N° 7 Du 31 Janvier 2013

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N° 7 Du 31 Janvier 2013 o Année 2013. – N 7 [2] A.N. (C.R.) ISSN 0242-6765 Jeudi 31 janvier 2013 ASSEMBLÉE NATIONALE JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 121e séance Compte rendu intégral 2e séance du mercredi 30 janvier 2013 Les articles, amendements et annexes figurent dans le fascicule bleu ci-joint http://www.assemblee-nationale.fr 578 ASSEMBLÉE NATIONALE – 2e SÉANCE DU 30 JANVIER 2013 SOMMAIRE PRÉSIDENCE DE M. CLAUDE BARTOLONE Mme Françoise Dubois, M. Philippe Houillon, 1. Ouverture du mariage aux couples de personnes de même sexe (suite) (n° 628) (p. 579) Mme Françoise Dumas, Mme Danièle Hoffman-Rispal, DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 579) Mme Édith Gueugneau, Mme Marie-Jo Zimmermann, M. Patrick Ollier, Mme Colette Capdevielle, Mme Chantal Guittet, M. Olivier Dassault, Mme Sandrine Hurel, M. Christian Assaf. Mme Élisabeth Pochon, Rappel au règlement (p. 583) M. Hervé Morin, M. Hervé Mariton. Mme Sylviane Alaux. DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 583) Rappels au règlement (p. 603) Mme Claude Greff, M. Hervé Mariton, M. Philippe Gosselin, M. le président, M. Olivier Dussopt, M. Patrick Bloche. Mme Élisabeth Guigou, Mme Catherine Vautrin. DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 604) Rappel au règlement (p. 586) M. Bernard Lesterlin, M. Jean-Frédéric Poisson. Mme Catherine Quéré, Mme Marie-Louise Fort, DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 586) M. Stéphane Travert, M. Nicolas Bays. Mme Cécile Untermaier, Rappels au règlement (p. 588) Mme Annie Le Houerou. M. Hervé Mariton, M. Olivier Dussopt, M. François Rappel au règlement (p. 610) de Rugy, M. Pierre Lequiller, M. Patrick Ollier. M. Hervé Mariton. Suspension et reprise de la séance (p. 589) M. Marc Le Fur. DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 610) Mme Annie Genevard, DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 590) M. Marcel Rogemont, M. Yves Nicolin. M. Yann Galut, Rappels au règlement (p. 590) Mme Anne-Yvonne Le Dain, M. Bruno Le Roux, Mme Catherine Lemorton, M. Philip Cordery. M. Laurent Wauquiez, M. Philippe Gosselin. Mme Dominique Bertinotti, ministre déléguée chargée de la famille. DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) (p. 592) Mme Christiane Taubira, garde des sceaux, ministre de la M. Jean-Yves Le Bouillonnec, justice. Mme Sophie Dion, 2. Ordre du jour de la prochaine séance (p. 618) ASSEMBLÉE NATIONALE – 2e SÉANCE DU 30 JANVIER 2013 579 COMPTE RENDU INTÉGRAL PRÉSIDENCE DE M. CLAUDE BARTOLONE aurions pu faire de l’union civile un véritable cadre protecteur, tant pour le couple que pour les enfants. Au lieu de cela, vous allez ouvrir une véritable boîte de Pandore. M. le président. La séance est ouverte. Puisque vous choisissez de construire le couple homopa- (La séance est ouverte à vingt et une heures quarante-cinq.) rental sur la base de l’adoption, pouvez-vous vraiment nier que ce texte ouvrira logiquement la possibilité de la PMA puis de la GPA ? D’ailleurs, si les députés de votre majorité ont 1 renoncé à déposer un amendement en faveur de la PMA, c’est uniquement contre l’assurance de débattre de ce sujet lors du projet de loi sur la famille que vous nous présenterez dans OUVERTURE DU MARIAGE AUX COUPLES deux mois. DE PERSONNES DE MÊME SEXE Et que dire de la circulaire que vous venez de prendre, madame la garde des sceaux ? Certes, vous avez voulu sécuriser Suite de la discussion d’un projet de loi la situation des enfants concernés ; cependant, cette décision suscite chez nous beaucoup d’interrogations quant à ce qui se M. le président. L’ordre du jour appelle la suite de la passera par la suite, et j’aurais souhaité obtenir une réponse à discussion du projet de loi ouvrant le mariage aux couples ce sujet. de personnes de même sexe. (nos 344, 628, 581) Vous qui êtes très respectueuse du droit des femmes – je Cet après-midi, l’Assemblée a commencé d’entendre les sais, madame la garde des sceaux, que vous avez été très orateurs inscrits dans la discussion générale. combative sur le sujet –, la marchandisation du corps de la femme, de l’utilisation de sa vie même, ne vous pose-t-elle pas problème ? Quelles femmes peuvent accepter de porter un DISCUSSION GÉNÉRALE (suite) enfant pour le confier à un autre après l’avoir mis au monde, sinon des femmes en grande détresse matérielle et M. le président. La parole est à Mme Marie-Jo Zimmer- sociale ? mann. Au travers de ce projet de loi de mariage pour tous, vous Mme Marie-Jo Zimmermann. Monsieur le président, remettez totalement en cause les lois de la filiation. madame la garde des sceaux, ministre de la justice, madame la ministre déléguée chargée de la famille, madame, monsieur Encore une fois, il ne s’agit pas de la capacité d’un couple les rapporteurs, mes chers collègues, le mariage pour tous homosexuel à élever ou à aimer un enfant ; je respecte l’amour serait donc le fruit normal de l’évolution des mSurs, un que les uns et les autres peuvent donner à un enfant. accroissement des libertés, l’occasion pour la France de rejoindre un standard européen. C’est sur de tels arguments La vie prive parfois un enfant de père ou de mère par que vous vous êtes appuyés depuis des mois pour soutenir une accident, mais la loi ne doit pas organiser une telle privation. réforme que la majorité des pays européens n’a pas adoptée et Mme Catherine Quéré. Ce n’est pas la même chose ! dont la majorité des Français est inquiète. Mme Marie-Jo Zimmermann. À travers ce texte, vous Pour vous, la France est en retard par rapport à ses voisins organisez légalement des arrangements qui priveraient a européens. Vous savez bien que ces affirmations sont loin de priori certains enfants d’un père ou d’une mère, des enfants correspondre à la réalité européenne. Cette réalité, la voici : qui doivent déjà porter toute leur vie le fait d’avoir été moins d’un quart des vingt-sept pays de l’Union ont autorisé abandonnés. Faut-il en rajouter ? Je vous pose la question. le mariage et l’adoption par des personnes de même sexe, et encore, selon des règles beaucoup plus restrictives que celles Quand on mesure la différence des rôles de père et de mère que vous nous présentez. Il en va de même pour la procréa- et leur importance dans la construction d’un enfant, quand on tion médicalement assistée et la gestation pour autrui. connaît les traumatismes que l’absence de l’un ou de l’autre peut entraîner dans la vie d’un enfant et dans sa vie d’adulte En revanche, ce sont seize pays – ce qui représente la ensuite, comment peut-on organiser par la loi l’éviction d’un majorité des pays européens – qui ont introduit l’union des deux piliers indispensables à la construction de l’enfant ? civile pour les personnes de même sexe. C’est donc cette voie qui est privilégiée en Europe. C’est cette voie-là que Notre droit s’appuie sur une réalité naturelle : un enfant est nous vous proposons de suivre depuis des mois ; et, puisque issu de la différence sexuelle de ses géniteurs. Le priver par vous êtes soucieux de l’harmonie européenne, c’est cette voie anticipation du bénéfice de l’altérité sexuelle de ses parents que vous auriez choisie si vous aviez fait preuve de cohérence. n’est conforme ni à sa nature, ni à son intérêt. Cela revient à l’exposer volontairement à des difficultés d’identification et de Nous aurions pu facilement améliorer le PACS dans un structuration de sa personnalité. esprit consensuel qui n’aurait pas suscité le clivage que crée le présent projet de loi au sein de la société française. Nous M. Michel Issindou. Qu’est-ce que vous en savez ? 580 ASSEMBLÉE NATIONALE – 2e SÉANCE DU 30 JANVIER 2013 Mme Marie-Jo Zimmermann. Pourquoi les enfants adoptés Mme Colette Capdevielle. En mars 2002, pardon. Cela fait ne pourraient-ils pas avoir les mêmes chances que ceux qui déjà dix ans& sont élevés par leurs parents biologiques ? M. Hervé Mariton. C’était déjà la priorité des Français ! Vous choisissez de privilégier l’intérêt de quelques-uns, aussi respectables fussent-ils, madame la ministre, et je respecte les M. le président. Allons, monsieur Mariton ! couples homosexuels,& Mme Colette Capdevielle. Peu de progrès ont été accomplis Mme Catherine Quéré. Et heureusement ! depuis dans le domaine de l’égalité des droits. À l’époque, monsieur Mariton, cette loi a permis aux pères d’exercer Mme Marie-Jo Zimmermann. &mais vous le faites au détri- l’autorité parentale à parité avec les mères et même prévu la ment des droits de l’enfant. Vous n’ignorez pourtant pas à possibilité de déléguer l’autorité parentale à un tiers. Cette quel point la loi peut être un instrument dangereux lorsqu’elle dernière disposition, grâce à l’intervention du juge, a récem- perd de vue ce qui la fonde, à savoir l’intérêt général. Dans la ment permis à des femmes d’obtenir la reconnaissance de leur mesure où il n’existe pas d’études sérieuses sur le devenir des rôle affectif et éducatif auprès des enfants de leur compagne enfants des familles homoparentales, vous transformez ces sans que ne soit toutefois établi un lien de filiation. enfants en véritables cobayes. Ce progrès s’est avéré totalement insuffisant, inefficace et En droit français, la distinction entre les personnes est inadapté. fondamentale. Dans une naissance, les rôles masculins et féminins ne sont pas identiques. Être père ou être mère est L’intérêt supérieur de l’enfant impose en effet que toutes les relatif au sexe de la personne, et non à sa sexualité ou à son familles soient reconnues et protégées.
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