Livre : Nouvel Ordre Mondial
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Livre : Nouvel Ordre Mondial Français, Françaises et tous les francophones qui pouvez lire ces phrases. Il est l’heure de prendre conscience de notre environnement, du système, du monde actuel. Beaucoup ose se dire éveillé, lanceur d’alerte... C’est bien d’essayer d’y voir clair, et pour y arriver il faudra passer par un long chemin d’apprentissage, de recherche, de réflexion, pour accéder à la connaissance qui fait partie du processus de la pensée libre et éclairée. Le premier objectif est tout simplement de retrouver notre conscience. Au sens psychologique, elle se définit comme la « relation intériorisée immédiate ou médiate qu'un être est capable d’établir avec le monde où il vit ou avec lui-même ». En ce sens, elle est fréquemment reliée, entre autres, aux notions de connaissance, d'émotion, d'existence, d'intuition, de pensée, de psychisme, de phénomène, de subjectivité, de sensation, et de réflexivité. Ce sens correspond par exemple à l'allemand Bewusstsein et à l'anglais consciousness, et en français à la locution plus précise "d'état de conscience". La conscience est « cette capacité de nous rapporter subjectivement nos propres états mentaux »[1]. Commenté [p1]: Sciences Humaines. N° spécial "le cerveau en 12 questions", en date de janvier 2019 Au sens moral, elle désigne la « capacité mentale à porter des jugements de valeur moraux […] sur des actes accomplis par soi ou par autrui ». En ce sens, elle correspond par exemple à l'allemand Gewissen et à l'anglais conscience. Aujourd’hui la conscience qui dépend aussi de l’environnement est chamboulée par ces technologies envahissants nos quotidiens. La conscience s’est malheureusement éteinte chez certains criminels, certains malades, elle est aussi impactée chez les gens lambda qui ne pensent plus à se construire, à s’épanouir, délaissant l’environnement réel pour celui du virtuel. Elle est également de plus en plus menacée par des enfermements en prison d’opposants politique, de journalistes, par des internements sans consentement en hôpital psychiatrique alors que l’interné ne présente aucun trouble. N’oubliant pas les ouighours à présent privé de liberté en Chine, enfermé pour devenir de « bons citoyens ». La liberté de penser devient archaïque à présent, le but de l’élite est de nous faire entrer dans un conditionnement universel. A travers ce livre je souhaite que l’on retrouve la possibilité d’agir différemment, comprendre les sciences cognitives utilisées contre nous à des fins de contrôle du comportement, de l’annihilation de la réflexion... Il faut garder ses émotions lorsqu’elles sont positives, mais lorsque celle-ci, deviennent négatives comme le fait de voir une violence policière, une violence quelconque, un évènement nous touchant de loin ou de près, la, il ne faut pas rester dans cette phase nous emmenant souvent à une réaction imminente, un dégout, une haine… Il va falloir de cette vision, audition passer par une méthode de réflexion avant d’arriver à la réaction. Nous avons cessé d’user notre vision et notre audition passant souvent à l’action instantanément. Et parfois cette réaction est disproportionnée par rapport au fait subit, observé. Pour ne pas regretter nos actes, pour ne pas entrer dans une psychologie de foule, il faut donc se poser de bonne question. A partir des thèmes abordés dans ce livre, j’espère que vous aiguiserez votre esprit critique, votre conscience de l’environnement et des méthodes utilisés pour la manipulation des masses à travers des propagandes, de l’utilisation de la psychologie des foules. A présent vivons avec ce slogan VA : la Vérité est notre Avenir, nos Valeurs sont Ancrées, et on Vivra en Amour. Car nul avenir ne peut être construit sur un socle de mensonge ! On subit cette transformation de la société ou les anciens sont de moins en moins respecté, ou les jeunes sont en perte de repère. Déraciné de leur histoire, de la réalité avec toutes ces consoles, ces réseaux sociaux, ces télé réalités, de ces mouvements LGBT, ou encore de la promotion des non genrés. Toujours à la recherche de buzz, la ou l’intelligence est montré du doigt, comme l’intello en cours, l’ignorance devient alors la connaissance comme écrivais George Orwell. La ou la guerre est synonyme de paix. Habitué de voir légalisé les génocides sur planète Terre au nom de l’instauration de démocratie. Combien de pays ont été détruit, piétinés ? Le système actuel est comme la tour de Babel, voué à la destruction, ou à une modification en profondeur, un retour aux élémentaires de la vie. La violence est aussi justifiée par la population à travers le mot Révolution. Mais 1789 ne fut pas qu’illusion ? Ou s’est retrouvé le pouvoir ? Une population en avant, des Francs macons en arrière-plan récupérant les institutions pour imposer leur constitution. Se déroulant, comme le livre, la ferme des animaux d’Orwell. Tout le monde fut d’accord sur les lois mises en place, mais d’années en années des paragraphes, des articles se sont ajoutés. Venant priver, supprimer les libertés fondamentales de la majorité pour favoriser une minorité de personne s’adonnant à tous types de crimes. De l’évasion fiscale aux délits d’initiés, de l’invasion de pays à leur pillage, d’actes en tout genre, pédocriminalité, génocides. “A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. - George Orwell « 1984 » Propagande – Censure – Divertissement – Camps Fema – HP – Science cognitives Propagande : La propagande est un concept désignant un ensemble de techniques de persuasion, mis en œuvre pour propager avec tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine et stimuler l'adoption de comportements au sein d'un public-cible. En latin (médiéval), propaganda est l'adjectif verbal de propagare signifiant littéralement « ce qui doit être propagé ». La propagande a en effet connu un extraordinaire développement depuis la Première Guerre mondiale, première guerre industrielle, totale où il était essentiel d’enrôler toute la population. Forger la conviction, parfois jusqu’au fanatisme, est indispensable au bon déroulement de la guerre et à l’acceptation des sacrifices à consentir. La guerre exige de l’argent et des hommes, la propagande doit veiller à ce que l’état ait les deux en suffisance. Il faut fortifier le sentiment national et insister sur le péril encouru par la nation. Tous les pays belligérants créent dès lors des officines gouvernementales de propagande, la Belgique participe au mouvement. En février 1915 est créé au Havre le Bureau de Documentation belge, dépendant du Ministère de la Guerre, avec à sa tête Fernand Passelecq. 1916 voit apparaître l’Office de la Propagande belge, placé sous la direction d’un comité gouvernemental de propagande composé de plusieurs ministres et dirigés par Henry Carton de Wiart. Londres a son service de propagande dirigé par Henri Davignon et à Washington apparaît en décembre 1917 le Belgian Official Information Service dirigé par deux professeurs d’université belges travaillant aux Etats-Unis, Paul Van den Ven et Albert J. Carnoy. Les Etats Unis déclarent la guerre en avril 1917, l’opinion publique y est fortement opposée. Pour la faire changer d’avis, le président Wilson met sur pied, la Commission on Public Information, appelée aussi “Commission Creel” du nom du journaliste George Creel qui la dirige. Cette commission comprend des journalistes, des intellectuels, des publicistes et est une véritable officine de propagande moderne, éditant et publiant des affiches, des tracts, des caricatures, des films, des articles de presse, ... dans le but de mobiliser les gens, leur faire partager le point de vue du gouvernement, distiller la haine de l’ennemi. Le succès extraordinaire a incité les entreprises, après la guerre, à faire appel à certains des membres de cette commission, comme Edward Bernays, pour vendre leurs produits. Le mouvement s’intensifie avec la Seconde Guerre mondiale. Pour les états totalitaires, la propagande est essentielle pour soumettre la population, en empêchant tout esprit critique, afin de mener à bien l’acceptation sans nuance des idées du parti dominant. Des ministères de l’information ou de la propagande voient le jour : • ministère de l’information, l’agitation et la propagande en URSS chargé de mener la révolution prolétarienne dans le monde ; la propagande diffuse la doctrine socialiste, l’agitation monte des coups pour sensibiliser l’opinion autour de mots d’ordre efficaces ; • ministère de la propagande en Allemagne nazie aux mains du redoutable Joseph Goebbels[2] ; Commenté [pe2]: Ainsi Noam Chomsky écrit-il : « [...] la terminologie a changé dans ce domaine au cours de • Minculpop (ministère de la Culture populaire), à partir de 1937 en Italie, encadrant les la Seconde Guerre mondiale, avant laquelle le terme de propagande était assez ouvertement et librement utilisé médias. pour évoquer le contrôle de l’"esprit public". Par la faute de Hitler, le terme finit par avoir d’assez malheureuses connotations, et on s’est décidé finalement à l’abandonner. De nos jours, on utilise d’autres termes, La guerre amène les démocraties à recréer des bureaux de contrôle de l’information. Ainsi la mais quand on lit les travaux de sciences sociales et les écrits produits par l’industrie des relations publiques des Grande-Bretagne a un ministère de l’information qui fait de la désinformation, de la années 1920 et 1930, on constate que leurs auteurs rétention d’informations voire des mensonges, tandis que les Etats-Unis ont un bureau qualifient ce qu’ils font de "propagande". » (« Propagande & contrôle de l’esprit d’informations à la guerre. La propagande aujourd’hui reste toujours d’actualité à travers les public », Agone, no 34, 2004, p. 39.) différents médias, la culture, le marketing politique, ... La propagande a beaucoup évolué avec la naissance de la guerre psychologique dans laquelle elle trouve des prolongements.