La réunion s’est déroulée le mercredi 10 mai 2017, de 19h30 à 23h30 au restaurant Yagura d’Ecouen. 38 participants étaient présents dont 19 hommes et 19 femmes. Cette assemblée avait pour vocation de lancer la campagne des élections législatives et de présenter les candidats (titulaire et suppléante) :

L’ordre du jour était commun pour l’ensemble des assemblées de circonscription insoumises et défini comme suit : 1. Accueil des participants 2. Retour et bilan des élections présidentielles 3. Présentation des candidats et antériorité de l’investiture 4. Organisation de la campagne : actions et événements en lien avec - 5. Variante locale : définition et organisation d’équipes de campagne sur les thématiques suivantes : Groupe animation Groupe rédaction Groupe animations Groupe organisation des élections Groupe financement Groupe communication Groupe initiatives : collage/diffusion de tracts/porte-à-porte

Attainville, Bouffémont, , Ecouen, Ezanville, , Le Mesnil-Aubry, , Montmorency, , Le Plessis-Gassot, Saint-Brice-sous-Forêt, ouest

De 19h30-19h50 : arrivée des participants 19h50 : Gilles Monsillon prend la parole pour introduire la réunion et se présente ainsi que sa suppléante Marie-Laure Olmeta Il cède la parole à Jean-François Pin, mandataire financier de la campagne pour les élections législatives

Jean-François Pin se félicite de la jeunesse présente dans l’assemblée (environ ¼ des participants du 10 mai) et rappelle que ce ne fut pas toujours le cas. Le fait que nous soyons plus de 30 aujourd’hui est également un point très positif à ses yeux. En effet, il rappelle qu’à l’époque de la constitution de ce groupe d’appui, il y avait 12 participants. Le groupe a été créé le 30 novembre 2016 et s’est rapidement donné des objectifs précis comme la diffusion de tracts, en vue des élections présidentielles. Ce groupe, bien que dévolu à une élection d’échelle nationale, a bénéficié d’un ancrage local particulièrement fort, notamment grâce à la participation de Michel Lacour, membre actif de l’association Gauches citoyennes d’Ecouen qui a soutenu d’emblée et ce groupe d’appui, lequel comité de soutien a permis de recueillir près de 150 signatures de personnes engagées et investies. C’est sans doute cet ancrage local militant et associatif qui explique les scores élevés de dans cette circonscription.

Jean-François explique que les candidats ont été désigné très tôt, dès le 30 novembre 2016, au moment de la création du groupe d’appui et que le binôme homme/femme – en accord avec les exigences de la Charte de la sur l’égalité homme-femme – a été validé dès février 2017.

Jean-François explique que si les scores de au 1er tour, sur la circonscription, sont un réel espoir, il faut toutefois raison gardée pour plusieurs raisons : Il y a systématiquement moins de votants aux élections législatives qu’aux élections présidentielles Les électeurs qui ne se déplacent pas sont plutôt les électeurs de gauche A titre d’exemple, il rappelle qu’en 2012, a obtenu 11.5 % des suffrages lors de l’élection présidentielle mais que le binôme Parti communiste française (PCF)-Front de Gauche (FG) investi sur une candidature commune n’a pas atteint 5 % des voix, dans la 7e circonscription. Forts de ces constats, il s’agit dorénavant d’entretenir la dynamique pour la campagne législative.

1 candidat PCF : les négociations avec le PCF ayant échoué, une candidature est à prévoir sur cette circonscription 1 candidat Europe Ecologie les verts (EELV) : a priori une candidate de Groslay 1 candidat du PS non encore désigné

1 candidat du Front national (FN) Jérôme Chartier pour Les républicains (LR) a décidé de se représenter : sa campagne est lancée le même jour à Montmorency

Gilles Monsillon reprend la parole et explique que cette assemblée a pour vocation de définir la manière dont nous allons travailler collectivement pour les 4 semaines à venir : en discutant notamment et en se répartissant les rôles, au travers des groupes de travail, tels que définis page 1.

Les participants sont invités à aller se servir à boire et à manger. Quand tout le monde sera installé, les discussions collectives pourront commencer

20h30 : Gilles Monsillon reprend la parole pour expliquer que la prochaine séquence sera consacrée à un échange collectif, prévu sur une vingtaine de minutes, pour discuter de la stratégie de campagne et poser des questions aux candidats. Pauline Vilain Carlotti est définie comme modératrice des temps de parole.

Il salue la candidature de Gilles Monsillon, candidat éminemment écologiste qui milite depuis longtemps contre « les grands projets inutiles » et notamment ceux du Grand comme Europacity. Thierry rappelle les objectifs délétères de ce projet de création d’un Mall à l’américaine, tourné toujours plus vers la société de consommation, et qui menace des espaces agricoles périurbains qu’il s’agit de sauvegarder. Il interpelle cependant le candidat Gilles Monsillon pour lui demander quel sera son comportement en termes de démocratie participative, s’il était élu député en juin prochain.

Gilles rappelle qu’il a effectivement un parcours de militant écologiste construit sur le long terme puisque celui-ci a débuté alors qu’il avait 14 ans. L’émergence de cette conscience militante s’est consolidée sur la longue durée dans de nombreux combats anticapitalistes, motivés par une remise en cause de l’idéologie de la croissance. Gilles explique qu’avant d’être candidat aux élections législatives, il est Vice-président d’ATTAC pour le Val d’Oise, qu’il a été un référent du projet Notre-Dame-des Lances (NDDL) et qu’il milite activement contre le projet Europacity, sur le triangle de . Sa candidature est donc motivée par une conscience politique alliée à un militantisme de terrain et s’est construite sur le long terme. Il a d’ailleurs déjà exercé des fonctions électives en étant membre de l’opposition de son village, puis candidat FG pour les cantonales. Gilles insiste sur son souhait de respecter la démocratie participative mais rappelle que les institutions de la 5e république ne permettent pas de mener cette mission de manière optimale et qu’il faudra – élu ou pas – continuer à se battre pour imposer l’idée puis la réalisation d’une 6e république plus respectueuse des attentes de la société et de la démocratie participative.

La parole passe

Sur la description des candidats, on apprend que Marie-Laure a 3 enfants. Gilles a-t-il alors des enfants ? Alain explique sa question, qui pose un problème autre que purement factuel. Pourquoi dans la description des candidats qui a été remise aux membres de cette assemblée Marie-Laure est-elle présentée comme une mère de famille (en couple avec trois enfants) alors que Gilles n’est présenté que comme un militant sans attache familiale ? N’est-ce pas un traitement différent qui est réservé aux candidats hommes et femmes, dans la présentation ?

Il explique qu’il a deux filles et qu’il reconnaît que le traitement des candidats sur la situation familiale n’est pas égalitaire et convient qu’il faudrait y remédier

La question est légitime mais les candidats ont eux-mêmes rédigé leur description : il y a donc une nécessité de prise de conscience mais aucune malveillance à voir dans ces différences entre les informations données pour l’un et l’autre des candidats.

La parole passe

Lilian explique qu’un des axes principaux de cette campagne devrait être celui de la démocratie participative. En effet, c’est un des éléments à porter au centre du programme. Il insiste sur la nécessité d’une démocratie directe, fondée sur des référendums notamment, lesquels devraient être respectés.

C’est effectivement un axe important et qui est prévu dans le programme donc sera de fait au cœur de la campagne.

La parole passe

Aline se présente. Elle vient de Bouffémont et travaille dans le secteur des ONG. Peu politisée initialement, elle a été séduite par la dynamique portée par et la FI, dans le cadre des élections présidentielles. Elle voudrait comprendre qu’elles ont été les difficultés rencontrées pour construire des alliances pour les élections législatives et comprendre pourquoi aucune n’a abouti.

Jean-François se présente comme un ancien électeur communiste bien que jamais encarté et propose de livrer son analyse sur les alliances, tout en insistant sur le faire que cette analyse est située et personnelle. Il considère que le PCF se retrouve aujourd’hui dans une impasse stratégique, laquelle résulte de ses atermoiements entre alliance avec le Parti socialiste (PS) et le FG. Selon lui, le PCF paye aujourd’hui ce refus de choisir. Le PCF a désormais choisi de rejoindre la « gauche framboise » et de répondre ainsi aux appels du pied de Benoît Hamon, qui a annoncé la création d’un mouvement transversal. Pour en revenir aux alliances avortées, le PCF en demandait trop. Sur la circonscription par exemple, les demandes portaient sur plusieurs circonscriptions en même temps. Ces demandes agressives ont été perçues en réunion, par les membres de la FI, comme un refus de réellement discuter. En ce qui concerne EELV, les négociations étaient tout aussi farfelues. La candidate d’EELV pour la 7e circonscription du Val d’Oise – résidant à Groslay – demandais à ce que la retire son binôme sur la 9e circonscription, en échange de quoi la candidate d’EELV réfléchirait à éventuellement retirer sa candidature sur la 7e mais ce n’était pas sûr, sachant que son suppléant s’y opposait. D’un point de vue global, ces négociations étaient fatalement vouées à l’échec ne serait- ce que parce que la s’est construite sur le refus des arrangements d’appareil et la fin des « carabistouilles » électorales.

Concernant la mentalité d’EELV, Gilles propose d’expliquer les problèmes rencontrés dans le cadre du collectif contre le projet Europacity. Il a toujours milité pour l’union des différentes forces politiques au sein de ce collectif mais s’est heurté aux autres partis et mouvements, les écologistes notamment, lesquels œuvraient pour la division, tenant celle-ci pour un signe de vitalité. Par ailleurs, il a été assez écœuré par les négociations incessantes portant sur des questions d’argent, au détriment des actions de terrain.

La parole passe

Benjamin se présente comme un habitant de Groslay et « transfuge » du PS assumé mais également comme un membre du Discord insoumis. Il pose une question quant à l’attitude à observer sur le terrain, face aux autres candidats ou leurs militants/sympathisants.

Il faut ignorer les provocations

Elle explique que nous avons été continuellement diabolisés et continuerons à l’être durant cette seconde campagne et qu’il faudra faire avec.

Il revient sur le problème du tract du PCF imprimé avec la photo de et le logo de la et sur le symbole envoyé au travers de ce faux tract. Son analyse rejoint les précédentes discussions sur l’alliance manquée avec le PCF mais également sur le double-jeu mené par eux. Il poursuit sur la diabolisation, expliquant qu’elle s’estompera peut-être en fonction des scores réalisés, comme cela a été le cas lors du 1er tour des élections présidentielles mais qu’en cas d’échec, il fallait s’attendre à un opprobre massif.

Gilles rappelle que la campagne va être très courte et très dense puisqu’il nous reste 4 semaines. Il faut s’appuyer sur les scores de et essayer de les maintenir mais surtout ne pas se tromper d’ennemi. Pour ce faire, il convient d’ignorer les autres candidats de gauche et se concentrer sur ceux de droite et notamment sur Jerôme Chartier, « porte-flingue » de François Fillon. Notre objectif est de battre le député sortant. Il va falloir, pour cela, résister à la pression médiatique et lui répondre pied à pied. Nous avons montré, durant la campagne présidentielle, que nous étions des gens têtus et intransigeants et il faut continuer en ce sens.

La parole passe

Elle se présente comme une habitante de Domont, anciennement sarcelloise. Son intervention porte sur l’enracinement local de la campagne qui lui semble nécessaire pour toucher les milieux populaires, partiellement mobilisés par . Pour cela, il propose deux thèmes qu’il lui semble nécessaire de décliner du programme national vers l’échelle locale : L’emploi Le logement social : sachant que nombre de communes de la circonscription ne respectent pas les 25% de logements sociaux prévus par la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) et cela montre bien le refus de voir des personnes des milieux populaires s’installer dans cette zone. Elle regrette également qu’il n’y ait pas eu d’alliance avec le PCF.

Un autre point lui semble également particulièrement important dans le cadre de cette campagne parce qu’il est systématiquement mis de côté : le handicap. Elle évoque à ce sujet les problématiques d’accès rencontrées par de nombreuses personnes comme les

jeunes enfants qui ne peuvent pas fréquenter les écoles « ordinaires » non aménagées pour eux.

Le handicap était une priorité du programme - et du groupe d’appui et un des binômes présentés pour l’investiture aux élections législatives allait en ce sens. Concernant le logement social, il y voit également un enjeu majeur, notamment pour contrer le vote FN et explique que certains électeurs ont pu être remobilisés dans ces quartiers grâce à la couverture médiatique dont a bénéficié ce qui a aidé lors des diffusions de tracts. Il insiste sur un autre point qui lui semble importe et qui est celui du vieillissement et notamment la problématique des EHPAD. Il invite les participants et les militants à rester « zen » sur le terrain avec les militants et les électeurs de gauche et notamment ceux du PCF car une mobilité des voix en notre faveur est toujours possible.

Il conseille d’ignorer les autres candidatures de gauche mais en insistant sur la prééminence de notre programme - comme étant le premier programme de la gauche en termes d’antériorité comme de contenu. Il faut insister dessus pour discréditer les autres.

Il souhaite préciser sa précédente question dans le sens des discussions. Son interrogation porte principalement sur la manière dont il faut se positionner sur le spectre de la gauche traditionnelle.

Jean-Philippe explique qu’il s’est mis en « en marche » récemment après des années de refus des politiques parce qu’il est révolté par la marche arrière prévu par Emmanuel Macron (EM). Selon lui, l’objectif principal des élections législatives est de faire barrage à EM et de lui refuser une majorité à l’Assemblée. Il demande cependant comment nous pouvons concrètement faire barrage sur le terrain, auprès des électeurs.

Justement en travaillant le terrain. Le barrage est possible en allant vers les gens, en faisant du porte-à-porte mais pour cela il faut que nous soyons nombreux et que nous travaillons en équipe.

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Camille se présente : elle a 25 ans et habite Montmorency. Elle propose une démarche locale et nationale pour les législatives en se plaçant systématiquement par rapport à EM pour faire barrage justement. Il faut faire de la pédagogie mais en étant un peu agressif pour démonter son discours systématiquement.

Il veut mettre un bémol à cet élan combattif, en expliquant que l’électeur lambda a tendance à aider le nouveau président et à lui octroyer une majorité à l’Assemblée. Il invite toutefois à redoubler d’efforts auprès des quartiers défavorisés pour convaincre les électeurs.

Alain est de Sarcelles et travaille dans le secteur de la recherche. Il a, à ce sujet, beaucoup travailler sur les questions de vieillissement et des EHPAD et propose, lui- aussi, d’en faire un axe important de la campagne. Ces questions autour des personnes âgées et de la santé sont aujourd’hui un enjeu majeur et suscite de nombreux problèmes : Celui de la prise en charge (coût, accès, disponibilité de l’offre de soin et de prise en charge) Celui de la financiarisation du secteur (recherche du profit et de la rentabilité) Pour lui, cette question est un véritable enjeu national et un enjeu de service public.

La parole passe

Il met en garde contre la valse des ordonnances qui se prépare dans les prochaines semaines et invite à commencer dès à présent, même si la nouvelle Assemblée n’est pas constituée, à décrypter ces ordonnances et à les expliquer, sur le terrain notamment.

Il ressort de ces échanges l’importance d’adopter une double perspective nationale et locale, dans le cadre de ces élections. Désormais il convient de discuter de l’organisation de la campagne et de l’articulation de ces enjeux. Nous devons définir « qui fait quoi », dans le cadre des groupes notamment. Avant toute chose, décidons dès à présent de la date de la réunion publique, un des événements centraux de cette campagne.

Vote pour définir la date d’une réunion de travail des groupes :

Vendredi 19 mai, à 20h : 18 « POUR » Samedi 20 mai, dans l’après-midi : 10 « POUR »

Gilles Monsillon présente sa directrice de campagne Pauline Vilain-Carlotti

Gilles V. ( ) est le référent pour le groupe communication et s’occupe actuellement du site Il est également co-administrateur de la page Facebook. Il explique que pour le moment le site est à l’état d’ébauche mais qu’il sera alimenté au fur et à mesure. En termes de contenu, il fait plusieurs propositions : Insérer des interviews (vidéo) des deux candidats Construire une partie programmatique tournée vers la nécessité de reconnecter le périurbain avec les quartiers périphériques, fondée sur un diagnostic territorial et une articulation des grands enjeux, aux échelles nationales (à partir de ) et locales. Plusieurs personnes proposent de venir en renfort du groupe communication dont : Jean-Philippe pour les réseaux sociaux ainsi que Gabriel et Benjamin qui invite à utiliser les ressources du Discord insoumis local et notamment ce qu’ils sont en train de faire sur le programme d’EM et du FN : Analysons Macron Analysons le FN Page facebook : https://www.facebook.com/lesinsoumisduvaldoise7eme/

Les besoins se concentrent sur les fonctions d’assesseurs et de délégués pour les jours de scrutin. Jean-François sera le référent pour ce groupe.

Il s’agit de trouver un local pour se réunir mais aussi comme espace de stockage et peut-être louer un camion, pour organiser une caravane, à l’image de ce qui avait été fait lors de la campagne présidentielle.

Ce groupe sera chargé dans un premier temps de réaliser un tract à la population avec des thèmes locaux articulant des thèmes du programme - . Il travaille en relation étroite avec celui d'animation et de la communication Michel L. sera le référent pour ce groupe :

Ce groupe est particulièrement important puisque la campagne est en partie autonome et qu’il faut trouver de l’argent. Pour le moment, il est prévu de collecter des dons en jouant sur la possibilité des réductions d’impôt à hauteur de 66% mais il est aussi question d’un prêt alloué par Ensemble. Néanmoins et bien que Jean-François soit le mandataire financier, il convient de définir un groupe chargé de gérer les budgets.

Ce groupe à comme fonction de coordonner, d’impulser les initiatives et de distribuer aux groupes les tâches en fonction des besoins. Il est au courant de l'actualité et propose aux candidats de participer aux manifestations où il faut être pour rendre visibles les candidats. Surtout il aide les groupes à se coordonner.

Le groupe Animation est pour l’instant composé de :

Benjamin Zaslavsky Lilian Van de Cauter Camille Harang Laëtitia Vieira Régis Lesaulnier. Jean-Emmanuel Martin Gilles M Marie Laure Olmeta Jean-François

Il rappelle que cette campagne sera une course de vitesse sur 4 semaines et qu’il faut très rapidement définir « où on va » et « pour quoi faire »

Dans ce contexte, la camionnette pour organiser une caravane est particulièrement souhaitable puisqu’elle permet une grande mobilité et une grande visibilité en peu de temps et permettrait également de régler la problématique du local.

Louer un camion-utilitaire : Où Pour combien de temps Abandonner idée du local ?

Quelle date ? Qui s’exprime ? Quel objectif ? Où ?

Le 1er juin est défini comme date la plus intéressante pour la tenue de la réunion publique en soirée (nous cherchons une salle adaptée) Les candidats interviendront et donnerons la parole aux participants pour faire remonter les attentes et les espoirs. Gilles M. propose de l’intituler « Vers les jours heureux » L’objectif est de rassembler avec toutefois l’idée que les réunions publiques s’adressent d’abord aux personnes déjà mobilisées. Mais elle peut néanmoins servir en termes de visibilité Le lieu reste à définir.