PARCOURS NEUVIC D’USSEL

PAYS D’ART ET D’HISTOIRE HAUTES TERRES CORRÉZIENNES & VENTADOUR LA VILLE AU FIL DES SIÈCLES

NEUVIC AVANT NEUVIC LA DISPARITION DES REMPARTS Les origines de Neuvic ont fait couler Dans les textes, Neuvic est décrite comme une beaucoup d’encre et donné naissance à de ville murée ; à la fin du XVIIIe siècle (1778), un nombreuses hypothèses sans qu’aucune n’ait décret royal ordonne la vente de l’enceinte, formellement pu être attestée. Des vestiges devenue inutile. Trois portes sont alors antiques ont été découverts à proximité mentionnées : la porte de l’église, la porte (nécropole notamment) mais il est difficile de de la ville et la porte de la grange. Il ne reste connaître la nature de cette occupation. aujourd’hui aucune trace de l’enceinte ni de ces portes. La tour de l’Office de tourisme LE MOYEN AGE (appelée Tour des 5 pierres) n’est pas un La ville s’est développée au Moyen Age, peut- vestige de l’ancienne fortification mais la tour être autour d’un édifice castral dont il ne reste d’escalier d’une ancienne maison, détruite que peu de traces aujourd’hui. La ville était lors de la construction de l’OT. Les pierres qui alors sous la juridiction des Ventadour et ornent la tour ainsi que les mâchicoulis qui semble avoir été le chef-lieu d’une seigneurie. la surmontent sont des réemplois provenant Mais dès le XIVe siècle, c’est le château du notamment du château du Chambon. Peyroux (com. ) qui devient le véritable lieu de pouvoir. D’autres familles, comme les UNE VILLE MODERNE Pénacorn, sont également présentes dans La fin du XIXe siècle et le début du XXe la ville. A l’instar des trois autres villes de sont marqués par d’importants travaux la vicomté de Ventadour (, Ussel et d’aménagements. En effet, la question de Egletons), elle obtient à la fin du XIIe ou au l’amélioration des conditions de vie est de plus début du XIIIe siècle une charte de franchises en plus importante pour les municipalités : qui accordent aux habitants des libertés et travaux d’assainissement, agrandissement autonomie. C’est un document précieux pour des rues, création de places pour aérer… comprendre le fonctionnement de la ville au C’est ainsi que sera aménagé le jardin public Moyen Age. derrière la mairie, trois fontaines et un lavoir. Dès la fin du XIXe siècle, Neuvic ouvre des établissements scolaires dédiés aux métiers de l’agriculture : une ferme-école en 1851, le Syndicat d’intiative et édite des brochures. remplacée ensuite par l’Ecole Pratique En 1945, l’aménagement du barrage sur la d’Agriculture (1918) et celle d’Artisanat Rural Triouzoune créé un important lac artificiel (actuel lycée professionnel Marcel Barbanceys) (410 ha) autour duquel vont se développer des en 1927 (cf. Les établissements scolaires). aménagements touristiques: base nautique et L’éducation des populations rurales passe hôtel du lac, plages, village de vacances… aussi par un plus grand accès à la culture. La construction d’un foyer des campagnes CONCOURS DU COQ DE PECHE en 1929 permet d’accueillir des conférences, Chaque année depuis 1978, se tient le 1er des projections ciné ou des représentations mai le concours national des coqs de pêche. théâtrales. Enfin, l’art investit l’espace public Les plumes de ces coqs, élevés notamment grâce à des commandes publiques : statue du en Haute-Corrèze, sont particulièrement Chevrier, fontaine du Printemps… recherchées pour la pêche à la mouche. En 1912, le Transcorrézien relie Tulle à Ussel Certaines plumes de couleur gris bleuté en passant par Neuvic. Trois trains desservent (surtout celles du cou près de la crête, du quotidiennement la ville jusqu’en 1952, date dos et des flancs) sont en effet utilisées pour à laquelle le tronçon Ussel-neuvic ferme. fabriquer des leurres (mouches artificielles). Quelques années plus tard, c’est le tronçon Le concours attire chaque année plusieurs Tulle-Neuvic qui disparaît à son tour. milliers de passionnés et d’éleveurs.

LE DÉVELOPPEMENT DU TOURISME En ce début de XXe siècle, le tourisme se développe, renforcé en 1936 par la loi sur les congés payés et la réduction du temps de travail qui permettent à tous les

Français d’accéder aux loisirs. H. Queuille, 1. La tour des Cinq Pierres maire de Neuvic de 1912 à 1965, y est 2. Un coq de pêche particulièrement sensible. Pour cela, il 3. L’ancienne gare du Transcorrézien, contribue à l’embellissement de la ville, crée coll. privée D’UN LIEU À L’AUTRE LA VIEILLE VILLE

2 LA PLACE GAMBETTA 1975. Depuis le milieu du XXe siècle, les vitraux Autrefois appelée la Place Neuve puisqu’elle s’ouvrent à l’abstraction et de nouvelles se trouve hors des premières limites de la techniques font leur apparition, donnant un ville, c’est depuis toujours une place animée nouveau souffle à ces compositions. Le travail et commerciale comme le montre les photos de Louis-René Petit (né en 1934) s’appuie sur anciennes. En 1866, il est décidé d’y installer la lumière et la couleur. Le vitrail est pour lui une fontaine. D’abord adossée à un bâtiment, une « émission lumineuse, voile tendu entre elle sera transférée au centre de la place en l’extérieur et l’intérieur ». 1882 et ornée d’une colonne à deux têtes de lions et surmontée d’un chapiteau. Après la Parmi le mobilier de l’église, la présence d’une mort de Léon Gambetta (décembre 1882), un statue de Notre-Dame de Pénacorn, réalisée buste de la République, en pierre de Volvic, est en pierre de lave par le sculpteur Julien Lavaur, installé au sommet. La place est également rebaptisée. La légende de Notre-Dame de Pénacorn 3 L’ÉGLISE SAINT-ETIENNE & NOTRE- Un soir d’orage, comme il traverse le bois de DAME DE PÉNACORN Pénacorn avec son attelage, un serviteur du De l’église romane primitive, il ne subsiste que château adresse une prière à Notre-Dame quelques éléments dont deux chapiteaux du du Bon Secours. Il voit alors apparaître une portail représentant notamment la lapidation dame en blanc au pied d’un arbre. Arrivé de saint Etienne. Elle a été très remaniée aux au château, le pauvre homme raconte son XIVe et XVe siècles. A l’intérieur, si la chapelle histoire et le lendemain, une statue est nord est éclairée par une fenêtre romane retrouvée sur le lieu de l’apparition. Aussitôt, (arc plein cintre), le reste de l’église porte les le seigneur de Pénacorrn se porte sur place traces du gothique, notamment le chœur et la et la fait installer dans sa demeure. Mais chapelle sud éclairés par des baies gothiques la statue disparaît aussitôt pour retourner à arc brisé et lancette. à sa première place. Un ermite, à qui l’on Les vitraux sont l’œuvre de Louis-René Petit en demande la raison de ce transport, répond alors qu’elle doit reposer dans l’église de Neuvic. fait référence à une dévotion importante sur acquéreurs. L’ensemble comprenait une la commune (cf. encadré). Au XIXe siècle, une maison, une écurie, une grange, un colombier statue de Notre-Dame est commandée au et une chapelle. sculpteur Bonassieu et installée dans le bois de Pénacorn où se déroule un pèlerinage. Une chapelle est construite sur les lieux en 1932 pour abriter la statue (disparue en 1983). Le pèlerinage vers Pénacorn se déroule encore 1. La lapidation de saint Etienne, chaque année, le 15 août. chapiteau de l’église 2. L’hôtel de Saint-Mexant 3. La place Gambetta, au début du XXe siècle LA RUE DU COMMERCE & 4 6 coll. privée LES HÔTELS PARTICULIERS 4. La chapelle de Pénacorn C’est la rue principale de la ville médiévale, le long de laquelle celle-ci s’est développée. On y trouve des commerces mais aussi plusieurs hôtels particuliers. Hôtel Veilhan : il porte le nom de ses propriétaires du XIXe siècle, une famille de marchands qui s’est enrichie et a pu acheter, notamment, cette maison du XVe siècle. Hôtel de Saint-Mexant : il est daté du XVIe siècle par le décor de la tour (inscrite MH), à savoir des pilastres encadrant porte et fenêtres et un fronton triangulaire sur lequel se dressent des pots à feu. Il appartient dans un premier temps aux seigneurs de Pennacorn, puis aux Veilhan (famille différente de celle de l’hôtel du même nom). Au début du XVIIIe siècle, les Saint-Mexant s’en portent D’UN LIEU À L’AUTRE LA VILLE MODERNE

1. La Fontaine du Berger, H. Proszynsky 2. L’ancien marché couvert, place de la Résistance coll. privée

5 HENRI QUEUILLE & d’importants travaux d’aménagements visant LE MUSEE DE LA RESISTANCE à la rendre plus agréable et plus attractive : on Né à Neuvic en 1884, Henri Queuille a détruit des immeubles insalubres pour aérer marqué la vie politique locale et nationale. les rues et créer des places. Un marché couvert Il est maire de Neuvic de 1912 à 1965, puis est construit en 1929 à proximité de la mairie ; conseiller municipal et député de la Corrèze. il est détruit en 1986. Jusqu’en 2016, une En 1920, il est nommé sous-secrétaire d’Etat statue représentant un jeune chevrier ornait à l’agriculture. Ce sera le premier de ses 34 la fontaine (visible dans le hall de la mairie). ministères, dont 19 à l’agriculture. En tant que Réalisé par Raymond Barthélémy en 1866, ministre des Transports Publics, il participe à elle a été mise en dépôt de l’Etat à Neuvic en la création de la SNCF et à la nationalisation 1931. Durant la Seconde Guerre Mondiale, le des compagnies de chemins de fer. Il prend gouvernement ordonne que les statues en également part à la résistance en refusant de alliage cuivreux soient déboulonnées avant voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, d’être fondues pour l’industrie et l’armement. puis en rejoignant le général De Gaulle à Afin d’éviter ce sort au jeune Chevrier, un Londres. groupe de résistants cachent la statue qui Après la Libération, il fait partie des reprendra sa place après-guerre. gouvernements successifs de 1948 à 1954, avant de se retirer de la vie politique à la fin L’ENSEMBLE PROSZYNSKY 8 9 10 des années 1950. Il meurt à Paris en 1970. Le jardin public est le témoin des travaux Installé dans sa maison depuis 1981, le d’embellissement de la ville mais aussi de la musée présente les différentes facettes politique éducative et culturelle des années de la Résistance en Haute-Corrèze (presse 1930. Les sculptures qui l’ornent mettent clandestine, actions de guérillas…). Le rez- en avant le monde paysan (qui est alors un de-chaussée retrace la vie politique d’Henri pilier de la société) et l’éducation du peuple. Queuille. La Fontaine du Berger (ou Fontaine du Printemps) est réalisée par le sculpteur Henry LA PLACE DE LA RESISTANCE 7 Proszynsky en 1932, sur une commande de Dans les années 1920-30, la ville connaît l’Etat. Semi-circulaire, elle représente à une extrémité un jeune berger, le béret à la main, Proszynsky, entre 1938 et 1949. qui murmure à l’oreille d’une jeune paysanne L’ensemble des sculptures a été labellisé vêtue d’une grande cape. À l’autre extrémité, Patrimoine XXe. un bélier domine un groupe de brebis. Les bassins de contention qui la surplombent ont LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES 10 été aménagés plus récemment. La première ferme-école des Plaines ouvre En 1937, la municipalité décide d’aménager en 1851 sur l’initiative du comte d’Ussel. Elle un jardin dans le prolongement de la fontaine : ferme en 1914 pour laisser la place à l’Ecole l’ensemble comprend un préau-terrasse, un Pratique d’Agriculture (1918), d’abord réservée bassin et une fontaine. Le préau en béton armé aux mutilés et veuves de guerre, construite est décoré d’une mosaïque en fragments de en contrebas de la mairie. Il subsiste de cet faïence (sur la plate-forme) et de deux piliers ensemble deux pavillons baptisés Queuille sculptés par Proszynsky. Ils représentent une et Wilson (du nom du président américain, paysanne soulevant une fillette qui tient des la Croix-Rouge américaine ayant donné livres dans ses bras et un paysan soutenant un une importante subvention pour cette garçon qui se dresse pour attraper les fruits construction). En 1921, face aux difficultés de la connaissance. Il s’agit d’une allégorie de de recrutement, elle laisse place à l’Ecole l’Education. A l’extrémité du jardin, la fontaine d’Agriculture qui s’installe au domaine du de la Poule est réalisée en pierre et faïences Manus. L’Ecole change plusieurs fois de dans les mêmes teintes que la mosaïque dénomination (Ecole Régionale d’Agriculture du préau. Elle était ornée d’une sculpture en 1932, Lycée Agricole mixte en 1961, puis représentant un coq de bruyère effrayant de Lycée Henri Queuille en 1986). jeunes canetons. La sculpture en bronze est En 1927, est créée l’Ecole d’Artisanat Rural. inscrite au titre des Monuments Historiques et Installée d’abord dans les locaux de l’Ecole conservée au Musée de la Résistance. des mutilés, de nouveaux bâtiments sont Les huit cariatides du lycée Marcel construits en face et inaugurés en 1960. Barbanceys viennent clore cet ensemble et Marcel Barbanceys en est alors le directeur. En monumentalisent l’entrée de l’établissement 1952, il devient Centre d’Apprentissage Mixte, scolaire. Elles sont réalisées par Henri dispensant une formation aux machines 1. L’Ecole des Mutilés de guerre, coll. privée 2. Vestiges du couvent Saint-Projet 3. Les aménagements le long du lac de la Triouzoune

agricoles pour les garçons et un enseignement réseau d’eau potable et la création de trois commercial et de secrétariat pour les filles. Il lavoirs. Depuis le milieu du XIXe siècle, les devient lycée Professionnel en 1987. épidémies de choléra, de thyphoïde et de La mosaïque de Georges Muguet qui orne variole poussent le gouvernement à voter le bâtiment d’administration représente la des subventions pour la construction de déesse grecque des moissons, Cérès, et le dieu lavoirs publics. Ils resteront généralement en du feu et des métaux, Vulcain. usage jusqu’au milieu du XXe siècle, peu à peu supplantés par la généralisation des machines 11 LE COUVENT SAINT-PROJET à laver domestiques. Fondé au XVe siècle, le monastère est installé Le lavoir des Granges présente une sur les berges de la , sur la route architecture mixte, s’inspirant à la fois de l’art de Neuvic à Mauriac. Après la Révolution, déco (mosaïque) et de l’architecture moderne les moines sont chassés et les bâtiments (longues ouvertures). L’alimentation en eau vendus. Après la restauration du site par la se fait grâce à une ouverture centrale dans famille d’Ussel, la Congrégation des Sœurs la toiture en pente douce qui amène les eaux Garde-Malades s’y installent en 1872. La de pluie dans le bassin. Deux autres lavoirs, construction du barrage de l’Aigle (1940- à l’architecture plus simple, sont également 1945) entraîne l’évacuation du village et visibles : sur la route de (lavoir de la du monastère, menacés par la montée des Reymonde) et en bas de la rue de la Gane eaux de la Dordogne. Certains éléments ont (moulin de la Gane). été récupérés et installés à Neuvic. Il s’agit du portail de l’église orné du blason des L’ARBORETUM 13 Ventadour, d’une clef de voûte aux armes des Les premières plantations, au début du Ussel et des baies du chœur. XIXe siècle, sont dues à Marie-Antoine du Giraudeix, alors maire de Neuvic. Son petit- 12 LE LAVOIR ET LES POLITIQUES fils, Jean-Hyacinthe d’Ussel poursuit ses D’ASSAINISSEMENT travaux en reconstruisant la maison dans le En 1929, la ville prévoit l’extension du style Restauration (la tour carrée a été ajoutée en 1935) après l’incendie de 1822. Il aménage barrages sont construits sur la Dordogne et le site en jardin à l’anglaise (butte, pièce ses affluents formant l’une des plus grandes d’eau… ) et plante de nouvelles espèces. chaînes de barrages d’Europe. Si le projet Depuis 2006, la famille d’Ussel a entrepris la d’une usine sur la Triouzoune est lancé dès restauration du site, avec l’aide de la DRAC 1917 par H. Queuille, le barrage de Neuvic est et du paysagiste Laurent Berthelier. Le parc finalement aménagé entre 1942 et 1945. La avait en effet subi les affres du temps et des production d’électricité se fait à la centrale tempêtes, modifiant son aspect général. électrique de la Triouzoune dans les gorges Il compte aujourd’hui plus de 350 espèces de la Dordogne (com. de Sérandon) et non au d’arbres et de végétaux dans un parcours de pied du barrage. L’eau y est acheminée par 3 km. Il a obtenu le label Jardin Remarquable une conduite forcée sur environ 5 km. en 2007 et Arbres remarquables de en Dès la fin des années 1940, les abords du 2008. lac sont aménagés afin d’en faire un lieu touristique (pontons, cabines, bassins…) et LE PUY CHAFFAUD 14 le premier restaurant ouvre en 1953. L’Hôtel A 672 m d’altitude et couvrant 4,22 ha, le puy du lac présente des façades sobres côté rue présente aujourd’hui un parcours de santé et des ouvertures côté berges, donnant une dans un ancien arboretum aménagé dans les vue sur le lac. L’architecte a d’ailleurs articulé années 1930. En 1938, la municipalité achète sa construction autour d’une réflexion sur le la bande de terrain reliant l’arboretum à la lien entre l’architecture et le lac en ouvrant route pour y aménager une allée. Au bout des points de vue sur celui-ci, tout au long de celle-ci se dresse une statue en hommage d’un parcours extérieur. aux Résistants de la Seconde Guerre Egalement à voir autour du lac, deux statues : Mondiale, réalisée par Raymond Couvègnes. le médaillon d’Henri Queuille et la stèle en Elle représente un maquisard, nu comme à granite (dessinée par R. Couvègnes), offert l’antique, tenant dans une main une grenade. par l’association des Amitiés Henri Queuille en hommage à ce dernier ; et une Naïade, sur LE BARRAGE DE LA TRIOUZOUNE l’esplanade de l’hôtel, réalisée par G. Muguet. Entre les années 1930 et 1950, une série de r

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n La place Gambetta e champ de foire 2 place Gambetta 3 L’église P 4 Hôtel de Veilhan r ue de place 5 Musée de la Résistance e la lé T û ou H. Queuille 6 Hôtel Saint-Mexant r r d b e ers - D982E e s 5 marronni 7 Place de la Résistance u P es ise r ie e d gl rr enu Fontaine du Berger / l’é es av 8 de rue 14 Jardin Proszynsky ru 9 Fontaine de la Poule e d u c om 10 Cariatides m e Lycée professionnel Michel Barbanceys rce église 11 Vestiges de Saint-Projet rue de la brèc he 12 Lavoir public Arboretum arboretum 13 14 Puy Chaffaud ru e Office de tourisme d mairie e l’a rt is an at - VISITES ET ANIMATIONS D 2 0E 5 Visite de ville Ussel Réservations pour les groupes auprès du Pays d’art et d’histoire : r u e [email protected] d e 05.87.31.00.57 s G r a n g e Pour connaître le programme des animations s - D sur Neuvic : 2 0 www.pahcorrezeventadour.com

Bureau d’informations touristiques de Neuvic lycée M. Barbanceys Rue de la tour des 5 pierres 19160 Neuvic www.tourisme-hautecorrreze.com 05.55.95.88.78

Musée de la Résistance Janvier à Juin & Septembre à Décembre lundi au vendredi 10h-12h & 14h-17h30 Juillet / Août tous les jours 10h-12h & 14h-17h30 05.55.46.30.60

Mairie de Neuvic Place de la mairie 19160 Neuvic 05.55.95.80.16 N www.neuvic-correze.net Visites de l’arboretum 06.73.96.48.45 www.larboretum-neuvicdussel.com [email protected] 0 100m Sérandon Le lac « IL Y A DEUX CHOSES DANS UN ÉDIFICE: SON USAGE ET SA BEAUTÉ. SON USAGE APPARTIENT AU PROPRIÉTAIRE, SA BEAUTÉ À TOUT LE MONDE. À VOUS, À MOI, À NOUS. »

Vitor Hugo, «Guerre aux démolisseurs», dans La Revue des deux mondes, 1832

Le Pays des Hautes Renseignements Terres Corréziennes et 6, place de l’église de Ventadour appartient 19250 Meymac au réseau national des Villes 05.87.31.00.57 et Pays d’art et d’histoire [email protected] Le ministère de la Culture et www.pahcorrezeventadour.com de la Communication, direction de l’Architecture et du Patrimoine, Conception, rédaction des textes attribue l’appellation Villes et Julie Duponchel, Pah 2017 (d’après Pays d’art et d’histoire aux collec- Des Signes studio Muchir Desclouds) tivités locales qui animent leur Sauf mention contraire, les crédits patrimoine. Il garantit la compé- photos sont du Pah tence des guides-conférenciers et des animateurs du patrimoine Remerciements pour leur aide et la qualité de leurs actions. Séverine Levezier, Haute-Corrèze Des vestiges antiques à l’architecture Tourime du 20e siècle, les villes et pays mettent Mairie de Neuvic en scène le patrimoine dans sa diver- Béatrix d’Ussel sité. Aujourd’hui, un réseau de 160 villes et pays vous offre son savoir- Impression faire sur toute la France. Imprimerie du Corrézien, Brive

Le service animation de À proximité l’architecture et du patrimoine Vézère Ardoise, Monts et Barrages, Coordonne les initiatives Limoges et Riom bénéficient de du Pays d’art et d’histoire. Il propose l’appellation Villes et Pays d’art et toute l’année des animations pour la d’histoire. population locale et pour les scolaires. Il se tient à votre disposition pour tout photo de couverture : projet. Le lac de la Triouzoune crédit : Tim Mannakee, ADRT Corrèze