ». En ce cas, échanger le « Cabardés » de Villarzel en « Minervois » n’ayant plus désormais d’incidence réelle sur l’économie viticole du village, perdrait alors tout son sens.

Si l’on aborde l’aspect géographique, le problème est tout autre. Le territoire de la commune de Villarzel est en quasi-totalité situé sur le bassin versant sud de la Clamoux. Seule, une petite partie de celui-ci (3) se trouve sur le bassin versant de la Resclause qui se jette dans le ruisseau de Gazel en direction de Laure, donc vers le Minervois. Villarzel se rattache plutôt à la basse vallée de la Clamoux, même si ce territoire occupe le plateau qui sépare cette vallée de la grande plaine minervoise, plateau qui constitue les ultimes reliefs de la Montagne Noire en direction de la grande plaine de l’ à l’est. Géographiquement Villarzel est bien, alors, dans le Cabardés.

Sur le plan historique, la question est bien tranchée sans aucune ambiguité. C’est dans une lettre du roi Saint Louis datée de Juillet 1260 qu’apparait explicitement la localisation de Villarzel et Villarlong dans le Cabardés, lors de la confirmation d’une transaction entre le sénéchal de Carcassonne, Guillaume de Coardon (ou Cohardon) et Jordain de Cabaret (4). Un accord entre les mêmes, daté de mai 1267, mentionne encore une fois les châteaux de « Vilarzallum et Villare Longum in Cabardesio » c'est-à-dire en Cabardés (5). En 1818, le Barou Trouvé, ancien préfet de l’Aude, dans sa description du département, situe Villarzel dans le Cabardés (6).

En fait, du point de vue administratif, au plan judiciaire Villarzel est bien situé dans la viguerie du Cabardés, dépendant de la sénéchaussée de Carcassonne, du ressort du Parlement de Toulouse, viguerie à laquelle fut rattachée celle du Minervois plus tardivement. Sur le plan financier, Villarzel est toujours dans un des quatre quartiers du diocèse de Carcassonne, le quartier de Cabardés, du ressort de la généralité de Toulouse, alors que le Minervois (dont Laure et Villeneuve les Chanoines) constituait l’un des trois districts du diocèse de Narbonne du ressort de la généralité de Montpellier. Enfin, l’organisation religieuse situe Villarzel dans le district de Conques au diocèse de Carcassonne, Laure et Villeneuve les Chanoines, dépendent de l’archiprêtré du Minervois (), dans le diocèse de Narbonne (7). En définitive, où est donc passé Villarzel au cours des temps ? Que l’on se rassure, si l’économie ou la géographie ont bien du mal à retrouver ce petit territoire égaré dans ses collines embaumant le thym et la lavande, l’histoire, bien épaulée par l’archéologie (8), a su retrouver les traces indélébiles de Villarzel et le situe indubitablement dans le Cabardés. C’est donc en conservant son vocable original (mais aussi originel peut être) que Villarzel peut garder son identité et son âme, aux portes du Minervois.

Daniel Pierre CATTANEO et Louis GUIRAUD

(1) Malves, situé dans le Carcassès, est devenu Malves en Minervois sans n’avoir jamais eu la moindre attache avec le Minervois (2) DAMOISON J. « Villarzel Cabardés : un village qui veut s’appeler Minervois » Journal l’Indépendant, Dim. 11 Août 1996, p3. (3) Zone autour de Villarlong, du Morel pointu au Morel de la Gardie (4) « … dedit et concessit praedicto Jordano et heredibus eius in perpetuum, castrum de Vilarzelo et de Vilarilongo, cum nero et mixto imperio et cum dominationibus et cum iuribus et pertinentiis suis in Cabardesio… » (DOAT : Archives du Roy dans le château de la Cité de Carcassonne, Registrum Curiae Franciae, Vol. 154, fol. 211 cité par MAHUL A. : Cartulaire et archives de l’ancien diocèse et de l’arrondissement administratif de Carcassonne ; Didron, Dumoulin ; Paris 1859 T. II p 76. (5) TROUVE B. : Description générale et statistique du département de l’Aude, Firmin Didot, Paris, 1818 T. 1, p 346 et T.2 p 197. (6) Voir SABARTHES Abbé : dictionnaire topographique du département de l’Aude, imprimerie nationale, Paris 1912 p XII-XXXVI (7) Voir les bornes portant l’écu aux initiales NC (Nazaire et Celse) du chapitre cathédral de Carcassonne, marquant les limites du territoire de Villarzel et de Villeneuve Minervois, toujours en place aujourd’hui.

MERCI DE RESPECTER LES STATIONNEMENTS INTERDITS

Le stationnement est interdit route de de la mairie à l’entrée du village sur une distance de 100 mètres Le stationnement est interdit dans la 1ère partie de la Rue des Jardins Le stationnement est interdit dans le tournant entre la Rue des Colombes et la route de Villegly

Utiles

Mairie Ouverture au public tous les jours de 11 à 12h et de 16 à 17h30 (Fermée le mercredi et samedi) Bibliothèque municipale Le jeudi de 17h30 à 18h30 (Fermée pendant les vacances scolaires). Déchetterie de Conques/Orbiel Ouverture au public tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 18h (Fermée le vendredi) Cars Teissier Possibilité d’emprunter la ligne en réservant par appel téléphonique (renseignement en mairie). Sacs jaunes Collecte le vendredi matin Ordures ménagères Collecte le lundi matin

En cas d’urgEncE Les Pompiers 18 Le Samu ou médecin de garde 15 Numéro d’urgence européen 112 La Police 17 Pharmacie de garde 3237