Les Monuments Publics De Raymond Delamarre (1890-1986) Béatrice Haurie
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
Les monuments publics de Raymond Delamarre (1890-1986) Béatrice Haurie To cite this version: Béatrice Haurie. Les monuments publics de Raymond Delamarre (1890-1986). Art et histoire de l’art. Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2012. Français. NNT : 2012TOU20011. tel-00745740 HAL Id: tel-00745740 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00745740 Submitted on 12 Nov 2012 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. UNIVERSITE TOULOUSE II UFR D’HISTOIRE DE L’ART CONTEMPORAIN LES MONUMENTS PUBLICS DE RAYMOND DELAMARRE (1890-1986) THÈSE POUR LE DOCTORAT Présentée et soutenue publiquement le Vendredi 29 juin 2012 PAR BEATRICE HAURIE [email protected] VOLUME I Remerciements - Avant-propos - Avertissement - Introduction. Fiches : rapport à la référence et à la modernité - Vie, milieu, entourage de R. Delamarre. Rapport au passé et à son temps. Conclusion : le renouveau classique chez un ‘primitif’ national : un nationalisme artistique ? Titre attribué : Figure allégorique du monument commémoratif à Charles Jonnart à Saint-Omer, 1937, Fonds National d'Art Contemporain, achat à l’artiste en 1952, localisation non identifiée { Madame le Professeur Luce BARLANGUE, Directrice { Monsieur le Professeur Dominique DUSSOL Membres du jury de la thèse { Monsieur le Professeur Jean-François PINCHON { Monsieur le Maître de conférences Jean NAYROLLES 1 VOLUME I : FICHES Remerciements ................................................................................................................................... 3 Avant-propos ..................................................................................................................................... 6 Avertissement................................................................................................................................... 23 Introduction ...................................................................................................................25 I - Les critiques de Raymond Delamarre et leurs tendances ................................................................25 II - Un travail très long depuis les années 20 aux années 60 ................................................................31 PREMIERE PARTIE : RAPPORT A LA REFERENCE ET A LA MODERNITE ............38 A) Chapitre I : Raymond Delamarre, sa vie, son milieu, son entourage................................... 38 Repères biographiques .................................................................................................................... 38 B) Chapitre II : Raymond Delamarre et le rapport au passé .................................................... 53 1 - Une vie sous le signe de l’antique............................................................................................... 53 2 - Le Moyen Age ............................................................................................................................ 59 3 - Les modèles de la Renaissance à Bourdelle ............................................................................... 66 4 - R. Delamarre, sculpteur Art déco................................................................................................ 67 5 - Typologie : les techniques de sculpture de R. Delamarre........................................................... 83 6 - Typologie et iconographie : les animaux de R. Delamarre ........................................................ 90 DEUXIEME PARTIE : R. DELAMARRE ET SON TEMPS ................................................... 97 1 - Le rapport à l’espace et à la monumentalité ............................................................................... 97 a) - Le goût de la monumentalité dans la statuaire de l’entre-deux-guerres....................................................... 97 b) - Les liens avérés de R. Delamarre avec d’importants architectes ............................................................. 100 2 - R. Delamarre et le renouveau de l’art sacré.............................................................................. 107 3 - Raymond Escholier : un rendez-vous manqué?........................................................................ 113 4 - Formes : constantes chez Raymond Delamarre et Pierre Traverse........................................... 117 5 - La sculpture d’édition .............................................................................................................. .121 CONCLUSION : L’ORIGINALITE DE R. DELAMARRE ................................................... 124 Le renouveau classique chez un ‘primitif’ national : un nationalisme artistique ? ........................ 124 2 Remerciements Je voudrais en premier lieu dire tout ce que je dois à mes parents qui m’ont donné le meilleur de moi- même. Je leur dédie ce travail ‘jusqu’à pas d’heures’. Les quatre dernières années ont été intenses, exigeantes et stressantes. J’ai eu la chance de les partager avec mon fils Louis qui a appris à connaître R. Delamarre, ainsi que tous les miens. Mes plus vifs remerciements s’adressent à ma directrice de thèse, Luce Barlangue, qui m’a inspiré ce sujet. Cette entreprise de longue haleine est aussi la sienne. Elle a été grandement facilitée par sa souplesse, sa confiance et son soutien qui resteront toujours mon exemple. Je souhaite exprimer ma plus profonde gratitude à Béatrice Delamarre-Levard, fille de Raymond Delamarre et à son frère Jean-François qui m’ont accueillie chez eux et ouvert les archives de leur père grand prix de Rome de sculpture. Ce n’est jamais en vain que j’ai fait appel à leur aide et à leur précieuse documentation. Je tiens également à remercier Hélène Martel-Greiner qui m’offrit l’opportunité de participer à la première monographie de référence sur le sculpteur, sur ses monuments publics, à l’occasion de l’exposition qu’elle organisa dans sa galerie à Paris en 2007. Je suis très reconnaissante à Raymond Cabaré qui m’a encouragée à poursuivre mes efforts de manière indéfectible et quotidienne, à Gérard Lanvin et à Hélène Marraud dont l’amitié et la confiance dans mes travaux ne s’émoussèrent jamais. J’exprime toute ma gratitude à Hélène Guéné et François Loyer qui m’ont indiqué des pistes essentielles à explorer et à Jeanne-Marie Fritz pour avoir consacré amicalement ses soirées à mes cartes. Jacqueline Lalande-Biscontin m’a aussi aidée avec beaucoup de générosité. Je souhaite remercier Christiane Filloles qui a vérifié avec sa gentillesse coutumière mes recherches aux Archives de Paris et Martine Rouche qui a laissé à Raymond Escholier, le plus connu des Mirapiciens, le soin de nous avoir fait nous rencontrer. Ce travail doit beaucoup aux relectures sévères, mais constructives et justes, de Marie-Laure Crosnier Leconte et de Françoise Caussé. Nos recherches n’auraient pu être menées à bien sans l’efficacité des personnels d’institutions publiques et particulièrement celui de la conservation des Archives Nationales où l’aide de Sylvie Le Goëdec fut importante. Je tiens également à remercier Vincent Tuchais aux Archives de Paris, Christine Messmer pour ses recherches à la bibliothèque du Saulchoir et Elisabeth Lemaire, à laquelle je suis redevable de 3 nombreux renseignements. Je souhaite aussi remercier Thierry d’Erceville pour sa hauteur critique et toutes celles et ceux – archivistes, attachés de conservation, bibliothécaires, chargés d’études documentaires, collectionneurs, conservateurs, historiens, marchands - qui m’ont apporté leur concours à différentes étapes de mon cheminement universitaire : Sylvie Bardou, Laurence Bardury, Danièle Baron, Maria Teresa de Bellis, Laurence Berthon, Père Jean-Jacques Boëglin, Edouard Bouyé, Marie Bouchard, Philippe Camin, Frédéric Chappey, Cécile Coutin, Amandine Delcourt, Dominique Dendraël, René Dorel, Véronique Dujardin, Cécile Fabris, Valérie Fours, Jean-René Gaborit, Dominique Gagneux, Annie Afsaneh-Girardot, Xavier-Philippe Guiochon, Laure Haberschill, Nadège Horner, Daniel Imbert, Jérôme Kerambloch, Marilena Kounriati, Sophie Krebs, Chantal Lachkar, Philippe Laporte, Dominique Lebeltel, René Lefebvre, Agnès Masson, Véronique Mattiussi, Carole de Merssemann, Juliette Munez, Olivier Muth, Jean-Daniel Pariset, Alain Pasquier, Yannick Pellegrin, Gersende Piernas, Carole Pilarz, Paul-Louis Rinuy, Véronique Rustici, Emmanuel Schwartz, Daniel Sicard, Bernard Sonnet, Claude Wolf. Je remercie également tous les photographes qui ont permis la réalisation de ce travail, particulièrement : Père Gaby Allain et Monsieur Dagouret (‘Calvaire’ de Saint-Félix de Nantes), Jean-Claude et Daphné du Barry (‘Monument du Séminaire Français de Rome’), Aimé et Nicole Bovigny (‘Sacré-Cœur’ de Dijon), Sylvie-Blottière-Derrien (‘Monument Jean Cras’ à Brest), Muriel Bourasseau (Vierge de Saint-Amand-sur-Sèvre), Jean-François Caudière (diverses œuvres à Paris), Daniel Cabaré (‘Monument à la barbarie nazie’, Valence), Emilie Cabaré (’Monument Vetter’ à Lyon), Raymond Cabaré (‘Béatitudes’ et ‘Monument aux morts’ de Saint-Martin de Ré), Charles-Antoine Collin (‘David’ au stade de Charleville-Mézières), Olivier