Scherzi Musicali Tient À Remercier

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Scherzi Musicali Tient À Remercier Réalisé avec le soutien de la Communauté Française (direction générale de la Culture, Service de la Musique) Avec le soutien de Wallonie Bruxelles International Scherzi Musicali tient à remercier toutes les personnes qui ont soutenu ce projet, et tout particulièrement Dominique et Olivier de Spoelberch, Jan Boon, Catherine Janssens, Frédérick Haas, Mira Glodeanu, Jérôme Lejeune, Johan Grondel et Grégory Van Aelbrouck. Illustration ORAZIO GENTILESCHI Pise / Pisa 1563 – Londres/London 1639 Joseph et la femme de Putiphar [Potiphar] Joseph and Potiphar’s Wife, c. 1626 – 30 Huile sur toile / Oil on canvas, 204, 9 x 261, 9 cm Windsor, Collection royale / Windsor, Royal Collection 2 DOMENICO MAZZOCCHI (1592 - 1665) La Catena d’Adone Favola boschereccia di Domenico Mazzocchi (1626) CD 1 Prologo 01 Sinfonia 16 (Kapsberger) 02’14 02 Prologo – De puri campi o Regnator lucente (Apollo) 03’04 03 Prologo – Le Saette sovr’i Rei (Ciclopi) – Ritornello 01’39 Atto 1 04 Scena I – E qual dolce novella (Falsirena, Idonia) 08’27 05 Scena II – Rapido à par de venti (Adone, Echo) 04’13 06 Scena II – Dunque piagge ridenti (Adone) 01’53 07 Scena III – Tanto basti a l’incanto (Falsirena, Idonia, Adone) 06’15 08 Scena III – Rida l’auretta amante (Falsirena) 01’11 09 Scena III – Mira, mira gioioso (Choro di Ninfe e di Pastori) 06’19 Atto 2 10 Sinfonia 12 (Kapsberger) 01’56 11 Scena I – Dunque Oraspe fedel nuntio ne sei (Idonia, Oraspe, Arsete) 05’52 12 Scena II – O nel volto non meno (Falsirena, Oraspe, Idonia, Arsete) 09’07 13 Scena II – Quà trà gioie gradite (Flasirena) 00’58 14 Scena III – O meraviglie altissime d’Amore (Choro di Ninfe e di Pastori) 04’38 3 CD 2 Atto 3 01 Sinfonia 8 (Kapsberger) 01’41 02 Scena I – Qual indurato scoglio (Arsete) 04’18 03 Scena II – Son deste le mie luci (Adone) 02’11 04 Scena III – Dove, dove ne vai (Falsirena, Adone) 07’56 05 Scena IV – L’alme pure degli Dei (Falsirena, Idonia, Oraspe, Choro di Ninfe e di Pastori) 08’48 06 Scena IV – Sù sù dunque pastori (Choro di Ninfe e di Pastori) 01’30 Atto 4 07 Sinfonia 9 (Kapsberger) 04’49 08 Scena I – O con dubbio stupore (Idonia) 02’36 09 Scena II – Dubbiosa e vacillante (Idonia) 01’47 10 Scena III – Per cosi lieve brama (Falsirena, Plutone) 04’32 11 Scena III – De la Maga il grave accento (Choro di Ninfe e di Pastori) 03:15 Atto 5 12 Sinfonia 11 (Kapsberger) 03’34 13 Scena I – Amor non sia che speri (Adone solo) 03’11 14 Scena II – D’acque magiche sparsa (Falsirena, Adone) 04’34 15 Scena II – Dunque liete e ridenti (Falsirena) 00’50 16 Scena III – Florido nembo dal suo grembo (Venere, Adone, Amore, Falsirena) 10’44 17 Scena III – Si, si, cara mia speme (Venere, Amore, Adone) 03’57 18 Scena III – La selva con bei canti (Primo e secondo Choro) 02’07 19 Scena III – Lieto dopo l’errore (Tutto il Choro) 01’42 4 FALSIRENA Luciana Mancini mezzo-soprano ADONE Reinoud Van Mechelen ténor VENERE & NINFA Merel Elishevah Kriegsman soprano AMORE & NINFA Catherine Lybaert soprano IDONIA & NINFA Marie de Roy soprano APOLLO & PASORE Dávid Szigetvári ténor ORASPE & PASTORE Olivier Berten baryton ARESTE, PLUTONE & PASTORE Nicolas Achten baryton SCHERZI MUSICALI Nicolas Achten archiluth, harpe triple, clavecin, spinettina & direction artistique Justin Glorieux violon Varoujan Doneyan violon & alto Lambert Colson cornet à bouquin, cornet muet & fl ûte à bec Eriko Semba viole de gambe & lirone Simon Linné théorbe & tiorbino Solmund Nystabakk théorbe & guitare baroque Korneel Bernolet orgue & clavecin à cordes en boyau Reinoud Van Mechelen et Korneel Bernolet Lauréats Dexia Classics 5 Harpe triple (Anonyme, Bologna, 17ème siècle) Rainer Th urau, Wiesbaden, 2006 (NA) Clavecin (Boni, 1619) Alan Gotto, Norwich, 2008 (NA) Spinettina (Franciscus Patavinus, Venezia, 1527) Jan Boon, Mechelen, 2006 (NA) Clavecin cordé en boyau (Anonyme, Napoli, 16ème siècle) Augusto Bonza, 1999 (KB) Organo di legno (D’après modèles italiens 17ème siècle) Luc Meurice, Spa, 2003 (KB) Th éorbe Klaus T. Jacobsen, London, 2002 (SN) Guitare baroque (Voboam, Paris, 17ème siècle) Hendrik Hasenfuss, Eitorf, 2009 (SN) Th éorbe (Buechenberg, Roma 1610) Lars Jönsson, Dalarö, 2001 (SL) Tiorbino Renzo Salvador, Liège, 2005 (SL) Achiluth (Hartz, Roma 1665) Hendrik Hasenfuss, Eitorf, 2008 (NA) Basse de viole Sergio Marcello Gregorat, Roma, 2009 (ES) Lirone Marco Salerno, Roma, 2001 (ES) Violon attribué à Hendrick Willems, Gent, 17ème siècle (JG) Violon Anonyme italien, 18ème siècle (VD) Alto Catherine Janssens, 2008 (VD) Cornet a bouquin Serge Delmas, Sainte-Geneviève-des-Bois, 2010 (LC) Cornet muet Henri Gohin, Boissy-l’Aillerie, 2009 (LC) Flûte à bec alto en sol Philippe Bolton, Villes-sur-Auzon, 1994 (LC) Archets à hausse coincée (Anonyme, Autriche, 17ème siècle) Hans Salger, Bremen, 1998 (JG, VD) Archet à hausse coincée (Modèle italien du 17ème siècle) Jérôme Gestaldo, Bruxelles, 2010 (ES) Enregistré du 13 au 15 puis du 18 au 21 octobre 2010 au Trifolion – Centre Culturel, Touristique et de Congrès de Echternach (Luxembourg) Prise de son & direction artistique : Rainer Arndt Montage : Nicolas Achten – Responsable de production : Julien Dubois Graphisme : mpointproduction. be – Photographies : Robin Davies 6 Orazio Gentileschi Pise 1563 – Londres 1639 Joseph et la femme de Potiphar, vers 1626 – 30 Huile sur toile, 204, 9 x 261, 9 cm Windsor, Collection royale On ne compte plus les intrigues amoureuses dont les épisodes, parfois osés, jalonnent l’histoire et la fable. En inversant les sexes, les situations mettant ici en présence Vénus et Adonis pour la musique, et Joseph et la femme de Putiphar pour l’image, comportent, malgré dans ce dernier cas la résistance du serviteur fi dèle à l’invite libidineuse, des similitudes qui rapprochent ces deux versions d’un modèle promis à une grande fécondité. L’opéra de Mazzocchi comprend même une troisième aff aire ressortissant au même thème alors qu’après sa liaison avec elle, le jeune amant d’Aphrodite se voit être l’objet du désir eff réné et non solli- cité de la magicienne Falsirena, entre les chaînes de laquelle l’éphèbe est malencontreusement tombé en voulant fuir la vindicte de Mars, époux outragé de la déesse. La convoitise féminine illustre à nouveau un archétype dont on peut multiplier les exemples, quoiqu’il ne manque pas non plus de cas impliquant l’initiative masculine. Peinture, musique, etc. : le « paradigme » s’avère omniprésent dans l’ensemble des arts, tous genres confondus. La situation décrite par le peintre d’origine pisane est on ne peut plus claire. Dans un contexte biblique, elle met en présence l’épouse de l’eunuque chargé de l’administration de la maison du pharaon et son serviteur Joseph, fi ls de Jacob vendu par ses frères jaloux à un chamelier rencontré au désert, et pour le- quel celle-ci ressent une passion irrépressible. À moitié étendue sur la couche encore chaude où règne un désordre consécutif à une nuit agitée, qu’elle a sans doute passée seule, dépitée, l’air hagard, les yeux fi xés sur l’objet de son désir, Zolaykha tend au jeune homme le manteau qu’elle lui a enlevé par la ruse en espérant le forcer à succomber, à défaut de pouvoir circonvenir sa résistance. L’air décidé, résolu à mettre un terme défi nitif à une supplique réitérée, devenue insistante, le domestique loyal en qui Putiphar a 7 mis toute sa confi ance tire le grand rideau qui isole la pièce qu’il s’apprête à quitter, sans se préoccuper de récupérer son vêtement. Aperçu de dos dans la pénombre, de taille héroïque, le jeune homme habillé avec élégance, tel un personnage de Raphaël, selon l’étiquette en vigueur à la Renaissance, se montre pressé de s’extraire d’une situation embarrassante qui perdure depuis un certain temps, alors qu’il ne s’est jamais montré disposé à accepter l’off re illicite qui lui est faite. Injustement accusé par cette femme perfi de, déçue d’avoir cherché en vain à le séduire, il sera jeté en prison jusqu’à ce que la vérité éclate et que son maître lui rende justice et le rétablisse dans ses droits et dans ses fonctions. Réglant la mise en scène du drame de façon à obtenir une compréhension maximale de la part du spec- tateur, l’artiste toscan place les protagonistes dans un espace restreint, espèce de proscenium hérité du théâtre grec, et a recours à une composition en frise utilisée par les sculpteurs de sarcophages romains, ce qui a pour eff et de les projeter vers l’avant, de les rendre plus immédiats au regard, plus convaincants. Ainsi le contraste établi entre le désordre régnant dans la pièce, la tenue de la femme, et les draps dépliés aux lignes orthogonales courant dans tous les sens à gauche, et le calme régnant à droite, est-il accentué par l’horizontalité des deux matelas recouverts de satin et le sommier massif richement sculpté, supporté par des pattes zoomorphes, qui entrent en consonance avec la maîtrise manifestée par Joseph, également mise en relief par les motifs rectilignes que rythme la géométrie régulière des losanges décoratifs du sol. Sur fond de vice, dénoncé dans la plupart des cultures, et de vertu, illustrée par l’exemple à suivre, la peinture se prête à une entreprise de moralisation bienvenue dans la puritaine Albion de Charles Ier, dont l’épouse française Henriette Marie, fi lle d’Henri IV et de Marie de Médicis, et sœur de Louis XIII, aurait reçu le tableau en cadeau de la part de son époux commanditaire. De formation classique, Genti- leschi dessine en nombre limité des fi gures monumentales qu’il dispose un peu à la manière du Caravage dont il a été le proche et à l’art duquel il fut attentif, tout en conservant les habitudes acquises en Italie centrale lors de son apprentissage à Rome auprès d’un oncle orfèvre.
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