- CIMIEZ

LE MUSÉE

D'ARCHÉOLOGIE

Danièle MOUCHOT Conservateur

Action Culturelle Municipale

LE MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE une archéologie du XXeme s. encadrant des constructions du IIIeme au Verne siècles.

L'histoire de notre pays a probablement commencé, il y a 500 000 ans, dans la grotte du Vallonet ou à Terra Amata. Au fil des siècles, un roman fabuleux s'est écrit dans la pierre et dans la terre, celui d'hommes qui, armés seulement de leurs mains et de leur cerveau, ont inventé une civilisation matérielle, religieuse et artistique dont nous sommes les héritiers. Il convenait de respecter ce patrimoine et de permettre à tous d'en prendre connaissance. Passionnément épris de son pays, mon père acquiesca aux projets de Fernand Benoit, Directeur des Antiquités de , qui souhaitait adjoindre à son superbe chantier de fouilles de Cimiez un Musée des Site, le premier en , inauguré en 1960. Lorsque je pense à Fernand Benoit, dont j'ai tant apprécié l'enthousiasme, je ne puis m'empêcher d'évoquer cette réflexion d'Anatole France "l'histoire n'est pas une science, c'est un art. On n'y réussit que par l'imagination". C'est, bien sûr, avec de plus en plus de précision et d'esprit scientifique que se déchiffrent aujourd'hui les témoignages d'un très lointain passé, mais seule l'imagination permettra de faire revivre les vestiges des mondes disparus. Fernand Benoit était un magicien de l'histoire, capable de faire parler les objets les plus modestes, comme une petite lampe à huile vieille de 2 000 ans qui, après avoir éclairé la nuit des cavernes, prenait dans sa simplicité la valeur d'un symbole : celui du courage, de l'intelligence et de l'habileté de nos aïeux. C'est cette leçon que j'aime voir enseigner à nos enfants et je me félicite que les animations du Musée d'Archéologie contribuent à développer chez eux la fierté de leur passé et la volonté d'en être dignes. L'importance de Cemenelum que notre climat a permis de conserver dans un état exceptionnellement bon, justifiait la construction d'un nouveau musée, pouvant offrir, dans des structures nouvelles, à tous les archéologues amateurs ou professionnels, une source de documents irremplaçables. C'est chose faite. Grâce à la persévérance et au travail incessant de ceux qui sont les gardiens du passé, s'élève maintenant un véritable temple de l'histoire sur notre terre de liberté où populations ligures et phocéennes cohabitèrent dans la paix. Je remercie tous ceux qui ont œuvré, sans ménager leur peine à cette réalisation (et plus particulièrement Mademoiselle Danièle MOUCHOT, Conservateur du Musée) et je leur souhaite de rencontrer auprès d'un vaste public un très grand succès, juste récompense de leurs efforts.

Jacques MEDECIN, Maire de Nice, Président du Conseil Général des Alpes Maritimes. LA CONCEPTION ARCHITECTURALE DU MUSÉE

Le bâtiment du Nouveau Musée, implanté au Sud de l'Amphithéâtre et à l'Ouest de l'ensemble épiscopal paléochrétien, longe l'Avenue des Arènes et se retourne au Nord de la Villa des Arènes. Cet emplacement a été choisi parce qu'il était stérile de tout vestige et qu'il ménage largement la vue vers les fouilles. Ainsi le Musée s'inscrit dans le prolongement des murs de soutènement et protège le site archéologique. Il est schématiquement constitué de deux ailes, de part et d'autre du hall d'accès traversant et largement éclairé : - l'une abrite la partie publique, c'est-à-dire les expositions permanentes, la zone d'expositions temporaires, la salle de conférences, vestiaires, accueil... - l'autre, les services, réserves, administration, ateliers et logements. Au niveau du Parc, depuis les accès au Jardin Public ou depuis l'entrée Sud de l'Avenue Montecroce, les cheminements qui bordent les fouilles mènent à une cour circulaire sur laquelle s'ouvre l'entrée principale. Les façades en béton rosé brut de décoffrage sont peu ouvertes - à la fois pour répondre à une volonté d'éclairement modéré et pour s'adapter au caractère des murs romains avoisinants. La grande salle d'exposition reprend un thème basilical, scandée par de grands piliers qui organisent géométri- quement tout l'espace intérieur. Des ouvertures discrètes permettent, à intervalles réguliers, de prendre des vues du champ de fouilles puis d'en saisir l'ensemble depuis le Belvédère très largement ouvert, situé en excroissance à l'extrémité du Musée.

W. MITROFANOFF Architecte concepteur du Musée Dans le Site de l'antique CEMENELUM, au cœur de l'agréable et évocateur quartier de Cimiez, s'ouvre un important complexe archéologique. Un même bâtiment regroupe désormais le Musée, le Centre de Documentation et le dépot de fouilles. Cette réalisation s'inscrit dans la politique de conservation du Patrimoine, mais aussi d'animation, au sens noble du mot, menée à Nice depuis de longues années sous l'impulsion de Jacques MEDECIN, Maire de Nice, Président du Conseil Général des Alpes Maritimes. En effet, conserver le Patrimoine ancien ou l'enrichir, avec des acquisitions et des encouragements à l'art moderne et contemporain, ne suffit pas ; il faut encore, et avant tout, le mettre à la disposition véritablement du public. Avec le Musée d'Archéologie, le Musée Matisse, le Musée d'Art Moderne et Contemporain, la politique actuelle de la Municipalité niçoise est de doter la ville, devenant de plus en plus un foyer de vie culturelle, d'un ensemble de musées répondant aux normes contemporaines de la muséographie et au désir d'un public de plus en plus vaste. Pour un Musée d'Archéologie antique, dans un site gallo-romain, le choix d'une architecture très moderne peut surprendre. Mais construire un bâtiment neuf permet de l'adapter aux besoins actuels du musée, de le doter des locaux et équipements nécessaires à ses activités. Dans un site où notre histoire a déjà juxtaposé les architectures du XVIIe et du XIXe siècles aux vestiges antiques, on peut concevoir que soit évoquée également la fin du XXe siècle. On a toutefois veillé à ne pas écraser le site antique mais, au contraire, à l'encadrer par un bâtiment bas et allongé. Aussi, à l'intérieur découvre-t-on avec surprise l'ampleur des espaces d'expositions permanentes et temporaires. Dans la présentation des collections, issues du sol même de Cimiez, ou de provenances extérieures, l'accent a été mis sur l'aspect didactique. Le Conservateur et son équipe, restreinte mais efficace et enthousiaste, ont privilégié les restitutions de divers aspects de la vie antique ainsi que les documentations. Toutes les installations sont modulables et mobiles, ce qui permettra un renouvellement périodique, évitant ainsi l'aspect figé que l'on reproche généralement aux Musées. Salles d'expositions temporaires, de conférences et de projections, atelier d'animation, autoriseront un large éventail d'activités offertes à divers publics tout au cours de l'année. Les spécialistes d'archéologie et les chercheurs y découvriront, d'autre part, des locaux de travail agréables et des aménagements fonctionnels qui faciliteront leur recherche. La Municipalité de Nice souhaite donc que ce Centre Archéologique devienne un pôle d'attraction aussi bien pour les touristes, français et étrangers, que pour les amateurs et chercheurs désireux d'approfondir et enrichir la connaissance de notre passé.

André BARTHE Adjoint au Maire de Nice Conseiller Régional Sénateur Suppléant Non immemor \

Pierre QUONIAM, Inspecteur Général Honoraire des Musées de France, qui avait accepté de présider l'Association des Amis du Musée de Cimiez, s 'est éteint il y a peu, bien que luttant courageusement contre la maladie. Il avait le plus grand désir d 'assister à l'inauguration de ce Musée dont il a suivi et soutenu toutes les étapes. Il ne le verra pas totalement terminé, mais sera présent dans notre souvenir.

AVANT PROPOS

La présentation du Musée Archéologique dix ans et quelques mois après l'élaboration de son programme n'est, on s'en doute, pas exempte d'une certaine émotion. Celle-ci fera excuser l'expression, peu protocolaire mais sincère, d'une très forte gratitude envers des personnalités, sans qui, à des titres divers, le Musée Archéologique de Cimiez n'existerait pas aujourd'hui. Cette gratitude s'adresse en priorité à Monsieur le Maire de Nice, Jacques MEDECIN qui a maintenu l'existence du Musée et la réalisation du projet contre toutes les difficultés. Dès les premières années de son mandat, il avait ressenti et exprimé la nécessité, pour la mise en valeur du patrimoine archéologique, de la création à Cimiez d'un grand ensemble de présentation et d'étude. Sa conception était en parfait accord avec celle de Monsieur Pierre QUONIAM, alors Inspecteur Général des Musées de France, dont l'appui à ce projet n'a jamais fait défaut. Créer à Cimiez un grand Musée d'Archéologie ne leur a pas paru nier l'œuvre de Fernand Benoit et de Jean MEDECIN, mais bien au contraire la poursuivre en l'amplifiant. Grâce à la Direction des Musées de France, le Ministère de la Culture a, pendant dix ans, maintenu et revalorisé son appui financier, mis en œuvre efficacement par la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la Conservation des Monuments Historiques. La Sous-Direction de l'Archéologie, avec Monsieur Delarozière à l'origine, puis Monsieur Vallet et Monsieur Gautier, Directeur des Antiquités, puis Inspecteur, la Direction Régionale des Antiquités,ont toujours manifesté leur appui particulièrement dans les moments de crise. Enfin, associés sur le terrain à la naissance du programme, Christian Goudineau, Professeur au Collège de France, alors Directeur des Antiquités et Claude Poinssot, Conservateur en Chef à l'Inspection des Musées, ne m'en voudront pas de les associer dans une reconnaissance professionnelle et amicale. Bien que de personnalités très différentes, ils possèdent en commun, la droiture, l'humanisme et le sens de l'humour. Il est fort possible toutefois, que l'un et l'autre ne retrouvent pas dans la présentation, ni dans mes écrits, ce qu'ils m'ont transmis... Le programme muséographique, dans tous ses détails, doit beaucoup à la "férule" efficace de Claude Poinssot. Ses conseils compétents ont guidé constamment la présentation, même s'ils sont recouverts par les flots de mon "interpretatio". Les années de collaboration avec Christian Goudineau, m'ont donné une image de l'archéologie qui, pour être rigoureuse, ne se réduit pas à une technique. Comme dans la vie et l'amitié, à travers l'étude, il n'oublie jamais, avec esprit, l'être humain. La formule classique du catalogue : inventaire des collections, accompagné de commentaires dans la forme dite du catalogue raisonné, n 'a pas été adoptée pour cet ouvrage de présentation du Musée Archéologique de Cimiez. Un catalogue d'objets provenant de fouilles n'a de valeur que s'il comporte l'analyse de tous les éléments issus d'un même site, en rapport avec les stratigraphies. C'est alors un ouvrage scientifique s'adressant aux seuls spécialistes. Un Musée de Site ne peut pas présenter la totalité de ses objets ou fragments recueillis parles fouilles ; ils sont par contre conservés dans les réserves. En vue de l'exposition au public, un choix est donc fait parmi les documents pour une évocation de la vie d'une cité et de ses habitants. Les objets ont alors un rôle de témoins, leurs enseignements sont souvent multiples. Les inscriptions, les statues, les bronzes ou les objets en céramique et en verre, ne peuvent être séparés du cadre architectural qui les abritait, non plus que de la société ou des individus pour lesquels ils ont été créés. C'est selon ce rôle de témoins de la vie antique que les collections du Musée Archéologique sont ici considérées. Les éléments d'information d'ordre général sur les chronologies, les institutions, le cadre historique, ou certains types d'objets, répondent à une demande d'une partie du public. De même, l'expérience des visites commentées, les questionnaires, ont montré que les circonstances de certaines découvertes (confinant parfois au burlesque) n'étaient pas sans intérêt pour le visiteur. J'espère que le public ne sera pas déçu par cette présentation faite pour lui. L'ouverture du Musée, doté de ses annexes : Réserves, Dépôt et Centre de Documentation, est bien loin d'être une fin. Toute une activité de recherche, documentation et information va pouvoir se développer. L'équipe- ment informatique nous permettra de publier annuellement des dossiers d'études et des dossiers d'information sur chaque type de documents archéologiques, à l'usage des chercheurs, aussi bien que des amateurs éclairés.

Danièle MOUCHOT Conservateur du Musée d'Archéologie 2) Catalogues et Guides La cohors Ligurum e la romaniz- zazione di Cemenelum. Revue d'Etudes Ligures, 1-2, Nice et Cimiez Antiques. Editions du Cadran, Paris 1947, p. 21-28. 1968. PRIEUR : L'occupation romaine des Alpes Cottiennes : Guide du Visiteur de Cimiez, lere édition 1965. G. La- le problème des districts alpins. Rhodania, 1961, 3-4, guerre. Rééditions bi-annuelles remises à jour, p. 15-22. D. MOUCHOT, la dernière 1986. Prochaine réédition La Province romaine des Alpes Cottiennes. prévue en Juillet 1989. Lyon, 1968, 257 p., XXIX pl., 1 carte. Expositions : P.A. FEVRIER, M. FIXOT, G. GOUDINEAU, V. Les Arts du Métal, Nice, 1972, en collaboration Musée K RUT A : La Ville Antique des origines au ixeme siècle. Borely, Musée Archéologique de Cimiez-Nice 1972. Dans Histoire de la France urbaine, Dir. G. Duby, Tl, Pans, Seuil, 1980, ouO pages, 447 illust. Civilisations des Ages des Métaux, Nice 1976.

3) Quelques articles et ouvrages généraux 4) Sources et recueils de documents intéressant l'Histoire des Alpes-Maritimes PLINE : Naturalis Historia, Belles Lettres, Paris, 1961, 111,4, 7, p. 136-137. B BARR U 0 L G. : Les peuples pré-romains du Sud-Est de POLYBE : Historiae, et, Paton, Londres, 1954, la Gaule. Etude de géographie historique. Paris, Ed. XXXIII, 4,7, 8. Boccard, 1969, 408 pages, 8 planches, 1 carte. Deux cités de la Province des Alpes- PTOLEMEE : Géographie, Paris, Didot, 1893, II, 10, Maritimes : Glandève et Briançonnet. Revue d'Etudes 1 et III, 1, p. 39-41-43. Ligures, XXVeme année, 1969, p. 231-276, 19 fig. STRABON : Géographie, ed. Jones, Londres, BENOIT F. : Les itinéraires commerciaux en Provence 1917/ 1932, IV, 1, 3. dans l'Antiquité. Actes du VIIeme Congrès Association TACITE : Annales, Belles-Lettres, Paris, 1965, XV, 32. Guillaume Budé, Aix-en-Provence, Avril 1963, p. 363- TACITE : Histoires, Belles-Lettres, Paris, 1965, II, 13, 386, 2 cartes. 14. Recherches sur l'hellénisation du midi de la Gaule. Annales Fac Lettres Aix-en-Provence n° 43, Ophrys, 1965, 217 pages 50 planches H.T. Corpus Inscriptionum latinarum, T. Mommsen, Berlin FORMIGE J. : Le Trophée des Alpes (La Turbie, supplément à Gallia, T. VI, 1949, Paris, C.N.R.S. 1863-1888 (= CIL), Alpes Maritimae, Cemenelum: T.V. (= CIL,V) - Narbonnaise : T XII, O. Hirsfeld La dédicace du Trophée des Alpes, (= CIL, XII). Gallia, XIII, 1955, p. 101-102, 1 carte. Forma Orbis Romani, Carte archéologique de la Gaule LAMBOGLIA N. : Romana, Studi storico Romaine, publiée sous la direction d'A. Blanchet. topografici. Alasio, 1939, 230 pages, 106 fig. Fasc. I, les Alpes-Maritimes, par Couissin (P.), Leroux, Questioni di topografia antica nelle Paris, 1931 (= FOR). Alpi Maritime. Revue d'Etudes Ligures, VIII, 1942, 2, p. 67-124. P.M.DUVAL:La Gaule jusqu'au milieu du V""' siècle. Questioni di topografia antica nelle Collection les sources de l'Histoire de France. T 1 et 2, Alpi Maritime. Revue d'Etudes Ligures, IX, 1943, 1, Paris, Picard, 1971, 865 pages. Contient toutes les p. 57-63. références des sources et leur analyse. Je remercie pour leur collaboration à cet ouvrage : - Monsieur MASSABO, Directeur Général des Tra- vaux et Services Techniques de la Ville de Nice, a bien - Monsieur Daniel TALAND, photographe au Musée, voulu faire détacher du Service Urbanisme P. LANZA pour ses photos du site et de l'architecture du Musée ; qui a exécuté les maquettes de restitution et, de plus, - Le Service Photo de la Ville et particulièrement Mon- participé à la mise en place. sieur VALARINO, photographe, pour les photos - Nous devons, en outre, au Service de l'urbanisme, la d'objets ; majorité des levés topographiques et plans présentés. - Mesdemoiselles G. GALLIANO et P. LAFAURIE - Nous avons bénéficié de l'aide de R. DAVID qui, pour l'organisation de ces prises de vues ; outre les moulages de certains objets, a créé et réalisé - Mademoiselle J. SELVI qui en a assuré la frappe et les sols reconstitués des nécropoles. mise en mémoire de tous les textes ; - J.M. GASSEND, Architecte au Bureau d'Architec- - Madame C. TAVANTI pour sa participation à la ture antique d'Aix en Provence a amicalement réalisé correction des épreuves. des restitutions hypothétiques du Baptistère, résultant de ses études en cours. - L'équipe d'impression. - La remise en état des collections, la documentation, le panneautage, l'étiquetage, ainsi que la mise en place - Les artisans du Musée d'Archéologie : des objets dans les vitrines ont pu être réalisés grâce à l'aide des vacataires : - Construction et installations techniques ont été l'oeu- vre des entreprises sous la conduite des maîtres d'œu- - G. GALLIANO et P. LAFAURIE aidées de vre et des coordinateurs avec les Services Techniques C. ACCHIARDI, C. GOUJEON et S. JEANDOT de la Ville (Relations avec les Architectes Extérieurs). avec l'appui bénévole de M. BRUNETON et J.P. VIOLINO. - Monsieur L. PAMPALONI, Directeur Général, et le Service de l'Action Culturelle ont apporté un soutien - Le personnel administratif, J. SANIGOU, J. SELVI, constant dans la longue métamorphose du dossier en C. TAVANTI. réalisation. - Le personnel de surveillance et d'accueil, - L'aménagement et la mise en place des collections ont B. AGUILLON. J. BOVIS, J.J. DELMONTE, été réalisées par l'équipe du Musée : un noyau perma- D. LIEVRE, P. PAYEUR, Ch. TORIELLI ont pris nent avec l'appoint de vacataires et de personnel déta- leur part dans différents domaines de cette réalisation. ché ou bénévole.

- Pierre CONY a joué le rôle d'assistant technique, assurant le suivi du chantier et la mise en fonctionne- Je les remercie tous et espère qu'ils seront fiers de notre œuvre. ment des installations. - C. CHOPIN, G. GIDOIN, A. GRANDIEUX, L. ZEDAM ont assuré la mise en place et la présenta- Danièle MOUCHOT tion du lapidaire, ainsi que la fabrication de nombreux Conservateur du accessoires de présentation. Musée d'Archéologie