Photo d'Andrew Brunelle. — Article sur 61. FANNIE WARD (biographie Illustrée). — CINÉ les dessins animés. Henri Roussell. — David Evremont. — Comment on a tourné les trois masques. POUR TOUS 87. DESDEMONA MAZZA— Miss IVY CLOSE. 63. Numéro de PAQUES 1920 (1 fr.). — SB8- Pour les abonnements et • publié BESSIE LOVE. — LARRY SEMON (Zlgoto). »8. SUE HAYAKAWA. — t Mon Idéal mas- les demandes d'anciens numéros ABONNEMENTS: W. MARCELLE PRADOT. — CREIGHTON culin », par huit « stars » ; c Mon ldéU 1. QHARLES CHAPLIN (biographie). féminin » par six « stars » ; Lors adresser correspondance France Etranger HALE. — Qu'est-ce qu'une t étoile • ? t. Hanson ; Henri Bosc ; Henri ROUSMU. 24 numéros 15 fr. 17 fr. I. 48. JAQUE-CATELA IN. — BESSIE BARRIS- et mandats à CINÉ HAROLD LOCKWOOD. — La revue de* — Pearl Whlte et Douglas Falrbanki CALE. 12 numéros 8 fr. 9 fr. films édité* en 1919. photos). — Où placer votre scénario J (. FLORENCE REED. 43. MOLLI F. KING. IRENE VERNON-CASTLE. — Comment on 63. ANDREE BRABAN'l (biographie Illustrée). Pierre HENRY, directeur POUR 11. Le scénario Illustré de la Sultane de l'A- 43. 64. W1LUAM RUSSELL (biographie illustrée). PUBLICITE forme des « vedettes ». 92, rue de Richelieu, Paris (2e) mour. (Comment on a tourné ce film.) — Comment on a tourné Le Hive. 44. WILLIAM S. HART. S'adresser : G. Ventillard & Cie II. BRYANT WASHBURN. 66. MARY MILES M1NTBR (biographie lliw- 45. MARY PICKFORD (biographie). 121-123, rue Montmartre, Paris 13. (une visite à son studio) trée). — Comment on a tourné Blan Téléphone : Louvre 46.49 TOUS 47. PRISCILLA DEAN. — GEORGES BEBAN. U. RENE CRESTE. chette. Téléphone : Central 82-15 15. CHAR LIE CHAPLIN (comment II compote 48. SUZANNE GR AN DAIS. 49. OUVE THOMAS. — Le Benjamin de* 66. ' WILLIAM HART (comment 11 tourne im paraît tous les 14 jours, le vendredi et réalise ses films.) films). — Ce que gagnent les vedette*. 16. MAX LINDER. réalisateurs : PIERRE CARON. 60. EVE FRANCIS. 67. PEARL WHITE. — Article sur la Pro- 17. VIVIAN MARTIN. duction Triangle 1916-1917. 61. Les meilleurs films de l'année 1930. 18. CHARLES RAY. 68. ANDRE NOX (biographie Illustrée). — 53. RENEE BJORLING. — ANDREW F. BRC- lt. EDNA PURVIANCE (la partenaire de HUGUETTE DUGLOS (Blogr. lllustr.) Charlie Chaplin). — D. W. GRIFFITH NELLE. L'ACTIVITÉ CINÉMATO rATTY et ses partenaires. 6». MARGARITA FISHER (blogr. lllustr.). et ses films. 63. 78. ADRESSES INTERPRETES FRANÇAIS. — GRAPHIQUE 54. MARCELLE PKADWT (pnoio). — CHAR- J». JUNE CAPRICE. Edouard Mathé. — L'envers du cinéma. M. EDDIE POLO. — Léon Mathot dans l'Ami LES HUTCHISON. Numéro de NOËL 1920 (1 fr.). — LEON 71.' ADRESSES INTERPRETES AMERICAIN». Frffz (photo). 55. — SEVERIN MARSH. — Le marché en FRANCE hanne et Suzanne Talba. à elle fut reçue par Théodore Wharton, le même qui, peu barquer pour la Nouvelle-Orléans et rentrer dans son village, auparavant, quand elle s'était présentée à la Cie Kalem, lui où elle parvint sans un sou, ayant épuisé ses petites économies, avait conseillé de retourner chez ses parents et d'abandonner affamée même. Elle était alors âgée de dix-sept ans. sa chimère. Mais cette fois, le ton changea : « Je crois que En ces conditions, ses parents crurent devoir découvrir en vous êtes bien lé sujet qu'il nous faut », lui dit M. Théodore elle une grande aptitude à former une bonne couturière ; ils Wharton, quand elle se présenta. Et il l'introduisit auprès du lui dirent et -épétèrent toutes les choses aimables que, en ces directeur de la maison en Amérique, M. Louis Gasnier, un de cas-là, une famille débite sur ce genre de sujet. QOS compatriotes, qui alors ne parlait pas du tout l'anglais. Ne tenant pourtant pas à ce nouveau métier, elle accepta Pearl dut subir une sorte d'examen devant lui et un autre d'être bonne d'enfants dans une maison amie, où elle était bien Français, parlant tous les deux leur langue. « Au moyen d'un Pearl White est né le 4 mars 1889 à Green Ridge, petit vil- traitée et admise à la table familiale, ce qu'elle appréciai! interprète, ils me demandèrent d'enlever mon chapeau, de lage des alentours de Springfield (Tennessee; dans une famille d'autant plus que, dit-elle, « les olives, les gâteaux, le beurre montrer ma chevelure, de me tourner de profil, puis de face, de très modestes fermiers. Son père, Edward G. White, de des- et le sucre avaient été jusqu'à ce jour, des choses assez rare* ensuite de prendre une série d'attitudes et d'expressions dif- cendance irlandaise, était originaire de Port-Byron (New-York); dans son existence ». férentes, pendant qu'ils continuaient à discuter dans leur lan- k vingt-et-un ans, sa santé l'obligea à aller s'établir dans cette Enfin, comme elle touchait l'âge de dix-huit ans et devait gue, dont je ne comprenais pas un mot. Il me semblait être région ; c'est là qu'il rencontra Elisabeth House, une jeune légalement obtenir par là l'indépendance légale, Pearl écrivil un de ces esclaves qu'on vend aux enchères dans la Case de fille d'origine italienne (leur nom était Casa, dont « House » à un journal théâtral de New-York, le Clipper, qui lui procura l'oncle Tom. » est la traduction anglaise) ; sa mère, qui avait toujours été une place dans une troupe de comédiens. Ceux-ci lui envoyèrent Le jour suivant Pearl débutait, sous la direction de Louis très délicate, mourut peu après l'avoir mise au monde. un billet de chemin de fer pour aller les rejoindre. Sa malle Gasnier, comme partenaire d'Henri B. Walthall, dans une série Son père se remaria quand elle n'était âgée que de six ans; fut envoyée secrètement à la gare et, vers 23 heures du 3 mars. de comédies dramatiques. ion grand frère partit dans la Marine, et l'existence de Pearl Pearl fit l'annonce sensationnelle à sa famille ; dans une Au bout de quelques mois, une offre des plus séduisantes lui devint très pénible, par manque d'argent et aussi à cause de heure elle allait être majeure et par conséquent libre d'aller itait faite par la Cie des Comédies Crystal. !a sévérité de son père, justifiée, jusqu'à un certain point, où bon lui plairait. Elle allait donc partir par le premier train Pearl joua des comiques et commença à se faire connaître. par une série de gamineries commises par Pearl. Son père se montra beau joueur. Il dit simplement : Comme conséquence de ceci, il lui arri\ja des lettres d'admi- Celle-ci n'avait que douze ans, quand un cirque forain vint — Bien, ma fille ; j'ai perdu la partie ; je me suis efforce rateurs de plus en plus nombreuses. Un jour, elle reçut une s'installer, pour quelques jours, dans le village où vivait alors de modifier ta mentalité et n'y suis pas parvenu ; il ne me lettre de son frère qui avait disparu plusieurs années aupara- la- famille White, à Springfield, dans le Tennessee. reste qu'à te souhaiter d'avoir de la chance. vant. Mais il se tua accidentellement avec un fusil, près de Ceci décida de la vie de Pearl, que ces acrobates remplirent Sacramentor Déjà, un frère aîné avait été tué à vingt ans, dans d'admiration. Elle obtint de son père, avec beaucoup Sa belle-mère se comporta bien aussi et l'embrassa sans ran- cune, en lui rappelant que, si elle ne réussissait pas, elle trou- □ ne partie de base-bail ; deux autres petits étaient morts de difficultés, de s'engager dans le cirque, où elle ne fut avant la naissance de Pearl, l'un en se noyant, l'autre en d'ailleurs pas trop malheureuse. Elle garde un assez bon sou- verait toujours dans la maison paternelle un toit humble, mais où elle serait accueillie cordialement. jouant avec un revolver. venir de ces gens, travailleurs, simples et gais malgré tout. Sur ces entrefaites, notre étoile compta ses économies et La triste via crucis recommença alors pour Pearl, qui passa Mais un jour, au cours d'une voltige prodigieuse aux barres décida de s'accorder des vacances. d'une troupe à l'autre, sans grand succès. Une fois elle se fixes, l'enfant se déchira quelques tendons du poignet droit et (En juin 1913, elle partait donc pour l'Angleterre, où elle tomba en remportant d'autres blessures encore. La guérison trouva bloquée durant quelques semaines, sans engagements, resta quelques semaines, puis passa en France. fut longue à venir : son poignet droit dut être massé périodi- sans argent, dans la petite ville de Coffeyville, dans le Kansas, Là elle commença par se faire arrêter par la douane pour quement durant plusieurs années et est resté toujours faible et ne put partir, que grâce à l'aide d'une bonne femme du pays Importer en fraude un poignard, un revolver et deux paquets A Natchez. petite ville du Missisiipî, pendant qu'elle exécutait lepuis lors. La carrière de Pearl comme acrobate était brisée I de cartes à jouer. Conduite devant le juge de paix, elle plaida Ciné pour Tous

jamais été édités en France : The new exploits of Elaine et The Romance of Elaine, composés par Reeve et G. B. Seitz et réalisés, toujours pour la Cie Wharton-'Pathé, par Gasnier et Mackensie. En 1916, ce fut The Iron Claw (Le masque aux Dents Blan- A P R È S LÉ ches), de Seitz et S'tringer, réalisé par Edward José. Pearl CRAN Wliite y est entourée de Creighton Haie et de Sheldon Lewis. Au début de 1917 paraît (Le Courrier/ de LE SECRET DES ABIMES (Paramount). Washington), de Seitz et Mac Connell, réalisé par Edward José. du réalisateur de Caligari ne peut être uti- ries-revues scéniques Plus ça change ; Pearl White y a pour « leading-man » Ralph Kellard. C'est un film de la production Thomas lisé que dans des cas exceptionnels. Quand le Diable g serait et Le bel ange Fin 1917 c'est The Fatal Ring ( La Reine s'ennuie), de F. H. Ince ; voilà déjà une raison pour l'al- Voilà ce qu'il importe de faire ressortir. vint, nous avons à présent la revue vi- Jackson et Bertram Millhauser, réalisé par George B. Seitz. ler voir. On a beaucoup parlé en France Et souhaitons qu'à l'avenir le public — suelle Asmodée à Paris. Pearl White, Ruby Hoffmann, Earle Foxe, e> de Thomas Ince et on le connaît pourtant et surtout la critique, dont c'est le métier Des idées, de l'esprit, de l'humour aussi, Henry G. Sell en interprètes les principaux rôles. fort peu. C'est que le meilleur de sa pro- —- saura discerner le mérite d'un pro- comme d'habitude. Il y a même une scène, En 1918 paraît (Li maison de la Haine). duction est venu en" France pendant la cédé dès qu'on lui présentera son œuvre spirituelle de conception mais médiocre d'Arthur B. Reeve et Charles Logue, adapté par B. Millhauseï guerre, en 1917-18. Nous-mêmes avons et non quand on lui en mettra sous les réalisation, pour railler une partie de la et réalisé par G. B. Seitz. Le partenaire de Pearl White est longuement entretenu nos lecteurs déjà de yeux la caricature. production que l'écran hospitalise trop Antonio Moreno. sa production pour Triangle et, plus ré- volontiers ; et ce n'est pas nous qui l'en Fin 1918 c'est (Par Amour), de B. Mil- cemment, de sa personnalité. blâmerons. lhauser et Seitz, avec Pearl White, Henry G. Sell et Warner Pourtant on aurait tort de juger Ince LE GARAGE DE FATTY. Pas trop mal interprétée par des élé- Oland. sur Le Secret des Abimes, encore que ce ments très divers, cette bande donne trop On n'est pas juste envers, le pauvre soit un bon film. Car on ne retrouve plus l'impression d'improvisation, en ce qui En 1919 Pearl White termine son contrat avec Astra-Pathé- Fatty ; je parle cinéma et non cours d'as- Exchange avec The Blick Secret, qui paraît actuellement dans ses bandes éditées par Paramount la concerne la réalisation ; on comprendra sises. Comme pour Chaplin les rééditions en France sous le titre : Par la Force et pnr la Ruse, de Mil- profonde originalité qui firent sa renom- pourquoi, d'ailleurs, quand on saura que de vieilles bandes bientôt vieilles de dix lhauser et Seitz. Les partenaires de Pearl White dans ce film mée aux jours de la Triangle. Sans doute le metteur en scène d'Asmodée à Paris est ans pleuvent — c'est le mot — sur tous sa nouvelle manière ' fait-elle davantage un metteur en scène de théâtre qui sans sont Walter Mac Grail et Wallace Mac Cutcheon. les écrans. recette — et l'on sait que Paramount ne doute va rarement au cinéma et sûrement Or Arbukle producteur des films de passe pas précisément aux Etats-Unis, n'était jamais allé "dans un studio. Outre la série de ciné-roman que nous venons d'émimérer, Fatty est très supérieur à Fatty acteur pour une firme désireuse de se hasarder Rip comprend certainement le cinéma ; Pearl White a tourné, au début de 1916 trois films de métrage des comédies Keystone-Mack-Sennett. Ar- dans des tentatives plus intéressantes au qu'il l'étudié à présent et réalise lui-même courant où elle put faire valoir ses qualités dramatiques. Ce buckle a un sens aigu de la bouffonnerie point de vue artistique qu'au point de vue ses futures féeries-revues visuelles, ou sont : la Jolie Meunière (Annabel's Romance), dont l'action se visuelle et il sait placer Fatty dans des financier. qu'il en confie la réalisation à des gens situations très originales et très drôles déroule vers 1840 ; The King's game et Haze-l Kirke. Dans Le Secret des Abimes, anecdote ro- vraiment qualifiés. Et alors la production qu'il lui fait « vivre » très finement. Ar- T)ésireuse donc de renouveler un peu son genre d'interpré- manesque réminiscente de l'Artésienne, française comptera enfin des films origi- buckle est autre chose, et bien plus, que tation, Pearl White, au terme de son contrat avec Pathé-Ex- mais attachante, ce qu'il faut surtout nalement et réellement humoristiques. dans de hauts flacons verts. Pour le moment les personnes simplement « le gros Fatty ». change, accepta de tourner pour la Cie Fox une série de films louer, c'est l'intensité dramatique et la avec qui je me trouvais formaient deux couples, de manière Arbuckle-Fatty a beaucoup plus d'es- O dramatiques de longueur ordinaire. sobriété de traitement des « effets », par que j'étais une sorte de cinquième roue pour la partie choré- prit que les grimaciers qui s'appellent Depuis fin 1919, Pearl White a tourné pour cette firme : eux-mêmes assez « faciles ». Technique- LA LOI DES MONTAGNES (Universal-Su- graphique du programme, et ils me présentèrent à deux joyeux Prince, Biscot, etc.. D'ailleurs, si vous The White Moll (Rédemptrice), d'après le roman de F. L ment fort bien réalisé, ce film offre pour- perfilm). « Othellos » avec lesquels je danserais. L'un, particulièrement, voulez convaincre des amis peu discrimi- Packard (auteur du Miracle) ; réalisateur : Harry Millarde. tant une faiblesse, c'est que l'on ne re- La personnalité — nouvelle pour les était un brillant jeune apache portant une casquette, un nœud natifs, faites-leur , voir Falty cuisinier, The Tiger's Cub (La fille du « Fauve »), avec Tom Carrigan trouve plus dans les autres scènes une Américains, nouvelle pour nous dans un flottant et un habit de velours. J'avalai deux gouttes de Fatty à la clinique. Fatty rival de Picratt The Thief (Le Voleur), d'après le drame .d'H. Bernstein. émotion comparable à celle du début, où film américain — d'Eric Stroheim domine l'étrange breuvage, la musique partit, l'apache m'empoigna et ou le Garage de Falty, et, s'ils ne chan- The mountain Woman ; Reclaimed ; Bcyond Price ; A Vir- l'on assiste à l'agonie d'un équipage. Si évidemment tout le film, qui d'ailleurs est nous nous lançâmes dans une sauvage danse crapuleuse, quel- gent pas d'avis... ne. leur parlez plus ja- gin Paradise. adroitement échafaudée qu'elle soit, la pe- entièrement son œuvre. que chose de nouveau pour moi. Il me promenait tout autour mais cinéma. A l'expiration de son contrat avec la Cie Fox, Pearl White tite histoire d'amour du fils de Martin Cette histoire domestique n'offre évi- de la pièce et il m'était difficile d'être sur mes pieds un ins- est venue en France où elle se repose jusqu'en juillet ; après Flint nous touche beaucoup moins ; est- demment pas pour nous, qui en tant, mais étant plutôt acrobate, je m'en tirais et enchantais quoi elle commencera le premier ciné-roman d'aventures du ce parce que nous la sentons plus artifi- avons tant vu dans la production inr mon cavalier. » MON' GOSSE (First National). nouveau contrat qu'elle a signé, avant son départ d'Amérique, cielle ? Est-ce parce que les scènes sous- digène, la même nouveauté que pour Pearl White ayant reçu à la suite de tout ceci une des hautes Les oracles de la presse du cinéma d'ici avec Pathé-Exchange. marines offrent, répétées, moins d'inté- les Américains, petits-enfants des Pu- bouteilles vertes sur le front, est déposée en sang sur les qui avaient décrété, tels Lucien Doublon, rêt ? Il y a pourtant de ce fait", croyons- ritains. Mais Eric Stroheim, ou plu- marches du Ritz par ses cornacs. C'est là que le veilleur de que dans Le Gosse Infernal Jackie se mon- nous, une leçon utile h tirer. tôt le tj'pe de hobereau qu'il incar- nuit la relève. trait un petit cabot, sans plus, ont dû i il i ne parfaitement est fort intéressant ; Les .meilleures choses ont une fin. Cette fois il fallut retour- déchanter. Comme Chaplin, qui tout de e il fait un peu penser à George Arliss, ner aux Etals-Unis. même s'y connaît un peu — il est vrai que mais en moins « théâtre » et en plus Précisément T. Wharton, le directeur de Pathé-Exchange, LE CABINET DU DOCTEUR CALIGARI. Monsieur Doublon donne des conseils à caractérisée. Sera-t-il intéressant un cer- venait d'avoir l'idée des films d'aventures en épisodes. Il offrit Chaplin — avait vu clair en Jackie dès la Au sujet de ce film on a beaucoup par- tain nombre d'autres fois ; saura-t-il se alors à Pearl White le principal rôle féminin de the Périls of première heure ! D'ailleurs qu'on se. rap- lé, beaucoup écrit et l'on s'est souvent renouveler assez? On peut en douter ; Pauline, le premier film du genre dont Louis Gasnier allait pelle ce qu'a fait Jackie Coogan dans Le trompé. D'abord Caligari n'a rien de « cu- mais ceci ne regarde que Stroheim-inter- diriger la réalisation. , Gosse, et l'on comprend que la suite soit biste », comme certains l'ont écrit. Cali- prète. Pour Stroheim-réalisateur, c'est au- Tout d'abord, devant les acrobaties à accomplir, Pearl refusa; digne du commencement. gari est un film expressionniste, scénario tre chose, car il est évident, par tout ce dans les premiers épisodes il lui fallait faire une chute d'aéro- Après le Jackie turbulent du Gosse In- comme décoration, interprétation comme film, que son auteur est un cinégraphiste. plane ; se promener en auto à travers le sable, l'eau et le feu ; fernal, nous retrouvons dans Mon Gosse décoration. qui comprend vraiment le cinéma. Et les il fallait descendre d'un ballon captif dont le traître avait (My Boy) le touchant petit Jack du Gosse Le scénario exprime la pensée d'un fou, Européens dont on en peut dire autant coupé l'amarre, au moyen du guide-rope, etc. de Chaplin. et l'exprime fort bien. Les décors souli- ne sont pas tellement nombreux... Mais devant les avantages offerts comme compensation, Pearl Le film, dans l'ensemhle, paraîtra peut- gnent la signification de ses pensées, l'in- être un peu lent et les situations amu- O hésita, puis accepta. Pour exécuter tout ce qu'on lui voit faire, terprétation de même. èll a dû apprendre à nager, à conduire une auto, une moto, santes un peu inférieures aux précéden- AU- CŒUR DE L'AFRIQUE SAUVAGE Remarquez d'ailleurs que le procédé de un aéroplane, une locomotive ; elle s'est inculqué les règles tes. Mais, bien charpenté, et assez logique, stylisation 'et d'expressionnisme utilisé Ceux qui ont aimé Chez les Cannibales, du tennis, du golf, de cent sortes de jeux de plein air. Heu- ce /film est fort to'uchant avec beaucoup dans Caligari n'est pas une nouveauté, par Martin Johnson, et L'Expédition reusement qu'autrefois Pearl White a fait du trapèze : son de simplicité. Et Jackie Coogan réalise pas même à l'écran. La même chose, Shackleton au Pôle Sud, prèndront plai- corps souple et robuste l'a toujours bien servie. ce tour de force, pour un artiste de son sir à voir AH Cœur de l'Afrique Sauvage, moins poussée naturellement, a été tentée âge, d'être, cette fois, un autre Jackie. Pearl White, avec ce ciné-roman d'aventures, est entrée véri- tourné par une mission suédoise et pro- dès 1917 par Maurice Tourneur aux Etats- Ce n'est pas Jackie Coogan jouant un rôle tablement dans sa_ vraie voie cinématographique. jetée l'autre semaine en entier — une Unis, avec L'Oiseau bleu, de Maeterlinck, de petite épave, c'est un pauvre petit, Après The Périls of Pauline, elle tourne The Exploits of heure de projection —■ à Paris. PruneUa, L'Eternelle tentatrice, puis L'Ile simplement, qui vit devant nous. Et rien Elaine, sous la direction de Donald Mackensie et L. Gasnier, Des documents un peu décousus re- au trésor, La bruyère blanche, etc.. R. que cela est tout à fait remarquable. d'après un scénario de George B. Seitz. C'est ce film, où elle Wiene et ses décorateurs, pour Caligari, cueillis par l'opérateur, on a su tirer un a pour partenaires Arnold Daly, Creighton Haie et Sheldon n'ont fait qu'exagérer le procédé, ce que excellent parti, grâce à un montage Lewis qui, sous le titre : Les Mystères de New-York a paru le l'histoire d'un fou rendait plausible. adroit. Sans doute, peut-on regretter que ASMODEE A PARIS (Erka). premier en France, en 1916. C'est après seulement que sous Mais si la « manière » de Tourneur, la prise de vues, ne tirant guère parti des le titre Les Exploits d'Elaine nous avons pu voir le premier, inspirée des théories de stylisation appli- Rip, le spirituel revuiste, fait du ciné- récents perfectionnements, ait été cons- The Périls of Pauline, où elle avait pour partenaires Crâne quées au théâtre piar Gordon Craig, reste ma. Cette fois c'est en images, et en sous- tamment fixe, alors qu'un peu de mou- Wilbur et Paul Panzer. possible dans la décoration ou presque titres, non en dialogues et en décors qu'il vement eut donné plus de réalité et d'in- Pearl White, en 1915, tourna deux ciné-romans qui n'ont tous les films, l'expressionnisme extrême traduit ses idées de revue. Après les fée- timité à l'ensemble de la bande. P. H. LES FILMS QUINZAINE

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Wesley BARRY Elmo LINCOLN et et m Colleen MOORE Mabel BALLIN

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[DE SON BAILLON

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Du 2 au 8 Ju in UNE IDYLLE DANS LA TOURMENTE (The ivorld and its woman) Du 9 au 15 Juin: GRAIN DE SON composé par Charles Kenyon et réalisé (Dinty) LE BAILLON par Reginald Barker juinpoM? par Marion Fairfax et réalise (Under Crimson Skies) LE TRIOMPHE DU RAIL Film Goldwyn 1919. Edition Erka par Marshall Neilan composé par J. G. Hawks et H. Thew tiré du roman de Rex Beach par Dorothy Mary Warren Géraldine Farrar Film Neilan 1920. F. N. Location et réalisé par Rex Ingram Farnum et réalisé par William Roy Neill Prince Boris Orbelianov Alec. B. Francis Film Universal 1919 Edition G.P.C. United Artists 1921. Ed. Artistes Associés Grain de Son Wesley Barry Robert Warren Ed. J. Connelly Murray O'Neil Wyndham Standing Sa mère Colleen Moore Capitaine Romney Elmo Lincoln Prince Michaïl .. Lou Tellegen Ruth Whitley Marjorie Daw Sanchez Harry van Meter Serge Perochine W. Lowson Butt Jane Appleton Aima Tell Curtis Gordon Thurston Hall Son fiancé Pat O'Malley Elsie Sanchez Mabel Ballin Comte Voronov Arthur Carewe Whitley J. Barney Sherry Dàn Appleton Reginald Denny Daisy, sa fille Nancy Caswell Baronne O. Amilarovna.. Naomi Childers Dorlsh Noah Beery Burke Frank Brownlee Irina Brodina Mme Rose Dione Lucy Gordon Betty Carpenter la jeune insulaire .. Béatrice Dominguez Mamie Cohnors Lydia Y. Titus Mrs. Curtis Gordon Eulalie Jensen Ciné Max-Linder, Tivoli, Colisée, Dey- Lutetia-Wagram, Select, Capilole, etc. Petit Prince Michaïl . ... Francis Marion Le docteur Gray Lee Beggs niours, Saint-Paul, Mozart-Palace. Mail- Petite Mary Warren May Giraci Tom Slater . Harlan Knight lot-Palace, Lyon. Passy. Salle Mariv'aux. LE PRESTIGE DE L'UNIFOilE LE ROI DU BLUFF (Civilian Clothes) LA HORDE D'ARGENT TEMPETES (Homer cornes home) (The Silver Horde) tiré de la pièce de Thompson Buchanan composé par Robert Boudrioz et réalisé tiré du roman d'Alexandre Hull par Agnes par Clara Béranger et réalisé par composé par Rex Beach et réalisé par par l'auteur Christine Johnstone et réalisé par Hugh Ford Frank Lloyd Film Ermslieff 1921. Edition Pathé-C.C. Jérôme Storm Film Goldwyn 1920. Edition Erka Film Paramount 1920. Edit. Paramonnt L'Homme Yvan Mosjoukine Charley Cavender . Dolly Malotte Myrtle Stedman Charles R

docteur Jekyll, pouvait à tout heure du jour et de la nuit, entrer dans la maison ou en sortir selon son bon plaisir. La pauvre Maud se désespéra bientôt de la mystérieuse conduite de son fiancé qui, rriaintenant s'éloignait d'elle et devenait bru- tal quand, par hasard, 11 venait lui rendre Comment visite. En effet, peu à peu les Instincts dé- bridés de « Hyde » empiétaient chaque jour un peu plus sur le docteur Jekyll et pour se maintenir dans son état normal, il était obli- on a tourné gé d'absorber d'énormes quantités du deuxiè- Yvan me breuvage. Un jour que Lord Carew était venu trou- ver Jekyll dans son laboratoire, et lui faire de dures remontrances sur sa conduite, le "LA MOSJOUKINE menaçant de rompre ses fiançailles s'il con- tinuait à vivre aussi étrangement, Jekyll entra dans une fureur inexprimable et,- re- prochant à Carew d'avoir été son pernicieux initiateur à ia vie sensuelle, 11 se transforma TERRE DU tout à coup, maigre lui, en Hyde, bondit sur et Carew et l'étrangla. La police se mit aussitôt en campagne, persuadée que le fameux Hyde devait être l'auteur du crime, mais 11 demeurait Impos- DIABLE" sible de découvrir le bizarre personnage, car. alors qu'on croyait le tenir « Hyde » repre- Nathalie nait aussitôt la personnalité. première de Je- kyll. Mais un beau jour, Jekyll constata avec terreur qu'un produit essentiel qui formait la base du breuv-ige destiné à le maintenir LISSENKO dans son état normal venait de s'épuiser. En Le grand mérite de La Terre du Diable vnin son domestique rechercha ce produit est d'être avant tout un documentaire chez tous les apothicaires de la ville, le doc- sensationnel sur le Vésuve et d'émouvoir, teur Jekyll étiit désormais condamné à de- meurer jusqu'à la mort dans son abominable du fait qu'un acteur se trouve mêlé aux état second. Il restait maintenant enfermé phases de l'éruption. dans dans son laboratoire, n'osnnt plus se mon- Partie en mai 1921 pour le Vésuve, la trer à quiconrpie et un matin que Maud Ca- Si la Terre du Diable reprrésente un rew voulut venir l'y visiter, plutôt que de troupe de Luitz-Morat tourna d'abord à effort au point de vue du spectacle ad- se révéler à elle avec tous ses Instincts dé- Naples les scènes de la maison détruite mirable de la nature prise ainsi sur le chaînés. 11 absorba un violent poison et par l'éboulement d'un rocher, les scènes vif sous un de ses aspects les plus gran- tomba foudroyé devant ses amis accourus. Et de Pompeï et une partie de celles du Vé- TEMPÊTES ceux-ci assistèrent à la lente transformation dioses, il n'en est pas de même au point de « Hvde » en celle du dnrtcur .lekyll. qui suve. Mais on s'aperçut alors que la pel- de vue de l'anecdote dont les auteurs du renrenaït, après sa mort, l'aspect calme et se- licule utilisée jusque-là était de qualité film ont agrémenté leurs grandes scènes. rein sous lequel tous l'avaient jadis connu et trop inférieure. On repartit pour Paris, où aimé. Le scénario de L'i Terre du Diable est Et l'on comnrlt alors que le pauvre Jekyll les frais du premier voyage furent rem- franchement puéril. Les continuelles in- avait succombé victime d'une « science » boursés par le fournisseur de la pellicule vraisemblances et naïvetés dont il est en- dont 11 avait vnulu violenter les secrets. inutilisable, et, fin juillet, on reprenait taché, notre confrère W. Burk, dans Bravo Docteur Jekyll rjarrymore au Vésuve la réalisation du film, après les a fort bien soulignées en ces termes : j John M. Hyde I avoir tourné certaines scènes fin Sicile « Ascanio gravit donc le volcan. Ivre Maud Carew Martha Mansfield . aux ruines d'e'Solunte et de Taormine. de l'alcool qu'il a bu pour se donner du Edward Carew Brandon Hurst Pour bien comprendre ce que fut la courage, il se jette dans le cratère vomis- Docteur R. Lanyon Charles Lane réalisation des scènes tournées au Vésuve, sant fumées et blocs de lave. John Utterson J. Malcolm Dunn il faut connaître sommairement la topo- ■ « Sans que nous sachions comment il Edward Eufield Cecil Clovelly graphie du lieu. réussit à sortir de là,- nous le retrouvons Thérèse Njta Naldi Le grand cratère du Vésuve a environ meurtri, en loques, encore sous l'influence Poole George Stevens un kilomètre de diamètre. Au fond de de l'alcool, et, en compagnie de Cesarini. l'entonnoir qui forme le cratère, il y a KISMET il trouve sur sa route un tombereau rem- une nouvelle élévation de terrain d'une pli de monnaie d'or et attelé d'un âne. EN MISSION AU PAYS DES FAUVES lions de la vie ; elle était fiancée au Dr tiré de la pièce d'Edward Knoblock et réa- hauteur de 200 mètres environ, couverte Là-

I pour

Au Film d'Art ensuite, sous la direction de L. Nalpas, on ment des nouveaux films Paramount, l'entrevoit dans Mater Dolorosa, de Gance, puis on lui con- notre confrère de Comœdia J. L. Cro- rie des rôles importants dans La Danseuse voilée, L'Epave, ze annonce que dans Le Jaguar de la Sierra, la partenaire de W. S. Hart, Nemrod et Cie, trois films réalisés par Maurice Mariaud. Eva Novak, n'est , autre que sa jeune avec Andrée Brabant. Enfin c'est son incarnation de Ber- femme. La même erreur est répétée tuccio dans le Comte de Monte-Cristo, réalisé par H. Pouc dans l'éloge qu'il fait, un peu plus tal. loin, des programmes de la salle Ma- rivaux, du Ciné Max-Linder, etc. Après un court passage à la Phocéa-Film de Marseille Le fait ne serait pas très nouveau où il tourne Elle, sous la direction de H. Vorins, Gaston et ''erreur pas bien gravé si- précisé- Modot se retrouve, à Nice, en 1918, sous la direction de ment ia Paramount ne présentait sous Louis Nalpas qui vient de fonder sa propre firme. peu un autre film de Hart : L'Enfer des villes (John Petticoats) qu'Hart a C'est alors Kadjar de La Sultane de l'Amour, de Frantï tourné avec celle qui devait devenir Toussaint, Nalpas, Le Somptier et Ch. Burguet. Puis, dans sa femme, Winifred Westover. J. L. Croze, dans l'éloge qu'il ne manquera l'ordre : pas de faire de ce film, va-t-il faire Un Ours et Le chevalier de Gaby, dont Modot lui-même passer Hart pour bigamie I écrit le scénario et qu'il tourne sous la direction de Ch t» Burguet avec Gaby Morlay pour partenaire. Il faut soixante ans à un homme de La Fête Espagnole, de Louis Delluc, réalisé par Ger- génie, dans la littérature, la musique, maine Dulac. la peinture, etc., pour se faire con- naître de ses compatriotes. Mathias Sandorf, d'après le roman de Jules Verne, rèu En une heure, Une jolie fille con- lisé par Henri Fescourt. aaît, par le cinéma, l'admiration du monde entier. Fièvre, de Louis Delluc. • La Terre du Diable, de Vercourt et Luitz Morat, tourne N'EN JETEZ PLUS : en Italie méridionale. De tartes à la crème ou de jets Le Sang d'Allah, de Luitz Morat, tourné dans la régioc d'eau à la face d'un personnage de de Marrakech. film comique. De croix, de calvaires de Christs Actuellement, Gaston Modot tourne, dans Les Mystère* dans les films dramatiques. de Paris, que Ch. Burguet réalise d'après le roman d'Eu- De lys piétinés en manière de sym- gène Sue, le personnage de Martial. boles. D'inaugurations dans les < Actua- lités ». Photo M. CHABAS D'histoires d'engagements immi- Pour les amateurs de précisions, ajoutons les renseigne- nents — si on ne les retient ici — ments suivants : taille : 1 m. 79 ; poids : 75 kilos ; yeux : d'interprètes français par des compa- marron foncé ; chevelure : châtain très foncé. Adresse gnies américaines. 26, rue Verdi, Nice. Celui qui désire se distraire trouve pour trente sous deux heures de spec- naître en nous un sentiment de recon- tacle, au cinéma; il en dépenserait naissance. avec GABYj MORLAY dans "Le Chevalier de Gaby'' certainement plus pendant le même • laps de temps lorsqu'il recherche une Le cinéma offre ce plaisant con- autre « distraction »... sans compter ce que peuvent lui coûter les consé- Gaston Moclot est né a Paris le 31 décembre 1887. Au traste: les a milliardaires » y reçoi- quences possibles. contraire de tant de futurs interprètes d'écran, il ne res- vent souvent dix ou vingt francs par jour, alors que les « miséreux » tou- sentit pendant sa jeunesse aucun penchant sérieux pour chent dix et vingt mille francs par le théâtre. Le cirque l'amusait bien davantage et s'il pen- mois. sait déjà à son avenir il se voyait certainement bien plu- tôt clown qu'acteur. La capacité d'admirer et d'appré- Pourtant jusqu'au moment où il partit faire son service cier ce qu'il y a de mieux est plus militaire. Gaston Mo dot avait étudié sérieusement la pein- importante que des connaissances Le cinéma combine deux arts : la étendues ; car nous sommes, dévelop- ture, et c'est à une circonstance fortuite, ia rencontre d'un photographie et la peinture. La pho- pés et formés par ce que nous admi- ancien ami, Jean Durand, devenu metteur en scène de tographie sur la pellicule et la pein- rons et aimons davantage que par ce films, qu'il dut ses débuts au cinéma, que rien ne faisait ture sur le visage des interprètes.

fondé en 1919, déclare, en la présentant, de 3 années de travail. Il y en aurait, dit- 2° Le désarmement, 250 mètres. que son œuvre est absolument en dehors . on,--plus de 700 copies en circulation dont 3° Les conséquences économiques, 1.000 INFORMATIONS de la politique des partis et qu'elle n'a un certain nombre placées à l'étran- mètres ; qu'un seul but : " éclairer les grandes ger (sic). 4° Réparations, 100 mètres. masses qui, jusqu'à présent vivaient dans « Ce chiffre prouve que l'intérêt vis-à- Il convient de remarquer cette différen- Cette iformule sera placée sous euve- mouvant sur un bateau en marche sont l'indifférence, sur l'importance des chaî- vis du problème de Versailles s'est éveillé, ce de métrage entre les numéros 3 et 4. le concours oie scénarios loppe cachetée, et, sur cette enveloppe particulièrement intéressantes. Pour nos nes qui paralysent la vie économique al- poursuit l'Institut, puisqu'une bonne œu- Les conséquences économiques, qui ne l'auteur ' reproduira' sa devise et le nu- sens, il avance, alors que, par rapport à lemande ». vre cinématographique n'a besoin que sont pas aussi mauvaises pour l'Allema- oîe Patlie-Consortium méro. une ardoise fixée au rivage, il est immo- « Les masses ont cependant le droit et d'environ 25 copies ». gne que d'aucuns veulent le faire croire, Le jury, qui sera composé de hautes bile. Si donc le mouvement dépend du le devoir de connaître les facteurs réglant Le film est conforme à l'original du absorbent à elles seules 1.000 mètres, et La Société Pathé-Consortium-Cinénaa, personnalités artistiques, littéraires, et point d'observation, sa rapidité est rela- leurs destinées », conclut l'argument de traité et se divise de la façon suivante : encore les Allemands pourraient y faire voulant affirmer l'intérêt qu'elle porte à de la presse, des spécialistes et techni- tive aux constatations persqnnelles de l'Institut. 1° Dispositions territoriales et le sort leur mea culpa, alors que les Réparations la production française et servir, conlor- ciens les plus renommés dans l'art ciné- l'observateur. Elle est encore relative à Le film qui a 1.500 mètres est le fruit des frontières, 200 mètres ; sont liquidées en 100 mètres. mément à son programme général, et matographique, aiusi que de la direction la direction dans laquelle se meut l'en- sous une forme nouvelle, les intérêts des de Pathé-Cousortium-Cinéma, se réunira droit d'où le corps en mouvement a été à Paris, au siège de cette Société, 67, rue « espoirs possibles », a décidé d'insti- projeté. du Faubourg-ùaint-Martin, où devront tuer un concours de scénarios ouvert à Cette première partie, compréhensible être adressées toutes les communications à chacun, est complétée par la seconde tous les Français et alliés, scénarios Films pour amateurs, pour location et vente: relatives à ce concours. partie, où se trouvent expliquées les dif- LIVRES PHOTOS dans lesquels devront se mêler, comme TECHNIQUE Lefort-Delon, 43, rue des Petits-Carreaux, Ses décisions seront sans appel ; le ré- férences existant entre les lois d8 la La plupart des artistes envoient leur photo- Paris. dans la vie, le drame et la comédie, les sultat du concours sera proclamé avant Le Cinéma, par Coustet ; Edition Hachette, larmes et le rire. dynamique électrique, en particulier, la 70, boulevard Saint-Germain, Parts (5 fr.). graphie dédicacée à ceux de leurs admirateurs Cenlral-Union-Cinéma, 105, avenue Parmen- fin avril 1923. qui la leur demandent. tier, Paris (XIe). Chaque auteur pourra faire développer théorie de la lumière, et celles de la mé- Le Cinéma,, par H. Diamant-Berger ; Edi- Les noms des personnalités composant tion « Renaissance du Livre », 78, boulevard On-trouvera les adresses des artistes fran- l'action du sujet choisi dans une ou plu- canique classique. C'est à cela que ten- çais dans le n° 70 ; des artistes américains le jury seront publiés ultérieurement. dent les expériences dont le but est de Saint-Michel, Paris (5. fr.). sieurs régions de la France. Le Cinéma puur tous, par Arnaud et Boisy- dans le n» 71 ; des suédois, italiens, danois, APPAREILS DE Pathé-Consortium-Cinéma mettra à la démontrer si l'Ether est immobile ou s'il von ; Edition Garnier, G, rue des Saints-Pè- russes, etc. dans le n° 73. Les scénarios présentés au concours se- disposition des lauréats les prix sui- Recommandez-vous toujours, dans votre PROJECTION ront rédigés en français sous la forme se meut. A l'aide des expériences de Mi- res, Paris (6 fr. 90). '■ vants : ART demande, de notre revue ; pour les artistes « Pathé-Kok », Pathé-Ens'eignement, 67. suivante : chelsen, le film établit que l'Ether de- français, joignez toujours à votre lettre un Premier prix 30.000 fr. faubourg Saint-Martin, Paris (Xe). 1° Un résumé de trois à six pages, vrait se mouvoir, alors qu'il montre éga- Cinéma et Cie, par Louis Delluc ; Edition franc en timbres pour les frais. Deuxième prix 10.000 — Bernard Grasset, 61, rue des Saints-Pères, o Solus », Etablissements Bancarel, 59 bis, aussi concis et aussi clair que possible, lement à l'aide de celles de Fynen, qu'il rue Danton, Levallois-Perret. Troisième prix 5.000 — Paris (5 fr.). permettant de juger à première lecture est immobile. Photogénie, par Louis Delluc ; Edition De APPAREILS DE Etablissements « Union », 6, rue du Con- de la qualité de l'œuvre; Quatrième prix 4.000 — Cette opposition est expliquée par la Brùnorf, 32, rue Louis-le-Grand, Paris (10 fr.) PRISE DE VUES servatoire, Paris (9e). Cinquième prix 3.000 — Cinéma, pat1 Jean Epstein ; Editions de la 2° Un développement complet du sujet, théorie d'Einstein, exposée dans la troi- « Phébus », 43, rue Ferrari, Marseille. Sixième prix 2.000 — Sirène. Photo-Ciné SEPT, 86, avenue Kléber, Paris. P. Burgi, 42, rue d'Enghien, Paris. scène par scène, contenant tous les dé- sième partie du film. Le savant allemand Etablissements E. Mollier, 26, avenue de la Septième à douzième prix . 1.500 — a trouvé la solution en se basant sur le DIVERS « Gaumont-Matériel », 35, rue des Alouet- tails utiles à l'adaptation cinématogra- Le Code du Cinéma, par E. Mcignen ; Edi- Grande-Armée, Paris. e Treizième à vingtième prix 1.000 — théorème que deux chronomètres à mar- Mazo, 33, boulevard St-Martin, Paris (3e). tes, Paris (19 ). phique, avec titres, sous-titres, lettres, tion Dorbon aîné, 19, boulevard Haussmann, E. Laval, 10-10 bis, boulevard Bonne-Nou- etc. ; Tous les sujets primés deviendront la che exactement pareille lorsqu'ils sont Paris (12 fr.). velle, Paris. Editions de la Lampe Merveilleuse, 29, bou- 3° Un tableau des personnages de l'ac- propriété exclusive, absolue et définitive immobiles côte à côte, doivent avoir FILMS Radiguet et Massiot, 15, boulevard des Fil- levard Malcsherbes, Paris. (El Dorado, J'ac- les-du-Calvaire. tion ; de Pathé-Consortium-Cinéma ; ils pour- une marche différente si l'un d'eux est cuse, etc.). Films Usagés, pour Amateurs et Particu- Etablissements E. Mollier, 26, avenue de la 4° La désignation éventuelle des sites ront être réalisés par Pathé-Consortium- en mouvement. Il en a tiré la théorie de Le Tout-Cinéma, annuaire du monde ciné- liers, à vendre depuis 0 fr. 10 le mètre. Cinéma, directement ou indirectement. relativité de temps et d'endroit, rejetant matographique ; un fort volume cartonné de Demander listes : Cinématographes Bau- Grande-Armée, Paris. - où se déroule l'action. Vignal, 66, rue de Bondy, Paris (Xe). L'auteur s'engage à accepter toutes radicalement l'Ether lumineux. L'impos- plus de 000 pages ; prix : 30 francs. Editions don Saint-Lo, 345, rue Saint-Martin, Paris. Sans interdire l'étude des passions et Millo, 3, boulevard des Capucines, Paris (2e). (Tél. : Archives 49-17). Mazo, 33, boulevard St-Martin, Paris (3e). de leurs conflits, l'auteur devra respecter, modifications nécessaires qui lui seront sibilité de rendre la notion de simulta- les lois régissant la morale et la famille ; suggérées, soit par le jury, soit par le néité est exposée dans le film par des éviter les sujets relevant exclusivement metteur en scène chargé de ■ l'exécution signaux lumineux partant de deux sta- de la politique, de la religion, de la guer- du film. tions différentes. L'observateur qui se re ; éviter également les situations in- Chaque auteur de manuscrit primé ac- trouve sur une haute tour ressent en mê- vraisemblables ou impossibles à réaliser cepte, dès à présent, que son scénario me temps les deux signaux, celui ce- J. Galangan. —. Thomas Meighan était le zio (Ladislas Zntbmar), Daruay (Etienne dans un film cinématographique. puisse servir de thème à la publication pendant qui se trouve sur un avion en partenaire de Norma Talmadge dans La Cité Bathory) ; limes Yvette Andréyor (Sava To- d'un roman-cinéma qui sera écrit, d'ac- marche n'a pas l'impression de la simul- défendue (Forbidden City). entre nous ronthai), Pélisse (Mme Toronthal), Djémel- Le concours sera ouvert le 1er juin 1922 Hicldis. — Non, J'accuse ne sera pas ré- Anik (N'amia), de la Croix-(Mme Bathory), G. et clos le 31 décembre 1922. cord avec un spécialiste, en consultant tanéité. De même l'espace de temps est édité dans d'autres salles parisiennes ; mais Ristori (Maria Ferrato). — sur les autres Pathé-Consortium-Cinéma sur l'opportu- plus court pour l'observateur en mouve- une tournée pour l'exploitation en province points, les producteurs n'ont pas indiqué de Les œuvres manuscrites ou, dactylo- distribution. graphiées devront être écrites en deux nité de l'un ou de l'autre travail. ment que pour celui qui se tient immo- fonctionne actuellement. — Emmy Lynn est réponses aux questions bile. Comme exemple de ce fait, le film mère de deux fillettes. — Romuald Joubé est Savigny. — Quand Sandra Milowanoff et exemplaires, seulement au recto, avec Pathé-Consortium-Cinéma aura l'op- marié, mais, pas à une actrice. Adresse : posées par nos lecteurs Biscot leront quelque chose d'intéressant, une marge suffisante, permettant au lec- tion pour publier, soit directement, soit montre des automobiles électriques qui 18, rue de la'Grande-Chaumière, Paris. nous parlerons d'eux comme des autres. Jus- dans une librairie, sous forme de bro- émettent des signaux et qui sont munies M. L. A. —■ Les intérieurs de L'Atlantide qu'ici ils n'ont fait qu'encombrer l'écran 24 teur des annotations. l'Ameriean-Cinema-Corpbration, est le titre semaines par an. — The beautiful Gambler chure ou de volume, le sujet qui aura été de montres. ont été tournés dans un local spécialement américain de La Voix de la conscience. Chaque concurrent n'aura droit qu'à aménagé à cet crfet, à Alger. Les décors ont est bien le titre de ce film Universal inter- mis en film et primé. Comme conclusion, lé film montre l'es- Robert, Bruxelles. — Lily Dagover, c/o De- prété par Grâce Darmond, qui paraît déjà l'envoi de deux scénarios et ne pourra été composés et réalisés sous la direction cla-Bioskop, 25, Viktoriastrasse, Berlin W. 10. sai qui a rendu la théorie d'Einstein po- du peintre Manuel Orazi. — Cette lueur vient en Belgique. — James Corbett est un ancien être titulaire que d'un seul prix. C. B. Florissant. — Les interprètes de Ma- champion du monde de boxe, qui a toUrné pulaire : Il indique que les rayons lu- des lampes à arc qui éclairaient la scène. — thias Sandorf étaient : R. Joubé (Sandorf- Les envois devront parvenir, sans nom C'est exact, le rôle d'Antinéa avait été tout un ciné-roman et quelques films pour Uni- mineux s'adaptent à l'espace supposé Antekirtt), Toulout (Silas Toronthal), Mo- versal ; The Gentleman of Avenue A est en- d'auteur, à la Société Pathé-Consortium- la théorie â Einstein d'abord proposé à Mlle Ventura, mais elle ne dot (Carpena), Vermoyal (Sarcany), Armand Cinéma, service du concours de scéna- courbé par Einstein et que, de ce fait, put, retenue par d'autres engagements, en- core inédit en France. — Oui, Léonce Perret Tailler (Pierre Bathony), Dutertre (Boritt), dans ces comédies "Léonce, tournées chez rios, 67, rue du Faubourg-Saint-Martin, ils ne peuvent parvenir en droite ligne treprendre un aussi long voyage. Maillard (Ferrato), Nastasio (Zirone), Benv. au spectateur. C'est pourquoi à travers Loute. — Voici la distribution de La Proie, Gaumont avant guerre. — 77ie Inner Voice Paris. Chaque manuscrit portera, sous le a 1 écran Nardo (Peccado), Milo Poggi (Matifou), Naz- (La Voix de la conscience) ; les autres films le télescope, nous voyons l'étoile en ob- parue dans notre numéro 67 : Constant Rémy titre, une devise et un numéro. En deux ans d'un travail assidu, quel- (Carlo), Marthe Vinot (Hélène), Bout-dc-Zan n'étant pas encore venus ici, je ne puis vous servation non pas à l'endroit où elle (Géo), Rolla-Norma (Jack Watson), Germai- renseigner. — Non, vous avez vu Le Gosse L'auteur devra remplir la formule , sui- ques professeurs MM. Kornblum, Nico- en entier ; seulement les photos que Chaplin vante, écrite entièrement de sa main : se trouve réellement, mais à un autre. ne Fontanes (Féticla), comtesse de Maguelon- Amateurs, qui voulez tourner! laï, Laemel, Fanta, Bugk, ont tenté de L'exactitude de cette hypothèse d'Ein- . ne (Juanita de Fraizia). — Le Loute, tourné a données à l'éditeur pour la publicité du Je soussigné, concurrent au Concours réaliser la mise à l'écran de la théorie il y a plus de quatre ans par René Leprince, film n'ont qu'un rapport assez lointain avec de Pathé-Consortium-Cinéma sous la de- slein a été démontrée lors de la derniè- ne sortira sans doute jamais. Vous pouvez Réaliser votre Rêve les scènes qu'il a conservées. — Il faut s'a- de relativité d'Einstein et ont réussi à dresser aux directeurs des studios ; mais je vise n" , re éclipse solaire. Cette dernière est éga- Chiffon. — Nous ne vendons pas de pho- la faire comprendre au profane de cette lement représentée par le film. tos. Adressez-vous aux artistes eux-mêmes. La et Nouvelles Stars Film » vient vous préviens que vous n'avez guère de chan- ayant pris connaissance du programme manière. — Georges Lannes, 12, rue Simon-Dereure, de se constituer pour tourner quatre ces de réussir. Venez me dire bonjour, lors e de votre passage. et du règlement du dit concours, en ac- La première partie du film cherche à Paris (18 ). grands films. Son but est de recher- Blondinette. —■ Jean Angclo, 11, boulevard Aimant le ciné. — M. Hiéronimus (19, rue cepte toutes les dispositions et déclare : faire comprendre à chacun la relativité cher et de lancer tous les jeunes ta- Daru, Paris) interprète le rôle de Julot, dans 1° Que l'œuvre que je présente est ori- Montparnasse; Paris. Pour les photos, voir des phénomènes physiques. Les premiè- le film sur le traité avis page 2. lents : amateurs, artistes, qui veulent L'Empereur des pauvres et celui de Léo dans ginale, de ma propre invention et non Anny. — Nous parlerons d'eux quand ll« Le 15e prélude de Chopin. res images déjà prouvent que le choix se faire une situation au Cinéma. Elle Aramisette. — Sans doute, dans un an, soumise à des droits d'auteur ; du point d'observation joue un rôle très seront plus souvent visibles sur nos écrans; fait appel à tous les concours, accepte 2° Que j'en cède la pleine propriété à avant, cela n'intéresserait qu'une trop petite quand l'édition de Vingt ans après sera ter- grand pour toute orientation et toute ob- Je V ersailles partie de nos lecteurs. — F. N. Location les personnes de tous âges ainsi que minée, Pathé-Consortium-Cinéma tournera-t- Pathé-Consortium-Cinéma, au cas où un servation. Les images suivantes mon- éditera en France 27ie Passion Flomer comme les enfants . il Le Vicomte de Bragelonne. — Pierre De « Le film documentaire et de propa- Guingand, outre Aramis des Trois Mousque- prix du concours serait attribué à la sus- trent que le mouvement aussi est relatif du reste tous les films de Norma Talmadge Toutes demandes seront examinées. dite œuvre. gande sur le traité de Versailles passe produits pour" First National; mais ce film taires et de Vingt ans après, a tourné un film et qu'il est nécessaire que nous le consi- maintenant dans les salles de spectacle sera précédé par une bonne demi-douzaine Ecrire seulement avec photo si possi- de longueur courante : Le Mauvais garçon, Titre de l'œuvre dérions par rapport à nous pour être d'Allemagne, annonce La Cinématogra- d'autres bandes tournées antérieurement par ble à l'administrateur de N. S. F., 20, que Pathé-Consortium éditera à la rentrée. Nom de l'auteur : convaincus de son existence. A ce point Norma. — Le public français ne la connaît Sisters three. — Francelia Billington, de- phie Française. encore que fort peu, ne la voyant que rare- rue des Martyrs, Paris, qui convo- puis Blind iHusbands, a tourné The' Great air Adresse exacte : . T de vue, les prises de vues d'un homme se L'Institut pour favoriser la culture. ment. — The Inner Voice, tourné en 1919 par quera. llobbery, avec Locklear et deux ou trois pe- Ciné pour Tous

INSTITUT CINÉGRAPHIQUE photos du Monastère de Sendomir dans le numéro 53. — Silvio de Pedrelll était Rasti- me PLAGE DE LA REPUBLIQUE gnac dans Le Père Goriot. — Lou-Tellegen, M Georges WAGUE (18 et 20, Faubourg du Temple) l'époux récemment divorcé de Géraldine Far- Tél. : ROQUETTE 85-66 — (Ascemeart, rar, était Don Matéo Diaz dans La Femme et le Paniin. Préparation complète an Nostradamus. — André Lyonel, Société d'Editions Cinématographiques, 46, rue de LEÇONS D'ART Cinéma dans Studio moderne Provence, Paris. — Gina Palerme doit avoir par artiste* et metteurs en scène connue : une trentaine d'années ; célibataire. Adresse: CINÉGRAPHIQUE MM. Pierre BRESSOL (Nat Pinkerton, 11, rue du Colisée, Paris (8e). Pierre et Jean G. — Mary Pickford et Dou- Nick-Carter), F. ROBERT. CONSTHANS glas Fairbanks, Pickford-Fairbanks studios, Les élèves sont filmés et passés à l'écran Hollywood (Cal.), U. S. A. — Séparément. — Cours de 5 à 7, le Dimanche, en tom e avant de suivre les cours Voir avis au sujet des.photos, page 2. j-tudio, 5, Cité Pigalle (2 ). Tél. : Trudaiat Eclectisme. — Sam de Grasse est un artiste 23-36. □OURS ET LEÇONS PARTICULIERES américain II était Jenkins, le directeur d'usi- (de 14 à 21 h.) ne, dans Intolérance. Il incarne actuellement PRIX MODERES Little John dans le nouveau film que Dou- glas Fairbanks tire de l'histoire de Robin lette, dans le rôle de Mme Parent ? — Sandra Hood : The Spirit of Chiutilry. Adresse : Milowuuoff est Mme Georges de Meck. — 1729, Winova Boulevard, Hollywood (Cal.), Nous ne parlons pas des interprètes insigni- tites bandes avec Lester Cunéo. — F. N. Lo- U. S. A. — Ces photos ne se vendent pas, fiants. cation va éditer un autre film de Constance : elles sont louées aux directeurs de salles Dollij C. -— L'affaire Paliser (The Paliser Le second mariage de Lucette. — Constance pour une semaine, avec le film. — Eric Stro- Case), Le Portrait de Mrs Bunning (Bonds Talmadge, United Studios, 5311, Melrose ave- heim, Universal Studios, Universal-City of Love) ; ces films de Pauline Frederick nue, Los Angeles (Cal.), U. S. A. (Cal.), U. S. A. — Trop aimable. ont été réalisés par Frank Lloyd. Adresse : lncorr. curieuse. — Après Les Roquevillard, Donnithorpe. — Nous savions que Léon 503, Sunset boulevard, Beverley-Hllls (Cal.), Maxime Desjardins tourne Vinyl ans après MaUiot est Belge ; niais nous ne voyons pas U. S. A. — Pauvre Cœur, est un ancien film (rôle de Charles Ier). Adresse, 2, impasse très bien pourquoi il "ne le dit pas person- tourné par Pauline Frederick pour Para- Conti, Paris (6e). Marié à Mme Kerwich, de nellement. mount ; je n'en connais pas le titre. l'Odéon. Violette. — La lenteur d'édition de Pathé- Pascaline et S. — Voir réponse précédente. Ginette. — Ces adresses ont paru dans le Consortium est proverbiale ; Le Mauvais gar- — Cet interprète de l'arisette n'est pas men- auméro 71. çon, qui devait sortir, siuis sous-titres, en tionné dans la distribution. — Oui, à la con- Hélène. — Feuilletez à nouveau notre nu- dition d'y être autorisée, et c'est là toute la méro 89, et vous y trouverez la distribution difficulté. — Les acteurs en quête d'engage- de Stella Lucente, un bieu mauvais film, soit ment se réunissent à la Taverue Namur, bou- dit en passant. — Je^ne connais pas l'adresse COURS GRATUITS levard de Strasbourg. des parents de Suzanne Grandais. Miss Mary.— Glurla Swanson, Mary Miles Shelagh. — Ce film n'a pas été édité en ROCHE (LO. O) Militer et Constance Talmadge sont agréa- France, jusqu'à présent ; mais je sais que bles et ont un certain talent, mais de là à c'est une production Stuart-Blackton, dont Cinéma — Tragédie — Comédie le considérer" comme des astres de première on a pu voir en France Les Passants, Ter- e grandeur, il y a une marge ; de même pour rible Dilemme (My husband's ôtlier wife) et 10, rue Jacquemont, PARIS (18 ) Maè Murray, meilleure danseuse qu'inter- bientôt De la haine à l'amour (Forbidden (35e Année) (Nord-Sud : La Fourche) prète dramatique. — Paramount a encore un Talley). Blackton a produit depuis La Glo- Noms des artistes en renom au cinéma ou film de cette dernière à éditer : Idols of rieuse aventure, le premier film entièrement Cluy. une production G. Fitzinaurice.. tourné en couleûrs naturelles. au théâtre, qui ont pris des leçons avec le professeur Roche : MM. Denis d'Inès, Pierre Doug and Mury. — United Artlsts éditera A. Racket. — Claude Mérelle était Fernande Magnier, Etiévant, Volnys, Cueille, Térof, de The love light, de Mary Pickford, cet au- Oelaveau dans Travail. — L'Etrange- aven- Gravone, etc. ; Mlles Mistinguette, Geneviève tomne. — Sans doute Mary ne Juge-t-elle pas ture, de Joë Hamman est un démarquage pur Félix, la jolie muse de Montmartre ; Pasca- sa petite nièce- capable de remplir des rôles et simple d'Cne aventure à New-York, de importants. Douglas Fairbanks s c'est simplement scan- line, Eveline Jamiey, Pierrette Madd, Ger- maine Rouer, Louise Dauviile, etc., etc. Emèraude. — L'Homme qui pleure, avec daleux 1 Nox et de Rochefort, est à présent terminé i Dudule. — Ce rôle de L'Empereur des Pau- ce dernier tourne actuellement dans le Midi vres est interprété par M. Mailly. — James les extérieurs d'une autre bande. Adresse i Aubrey est le vrai nom de Fridolin. — Non, mars dernier, net sortira qu'à la rentrée, avec Paris : 17, rue Victor-.Massé. c'est bien Lise Jaux qui, dans Purisette, In- sous-titres. Edith M. — Jackie Coogan a maintenant terpréta le rôle de la nourrice de Muuoëla ; Sa Loulou. — Tania Daleyme, devenue 6 ans et demi. — Nous avons publié la dis- Jane Rollette interpréta le rôle de Mme Pa- Mme Mariaud, vient d'être maman. Ecrivez- tribution de L'Assommoir dans le n° 81. — rent. — Nous n'avons plus de collections lui aux films D. H., 188, boulevrad Hauss- Blanche Montel a bien eu raison de quitter reliées complètes. mann, Paris. — Vous la reverrez en automne les ciné-feuilletons de L. Feuillade ; elle Tom Burke. — Non, c'est au cours de la dans Le Double. Mon opinion V C'est une vaut* mieux que cela. — C'est déjà fait, ô réalisation de The Nul (L'excentrique) que belle personne qui, bien dirigée, peut faire lectrice Intermittente : Hart (n»» 44 et 67), Doug. s'est cassé deux doigts et contusionné d'excellentes choses. — La trentaine. Tom Mix (n° 58). — Jackie Coogan, United assez fortement, par suite de la rupture d'un A. Burcher. — L'éditeur français n'en a studios, Hollywood (CalUorula), U. S. A. accessoire. — Aucun truquage dans les pas dit plus long, et je n'ai vu qu'un épisode Maurice L. — M. Lagrenée, 6, rue Gustave- films de Douglas en général et dans Zorro de ce film. Il faut demander cela à M. Ch. Flaubert, Paris. — L Equipe h'uwint encore en particulier. — Le public, en général, goû- Burguet, le metteur en scène, 14, rue de été acquis par aucune firme éditrice, 11 est te assez le genre « cucu • où Feuillade est Liège, Paris. — Luck in Puwn est le titre Impossible de vous dire quand ce film sor- passé maître ; c'est un fait, mais c'est re- américain de Restez, mademoiselle ! avec tira. grettable pour les bons films. — Cette bio- Marguerite Clark et Charles Meredith (Ri- Princesse Slave. — La Paramount ne pro- graphie viendra bientôt. — Un homme passa chard Norton). duira pas personnellement. Marcel L'Her- est un film d'Henri-Koussell, avec Emmy O. S. U. — The Furnace (La Fournaise), bier et H. Roussell tourneront pour des so- 1 Lynn. Forbidden Fruit (le F'ruit défendu), ZVie ciétés indépendantes des films qui seront Maud. — Pearl White, 46, avenue du Bols Inner Voice (La voix de la conscience). Ce édités par Paramount, voilà tout. — United de Boulogne, Paris (10e). dernier a été tourné en 1919. — Agnès Ayres Artists n'édite en France que les films édi- Stéphane Népuki. — Née à Paris, c'est tout est née à Chicago en 1896, et a tourné pour tés en Amérique par la maison-mère. — Ci- ce que je sais. — C'est Pathé-Consortium qui Essanay et Vltagraph avant de passer à la tons Marcelle Pradot, Geneviève Félix, Glnf éditera L'Atre, ex-Au creux des Sillons, mais Paramount, où elle tourne cinq à six films Avril, Simone Vaudry, Blanche Montel. Pathé-Consortium n'est jamais pressé. par an. Célibataire. Toujours la même. —■ Le Cabinet du doc- Adm. d'Aimé S. G. — Ces renseignements teur Caligari est bien un film allemand ; sont d'ordre trop privé. — Le fils du Flibus- Aux lettres qui nous sont parvenues après nous en avons indiqué la distribution dans tier, comme tous les ciné-Teuilletons de L. le 27 mai. il sera répondu dans le prochain le numéro 85. Feuillade, a 12 épisodes. Edition en octobre. numéro. Mathilde et S. Franck. — Distribution et Maud. — Elle ne fait pas partie de la dis- tribution de Vingt ans après. — Oui, vous reverrez la Sainte Famille de Feuillade dans SI VOUS CHERCHEZ Le Fils du Flibustier. —■ II fallait surtout choisir une interprète un peu. plus jeune. L'ACADÉMIE DU CINEMA pour votre Cinéma, ou pour tout Tulipe Noire. — Non, Jacques Fcvder ayant cédé la réalisation de Sarati à L. Mercaiiton, est transférée Salle Hertz, 27, rue de» autre Commerce ou Industrie le titulaire du rôle principal a également Petits-Hôtels (place Lafayette). changé. Jean Angelo va tourner un nouveau Un cours de danse et un cours de diction film des frères Legrand, que nous annon- seront ouverts Un Successeur çons page 3. — Ce n'est déjà pas un métier Le cours de danse aura lieu le jeudi et qui permette de vivre, enFrance, à plus le samedi soir, de 9 heures à 11 heures. UN ASSOCIE forte raison en Belgique. — Wallace Reld, Lasky studio, Vine Street, Hollywood (Cal.), Pour tous renseignements, s'adresser DES CAPITAUX U. S. A. tous les jours de 3 à 6 heures à Adressez-vous : Maro. — Voulez-vous parler de Jeanne Rol- Mme Renée CARL Banque PETITJEAN DPT1 A ne et toutes chutes des cheveux rCLAUC reoousoe ( aranJB par le traiiemem 27, rue des Petits-Hôtels. (Métros: gara 12, Rue Montmartre, 12 PARIS lie BERDIÉ, 12, r. Clairaut, PARIS. - Prix : 16.50 îranco. de l'Est et Poissonnière.)

Impr. LOOIKR FRÈRES. 4. place J.-B. Clément, Part». Le Gérant .• P. HENRY