34Ube [Download Pdf] Valérian Et Laureline L'intégrale, Volume 1 : Les Mauvais Rêves ; La Cité Des Eaux Mouvantes ; L'empire Des Mille Planètes Online
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34ube [Download pdf] Valérian et Laureline l'Intégrale, volume 1 : Les mauvais rêves ; La cité des eaux mouvantes ; L'empire des mille planètes Online [34ube.ebook] Valérian et Laureline l'Intégrale, volume 1 : Les mauvais rêves ; La cité des eaux mouvantes ; L'empire des mille planètes Pdf Free Par Jean-Claude Mézières, Pierre Christin, Évelyne Tranlé audiobook | *ebooks | Download PDF | ePub | DOC Download Now Free Download Here Download eBook Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #140965 dans LivresPublié le: 2007-09-14Sorti le: 2007-09- 14Langue d'origine:Français 9.06 x .55l x 11.81L, Reliure: Album156 pages | File size: 55.Mb Par Jean-Claude Mézières, Pierre Christin, Évelyne Tranlé : Valérian et Laureline l'Intégrale, volume 1 : Les mauvais rêves ; La cité des eaux mouvantes ; L'empire des mille planètes before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Valérian et Laureline l'Intégrale, volume 1 : Les mauvais rêves ; La cité des eaux mouvantes ; L'empire des mille planètes: Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile. BD ValérianPar Nannie17430Superbe cadeau pour un fan de BD. Les autres tomes seront à offrir, d'autant plus qu'un film va sortir en fin d'année39 internautes sur 40 ont trouvé ce commentaire utile. Un très bon rapport qualité/prixPar G. SteveCet album a le mérité d'avoir un prix attractif, il comprend trois titres de Valérian et Laureline pour environ 20 euros. Au prix ou sont les albums individuels de la B.D. en général, je trouve ça attractif.Sinon, que dire... Nous voici aux prémices d'une série de science-fiction fantastique à l'univers riche et dépaysant. A la fois drôle et invitant au raisonnement.Les premiers titres peuvent déplaire à ceux qui ont découvert valérian et Laureline par les derniers albums parus. Le dessin est plus grossier, plus caricatural. Si j'osais, je comparerais entre Astérix dans ses premières années et dans ses dernières. L'univers est foisonnant et les personnages beaux, simples et attachants.Les histoires sont encore peu matures dans ce premier volet de l'intégrale, le méchant ressemble un peu à ceux que l'on trouve dans certains Spirou et Fantasio, l'univers terrien est un peu maladroit. Mais le tout est d'une certaine naïveté très charmante.Et puis, ceux qui veulent un bon divertissement seront servis en même temps que ceux qui recherchent matière à réflexion. Les auteurs ont l'art d'aborder sans approfondir certaines notions, politiques, écologiques, ... Ils ouvrent la porte à ceux qui veulent bien la franchir et pour les autres, ils offrent un univers plaisant et des histoires qui se laissent suivre sans difficulté et avec intérêt.Et puis, Laureline, elle est super-jolie.S.6 internautes sur 6 ont trouvé ce commentaire utile. Hyper-rare: Une Intégrale réussie!Par Dog-the-KidOn n'espérait plus, mais oui: Une Intégrale et une restauration réussies!En tout cas, pour ce premier tome.Le trait noir est impeccable.Les couleurs sont les originales de Pilote par la soeur de, et avec sûrement, Mézières, Evelyne Tran-Lé. Et étonnament, exceptionellement, elles ont très bien suporté le passage en digital. Et comme certaines rares grosses erreurs originales ont été corrigées de main de maître, sans qu'on voit les coutures, ça me fait penser qu'elle avait, probablement, soigneusement conservé ses bleus, et qu'ils sont repartis de là.Comme avec Tintin, Prince Vaillant, 2 ou 3 Jerry Spring, la plupart des Macherots, et 2 ou 3 autres BDs, (Les Blueberry du milieu, par exemple. Mais justement, là aussi c'est d'elle), c'est des couleurs transcendentes, pétantes, efficaces, mais hautement harmonieuses et intelligentes et "instructives (= elles rendent le lecteur plus conscient, plus intelligent).Percutant et harmonieux. Qui dit mieux?Le papier est idéal. L'impression est impeccable.Il s'agit des 3 (ou quatre, suivant la numérotation Pilote) premiers épisodes.Le un, hors-série, jusqu'a présent. Et, en fait bien plus réussi et bien plus attractif que n'en disent les auto-diplômés spécialistes. En fait, c'est un chef d'oeuvre. Évidemment dur à digérer pour l'éxégète de E.P. Jacobs. Mais ce panaché de Franquin, Jijé et Mad, on n'avait jamais vu ça.Et puis il y a les dix ou douze pages "western" (dans le sens géographique: en fait, c'est parmi les pages les plus réalistiquement documentaires — et esthétiques à la fois — que j'ai jamais vues en 55 ans de BDs. Elles font partie du troisième épisode et avaient sauté au montage du deuxième et troisièmes épisodes pour faire le premier album.Comme dans presques toutes ces intégrales, la partie préface-making-of-étude-et-critique est complètement superflue, boursoufflée et gênante. Mais bon, ce n'est pas le fatras de niaiseries nauséabondes de l'intégrale Jerry Spring.Toutes les couvertures de Pilote sont reprises. Et plutôt bien scannées.Négatif: Il manque juste la couverture originale du premier album. Mais qui n'était pas une grande réussite.En bref, hautement recommandé! Présentation de l'éditeurLa série culte de la bande dessinée de science-fiction va enfin être adaptée sur grand écran par Luc Besson ! Un film qui réunira le plus gros budget de l'histoire du cinéma français. Afin de précéder et d'accompagner sa sortie dans les salles, au mois de juillet 2017, Dargaud met en place un programme éditorial autour de la série, à commencer par la réédition, à partir du mois de septembre 2016, des sept intégrales. Images du film, interview des auteurs et du réalisateur... ces albums n'auront rien à voir avec les premières éditions !Biographie de l'auteurPierre Christin est né en 1938 dans la banlieue parisienne. Enfant, il est passionné par les numéros de ‘Détective' et les couvertures illustrées de ‘Radar'. Plus tard, il soutiendra d'ailleurs une thèse intitulée "Le fait divers, littérature du pauvre". Entre-temps, après avoir modestement commencé ses études dans un cours complémentaire, il étudie à la Sorbonne puis à Sciences po Paris. Dans les années 1960, entre ses activités de pianiste de jazz et ses premiers travaux de journalisme, de traduction et d'écriture, il part à la découverte de l'Ouest américain. Là-bas, il s'enthousiasme aussi bien pour la vie dans les ranchs et les autoroutes urbaines que pour la science-fiction, le polar et la musique noire, qui est alors à son apogée. Même s'il continue de s'y rendre, il est aujourd'hui un peu fâché avec les États-Unis, les rapports entre les gens y étant devenus beaucoup trop durs à son goût. En 1967, il signe, avec Jean- Claude Mézières, la première aventure de Valérian, sans imaginer un instant la longévité future de son héros. C'est également à ce moment qu'il est nommé à l'université de Bordeaux, où il crée, en 1968, ce qui deviendra une école de journalisme, dont il a toujours été l'un des animateurs. Dans les années 1970-1980, à ‘Pilote', il écrit pour Jacques Tardi, François Boucq, Jean Vern et bien d'autres – une soixantaine d'albums dans lesquels il s'essaie à tous les genres, accordant ses convictions et ses humeurs au tempérament de chaque dessinateur. Il réserve cependant son versant optimiste – voire utopiste – à son vieil ami Mézières dont il apprécie la clarté narrative et l'humour réjouissant. Les sujets plus graves, nourris par des enquêtes dans ce qui est encore à l'époque le bloc communiste, il les traite avec Enki Bilal, dans des albums devenus de grands classiques de la bande dessinée politique, comme "Les Phalanges de l'ordre Noir" (Dargaud, 1979) ou "Partie de chasse" (Dargaud, 1983). Avec Annie Goetzinger, il exprime une tout autre sensibilité dans des portraits de femmes, des intrigues intimistes, à l'image de "La Demoiselle de la Légion d'honneur" (Dargaud, 1980) ou de "Paquebot" (Dargaud, 1999). Le métier de scénariste lui permet d'explorer des vocations restées en friche : bien que s'estimant trop bavard pour l'emploi, il aurait aimé être espion afin de monter des scénarios grandeur nature. Ou encore officier de marine pour avoir tout le temps de lire à bord de cargos pourris, comme ceux qu'il a empruntés pour écrire "Lady Polaris" (Autrement, 1987), une balade dans les ports d'Europe, publiée avec Mézières. Il aurait aussi aimé être architecte pour bâtir toutes ces villes qu'il a racontées "Los Angeles. L'Étoile oubliée de Laurie Bloom" (Autrement, 1984) ou la Belgrade encore yougoslave de "Coeurs sanglants et autres faits divers" (Dargaud, 1988). Grand voyageur, il sait profiter aussi des immobilités imposées – attentes dans les hôtels, gares et aéroports – pour observer, noter et emmagasiner. Il est capable d'arpenter une ville des journées entières, de façon presque obsessionnelle, prenant des photos (plutôt moches mais efficaces) qu'il distribue ensuite à ses dessinateurs. Se balader en Patagonie ou descendre les rapides du Mékong ne lui fait pas peur (enfin, pas trop). Chaussé de ses indestructibles Weston – qu'il avait déjà emportées au cap Nord et dans le Kalahari – il fait un premier tour du globe par l'hémisphère Nord en 1992. Un périple qu'il raconte dans "L'Homme qui fait le tour du Monde" (Dargaud, 1994), mis en images par Max Cabanes et Philippe Aymond. Il renouvelle l'expérience en 1999, en passant cette fois par l'hémisphère Sud. Mais, souvent, ses balades ne le conduisent pas plus loin que Paris : tour de la ville en suivant les rails abandonnés de la petite ceinture ("La Voyageuse de petite ceinture" [Dargaud, 1985], avec Annie Goetzinger), ou de la petite couronne, en vélo ("La Bonne Vie" [tome 5 des "Correspondances", Dargaud, 1999], avec Max Cabanes).