UBU Par –M- Paroles Et Musique : Dick Annegarn Editions : © 1974 Warner Chappell Music France (Ex Les Editions Marouani)
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
UBU par –M- Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 1974 Warner Chappell Music France (ex Les Editions Marouani) Guitares : Matthieu Chedid Batterie et percussions : Cyril Atef Violoncelle électrique : Vincent Segal Cuivres : La Sexion (trombone : Thomas Henning, trompette : Benoît Molina, saxophone : Philippe Le Rouzic) Chœurs : Anna Chédid Enregistré et mixé au Studio Labo M2 par Olivier Lude (FLAM) assisté de Yann Albertella - M - apparaît avec l!aimable autorisation de Labo M Dans un pays pas très loin d'ici Dans un pays plat Aussi plat qu'un plat Aussi petit qu'un petit confetti Il n'y avait pas de loi Et chacun pour soi Il avait un tout petit zizi Et un grand cul le père Ubu Sa madame était une femme infâme Et toute dodue la mère Ubu Bêtes et méchants Les deux emmerdants N'aimaient que l'argent Et la crème Mont-Blanc Ils avaient un plan pour un coup d'état Pour un pif pouf pan Avec un bazooka Il avait un tout petit zizi Et un grand cul le père Ubu Sa madame était une femme infâme Et toute dodue la mère Ubu Puis le jour vena Où Ubu et le Roi Se rencontra, twist ya ya ya Après l'entrevue, tout à cul Merdre dit Ubu, et le Roi est mouru Il avait un tout petit zizi Et un grand cul le père Ubu Sa madame était une femme infâme Et toute dodue la mère Ubu BRUXELLES par Alain Bashung Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 1974 Warner Chappell Music France (ex Continental Intersong) Piano : Bettina Kee Violoncelle : Pierre Le Bourgeois Enregistré et mixé au Studio Gang par Bruno Dejarnac assisté de Florian Lagatta Direction artistique : Sylvain Taillet Alain Bashung apparaît avec l!aimable autorisation de Barclay, un label Universal Music France Bruxelles, ma belle, je te rejoins bientôt Aussitôt que Paris me trahit Et je sens que son amour aigri, et puis Elle me soupçonne d'être avec toi, le soir Je reconnais, c'est vrai Tous les soirs, dans ma tête C'est la fête des anciens combattants D'une guerre qui est toujours à faire Bruxelles, attends-moi, j'arrive Bientôt je prends la dérive Michèle, te rappelles-tu de la détresse De la kermesse de la gare du Midi ? Te rappelles-tu de ta Sophie Qui ne t'avait même pas reconnue ? Les néons, les Léon, les Nom de Dieu Sublime décadence, la danse des panses Ministère de la bière, artère vers l'enfer Place de Brouckère Bruxelles, attends-moi, j'arrive Bientôt je prends la dérive Cruel duel, celui qui oppose Paris névrose et Bruxelles L'abrutie qui se dit que bientôt ce sera fini L'ennui de l'ennui Tu vas me revoir, mademoiselle Bruxelles Mais je ne serai plus tel que tu m'as connu Je serai abattu, courbattu, combattu Mais je serai venu Bruxelles, attends-moi, j'arrive Bientôt je prends la dérive Paris, je te laisse mon lit... LES TCHÈQUES par Mathieu Boogaerts Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 2000 DAE Guitares : Mathieu Boogaerts Batterie : Fabrice Moreau Basse et chœurs : Jean-René Zapha Enregistré et mixé au Studio Garage par Dominique Ledudal assisté de Cylien Gibert et Emmanuelle Sage À quoi pensent les Tchèques Quand ils pensent à quelque chose Pensent-ils comme des Tchèques Pensent-ils rouge ou pensent-ils rose Ou pansent-ils leurs plaies Jolie dame dans le tram Joli parapluie Êtes-vous déjà une madame Ou bien une petite fille À quoi pensent les Tchèques Quand ils pensent à quelque chose Pensent-ils comme des Tchèques Pensent-ils rouge ou pensent-ils rose Ou pansent-ils leurs plaies Vieux monsieur aux yeux si bleus Vieil imperméable Est-ce que Prague est à vos voeux Ou bien insupportable À quoi pensent les Tchèques Quand ils pensent à quelque chose Pensent-ils comme des Tchèques Pensent-ils rouge ou pensent-ils rose Ou pansent-ils leurs plaies Jeune garçon aux yeux si clairs Vas-tu à l'école Vas-tu voir ton grand père Ou bois-tu son alcool À quoi pensent les Tchèques Quand ils pensent à quelque chose Pensent-ils comme des Tchèques Pensent-ils rouge ou pensent-ils rose Ou pansent-ils leurs plaies Tendre mère avec sa fille Petit sac à dos Êtes-vous parties pour la vie Ou seulement pour Brno À quoi pensent les Tchèques Quand ils pensent à quelque chose Pensent-ils comme des Tchèques Pensent-ils rouge ou pensent-ils rose Ou pansent-ils leurs plaies TOURNE EN ROND par Alain Souchon et Dick Annegarn Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 1975 Warner Chappell Music France (ex Les Editions Marouani) Guitare : Dick Annegarn Tuba : Barnabé Wiorowski Cor : Jean-Pierre Soules Enregistré au Studio Acousti par Alain Cluzeau assisté de Ludovic Palabaud Sauf tuba et cor enregistrés au Studio CDM (Toulouse) par Marc Debuzy Mixé au Studio Garage par Dominique Ledudal Alain Souchon apparaît avec l!aimable autorisation de Virgin, une division EMI music France Tu te plains d!être dans le pétrin Le train va trop vite Ah la vitesse t!excite Alors calme-toi retrouve ton sang froid Demain sera plus belle La nuit renouvelle Tourne en rond Maintenant prononce bien ton prénom. Après tu fais rhododendron, rhododendron, ronron Il faut te dire qu!il y a bien pire Ton voisin n!est pas tellement mieux D!ailleurs personne n!est mieux que Dieu Et Dieu est mort dans un corps à corps Avec l!inexistence Aucune importance Tourne en rond Maintenant prononce bien ton prénom. Après tu fais rhododendron, rhododendron, ronron Arrête de tripoter ta personnalité Personne ne t!ordonne Ni même te questionne Qu!est ce que ça peut faire de se taire Tourne en rond Maintenant prononce bien ton prénom Après tu fais rhododendron, rhododendron, ronron Tu n!oses pas dire que Tu n!oses pas dire que Tu n!oses pas dire que Tu n!oses pas Et bien sois toi et tais-toi Sois toi et tais-toi Sois toi et tais-toi Tais-toi SACRÉ GÉRANIUM par Thomas Fersen Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 1974 Warner Chappell Music France (ex Les Editions Marouani) Guitare et oud : Pierre Sangra Violon et alto : Christophe Cravero Enregistré et mixé au Studio Garage par Dominique Ledudal assisté de Cylien Gibert et Emmanuelle Sage Thomas Fersen apparaît avec l!aimable autorisation de Warner Music France Sacré géranium Tu sens bon la terre Toi aussi l'anémone Tulipe je te préfère Puis de toute façon vous sentez toutes bon Vous êtes toutes belles mes damoiselles Ah ce qu'on est bien dans ce jardin Loin des engins Pas besoin de sous pour être bien Pas besoin de vin pour être saoul Les poules et le coq Se content fleurette C'est vrai qu'il est seul ce lapin Je crois que ça l'embête Dis, toi le chien, je ne te prive de rien Remue donc ta queue fais-moi tes beaux yeux Ah ce qu'on est bien dans ce jardin Loin des engins hein! Pas besoin de sous pour être bien Pas besoin de vin pour être saoul C'est vous les légumes enfin je présume Vous n'êtes pas reconnaissables Il faut vous dire qu!l'hiver vient de partir Le temps est encore variable Un coup d'arrosoir avant la tombée du soir Un coup de râteau autour des poireaux Ah ce qu'on est bien dans ce jardin Loin des engins Pas besoin de sous pour être bien Pas besoin de vin pour être saoul ATTILA JOSZEF par Calogero Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 2000 DAE Guitares, mandoline et ukulélé : Philippe Uminski Trombone : Daniel Zimmermann Saxophones et flûte traversière : Rémi Sciuto Piano, grosse caisse et cymbales à mains : Calogero Arrangements : Philippe Uminski Co-réalisé par Calogero et Philippe Uminski Enregistré et mixé au Studio Ferber par Jacques Ehrhart assisté de Benjamin Joubert Calogero apparaît avec l!aimable autorisation de Rapas et de Mercury, un label Universal Music France Qu'est-ce que je sais de ce poète-là Sauf qu'il avait le verbe bref Et qu'il s'appelait Attila, Attila Joszef En ancienne Transylvanie Un pauvre jour il naquit Son père était déjà parti, l'amour était bref Pauvre magyar, t'aurais voulu valider ton histoire Tu n'aurais pas mieux fait Ses deux p!ties soeurs et sa mère Vivaient dans le même deux pièces Avec d'autres locataires peu avares de leurs fesses Ils l'ont changé de famille Qui l'ont changé de prénom Ami en terre ennemie, enfant sans ballon Pauvre magyar, t'aurais voulu valider ton histoire Tu n'aurais pas mieux fait Il a grandi puis vieilli Lisant tout ce qui se lit Vivant du peu de répit que lui laisse sa chance On lui refuse son diplôme Pour une fausse indécence Et sans détour il nous prône le délit d'innocence Pauvre magyar, t'aurais voulu valider ton histoire Tu n'aurais pas mieux fait Il a quitté le parti, Qui ne l'a pas accepté Il a pris part et parti pour l'éternité Il a quitté la maison Pour faire un tour pour toujours Il a quitté le perron aller sans retour Pauvre magyar, t'aurais voulu valider ton histoire Tu n'aurais pas mieux fait Qu'est-ce que je sais de ce poète-là Sauf qu'il avait le verbe bref Et qu'il s'appelait Attila, Attila Joszef QUE TOI par Bénabar et Bertrand Belin Paroles et musique : Dick Annegarn Editions : © 2000 DAE Guitares, violon et chœurs : Bertrand Belin Batterie : Tatiana Lejude Violon : Anne Millioud Violoncelle, claviers et chœurs : Olivier Daviaud Réalisé par Alain Cluzeau Enregistré et mixé au Studio Acousti par Alain Cluzeau assisté de Didier Pouydesseau Bénabar apparaît avec l!aimable autorisation de Jive Epic, Sony Bmg Music Entertainment France Bertrand Belin apparaît avec l!aimable autorisation de Acousti et Masq Si tu n'as pas connaître Le profond de mon être C'est tant pis Tu sais pertinemment Que ça fait un petit moment Que c'est long Je fais tout pour l'amour Et toi tu dis toujours Pas comprendre Ah que tu es pour moi Ah que beaucoup de joie Et de peine Que toi que toi que toi y en a que pour toi Et moi et moi et moi ça n'existe pas Si tu n'as pas comprendre Que mon coeur