Paris, Le 25 Août 2003 N° 7 BAALA ET CHOUKI SUR ORBITE POUR DÉCROCHER LA LUNE
Paris, le 25 août 2003 N° 7 BAALA ET CHOUKI SUR ORBITE POUR DÉCROCHER LA LUNE Le camp français savait, depuis la veille, est bien loin. “ J’ai couru sans strap- tre du peloton… qu’ils pourrait compter sur deux Bleus ping, et je n’ai pratiquement rien sen- Mais à chaque jour suffit sa peine. Les dans la même finale, celle du 400 m, ti, confirmait -il après ses 3’40’’64 de Bleus pouvaient en l’occurrence se ré- grâce aux exploits de Marc Raquil et de course. Je voulais finir 4è ou 5è pour jouir de l’autre bonne nouvelle de la Leslie Djhone. Mais visiblement, l’ex- me fatiguer le moins possible, et j’ai journée, à savoir les qualifications pour è ceptionnel semble devenir une bonne atteint mon objectif. Mais c’était une le tour suivant de Patricia Girard (2 de è habitude pour les tricolores. Certes, on course très nerveuse, avec beaucoup sa série en 12’’82, 5 temps total) et de Linda Ferga (12’’86, huitième au géné- ral). Seule Haidy Aron, en 13’’35, en restait à ce stade de la compétition. Mais les deux premières, qui arrivent visiblement au meilleur de leur forme au bon moment, ont sans doute les moyens de perpétuer la tradition française sur les haies au cours de c es Mondiaux. Pour le reste ? Avouons-le, les autres acteurs tricolores du jour n’ont pas connu la même réussite. Mélina Robert- Michon, si régulière cette saison au-delà des 60 m, aura vu ses espoirs réduits à néant dans la finale du disque.
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