CORE Metadata, citation and similar papers at core.ac.uk Provided by Érudit Article "Longinus, Sappho’s Ode, and the Question of Sublimity" Peter Cochran Revue de l'Université de Moncton, 2005, p. 219-232. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/014359ar DOI: 10.7202/014359ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit :
[email protected] Document téléchargé le 9 février 2017 03:58 Revue de l’Université de Moncton, Numéro hors série, 2005, p. 219-232. LONGINUS, SAPPHO’S ODE, AND THE QUESTION OF SUBLIMITY Dr. Peter Cochran The University of Liverpool England Résumé De prime abord, cet article peut sembler porter sur les attitudes à l’endroit de l’autorité des anciens, mais il porte en fait sur l’ironie du ton et sur la difficulté qu’on peut avoir à la déceler, même quand le locuteur ou l’écrivain est un de nos proches.