PREFET DE LA SAVOIE

SECRETARIAT GENERAL DE L’ADMINISTRATION DEPARTEMENTALE [email protected]

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

NOVEMBRE 2013

PREFECTURE DE LA SAVOIE - CHATEAU DES DUCS DE SAVOIE - BP 1801 - 73018 CHAMBÉRY CEDEX STANDARD : 04.79.75.50.00 – TELECOPIE : 04.79.75.08.27 http:// www.savoie.gouv.fr . SOMMAIRE

PREFECTURE ...... 9 DIRECTION DE LA SECURITE INTERIEURE ET DE LA PROTECTION CIVILE...... 9 BUREAU DE LA SECURITE PUBLIQUE ET DE LA POLICE ADMINISTRATIVE ...... 9 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 9 Objet : Arrêté n° 2013/0120 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Stéphane VALLEE pour SOUND PAC SAS discothèque située le bout du Bourg 73260 les Avanchers Valmorel. .9 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 10 Objet : Arrêté n° 2013/0126 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de la Communauté d'Agglomération de Chambéry Métropole 106 allée des Blachères 73026 Chambéry;...... 10 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 11 Objet : Arrêté n° 2013/0156 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Laurent DUMONT "International Moquettes" situé 403 avenue du stade 73700 Bozel; ...... 11 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 11 Objet : Arrêté n° 2013/0157 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Pierre Yves MANIGLIER pour Maroquinerie de détail située 67 rue de la République 73200 Albertville;...... 11 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 12 Objet : Arrêté n° 2013/0158 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Nicolas LAMY ROSSET magasin Optic 37 rue Desserteaux 73700 Bourg Saint-Maurice; ...... 12 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 13 Objet : Arrêté n° 2013/0159 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Franck SEIFERT pour le Tabac presse "le Point à la ligne" 61 place du Commerce 73230 Saint-Alban-Leysse ;13 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 14 Objet : Arrêté n° 2013/0160 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Bernard GOUTTEFARDE Aix Traiteur Boucherie 620 Boulevard Lepic 73100 Aix-les-Bains;...... 14 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 15 Objet : Arrêté n° 2013/0161 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Eric MARAIS Hôtel Formule 1 situé ZA la Crouza 73800 Chignin ; ...... 15 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 16 Objet : Arrêté n° 2013/0162 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Slimane MAMECHE Commerce Steahoon 19 rue de Boigne 73000 Chambéry ; ...... 16 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 17 Objet : Arrêté n° 2013/0163 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Sébastien PALAU SARL Dépannage situé 115 chemin des Mottets 73400 Ugine ;...... 17 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 17 Objet : Arrêté n° 2013/0164 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Janique BILLAUD Carlance Esthétique situé 208 avenue du comte vert 73000 Chambéry; ...... 17 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 18 Objet : Arrêté n° 2013/0165 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Pascal BARBAROT Hôtel Restaurant Savoy Hôtel 25 rue Général Ferrié 73140 Saint-Michel-de-;... 18 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 19 Objet : Arrêté n° 2013/0166 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur André CHANVILLARD boulangerie située 177 les rives d'hyères 73000 Chambéry;...... 19 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 20 Objet : Arrêté n° 2013/0167 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Responsable Transavoie pour l'installation situés 926 A avenue de la Houille blanche 73000 Chambéry...... 20 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 21 Objet : Arrêté n° 2013/0168 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Olivier BRAISAZ SARL Action Sports 7 rue de la République 73500 ; ...... 21 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 22 Objet : Arrêté n° 2013/0169 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Christiane GENEVRAY Restaurant l'Altitude -chalet du Bollin 73320 Tignes;...... 22 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 23 Objet : Arrêté n° 2013/0170 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Henry Philippe SARL supérette Sherpa 1700 Centre commercial du club Hôtel 73550 Méribel Mottaret;...... 23 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 23 Objet : Arrêté n° 2013/0171 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jean-Marc COMPAIN pour le magasin Laser 13 Sports et Loisirs 236 rue de la Prairie 73420 Voglans;...... 23

1 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 24 Objet : Arrêté n° 2013/0172 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Paolina MATTANA Hôtel restaurant Auberge de Saint-Simond 73100 Aix-les-Bains;...... 24 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 25 Objet : Arrêté n° 2013/0174 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Barbara JUGLAIR restaurant la face nord centre commercial Amont 73210 la Plagne;...... 25 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 26 Objet : Arrêté n° 2013/0175 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président du conseil syndical des copropriétaires de l'immeuble parking Perrière 73214 Aime ;...... 26 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 27 Objet : Arrêté n° 2013/0176 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Dylan NUIXE Club Méditerranée la Legettaz 73150 Val d'Isère ;...... 27 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 28 Objet : Arrêté n° 2013/0177 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur l'adjoint au maire d'Aix-les-Bains pour le parking de la Chaudanne situé rue de la Chaudanne 73100 Aix-les- Bains; ...... 28 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 29 Objet : Arrêté n° 2013/0182 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage route de Chambéry RN6 73490 la Ravoire;...... 29 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 30 Objet : Arrêté n° 2013/0184 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage autoroute A 43 73870 Saint-Julien-Montdenis;...... 30 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 30 Objet : Arrêté n° 2013/0185 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Didier PIJOLET salon de coiffure situé 8 rue du Casino 73100 Aix-les-Bains;...... 30 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 31 Objet : Arrêté n° 2013/0186 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Géraldine RAB parfumerie 4 rue d'Italie 73000 Chambéry...... 31 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 32 Objet : Arrêté n° 2013/0187 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Thierry PEYRAUD Opticien 1 rue de l'hôtel de ville 73330 Pont de Beauvoisin ;...... 32 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013...... 33 Objet : Arrêté n° 2013/0188 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Evelyne MARINEL Hôtel restaurant Marina Adelphia 215 boulevard Barrier 73100 Aix-les-Bains; ...... 33 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 34 Objet : Arrêté n° 2013/0189 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Hélène SERANE pour l'hôtel restaurant situé rue de Bellecôte 73120 Courchevel; ...... 34 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 35 Objet : Arrêté n° 2013/0190 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne Funitel "Péclet" Val Thorens 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 35 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 36 Objet : Arrêté n° 2013/0191 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne "le grand fond" Val Thorens 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 36 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 36 Objet : Arrêté n° 2013/0192 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Montana" Val-Thorens 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 36 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 37 Objet : Arrêté n° 2013/0193 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Forum" Val-Thorens 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 37 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 38 Objet : Arrêté n° 2013/0194 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Olympiade" Val-Thorens 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 38 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 39 Objet : Arrêté n° 2013/0195 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Lamine KEBABTI Pharmacie de la poste 14 avenue de Verdun 73100 Aix-les-Bains...... 39 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 40 Objet : Arrêté n° 2013/0196 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mesdames Laurence REMY-FINA et Jacqueline TARDY Pharmacie de Frontenex 11 rue de la mairie 73460 Frontenex.... 40

2 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 41 Objet : Arrêté n° 2013/0197 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Gérard EISEN Cré-or Bijouterie située 99 rue Saint Antoine 73300 Saint-Jean-de-Maurienne...... 41 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 42 Objet : Arrêté n° 2013/0198 portant avis défavorable d'autorisation de fonctionnement d'un système de vidéoprotection présenté par Monsieur le Dircteur de Trans fert route Savoie Conseil Général pour plusieurs installations situées sur les lieux suivants :...... 42 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 42 Objet : Arrêté n° 2013/0199 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 22 avenue des ducs de Savoie 73000 Chambéry...... 42 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 43 Objet : Arrêté n° 2013/0200 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 361 boulevard Président Wilson 73100 Aix-les-Bains. 43 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 44 Objet : Arrêté n° 2013/0201 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 206 avenue du 8 mai 1945 73300 Saint-Jean-de- Maurienne...... 44 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 44 Objet : Arrêté n° 2013/0202 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Agnès CALDERINI Tabac presse 22 square Franchet d'Esperey 73000 Chambéry...... 44 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 45 Objet : Arrêté n° 2013/0203 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour M. Laurent GOLEK Responsable Sécurité Carrefour Chamnord situé 1097 avenue des Landiers 73000 Chambéry ;...... 45 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 46 Objet : Arrêté n° 2013/0205 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Yohann GUYARD Magasin LIDL situé 8 rue du 8 mai 1945 73300 Saint-Jean-de-Maurienne;...... 46 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 47 Objet : Arrêté n° 2013/0206 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jean-Marcel FRANKEL SARL FRANKEL 2 - 4 avenue de Marlioz 73100 Aix-les-Bains...... 47 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 48 Objet : Arrêté n° 2013/0207 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque Val Thorens la Galerie 73440 Saint-Martin-de-Belleville...... 48 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 49 Objet : Arrêté n° 2013/0208 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé du Crédit Mutuel 1 place du Revard 73100 Aix-les-Bains...... 49 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 50 Objet : Arrêté n° 2013/0209 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque 96 rue de la République 73200 Albertville...... 50 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 50 Objet : Arrêté n° 2013/0210 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque Courchevel Centre la Croisette 73121 Saint-Bon Courchevel.... 50 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 51 Objet : Arrêté n° 2013/0211 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de banque 76 avenue du comte vert BP 809 73800 Chambéry...... 51 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 52 Objet : Arrêté n° 2013/0212 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection par M le Directeur de l'établissement voyageurs Alpes SNCF Chambéry - 7 place Sommeiller 73500 Modane...... 52 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 53 Objet : Arrêté n° 2013/0213 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage autoroute a 41 Drumettaz Clarafond 73420...... 53 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 54 Objet : Arrêté n° 2013/0219 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Muriel MILLET-MARET "Royal kids" les servages nord 73420 Voglans;...... 54 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 55 Objet : Arrêté n° 2013/0220 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jacques PLASSE SARL située 5 498 rue centrale Galion 73000 Bassens;...... 55 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 56 Objet : Arrêté n° 2013/0221 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Laurence APERT Snow presse -Immeuble résidence Moriond Courchevel 1650 73120 Saint-Bon-Tarentaise; ...56

3 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 56 Objet : Arrêté n°2013/0222 portant autorisation pour le renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme le maire de Villarembert piscine du Corbier immeuble Charvin 73300 Villarembert;...... 56 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 57 Objet : Arrêté n° 2013/0223 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située ZA Langon 73540 la Bâthie...... 57 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 58 Objet : Arrêté n° 2013/0224 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située rue Ambroise Croizat 73400 Ugine...... 58 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 59 Objet : Arrêté n° 2013/0225 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située 147 route du Grand Arc 73200 Gilly-sur-Isère...... 59 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 60 Objet : Arrêté n° 2013/0226 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Commandant Chef du SPAF Modane - Police des frontières 1 - 3 rue Sommeiller 73500 Modane;...... 60 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 61 Objet : Arrêté n° 2013/0227 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Christian CATHELIN Union des syndicats de copropriétaires et propriétaires de Plagne centre SOGIMALP pour un périmètre vidéoprotégé situé sur Macôt la Plagne Aime...... 61 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 62 Objet : Arrêté n° 2013/0228 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Ludovic BLANC Hôtel les Ancolies situé : route du Grand Mont 73270 Beaufort...... 62 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 62 Objet : Arrêté n° 2013/0229 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de Banque 763 place de l'hôtel de ville 73000 Chambéry; ...... 62 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 63 Objet : Arrêté n° 2013/0230 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon pour un périmètre situé à Courchevel 1650 Moriond suivant liste en annexe 73124 Saint- Bon-Tarentaise...... 63 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 64 Objet : Arrêté n° 2013/0231 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon pour un périmètre situé à Courchevel Village suivant liste en annexe 73124 Saint-Bon- Tarentaise...... 64 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 65 Objet : Arrêté n° 2013/0232 portant autorisation de renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon-Courchevel pour le parking Croisette rue de la Croisette Courchevel 1850 - 73124 Saint-Bon...... 65 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 66 Objet : Arrêté n° 2013/0234 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Mathieu CHARRIERE, pour la carrosserie DMC située avenue de la gare 73210 Landry...... 66 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 67 Objet : Arrêté n° 2013/0235 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Michaël MENDES SARL située 247 Galerie du Tichot le Val Claret 73320 Tignes...... 67 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 68 Objet : Arrêté n° 2013/0236 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Henrick BAUMANN JEANSEN le petit danois - Chalet le coin 73150 Val-d'Isère...... 68 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 68 Objet : Arrêté n° 2013/0237 portant autorisation pour le renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Laurence PEREIRA Hôtel Formule 1 situé :10 rue Paul Gidon 73000 Chambéry...... 68 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 69 Objet : Arrêté n° 2013/0238 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité territorial de la Banque Crédit lyonnais pour l'agence située : 159 route de Montrigon 73700 Bourg Saint-Maurice...... 69 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 70 Objet : Arrêté n° 2013/0239 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Liliane GONTHIER souvenirs Bar Tabac la Féclaz 73230 les Déserts...... 70 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 71 Objet : Arrêté n° 2013/0240 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Stéphane LEVAVASSEUR Magasin Ski m'plait Chalet Camille A 73450 Valmeinier;...... 71

4 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 72 Objet : Arrêté n° 2013/0242 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection à Monsieur le maire de Saint-Baldoph pour un périmètre -Rond-point centre village -Route d'Apremont RD 201 et Chemin du Verger 73190 Saint-Baldoph; ...... 72 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 73 Objet : Arrêté n° 2013/0243 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur David PRUD'HON situé le chalet les Allues route du Belevedère 73550 les Allues...... 73 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 74 Objet : Arrêté n° 2013/0246 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection à M. le maire de les Marches pour un périmètre situé vers lac de Saint André et Rond-point RD12 73800 les Marches...... 74 ARRETE DU 25 OCTOBRE 2013 ...... 74 Objet : Arrêté n° 2013/0291 portant autorisation d’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Pont de Beauvoisin pour un périmètre situé liste en annexe 73330 Le Pont de Beauvoisin; ...... 74 ARRETE DU 26 NOVEMBRE 2013...... 75 Objet : composition du comité technique départemental des services de la police nationale dans le département de la Savoie ...... 75 BUREAU DE LA SECURITE ROUTIERE ET DE LA POLICE DES RESEAUX ROUTIERS...... 76 ARRETE DU 4 NOVEMBRE 2013...... 76 Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants les véhicules de la Communauté de communes de la région d'Albertville (CoRAL)...... 76 ARRETE DU 13 NOVEMBRE 2013...... 76 Objet : A43 – Autoroute de la Maurienne – Exercice de sécurité des tunnels des Hurtieres et d’Aiguebelle ...... 76 ARRETE MODIFICATIF DU 15 NOVEMBRE 2013...... 77 Objet : Autoroute A43 – Travaux d’élargissement entre la Motte-Servolex et le Tunnel de l’Epine...... 77 ARRETE DU 18 NOVEMBRE 2013...... 77 Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants le véhicule de la coopérative laitière de Lescheraines ...... 77 ARRETE DU 21 NOVEMBRE 2013...... 78 Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants lMonts et Terroirs ...... 78 ARRETE DU 25 NOVEMBRE 2013...... 78 SECRETAIRIAT GENERAL ...... 79 POLE JURIDIQUE...... 79 ARRETE DU 18 NOVEMBRE 2013...... 79 Objet : portant retrait de l'arrêté interruptif de travaux pris au nom de l'Etat par le Maire de la commune de Sainte-Marie-de-Cuines ...... 79 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ...... 79 BUREAU DE LA REGLEMENTATION ...... 79 ARRETE DR/BR DU 4 NOVEMBRE 2013 ...... 79 objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Eric SUCHET gérant l’établissement « Le Montagnard » situé à SAINT MARTIN DE BELLEVILLE...... 79 ARRETE DR/BR DU 15 NOVEMBRE 2013 ...... 79 Objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à Mme Rejane BEAUDEL, épouse CONTOZ, gérant l’établissement « Le Mont de la Chambre » situé à Saint MARTIN DE BELLEVILLE ...... 79 ARRETE DR/BR DU 20 NOVEMBRE 2013 ...... 80 Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Jean-Philippe DUFOUR, exploitant l’établissement « Chez Michelon » situé à AIGUEBELETTE LE LAC ...... 80 ARRETE DR/BR DU 20 NOVEMBRE 2013 ...... 80 Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Pierre KOENIG exploitant l’établissement « La Voute » situé à MOUTIERS ...... 80 ARRETE DR/BR DU 20 NOVEMBRE 2013 ...... 80 Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à Mme Patricia PIRICK, épouse GRANGE, exploitant l’établissement « Restaurant Grange » situé à LE CHATEL ...... 80 ARRETE DU 22 NOVEMBRE 2013...... 80 Objet : portant création et mise en service d'une plateforme permanente pour aérodynes ultralégers motorisés sur la commune de Les Avanchers ...... 80 ARRETE DR/BR DU 29 NOVEMBRE 2013 ...... 81 objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Frédéric FARGEAS exploitant l’établissement « Bistronomique Chez Fred » situé à Valloire ...... 81

5 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 ARRETE DU 29 NOVEMBRE 2013...... 81 Objet : Portant agrément de Monsieur Guy MARTIN en qualité de garde chasse particulier...... 81 DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE LA DEMOCRATIE LOCALE...... 82 BUREAU DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES...... 82 ARRETE INTER PREFECTORAL N ° 2013296-0015 DU 23 OCTOBRE 2013 ...... 82 Objet: approuvant le retrait de la commune de Saint Ondras du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) du Guiers...... 82 ARRETE DU 31 OCTOBRE 2013...... 82 Objet: approuvant la modification des statuts de la communauté d'agglomération du lac du Bourget...... 82 SOUS-PREFECTURE D’ALBERTVILLE...... 84 ARRETE N°2013/63 SOUS -PREFECTURE D 'A LBERTVILLE DU 13 NOVEMBRE 2013 ...... 84 Objet : autorisant l'occupation temporaire de terrains sur le territoire de la commune de MOUTIERS dans le cadre du projet de déviation de la Route Nationale 90 en rive gauche de l'Isère à Montgalgan...... 84 ARRETE N ° 2013/83 SOUS -PREFECTURE D ’A LBERTVILLE DU 27 NOVEMBRE 2013 ...... 84 Objet : portant déclaration d’utilité publique du projet de réalisation d'un merlon de protection contre les éboulements rocheux dans le secteur de la Croix de la Serriaz sur le territoire de la commune de GRESY SUR ISERE...... 84 SOUS-PREFECTURE DE SAINT JEAN DE MAURIENNE ...... 84 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 1ER OCTOBRE 2013...... 84 Objet : portant création d’une servitude d’utilité publique sur fonds privés en vue de l’aménagement de la conduite forcée et de ses ouvrages annexes, pour la microcentrale hydroélectrique des Encombres, sur le territoire des communes de Saint-Michel-de-Maurienne et de Saint-Martin-la-Porte par le Syndicat Electricité Synergie Maurienne ...... 84 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 85 Objet : portant agrément de Mme Isabelle BOURDON en qualité de garde particulier...... 85 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 86 Objet : portant agrément de Mme Fernande CHARMET en qualité de garde particulier...... 86 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 86 Objet : portant agrément de Mme Fabienne COLONEL-BERTRAND en qualité de garde particulier ...... 86 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 87 Objet : portant agrément de Mme Sylvie COVAREL en qualité de garde particulier ...... 87 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 87 Objet : portant agrément de M. Renald DE PETRIS en qualité de garde particulier...... 87 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 87 Objet : portant agrément de Mme Nicole GAGNIERE en qualité de garde particulier...... 87 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 88 Objet : portant agrément de Mme Monique LANFREY en qualité de garde particulier...... 88 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE LE 5 NOVEMBRE 2013...... 88 Objet : portant agrément de Mme Danielle MARINI en qualité de garde particulier ...... 88 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 89 Objet : portant agrément de Mme Louise MARTI en qualité de garde particulier ...... 89 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 89 Objet : portant agrément de Mme Marie NICOLORO en qualité de garde particulier...... 89 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 89 Objet : portant agrément de Mme Marie-Colette RIBERT en qualité de garde particulier...... 89 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 90 Objet : portant agrément de Mme Michelle TURON en qualité de garde particulier ...... 90 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 90 Objet : portant agrément de Mme Sandrine ZANARDI en qualité de garde particulier...... 90 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 91 Objet : portant agrément de M. Jean-Marc ZUCCHIATTI en qualité de garde particulier...... 91 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 91 Objet : portant agrément de M. Philippe JUILLARD en qualité de garde particulier ...... 91 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 91 Objet : portant agrément de M. Georges BOROT en qualité de garde particulier...... 91 ARRETE SOUS -PREFECTURE DE SAINT -JEAN -DE -MAURIENNE DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 92 Objet : portant agrément de M. Gérard BAHRO en qualité de garde particulier ...... 92

6 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 93 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1076 DU 29 OCTOBRE 2013 ...... 93 Objet : Autorisant l'exploitation d'une installation de stockage de déchets inertes pris en application de l'article L 541-30-1 du code de l'environnement ...... 93 ARRETE DDT/SEEF N ° 2013-1136 DU 04 NOVEMBRE 2013...... 93 Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées ...... 93 ARRETE PREFECTORAL N ° 2013-1111 DU 05 NOVEMBRE 2013 ...... 94 Objet : portant MISE EN DEMEURE SCI ʺLes Cimes du Lac ʺ – commune de NOVALAISE enrochement des berges et obstruction du lit du ruisseau ʺLe Croc ʺ ...... 94 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1112 DU 05 NOVEMBRE 2013 ...... 95 Objet : portant MISE EN DEMEURE Société FONTAINE TP – commune de NOVALAISE enrochement des berges et obstruction du lit du ruisseau «Le Croc»...... 95 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1099 EN DATE DU 06 NOVEMBRE 2013...... 95 Objet : Autorisant des destructions par tir de grands cormorans durant la campagne 2013-2014...... 95 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1100 EN DATE DU 06 NOVEMBRE 2013...... 98 Objet : Autorisant des destructions individuelles de grands cormorans durant la campagne 2013-2014...... 98 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1101 DU 06 NOVEMBRE 2013 ...... 101 Objet : Autorisant l'exploitation d'une installation de stockage de déchets inertes pris en application de l'article L 541-30-1 du code de l'environnement ...... 101 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1105 DU 19 NOVEMBRE 2013...... 101 Objet : capture ou enlèvement, destruction et perturbation intentionnelle de spécimens d'espèces animales protégées, destruction, altération et dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées, et destruction et transplantation de Allium scorodoprasum (ail rocambole) et Tulipa raddii (Tulipa praecox - tulipe précoce) par la société Turin ferroviaire pour les travaux de reconnaissance à partir de la descenderie de Saint-Martin-La-Porte sur les communes de Saint-Julien-Montdenis et Saint-Martin- La-Porte ...... 101 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1113 DU 19 NOVEMBRE 2013...... 104 Objet : Fixant la liste des animaux classés nuisibles et les modalités de destruction à tir pour la période 2013- 2014 dans le département de la SAVOIE ...... 104 Modèle de demande d'autorisation individuelle de destruction à tir d'animaux nuisibles...... 106 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1124 DU 19 NOVEMBRE 2013...... 107 Objet : Fixant la liste des secteurs où la présence du castor d'Eurasie est avérée...... 107 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1161 EN DATE DU 21 NOVEMBRE 2013 ...... 107 Objet : portant application du régime forestier sur la commune de Coise Saint Jean Pied Gauthier...... 107 ARRETE PREFECTORAL DDT/SEEF N ° 2013-1162 EN DATE DU 21 NOVEMBRE 2013 ...... 107 Objet : portant application du régime forestier sur la commune de Bonvillard ...... 107 ARRETE DDT/SEEF N ° 2013-1176 DU 21 NOVEMBRE 2013...... 108 Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées ...... 108 ARRETE DDT/SEEF N ° 2013-1177 DU 21 NOVEMBRE 2013...... 109 Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées ...... 109 ARRETE PREFECTORAL DDT/SPADR 2013-1187 DU 22 NOVEMBRE 2013...... 109 Objet : portant liste des journaux habilités à recevoir les appels de candidatures de la société d'aménagement foncier et d'établissement rural Rhône-Alpes pour l'année 2014...... 109 ARRETE DDT/SPAT N °2013-1150 DU 28 NOVEMBRE 2013 ...... 110 Objet : Modification de la composition de la commission départementale de la consommation des espaces agricoles de la Savoie ...... 110 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE ET DE LA PROTECTION DES POPULATIONS ...... 110 ARRETE DDCSPP DU 17 OCTOBRE 2013 ...... 110 Objet : levant la déclaration d’infection de loque américaine dans le rucher n° 73000522 ...... 110 ARRETE DDCSPP DU 17 OCTOBRE 2013 ...... 110 Objet : levant la déclaration d’infection de loque américaine dans le rucher n° 73001296 ...... 110 ARRETE DDCSPP DU 15 NOVEMBRE 2013 ...... 110 Objet : portant mise sous surveillance d’un animal introduit illégalement sur le territoire français...... 110 ARRETE DDCSPP DU 15 NOVEMBRE 2013 ...... 111 Objet : portant mise sous surveillance d’une exploitation suspecte d’être infectée de tuberculose bovine...... 111 DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI...... 112 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/39 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 21 OCTOBRE 2013 ...... 112 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 112

7 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/41 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 4 NOVEMBRE 2013 ...... 113 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 113 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/42 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 8 NOVEMBRE 2013 ...... 113 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 113 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/43 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 8 NOVEMBRE 2013 ...... 114 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 114 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/44 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 8 NOVEMBRE 2013 ...... 114 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 114 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/45 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 8 NOVEMBRE 2013 ...... 115 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 115 RECEPISSE DE DECLARATION 2013/46 DE L ’U NITE TERRITORIALE DE LA SAVOIE DU 12 NOVEMBRE 2013 ...... 115 Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne...... 115 AGENCE REGIONALE DE SANTE ...... 116 A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2010, LES ACTES DE L’AGENCE REGIONALE DE SANTE RHONE- ALPES SONT PUBLIES DANS DES NUMEROS SPECIAUX DU RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION RHONE-ALPES : ...... 116 SITE INTERNET : WWW.RHONE-ALPES.PREF.GOUV.FR ...... 116 ARRETE PREFECTORAL DU 29 OCTOBRE 2013...... 116 Objet : portant modification de l’arrêté préfectoral du 5 mars 2001 relatif aux travaux de dérivation des eaux et à la création des périmètres de protection des captages de la Plate et de la Mollette – Commune d’UGINE...... 116 DIRECTION TERRITORIALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE LES SAVOIE ..... 116 ARRETE DTPJJ DU 5 NOVEMBRE 2013 ...... 116 Objet : portant renouvellement de l'habilitation justice du Service d’Assistance Educative en Milieu Ouvert (AEMO) à Chambéry , 89 avenue des Bernardines et géré par la Sauvegarde de l'Enfance et de l'Adolescence des Savoie...... 116 ARRETE DU 12 NOVEMBRE 2013...... 117 Objet : portant renouvellement de l'habilitation justice du Centre Scolaire Educatif situé à La Plantaz - à Saint Pierre d'Albigny et géré par l'Association Belle Etoile...... 117 ARRETE DDEJF/DTPJJ DU 21 NOVEMBRE 2013...... 118 Objet : portant tarification 2013 du Centre Technique Hôtelier « L'Arlequin », géré par l’Association Belle Etoile à Albertville, 6 rue Bugeaud ...... 118 ARRETE DDEJF/DTPJJ DU 21 NOVEMBRE 2013...... 119 Objet : portant tarification 2013 du Centre Scolaire Educatif « La Plantaz », géré par l’Association Belle Etoile à Albertville, 6 rue Bugeaud ...... 119

8 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

Les textes publiés peuvent être consultés dans leur intégralité auprès des services concernés

PREFECTURE DIRECTION DE LA SECURITE INTERIEURE ET DE LA PROTECTION CIVILE Bureau de la sécurité publique et de la police administrative

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0120 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Stéphane VALLEE pour SOUND PAC SAS discothèque située le bout du Bourg 73260 les Avanchers Valmorel.

Article 1er M VALLEE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 8 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

9 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0126 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de la Communauté d'Agglomération de Chambéry Métropole 106 allée des Blachères 73026 Chambéry;

Article 1er Monsieur le Président de la Communauté d'Agglomération de Chambéry Métropole est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 1 caméras intérieures et 7 caméras extérieures

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

10 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0156 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Laurent DUMONT "International Moquettes" situé 403 avenue du stade 73700 Bozel;

Article 1er Monsieur Laurent DUMONT est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0157 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Pierre Yves MANIGLIER pour Maroquinerie de détail située 67 rue de la République 73200 Albertville;

Article 1er Monsieur Pierre Yves MANIGLIER est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras intérieures

11 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0158 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Nicolas LAMY ROSSET magasin Optic 37 rue Desserteaux 73700 Bourg Saint-Maurice;

Article 1er Monsieur Nicolas LAMY ROSSET est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

12 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0159 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Franck SEIFERT pour le Tabac presse "le Point à la ligne" 61 place du Commerce 73230 Saint-Alban-Leysse ;

Article 1er Monsieur Franck SEIFERTest autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

13 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0160 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Bernard GOUTTEFARDE Aix Traiteur Boucherie 620 Boulevard Lepic 73100 Aix-les-Bains;

Article 1er Monsieur Bernard GOUTTEFARDE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

14 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0161 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Eric MARAIS Hôtel Formule 1 situé ZA la Crouza 73800 Chignin ;

Article 1er Monsieur Eric MARAIS est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

15 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0162 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Slimane MAMECHE Commerce Steahoon 19 rue de Boigne 73000 Chambéry ;

Article 1er Monsieur Slimane MAMECHE autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 1 caméra intérieure;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Marie BAVILLE

16 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0163 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Sébastien PALAU SARL Dépannage situé 115 chemin des Mottets 73400 Ugine ;

Article 1er Monsieur Sébastien PALAU autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0164 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Janique BILLAUD Carlance Esthétique situé 208 avenue du comte vert 73000 Chambéry;

Article 1er Madame Janique BILLAUD est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures;

17 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0165 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Pascal BARBAROT Hôtel Restaurant Savoy Hôtel 25 rue Général Ferrié 73140 Saint-Michel-de-Maurienne;

Article 1er Monsieur Pascal BARBAROT est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras extérieures; Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

18 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0166 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur André CHANVILLARD boulangerie située 177 les rives d'hyères 73000 Chambéry;

Article 1er Monsieur André CHANVILLARD est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

19 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0167 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Responsable Transavoie pour l'installation situés 926 A avenue de la Houille blanche 73000 Chambéry.

Article 1er Monsieur le Responsable est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

20 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0168 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Olivier BRAISAZ SARL Action Sports 7 rue de la République 73500 Modane;

Article 1er Monsieur Olivier BRAISAZ est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

21 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0169 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Christiane GENEVRAY Restaurant l'Altitude -chalet du Bollin 73320 Tignes;

Article 1er Mme Christiane GENEVRAY est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

22 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0170 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Henry Philippe SARL supérette Sherpa 1700 Centre commercial du club Hôtel 73550 Méribel Mottaret;

Article 1er Monsieur Henry Philippe est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0171 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jean-Marc COMPAIN pour le magasin Laser 13 Sports et Loisirs 236 rue de la Prairie 73420 Voglans;

Article 1er Monsieur Jean-Marc COMPAIN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 12 caméras intérieures

23 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0172 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Paolina MATTANA Hôtel restaurant Auberge de Saint-Simond 73100 Aix-les-Bains;

Article 1er Madame Paolina MATTANA est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 8 caméras extérieures. Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

24 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0174 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Barbara JUGLAIR restaurant la face nord centre commercial Amont 73210 la Plagne;

Article 1er Madame Barbara JUGLAIR est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures et 2 caméras extérieures. Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

25 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0175 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président du conseil syndical des copropriétaires de l'immeuble parking Perrière 73214 Aime ;

Article 1er Monsieur le Président est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures et 5 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

26 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0176 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Dylan NUIXE Club Méditerranée la Legettaz 73150 Val d'Isère ;

Article 1er Monsieur Dylan NUIXE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 34 caméras intérieures et 2 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

27 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0177 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur l'adjoint au maire d'Aix-les-Bains pour le parking de la Chaudanne situé rue de la Chaudanne 73100 Aix-les-Bains;

Article 1er Monsieur l'adjoint au maire d'Aix-les-Bains est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 17 caméras intérieures et 3 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

28 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0182 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage route de Chambéry RN6 73490 la Ravoire;

Article 1er Mme KPOZE est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

29 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0184 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage autoroute A 43 73870 Saint-Julien-Montdenis;

Article 1er Mme KPOZE est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0185 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Didier PIJOLET salon de coiffure situé 8 rue du Casino 73100 Aix-les-Bains;

Article 1er Monsieur Didier PIJOLET est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures.

30 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet SSigné : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0186 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Géraldine RAB parfumerie 4 rue d'Italie 73000 Chambéry.

Article 1er Madame Géraldine RAB est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures. Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

31 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0187 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Thierry PEYRAUD Opticien 1 rue de l'hôtel de ville 73330 Pont de Beauvoisin ;

Article 1er Monsieur Thierry PEYRAUD est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 1 caméras intérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

32 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0188 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Evelyne MARINEL Hôtel restaurant Marina Adelphia 215 boulevard Barrier 73100 Aix-les-Bains;

Article 1er Madame Evelyne MARINEL est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 4 caméras extérieures. Il est cependant précisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

33 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0189 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Hélène SERANE pour l'hôtel restaurant situé rue de Bellecôte 73120 Courchevel;

Article 1er Madame Hélène SERANE est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 17 caméras intérieures et 13 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

34 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0190 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne Funitel "Péclet" Val Thorens 73440 Saint-Martin-de- Belleville.

Article 1er M Janick BRUN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

35 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0191 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne "le grand fond" Val Thorens 73440 Saint-Martin-de- Belleville.

Article 1er M Janick BRUN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend :1 caméra intérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0192 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Montana" Val-Thorens 73440 Saint-Martin-de- Belleville.

Article 1er M Janick BRUN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

36 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend :1 caméra intérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0193 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Forum" Val-Thorens 73440 Saint-Martin-de- Belleville.

Article 1er M Janick BRUN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend :4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

37 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0194 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour la Société SETAM Téléphériques Tarentaise-Maurienne pour le "Olympiade" Val-Thorens 73440 Saint-Martin- de-Belleville.

Article 1er M Janick BRUN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend :3 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

38 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0195 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Lamine KEBABTI Pharmacie de la poste 14 avenue de Verdun 73100 Aix-les-Bains.

Article 1er M KEBABTI est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

39 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0196 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mesdames Laurence REMY-FINA et Jacqueline TARDY Pharmacie de Frontenex 11 rue de la mairie 73460 Frontenex.

Article 1er Mmes REMY-FINA et TARDY sont autorisées pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

40 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0197 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Gérard EISEN Cré-or Bijouterie située 99 rue Saint Antoine 73300 Saint-Jean-de-Maurienne.

Article 1er M EISEN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

41 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0198 portant avis défavorab le d'autorisation de fonctionnement d'un système de vidéoprotection présenté par Monsieur le Dircteur de Trans fert route Savoie Conseil Général pour plusieurs installations situées sur les lieux suivants :

Article 1er – Monsieur le Directeur de Transfert route Savoie Conseil général n'est pas autorisé , à mettre en oeuvre à l'adresse sus- indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, et annexé à la demande enregistrée sous le n° 2013/0198 pour 7 sites.

Article 2 – Le présent arrêté portant avis défavorable à cette demande d'autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la Préfecture. Il pourra faire l'objet d'un recours gracieux auprès du préfet de la Savoie, d'un recours hiérarchique auprès du Ministre de l'Intérieur, (DLPAJ) ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé.

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0199 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 22 avenue des ducs de Savoie 73000 Chambéry.

Article 1er Mme MERLE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

42 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0200 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 361 boulevard Président Wilson 73100 Aix-les-Bains.

Article 1er Mme MERLE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

43 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0201 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Marie-Laure MERLE SARL Mountain Silver Or en Cash 206 avenue du 8 mai 1945 73300 Saint-Jean-de-Maurienne.

Article 1er Mme MERLE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0202 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Agnès CALDERINI Tabac presse 22 square Franchet d'Esperey 73000 Chambéry.

Article 1er Madame Agnès CALDERINI est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures.

44 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0203 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour M. Laurent GOLEK Responsable Sécurité Carrefour Chamnord situé 1097 avenue des Landiers 73000 Chambéry ;

Article 1er Monsieur Laurent GOLEK est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 61 caméras intérieures et 16 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

45 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0205 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Yohann GUYARD Magasin LIDL situé 8 rue du 8 mai 1945 73300 Saint-Jean-de-Maurienne;

Article 1er Monsieur Yohann GUYARD est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 11 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

46 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0206 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jean-Marcel FRANKEL SARL FRANKEL 2 - 4 avenue de Marlioz 73100 Aix-les-Bains.

Article 1er Monsieur Jean-Marcel FRANKEL est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

47 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0207 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque Val Thorens la Galerie 73440 Saint-Martin-de-Belleville.

Article 1er Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

48 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0208 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé du Crédit Mutuel 1 place du Revard 73100 Aix-les-Bains.

Article 1er Monsieur le chargé de sécurité est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures et 1 caméra extérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

49 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0209 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque 96 rue de la République 73200 Albertville.

Article 1er Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures et 1 extérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0210 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque Courchevel Centre la Croisette 73121 Saint-Bon Courchevel.

Article 1er Monsieur le chargé de sécurité CIC lyonnaise de Banque est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures et 1 caméra extérieure.

50 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0211 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de banque 76 avenue du comte vert BP 809 73800 Chambéry.

Article 1er Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de banque est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures et 3 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

51 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0212 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection par M le Directeur de l'établissement voyageurs Alpes SNCF Chambéry - 7 place Sommeiller 73500 Modane.

Article 1er M le Directeur de l'établissement est autorisé pour une durée de deux ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméra intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

52 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des deux ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0213 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Amandine KPOZE Total Raffinage autoroute a 41 Drumettaz Clarafond 73420.

Article 1er Mme KPOZE est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures et 3 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

53 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0219 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Muriel MILLET- MARET "Royal kids" les servages nord 73420 Voglans;

Article 1er Mme Muriel MILLET-MARET est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

54 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0220 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Jacques PLASSE SARL située 5 498 rue centrale Galion 73000 Bassens;

Article 1er M. Jacques PLASSE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 1 caméra intérieure.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

55 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0221 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Mme Laurence APERT Snow presse -Immeuble résidence Moriond Courchevel 1650 73120 Saint-Bon-Tarentaise;

Article 1er Mme Laurence APERT est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 7 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n°2013/0222 portant autorisation pou r le renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour Mme le maire de Villarembert piscine du Corbier immeuble Charvin 73300 Villarembert;

Article 1er Mme le maire de Villarembert est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras extérieures.

56 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0223 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située ZA Langon 73540 la Bâthie.

Article 1er Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

57 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0224 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située rue Ambroise Croizat 73400 Ugine.

Article 1er Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

58 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0225 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" déchetterie située 147 route du Grand Arc 73200 Gilly-sur-Isère.

Article 1er Monsieur le Président de l'EPCI "CORAL" est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

59 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0226 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Commandant Chef du SPAF Modane - Police des frontières 1 - 3 rue Sommeiller 73500 Modane;

Article 1er Monsieur André CHANVILLARD est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 8 caméras intérieures et 3 caméras extérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

60 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0227 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Christian CATHELIN Union des syndicats de copropriétaires et propriétaires de Plagne centre SOGIMALP pour un périmètre vidéoprotégé situé sur Macôt la Plagne Aime.

Article 1er Monsieur Christian CATHELIN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 53 caméras intérieures;

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

61 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0228 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Ludovic BLANC Hôtel les Ancolies situé : route du Grand Mont 73270 Beaufort.

Article 1er Monsieur Ludovic BLANC est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 5 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0229 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de Banque 763 place de l'hôtel de ville 73000 Chambéry;

Article 1er Monsieur le Chargé de sécurité de la CIC Lyonnaise de Banque est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 7 caméras intérieures et 1 caméra extérieure;

62 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0230 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon pour un périmètre situé à Courchevel 1650 Moriond suivant liste en annexe 73124 Saint-Bon-Tarentaise.

Article 1er Monsieur le Maire de Saint-Bon est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 10 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

63 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0231 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon pour un périmètre situé à Courchevel Village suivant liste en annexe 73124 Saint-Bon-Tarentaise.

Article 1er Monsieur le Maire de Saint-Bon est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 8 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

64 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0232 portant autorisation d e renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour Monsieur le Maire de Saint-Bon-Courchevel pour le parking Croisette rue de la Croisette Courchevel 1850 - 73124 Saint-Bon.

Article 1er Monsieur le Maire de Saint-Bon est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 7 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

65 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0234 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Mathieu CHARRIERE, pour la carrosserie DMC située avenue de la gare 73210 Landry.

Article 1er M CHARRIERE est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 2 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

66 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai . Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0235 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Michaël MENDES SARL située 247 Galerie du Tichot le Val Claret 73320 Tignes.

Article 1er Monsieur Michaël MENDES est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

67 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0236 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Henrick BAUMANN JEANSEN le petit danois - Chalet le coin 73150 Val-d'Isère.

Article 1er Monsieur Henrick BAUMANN JEANSEN est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures. Il est cependant préfisé que les caméras situées dans les salles de restaurant ne pourront fonctionner que la nuit et en période de congés

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0237 portant autorisation p our le renouvellement d'autorisation d’installation d'un système de vidéo- protection pour Madame Laurence PEREIRA Hôtel Formule 1 situé :10 rue Paul Gidon 73000 Chambéry.

Article 1er Madame Laurence PEREIRA est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

68 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 1 caméra intérieure et 2 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation de renouvellement devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation de renouvellement est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo- protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation de renouvellement sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0238 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le chargé de sécurité territorial de la Banque Crédit lyonnais pour l'agence située : 159 route de Montrigon 73700 Bourg Saint-Maurice.

Article 1er Monsieur le chargé de sécurité territorial de la Banque Crédit lyonnais est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

69 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0239 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Madame Liliane GONTHIER souvenirs Bar Tabac la Féclaz 73230 les Déserts.

Article 1er Madame Liliane GONTHIER est autorisée pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

70 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0240 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur Stéphane LEVAVASSEUR Magasin Ski m'plait Chalet Camille A 73450 Valmeinier;

Article 1er Monsieur Stéphane LEVAVASSEUR est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 4 caméras intérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

71 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0242 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection à Monsieur le maire de Saint- Baldoph pour un périmètre -Rond-point centre village -Route d'Apremont RD 201 et Chemin du Verger 73190 Saint-Baldoph;

Article 1er Monsieur le maire de Saint-Baldoph pour un périmètre dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 3 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

72 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0243 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur David PRUD'HON situé le chalet les Allues route du Belevedère 73550 les Allues.

Article 1er Monsieur David PRUD'HON est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras intérieures et 3 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

73 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0246 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection à M. le maire de les Marches pour un périmètre situé vers lac de Saint André et Rond-point RD12 73800 les Marches.

Article 1er Monsieur le maire de les Marches pour un périmètre dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 6 caméras extérieures.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 octobre 2013

Objet : Arrêté n° 2013/0291 portant autorisation d ’installation d'un système de vidéo-protection pour Monsieur le Maire de Pont de Beauvoisin pour un périmètre situé liste en annexe 73330 Le Pont de Beauvoisin;

Article 1er Monsieur le marie de Pont de Beauvoisin est autorisé pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée un système de vidéo-protection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée; Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif . Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi et comprend : 11 caméras extérieures.

74 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1 er , par une signalétique appropriée de manière claire, permanente et significative , à chaque point d’accès du public , de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et la fonction du titulaire responsable du système du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la personne désignée sur l’affichette mentionnée ci-dessus.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Les caméras ne devront en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours et au sein de l’établissement. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées et habilitées à accéder aux images.

Article 6 –L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement l’autorité préfectorale de la date de mise en service des caméras de vidéo-protection, de même lorsque le dossier concerne un périmètre d’installation d’un système de vidéo-protection, le titulaire est tenu d’informer cette autorité préalablement à leur installation de la localisation des caméras à l’intérieur du périmètre et le cas échéant à leur déplacement.

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai .

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 26 novembre 2013

Objet : composition du comité technique départemental des services de la police nationale dans le département de la Savoie

Article 1 : L’article 1 de l’arrêté préfectoral en date du 21 octobre 2013 relatif à la composition du comité technique départemental des services de police dans le département de la Savoie est modifié comme suit :

Ont été désignés par les organisations syndicales en qualité de représentants des personnels :

UNITE- SGP-POLICE Force Ouvrière

TITULAIRES SUPPLEANTS Monsieur Jean-Bernard LABORDE Madame Carole DUJARDIN Monsieur Yohann VILLERET Monsieur Sébastien GUIGUES Monsieur Yves ROSIER Monsieur Guillaume LADIRAY

SNIPAT

TITULAIRES SUPPLEANTS Monsieur Pierre WESCHE Néant

75 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Alliance police nationale, Synergie Officiers, Alliance SNAPATSI

TITULAIRES SUPPLEANTS Monsieur Hervé LARCHER Monsieur Emmanuel COURTOIS Monsieur Eric BERTHILLIER Monsieur Patrick CLAUDE

Article 2 : Les membres du comité technique départemental des services de police nationale sont désignés jusqu’aux prochaines élections.

Le préfet signé Eric JALON

Bureau de la sécurité routière et de la police des réseaux routiers

Arrêté du 4 novembre 2013

Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants les véhicules de la Communauté de communes de la région d'Albertville (CoRAL)

Article 1er :En vue d'assurer la collecte des déchets sur le secteur de la Communauté de communes de la région d'Albertville, la Co.RAL est autorisée à équiper en pneumatiques munis de dispositifs antidérapants, les véhicules immatriculés ci-après :

• Véhicule BW374WF • Véhicule AS069ZZ • Véhicule AS090ZZ • Véhicule AS203ZZ • Véhicule AS052ZZ • Véhicule AS217ZZ • Véhicule AS104ZZ

Cette autorisation est valable à partir du jour de la transmission du présent arrêté au recueil des actes administratifs jusqu'au 2 juin 2014 , sous réserve du respect des dispositions suivantes :

• diamètres des collerettes au plus égal à 8 mm, • diamètres de la collerette supérieure au moins égal à 7,5 mm, • distance minimale d'axe en axe entre deux collerettes au moins égale à 4 mm, • poids unitaire du crampon inférieur à 4,5 grammes, • dépassement des crampons hors du pneumatique à l'état neuf compris entre 2 et 2,5 mm, • nombre des crampons par pneumatique entre 100 et 200 (aucun crampon dans le tiers central de la bande de roulement) • l'équipement concernera les roues de l'essieu directeur et les roues d'au moins un essieu moteur, sur les roues jumelées, seules les roues intérieures seront équipées, • vitesse maximale de circulation fixée à 60 km/h, • apposer le disque « pneus cloutés » à l'arrière gauche de la carrosserie, lors de période d'utilisation effective des dispositifs.

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète, directrice de cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 13 novembre 2013

Objet : A43 – Autoroute de la Maurienne – Exercice de sécurité des tunnels des Hurtieres et d’Aiguebelle

Article 1e r : l’article ci-après de l’arrêté permanent n° 11- 05-02 du 25 mai 2011 est temporairement modifié pour l’année 2013, à savoir :

Article 1.9 - paragraphe 9.2 :

Spécificité tunnel d’Orelle : Sur la section St Michel de Maurienne – le , des coupures de nuit peuvent être imposées de manière à permettre l'entretien des installations du tunnel d’Orelle (équipements techniques et de signalisation, système de ventilation et de désenfumage, conduite incendie, lavage, hydro curage, génie Civil, etc.) Les coupures sont programmées sous forme de 5 campagnes fixées aux semaines n° 03, 13, 25, 38,39 et 43 de chaque année, elles doivent satisfaire aux conditions suivantes :

-Chacune des campagnes a lieu entre 21h et 6h au maximum du lundi au vendredi avec coupure de l’A43 et déviation par la D1006 entre le portail AS1.179 situé au PK 178,850 et le diffuseur n° 30.

-La planification précise de chaque campagne est réalisée en concertation avec le gestionnaire de la D 1006 afin de prendre en compte les travaux sur le tronçon concerné.

-La déviation est mise en place en concertation avec le gestionnaire de la D1006 qui peut demander le report en cas de conditions météorologiques inadaptées.

76 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 -La coupure ne peut affecter qu’un seul sens de circulation (-Italie) hormis pour une nuit par campagne ou les deux sens de circulation peuvent être affectés.

-Le trafic prévisionnel global de la section fermée ne doit pas excéder 300 véh/h.

-Les conditions atmosphériques doivent permettre un écoulement satisfaisant du trafic dévié sur le réseau secondaire, notamment en période hivernale.

-En cas de problème de viabilité sur la D1006 (accident ou panne PL) la SFTRF doit rétablir dans les meilleurs délais les conditions normales de circulation sur l’A43.

-La SFTRF responsable de la sécurité du chantier doit assurer pendant les périodes de fermeture du tunnel d’Orelle une patrouille sur l’itinéraire de déviation (D1006, de St-Michel-de-Maurienne au Freney) et en cas de besoin, elle assure notamment une protection et un balisage d’urgence en cas de panne ou d’accident perturbant l’écoulement du trafic ou bien un salage en cas de mauvaises conditions météorologiques.

-La SFTRF fait connaître aux CRICR, gendarmerie et SDIS 73, les périodes précises de restriction de circulation qui sont mises en place, cette information est effectuée dès validation de la planification avec le gestionnaire de la D1006 et mise à jours en temps réel.

Exercices de sécurité : Sur les sections comportant des tunnels ou tranchée couverte, des coupures de nuit peuvent être imposées de manière à permettre la réalisation des exercices réglementaires de sécurité, elles doivent satisfaire aux conditions suivantes : -Une coupure par année programmée suivant disponibilité des services de secours, la semaine 45 ou 46, entre 21h et 06h au maximum, pour le sens 1 et entre 20h et 6h pour le sens 2 sur une nuit du lundi au vendredi avec coupure du tronçon concerné de l’A43 et déviation par la D1006 conformément au Plan de Gestion de Trafic en cours de validation par le Préfet de la Savoie.

Pour le préfet et par délégation La Sous-Préfète - Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté modificatif du 15 novembre 2013

Objet : Autoroute A43 – Travaux d’élargissement entre la Motte-Servolex et le Tunnel de l’Epine

Article 1er : L’article 1 er de l’arrêté temporaire n° 13-03-06 concernant les travaux d’agrandissement de l’A43 dans le sens Chambéry- Lyon, entre la Motte-Servolex et le tunnel de l’Epine est modifié comme suit :

- Entre le lundi 18 novembre 2013 et le vendredi 15 mars 2014 :

• Sur A43, sens Chambéry-Lyon, entre le PK 88.500 et le PK 84.200, circulation sur trois voies. Largeur de voies à 3,50 à l’exception des passages sous les ouvrages d’art où la voie de gauche pourra être réduite à 3,25 m. Vitesse limitée à 110 km/h.

• Sur A43, sens Chambéry-Lyon, entre le PK 88.500 et le PK 84.200, neutralisation possible jour et nuit de la bande d’arrêt d’urgence, sauf week-end et jours hors chantier. Vitesse limitée à 110 km/h.

• Sur A43, sens Chambéry-Lyon, entre le PK 88.500 et le PK 84.200, neutralisation possible jour et nuit de la voie de droite, sauf week-end et jours hors-chantier. Vitesse limitée à 90 km/h.

• Sur A43, basculements de circulation possible pour les deux sens du trafic entre le PK 88.500 et le PK 84.200, sauf week-end et jours hors chantier.

• Sur A43, sens Chambéry-Lyon, mise en place de 2 refuges sur la longueur du chantier au PK 87.400 et au PK 85.320.

Article 2 : les autres articles de l’arrêté temporaire n° 13 -03-06 restent inchangés.

Pour le préfet et par délégation La Sous-Préfète - Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 18 novembre 2013

Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants le véhicule de la coopérative laitière de Lescheraines

Article 1er : en vue d'assurer la collecte du lait dans l'arrondissement de Chambéry, la coopérative laitière de Lescheraines est autorisée à équiper en pneumatiques munis de dispositifs antidérapants, le véhicule immatriculé ci-après :

- camion scania – BN-624-FY Cette autorisation est valable à partir du jour de la transmission du présent arrêté au recueil des actes administratifs jusqu'au 2 juin 2014, sous réserve du respect des dispositions suivantes :

• diamètres des collerettes au plus égal à 8 mm, • diamètres de la collerette supérieure au moins égal à 7,5 mm,

77 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 • distance minimale d'axe en axe entre deux collerettes au moins égale à 4 mm, • poids unitaire du crampon inférieur à 4,5 grammes, • dépassement des crampons hors du pneumatique à l'état neuf compris entre 2 et 2,5 mm, • nombre des crampons par pneumatique entre 100 et 200 (aucun crampon dans le tiers central de la bande de roulement) • l'équipement concernera les roues de l'essieu directeur et les roues d'au moins un essieu moteur, sur les roues jumelées, seules les roues intérieures seront équipées, • vitesse maximale de circulation fixée à 60 km/h, • apposer le disque « pneus cloutés » à l'arrière gauche de la carrosserie, lors de période d'utilisation effective des dispositifs.

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète, directrice de cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 21 novembre 2013

Objet : Autorisation d'équiper en pneumatiques munis de dispositifs anti-dérapants lMonts et Terroirs

Article 1er :En vue d'assurer la collecte du lait dans la vallée de la Tarentaise, Monts et Terroirs est autorisé à équiper en pneumatiques munis de dispositifs antidérapants, les véhicules immatriculés ci-après :

• Véhicule DA-831-NN • Véhicule CE-226-YM • Véhicule GC-100-SF

Cette autorisation est valable à partir du jour de la transmission du présent arrêté au recueil des actes administratifs jusqu'au 2 juin 2014 , sous réserve du respect des dispositions suivantes :

• diamètres des collerettes au plus égal à 8 mm, • diamètres de la collerette supérieure au moins égal à 7,5 mm, • distance minimale d'axe en axe entre deux collerettes au moins égale à 4 mm, • poids unitaire du crampon inférieur à 4,5 grammes, • dépassement des crampons hors du pneumatique à l'état neuf compris entre 2 et 2,5 mm, • nombre des crampons par pneumatique entre 100 et 200 (aucun crampon dans le tiers central de la bande de roulement) • l'équipement concernera les roues de l'essieu directeur et les roues d'au moins un essieu moteur, sur les roues jumelées, seules les roues intérieures seront équipées, • vitesse maximale de circulation fixée à 60 km/h, • apposer le disque « pneus cloutés » à l'arrière gauche de la carrosserie, lors de période d'utilisation effective des dispositifs.

Pour le préfet et par délégation La sous-préfète, directrice de cabinet Signé : Marie BAVILLE

Arrêté du 25 novembre 2013

Objet : A43 – Autoroute de la Maurienne – Travaux d’urgence sous ouvrage d’art SNCF – PS 39

Article 1e r : La circulation est temporairement réglementée au droit du diffuseur n°30 du Freney dans les condit ions figurant ci-après : Au niveau du diffuseur n°30 du Freney dans le sens France Italie entre le PK 190.272 et le PK 190,760 tous les véhicules quittent l’autoroute par la bretelle de sortie du diffuseur n°30, empruntent le giratoire de la RD 1006 puis re joignent l’A43 par la bretelle d’entrée de ce même diffuseur. Dans le sens Italie France, tous les véhicules quittent l’autoroute par la bretelle de sortie du diffuseur n°30, empruntent le giratoire de la RD 1006 puis rejoignent l’A43 par la bretelle d’entrée de ce même diffuseur.

Dans le sens France Italie, pour permettre l’intervention sur la voie rapide puis sur la voie lente, le flux de circulation sur la bretelle d’entrée du Freney sens 1 sera soit dévié sur la voie lente soit sur la voie rapide.

Article 2 : la réglementation prévue à l’article 1 du présent arrêté est applicable à partir du 25 novembre entre 14 heures et 17 heures pour une durée maximale de 3 heures.

Cette intervention pourra toutefois être reportée en matinée ou en après- midi entre le 26 novembre et le 29 novembre 2013.

Article 3 : la signalisation temporaire rendue nécessaire par la présence du chantier est conforme à la circulaire 96-14 du 6 février 1996 et à l’arrêté du 11 novembre 98 et à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière livre 1 huitième partie.

Article 4 : communication vers les usagers. Les conditions de circulation sont relayées par la radio autoroute info 107.7. Le PC autoroutier du CESAM et du tunnel du Fréjus (SFTRF) ont la charge d’activer les panneaux à message variable (PMV) des sens de circulation concernés.

Le CRICR Rhône-Alpes est informé par le pétitionnaire des modifications des balisages de chacune des phases de chantier ainsi que des évolutions et/ou perturbations constatées sur le trafic.

78 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 5 : règles d’inter distances de balisage Compte tenu des impératifs de balisage la société SFTRF peut déroger aux règles d’inter distances entre chantier et de longueur de balisage.

Article 6 : pour permettre l’intervention des services opérationnels de secours dans les meilleurs délais ces dispositions ne s’appliquent pas aux services d'intervention et de secours.

Article 7 : lors de l’achèvement des travaux et avant le rétablissement normal de la circulation, la SFTRF s’assure de l’état de propreté de la chaussée et de sa conformité aux normes de sécurité en vigueur.

Pour le préfet et par délégation La Sous-Préfète - Directrice de Cabinet Signé : Marie BAVILLE

SECRETAIRIAT GENERAL Pôle juridique

Arrêté du 18 novembre 2013

Objet : portant retrait de l'arrêté interruptif de travaux pris au nom de l'Etat par le Maire de la commune de Sainte-Marie-de- Cuines

Article 1er : Est prononcé le retrait de l'arrêté du 22 septembre 2011 du maire de la commune de Sainte Marie de Cuines.

Article 2 : Notifications seront faites à Monsieur Patrice Rilliard et au maire de la commune de Sainte Marie de Cuines de cet arrêté dont une copie sera transmise à Monsieur le procureur de la République.

Pour le Préfet et par délégation, le Secrétaire général Signé : François-Claude PLAISANT

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION Bureau de la réglementation

Arrêté DR/BR du 4 novembre 2013 objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Eric SUCHET gérant l’établissement « Le Montagnard » situé à SAINT MARTIN DE BELLEVILLE

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

M. Eric SUCHET, gérant de la SNC LA CHASSE, exploitant l’établissement « Le Montagnard " situé à l’adresse suivante : Les Places - Les Ménuires - 73440 SAINT MARTIN DE BELLEVILLE.

Article 2 : L'intéressé est tenu d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté.

Pour le préfet, par délégation, La Directrice sIGN2 / Sylvie CARLE

Arrêté DR/BR du 15 novembre 2013

Objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à Mme Rejane BEAUDEL, épouse CONTOZ, gérant l’établissement « Le Mont de la Chambre » situé à Saint MARTIN DE BELLEVILLE

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

Mme Rejane BEAUDEL, épouse CONTOZ, gérante de la SARL RESTAURANT LE MONT DE LA CHAMBRE, exploitant l’établissement « Le Mont de la Chambre" situé à l’adresse suivante : Le Mas - 73440 SAINT MARTIN DE BELLEVILLE.

Article 2 : L'intéressée est tenue d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté. Pour le préfet, par délégation, La Directrice Signé : Sylvie CARLE

79 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté DR/BR du 20 novembre 2013

Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Jean-Philippe DUFOUR, exploitant l’établissement « Chez Michelon » situé à AIGUEBELETTE LE LAC

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

M. Jean-Philippe DUFOUR, exploitant l’établissement « Chez Michelon » situé à l’adresse suivante : La Combe - 73610 AIGUEBELETTE LE LAC.

Article 2 : L'intéressé est tenu d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté.

Pour le préfet, par délégation, La Directrice Signé : Sylvie CARLE

Arrêté DR/BR du 20 novembre 2013

Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Pierre KOENIG exploitant l’établissement « La Voute » situé à MOUTIERS

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

M. Pierre KOENIG, directeur général de la SARL PIMA, exploitant l’établissement « La Voute" situé à l’adresse suivante : 172 Grande Rue - 73600 MOUTIERS

Article 2 : L'intéressé est tenu d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté.

Pour le préfet, par délégation, La Directrice Signé : Sylvie CARLE

Arrêté DR/BR du 20 novembre 2013

Objet : Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à Mme Patricia PIRICK, épouse GRANGE, exploitant l’établissement « Restaurant Grange » situé à LE CHATEL

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

Mme Patricia PIRICK, épouse GRANGE, exploitant l’établissement « Restaurant Grange » situé à l’adresse suivante : Rieu Salomon - 73300 LE CHATEL.

Article 2 : L'intéressée est tenue d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté.

Pour le préfet, par délégation, La Directrice Signé : Sylvie CARLE

Arrêté du 22 novembre 2013

Objet : portant création et mise en service d'une plateforme permanente pour aérodynes ultralégers motorisés sur la commune de Les Avanchers

Article 1er - M. Philippe DE GAILLANDE est autorisé à créer et à mettre en service une plateforme permanente pour aérodynes ultralégers motorisés, de type "altisurface", utilisable en période hivernale uniquement, au lieu-dit "Arenouillaz" sur les parcelles cadastrées n° 523 et 511, section E de la commune d e Les Avanchers.

Cette autorisation à titre précaire et révocable est délivrée pour la saison hivernale 2013/2014. Le renouvellement de cette autorisation se fera annuellement sur demande de M. Philippe DE GAILLANDE.

La piste sera un rectangle d'au moins 150 mètres de longueur et 20 mètres de largeur, de surface plane, sensiblement orientée Sud/Ouest - Nord/Est (orientation 065°/245°) et amé nagée sur neige damée.

80 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 En dehors des périodes d'enneigement la plateforme sera fermée.

Les atterrissages ne seront possibles que face au Sud/Ouest (orientation 245°) et les décollages se fe ront uniquement face au Nord/Est (orientation 065°).

Article 2 - Cette plateforme devra être utilisée dans le respect de la réglementation de la circulation aérienne et des textes en vigueur réglementant la circulation des ULM.

Article 3 - Le survol des habitations voisines est interdit.

Article 4 - Le contour de l'aire d'atterrissage et de décollage devra être matérialisé au sol par un marquage approprié faisant contraste avec l'environnement.

Un moyen permettant de déterminer la direction et la force du vent devra être installé sur le site.

Les évolutions aux alentours de la plateforme devront se faire dans le souci du respect des riverains.

Une attention particulière sera portée aux dangers inhérents à la proximité des remontées mécaniques et, d'une manière générale, aux câbles, pylônes, à la végétation ou tout autre obstacle.

Article 5 - Des panneaux "DANGER -VOL D'ULM" placés aux points de pénétration possible signaleront au public l'existence de cette plateforme. Des filets et une signalisation adaptée devront être installés pour délimiter la zone interdite au public.

Article 6 - La délimitation, l'entretien et la sécurisation de la plateforme ULM seront à la charge de M. Philippe DE GAILLANDE.

Article 7 - En application des dispositions de l'article 7 de l'arrêté interministériel du 20 avril 1998, les mouvements en provenance ou à destination de l'Espace hors Schengen doivent transiter par un aérodrome douanier, les autres mouvements étant soumis à la règle du préavis réglementaire.

Article 8 - Les agents chargés du contrôle de conformité de la plateforme, les agents appartenant aux services chargés du contrôle des frontières, les agents des douanes, les agents de la force publique auront libre accès à tout moment à la plateforme et à ses dépendances. Toutes facilités leur seront réservées pour l'accomplissement de leur tâche.

Article 9 - L'affichage du présent arrêté sera effectué en mairie de Les Avanchers et sur place de façon à être visible et lisible du public et de manière continue pendant un délai de deux mois à compter de sa date de parution.

Pour le préfet, par délégation, la directrice Signé : Sylvie CARLE

Arrêté DR/BR du 29 novembre 2013 objet :Arrêté délivrant le titre de maître-restaurateur à M. Frédéric FARGEAS exploitant l’établissement « Bistronomique Chez Fred » situé à Valloire

Article 1 : Le titre de maître-restaurateur est accordé, pour une durée de quatre ans à compter de la date du présent arrêté, à :

M. Frédéric FARGEAS, exploitant l’établissement « Bistronomique Chez Fred " situé à l’adresse suivante : Nouvelle Avenue - 73450 VALLOIRE.

Article 2 : L'intéressé est tenu d’informer les services de la Préfecture de toute modification apportée aux prestations de service exigées pour l’obtention du titre de maître-restaurateur, et de tout changement de situation de la société ou de l’enseigne concernée par le présent arrêté.

Pour le préfet, par délégation, La Directrice Signé : Sylvie CARLE

Arrêté du 29 novembre 2013

Objet : Portant agrément de Monsieur Guy MARTIN en qualité de garde chasse particulier.

Article 1 er : M. Guy MARTIN né le 24 octobre 1958 à Le Pont de Beauvoisin (38), demeurant Le Béranger - 73610 ATTIGNAT-ONCIN, EST AGREE en qualité de GARDE-CHASSE PARTICULIER pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse prévus au code de l'environnement, qui portent préjudice au détenteur des droits de chasse qui l’emploie.

Article 2 : La qualité de garde particulier chargé de certaines fonctions de police judiciaire est strictement limitée au territoire pour lequel M. Guy MARTIN a été commissionné par son employeur et agréé. En dehors de ce territoire, il n’a pas compétence pour dresser procès-verbal. La liste des propriétés ou des territoires concernés est annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Guy MARTIN doit prêter serment devant le Tribunal d’instance dans le ressort duquel se situent les territoires dont la surveillance lui a été confiée – (Tribunal de CHAMBERY).

81 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Guy MARTIN doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d'agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du préfet, ou d'un recours hiérarchique auprès du ministre de l'intérieur ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif territorialement compétent. L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Article 8 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Savoie est chargé de l’application du présent arrêté, qui sera notifié à M. Guy MARTIN par les soins de M. Gérard TINERT et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Le Préfet, Par délégation, la Directrice, Signé : Sylvie CARLE

DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE LA DEMOCRATIE LOCALE Bureau des relations avec les collectivités locales

Arrêté inter préfectoral n° 2013296-0015 du 23 octo bre 2013

Objet: approuvant le retrait de la commune de Saint Ondras du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) du Guiers

Article 1 er : Il est procédé au retrait de la commune de Saint-Ondras de la liste des membres du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères du Guiers à la date du 1 er novembre 2013.

L’article 1 de l’arrêté inter préfectoral n° 2004-0 5297 du 23 avril 2004 et des statuts approuvés du syndicat mixte sont modifiés en conséquence.

Article 2 : Conformément aux dispositions des articles L.5211-19 et L.5211-25-1 du Code général des collectivités territoriales, les modalités de répartitions des biens, du produit de leur réalisation et du solde de l’encours de la dette sont fixées par délibérations concordantes du SICTOM du Guiers et de la commune de Saint-Ondras, annexées au présent arrêté.

Le Préfet de l'Isère, pour le préfet et par délégation, Le Préfet de la Savoie, Le Secrétaire général, pour le préfet et par délégation, Pour le secrétaire général absent, Le Secrétaire général, La Secrétaire générale adjointe, Signé : Françoise-Claude PLAISANT Signé : Pascale PREVEIRAULT

NB : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Grenoble, 2, Place de Verdun – BP 1135 – 38022 GRENOBLE Cédex, dans le délai de deux mois à compter de sa notification ou de sa publication –

Arrêté du 31 octobre 2013

Objet: approuvant la modification des statuts de la communauté d'agglomération du lac du Bourget

Article 1 er : L'article 4.1.2.5 (définissant une compétence au sein du bloc de compétences obligatoires "Aménagement de l'espace communautaire"), des statuts approuvés par arrêté préfectoral du 16 novembre 2012, est modifié comme suit:

AU LIEU DE :

"Création et mise en œuvre du droit de préemption urbain (DPU) tel que défini aux articles L 210-1 et suivants du code de l’urbanisme et celui défini aux articles L 214-1 et suivants du code de l’urbanisme ainsi que mise en œuvre de la politique communautaire d’équilibre social de l’habitat, selon les modalités définies par l’article L.5216-5 II bis du CGCT ."

LIRE:

"Création et mise en œuvre du droit de préemption urbain (DPU) tel que défini aux articles L 210-1 et suivants du code de l’urbanisme ainsi que mise en œuvre de la politique communautaire d’équilibre social de l’habitat, selon les modalités définies par l’article L.5216-5 II bis du CGCT ."

Article 2: L'article 4.2.3.5 (définissant une compétence au sein du bloc de compétences optionnelles "Protection et mise en valeur de l'environnement et du cadre de vie"), des statuts approuvés par arrêté préfectoral du 16 novembre 2012, est modifié comme suit :

AU LIEU DE :

"Interventions au titre de la protection des milieux aquatiques :

- Entretien, aménagements, protection des berges et des rivières du Tillet, du Belle-Eau et de la Leysse et de leurs affluents pour la partie du territoire des communes membres

82 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 A ce titre, conformément à l’article L211-7 du code de l’environnement, la communauté d’agglomération est compétente pour entreprendre l'étude, l'exécution et l'exploitation de tous travaux, actions, ouvrages ou installations présentant un caractère d'intérêt général ou d'urgence, dans le cadre du schéma d'aménagement et de gestion des eaux

- Entretien de la végétation des rives du lac du Bourget, à l'exception de celles dépendant du domaine public routier départemental - Suivi et réhabilitation de l’ancienne décharge de Viviers-du-Lac - Surveillance de la qualité des eaux du lac du Bourget et des rivières du bassin versant - Travaux annexes de dépollution du lac du Bourget - Coordination des démarches territoriales de gestion de l'eau et des milieux aquatiques (contrat de milieu, schéma d'aménagement et de gestion des eaux) - Animation pédagogique tout public pour les domaines de compétences visés dans le présent article"

LIRE:

"Interventions au titre de la protection des milieux aquatiques :

- Entretien, aménagements, protection des berges et des rivières du Tillet, du Sierroz , du Belle-Eau et de la Leysse et de leurs affluents pour la partie du territoire des communes membres

A ce titre, conformément à l’article L211-7 du code de l’environnement, la communauté d’agglomération est compétente pour entreprendre l'étude, l'exécution et l'exploitation de tous travaux, actions, ouvrages ou installations présentant un caractère d'intérêt général ou d'urgence, dans le cadre du schéma d'aménagement et de gestion des eaux.

- Entretien de la végétation des rives du lac du Bourget, à l'exception de celles dépendant du domaine public routier départemental - Suivi et réhabilitation de l’ancienne décharge de Viviers-du-Lac - Surveillance de la qualité des eaux du lac du Bourget et des rivières du bassin versant - Travaux annexes de dépollution du lac du Bourget - Gestion des zones humides - Coordination des démarches territoriales de gestion de l'eau et des milieux aquatiques (contrat de milieu, schéma d'aménagement et de gestion des eaux) - Animation pédagogique tout public pour les domaines de compétences visés dans le présent article "

Article 3: Il est inséré au sein du paragraphe 4.3 relatif aux compétences facultatives fixées par les statuts approuvés par arrêté préfectoral du 16 novembre 2012, un article 4.3.5 intitulé "Opérations de mandat", libellé comme suit:

"La communauté pourra, après accord de l'assemblée, réaliser des opérations de mandat et de prestations de service pour le compte des communes membres ou d'autres entités, dont la charge financière sera supportée par les bénéficiaires des prestations."

Article 4: L'article 7 des statuts approuvés par arrêté préfectoral du 16 novembre 2012, relatif au bureau communautaire, est modifié ainsi qu'il suit:

AU LIEU DE :

"Le bureau de la communauté, composé de 18 délégués, comprend le Président, les Vice-présidents et des membres élus par le conseil de communauté en son sein.

Le nombre de Vice-présidents est déterminé par l'organe délibérant, sans que ce nombre puisse être supérieur à 30 % de l'effectif de celui-ci."

LIRE:

"Le bureau de la communauté, composé de 19 délégués, comprend le Président, les Vice-présidents et des membres élus par le conseil de communauté en son sein.

Le nombre de Vice-présidents est déterminé par l'organe délibérant , suivant les règles du CGCT.

Le Président, les Vice-présidents ayant reçu délégation ou le bureau de communauté dans son ensemble peuvent recevoir délégation d'une partie des attributions du conseil de communauté et ce, dans les limites de l'article L5211-10 du CGCT."

Article 5: Les statuts modifiés de la communauté d'agglomération du lac du Bourget demeurent annexés au présent arrêté.

Article 6: Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Grenoble (2 place de Verdun - BP 1135 - 38022 GRENOBLE CEDEX), dans le délai de deux mois suivant sa parution au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Savoie.

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Signé: François-Claude PLAISANT

83 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 SOUS-PREFECTURE D’ALBERTVILLE

Arrêté N°2013/63 sous-Préfecture d'Albertville du 1 3 novembre 2013

Objet : autorisant l'occupation temporaire de terrains sur le territoire de la commune de MOUTIERS dans le cadre du projet de déviation de la Route Nationale 90 en rive gauche de l'Isère à Montgalgan

Article 1er - L'Etat, représenté par la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes, est autorisé à occuper les parcelles cadastrées 523 et 524, issues de la division de la parcelle cadastrée D 464, sises sur le territoire de la commune de MOUTIERS, telles qu'elles figurent sur le plan et l'état parcellaire annexés au présent arrêté.

Cette autorisation est accordée pour une durée totale de 4 ans à compter du 1 décembre 2013 et vise la réalisation d'une piste d'accès qui permettra la mise en place des piles du pont reliant les deux berges de l'Isère .

Article 2 – L'accès aux parcelles concernées s'effectuera par la Route Nationale 90.

Article 3 - L'occupation des terrains ne pourra avoir lieu qu'après l'accomplissement des formalités prescrites par la loi du 29 décembre 1892, jointe au présent arrêté.

Le Préfet, par délégation, La Sous-Préfète Signé Elisabeth CASTELLOTTI

Arrêté n° 2013/83 Sous-Préfecture d’Albertville du 27 novembre 2013

Objet : portant déclaration d’utilité publique du projet de réalisation d'un merlon de protection contre les éboulements rocheux dans le secteur de la Croix de la Serriaz sur le territoire de la commune de GRESY SUR ISERE

Article 1er - Est déclaré d'utilité publique sur le territoire de la commune de GRESY SUR ISERE le projet de réalisation d'un merlon de protection contre les éboulements rocheux dans le secteur de la Croix de la Serriaz.

Article 2 – La Commune de GRESY SUR ISERE est autorisée à acquérir, soit à l'amiable, soit par voie d'expropriation, les immeubles nécessaires à la réalisation de l'opération visée en tête du présent arrêté.

Article 3 - Les expropriations éventuelles devront être accomplies dans un délai de CINQ ANS à compter de la date de publication du présent arrêté.

Le Préfet, par délégation, La Sous-Préfète, Signé Elisabeth CASTELLOTTI

SOUS-PREFECTURE DE SAINT JEAN DE MAURIENNE

Arreté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 1 er octobre 2013

Objet : portant création d’une servitude d’utilité publique sur fonds privés en vue de l’aménagement de la conduite forcée et de ses ouvrages annexes, pour la microcentrale hydroélectrique des Encombres, sur le territoire des communes de Saint- Michel-de-Maurienne et de Saint-Martin-la-Porte par le Syndicat Electricité Synergie Maurienne

Article 1er : Création de la servitude Il est institué au profit du syndicat Electricité Synergie Maurienne, une servitude lui conférant le droit d’établir à demeure et d’exploiter une conduite forcée et ses ouvrages annexes (massifs d’ouvrage et de blocage, conduite de vidange, canal de restitution…) sur des parcelles de terrain appartenant à des propriétaires privés sur le territoire des communes de Saint-Michel-de-Maurienne et de Saint- Martin-la-Porte.

Article 2 : Principe d’aménagement Le principe d’aménagement consiste à dériver les eaux des sources des Chaudannes en rive droite du torrent du Saint-Bernard, ainsi que les eaux du ruisseau du Bonrieu et de les canaliser par une conduite forcée enterrée ou hors sol vers le bâtiment de la microcentrale hydroélectrique, à la confluence de l’Arc et du torrent du Saint-Bernard.

Article 3 : Définition de la servitude Le syndicat Electricité Synergie Maurienne pourra sur les parcelles touchées par le tracé de la conduite forcée et ses ouvrages annexes, tel qu’il figure sur le plan parcellaire annexé au présent arrêté :

- établir à demeure, dans une bande de terrain d’une largeur de 10 m maximum une conduite forcée des eaux collectées, d’un diamètre 500 mm, sur la longueur prévue sur chaque parcelle conformément à l’état parcellaire joint au présent arrêté ;

- établir à demeure, dans la même bande de terrain, les ouvrages accessoires nécessaires à la construction, la surveillance, l’entretien, la réparation et le remplacement de la conduite ;

- procéder, dans la même bande de terrain, aux travaux de débroussaillement, abattage d’arbres reconnus indispensables à la réalisation des travaux ;

- autoriser l’occupation des terrains concernés sur une largeur maximum de 10 m, pour permettre la réalisation des travaux nécessaires à la construction, la surveillance, l’entretien, la réparation et le remplacement de la canalisation ;

84 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 - autoriser le Syndicat Electricité Synergie Maurienne, maître d’ouvrage, ou toute personne qui viendrait à lui être substituée, à pénétrer sur le bien parcellaire concerné, en vue de la construction, la surveillance, l’entretien, la réparation, ainsi que le remplacement des ouvrages à établir, à condition d’en prévenir les éventuelles personnes exploitant les terrains.

Article 4 : Fermage En cas de fermage à un exploitant agricole, le propriétaire continuera de percevoir le fermage de la part de son exploitant pendant toute la durée de l’occupation temporaire ci-dessus spécifiée et l’exploitant percevra l’indemnité en perte de jouissance.

Article 5 : Obligations du propriétaire Le propriétaire s’oblige, tant pour lui-même que pour son locataire éventuel, à s’abstenir de tout fait de nature à nuire au bon fonctionnement et à la conservation des ouvrages et à n’entreprendre aucune opération de construction ou d’exploitation ou de plantation qui soit susceptible d’endommager les ouvrages.

Article 6 : Etat des lieux et indemnisation Un constat amiable et contradictoire pourra être réalisé aux frais du syndicat avant et après les travaux, en présence du maître d’œuvre et de l’entreprise, à la demande du propriétaire.

Le syndicat s’engage à remettre les terrains en état après son passage.

Les murs situés dans la bande de terrain seront reconstruits à la demande du propriétaire.

Les arbres abattus seront débités et laissés en bordure de la bande de terrain à la disposition du propriétaire. Les arbustes et branches d’un diamètre inférieur à 10 cm seront broyés sur place. Le propriétaire est invité à marquer les arbres avant le début des travaux pour une meilleure identification.

Les dégâts qui pourraient être causés aux cultures et aux biens à l’occasion de la construction, de la surveillance, de l’entretien et de la réparation des ouvrages, ainsi que de leur remplacement, feront l’objet, le cas échéant, d’une indemnité fixée à l’amiable, ou, à défaut d’accord, par le tribunal administratif.

Article 7 : Droit pour le propriétaire Si le propriétaire envisage de bâtir sur la bande de terrain concernée par le passage de la canalisation, il devra faire connaître au syndicat, par lettre recommandée, la nature et la consistance des travaux qu’il se propose de bâtir, en fournissant tous les éléments d’appréciation.

Le propriétaire a le droit d’obtenir l’octroi d’un permis de construire, même si pour ce faire, il convient de procéder au déplacement de la conduite. Les frais de déplacement sont à la charge du syndicat.

Si le propriétaire n’a pas dans le délai de deux ans à partir de la modification ou du déplacement des ouvrages, exécuté les travaux projetés, le syndicat sera en droit de lui réclamer le remboursement des frais de modification ou de déplacement des ouvrages sans préjudice de tous autres dommages et intérêts s’il y a lieu.

Si le rejet d’une demande de permis de construire a pour motif l’exercice du droit de la servitude dans la parcelle considérée, le propriétaire peut requérir son acquisition totale par le maître de l’ouvrage, soit à l’amiable, soit par voie d’expropriation.

Article 8 : Durée de la servitude La présente servitude est conclue pour toute la durée de la conduite forcée et de ses ouvrages annexes tels que visés à l’article 1 er ou de toute autre conduite forcée ou ouvrage annexe qui pourrait leur être substitués sans modification de l’emprise existante.

Article 9 : Notification aux propriétaires Le présent arrêté fera l’objet d’une notification individuelle, à la diligence du maître d’ouvrage, à chacun des propriétaires concernés, qui précisera notamment le dépôt du dossier en mairies de Saint-Michel-de-Maurienne et de Saint-Martin-la-Porte.

Article 10 : Publication à la conservation des hypothèques La servitude d’utilité publique instituée par le présent arrêté fera l’objet d’une publication à la conservation des hypothèques de Barberaz – 1 er bureau – 73000. Les formalités correspondantes seront effectuées par le maître d’ouvrage.

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général, Signé : François-Claude PLAISANT

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Isabelle BOURDON en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Isabelle Denise Gabrielle BOURDON, née 3 février 1965 à Poitiers (Vienne), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Isabelle BOURDON doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

85 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Isabelle BOURDON doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Fernande CHARMET en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Fernande CARRON Veuve CHARMET, née 28 août 1953 à Chambéry (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Fernande CHARMET doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Fernande CHARMET doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Fabienne COLONEL-BERTRAND en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Fabienne Marie RACH épouse COLONEL-BERTRAND, née 5 novembre 1970 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Fabienne COLONEL-BERTRAND doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Fabienne COLONEL-BERTRAND doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

86 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Sylvie COVAREL en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Sylvie COVAREL, née 4 décembre 1965 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Sylvie COVAREL doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Sylvie COVAREL doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de M. Renald DE PETRIS en qualité de garde particulier

Article 1 : M. Renald Olivier DE PETRIS, né le 3 juillet 1970 à DOUAI (Nord), est agréé en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Renald DE PETRIS doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Renald DE PETRIS doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Nicole GAGNIERE en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Nicole Alice GAGNIERE, née 28 septembre 1950 à Modane (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Nicole GAGNIERE doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Nicole GAGNIERE doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

87 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Monique LANFREY en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Monique LANFREY, née le 18 novembre 1964 à Chambéry (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Monique LANFREY doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Monique LANFREY doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne le 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Danielle MARINI en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Danielle MARINI, née le 14 juin 1954 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Danielle MARINI doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Danielle MARINI doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

88 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Louise MARTI en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Louise CATALDO épouse MARTI, née le 26 janvier 1956 à Fourneaux (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Louise MARTI doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Louise MARTI doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Marie NICOLORO en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Marie Patricia NICOLORO, née le 15 mars 1970 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Marie NICOLORO doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Marie NICOLORO doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Marie-Colette RIBERT en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme CHIABERTO Marie-Colette épouse RIBERT, née 31 août 1961 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Marie-Colette RIBERT doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Marie-Colette RIBERT doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

89 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Michelle TURON en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Michelle Françoise THOMASSET épouse TURON, née le 27 décembre 1967 à Modane (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Michelle TURON doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Michelle TURON doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de Mme Sandrine ZANARDI en qualité de garde particulier

Article 1 : Mme Sandrine Christelle RONQUETTE nom d’usage ZANARDI, née le 24 octobre 1966 à Chambéry (Savoie), est agréée en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, Mme Sandrine ZANARDI doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, Mme Sandrine ZANARDI doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

90 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de M. Jean-Marc ZUCCHIATTI en qualité de garde particulier

Article 1 : M. Jean-Marc Félicien ZUCCHIATTI, né le 18 janvier 1960 à MODANE (Savoie), est agréé en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Jean-Marc ZUCCHIATTI doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Jean-Marc ZUCCHIATTI doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de M. Philippe JUILLARD en qualité de garde particulier

Article 1 : M. Philippe Michel JUILLARD, né le 19 septembre 1965 à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), est agréé en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Philippe JUILLARD doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Philippe JUILLARD doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de M. Georges BOROT en qualité de garde particulier

Article 1 : M. Georges Henri BOROT, né le 22 janvier 1958 à Modane (Savoie), est agréé en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Georges BOROT doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Georges BOROT doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

91 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

Arrêté Sous-Préfecture de Saint-Jean-de-Maurienne du 5 novembre 2013

Objet : portant agrément de M. Gérard BAHRO en qualité de garde particulier

Article 1 : M. Gérard BAHRO, né le 30 août 1959 à Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), est agréé en qualité de garde particulier de la voirie routière chargé de la surveillance de l’ensemble des biens meubles et immeubles, en propriété ou exploités par la S.F.T.R.F., et constater toutes contraventions et délits portant atteinte aux propriétés à surveiller ainsi que les contraventions de voirie routière.

Article 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission annexée au présent arrêté.

Article 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de cinq ans.

Article 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Gérard BAHRO doit prêter serment devant le tribunal d’instance compétent.

Article 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Gérard BAHRO doit être porteur en permanence du présent arrêté ou de sa carte d’agrément qui doivent être présentés à toute personne qui en fait la demande.

Article 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

Article 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès du Sous-Préfet ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet Signé : Guy FITZER

92 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

Arrêté Préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1076 du 29 octo bre 2013

Objet : Autorisant l'exploitation d'une installation de stockage de déchets inertes pris en application de l'article L 541-30-1 du code de l'environnement

Article 1 ier : La Société d’Étude et de Réalisation de Travaux Publics et Routiers (SAS-SERTPR), sise ZI n° 3 7 rue de l’Expansion – 73460 FRONTENEX, est autorisée à exploiter une installation de stockage de déchets inertes, sise au lieu-dit " La Tour-Le Moutonnet d’en Bas " – 73460 Notre Dame Des Millières, dans les conditions définies par le présent arrêté et ses annexes.

L’exploitation du site de l’installation est confiée à une personne techniquement compétente et nommément désignée par l’exploitant.

La présente autorisation est accordée sous réserve du droit des tiers et sans préjudice du respect des autres réglementations en vigueur, et notamment celle relative à l’eau et aux milieux aquatiques.

Article 2 : La surface foncière affectée à l’installation est de 65 ares 73 ca

Cette surface est située sur les parcelles cadastrales suivantes :

Surface affectée à Surface affectée au stockage Commune Lieu-dit Parcelles l’installation (m²) de déchets (m²) 935 45 45

967 1800 300

1023 50 0

1092 2940 2940 NOTRE DAME «La Tour-Le Moutonnet d’en 1099 233 233 DES MILLIERES Bas» 1100 1256 1256

1450 125 59

1454 125 55

TOTAL 6574 4888

Article 3 : A compter de la notification du présent arrêté, la durée prévisionnelle d’exploitation du site est de un an.

Article 4 : La capacité totale de stockage de déchets inertes autorisée est de : 11.500 m 3.

Article 5 : La quantité maximale annuelle de déchets inertes pouvant être admise sur le site est de : 11.500 m 3.

Article 6 : L’exploitant doit adresser un rapport annuel au préfet précisant les types et quantités de déchets admis, les éventuels effets néfastes constatés et les mesures prises pour y remédier. À cette fin, l’exploitant adresse chaque année au préfet la déclaration prévue par l’arrêté du 7 novembre 2005 susvisé avant le 1er avril de l’année en cours pour ce qui concerne les données de l’année précédente. Il y indique, le cas échéant, les événements notables liés à l’exploitation du site.

Article 7 : Le bénéficiaire de la décision ou tout tiers ayant un intérêt à agir peut contester cette décision en saisissant le tribunal administratif compétent, d’un recours contentieux dans les deux mois à compter de la notification ou de la réalisation des formalités de publicité de la décision.

Il peut également saisir d’un recours gracieux l’auteur de la décision. Cette démarche proroge le délai de recours contentieux qui doit alors être introduit dans les deux mois suivant la réponse (l’absence de réponse au terme du délai de deux mois valant rejet implicite).

Article 8 : Le présent arrêté est notifié à l’exploitant qui procède à son affichage sur site. Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie de Notre Dame Des Millières pour une durée de deux mois par les soins du maire.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

Arrêté DDT/SEEF n° 2013-1136 du 04 novembre 2013

Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées

Nom ou dénomination et forme juridique École pratique des hautes études EPHE du bénéficiaire de l'autorisation Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive CNRS UMR 5175 MM Marc CHEYLAN, Philippe GENIEZ, Claude MIAUD, Olivier DURIEZ, Pierre- Nom des mandataires André CROCHET Adresse 1919 route de Mende Code postal - Commune 34293 MONTPELLIER cedex 5

93 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 EST AUTORISE A

ENLEVER - TRANSPORTER - DETENIR - UTILISER

LES SPECIMENS MORTS De l'espèce Quantité Description Toutes les espèces d'amphibiens et de reptiles Enlèvement d'amphibiens et de reptiles trouvés morts présentes dans la région Rhône-Alpes à l'exclusion Non définie écrasés sur les routes, pour des études (génétique, des espèces figurant dans l'arrêté du 9 juillet 1999 biométrique) et leur conservation muséologique

Lieu de réalisation de l'activité Lieu d'arrivée pour les transports (lieu de départ pour les transports) CEFE -CNRS 1919 route de Mende 34293 Montpellier Département de la Savoie et territoire national si nécessaire

Conditions particulières :

A l'issue des opérations, le bénéficiaire de l'autorisation adressera un rapport sur le déroulement et le résultat des opérations à la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Rhône-Alpes.

La présente autorisation est délivrée sous réserve des droits des tiers et ne vaut pas dispense des autorisations exigibles au titre d'autres règlementions, et notamment celles afférentes à la protection des espaces naturels (APPB, réserves naturelles, parcs nationaux, sites classés...).

 Original bénéficiaire Autorisation valable jusqu'au 31 décembre 2015  Copie DREAL

 Copie DDT Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation,  Copie SD ONCFS/ONEMA Le chef du service environnement, eau, forêts Signé : Olivier PUTOT N.B. : Cette décision sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture

Arrêté préfectoral n° 2013-1111 du 05 novembre 2013

Objet : portant MISE EN DEMEURE SCI ʺLes Cimes du Lac ʺ – commune de NOVALAISE enrochement des berges et obstruction du lit du ruisseau ʺLe Croc ʺ

Article 1er : La SCI «Les Cimes du Lac», représentée par son gérant M. Clément BELLEMIN, est mise en demeure de :

• déposer un dossier de déclaration conforme aux dispositions de l'art R214-6 du code de l'environnement, qui précisera : o le nom et les coordonnées du maître d'ouvrage, du maître d’œuvre et de l'entreprise ayant réalisé les travaux ; o l'état initial du milieu avant travaux (description succincte, photos) ; o la description des travaux réalisés ; o une proposition de modification des ouvrages réalisés, de façon à garantir leur stabilité et la préservation des intérêts du milieu aquatique visés à l'article L.211-1 du code de l'environnement. Cette proposition devra être conforme aux engagements pris lors de la visite du 15/10/2013, à savoir a minima : - réalisation d'une risberme en pied de berge de 80 cm de largeur, sur environ 25 ml dans la partie élargie du talus, - maintien du pied de talus, en arrière de la risberme par tressage végétal d'une hauteur de 50 cm, - végétalisation du pied de talus sur le reste du linéaire à l'aide de boutures de saule, o le délai de réalisation des travaux en question.

Ce dossier devra être déposé auprès des services de la DDT dans un délai de trois semaines suivant notification du présent arrêté.

Article 2 : En cas de non respect des prescriptions prévues par l'article 1er du présent arrêté, la SCI «Les Cimes du Lac», représentée par M. Clément BELLEMIN, est passible des sanctions administratives prévues par les articles L171-7 du code de l'environnement ainsi que des sanctions pénales prévues par les articles L173-1 à L173-12 du même code.

Article 3 : Le présent arrêté sera notifié à la SCI «Les Cimes du Lac». En vue de l'information des tiers, - une copie de cet arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie, - une copie sera affichée sur site, ainsi qu'à la mairie de Novalaise.

Article 4 : Ainsi que prévu à l'article L171-11 du code de l'environnement, la présente décision est soumise à un contentieux de pleine juridiction.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

94 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté Préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1112 du 05 nove mbre 2013

Objet : portant MISE EN DEMEURE Société FONTAINE TP – commune de NOVALAISE enrochement des berges et obstruction du lit du ruisseau «Le Croc»

Article 1er : La Société FONTAINE TP, représentée par son gérant M. Frédéric COURTIAL, est mise en demeure de :

• déposer un dossier de déclaration conforme aux dispositions de l'art R214-6 du code de l'environnement, qui précisera : o le nom et les coordonnées du maître d'ouvrage, du maître d’œuvre et de l'entreprise ayant réalisé les travaux ; o l'état initial du milieu avant travaux (description succincte, photos) ; o la description des travaux réalisés ; o une proposition de modification des ouvrages réalisés, de façon à garantir leur stabilité et la préservation des intérêts du milieu aquatique visés à l'article L.211-1 du code de l'environnement. Cette proposition devra être conforme aux engagements pris lors de la visite du 15/10/2013, à savoir a minima : - réalisation d'une risberme en pied de berge de 80 cm de largeur, sur environ 25 ml dans la partie élargie du talus, - maintien du pied de talus, en arrière de la risberme par tressage végétal d'une hauteur de 50 cm, - végétalisation du pied de talus sur le reste du linéaire à l'aide de boutures de saule, o le délai de réalisation des travaux en question.

Ce dossier devra être déposé auprès des services de la DDT dans un délai de trois semaines suivant notification du présent arrêté.

Article 2 : En cas de non respect des prescriptions prévues par l'article 1er du présent arrêté, la Société FONTAINE TP, représentée par M. Frédéric COURTIAL, est passible des sanctions administratives prévues par les articles L171-7 et suivants du code de l'environnement ainsi que des sanctions pénales prévues par les articles L173-1 à L173-12 du même code.

Article 3 : Le présent arrêté sera notifié à la Société FONTAINE TP. En vue de l'information des tiers, - une copie de cet arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie, - une copie sera affichée sur site, ainsi qu'à la mairie de NOVALAISE.

Article 4 : Ainsi que prévu à l'article L171-11 du code de l'environnement, la présente décision est soumise à un contentieux de pleine juridiction.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

Arrêté préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1099 en date du 06 novembre 2013

Objet : Autorisant des destructions par tir de grands cormorans durant la campagne 2013-2014

Article 1 - Des opérations de destruction par tir de spécimens de l'espèce Phalocrocorax carbo sinensis sont autorisées sur les sites ci- dessous désignés où la prédation de grands cormorans présente des risques pour des populations de poissons menacées :

- le lac du Bourget - les cours d'eau et plans d'eau du massif des Bauges - le lac d'Aiguebelette - les cours d'eau et plans d'eau de la vallée de Couz et de l'Avant-Pays Savoyard - le fleuve Rhône - les cours d'eau et plans d'eau des vallées de l'Arc, de l'Isère, du Gelon - le lac de Sainte Hélène.

Le prélèvement sur ces zones est limité à 75 oiseaux et les tirs peuvent être réalisés jusqu'à cent mètres des rives du cours d'eau ou du plan d'eau.

Article 2 - Les tirs seront réalisés par :

¬ des agents assermentés : agents de l'État commissionnés en matière de police de la chasse, agents de l'environnement près de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage et de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, lieutenants de louveterie, gardes-pêche et gardes-chasse particuliers titulaires d'un agrément en cours de validité,

¬ sur le domaine public fluvial, des chasseurs proposés par le locataire du droit de chasse au gibier d'eau et bénéficiant d'une autorisation individuelle. Pour chacun de ces chasseurs, l'autorisation porte sur la partie du domaine public fluvial louée par l'association dont il dépend,

¬ des intervenants titulaires d'un permis de chasser validé et encadrés par l'un des agents assermentés désignés au premier alinéa du présent article.

Article 3 - Les bénéficiaires d'une autorisation doivent respecter les règles ordinaires de la police de la chasse, notamment l’interdiction de l’emploi de la grenaille de plomb dans les zones humides. Ils doivent également être titulaires d’un permis de chasser validé pour le lieu et la saison cynégétique.

Les tirs de grands cormorans sont autorisés pour la période comprise entre la date d'ouverture de la chasse au gibier d'eau et le dernier jour du mois de février. Ils sont réalisés durant la période comprise entre l'heure précédant le lever du soleil et l'heure suivant le coucher du soleil au chef-lieu du département.

95 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 La présente autorisation est délivrée sous réserve des droits des tiers et ne vaut pas dispense des autorisations exigibles au titre d'autres règlementations, et notamment celles afférentes à la protection des espaces naturels. Le cas échéant, l'autorisation d'intervention sur la propriété d'autrui doit être préalablement dûment obtenue par les intervenants.

Article 4 - Les tirs sont suspendus du 8 au 15 janvier 2014 inclus afin de permettre la préparation et la réalisation d'un dénombrement de grands cormorans.

Article 5 - Les agents assermentés mentionnés au premier alinéa de l'article 2 du présent arrêté sont seuls habilités, sur leur territoire d'agrément, à intervenir au titre du présent arrêté dans les réserves de chasse et de faune sauvage.

Article 6 - Les bagues de marquage récupérées sur les oiseaux tirés sont acheminées le plus rapidement possible vers la DDT Savoie- Service Environnement, Eau, Forêts-L'Adret-1 rue des Cévennes-BP 1106-73011 CHAMBERY CEDEX.

Dans le cas où les oiseaux abattus font l'objet d'une pesée, leur transport est autorisé jusqu'au domicile des tireurs avant la destruction des spécimens.

Article 7 - A l'issue de chaque sortie, les titulaires d'autorisations individuelles et les agents assermentés ayant réalisé ou encadré des opérations de tir doivent adresser un compte rendu de destruction, établi suivant le modèle annexé au présent arrêté, dans les 48 heures par courrier à la DDT Savoie-Service Environnement, Eau, Forêts-L'Adret-1 rue des Cévennes BP 1106 73011 CHAMBERY CEDEX ou par courriel à [email protected]

A défaut de la transmission du compte rendu par le bénéficiaire de l'autorisation, il ne pourra pas être délivré de nouvelle autorisation pour l'année suivante.

Article 8 - L'autorisation préfectorale individuelle de tir des grands cormorans, ou l'agrément en qualité de garde particulier en cours de validité, devra être présentée à toute réquisition des services de contrôle.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

96 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 DDT de la SAVOIE Unité forêts, chasse, milieux naturels

Opérations de régulation de Grands Cormorans 2013/2014

Rappel : - Fiche à remplir pour chaque opération débutée et à renvoyer dans les 48 heures :

DDT SAVOIE Cellule Chasse Faune Sauvage - L'Adret - 1 rue des Cévennes - BP 1106 73011 CHAMBERY CEDEX FAX : 04.79.71.74.48 Courriel : [email protected]

Date de l'opération : ...... /...... / ……. Horaire : de ...... heure ..... à ...... heure .....

Commune(s) Lieu-dit Site d'opération

♦ Bourget - Bauges

♦ Aiguebelette – Guiers - Avant Pays

♦ Arc – Isère – Gelon - Ste Hélène

♦ Rhône

Nom des tireurs Qualité Émargement 1 2 3 4

Utilisation de bateau oui  non  type de bateau : ...... propriétaire : ...... MOYENS Affût  Approche  Armes cal :...... Fusil  n° grenaille sans plomb :….....

Nombre d'oiseaux vus ------

Nombre d'oiseaux tirés ------

BILAN Nombre d'oiseaux abattus------dont récupérés ------

Nombre d'oiseaux blessés ------dont récupérés ------

Nombre de cartouches utilisées ---

Relevé des poids des oiseaux = ………../………………/……………./………………/……………../……………/…….

ACHEMINEMENT DES OISEAUX MORTS Date ...... /……../ ………. Destination = ......

OISEAUX PORTEURS DE BAGUES = numéros des bagues ……………………………………….…………………………... ⊗ les bagues doivent être acheminées le plus rapidement possible vers la Direction Départementale des Territoires-Service Environnement, Eau, Forêts-L'Adret-1 rue des Cévennes-BP 1106-7301 CHAMBERY CEDEX

OBSERVATIONS PARTICULIERES : ...... ………………...... ………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………

97 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1100 en date du 06 novembre 2013

Objet : Autorisant des destructions individuelles de grands cormorans durant la campagne 2013-2014

Article 1 – Les personnes ci-dessous désignées en qualité d'ayants droit sont autorisées à procéder, sur le domaine public fluvial des sites indiqués, à des prélèvements d'oiseaux de l'espèce Grand Cormoran (Phalacrocorax carbo sinensis) durant la campagne 2013- 2014 dans le respect des dispositions de l'arrêté préfectoral DDT/SEFF n°2012-1099 susvisé et des pres criptions fixées à l'article 2 du présent arrêté :

Tireurs autorisés Site

M. ANDRE MASSE Jean M. BORGEY Jean-Pierre M. DUPRAZ Jean-Louis M. FURLAN Rémi M. GOJON Gilles M. GOJON René M. LIGNEAU CHAPELIN DE SEREVILLE Fabrice Lots de chasse n°4, 5, 5 bis, 6 et 7 du domaine M. PERROTIN Patrice public fluvial du Rhône géré par le G.I.C. BASSE M. PIQUET Roger SAVOIE-BUGEY M. PETITE Paul M. REY Jean Charles M. ROUSSEAU Georges M. SPADILIERO Gilles M. SPADILIERO Jean-Paul M. VENTRE Olivier

Tireurs autorisés Site M. ADAM Pascal M.AMBLARD Fernand M. BOGEAT Justin M. BOTTAN Jérémy M. BOCHER-LEROY Ludovic M. M. CATTELA Jean-Paul M. CHERMAIN Patrice MM CHEVELARD Bernard et Jérôme M. CONCE Xavier M. DEBORTOLI Michel M. DUBOIS Patrice M. DUPRAZ Jean-Louis M. DURAND Guillaume Lot de chasse unique du domaine public lacustre MM FERULLO Biagio et Gino du Lac du Bourget géré par l'AICA du LAC DU M. FURLAN Rémi BOURGET M. GIMENEZ Didier MM GRUFFAT Denis et Jérôme M. LIGNEAU CHAPELIN DE SEREVILLE Fabrice M. NARABUTIN Éric MM PARISI Antoine et Jacques M. PICON Régis M. PUTHOD Daniel MM RICHARD Maxime et Patrick MM SAVIGNAC Bernard, Claude, Franck et Grégory M. TOCHON Jean-Paul M. TOURNIER Pierre M. VERGUET Raymond

Article 2 - Les conditions particulières de réalisation sont les suivantes :

Les bénéficiaires d'une autorisation doivent respecter les règles ordinaires de la police de la chasse, notamment être munis de leur permis de chasser validé pour le lieu et la saison cynégétique. La présente autorisation individuelle de tir des grands cormorans, dupliquée pour chacun des ayants droit, devra être présentée à toute réquisition des services de contrôle.

Les interventions de destruction pourront être réalisées dans une zone située à moins de 100 mètres des rives du cours d'eau ou du plan d'eau.

Les tirs de grands cormorans sont autorisés pour la période comprise entre la date d'ouverture de la chasse au gibier d'eau et la dernier jour du mois de février. Ils sont réalisés durant la période comprise entre l'heure précédant le lever du soleil et l'heure suivant le coucher du soleil au chef-lieu du département.

Les tirs sont suspendus du 08 au 15 janvier 2014 inclus afin de permettre la préparation et la réalisation d'un dénombrement de grands cormorans.

98 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 En outre, les droits des tiers sont préservés et, le cas échéant, l'autorisation d'intervention sur la propriété ou le territoire de chasse d'autrui doit être dûment obtenue par les intervenants.

Les bagues de marquage récupérées sur les oiseaux tirés sont acheminées le plus rapidement possible vers la Direction départementale des territoires - SEEF L'Adret 1 rue des Cévennes-BP1106-73011 CHAMBERY Cedex.

Dans le cas où les oiseaux abattus font l'objet d'une pesée, leur transport est autorisé jusqu'au domicile des tireurs avant la destruction des spécimens.

A l'issue de chaque opération, les titulaires d'autorisations individuelles ayant réalisé un tir doivent adresser un compte rendu de destruction, établi suivant le modèle annexé au présent arrêté, dans les 48 heures par courrier à la DDT Savoie-Service Environnement, Eau, Forêts - L'Adret - 1 rue des Cévennes BP 1106 73011 CHAMBERY CEDEX ou par courriel à [email protected] . A défaut de la transmission du compte rendu par le bénéficiaire de l'autorisation, il ne pourra pas être délivré de nouvelle autorisation pour l'année suivante.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

99 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 DDT de la SAVOIE Unité forêts, chasse, milieux naturels

Opérations de régulation de Grands Cormorans 2013/2014

Rappel : - Fiche à remplir pour chaque opération débutée et à renvoyer dans les 48 heures :

DDT SAVOIE Cellule Chasse Faune Sauvage - L'Adret - 1 rue des Cévennes - BP 1106 73011 CHAMBERY CEDEX FAX : 04.79.71.74.48 Courriel : [email protected]

Date de l'opération : ...... /...... / ……. Horaire : de ...... heure ..... à ...... heure .....

Commune(s) Lieu-dit Site d'opération

♦ Bourget - Bauges

♦ Aiguebelette – Guiers - Avant Pays

♦ Arc – Isère – Gelon - Ste Hélène

♦ Rhône

Nom des tireurs Qualité Émargement 1 2 3 4

Utilisation de bateau oui  non  type de bateau : ...... propriétaire : ...... MOYENS Affût  Approche  Armes cal :...... Fusil  n° grenaille sans plomb :….....

Nombre d'oiseaux vus ------

Nombre d'oiseaux tirés ------

BILAN Nombre d'oiseaux abattus------dont récupérés ------

Nombre d'oiseaux blessés ------dont récupérés ------

Nombre de cartouches utilisées ---

RELEVE DES POIDS DES OISEAUX = ………../………………/……………./………………/……………../……………/…….

ACHEMINEMENT DES OISEAUX MORTS Date ...... /……../ ………. Destination = ......

OISEAUX PORTEURS DE BAGUES = numéros des bagues ……………………………………….…………………………... ⊗ les bagues doivent être acheminées le plus rapidement possible vers la Direction Départementale des Territoires-Service Environnement, Eau, Forêts-L'Adret-1 rue des Cévennes-BP 1106-7301 CHAMBERY CEDEX

OBSERVATIONS PARTICULIERES : ...... ………………...... ………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………

100 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté Préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1101 du 06 nove mbre 2013

Objet : Autorisant l'exploitation d'une installation de stockage de déchets inertes pris en application de l'article L 541-30-1 du code de l'environnement

Article 1 ier : Le SMITOM de Tarentaise, 252 Grande rue - 73212 AIME Cedex, est autorisé à exploiter une installation de stockage de déchets inertes, sise au lieu-dit "La Loy" – commune des ALLUES 73550, dans les conditions définies par le présent arrêté et ses annexes.

L’exploitation du site de l’installation est confiée à une personne techniquement compétente et nommément désignée par l’exploitant.

La présente autorisation est accordée sous réserve du droit des tiers et sans préjudice du respect des autres réglementations en vigueur et notamment celle relative à l’eau et aux milieux aquatiques.

Article 2 : La surface foncière affectée à l’installation est de 3 hectares 3 ares 90 centiares.

Cette surface est située sur les parcelles cadastrales suivantes :

Surface affectée à l’installation Surface affectée au stockage de Commune Lieu-dit Parcelles (m²) déchets (m²) Cf listing 30.390 LES ALLUES "La Loy" 17.390 TOTAL 30.390

Article 3 : A compter de la notification du présent arrêté, la durée prévisionnelle d’exploitation du site est de dix ans.

Article 4 : La capacité totale de stockage de déchets inertes autorisée est de : 60.000 m 3

Article 5 : La quantité maximale annuelle de déchets inertes pouvant être admise sur le site est de : 20.000 m 3.

Article 6 : L’exploitant doit adresser un rapport annuel au préfet précisant les types et quantités de déchets admis, les éventuels effets néfastes constatés et les mesures prises pour y remédier. À cette fin, l’exploitant adresse chaque année au préfet la déclaration prévue par l’arrêté du 7 novembre 2005 susvisé avant le 1er avril de l’année en cours pour ce qui concerne les données de l’année précédente. Il y indique, le cas échéant, les événements notables liés à l'exploitation du site.

Article 7 : Le bénéficiaire de la décision ou tout tiers ayant un intérêt à agir peut contester cette décision en saisissant le tribunal administratif compétent, d’un recours contentieux dans les deux mois à compter de la notification ou de la réalisation des formalités de publicité de la décision.

Il peut également saisir d’un recours gracieux l’auteur de la décision. Cette démarche proroge le délai de recours contentieux qui doit alors être introduit dans les deux mois suivant la réponse (l’absence de réponse au terme du délai de deux mois valant rejet implicite).

Article 8 : Le présent arrêté est notifié à l’exploitant qui procède à son affichage sur site. Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie des Allues pour une durée de deux mois par les soins du maire.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

Arrêté préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1105 du 19 nove mbre 2013

Objet : capture ou enlèvement, destruction et perturbation intentionnelle de spécimens d'espèces animales protégées, destruction, altération et dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées, et destruction et transplantation de Allium scorodoprasum (ail rocambole) et Tulipa raddii (Tulipa praecox - tulipe précoce) par la société Lyon Turin ferroviaire pour les travaux de reconnaissance à partir de la descenderie de Saint-Martin-La-Porte sur les communes de Saint-Julien-Montdenis et Saint-Martin-La-Porte

Article 1 ier : Dans le cadre des travaux de reconnaissance à partir de la descenderie de Saint-Martin-La-Porte pour la réalisation de la nouvelle ligne ferroviaire Lyon-Turin sur les communes de Saint Julien Montdenis et Saint-Martin-La-Porte (cf annexe 1 : localisation des 3 sites concernés par la présente autorisation: Plan d'Arc, Saint Felix et Illaz), la société Lyon Turin ferroviaire, représentée par son président M. Hubert Du Mesnil, dont le siège est domicilié au 1091, avenue de la Boisse – BP 80 631 - 73006 Chambéry est autorisée à capturer, relâcher, perturber ou détruire des spécimens des espèces protégées, ainsi que leurs habitats tels que présentés dans le tableau ci-dessous en réalisant les engagements énoncés dans le dossier daté du 8 avril 2013 et de l'addendum daté du 26 juin 2013 :

101 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

DESTRUCTION, ALTERATION OU DEGRADATION DE SITES DE REPRODUCTION OU AIRES DE REPOS D’ESPECES ANIMALES PROTEGEES Amphibiens et reptiles Crapaud calamite ( Bufo calamita ) Grenouille agile (Rana dalmatina) Couleuvre à collier ( Natrix natrix ) Couleuvre d'Esculape (Zamenis longissimus) Couleuvre verte et jaune ( Hierophis viridiflavus) Lézard des murailles ( Podarcis muralis) Lézard vert (Lacerta viridis) Mammifères Pipistrelle commune ( Pipistrellus pipistrellus) Pipistrelle de Kuhl ( Pipistrellus kuhlii) Hérisson d'Europe ( Erinaceus europaeus) Écureuil roux ( Sciurus vulgaris) Oiseaux Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus) Huppe fasciée ( Upupa epops ) Torcol fourmilier ( Jynx torquilla ) Pic noir ( Dryocopus martius ) Rossignol philomèle ( Luscinia megarhynchos ) Serin cini ( Serinus serinus ) Epervier d'Europe ( Accipiter nisus ) Pic épeiche ( Dendrocopos major) Rouge-gorge familier ( Erithacus rubecula ) Mésange noire ( Parus ater ) Mésange nonnette ( Parus palustris ) Pouillot de Bonelli ( Phylloscopus bonelli ) Pouillot véloce ( Phylloscopus collybita ) Pic vert ( Picus viridis ) Sittelle torchepot ( Sitta europaea ) Troglodyte mignon ( Trogodytes troglodytes ) Bergeronnette grise ( Motacilla alba ) Moineau domestique ( Passer domesticus ) Rougequeue noir ( Phoenicurus ochruros ) Fauvette a tête noire ( Sylvia atricapilla ) Mésange bleue ( Parus caeruleus ) Mésange charbonnière ( Parus major ) Pinson des arbres ( Fringilla coelebs )

CAPTURE ET RELACHER DE SPECIMENS D’ESPECES ANIMALES PROTEGEES Amphibiens et reptiles Crapaud calamite (Bufo calamita) Crapaud commun (Bufo bufo) Grenouille agile (Rana dalmatina) Grenouille rieuse (Rana ridibunda)

DESTRUCTION ET PERTURBATION INTENTIONNELLE DE SPECIMENS D’ESPECES ANIMALES PROTEGEES Amphibiens et reptiles Crapaud calamite (Bufo calamita) Crapaud commun (Bufo bufo) Grenouille agile (Rana dalmatina) Grenouille rieuse (Rana ridibunda) Couleuvre verte et jaune ( Hierophis viridiflavus) Lézard des murailles ( Podarcis muralis) Lézard vert (Lacerta viridis) Couleuvre à collier ( Natrix natrix ) Couleuvre d'Esculape (Zamenis longissimus) Orvet fragile ( Anguis fragilis ) Mammifères Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus) Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) Murin à moustaches, Vespertilion à moustaches ( Myotis Murin de Daubenton, Vespertilion de Daubenton ( Myotis mystacinus ) daubentonii) Murin de Natterer, Vespertilion de Natterer ( Myotis nattereri ) Noctule commune (Nyctalus noctula) Noctule de Leisler ( Nyctalus leisleri ) Pipistrelle commune ( Pipistrellus pipistrellus) Pipistrelle de Kuhl ( Pipistrellus kuhlii) Pipistrelle de Nathusius ( Pipistrellus nathusii ) Sérotine bicolore ( Vespertilio murinus ) Sérotine commune ( Eptesicus serotinus ) Sérotine de Nilsson ( Eptesicus nilssonii ) Vespère de Savi ( Hypsugo savii ) Grand Murin ( Myotis myotis ) Petit murin ( Myotis blythi ). Oreillard roux ( Plecotus auritus ) Oreillard gris ( Plecotus austriacus ) Oreillard alpin ( Plecotus macrobullaris ) Écureuil roux ( Sciurus vulgaris) Hérisson d'Europe ( Erinaceus europaeus) Oiseaux Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus) Huppe fasciée ( Upupa epops ) Torcol fourmilier ( Jynx torquilla ) Pic noir ( Dryocopus martius ) Rossignol philomèle ( Luscinia megarhynchos ) Serin cini ( Serinus serinus )

102 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Epervier d'Europe ( Accipiter nisus ) Pic épeiche ( Dendrocopos major) Rouge-gorge familier ( Erithacus rubecula ) Mésange noire ( Parus ater ) Mésange nonnette ( Parus palustris ) Pouillot de Bonelli ( Phylloscopus bonelli ) Pouillot véloce ( Phylloscopus collybita ) Pic vert ( Picus viridis ) Sittelle torchepot ( Sitta europaea ) Troglodyte mignon ( Trogodytes troglodytes ) Bergeronnette grise ( Motacilla alba ) Moineau domestique ( Passer domesticus ) Rougequeue noir ( Phoenicurus ochruros ) Fauvette a tête noire ( Sylvia atricapilla ) Mésange bleue ( Parus caeruleus ) Mésange charbonnière ( Parus major ) Pinson des arbres ( Fringilla coelebs )

ENLEVEMENT, ARRACHAGE DE SPECIMENS D'ESPECES VEGETALES PROTEGEES Tulipe précoce (Tulipa raddii - Tulipa praecox ) environ Ail rocambole (allium scorodoprasum) environ 300 pieds 100 pieds

Article 2 : la société Lyon Turin Ferroviaire devra dans ce cadre respecter les engagements en faveur de la faune et de la flore tels que présentés dans le dossier de « demande de dérogation aux interdictions portant sur les espèces protégées – travaux de reconnaissance à partir de la descenderie de Saint-Martin-La-Porte» d'avril 2013 (pages 288 à 422) et de l’addendum du 26 juin 2013 en vue du passage en Commission Faune du CNPN le 8 juillet 2013 ainsi que les conditions émises par le Conseil National de Protection de la Nature (CNPN) :

Mesures d’évitement

• réduction des emprises des sites de chantier et de dépôt (cf annexe 2 : réduction des emprises), - site de Plan d'Arc : évitement de stations de Tulipe précoce, - site d'Illaz : évitement de stations d'Ail rocambole et maintien d'un corridor sur une largeur de 5 mètres le long de l'Arc, - site de Saint Felix : préservation d'un secteur à vocation écologique à l’ouest, préservation du boisement de part et d'autre du ruisseau, maintien d'un corridor sur une largeur de 2 mètres le long de l'Arc.

Dès le lancement des travaux et sur l'ensemble de la durée du chantier, un suivi annuel (printemps-été) sera réalisé pour s'assurer du maintien des espèces protégées et habitats d'espèces sur les zones évitées sur les 3 sites.

• Adaptation du planning des travaux : - élagages, abattages des arbres et terrassement entrainant la destruction de la strate herbacée proscrits du 1er mars au 31 juillet, - élagages, abattages des arbres constituant des gîtes à chiroptères proscrits du 1er mars au 31 août, - terrassement initial, dessouchage à éviter du 31 octobre au 1er juin pour limiter la destruction d'individus de reptiles et d'amphibiens. En cas de dessouchage à réaliser entre le 31 octobre et le 1er juin, il ne pourra être réalisé qu'après mise en place de la mesure de réduction « nettoyage avant travaux des éléments favorables aux amphibiens et aux reptiles », vérification de l'absence d'individus de reptiles et d'amphibiens et accord du coordonnateur environnemental.

Mesures de réduction

• définition et réduction des emprises de chantier et des voies de circulation, • balisage des zones à enjeux sur les sites de Plan d'Arc, Illaz et Saint Felix (cf annexe 3), • mise en place de barrières pour limiter les destructions de petite faune : - dispositif anti-retour pour les amphibiens au niveau des zones sensibles en amont de toute intervention et au niveau des secteurs humides pour éviter que les amphibiens utilisent les ornières formées par le passage répété des engins, - clôtures hermétiques autour des sites de chantier, • Nettoyage avant travaux des éléments favorables aux amphibiens et aux reptiles entre juillet et octobre, avant chaque phase de démarrage de chantier, • Maintien des continuités écologiques au sein des emprises : mise en place de buses sous les pistes du site de Plan d'Arc, • Phasage de la mise en dépôt sur le site de Plan d'Arc (cf annexe 4), Avant le lancement des différentes phases d'utilisation du site de Plan d'Arc, des prospections écologiques seront réalisées pour s'assurer que de nouvelles espèces protégées n'ont pas colonisé la zone. Un rapport de suivi sera envoyé à la DREAL, • protection de la végétation vis à vis de la poussière, • lutte contre les espèces végétales invasives : balisage des foyers d'espèces, fauche avant fructification, décaissage des terres, nettoyage du matériel en contact, traitement des terres entreposées, semis des surfaces remaniées avec des essences végétales locales et concurrentielles, plan de lutte pour éviter la colonisation des espèces invasives à mettre en place sur les sites à renaturer, • mise en œuvre d'un plan de respect de l’environnement et intégration au cahier des charges techniques de chaque entreprise prestataire, • garantir l'absence de pollution diffuse et mise en place de mesures de prévention générales sur les sites de chantier : imperméabilisation des zones de stationnement et d'entretien des engins de chantier, mise en place d'un système de collecte et d’assainissement des eaux de ruissellement, aménagement des zones de franchissement, maintien d'une bande rivulaire végétalisée en bordure de l'Arc, • limitation de la pollution lumineuse et sonore : si l'éclairage nocturne des zones de travaux est nécessaire, les éclairages seront dirigés vers le sol et présenteront une intensité minimale, • coordination environnementale du chantier : présence d'un responsable environnement travaux, formation du personnel de chantier avant tout démarrage de travaux, signalisation des zones sensibles, encadrement du chantier par un coordonnateur environnemental, rattaché au maître d'ouvrage, qui sera assisté par une structure compétente en écologie ou un ingénieur écologue,

103 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 • transplantation des pieds de Tulipe de Maurienne et d'Ail Rocambole présents dans l'emprise des travaux. Les bulbes seront récoltés à l'automne et réimplantés dans des secteurs appropriés dans la zone de compensation. Ce travail devra être réalisé en partenariat avec le Conservatoire Botanique National Alpin (CBNA), • déplacement des amphibiens présents au sein des emprises vers des mares nouvellement créées.

Mesures compensatoires

• gestion des stations de « Tulipe précoce » en bordure du site du Plan d'Arc sur les délaissés de la RD 1006 (environ 0,1 ha) par réouverture de milieux abritant l'espèce, en partenariat avec le Conseil Général 73 (cf annexe 5) ; • création d'un réseau de sites favorables au crapaud calamite sur les terrasses alluviales de l'Arc et d’enrochements ou d'hibernaculums en faveur des amphibiens et des reptiles. Ces aménagements seront gérés sur une durée de 30 ans (cf annexe 3 : balisage des zones à enjeux, site de Saint Félix et annexe 6) : - site de Plan d'Arc : recréation de 4 mares de substitution et adaptation de 2 bassins de collecte sur l'emprise du site, après travaux, - site de Saint Félix et Illaz : recréation d'au minimum 2 mares de substitution sur l'emprise des sites, après travaux, - site de Saint Félix : création d'une mare de substitution pour les amphibiens et d'enrochements ou d'un hibernaculum à proximité du site, sur une zone de compensation d'environ 0,1 ha, - secteur compris entre les sites de Saint-Julien et Illaz : création de 3 mares de substitution et d'enrochements ou de 3 hibernaculums, sur une zone de compensation d'environ 1,5 ha (délaissés de l'ex-RN6), - recréation de 3 mares sur d'autres parcelles à identifier,. • gestion d'au minimum 5 hectares de mosaïques de milieux arbustifs et ouverts sur le secteur du Poutet : élaboration d'un plan de gestion conservatoire, travaux de réouverture de pelouses en cours de fermeture et réouvertures d’anciens vergers enfrichés, gestion des milieux sur une période de 30 ans. Une convention associant le conservatoire des espaces naturels de Savoie (CEN Savoie), sera signée avec l'Association Foncière Pastorale. Le plan de gestion sera établi en partenariat avec le CEN Savoie et le CBNA (cf annexe 7). • amélioration des capacités d'accueil du boisement conservé sur Saint Félix (par exemple, pose de nichoirs à chiroptères) (cf annexe 2 – secteur Saint Félix) ; • mise en place d'îlots de sénescence (absence de gestion sur 30 ans) avec installation de nichoirs à chauves-souris sur 20,5 hectares.

Mesures d'accompagnement

• réhabilitation des sites de chantier Illaz (6,42 ha) et Saint -Félix (4,22 ha) : replantation de linéaires de haies et ripisylves, • réhabilitation du site de dépôt de Plan d'Arc (10,84 ha de mosaïques de milieux ouverts et arbustifs/arborés), • recherche de colonies de chauves-souris : suivis des individus pour identifier les gîtes, • amélioration des connaissances sur la répartition du crapaud calamite en moyenne Maurienne.

Mesures de suivi

• veille écologique avant le démarrage des travaux, • suivi scientifique de l'efficacité des mesures compensatoires sur 30 ans afin de contrôler l’évolution des espèces protégées et adapter au besoin la gestion conservatoire mise en place. Les protocoles devront être validés par la DREAL après avis du Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel, si nécessaire, Des rapports de suivi seront produits : années n+1, n+3, n+5, puis tous les 5 ans jusqu’à n+30 et transmis à la DREAL Rhône Alpes, au Conservatoire Botanique National Alpin ainsi qu'aux experts délégués flore et faune du Conseil National de la Protection de la Nature.

Article 3 : Il est précisé qu’au cours de la validité de la présente autorisation pourrait intervenir -après ratification de l’accord international signé le 30 janvier 2012- l'opérativité d'un nouveau promoteur qui se substituera à LTF. Par bénéficiaire il est donc entendu LTF ou le nouveau promoteur qui lui succédera. La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

Article 4 : Le bénéficiaire ou son représentant doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations d'enlèvement, de destruction, d'altération d'espèces et d’habitats d'espèces citées à l’article 1 et il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de l’environnement. L’autorisation est accordée pour une durée de 30 ans.

Article 5 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Grenoble, dans un délai de deux mois à compter de sa notification.

Le Préfet, Signé : Éric JALON

Arrêté préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1113 du 19 nove mbre 2013

Objet : Fixant la liste des animaux classés nuisibles et les modalités de destruction à tir pour la période 2013-2014 dans le département de la SAVOIE

Article 1 - Dans l'intérêt de la santé et de la sécurité publiques, pour prévenir les dommages aux activités agricoles et forestières ou pour la protection de la faune et de la flore, les animaux des espèces suivantes sont classés nuisibles jusqu'au 30 Juin 2014 dans les lieux désignés ci-après :

104 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

Espèces Lieux où l'espèce est classée nuisible

Grésy sur Isère sauf : Grésy sur Isère Communes des cantons de : Montmélian sauf : Saint Pierre de Soucy, Villard d'Héry, Villaroux St Pierre d'Albigny sauf : La Thuile, Lapin de Garenne Chambéry Est, Sud et Sud-Ouest (oryctolagus cuniculus) Tresserve, Saint Sulpice, La Motte Servolex, Barby, Saint Baldoph, Saint Communes de : Jeoire Prieuré, Cognin, Jongieux, Lucey, Saint Jean de Chevelu, Yenne, Billième ( sauf lieux-dits "Colline de Lierre" et "Les Sablières "), Bourgneuf, Argentine, La Chambre, Les Chavannes en Maurienne et St Avre Sanglier Ensemble du Département (sus scrofa)

Article 2 - Les territoires, périodes et modalités de destruction des animaux classés nuisibles en application de l'article L 427-8 du code de l'environnement sont fixées comme suit jusqu'au 30 Juin 2014 :

Modalités de destruction Espèces Territoires Périodes Mode de prélèvement Modalités spécifiques Respect des Piégeage dispositions relatives au Toute l'année piégeage Totalité des lieux où Capture par bourses Lapin de garenne l'espèce est classée et furets nuisible Du 15 août 2013 jusqu'à l'ouverture Autorisation générale de la chasse et du 13 Tir préfectorale individuelle janvier 2014 au 31 mars 2014 Du 13 janvier 2014 Sanglier Département Tir au 31 mars 2014

Article 3 : La demande d'autorisation de destruction est souscrite auprès de la direction départementale des territoires par le détenteur du droit de destruction ou son délégué, après visa du maire de la commune.

Elle est formulée selon le modèle annexé au présent arrêté (annexe 1).

Le Préfet, Signé : Éric JALON

105 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Modèle de demande d'autorisation individuelle de destruction à tir d'animaux nuisibles

Je soussigné (nom, prénom) : ...... demeurant à : ...... téléphone : ...... agissant en qualité de : ( rayer les mentions inutiles )

¬ Propriétaire, possesseur, fermier ¬ Délégué du propriétaire, possesseur, fermier ( fournir obligatoirement une copie des délégations écrites ) sur ...... ha dont ...... ha de bois situés sur la commune de (préciser les lieux dits) sollicite l'autorisation de détruire à tir dans les conditions suivantes :

Lieux des destruction Motifs des destructions Espèces Périodes (commune, lieux-dits, parcelles) (à préciser)

Je demande l'autorisation de m'adjoindre pour ces destructions ...... auxiliaire(s), titulaire(s) de permis de chasser valable(s) pour le temps et le lieu, dont le(s) nom(s), prénom(s) et domicile(s) sont : ......

Je certifie l'exactitude des renseignements fournis ci-dessus.

A ...... , le ......

Signature

Avis du maire de la commune

Le maire de la commune de ...... atteste la qualité du demandeur et la nécessité de procéder aux opérations de destruction.

A ...... , le ......

Signature et cachet

Nota : la destruction des espèces nuisibles diffère de la chasse et relève de la compétence des propriétaires, possesseurs ou fermiers des terrains (article L.427-8 du code de l'environnement). Le droit de destruction peut être délégué par leur titulaire, par écrit , à une personne physique.

106 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1124 du 19 nove mbre 2013

Objet : Fixant la liste des secteurs où la présence du castor d'Eurasie est avérée

Article 1 - La liste des communes du département où la présence du castor d'Eurasie est avérée est fixée comme suit

Aiguebelle, Aiton, Albertville, Arbin, Argentine, La Balme, Belmont-Tramonet, Bonvillaret, Le Bourget-du-lac, Bourgneuf, Bourg-Saint- Maurice, Césarches, Chambéry, Chamousset, Champagneux, Chanaz, La Chapelle, Châteauneuf, La Chavanne, Les Chavannes-en- Maurienne, Chindrieux, Coise-Saint-Jean-Pied-Gauthier, Conjux, Cruet, Epierre, Francin, Fréterive, Frontenex, Gilly-sur-Isère, Grésy- sur-Isere, Grignon, Jongieux, Laissaud, Lucey, Les Marches, Marthod, Montailleur, Montgilbert, Montmélian, Montsapey, La Motte- Servolex, Motz, Planaise, Randens, Ruffieux, Saint-Alban-des-Hurtières, Saint-Genix-sur-Guiers, Saint-Georges-des-Hurtières, Sainte- Hélène-du-Lac, Sainte-Hélène-sur-Isère, Saint-Jean-de-la-Porte, Saint-Léger, Saint-Pierre-d'Albigny, Saint-Pierre-de-Belleville, Saint- Rémy-de-Maurienne, Saint-Vital, Serrières-en-Chautagne, Thenesol, Tournon, Ugine, Vions, Viviers-du-Lac, Voglans, Yenne.

Dans ces secteurs, l’usage des pièges de catégories 2 et 5 est interdit sur les abords des cours d’eau et bras morts, marais, canaux, plans d’eau et étangs, jusqu’à la distance de 200 mètres de la rive, exception faite du piège à œuf placé dans une enceinte munie d’une entrée de onze centimètres par onze centimètres

Le Préfet, Signé : Éric JALON

Arrêté Préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1161 en date du 21 novembre 2013

Objet : portant application du régime forestier sur la commune de Coise Saint Jean Pied Gauthier

Article 1 ier : Relèvent du régime forestier :

Propriétaire : COMMUNE DE COISE SAINT-JEAN PIED GAUTHIER

Commune Section Numéro Lieu-dit Surface en ha COISE ZA 24 ILE DE CRUET 5.4875 COISE ZA 27 ILE DE CRUET 2.6269 Total : 8.1144

- Surface de la forêt de la commune de Coise St-Jean Pied Gauthier relevant du RF : 53 ha 46 a 03 ca - Application du régime forestier pour une surface de : 8 ha 11 a 44 ca - Nouvelle surface de la forêt communale de relevant du régime forestier : 61 ha 57 a 47 ca

Article 2 : Cet arrêté est susceptible d'un recours auprès du Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de sa notification.

Le Préfet, pour le préfet et par délégation le chef du service environnement, eau, forêts Signé : Olivier PUTOT

Arrêté Préfectoral DDT/SEEF n° 2013-1162 en date du 21 novembre 2013

Objet : portant application du régime forestier sur la commune de Bonvillard

Article 1 ier : Relèvent du régime forestier :

Surface à faire relever du Propriétaire Commune de situation Section N° Lieu-d it régime forestier (ha) B 952 Le Verney 5.1360 B 953 Le Verney 1.9400 Bonvillard Bonvillard B 1112 Longeray 1.5091 E 1363 Bois Biolley 0.8590 E 1372 Bois Biolley 0.5040 Total : 9.9481

La surface de la forêt avant application du régime forestier était arrêtée à : 443 ha 22 a 92 ca La surface du présent arrêté : 9 ha 94 a 81 ca La nouvelle surface de la forêt est arrêtée à : 453 ha 17 a 73 ca

Article 2 : Cet arrêté est susceptible d'un recours auprès du Tribunal Administratif de Grenoble dans un délai de deux mois à compter de sa notification.

Le Préfet, pour le préfet et par délégation le chef du service environnement, eau, forêts Signé : Olivier PUTOT

107 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté DDT/SEEF n° 2013-1176 du 21 novembre 2013

Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées

Nom ou dénomination et forme juridique du Fédération des Associations de Protection du lac d’Aiguebelette bénéficiaire de l'autorisation Nom du mandataire Madame Catherine BERNARDY, Présidente Adresse Place de la Gare Code postal - Commune 73610 - LEPIN LE LAC

EST AUTORISEE A

EXPOSER

Lieu Fédération des Associations de Protection du lac d’Aiguebelette Adresse Place de la Gare - 73610 LEPIN LE LAC Téléphone 07.81.82.27.50

LES SPECIMENS NATURALISES

Nom Commun Nom Scientifique Quantité Description/Numéro scénographie Bergeronnette grise motacilla alba 1 entier 34 Bouvreuil pivoine pyrrhula pyrrhula 1 entier 37 Busard cendré circus pygargus 1 entier 38 Busard St Martin circus cyaneus 1 entier 39 Buse variable buteo buteo 1 entier 35 Buse variable buteo buteo 1 plumes 35B Castor d'Europe castor fiber 1 entier 40 Chouette effraie tyto alba 1 entier 3 Chouette effraie tyto alba 1 plumes 3B Chouette hulotte strix aluco 1 entier 4 Chouette hulotte strix aluco 1 plumes 4B Coronelle coronella austriaca 1 mue 2C Coucou gris cuculus canorus 1 plumes 49 Couleuvre à collier natrix natrix 1 entier 2E Couleuvre verte et jaune hierophis viridiflavus 1 entier 2F Cygne sauvage cygnus cygnus 2 entier 1 Ecureuil sciurus vulgaris 3 entier 20 Epervier d'Europe accipiter nisus 1 entier 43 Epervier d'Europe accipiter nisus 1 plumes 43A Faucon crécerelle falco tinnunculus 4 entier 28 Faucon crécerelle falco tinnunculus 1 plumes 28B Fauvette à tête noire sylvia atricapilla 1 entier 36 Fouine martes foina 2 entier 15 Grand cormoran phalacrocorax carbo 1 plumes 50 Grèbe huppé podiceps cristatus 2 entier 8 Gros bec coccothraustes coccothraustes 1 entier 32 Hérisson erinaceus europaeus 3 entier 10 Hermine mustella ermina 1 entier 18 Héron cendré ardea cinerea 2 entier 7, 7B Héron cendré ardea cinerea 1 plumes 7B Hibou moyen duc asio otus 2 entier 6 Hibou grand duc bubo bubo 1 entier 5 Hirondelle de cheminée hirundo rustica 2 ailes 51 Lézard vert lacerta viridis 1 entier 2G Martinet noir apus apus 3 2 ailes + queue 52 Martre martes martes 1 entier 16 Mésange bleue cyanistes caeruleus 1 entier 31 Mésange charbonnière parus major 1 entier 31B Mouette rieuse larus ridibundus 1 entier 44 Mouette rieuse Larus ridibundus 2 ailes 44B Orvet anguis fragilis 1 entier 2A Pic vert picus viridis 2 entier 9 Pic épeiche dendrocop major 1 entier 33 Pinson des arbres fringilla coelebs 1 entier 9 Pinson des arbres fringilla coelebs 1 plumes 9B Putois mustella putorius 1 entier 17 Pygargue à queue blanche haliaeetus albicilla 1 entier 41 Serin cini serinus serinus 1 entier 42 Serin cini serinus serinus 1 plumes 51 Sitelle torchepot sitta europaea 1 plumes 52 Verdier carduelis chloris 1 plumes 53 Vipère aspic vipera aspis 2 entier 2B

108 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Conditions particulières : - la présente autorisation doit être apposée par son bénéficiaire à l'entrée de l'exposition, - chaque spécimen doit être identifié par son numéro d'inventaire et une notice indiquera au public les noms scientifiques et communs ainsi que le statut juridique de l'espèce, - tout retrait d'un spécimen autorisé de la collection devra faire l'objet d'une déclaration préalable à l'administration, - toute disparition d'un spécimen autorisé devra être signalée sans délai à l'administration, - tout ajout d'un spécimen naturalisé d'une espèce protégée devra être préalablement autorisé par l'administration.

 Original bénéficiaire ο Autorisation valable jusqu'au 31 décembre 2016.  Copie DREAL ο  Copie DDT ο  Copie SD ONCFS ο Le Préfet, pour le préfet et par délégation N.B. : Cette décision sera publiée au Recueil des le chef du service environnement, eau, forêts Actes Administratifs de la Préfecture signé : Olivier PUTOT

Arrêté DDT/SEEF n° 2013-1177 du 21 novembre 2013

Objet : autorisation exceptionnelle relative à des espèces protégées

Nom ou dénomination et forme juridique du Fédération des Associations de Protection du lac d’Aiguebelette bénéficiaire de l'autorisation Nom du mandataire Madame Catherine BERNARDY, Présidente Adresse Place de la Gare Code postal - Commune 73610 - LEPIN LE LAC

EST AUTORISEE A

TRANSPORTER – NATURALISER - CONSERVER

LES SPECIMENS MORTS Nom Commun Nom Scientifique Quantité - Description Écureuil roux sciurus vulgaris 1 entier Gros bec casse noyaux coccothraustes coccothraustes 1 entier Pinson des arbres fringilla coelebs 1 entier

Lieu de conservation Lieu de départ Lieu de réalisation de la naturalisation (lieu d’arrivée pour les transports)

M. Olivier BUISSON - taxidermiste M. FEGER Philippe Musée Lac et Nature 180 La Grand'Route 38620 ST BUEIL 73470 NANCES 73610 LEPIN LE LAC registre des métiers n°414047746-RM382

Conditions particulières : La présente autorisation doit accompagner les spécimens jusqu'à leur inclusion dans la collection autorisée du Musée Lac et Nature, place de la gare 73610 Lépin Le lac.

 Original bénéficiaire ο Autorisation valable jusqu'au 31 mars 2014.  Copie DREAL ο  Copie DDT ο  Copie SD ONCFS ο Le Préfet, pour le préfet et par délégation N.B. : Cette décision sera publiée au Recueil le chef du service environnement, eau, forêts des Actes Administratifs de la Préfecture Signé : Olivier PUTOT

ARRETE PREFECTORAL DDT/SPADR 2013-1187 du 22 novembre 2013

Objet : portant liste des journaux habilités à recevoir les appels de candidatures de la société d'aménagement foncier et d'établissement rural Rhône-Alpes pour l'année 2014

Article 1er :la liste des journaux habilités à recevoir les appels de candidatures de la société d’aménagement foncier et d’établissement rural Rhône-Alpes dans le département de la Savoie pendant l'année 2014 est établie comme suit :

109 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013

- L’Essor Savoyard 6, avenue du Petit Port 73100 AIX LES BAINS

- Terres des Savoie 52, avenue des Iles 74994 ANNECY Cedex 9

- La vie Nouvelle 315, avenue de Lyon 73000 CHAMBERY

Pour le préfet et par délégation le chef du service politique agricole et développement rural Signé : Lisiane FERMOND-VARNET

Arrêté DDT/SPAT n°2013-1150 du 28 novembre 2013

Objet : Modification de la composition de la commission départementale de la consommation des espaces agricoles de la Savoie

Article 1 ier : L'article 1er de l'arrêté du 03 juin 2013 est modifié comme suit :

- le 2ème alinéa du point 9 est remplacé par : « Monsieur Robert MONDOT, représentant de l'union fédérale des consommateurs Que Choisir ou sa suppléante Madame Josette CHARPENTIER. ».

Le reste de l'arrêté demeure inchangé.

Le Préfet Signé : Eric Jalon

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE ET DE LA PROTECTION DES POPULATIONS

Arrêté DDCSPP du 17 octobre 2013

Objet : levant la déclaration d’infection de loque américaine dans le rucher n° 73000522

Article 1 er : L’arrêté préfectoral du 17 juin 2013 portant déclaration d’infection de loque américaine dans un rucher de M. Jean-Lucien BLANC-GONNET visé ci-dessus est abrogé.

Article 2 : Toute contestation de cette décision administrative peut être effectuée auprès du Président du Tribunal Administratif de GRENOBLE, sous un délai de deux mois.

Pour le préfet et par délégation Le directeur départemental Pour le directeur départemental et par délégation Le chef du service protection et santé animales et installations classées pour la protection de l’environnement Signé : François BREZARD

Arrêté DDCSPP du 17 octobre 2013

Objet : levant la déclaration d’infection de loque américaine dans le rucher n° 73001296

Article 1 er : L’arrêté préfectoral du 17 juin 2013 portant déclaration d’infection de loque américaine dans un rucher de M. Philippe BLANC-GONNET visé ci-dessus est abrogé.

Article 2 : Toute contestation de cette décision administrative peut être effectuée auprès du Président du Tribunal Administratif de GRENOBLE, sous un délai de deux mois.

Pour le préfet et par délégation Le directeur départemental Pour le directeur départemental et par délégation Le chef du service protection et santé animales et installations classées pour la protection de l’environnement Signé : François BREZARD

Arrêté DDCSPP du 15 novembre 2013

Objet : portant mise sous surveillance d’un animal introduit illégalement sur le territoire français

Article 1 er : Le chien identifié par transpondeur n° 981 100 00 2 657 391 hébergé par la Société Savoisienne de Protection Animale au 744 route de Montagny, 73000 CHAMBERY, est placé sous la surveillance de la clinique vétérinaire de l’Albanne à BARBERAZ, pendant une durée de six mois, aux frais de la Société Savoisienne de Protection Animale, à compter du 15 octobre 2013.

110 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 2 : La mise sous surveillance de cet animal entraîne l’application des mesures suivantes : - La présentation de cet animal au vétérinaire sanitaire 60 jours, 90 jours et 180 jours après le 15 octobre 2013, avec transmission du rapport de visite au directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations après chaque visite. La visite à 180 jours terminera la période de surveillance ; - L’interdiction de cession à titre gratuit ou onéreux sans autorisation du directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations ; - L’isolement et l’absence de contact avec des animaux sensibles à la rage, en particulier les carnivores ; - L’absence de contact avec les personnes extérieures à son lieu de résidence ; - Toute sortie de la commune avec l’animal est interdite à fortiori tout déplacement à l’étranger, sans autorisation du directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations ; - Il est interdit, pendant cette période de surveillance, au propriétaire ou à la personne qui assume la responsabilité de l’animal de l’euthanasier ou de le faire euthanasier sans autorisation écrite du directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations ; - Le signalement de tout changement de comportement, de toute apparition d’un signe de maladie doit entraîner la présentation de l’animal, sans délai au vétérinaire sanitaire désigné ; - Si l’animal meurt, quelle que soit la cause de la mort, cette information doit être rapportée immédiatement au vétérinaire sanitaire désigné, afin qu’un prélèvement soit réalisé et envoyé à un laboratoire agréé, sous la responsabilité du directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations du département de la Savoie ; - Le signalement de la disparition de l’animal au directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations ; - Tous les frais liés à ces dispositions sont à la charge du propriétaire désigné à l’article 1.

Article 3 : Indépendamment des poursuites qui pourront être engagées selon les articles R228-3 et R228-6 du code rural et de la pêche maritime, en cas d’inobservation des mesures prescrites par le présent arrêté, l’animal pourra être euthanasié par décision de Monsieur le Préfet, conformément à l’article R223-34 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 : Cet arrêté est en vigueur jusqu’au 15 avril 2013.

Article 5 : Délais et voies de recours La présente décision peut être contestée dans un délai de deux mois à compter de sa publication, soit par :  Un recours gracieux auprès de Monsieur le Préfet de la Savoie  Un recours hiérarchique auprès de Monsieur le Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt - Direction Générale de l’Alimentation - 251, rue de Vaugirard - 75236 cedex 15  Un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Grenoble

Aucune de ces voies de recours ne suspend l’application de la présente décision. Les recours GRACIEUX ou HIERARCHIQUE doivent être écrits, exposer les arguments ou faits nouveaux et comprendre la copie de la décision contestée. Sans réponse au recours GRACIEUX ou HIERARCHIQUE dans un délai de 2 mois à compter de la date de réception par l’administration, celui-ci doit être considéré comme rejeté (décision implicite de rejet). En cas de rejet, le Tribunal Administratif peut être saisi d’un recours CONTENTIEUX dans le délai de 2 mois à compter de la date de la décision de rejet. Le recours CONTENTIEUX s’exerce pour contester la LEGALITE de la présente décision ; il doit également être écrit et exposer l’argumentation juridique à ce non-respect.

Pour le Préfet et par délégation, Pour le directeur départemental et par délégation, Le chef du service protection et santé animales et installations classées pour la protection de l’environnement, Signé : François BREZARD

Arrêté DDCSPP du 15 novembre 2013

Objet : portant mise sous surveillance d’une exploitation suspecte d’être infectée de tuberculose bovine

Article 1 : suspension de qualification “officiellement indemne de tuberculose” L’exploitation de Mme CLAIR Agnès sise à VALEZAN 73210, dont le troupeau bovin laitier identifié par le n°EDE 73305049 est déclaré "suspect d’être infecté de tuberculose", est placée sous la surveillance sanitaire de Monsieur le Directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Savoie. La qualification sanitaire “officiellement indemne de tuberculose” du cheptel bovin, telle que visée à l’article 13 de l’arrêté du 15 septembre 2003 précité, est suspendue pour raison sanitaire.

Article 2 : mesures à mettre en œuvre Les mesures ci-après sont mises en œuvre dans l’exploitation sus-citée : - Visite, recensement et contrôle de l'identification des animaux de l'espèce bovine et des autres espèces sensibles présentes dans l'exploitation avec isolement et séquestration des animaux. - Interdiction de laisser sortir de l'exploitation des animaux de l'espèce bovine ou d'une autre espèce sensible, sauf à destination d'un abattoir et sous couvert d'un laissez-passer. - Interdiction de laisser entrer dans l'exploitation des animaux de l'espèce bovine ou d'une autre espèce sensible, sauf dérogation du Directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Savoie. - Contrôle par intradermotuberculination comparative du bovin FR7301969622 dans un délai de 6 semaines minimum après la visite initiale du dépistage. - Réalisation d’une enquête épidémiologique approfondie visant à déterminer la source éventuelle et les conditions dans lesquelles l’exploitation bovine aurait pu être contaminée. - Le Directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Savoie peut décider l’abattage d’animaux suspects, ainsi que l'autopsie d'animaux morts ou euthanasiés, à des fins d'examen nécropsique et de diagnostic expérimental. - Toute expédition à l’abattoir de bovins doit être notifiée par leur détenteur 72 heures à l’avance aux Services Vétérinaires de l’abattoir et au Directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Savoie.

111 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 - Les fumier, lisier et autres effluents d'élevage provenant des abris ou autres locaux utilisés pour les animaux de l’exploitation doivent être stockés dans un endroit hors d'atteinte des animaux. Ils ne doivent pas être épandus sur les herbages ni sur les cultures maraîchères, ni cédés à de telles fins. - Interdiction de vente de lait cru destiné à la consommation humaine en l’état.

Article 3 : décision concernant les investigations complémentaires visées à l’article 2 Si les résultats des investigations visées à l’article 2 s’avèrent défavorables, les mesures préconisées dans l’arrêté du 15 septembre 2003 modifié seront appliquées.

En cas de résultat favorable aux mesures prises en application de l’article 2, le présent arrêté de mise sous surveillance sera levé.

Article 4 : non-application des présentes mesures Conformément à l'article L228-1 du code rural et de la pêche maritime, la non application de ces mesures définies en application de l'article L223-6-1 du code rural et de la pêche maritime est passible d'une condamnation à emprisonnement de six mois et d'une amende de 3 750 euros. En outre, en cas de constat d’inapplication des mesures définies dans le présent arrêté, des sanctions pénales et administratives (notamment en matière de non attribution des indemnisations d'abattage en cas de confirmation de l'infection, de conditionnalité, de retrait de qualifications sanitaires) pourraient être prises, conformément aux lois et règlements en vigueur.

Article 5 : délai et voie de recours La présente décision ne peut être déférée qu'auprès du Tribunal Administratif de GRENOBLE. Le délai de recours est de deux mois pour le demandeur. Ce délai commence à courir du jour où la présente décision a été notifiée.

Le préfet Pour le préfet et par délégation Pour le directeur départemental et par délégation Le chef du service protection et santé animales et installations classées pour la protection de l’environnement Signé : François BREZARD

DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

Récépissé de déclaration 2013/39 de l’Unité territoriale de la Savoie du 21 octobre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 30 juillet 2013 par Monsieur FERRARIS Julien en qualité de gérant, pour l'organisme « ALTERGEST », dont le siège social est situé chemin de la Plaine 73110 Détrier.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur FERRARIS Julien en qualité de gérant, pour l'organisme « ALTERGEST », dont le siège social est situé chemin de la Plaine 73110 Détrier, sous le numéro SAP508048469.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Soutien scolaire à domicile, - Garde d’enfants de plus de 3 ans, - Assistance informatique à domicile, - Entretien de la maison et travaux ménagers - Travaux de petit bricolage - Petits travaux de jardinage - Maintenance et vigilance de résidence.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

112 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Récépissé de déclaration 2013/41 de l’Unité territoriale de la Savoie du 4 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 31 octobre 2013 par Monsieur CURTELIN Jean-Luc en qualité de gérant, pour l'organisme « SERVEOM », dont le siège social est situé rue d’Auteuil 73100 Aix les Bains.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur CURTELIN Jean-Luc en qualité de gérant, pour l'organisme « SERVEOM », dont le siège social est situé rue d’Auteuil 73100 Aix les Bains, sous le numéro SAP503422396.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Assistance informatique à domicile.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

Récépissé de déclaration 2013/42 de l’Unité territoriale de la Savoie du 8 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 1er novembre 2013 par Monsieur MAJO William en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « William MAJO », dont le siège social est situé 45 allée des Liparis 73370 Le Bourget du Lac.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur MAJO William en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « William MAJO », dont le siège social est situé 45 allée des Liparis 73370 Le Bourget du Lac, sous le numéro SAP448850297.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Assistance informatique à domicile, - Entretien de la maison et travaux ménagers - Travaux de petit bricolage - Petits travaux de jardinage - Maintenance et vigilance de résidence.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

113 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Récépissé de déclaration 2013/43 de l’Unité territoriale de la Savoie du 8 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 4 novembre 2013 par Monsieur SOURAUD André en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « SOURAUD André » Sélect Services Savoie, dont le siège social est situé 11 rue Jean Louis Bouvet 73250 St Pierre d’Albigny.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Monsieur SOURAUD André en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « SOURAUD André » Sélect Services Savoie, dont le siège social est situé 11 rue Jean Louis Bouvet 73250 St Pierre d’Albigny, sous le numéro SAP327199741.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Soutien scolaire à domicile, - Cours particuliers à domicile, - Entretien de la maison et travaux ménagers - Travaux de petit bricolage - Collecte et livraison de linge repassé - Petits travaux de jardinage - Livraison de courses à domicile.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

Récépissé de déclaration 2013/44 de l’Unité territoriale de la Savoie du 8 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 5 novembre 2013 par Madame CLOGNE Flora en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « CLOGNE » Math’ Ma Science, dont le siège social est situé 62 bis chemin des Saules 73420 Drumettaz Clarafond.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom Madame CLOGNE Flora en qualité d’auto-entrepreneur, pour l'organisme « CLOGNE » Math’ Ma Science, dont le siège social est situé 62 bis chemin des Saules 73420 Drumettaz Clarafond, sous le numéro SAP798060919.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Soutien scolaire à domicile - Cours particuliers à domicile.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

114 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Récépissé de déclaration 2013/45 de l’Unité territoriale de la Savoie du 8 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 6 novembre 2013 par Madame OUVRARD Catherine en qualité de gérante, pour l'organisme « AALP’CFO » dont le siège social est situé 203 rue de la Gare 73100 Aix les Bains.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Madame OUVRARD Catherine en qualité de gérante, pour l'organisme « AALP’CFO » dont le siège social est situé 203 rue de la Gare 73100 Aix les Bains, sous le numéro SAP508682994.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Garde enfant +3 ans à domicile - Accomp./déplacement enfants +3 ans - Assistance administrative à domicile - Entretien de la maison et travaux ménagers - Travaux de petit bricolage - Collecte et livraison de linge repassé

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

Récépissé de déclaration 2013/46 de l’Unité territoriale de la Savoie du 12 novembre 2013

Objet : déclaration d’un organisme de service à la personne.

Conformément aux articles L7232-1, R 7232-1 à R7232-13, D7231-1, D7231-2 et D 7233-1 du Code du Travail, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée auprès de l’Unité territoriale de Savoie de la DIRECCTE de Rhône-Alpes le 8 octobre 2013 par Madame WARD Nora, pour l’auto-entreprise « NORA WARD », sise à Albertville.

Après examen du dossier, cette demande a été constatée conforme et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de Madame WARD Nora, pour l’auto-entreprise « NORA WARD », sise à Albertville, sous le numéro SAP323955310.

Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité territoriale de Savoie qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire

Les activités déclarées sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre :

- Cours particuliers à domicile.

Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail.

Pour le Préfet de Savoie Par délégation, Le Directeur de l’unité territoriale de Savoie Signé : Pascal DORLEAC

115 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 AGENCE REGIONALE DE SANTE à compter du 1 er janvier 2010, les actes de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes sont publiés dans des numéros spéciaux du recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes : adresse : 31 rue Mazenod 69426 LYON CEDEX 3 site internet : www.rhone-alpes.pref.gouv.fr

Arrêté préfectoral du 29 octobre 2013

Objet : portant modification de l’arrêté préfectoral du 5 mars 2001 relatif aux travaux de dérivation des eaux et à la création des périmètres de protection des captages de la Plate et de la Mollette – Commune d’UGINE

Article 1 er : Les prescriptions fixées par l’arrêté du 5 mars 2001 relatives aux captages de la Plate et de la Mollette sont abrogées et cessent de produire leurs effets juridiques à compter de la date d’entrée en vigueur du présent arrêté. L’ensemble des captages : Outrechaise, Nant du Croex, Ajoux, Champ Rocher (Croisolette), Verney, Château, Banges, Crest Marion, Puits de la Serraz, La Charmette, Plan Vorget, Benoît l’Allemand, Zeudemets, Mouilles, La Cugnette, La Tuillette, Nant Dessus, Léchy, La Dias, et Manche, demeurent régis par les prescriptions de l’arrêté préfectoral du 5 mars 2001.

Article 2 : Dans l’article 1 de l’arrêté du 5 mars 2001 susvisé, sont supprimés, dans la liste des captages concernés, les noms des captages de La Plate et de La Mollette.

Article 3 : Dans l’article 2 de l’arrêté du 5 mars 2001 susvisé, sont supprimés, les noms des captages de La Plate et de La Mollette.

Article 4 : L’article 4 de l’arrêté du 5 mars 2001 susvisé, est supprimé et remplacé par l’article suivant : Sont déclarés cessibles conformément aux plans parcellaires visés par l’arrêté du 5 mars 2001, les immeubles désignés aux états parcellaires nécessaires à la constitution des périmètres de protection immédiate et à la réalisation des travaux relatif à l’ensemble des captages : Outrechaise, Nant du Croex, Ajoux, Champ Rocher (Croisolette), Verney, Château, Banges, Crest Marion, Puits de la Serraz, La Charmette, Plan Vorget, Benoît l’Allemand, Zeudemets, Mouilles, La Cugnette, La Tuillette, Nant Dessus, Léchy, La Dias, et Manche (hormis les captages de la Plate et de la Mollette).

Article 5 : Dans l’article 9, de l’arrêté du 5 mars 2001 susvisé 1°) A l’intérieur des périmètres de protection immé diate, sont supprimées les prescriptions relatives aux : - Captages de Montgombert - Captages de la Plate (2 ouvrages) - Captage de La Mollette

2°) A l’intérieur des périmètres de protection rapp rochée, sont supprimés les paragraphes relatifs aux : - Captages de Montgombert - Captages de la Plate - Captage de La Mollette

Article 6 : Une notification individuelle du présent arrêté modificatif sera faite, par Monsieur le Maire d’Ugine, aux propriétaires des terrains compris dans les différents périmètres relatifs aux captages suivants : - Captages de Montgombert - Captages de la Plate (2 ouvrages) - Captage de La Mollette

Pour Le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général Signé : François Claude PLAISANT

DIRECTION TERRITORIALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE LES SAVOIE

Arrêté DTPJJ du 5 novembre 2013

Objet : portant renouvellement de l'habilitation justice du Service d’Assistance Educative en Milieu Ouvert (AEMO) à Chambéry , 89 avenue des Bernardines et géré par la Sauvegarde de l'Enfance et de l'Adolescence des Savoie

Article 1 er : le Service d’Assistance Educative en Milieu Ouvert (AEMO) situé 89, avenue des Bernardines à Chambéry; et géré par la Sauvegarde de l'Enfance et de l'Adolescence des Savoie, est habilité à suivre des mesures d'assistance éducative prononcées par l’autorité judiciaire en application des articles 375 à 375-8 du Code civil.

Article 2 : la capacité de prise en charge simultanée du service est fixée à 420 mineurs, garçons ou filles, de 0 à 18 ans. La zone d'intervention du service s'étend à l'ensemble du département de la Savoie.

Article 3 : le service fonctionne toute l'année pendant les jours ouvrables, et il s'organise de façon à pouvoir répondre aux démarches urgentes.

Article 4 : l’habilitation est délivrée pour une période de cinq ans à compter de sa notification, et renouvelable dans les conditions fixées par les décrets précités.

Article 5 : tout projet modifiant la capacité, le régime de fonctionnement du service, les lieux où il est implanté, les conditions de prise en charge des mineurs suivis et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doit être porté à la connaissance du directeur inter-régional de la protection judiciaire de la jeunesse, et par délégation au directeur territorial des Savoie, par la personne morale gestionnaire du service habilité.

116 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 6 : tout recrutement de personnel affecté dans le service, tout changement dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire du service habilité doivent être portés à la connaissance du directeur inter-régional de la protection judiciaire de la jeunesse et par délégation au Directeur territorial des Savoie, par le représentant de la personne morale gestionnaire, notamment pour permettre aux Juge des enfants et au Procureur de la république de donner un avis au vu du bulletin n° 2 du casier judiciaire.

Article 7 : le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs suivis.

Article 8 : en application des dispositions des articles R 312-1 et R.421-1 du Code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans le délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l'objet : - d'un recours administratif gracieux devant le Préfet du département, autorité signataire de cette décision ou d'un recours administratif hiérarchique devant le Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales; - d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours administratif, le délai de recours contentieux est prorogé.

le préfet, Signé : Eric Jalon

Arrêté du 12 novembre 2013

Objet : portant renouvellement de l'habilitation justice du Centre Scolaire Educatif situé à La Plantaz - à Saint Pierre d'Albigny et géré par l'Association Belle Etoile

Article 1 er : le Centre Scolaire Educatif situé sis « La Plantaz » à Saint-Pierre d'Albigny et géré par l'association Belle Etoile, est habilité à recevoir des mineurs des deux sexes âgés de 12 à 18 ans, confiés par l’autorité judiciaire au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil, et de l’Ordonnance du 2 février 1945.

Article 2 : l’établissement, à vocation départementale et régionale, a pour mission d’assurer, au bénéfice des jeunes qui lui sont confiés, en application des textes mentionnés à l’article 1, sur la base d'un projet pédagogique intégrant la formation scolaire et en hébergement collectif permanent, les fonctions d’accueil, d'hébergement et d’accompagnement éducatif.

Article 3 : la capacité globale du Centre Scolaire Educatif est fixée à 35 places, réparties sur quatre groupes de vie.

Article 4 : l’habilitation est délivrée pour une période de cinq ans à compter de sa notification, et renouvelable dans les conditions fixées par les décrets précités. L'habilitation est validée sous la condition d'une évolution du projet d'établissement vers une capacité de 30 places avec une diminution du nombre de mineurs en scolarité interne et du nombre de groupes de vie. Un nouveau projet d'établissement devra être rédigé sur cette base en 2014.

Article 5 : tout projet modifiant la capacité, le régime de fonctionnement de l'établissement, les lieux où il est implanté, les conditions d’éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doit être porté à la connaissance du directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse, et par délégation au Directeur territorial des Savoie, par la personne morale gestionnaire du service habilité.

Article 6 : tout recrutement de personnel affecté dans l'établissement, tout changement dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doivent être portés à la connaissance du directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse et par délégation au Directeur territorial des Savoie, par le représentant de la personne morale gestionnaire, notamment pour permettre aux Juge des enfants et au Procureur de la république de donner un avis au vu du bulletin n° 2 du casier judiciaire.

Article 7 : le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 8 : en application des dispositions des articles R 312-1 et R.421-1 du Code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans le délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l'objet : - d'un recours administratif gracieux devant le Préfet du département, autorité signataire de cette décision ou d'un recours administratif hiérarchique devant le Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales; - d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent En cas de recours administratif, le délai de recours contentieux est prorogé.

le préfet, Signé : Eric Jalon

117 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Arrêté DDEJF/DTPJJ du 21 novembre 2013

Objet : portant tarification 2013 du Centre Technique Hôtelier « L'Arlequin », géré par l’Association Belle Etoile à Albertville, 6 rue Bugeaud

Article 1 er : pour l’exercice budgétaire 2013, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Centre Technique Hôtelier sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros

Groupe I 363 889,89 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante

Dépenses Groupe II 2 365 520,17 € 3 293 678,36 € Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 564 268,30 € Dépenses afférentes à la structure

Groupe I 3 187 689,57 € Produits de la tarification

Groupe II 3 277 457,48 € Recettes 0,00 € Autres produits relatifs à l’exploitation

Groupe III Produits financiers et produits non encaissables 89 767,91 €

Article 2 : pour l’exercice budgétaire 2013, les tarifs précisés à l’article 3 sont calculés avec une reprise sur la réserve de compensation des charges d’amortissement de 16 220,88 € et déduction faite des produits encaissés et à encaisser entre le 1 er janvier 2013 et la date d’effet, selon la formule de l’article R. 314-35 du code de l’action sociale et des familles.

Article 3 : pour l’exercice budgétaire 2013, la tarification des prestations du Centre Technique Hôtelier est fixée comme suit à compter du 1 er octobre 2013, date d’effet :

Type de prestation Montant du prix de journée en Euros

Action éducative en internat 151,03 €

Action éducative en hébergement externalisé 113,62 €

Action éducative en activité de jour (formation) 34,82 €

Action éducative en internat + activité de jour (formation) 185,85 €

Action éducative en hébergement externalisé + activité de jour (formation) 148,47 €

Article 4 : pour l’exercice budgétaire 2014, la tarification arrêtée aux articles 1 et 2 ci-dessus prolonge ses effets au-delà de l’année 2013, sur les premiers mois de l’année 2014 jusqu’à la parution du prochain arrêté de tarification, soit les prix de journée suivants :

Type de prestation Montant du prix de journée en Euros

Action éducative en hébergement 133,49 €

Action éducative en hébergement externalisé 85, 52 €

Action éducative en activité de jour (formation) 62,89 €

Action éducative en internat + activité de jour (formation) 196,38 €

Action éducative en hébergement externalisé + activité de jour (formation) 148,41 €

118 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 qui correspondent aux tarifs qui auraient été applicables au 1 er janvier 2013 si l’arrêté de tarification avait été pris avant cette date.

Article 5 : les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 184 rue Dugesclin - 69433 Lyon Cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 6 : les prix de journée comprennent l’intégralité des dépenses relatives à la prise en charge des jeunes concernés.

Article 7 : une ampliation du présent arrêté sera notifiée à l’établissement concerné.

Pour le Président du Conseil général, Le Préfet, Le directeur général des services départementaux, Eric JALON Yves SARRAND

Arrêté DDEJF/DTPJJ du 21 novembre 2013

Objet : portant tarification 2013 du Centre Scolaire Educatif « La Plantaz », géré par l’Association Belle Etoile à Albertville, 6 rue Bugeaud

Article 1 er : pour l’exercice budgétaire 2013, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Centre Scolaire Educatif sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros

Groupe I 243 726,07 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante

Dépenses Groupe II 1 506 560,94 € 2 247 934,09 € Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 497 647,08 € Dépenses afférentes à la structure

Groupe I 2 213 165,39 € Produits de la tarification

Groupe II 6 268,70 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation 2 219 434,09 €

Groupe III 0,00 € Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : pour l’exercice budgétaire 2013, les tarifs précisés à l’article 3 sont calculés avec une reprise sur la réserve de compensation des charges d’amortissement de 50 000,00 € et une reprise de résultat déficitaire de 21 500 €, et déduction faite des produits encaissés et à encaisser entre le 1 er janvier 2013 et la date d’effet, selon la formule de l’article R. 314-35 du code de l’action sociale et des familles.

Article 3 : pour l’exercice budgétaire 2013, la tarification des prestations du Centre Scolaire Educatif est fixée comme suit à compter du 1er octobre 2013, date d’effet :

Type de prestation Montant du prix de journée en Euros

Action éducative en internat 154,78 €

Action éducative en activité de jour (scolarité) 73,03 €

Action éducative en internat + activité de jour (scolarité) 227,81 €

119 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013 Article 4 : pour l’exercice budgétaire 2014, la tarification arrêtée aux articles 1 et 2 ci-dessus prolonge ses effets au-delà de l’année 2013, sur les premiers mois de l’année 2014 jusqu’à la parution du prochain arrêté de tarification, soit les prix de journée suivants :

Type de prestation Montant du prix de journée en Euros

Action éducative en internat 131,96 €

Action éducative en activité de jour (scolarité) 79,41 €

Action éducative en internat + activité de jour (scolarité) 211,37 €

qui correspondent aux tarifs qui auraient été applicables au 1 er janvier 2013 si l’arrêté de tarification avait été pris avant cette date.

Article 5 : les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 184 rue Dugesclin - 69433 Lyon Cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 6 : les prix de journée comprennent l’intégralité des dépenses relatives à la prise en charge des jeunes concernés.

Article 7 : une ampliation du présent arrêté sera notifiée à l’établissement concerné.

Pour le Président du Conseil général, Le Préfet, Le Directeur Général des Services Départementaux, Eric JALON Yves SARRAND

120 Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Savoie - Numéro 13196 - Parution le 04/12/2013