Département D'ecologie Et Environnement

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Département D'ecologie Et Environnement République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE de TLEMCEN Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie et Sciences de la Terre et de l’Univers Département d’Ecologie et Environnement Laboratoire de recherche d’Ecologie et Gestion des Ecosystèmes Naturels MEMOIRE Présenté par M. OSMANI ABDESSAMAD En vue de l’obtention du Diplôme de MASTER En : Ecologie Thème Contribution à l’étude phytoécologique de Noaea mucronata(Forssk.) Asch. & Schweinf.(Amaranthacées) dans la région de Bouhlou Soutenu le 14 / 06 / 2017, devant le jury composé de : Président M. BENABADJI Noury Professeur Université de Tlemcen Encadreur Mme SARI-ALI Amel M.C.A Université de Tlemcen Examinateur M. BOUABDELLAH Hamza M.A.A Université de Tlemcen Remerciements Au terme de ce travail, il m’est particulièrement agréable de remercier toutes personnes ayant contribué de près ou de loin à la réalisation de cette modeste recherche. Bien sûr, la personne que je souhaite remercier en premier lieu est madame A. Sari-Ali, Maître de conférences à la Faculté des Sciences de la nature et de la vie, des Sciences de la terre et de l’univers, de l’Université Abou-Bakr-Belkaid de Tlemcen, pour son encadrement, ses précieux conseils, ses encouragements qui m’ont permis de réaliser ce travail, ses critiques constructives et sa confiance. Je voudrais également saluer ses qualités "humaines", mais aussi sa compréhension et son soutien dans les moments difficiles. Monsieur N. BENABADJI, Professeur à l’Université de Tlemcen, Département d’Ecologie et Environnement qui nous a fait l’honneur de présider ce jury, qu’il trouve ici toute ma gratitude. Monsieur H. BOUABDELLAH, Maître- assistant à la Faculté des Sciences de la nature et de la vie, des Sciences de la terre et de l’univers de l’Université Abou-Bakr-Belkaid de Tlemcen pour avoir accepté d’examiner ce travail. Je remercie aussi Mademoiselle A.BENSOUNA, doctorante à l’Université de Tlemcen, pour son aide, ses conseils et son soutien. Je remercie aussi Monsieur B. BABALI, Maître de conférences B à l’Université de Tlemcen, pour ses conseils et son aide dans l’identification des espèces. Monsieur F. Hassani, Maître de conférences A à la Faculté des Sciences de la nature et de la vie, des Sciences de la terre et de l’univers de l’Université Abou-Bakr-Belkaid de Tlemcen pour ses encouragements et ses orientations. Mes sincères remerciements sont adressés aussi à Madame R. CHRIF, Ingénieure du laboratoire de Pédologie. Enfin, mes remerciements les plus chaleureux à mes parents, qui m’ont toujours aidé, orienté et encouragé pour terminer mon parcours académique et pour la réalisation de ce mémoire. DEDICACE A mes très chers parents, pour leurs encouragements aux moments difficiles, pour leur amour, leurs sacrifices et patience qu’ils ont toujours manifestée à mon égard, qu’ils trouvent ici le témoignage de mon profond respect et de ma plus grande gratitude. Que ce mémoire soit un moyen d’exprimer ma reconnaissance et mon éternelle affection pour leur dévouement et pour leur soutien. A toute la famille OSMANI ET AMMARI, A tous mes oncles, à toutes mes tantes et cousins, A mon frère Abderrahmane, A mes amis BOUYACOUB.M et BENYAMINA.K, A mes amies ainsi qu’à tous les étudiants de ma promotion, A tous ce qui m’ont apporté une aide de près ou de loin. Introduction générale ___________________________________________________________________________ 1 Introduction générale Introduction générale La région méditerranéenne abrite une diversité biologique de première importance. En raison de sa situation particulière et de l’impressionnant gradient bioclimatique Nord-Sud qui la caractérise, l’Algérie offre des opportunités exceptionnelles pour l’évaluation et pour la compréhension des mécanismes impliqués dans la diversification et l’adaptation des plantes en relation avec l’évolution de leur environnement (Amirouche et Misset, 2009). Les terres arides et semi arides représentent un tiers de la surface du globe. Dans ces zones, la salinité des sols et des eaux d’irrigation est l’un des facteurs limitatifs de la productivité végétale et du rendement agricole (Zid et Grignon, 1991; Baatour et al., 2004 in Ouiza et al., 2010). Une étude sur le schéma d'utilisation des terres mondiales révèle que 7% de la superficie terrestre du monde, s'élevant à 1000 millions d’hectares, est devenu saline (Tester et Davenport, 2003 in Jithesh et al., 2006). Les sols salés sont impropres à la croissance de la plupart des plantes, et seules persistent les espèces susceptibles de supporter la salure qui, étant alors débarrassées de la concurrence des autres plantes, deviennent dominantes. La famille des Chénopodiacées fournit le contingent majoritaire dans ces types de peuplements; beaucoup de ses représentants halophiles ont une apparence de plantes grasses à rameaux articulés, comme les salicornes formant le fond de la végétation de la Camargue. Certaines espèces, peu nombreuses d’ailleurs, supportent des teneurs de 1 à 3% de sel dans le sol, mais le caractère halophile de la végétation apparaît déjà pour des teneurs inférieures à 1% (Ozenda, 1982). Les halophytes sont un groupe d’espèces végétales spécialisées du point de vue écologique, physiologique et biochimique, se développant sur des substrats salés, capables de produire des masses vertes et des graines pendant la période de vie (Aronson, 1985; O'Leary, 1985; Shamsutdinov, 1993 in Shamsutdinov (a) et Shamsutdinov (b), 2008). Les études scientifiques sur les environnements salés ont porté sur des voies différentes: la caractérisation et le fonctionnement physico-chimique des sols salés, l’adaptation et la tolérance des végétaux au stress salin, soit les deux, donnant naissance à des travaux se basant sur les relations sol-végétation. Parmi ces travaux, nous pouvons citer ceux réalisés sur le bassin méditerranéen, l’Algérie et sur l’Oranie en particulier, il s’agit de : Simonneau (1961), Djebaili (1970, 1984), Ruellan (1970), Franclet et Le Houérou (1971), Gauchet et Burdin (1974), 2 Introduction générale Billard et Binet (1975), Pouget (1980), Aimé (1991), Benabadji (1991,1995, 1999) et Sari- Ali (2004). Les halophytes sont essentiellement des Angiospermes représentées par la famille des Amaranthacées avec les genres Atriplex, Obione, Salicornia, Suaeda, Salsola. La présence de fortes concentrations en sels dans l'environnement induit des comportements nouveaux chez la plante. Deux problèmes vont se poser à elle : d'une part le sel contrarie son approvisionnement en eau et d'autre part elle doit contrôler son contenu en sel qui ne peut dépasser un seuil toxique, variable d'une halophyte à l'autre. La plupart des halophytes présentent des organes aériens charnus ou succulents, caractères xéromorphes assez analogues à ceux que l'on trouve chez les végétaux vivants en milieu aride. Cette convergence de forme est due à la présence de sels responsables d'une baisse du potentiel hydrique de la solution du sol et rendant l'eau moins disponible pour les plantes. Ceci correspond à une sécheresse qualifiée par certains auteurs de « physiologique ». La morphologie et la structure des halophytes sont adaptées dans le sens d'une économie d'eau permettant à ces plantes de vivre dans des conditions d'alimentation hydrique difficiles. Le problème est d'avoir de l'eau en quantité suffisante, assez longtemps, et de l’utiliser au mieux. La mise en réserve de l’eau, les feuilles transformées en organes de réserve expliquent le phénomène de succulence observé chez les halophytes. Aussi, cette étude porte sur une contribution à la phytoécologie de Noaea mucronata, halophyte appartenant à la famille des Amaranthacées, au niveau de deux stations de la région de Bouhlou (Wilaya de Tlemcen). C’est ainsi que ce travail s’articule autour de 6 chapitres qui traiteront respectivement : Biologie de Noaea mucronata Etude du milieu physique Bioclimatologie Pédologie Etude floristique Morphométrie 3 Chapitre I _________________________ Biologie de l’espèce 4 Biologie de l’espèce I.1.Généralités I .1.1. Caractères généraux des Amaranthacées (Chénopodiacées) I.1.2. Caractères généraux du genre Noaea I.1.3. Aire de répartition de l’espèce : Noaea mucronata I.2. Systématique de Noaea mucronata I.2.1. Classification I.2.2. Synonymes I.3.Organographie I.3.1. Partie aérienne I.3.1.1. Tige et rameaux I.3.1.2. Feuille I. 3.1.3. Inflorescence I.3.1.4. Fruit I.3.2. Partie souterraine I.4. Exigence pédoclimatique I.5. Intérêt de Noaea mucronata Conclusion 5 Biologie de l’espèce I.1.Généralités I .1 .1. Caractères généraux des Amaranthacées (Chénopodiacées) Amaranthacées ou Amaranthaceae est une famille de plantes appartenant à l’ordre des Caryophyllales. Les Amaranthacées sont représentées par plus de cent genres et 2400 espèces; celles-ci représentent ¼ des halophytes dans le monde et comprennent à la fois, des plantes ornementales (Amarante queue-de-renard), des adventices indésirables dans les cultures dites plantes invasives et des plantes servant à l’alimentation humaine ou du bétail. Ce sont des plantes de terrains salés, buissonnantes rarement des herbes (Ozenda, 1991), vivant surtout sous les climats arides et semi-arides. Pour la classification phylogénique, plus de la moitié des espèces qui la composent appartenaient, dans les classifications traditionnelles dont celle de Cronquist, à la famille aujourd’hui invalide des « Chénopodiacées ». Selon Ozenda (1991) cette famille est caractérisée d’un point de vue floristique par : Des fleurs petites sans pétales avec 2 à 5 sépales peu visibles cachés en partie sous les bractées; la floraison est en général automnale; hermaphrodites ou unisexuées par avortement, ou parfois nettement unisexuées (Maire, 1962) ; Un périanthe formé de cinq pièces, persistant autour du fruit; Des étamines en nombre variable, généralement inférieur à cinq; Un ovaire supère comportant une seule loge, contenant un ovule, généralement surmonté de deux stigmates qui se transforme en un akène, un polyakène ou une capsule déhiscente; La graine est ordinairement aplatie en une lentille (réniforme), disposée suivant les genres dans un plan vertical ou horizontal.
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