Histoire De La Gaule

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Histoire De La Gaule HISTOIRE DE LA GAULE TOME IV LE GOUVERNEMENT DE ROME CAMILLE JULLIAN PARIS. — 1913 CHAPITRE I. — L’EMPIRE DE ROME ET DE CÉSAR I. L’Empire romain. — II. La souveraineté de Rome. — III. La souveraineté de César. — IV. Maintien des traditions nationales. — V. Du mélange entre vainqueurs et vaincus. — VI. La Gaule fidèle à César. — VII. Les Gaulois dans l’armée de César. — VIII. Le gouvernement de César en Gaule. — IX. Les desseins de Jules César. CHAPITRE II. — LES ROMAINS À LYON ; AUGUSTE ET AGRIPPA I. Fondation des colonies de Lyon et d’Augst. — II. Munatius Plancus, proconsul en Gaule. — III. Auguste et Agrippa. — IV. Guerres de police générale. — V. Premières transformations politiques. — VI. Premières réformes matérielles. — VII. L’autel de Rome et d’Auguste. CHAPITRE III. — DRUSUS, GERMANICUS, ARMINIUS I. La Gaule dans l’Empire romain. — II. La conquête du Danube. — III. La défensive sur le Rhin au temps d’Agrippa. — IV. Drusus et le plus grand Empire. — V. La marche germanique. — VI. La mort de Drusus. — VII. La grande campagne de Germanie. — VIII. Erreurs d’Auguste en Germanie. — IX. Arminius. — X. Le désastre de Varus. — XI. Arminius s’arrête au Rhin. — XII. Germanicus. — XIII. Campagnes de revanche sous Germanicus. — XIV. Les provinces romaines de Germanie. — XV. Les armées romaines du Rhin. — XVI. La dislocation de la Germanie indépendante. — XVII. Rapports de Rome avec la Germanie. — XVIII. Conséquences de la politique d’abstention. CHAPITRE IV. — DE TIBÈRE À NÉRON : RÉVEIL DE LA PROVINCE I. Tibère ; révolte de cités gauloises. — II. Les folies de Caligula. — III. Claude ; conquête de la Bretagne. — IV. Claude favorise la Gaule. — V. Néron ; progrès de l’esprit provincial. — VI. L’insurrection de Vindex. CHAPITRE V. — L’EMPIRE DES GAULES I. La Gaule triomphe avec Galba. — II. L’armée du Rhin proclame Vitellius. — III. L’armée de Vitellius traverse la Gaule. — IV. Vitellius à Lyon. — V. Marice, prophète des Gaules. — VI. L’armée du Rhin en Italie. — VII. L’anarchie et l’incendie du Capitole. — VIII. Le complot national en Gaule. — IX. La révolte de Civilis et des Bataves. — X. Restauration de l’Empire romain. — XI. La proclamation de l’Empire des Gaules. — XII. L’Empire germain de Civilis. — XIII. L’assemblée de Reims. — XIV. La fin de l’Empire des Gaules. — XV. La paix avec la Germanie. — XVI. Causes du triomphe de l’Empire romain. CHAPITRE VI. — L’ÉTAT ROMAIN I. Nature de l’autorité impériale. — II. Moyens d’action du despotisme. — III. Les cadres du peuple romain : gentes et tribus. — IV. Droits du citoyen romain. — V. Le nom latin. — VI. Le droit italique. — VII. Les différents statuts des sujets. — VIII. Unification des statuts provinciaux. — IX. L’accès au droit de cité. — X. La cité restreinte ; sa suppression. — XI. Les citoyens romains perdent leur privilège. — XII. Rome, patrie unique. — XIII. Honneurs et privilèges de cités. — XIV. Classes et ordres de noblesse. CHAPITRE VII. — DROITS ET CHARGES I. Du droit de coalition entre les cités. — II. Du droit d’armes et de remparts. — III. Du droit d’entente entre les hommes. — IV. Droit romain et droit celtique. — V. Langue, calendrier, poids et mesures, monnaies. — VI. Droit criminel. — VII. Police de sûreté générale. — VIII. Le service militaire. — IX. Les impôts. — X. Du poids des dépenses publiques. CHAPITRE VIII. — LA CITÉ I. Les différentes formes de sociétés. — II. La Gaule soumise au régime municipal. — III. Le territoire municipal. — IV. Noms de peuples et noms de villes. — V. Les lois des cités. — VI. Le peuple et son assemblée. — VII. L’aristocratie locale gouverne la cité. — VIII. Attributions des décurions. — IX. Magistrats. — X. Prêtres. — XI. Charges municipales ou munera. — XII. L’administration du territoire : pagi et vici. — XIII. Des finances municipales. — XIV. L’État et la cité. — XV. L’esprit municipal. CHAPITRE IX. — LA FAMILLE ET LE DOMAINE I. Progrès de la vie familiale. — II. De l’organisation de la famille. — III. Les esclaves. — IV. Les affranchis. — V. Le domaine. — VI. Diverses espèces de propriétaires. — VII. Le domaine en face des pouvoirs publics. — VIII. Ce qui fait contrepoids aux grands domaines. CHAPITRE X. — LE COLLÈGE I. Importance du collège à la fin du monde antique. — II. Le collège tient de la cité et de la famille. — III. Le collège par rapport à l’État. — IV. Rôle municipal du collège. — V. Conventus de citoyens romains ; synagogues. — VI. Les églises chrétiennes. — VII. Sectes philosophiques. Le collège et l’idéal nouveau. CHAPITRE XI. — LA PROVINCE I. La Gaule, organe régional. — II. Divisions provinciales en Gaule. — III. Les gouverneurs. — IV. Les intendants. — V. Le conseil et le prêtre de la Narbonnaise. — VI. Le conseil des Trois Gaules : les précédents. — VII. Les panégyries du Confluent. — VIII. L’organisation du conseil. — IX. Rôle politique du conseil. — X. Petites assemblées régionales. — XI. Persistance de la nationalité gauloise. CHAPITRE XII. — LE SIÈCLE DE LA PAIX ROMAINE I. Les dangers de l’Empire. — II. Vespasien ; nouveau caractère du pouvoir impérial. — III. Occupation de la Souabe. — IV. L’ère des Antonins. — V. Trajan et les nouvelles conquêtes. — VI. Les voyages d’Hadrien. — VII. Antonin le Pieux. — VIII. L’Empire ouvert aux Barbares. — IX. Signes de décadence. — X. Mythologie classique et dieux orientaux. — XI. Les premiers Chrétiens de Gaule. — XII. Des causes de la persécution. — XIII. Le martyre des Lyonnais. — XIV. Mort de Marc-Aurèle. CHAPITRE XIII. — LES SÉVÈRES I. Désordres sous Commode. — II. Saint Irénée. — III. La lutte entre les prétendants. — IV. Les désastres de Lyon. — V. La discipline de l’Empire sous Septime Sévère. — VI. Traces de traditions celtiques. — VII. La cité donnée à tout l’Empire — VIII. Nouvelles dénominations municipales en Gaule. — IX. Paix sociale et travail matériel. — X. Alexandre Sévère. CHAPITRE XIV. — L’EMPIRE EN DANGER I. Transformations du monde germanique. — II. Caractère des nouvelles invasions. — III. Maximin en Germanie. — IV. Restauration de l’autorité sénatoriale. — V. Les progrès de l’aristocratie foncière. — VI. Le millénaire de Rome. — VII. Les missionnaires chrétiens en Gaule. — VIII. La persécution de Decius. — IX. Déchirement de l’Empire sous Gallien. CHAPITRE XV. — LES EMPEREURS GALLO-ROMAINS I. De l’origine de l’Empire romain des Gaules. — II. Des causes de cet Empire. — III. Maintien de l’unité romaine. — IV. Gouvernement de Postume. — V. Victorinus et Lélianus. — VI. Victoria. — VII. Tetricus. — VIII. Le désastre d’Autun. CHAPITRE XVI. — LA RESTAURATION I. La fin de Tetricus. — II. Réformes d’Aurélien. — III. La grande invasion de 276. — IV. Misères matérielles. — V. Nouveaux progrès de l’aristocratie foncière. — VI. Probus délivre la Gaule. — VII. L’œuvre de Probus. — VIII. Dernières convulsions. — IX. Des causes du salut de l’Empire. CHAPITRE I. — L’EMPIRE DE ROME ET DE CÉSAR. I. — L’EMPIRE ROMAIN. L’État romain, dont la Gaule faisait partie, était devenu, au temps de César, le plus vaste que l’humanité eût encore connu : des empires qui avaient autrefois grandi parmi les hommes, aucun ne s’était efforcé avec une énergie plus tenace de régner sur toutes les terres et de grouper toutes les nations. Cette idée d’un empire universel était fort ancienne : l’origine s’en perdait dans les mystères de l’histoire primitive. Les temps des Ligures et peut-être, auparavant, ceux de la pierre polie et des cavernes même, avaient vu des millions d’hommes réunis par une langue commune et des institutions semblables. Hercule, Bacchus, Jason, les grands voyageurs de la mythologie hellénique, sont sans doute des souvenirs gravés dans l’imagination des peuples par des héros partis pour de lointaines conquêtes1. Si belle, si aimée que fût jadis la cité, elle ne resta jamais la seule forme de l’idéal politique. Au-dessus de la patrie municipale, de ses orgueils ou de ses égoïsmes, on laissa flotter des images d’empire, rêves de gloire chez les chefs, de fraternité chez les sages et les poètes. Dans les royaumes de l’Orient, dans les bourgeoisies marchandes de la Méditerranée, dans les peuplades barbares de l’Occident, partout il a existé des hommes qui ont voulu ou chanté des conquêtes mondiales : Carthage a eu ses Barcas, Rome ses Scipions, et la Gaule ses neveux d’Ambigat. Avec Cyrus en Asie2, avec Alexandre en Grèce3, ces images avaient pris corps ; et désormais le monde classique hésita, dans sa vie sociale, entre la tradition de la cité sainte et la majesté d’un empire souverain4. Rome, depuis l’époque de Scipion l’Africain jusqu’à celle de César, avait rendu toute sa force à l’idée d’empire. Jamais le mythe d’Hercule, conquérant universel, ne fut plus près de devenir une réalité. Le domaine de la ville italienne dépassait de beaucoup en étendue, en richesse, en variété, le royaume de Cyrus et celui d’Alexandre. Ils n’avaient compris que les terres de l’Orient et les rives extrêmes de la Méditerranée5. Rome possédait la meilleure partie de cet Orient, où elle se croyait l’héritière légitime du grand roi de Macédoine6 ; elle était seule maîtresse sur les bords de cette mer Méditerranée, dont les marchands et les poètes de la Grèce avaient fait le centre de l’activité humaine ; et, en outre, bien au delà de cette mer, César venait de conduire les légions du peuple romain dans les terres les plus lointaines de l’Occident et du Nord, sur les rivages de l’Océan, par lequel finit le monde7. 1 Cf. Justin, XLII, 3, 2 ; Tacite, Ann., III, 61 ; Hist., V, 5 ; etc. Je ne vise ici que l’un des éléments qui ont constitué leurs mythes. 2 Justin, I, 8, 1, pour ne pas remonter plus haut dans l’histoire des empires orientaux ; cf. Justin, I, 1, 5 ; Emilius Sura ap. Velleius, I, 6, 6. 3 Radet, La Déification d’Alexandre, 1895 (Revue des Universités du Midi) ; Kampers, Alexander der Grosse, 1901 (Gœrres-Gesellschaft).
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