Le Professionnel», Qu'incarne Jean-Paul Belmondo Dans Le Film Du Même Titre De Georges Lautner, Débarque À Paris

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Le Professionnel», Qu'incarne Jean-Paul Belmondo Dans Le Film Du Même Titre De Georges Lautner, Débarque À Paris CERITO ET LES FILMS ARIANE PRESENTENT DIALOGUES GEORGES MICHEL LAUTNER AUDIARD JEAN DESAILLY ROBERT HOSSEIN JEAN-LOUIS RICHARD CYRIELLE CLAIRE • MICHEL BEAUNE • ELYSABETH MARGONI » MARIE-CHRISTINE DESCOUARD DIRECTEUR DE PRODUCTION ALAIN BELMONDO ENNIO MORRICONE PRODUCTEURS DELEGUES : A. MNOUCHKINE, G. DANCIGERS DIRECTEUR DE LA PHOTO DISTRIBUTION GAUMONT-CÉRITO RENÉ CHÂTEAU HENRI DECAE CERITO-FILMS et LES FILMS ARIANE présentent JEAN-PAUL BELMONDO dans ci mm UN FILM DE GEORGES LAUTNER SCENARIO DE MICHEL AUDIARD d'après le livre de PATRICK ALEXANDER «La mort d'une bête à la peau fragile» avec JEAN DESAILLY ROBERT HOSSEIN JEAN-LOUIS RICHARD MICHEL BEAUNE — ELYSABETH MARGONI — CYRIELLE CLAIRE DIRECTEUR DE PRODUCTION : ALAIN BELMONDO DIRECTEUR DE LA PHOTO : HENRI DECAE PRODUCTEURS DÉLÉGUÉS : ALEXANDRE MNOUCHKINE — GEORGES DANCIGERS SORTIE DU FILM: 21 OCTOBRE 1981 * * * DISTRIBUTION: GAUMONT — CERITO RENÉ CHATEAU [Ma Lorsqu'un agent des services secrets envoie un message codé à ses supérieurs hiérarchiques, ce n'est pas pour leur raconter une histoire belge ou marseillaise. Surtout lorsque la transmission intervient après un long séjour forcé (de l'expéditeur) dans un bagne d'Afrique centrale... Deux ans d'isolement et de brimades. Deux ans à guetter le moment propice à l'évasion, à atten- dre l'heure de la vengeance, à la préparer en ressassant sa hargne... Car ce n'est pas pour solliciter humblement des explications auprès de ses chefs que «Le Professionnel», qu'incarne Jean-Paul Belmondo dans le film du même titre de Georges Lautner, débarque à Paris. C'est pour régler ses comptes avec ceux qui l'ont trahi, sacrifié délibérément sur l'autel des opportunités politiques et des retournements d'alliances après lui avoir confié une mission «spéciale» de la plus haute importance: éliminer physiquement le potentat sanguinaire qui règne sur la République de Malawy. On cherchera en vain le nom de cet Etat sur une carte du continent africain. Pour être imaginaire, l'aventure vécue à l'écran par Jean-Paul Belmondo (d'après un livre de Patrick Alexander, «La Mort d'une bête à la peau fragile») n'en est pas moins riche en allusions politiques. Mais ce n'est pas cet aspect de l'intrigue qui a séduit son protagoniste. Avec «Le Professionnel», Belmondo ne prétend pas jouer les serruriers opportunistes dans une histoire à clés. Pour lui, il s'agit encore, et toujours, de distraire le public, dans un registre différent de celui illustré par «Le Guignolo» ou «L'Animal» certes, mais avec la même force d'attraction. Des ruptures de ton, aussi fulgurantes que toniques, ménagent, en plein drame, quelques échappées vers l'humour et des scènes de séduction dont le charme n'est pas seulement de composition... Pierre DAVID LE QUOTIDIEN DE PARIS LE QUOTIDIEN DE PARIS Il n'organise jamais de projections de presse, se soucie fort peu des cri- tiques et délaisse le plus souvent les demandes d'interviews. Exception- nellement, et à l'occasion du tournage de son soixantième film, « le Pro- fessionnel », il a accepté de s'expliquer pour « le Quotidien » et de parler. UN FILM PAR AN Du Festival de Cannes, de Marguerite Duras, de Mesrine, de la télé, de ses détracteurs, du nouveau gouvernement, etc. En toute liberté et sans jamais mâcher ses mots Belmondo est et reste un plus en plus osés — et pour- homme d'affaires avisé. Il n'y grand professionnel entière- quoi ? Pour quelques minutes, a pas de secret : comme dans A ment au service de son art, voire quelques secondes toute entreprise, l'argent est le s'engageant totalement dans d'image, quelques secondes moteur. Belmondo, en assu- vec « le Professionnel » son la réalisation de chacun de ses magiques qui donnent au mant tous les risques finan- soixantième film, Jean-Paul films. Dès l'écriture, sa spectateur la vraie dimension ciers de ses films, prend là sa Belmondo continue une car- « patte » intervient : il choisit de ce VIP Art : le rêve, l'éva- vraie dimension. Il est l'un des rière qui l'a porté en un quart lui-même l'histoire, participe à sion, l'oubli d'un quotidien rares acteurs au monde à être de siècle au sommet du box- l'élaboration du script, émaille qu'il n'a pas besoin de revivre simultanément son propre office. En effet, du petit voyou ça et là le scénario de gags, dans une salle obscure. Et producteur et distributeur : d'« A bout de souffle » au d'effets ou de cascades. N'ac- c'est par ce dépaysement que « Le vrai producteur qui se policier de « Flic ou voyou » ceptant aucune doublure, au Bébel atteint son but. mouille sur un film, c'est très en passant par « Léon Morin grand désarroi de ses assu- rare, dit-il ; moi, quand je fais prêtre » ou Stark, le petit reurs, ce sportif hors pair «J'y mets un film, j'y mets mes billes ! truand de « Classe tous recule chaque fois les limites mes billes ! » Ce que j'ai gagné avec « Peur risques », tous ses rôles il les de ses possibilités physiques, Mais l'homme d'écran, la sur la ville », je l'ai remis dans interprète avec la même con- allant au-devant de risques de vedette choyée, se double d'un « l'Alpagueur » et ainsi de viction, la même détermina- suite. » Et tous ces risques tion d'acteur qui font de lui un reposent sur lui, sur sa des dignes successeurs de « gueule » et son jeu. Gabin ou de Jules Berry. Sou- A-t-il, au seuil d'un nouveau vent controversé et taxé de film, l'impression d'être le pre- facilité, Bébel continue de mier, l'intouchable ? Non, sa défendre avec acharnement un modestie et sa simplicité l'en certain type de cinéma : cette empêchent car, conclut-il, évasion du samedi soir, ce « dans ce métier, on ne peut cinéma tel que l'ont créé et être le premier ». En effet, défendu les frères Lumière et chaque film remet en cause Méfiés. Un divertissement l'acteur et un échec peut sans message ni idéologie, car remettre en cause une carrière là n'est pas son propos, sim- complète. Avec « le Profes- plement un but : amuser, sionnel », qu'il tourne actuelle- retrouver les racines d'un ment, Belmondo a choisi de divertissement populaire sans s'éloigner un peu de ce qu'ont ce « terrorisme intellectuel » été ses derniers films pour qu'il dénonce pour avoir fait revenir à un genre policier main basse sur toute produc- plus strict, plus rigoureux et à tion. « A force d'intelligence, un scénario plus étoffé. confie-t-il, le théâtre s'est des- Il a accepté, en exclusivité, de séché et les spectateurs ont nous recevoir afin de faire le déserté les salles. Les acteurs point sur sa carrière, mais sont traumatisés, ils en vien- aussi pour nous permettre de nent à refuser les pièces de découvrir, derrière la vedette, boulevard par peur de passer l'homme, tout simplement. pour des imbéciles. Le succès A.G. est suspect, le commercial est honteux. C'est ridicule, jouer Labiche est une expérience formidable. » Un engagement total Son succès précisément, le nombre d'entrées réalisées par * « Le Professionnel » sortira sur ses films l'ont mis au banc les écrans le 21 octobre 1981 d'une certaine société, celle-là dans 250 salles. même qu'il rejette. Et pourtant LE QUOTIDIEN DE PARIS LE QUOTIDIEN DE PARIS LE QUOTIDIEN : Avec « le rence entre les films. Aux sont plutôt des antispecta- Moko » ou « Le jour se lève », copier les Américains et l'on Jean Gabin ou Alain Delon graphiques du livre de ché les Américains de faire Professionnel », votre pro- Etats-Unis, on ne s'occupe teurs, on classe dans cette regardez le foisonnement de n'est pas capable de le faire; n'ont jamais été récompensés Mesrine, pensez-vous en des films sur eux avec le suc- chain film, vous semblez pas de cela, on ne vous dit pas catégorie des types comme De personnages autour de la on a l'air des petits cousins par des prix d'interprétation. tirer un film bientôt ? cès que l'on sait sans que per- revenir vers un genre plus que vous jouez la facilité ou Niro : c'est stupide. De Niro vedette, la cohérence de tous qui imitent les grands au sonne ne soit choqué. strict, plus construit, laissant non, votre film marche ou ne est une star et se comporte ces rôles. Il faut se rendre à casino de Palavas-les-Flots. Pensez-vous que c'est un Oui, j'espère le tourner, mais plus de place à l'histoire. marche pas : donc il est bon comme une star. Il y a un mi- l'évidence : on ne sait plus le problème d'acteur ou un je sais que je vais me heurter à Oui, mais Mesrine nous Est-ce un tournant par rap- ou non. C'est le public qui lieu et un comportement qui faire. Dites-moi quel bon film Le cinéma que vous défen- problème d'auteur ? de nombreuses difficultés : touche de plus près, tandis port à des films comme « le juge par le nombre de per- découle de ce milieu, c'est français cette année j'aurais dez n'y est, n'importe com- C'est un problème d'auteur, j'aurai du mal à avoir les que pour nous. Français, Guignolo » ? sonnes qui viennent le voir. tout. dû faire et que j'ai loupé ? ment, pas représenté ? nous en revenons toujours au autorisations, il sera interdit Bonnie et Clyde ou Al Moi je n'en vois pas où je au moins de dix-huit ans et Capone sont du domaine du Jean-Paul BELMONDO.
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