PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 24 du 12 avril 2017

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

☛ sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr

☛ aux guichets d'accueil de la préfecture et des sous-préfectures, pendant deux mois à partir du 12 avril 2017 RECUEIL N° 24 722 12 AVRIL 2017

S O M M A I R E

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES...... 724

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 724 CABINET DU PREFET...... 724 Bureau des polices administratives...... 724 Arrêté préfectoral n° 20160410 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LANEUVEVILLE DEVANT NANCY...... 724 Arrêté préfectoral n° 20160363 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 725 Arrêté préfectoral n° 20160406 du 22 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 725 Arrêté préfectoral n° 20160396 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 726 Arrêté préfectoral n° 20160378 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MAXEVILLE...... 727 Arrêté préfectoral n° 20160385 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 728 Arrêté préfectoral n° 20160321 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 729 Arrêté préfectoral n° 20160403 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à HAUCOURT MOULAINE...... 729 Arrêté préfectoral n° 20160429 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 730 Arrêté préfectoral n° 20160395 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à DOMMARTIN LES ...... 731 Arrêté préfectoral n° 20160437 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à POMPEY...... 732 Arrêté préfectoral n° 20160393 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY...... 733 Arrêté préfectoral n° 20160394 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 733 Arrêté préfectoral n° 20160407 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 734 Arrêté préfectoral n° 20160402 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à POMPEY...... 735 Arrêté préfectoral n° 20160366 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MONT SAINT MARTIN...... 736 Arrêté préfectoral n° 20160360 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY...... 737 Arrêté préfectoral n° 20160431 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 737 Arrêté préfectoral n° 20150198 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MARBACHE...... 738 Arrêté préfectoral n° 20160397 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à PAGNY SUR MOSELLE...... 739 Arrêté préfectoral n° 20160383 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 740 Arrêté préfectoral n° 20160425 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à BLAINVILLE SUR L’EAU...... 741 Arrêté préfectoral n° 20160399 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LONGWY...... 741 Arrêté préfectoral n° 20160426 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ...... 742 Arrêté préfectoral n° 20160386 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à BOUXIERES AUX DAMES...... 743 Arrêté préfectoral n° 20160388 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à SAXON SION...... 744 Arrêté préfectoral n° 20160434 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à LUNEVILLE...... 745 Arrêté préfectoral n° 20160424 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à LONGWY...... 745 Arrêté préfectoral n° 20160392 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 746 Arrêté préfectoral n° 20160387 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à PONT-A-...... 747 Arrêté préfectoral n° 20160398 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à DOMMARTIN LES TOUL...... 748 Arrêté préfectoral n° 20160369 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 749 Arrêté préfectoral n° 20160389 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à BRIEY...... 750 Arrêté préfectoral n° 20160433 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à COSNES ET ROMAIN...... 751 Arrêté préfectoral n° 20160422 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 752 Arrêté préfectoral n° 20160374 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à ...... 752 Arrêté préfectoral n° 20160382 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VILLE EN VERMOIS...... 753 Arrêté préfectoral n° 20160444 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à DOMBASLE SUR MEURTHE...... 754 Arrêté préfectoral n° 20160380 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VEZELISE...... 755 Arrêté préfectoral n° 20160411 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à ECROUVES...... 756 Arrêté préfectoral n° 20160381 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 757 Arrêté préfectoral n° 20160436 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à GONDREVILLE...... 758 Arrêté préfectoral n° 20160376 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY...... 759 Arrêté préfectoral n° 20160377 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à SAINT MAX...... 759 Arrêté préfectoral n° 20160384 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à ...... 760 Arrêté préfectoral n° 20160423 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VARANGEVILLE...... 761 Arrêté préfectoral n° 20160364 du 20 janvier 2017 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à FLEVILLE DEVANT NANCY...... 762 Arrêté préfectoral n° 20083559 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 763 Arrêté préfectoral n° 20110223 du 18 janvier 2017 portant modification d’un système de vidéoprotection à ...... 764 Arrêté préfectoral n° 20083855 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 764 Arrêté préfectoral n° 20083858 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à LUNEVILLE...... 765 Arrêté préfectoral n° 20110392 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY...... 766 Arrêté préfectoral n° 20083861 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY...... 767 Arrêté préfectoral n° 20110487 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 767 Arrêté préfectoral n° 20083873 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à VILLERUPT...... 768 Arrêté préfectoral n° 20083614 du 18 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY...... 769 Arrêté préfectoral n° 20110489 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 770 Arrêté préfectoral n° 20110488 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 770 Arrêté préfectoral n° 20130169 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à ...... 771 Arrêté préfectoral n° 20140187 du 18 janvier 2017 portant modification d’un système de vidéoprotection à MAXEVILLE...... 772 Arrêté préfectoral n° 20083332 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY...... 773 Arrêté préfectoral n° 20110077 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à JARNY...... 774 Arrêté préfectoral n° 20110222 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à BAYON...... 774 Arrêté préfectoral n° 20110468 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à LUNEVILLE...... 775 Arrêté préfectoral n° 20110313 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à ...... 776 Arrêté préfectoral n° 20110501 du 18 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à VILLERUPT...... 777 Arrêté préfectoral n° 20110573 du 18 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY...... 778 Arrêté préfectoral n° 20084138 du 18 janvier 2017 portant renouvellement partiel d'un système de vidéoprotection à MONT SAINT MARTIN...... 779 Arrêté préfectoral n° 20110310 du 18 janvier 2017 portant renouvellement partiel d'un système de vidéoprotection à VANDOEUVRE LES NANCY...... 780 Arrêté préfectoral n° 20110472 du 20 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à JARVILLE LA MALGRANGE...... 781 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 782 Bureau de la coordination interministérielle...... 782 Arrêté préfectoral n° 17.OSD.05 du 6 avril 2017 accordant délégation de signature de l'ordonnateur secondaire et de la personne exerçant le pouvoir adjudicateur en matière de marchés publics à Mme Emmanuelle GAY, directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement...... 782 Arrêté préfectoral n° 17.BCI.05 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l’action locale 782 Arrêté préfectoral n° 17.BCI.06 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à M. Jacques Sablayrolles, directeur des ressources humaines et des moyens...... 785 Arrêté préfectoral n° 17.BCI.07 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à Mme Hélène DURAND, cheffe du service de la coordination des politiques publiques...... 787 Arrêté préfectoral n° 17.BCI.08 du 11 avril 2017 accordant délégation de signature à l’agent de permanence pour le week-end prolongé de Pâques...... 788 SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT...... 788 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 788 SECRETARIAT GENERAL...... 788 RECUEIL N° 24 723 12 AVRIL 2017

Arrêté n° 2017/DDT/SG/004 du 6 avril 2017 portant subdélégation de signature en matière d’administration générale...... 788 Arrêté n° 2017/DDT/SG/005 du 6 avril 2017 portant délégation de signature aux agents de la DDT de Meurthe-et-Moselle en matière de fiscalité de l’urbanisme...... 790 RECUEIL N° 24 724 12 AVRIL 2017

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE

CABINET DU PREFET Bureau des polices administratives

Arrêté préfectoral n° 20160410 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LANEUVEVILLE DEVANT NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Serge BOULY, Maire de la Commune de LANEUVEVILLE DEVANT NANCY(54410) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Serge BOULY, Maire de la Commune de LANEUVEVILLE DEVANT NANCY est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 8 caméras visionnant la voie publique aux adresses suivantes à LANEUVEVILLE DEVANT NANCY (54410) : • Rues Robert Schuman, Général de Gaulle, de la Saline, • Ru du Général Patton - Place de l’Église • Gare SNCF – Rue des Aulnois • Ecole Primaire des 5 Fontaines / Parvis Haut • Parking MJC • Périmètre Ecole MONTAIGU/Parc FENAL/TENNIS conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • prévention du trafic de stupéfiants • protection des bâtiments publics • prévention d’actes terroristes Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Serge BOULY, Maire de la Commune de LANEUVEVILLE DEVANT NANCY, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 1 0 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Serge BOULY, Maire, de la Commune de LANEUVEVILLE DEVANT NANCY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY RECUEIL N° 24 725 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160363 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Emmanuel BURTE représentant le Bar- Tabac LE PLACIEUX à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Emmanuel BURTE, représentant le Bar-Tabac LE PLACIEUX est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 5 caméras intérieures dans le Bar-Tabac LE PLACIEUX, sis 72 rue Sergeant BLANDAN à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Emmanuel BURTE, représentant le Bar-Tabac LE PLACIEUX, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Emmanuel BURTE, représentant le Bar-Tabac LE PLACIEUX, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160406 du 22 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; RECUEIL N° 24 726 12 AVRIL 2017

VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Diren INAN, représentant la SAS S&D- Brasserie de la Croix à NANCY(54000); VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Diren INAN, représentant la SAS S&D-Brasserie de la Croix est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 7 caméras intérieures dans la SAS S&D-Brasserie de la Croix, sise 59 faubourg des Trois Maisons à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • Vol-agression Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours . Article 4 – Madame Diren INAN, représentant la SAS S&D-Brasserie de la Croix, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Diren INAN, représentant la SAS S&D-Brasserie de la Croix, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160396 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LABRY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Arnaud ANSTETT, représentant le Cabinet Dentaire ANSTETT à LABRY(54800) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Arnaud ANSTETT, représentant le Cabinet Dentaire ANSTETT est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures dans le Cabinet Dentaire ANSTETT, sis 24 rue Charles Michel à LABRY (54800) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. RECUEIL N° 24 727 12 AVRIL 2017

Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Arnaud ANSTETT, représentant le Cabinet Dentaire ANSTETT, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Arnaud ANSTETT, représentant le Cabinet Dentaire ANSTETT, et dont une copie sera transmise au maire de LABRY ainsi qu’au sous-préfet de BRIEY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160378 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MAXEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Fanny FELLER-NORIS, Directrice Générale du Centre de Formation AFPI 54-88 à MAXEVILLE(54320) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Madame Fanny FELLER-NORIS, Directrice Générale du Centre de Formation AFPI 54-88 est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 7 caméras intérieures et 11 caméras extérieures dans le Centre de Formation AFPI 54-87, sis 10 rue Alfred KASTLER à MAXEVILLE (54320) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 5 jours . Article 4 – Madame Fanny FELLER-NORIS, Directrice Générale du Centre de Formation AFPI 54-88, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 24 728 12 AVRIL 2017

Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Fanny FELLER-NORIS, Directrice Générale du Centre de Formation AFPI 54-88, et dont une copie sera transmise au maire de MAXEVILLE. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160385 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Julien FRANCESCHINI, représentant la société CONNECTIDE SARL SMARTONE à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Julien FRANCESCHINI, représentant la société CONNECTIDE SARL SMARTONE est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans la société CONNECTIDE SARL SMARTONE, sise 16 place Henri MENGIN, allée de la Criée à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Julien FRANCESCHINI, représentant la société CONNECTIDE SARL SMARTONE, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Julien FRANCESCHINI, représentant la société CONNECTIDE SARL SMARTONE, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______RECUEIL N° 24 729 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160321 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à HEILLECOURT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Laura LEDOUX représentant le magasin CULTURE VELO à HEILLECOURT(54180) ; VU l’avis des commissions départementales de vidéoprotection des 21 septembre et 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Madame Laura LEDOUX, représentant le magasin CULTURE VELO est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures et 2 caméras extérieures dans le magasin CULTURE VELO, sis 1 rue Emile HARQUIN à HEILLECOURT (54180) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Madame Laura LEDOUX, représentant le magasin CULTURE VELO, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Laura LEDOUX, représentant le magasin CULTURE VELO, et dont une copie sera transmise au maire d’ HEILLECOURT. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160403 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à HAUCOURT MOULAINE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; RECUEIL N° 24 730 12 AVRIL 2017

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Fayçal CHADLI, représentant le garage FAY AUTO à HAUCOURT MOULAINE(54840) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Fayçal CHADLI, représentant le garage FAY AUTO est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 1 caméra intérieure et 7 caméras extérieures dans le garage FAY AUTO, sis 8 rue Michelet à HAUCOURT MOULAINE (54840) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit la finalité suivante : • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Fayçal CHADLI, représentant le garage FAY AUTO, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Fayçal CHADLI, représentant le garage FAY AUTO, et dont une copie sera transmise au maire d’ HAUCOURT MOULAINE ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160429 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Stéphane LALANNE représentant le magasin HUNKEMOLLER à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Stéphane LALANNE, représentant le magasin HUNKEMOLLER est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans le magasin HUNKEMOLLER, sis 39 rue Saint-Jean à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. RECUEIL N° 24 731 12 AVRIL 2017

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Stéphane LALANNE, représentant le magasin HUNKEMOLLER, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Stéphane LALANNE, représentant le magasin HUNKEMOLLER, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160395 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à DOMMARTIN LES TOUL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Bertrand DELIGNY représentant LE RELAIS LORRAINE-DING FRING à DOMMARTIN LES TOUL(54200) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Bertrand DELIGNY, représentant LE RELAIS LORRAINE-DING FRING est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 9 caméras intérieures dans LE RELAIS LORRAINE-DING FRING, sis rue de Jonchery à DOMMARTIN LES TOUL (54200) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur Bertrand DELIGNY, représentant LE RELAIS LORRAINE-DING FRING, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). RECUEIL N° 24 732 12 AVRIL 2017

Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Bertrand DELIGNY, représentant LE RELAIS LORRAINE-DING FRING, et dont une copie sera transmise au maire de DOMMARTIN LES TOUL ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de TOUL. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

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Arrêté préfectoral n° 20160437 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à POMPEY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Isabelle JACQUOT, Proviseure du Lycée Professionnel Régional Bertrand SCHWARTZ à POMPEY(54340) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Madame Isabelle JACQUOT, Proviseure du Lycée Professionnel Régional Bertrand SCHWARTZ est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras extérieures au Lycée Professionnel Régional Bertrand SCHWARTZ, sis 5 rue Sainte-Anne à POMPEY (54340) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention d’actes terroristes Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7 jours. Article 4 – Madame Isabelle JACQUOT, Proviseure du Lycée Professionnel Régional Bertrand SCHWARTZ, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Isabelle JACQUOT, Proviseure du Lycée Professionnel Régional Bertrand SCHWARTZ, et dont une copie sera transmise au maire de POMPEY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

______RECUEIL N° 24 733 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160393 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER à ESSEY LES NANCY(54270) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures dans la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, sise magasin GRAND FRAIS, ZAC DU TRONC QUI FUME à ESSEY LES NANCY (54270) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, et dont une copie sera transmise au maire d’ESSEY LES NANCY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160394 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MESSEIN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; RECUEIL N° 24 734 12 AVRIL 2017

VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Arthur CHRISTIN représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER à MESSEIN(54850) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 1 caméra intérieure dans la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, sise 15 rue Saint-Maurice à MESSEIN (54850) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Arthur CHRISTIN, représentant la société NEW SCHALLER, poissonnerie SCHALLER, et dont une copie sera transmise au maire de MESSEIN. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160407 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à PULNOY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Laurence WAREMBOURG, représentant la pharmacie de la Porte Verte à PULNOY(54425) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Directrice de cabinet du Préfet de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Madame Laurence WAREMBOURG, représentant la pharmacie de la Porte Verte est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures dans la pharmacie de la Porte Verte, sise 24 avenue Charles de Gaulle à PULNOY (54425) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit la finalité suivante : • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : RECUEIL N° 24 735 12 AVRIL 2017

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Madame Laurence WAREMBOURG, représentant la pharmacie de la Porte Verte, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Laurence WAREMBOURG, représentant la pharmacie de la Porte Verte, et dont une copie sera transmise au maire de PULNOY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

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Arrêté préfectoral n° 20160402 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à POMPEY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Patrick LIEGEOIS, représentant la pharmacie LIEGEOIS à POMPEY(54340) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Patrick LIEGEOIS, représentant la pharmacie LIEGEOIS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures dans la pharmacie LIEGEOIS, sise 20 avenue du Général De Gaulle à POMPEY (54340) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Patrick LIEGEOIS, représentant la pharmacie LIEGEOIS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 24 736 12 AVRIL 2017

Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Patrick LIEGEOIS, représentant la pharmacie LIEGEOIS, et dont une copie sera transmise au maire de POMPEY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160366 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MONT SAINT MARTIN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Yasine BAA représentant la société PHONESMART SAS à MONT SAINT MARTIN(54350) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Yasine BAA, représentant la société PHONESMART SAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans le magasin PHONESMART SAS, sis Centre commercial AUCHAN MONT SAINT MARTIN Pôle Europe, 1 avenue de L’Europe à MONT SAINT MARTIN (54350) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Yasine BAA, représentant la société PHONESMART SAS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Yasine BAA, représentant la société PHONESMART SAS, et dont une copie sera transmise au maire de MONT SAINT MARTIN ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______RECUEIL N° 24 737 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160360 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Fabrice PERROCHEAU représentant le magasin PRO DUO à ESSEY LES NANCY(54270) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Fabrice PERROCHEAU, représentant le magasin PRO DUO FRANCE, est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans le magasin PRO DUO FRANCE, sis 6 rue Catherine SAUVAGE à ESSEY LES NANCY (54270) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 10 jours. Article 4 – Monsieur Fabrice PERROCHEAU, représentant le magasin PRO DUO FRANCE, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Fabrice PERROCHEAU, représentant le magasin PRO DUO FRANCE, et dont une copie sera transmise au maire d’ESSEY LES NANCY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160431 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à BACCARAT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; RECUEIL N° 24 738 12 AVRIL 2017

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Christian GEX, Maire de la Ville de BACCARAT(54120) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Christian GEX, Maire de la Ville de BACCARAT est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 1 caméra intérieure et 1 caméra extérieure, sous réserve qu’elle ne visionne pas la voie publique, à la Résidence Pasteur, sise 18 rue Pasteur à BACCARAT (54120) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Christian GEX, Maire de la Ville de BACCARAT, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Christian GEX, Maire de la Ville de BACCARAT, et dont une copie sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20150198 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à MARBACHE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Laetitia VISCONTI représentant la SNC DELALBOR « LE POINT CENTRAL » à MARBACHE(54820) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Madame Laetitia VISCONTI, représentant la SNC DELALBOR « LE POINT CENTRAL » est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures dans l’établissement « LE POINT CENTRAL », sis 73 rue Clémenceau à MARBACHE (54820) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • Prévention des attaques à main armée Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; RECUEIL N° 24 739 12 AVRIL 2017

- à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7 jours . Article 4 – Madame Laetitia VISCONTI, représentant la SNC DELALBOR « LE POINT CENTRAL », responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Laetitia VISCONTI, représentant la SNC DELALBOR « LE POINT CENTRAL », et dont une copie sera transmise au maire de MARBACHE. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160397 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à PAGNY SUR MOSELLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur DANIEL BARRAU, Directeur de l’établissement infra-circulation Lorraine Champagne Ardenne à la SNCF, pour l’établissement situé à PAGNY SUR MOSELLE(54530) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la directrice de cabinet du Préfet de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur DANIEL BARRAU, Directeur de l’établissement infra-circulation Lorraine Champagne Ardenne à la SNCF, est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras visionnant la voie publique sur le bâtiment SNCF, sis 4 rue du Maix BERCEAU à PAGNY SUR MOSELLE (54530) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • prévention d’actes terroristes Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 10 jours. Article 4 – Monsieur DANIEL BARRAU, Directeur de l’établissement infra-circulation Lorraine Champagne Ardenne à la SNCF, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 24 740 12 AVRIL 2017

Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur DANIEL BARRAU, Directeur de l’établissement infra- circulation Lorraine Champagne Ardenne à la SNCF, et dont une copie sera transmise au maire de PAGNY SUR MOSELLE. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160383 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Frédéric WURTZ, Directeur du SUPERMARCHE MATCH à LONGWY(54400) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Frédéric WURTZ, Directeur du SUPERMARCHE MATCH est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 25 caméras intérieures et 3 caméras extérieures dans le SUPERMARCHE MATCH, sis 1 avenue de la Paix à LONGWY (54400) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur Frédéric WURTZ, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Frédéric WURTZ, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, et dont une copie sera transmise au maire de LONGWY ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY RECUEIL N° 24 741 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160425 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à BLAINVILLE SUR L’EAU

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Sébastien DUMAS représentant le Tabac DUMAS à BLAINVILLE SUR L’EAU(54360) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Sébastien DUMAS, représentant le Tabac DUMAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans le Tabac DUMAS, sis 24B rue du Maréchal Leclerc à BLAINVILLE SUR L’EAU (54360) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. Article 4 – Monsieur Sébastien DUMAS, représentant le Tabac DUMAS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Sébastien DUMAS, représentant le Tabac DUMAS, et dont une copie sera transmise au maire de BLAINVILLE SUR L’EAU ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160399 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; RECUEIL N° 24 742 12 AVRIL 2017

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Gérard DIDELOT, Président de la société Transport du Grand Longwy, TGL-SEMITUL à LONGWY Cedex(54414) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Gérard DIDELOT, Président de la société Transport du Grand Longwy, TGL-SEMITUL est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures dans chacun des trois bus (soit 9 caméras intérieures au total), de la société Transport du Grand Longwy, TGL-SEMITUL, sise LE PULVENTEUX CS 31452 à LONGWY Cedex (54414) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Gérard DIDELOT, Président de la société Transport du Grand Longwy, TGL-SEMITUL, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Gérard DIDELOT, Président de la société Transport du Grand Longwy, TGL-SEMITUL, et dont une copie sera transmise au maire de LONGWY ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160426 du 20 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à LAXOU Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Yannick HAMON représentant l’officine UNIVERS PHARMACIE à LAXOU(54520) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Yannick HAMON, représentant l’officine UNIVERS PHARMACIE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans l’officine UNIVERS PHARMACIE, sise 85 avenue de la Libération à LAXOU (54520) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. RECUEIL N° 24 743 12 AVRIL 2017

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. Article 4 – Monsieur Yannick HAMON, représentant l’officine UNIVERS PHARMACIE, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Yannick HAMON, représentant l’officine UNIVERS PHARMACIE, et dont une copie sera transmise au maire de LAXOU. Nancy, le 20 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

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Arrêté préfectoral n° 20160386 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à BOUXIERES AUX DAMES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Denis MACHADO, Maire de la Ville de BOUXIERES AUX DAMES (54136) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Denis MACHADO, Maire de la Ville de BOUXIERES AUX DAMES est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras visionnant la voie publique dans le périmètre vidéoprotégé du Site de la Pelouse et 2 caméras visionnant la voie publique dans le périmètre de la Zone de Loisirs des Paquis, à BOUXIERES AUX DAMES (54136) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • protection des bâtiments publics Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Denis MACHADO, Maire de la Ville de BOUXIERES AUX DAMES, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 24 744 12 AVRIL 2017

Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Denis MACHADO, Maire de BOUXIERES AUX DAMES. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160388 du 15 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à SAXON SION

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Thibaut LECLERC représentant l’AUBERGE DE LA COLLINE à SAXON-SION(54330) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Thibaut LECLERC, représentant l’AUBERGE DE LA COLLINE est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras extérieures à la SALLE DES FÊTES DE SAXON-SION, sise 2, Les Grands Champs à SAXON-SION (54330) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Thibaut LECLERC, représentant l’AUBERGE DE LA COLLINE, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Thibaut LECLERC, représentant l’AUBERGE DE LA COLLINE, et dont une copie sera transmise au maire de SAXON SION. Nancy, le 15 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______RECUEIL N° 24 745 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160434 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur Général de la société ACTION FRANCE SAS ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur Général de la société ACTION FRANCE SAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 14 caméras intérieures dans le magasin ACTION FRANCE, sis avenue de la Libération à LUNEVILLE (54300), conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras 15 et 16, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 14 jours . Article 4 – Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur Général de la société ACTION FRANCE SAS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur Général de la société ACTION FRANCE SAS, et dont une copie sera transmise au maire ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160424 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; RECUEIL N° 24 746 12 AVRIL 2017

VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Frédéric GERNER, représentant l’association AMLI (Association pour l’accompagnement, le Mieux-être, et le Logement des Isolés) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Frédéric GERNER, représentant l’association AMLI (Association pour l’accompagnement, le Mieux-être, et le Logement des Isolés) est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures et 1 caméra extérieure dans le foyer FPA de LONGWY, sis 50 avenue du 8 mai 1945 à LONGWY (54400) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans la salle de restauration visionnant la sortie de secours, partie privative non accessible au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Frédéric GERNER, représentant l’association AMLI (Association pour l’accompagnement, le Mieux-être, et le Logement des Isolés), responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Frédéric GERNER, représentant l’association AMLI (Association pour l’accompagnement, le Mieux-être, et le Logement des Isolés), et dont une copie sera transmise au maire de LONGWY ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160392 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. RECUEIL N° 24 747 12 AVRIL 2017

VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Emmanuel ELALOUF, Directeur technique pour la société ARMAND THIERY SAS ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Emmanuel ELALOUF, Directeur technique pour la société ARMAND THIERY SAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 3 caméras intérieures dans le magasin ARMAND THIERY, sis 39-41 rue Saint-Jean à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 5 caméras situées au premier étage, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours . Article 4 – Monsieur Emmanuel ELALOUF, Directeur technique pour la société ARMAND THIERY SAS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Emmanuel ELALOUF, Directeur technique pour la société ARMAND THIERY SAS, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160387 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à PONT-A- MOUSSON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Pascal PELTIER représentant le BOWLING de PONT-A-MOUSSON à PONT-A-MOUSSON(54700) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Pascal PELTIER, représentant le BOWLING de PONT-A-MOUSSON est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 7 caméras intérieures et 5 caméras extérieures dans le BOWLING de PONT-A- MOUSSON, sis 609 rue du Bois le Prêtre à PONT-A-MOUSSON (54700) conformément au dossier présenté. RECUEIL N° 24 748 12 AVRIL 2017

La commission de vidéoprotection n’est pas compétente concernant la caméra N°6, qui visionne l’issue de secours arrière, partie privative non accessible au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • prévention du trafic de stupéfiants Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7 jours . Article 4 – Monsieur Pascal PELTIER, représentant le BOWLING de PONT-A-MOUSSON, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Pascal PELTIER, représentant le BOWLING de PONT-A- MOUSSON, et dont une copie sera transmise au maire de PONT-A-MOUSSON. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160398 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à DOMMARTIN LES TOUL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Olivier RICART, représentant le restaurant BUFFALO GRILL à DOMMARTIN LES TOUL(54200) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Olivier RICART, représentant le restaurant BUFFALO GRILL est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures et 1 caméra extérieure, ous réserve qu’elle ne visionne pas la voie publique, dans le restaurant BUFFALO GRILL, sis route de la Haye Lieu-dit au Jonchery à DOMMARTIN LES TOUL (54200) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras N°3 et 4, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : RECUEIL N° 24 749 12 AVRIL 2017

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur Olivier RICART, représentant le restaurant BUFFALO GRILL, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Olivier RICART, représentant le restaurant BUFFALO GRILL, et dont une copie sera transmise au maire de DOMMARTIN LES TOUL ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de TOUL. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160369 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur le docteur Christian LOBREAU à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le docteur Christian LOBREAU est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 1 caméra intérieure, sous réserve de l’accord des co-propriétaires de l’immeuble dans son cabinet médical, sis 13-15 boulevard Joffre à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra située à l’intérieur du cabinet médical, celui-ci étant équipé d’une patine de porte (vidéophone), conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • absence de vision directe de l’entrée du cabinet médical afin d’intervenir pour une personne a mobilité réduite Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur le docteur Christian LOBREAU, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. RECUEIL N° 24 750 12 AVRIL 2017

L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur le docteur Christian LOBREAU, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160389 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à BRIEY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Joaquim GONCALVES représentant le magasin EURO NEGOCE 54 à BRIEY(54150) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Joaquim GONCALVES, représentant le magasin EURO NEGOCE 54 est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras extérieures dans le magasin EURO NEGOCE 54, sis 8 rue Clemenceau à BRIEY (54150) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra située dans l’atelier, et qui visionne des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours . Article 4 – Monsieur Joaquim GONCALVES, représentant le magasin EURO NEGOCE 54, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. RECUEIL N° 24 751 12 AVRIL 2017

Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Joaqu im GONCALVES, représentant le magasin EURO NEGOCE 54, et dont une copie sera transmise au maire, ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160433 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à COSNES ET ROMAIN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Arnaud COUTIN, Directeur du garage FORD – JM AUTOMOBILES SA à COSNES ET ROMAIN(54400) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Arnaud COUTIN, Directeur du garage FORD – JM AUTOMOBILES SA est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures dans le garage FORD – JM AUTOMOBILES SA, sis RN 18 LES MARAGOLLES à COSNES ET ROMAIN (54400) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras situées en zone « NON CLIENT », qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur Arnaud COUTIN, Directeur du garage FORD – JM AUTOMOBILES SA, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Arnaud COUTIN, Directeur du garage FORD – JM AUTOMOBILES SA, et dont une copie sera transmise au maire de COSNES ET ROMAIN ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______RECUEIL N° 24 752 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160422 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Yapei ZHENG représentant le magasin FU LE LAI à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Yapei ZHENG, représentant le magasin FU LE LAI est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 6 caméras intérieures dans le magasin FU LE LAI, sis 26 avenue du Xxème corps à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra N°7, située dans la réserve qui visionne des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • vol Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours . Article 4 – Monsieur Yapei ZHENG, représentant le magasin FU LE LAI, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Yapei ZHENG, représentant le magasin FU LE LAI, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160374 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à JARNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; RECUEIL N° 24 753 12 AVRIL 2017

VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur David LESPORTES, représentant la société LESPORTES CONSTRUCTION-RENOVATION à JARNY(54800) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur David LESPORTES, représentant la société LESPORTES CONSTRUCTION-RENOVATION est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 1 caméra extérieure dans la société LESPORTES CONSTRUCTION-RENOVATION, sise 26 rue Gustave EIFFEL, ZI JARNY à JARNY (54800) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras extérieures situées à l’arrière du bâtiment, ainsi que pour la caméra intérieure, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur David LESPORTES, représentant la société LESPORTES CONSTRUCTION-RENOVATION, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur David LESPORTES, représentant la société LESPORTES CONSTRUCTION-RENOVATION, et dont une copie sera transmise au maire de JARNY ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160382 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VILLE EN VERMOIS

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; RECUEIL N° 24 754 12 AVRIL 2017

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Didier MERESSE représentant le magasin LA MAISON DU MASSIF à VILLE EN VERMOIS (54210) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Didier MERESSE, représentant le magasin LA MAISON DU MASSIF est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 7 caméras intérieures et 4 caméras extérieures dans le magasin LA MAISON DU MASSIF, sis 1 rue du Paquis Halloy, ZAC du VERMOIS à VILLE EN VERMOIS (54210) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 5 caméras visionnant l’atelier, parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Monsieur Didier MERESSE, représentant le magasin LA MAISON DU MASSIF, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Didier MERESSE, représentant le magasin LA MAISON DU MASSIF, et dont une copie sera transmise au maire de VILLE EN VERMOIS. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160444 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à DOMBASLE SUR MEURTHE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Ikhlef HADJCHIKH représentant la SARL MIREST, restaurant MAC DONALD’S à DOMBASLE SUR MEURTHE(54110) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la SARL MIREST, restaurant MAC DONALD’S est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures et 5 caméras extérieures dans la SARL MIREST, restaurant MAC DONALD’S, sis rue Charles HERMITE à DOMBASLE SUR MEURTHE (54110) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras situées en zone privative (arrière, cuisines…) qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : RECUEIL N° 24 755 12 AVRIL 2017

• sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la SARL MIREST, restaurant MAC DONALD’S, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la SARL MIREST, restaurant MAC DONALD’S, et dont une copie sera transmise au maire de DOMBASLE SUR MEURTHE. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160380 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VEZELISE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Valérie LECLERC représentant la SARL LECLERC SUPERMARCHE SERVICE-SUPERMARCHES G20 à VEZELISE(54330) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Valérie LECLERC, représentant la SARL LECLERC SUPERMARCHE SERVICE-SUPERMARCHES G20 est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 22 caméras intérieures et 5 caméras extérieures dans l’établissement LECLERC SUPERMARCHE SERVICE-SUPERMARCHES G20, sis 6 avenue Jacques LECLERC à VEZELISE (54330) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra N°1 située à l’arrière du magasin et qui visionne des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • Cambriolages-vandalisme • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. RECUEIL N° 24 756 12 AVRIL 2017

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Madame Valérie LECLERC, représentant la SARL LECLERC SUPERMARCHE SERVICE-SUPERMARCHES G20, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Valérie LECLERC, représentant la SARL LECLERC SUPERMARCHE SERVICE-SUPERMARCHES G20, et dont une copie sera transmise au maire de VEZELISE. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160411 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à ECROUVES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Lucie THIEBAUT, Directrice de la SARL LGS ACTIVITES à ECROUVES(54200) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Lucie THIEBAUT, Directrice de la SARL LGS ACTIVITES est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 10 caméras intérieures et 1 caméra extérieure dans la SARL LGS ACTIVITES, sis 224 avenue du 15ème Génie à ECROUVES (54200) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans la réserve, nij pour les caméras extérieures N°2, 3 et 4, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours . Article 4 – Madame Lucie THIEBAUT, Directrice de la SARL LGS ACTIVITES, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. RECUEIL N° 24 757 12 AVRIL 2017

Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Lucie THIEBAUT, Directrice de la SARL LGS ACTIVITES, et dont une copie sera transmise au maire d’ECROUVES ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de TOUL. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160381 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Anna HOSHINA représentant la SAS NAKANA-Physiomins-centre diététique à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Anna HOSHINA, représentant la SAS NAKANA-Physiomins-centre diététique est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures dans l’établissement Physiomins-centre diététique, sis 92 rue Stanislas à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra N°3, située dans le bureau et visionnant des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours . Article 4 – Madame Anna HOSHINA, représentant la SAS NAKANA-Physiomins-centre diététique, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. RECUEIL N° 24 758 12 AVRIL 2017

Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Anna HOSHINA, représentant la SAS NAKANA-Physiomins-centre diététique, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

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Arrêté préfectoral n° 20160436 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à GONDREVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Thary KLOK, représentant la SNC KLOK- HIM à GONDREVILLE(54840) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Thary KLOK, représentant la SNC KLOK-HIM est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 4 caméras intérieures dans le bar tabac, sis 7 avenue de la Libération à GONDREVILLE (54840) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras N°5, 6 et 7, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • prévention du trafic de stupéfiants Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Madame Thary KLOK, représentant la SNC KLOK-HIM, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Thary KLOK, représentant la SNC KLOK- HIM, et dont une copie sera transmise au maire de GONDREVILLE ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de TOUL. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

______RECUEIL N° 24 759 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20160376 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Sylvie POCHET, Directrice du SUPERMARCHE MATCH à NANCY(54000) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Sylvie POCHET, Directrice du SUPERMARCHE MATCH est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 10 caméras intérieures et 1 caméra extérieure dans le SUPERMARCHE MATCH, sis 49, rue de LAXOU, Clos de MEDREVILLE à NANCY (54000) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra N°11 située au niveau du quai de livraison, qui visionne des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • braquages • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Madame Sylvie POCHET, Directrice du SUPERMARCHE MATCH, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Sylvie POCHET, Directrice du SUPERMARCHE MATCH, et dont une copie sera transmise au maire de NANCY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160377 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à SAINT MAX Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; RECUEIL N° 24 760 12 AVRIL 2017

VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Stéphane GUINDOLLET, Directeur du SUPERMARCHE MATCH à SAINT MAX(54130) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Stéphane GUINDOLLET, Directeur du SUPERMARCHE MATCH est autorisé , dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 8 caméras intérieures et 4 caméras extérieures dans le SUPERMARCHE MATCH, sis 104 avenue Carnot à SAINT MAX (54130) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras N° 1 et 10, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • braquages • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours . Article 4 – Monsieur Stéphane GUINDOLLET, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Stéphane GUINDOLLET, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, et dont une copie sera transmise au maire de SAINT MAX. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160384 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; RECUEIL N° 24 761 12 AVRIL 2017

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Hervé SOTTOCORNA, Directeur du SUPERMARCHE MATCH à VILLERUPT(54190) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Hervé SOTTOCORNA, Directeur du SUPERMARCHE MATCH est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 18 caméras intérieures et 4 caméras extérieures dans le SUPERMARCHE MATCH, sis rue Gambetta à VILLERUPT (54190) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras N°4, 27, 28, et 29, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • braquages • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Monsieur Hervé SOTTOCORNA, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Hervé SOTTOCORNA, Directeur du SUPERMARCHE MATCH, et dont une copie sera transmise au maire de VILLERUPT ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160423 du 22 décembre 2016 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection à VARANGEVILLE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Guy GENTILHOMME représentant le TABAC GENTILHOMME à VARANGEVILLE(54110) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Guy GENTILHOMME, représentant le TABAC GENTILHOMME est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures et 1 caméra extérieure, sous réserve que celle-ci ne visionne pas la voie publique dans le TABAC GENTILHOMME, sis 3 rue du Colonel Fabien à VARANGEVILLE (54110) conformément au dossier présenté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente concernant la caméra située dans la réserve, qui visionne des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. RECUEIL N° 24 762 12 AVRIL 2017

Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours . Article 4 – Monsieur Guy GENTILHOMME, représentant le TABAC GENTILHOMME, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Guy GENTILHOMME, représentant le TABAC GENTILHOMME, et dont une copie sera transmise au maire de VARANGEVILLE. Nancy, le 22 décembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral n° 20160364 du 20 janvier 2017 portant autorisation d’un système de vidéoprotection à FLEVILLE DEVANT NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur David BEHR, représentant la société CHRONOPOST SAS à FLEVILLE DEVANT NANCY(54710) ; VU l’avis de la commission départementale de vidéoprotection du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur David BEHR, représentant la société CHRONOPOST SAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures dans la société CHRONOPOST SAS, sise 22 rue Saint-Exupéry, zone d’activités de Frocourt à FLEVILLE DEVANT NANCY (54710) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur David BEHR, représentant la société CHRONOPOST SAS, responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. RECUEIL N° 24 763 12 AVRIL 2017

Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5- Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de NANCY dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. Article 9 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 10 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur David BEHR, représentant la société CHRONOPOST SAS, et dont une copie sera transmise au maire de FLEVILLE DEVANT NANCY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083559 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à DENEUVRE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 19 septembre 2008, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au magasin BRICOMARCHE, sis route de la Chapelle à DENEUVRE (54120) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Olivier CUNY, Président Directeur Général du magasin BRICOMARCHE; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Olivier CUNY, Président Directeur Général du magasin BRICOMARCHE, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située au magasin BRICOMARCHE, sis route de la Chapelle à DENEUVRE (54120), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083559. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 19 septembre 2008 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 13 à 20. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 5 – Monsieur Olivier CUNY, Président Directeur Général du magasin BRICOMARCHE, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Olivier CUNY, Président Directeur Général du magasin BRICOMARCHE et dont une copie sera adressée au maire de DENEUVRE ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 12 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH RECUEIL N° 24 764 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20110223 du 18 janvier 2017 portant modification d’un système de vidéoprotection à CHALIGNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 28 juin 2011, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à CHALIGNY VU la demande de modification d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Filipe PINHO, Maire de la Commune de CHALIGNY, situé à CHALIGNY aux adresses suivantes : • 1 rue du Bouchot • Ecole, sise 7-11 rue de Hautonchamp • Parc Albert André VU l’avis de la commission départementale de la vidéoprotection du 30 novembre 2016; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er –Monsieur Filipe PINHO, Maire de la Commune de CHALIGNY, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à CHALIGNY (54230), aux adresses suivantes : • 1 rue du Bouchot • Ecole, sise 7-11 rue de Hautonchamp • Parc Albert André • Ecole, sise 2-8 rue des Martyrs • Mairie, école et salle polyvalente, sises 128 rue Edmond Pintier • Ecole, sise 350 route de la Mine • Commerces sis 849 rue Edmond Pintier • Stade et services techniques municipaux sis chemin du Stade conformément au dossier présenté. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 28 juin 2011 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur les adresses vidéoprotégées, ainsi que sur le nombre de caméras visionnant la voie publique, auxquel est rajoutée une caméra nomade, ce qui porte le nombre de caméras à 4. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de15 jours. Article 5 – Monsieur Filipe PINHO, Maire de la Commune de CHALIGNY, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Filipe PINHO, Maire de CHALIGNY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083855 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à LONGUYON Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; RECUEIL N° 24 765 12 AVRIL 2017

VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 18 juillet 1997, modifié les 30 septembre 2008 et 23 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC sise 27 rue de Sète à LONGUYON (54260) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 27 rue de Sète à LONGUYON (54260), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083855. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 18 juillet 1997 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 6 à 4. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire de LONGUYON ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083858 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 18 juillet 1997, modifié les 21 avril 2008, 10 mars 2010 et 23 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC, sise 3 rue Carnot à LUNEVILLE (54300) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 3 rue Carnot à LUNEVILLE (54300), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083858. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 18 juillet 1997 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. RECUEIL N° 24 766 12 AVRIL 2017

Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 9 à 7. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110392 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 13 novembre 2006, modifié le 17 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC, sise 20 rue du Faubourg des 3 Maisons à NANCY (54000) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé , pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 20 rue du Faubourg des 3 Maisons à NANCY (54000), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110392. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 13 novembre 2006 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 3 à 5. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire de NANCY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH RECUEIL N° 24 767 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20083861 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 18 juillet 1997, modifié les 10 novembre 2004, 21 décembre 2010 et 17 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC sise 44 rue des Dominicains à NANCY (54000) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé , pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 44 rue des Dominicains à NANCY (54000), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083861. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 18 juillet 1997 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 15 à 17. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire de NANCY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110487 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à VAL DE BRIEY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 23 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC sise 5 rue Raymond Mondon à VAL DE BRIEY (54150) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; RECUEIL N° 24 768 12 AVRIL 2017

A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 5 rue Raymond Mondon à VAL DE BRIEY (54150), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110487. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 23 janvier 2012 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 9 à 7. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire de VAL DE BRIEY, ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083873 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 18 juillet 1997, modifié les 21 avril 2008, 21 décembre 2010 et 8 mars 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la banque CIC sise 10 rue Raymond Poincaré à VILLERUPT (54190) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, est autorisé , pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la banque CIC, sise 10 rue Raymond Poincaré à VILLERUPT (54190), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083873. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 18 juillet 1997 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 7 à 6. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. RECUEIL N° 24 769 12 AVRIL 2017

Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant la banque CIC et dont une copie sera adressée au maire de VILLERUPT ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083614 du 18 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 20 mai 1997, modifié le 03 avril 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au CREDIT MUNICIPAL DE NANCY, sis 10 rue Callot à NANCY Cedex (54064) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Michel CÔME, Directeur, représentant du CREDIT MUNICIPAL DE NANCY; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Michel CÔME, Directeur, représentant du CREDIT MUNICIPAL DE NANCY, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, comportant 9 caméras intérieures, 2 caméras extérieures et 2 caméras visionnant la voie publique, située au CREDIT MUNICIPAL DE NANCY, sis 10 rue Callot à NANCY Cedex (54064), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083614. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 20 mai 1997 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur : • le nombre de caméras intérieures qui passe de 7 à 9 • le nombre de caméras extérieures qui passe de 0 à 2, auxquelles est ajoutée 1 caméra supplémentaire visionnant la voie publique • les finalités du système qui sont désormais les suivantes : ◦ sécurité des personnes ◦ prévention des atteintes aux biens ◦ prévention des actes terroristes Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur Michel CÔME, Directeur, représentant du CREDIT MUNICIPAL DE NANCY, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Michel CÔME, Directeur, représentant du CREDIT MUNICIPAL DE NANCY et dont une copie sera adressée au maire de NANCY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH

______RECUEIL N° 24 770 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20110489 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à LANDRES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 23 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au CREDIT MUTUEL, sis rue de la Croisette à LANDRES (54970) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située au CREDIT MUTUEL, sis rue de la Croisette à LANDRES (54970), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110489. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 23 janvier 2012 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 8 à 6 et sur l’ajout d’une caméra extérieure. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL et dont une copie sera adressée au maire de LANDRES ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110488 du 20 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à LIVERDUN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 23 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au CREDIT MUTUEL sis 1 rue du Tir à LIVERDUN (54460) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; RECUEIL N° 24 771 12 AVRIL 2017

A R R E T E Article 1er – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL, est autorisé , pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située au CREDIT MUTUEL, sis 1 rue du Tir à LIVERDUN (54460), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110488. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 23 janvier 2012 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 8 à 6. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité, représentant le CREDIT MUTUEL et dont une copie sera adressée au maire de LIVERDUN. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20130169 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à FROUARD

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 12 juillet 2013, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection la MAISON BRAQUEHAIS sise 108 rue de METZ à FROUARD (54390) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Adrien BRAQUEHAIS, représentant la MAISON BRAQUEHAIS; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Adrien BRAQUEHAIS, représentant la MAISON BRAQUEHAIS, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la MAISON BRAQUEHAIS, sise 108 rue de METZ à FROUARD (54390), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20130169. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 12 juillet 2013 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur : • le nombre de caméras intérieures qui passe de 3 à 4 • la raison sociale de l’Etablissement qui est désormais ainsi dénommée « MAISON BRAQUEHAIS », en lieu et place de la SARL « LE PAIN AU LEVAIN » • le délai d’enregistrement des images qui passe de 30 à 15 jours Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 5 – Monsieur Adrien BRAQUEHAIS, représentant la MAISON BRAQUEHAIS, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du RECUEIL N° 24 772 12 AVRIL 2017 système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Adrien BRAQUEHAIS, représentant la MAISON BRAQUEHAIS et dont une copie sera adressée au maire de FROUARD. Nancy, le 12 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20140187 du 18 janvier 2017 portant modification d’un système de vidéoprotection à MAXEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 9 octobre 2014, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à MAXEVILLE VU la demande de modification d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Christophe CHOSEROT, Maire de la commune de MAXEVILLE, situé à MAXEVILLE aux adresses suivantes : • carrefour Mairie • extension du Parc • Viaduc Terrain de Sport • Gambetta ESPE (ex IUFM) • Aire de jeux Eugène Vallin • Ecole Les Aulnes • City Stade • Aire de Jeux Blette • Avenue de Metz VU l’avis de la commission départementale de la vidéoprotection du 30 novembre 2016; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er –Monsieur Christophe CHOSEROT, Maire de la commune de MAXEVILLE, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à MAXEVILLE (54320) aux adresses suivantes : • carrefour Mairie • extension du Parc • Viaduc Terrain de Sport • Gambetta ESPE (ex IUFM) • Aire de jeux Eugène Vallin • Ecole Les Aulnes • City Stade Crusnes • Aire de Jeux Blette • Avenue de Metz • Complexe sportif Léo Lagrange • Avenue du Général Patton et rue du Grand Sauvoy • Cimetières • Vue Passerelle dite « Mickaël » et rue de la Seille conformément au dossier présenté. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 9 octobre 2014 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur les adresses vidéoprotégées ainsi que sur le nombre de caméras visionnant la voie publique qui passe de 9 à 13. RECUEIL N° 24 773 12 AVRIL 2017

Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de15 jours. Article 5 – Monsieur Christophe CHOSEROT, Maire de la commune de MAXEVILLE, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Christophe CHOSEROT, Maire de MAXEVILLE. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20083332 du 12 janvier 2017 portant modification d'un système de vidéoprotection à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-987 du 21 juillet 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence et portant mesures de renforcement de la lutte antiterroriste ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 13 novembre 2006, modifié le 13 janvier 2011, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au magasin PICARD SURGELES, sis 18-22 rue Emile BERTIN à NANCY (54000) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Philippe MAITRE, représentant la société PICARD SURGELES; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Philippe MAITRE, représentant la société PICARD SURGELES, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située au magasin PICARD SURGELES, sis 18-22 rue Emile BERTIN à NANCY (54000), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20083332. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 13 novembre 2006 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur le nombre de caméras intérieures qui passe de 4 à 3. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours. Article 5 – Monsieur Philippe MAITRE, représentant la société PICARD SURGELES, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Philippe MAITRE, représentant la société PICARD SURGELES et dont une copie sera adressée au maire de NANCY. Nancy, le 12 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______RECUEIL N° 24 774 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 20110077 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à JARNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 15 avril 2011, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la boulangerie SIMON sise 74 avenue LAFAYETTE à JARNY (54800) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Fabien SIMON, représentant la boulangerie SIMON; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Fabien SIMON, représentant la boulangerie SIMON, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, comprenant 1 caméra intérieure, située à la boulangerie SIMON, sise 74 avenue LAFAYETTE à JARNY (54800), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110077. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 7 autres caméras (fournil, toit, couloir, cour privée) qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 15 avril 2011 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur : • le nombre de caméras intérieures qui passe de 1 à 5 • le nombre de caméras extérieures qui passe de 0 à 3 • le délai d’enregistrement des images qui passe de 6 à 7 jours • Les finalités du système, qui sont désormais les suivantes : • sécurité des personnes • secours à personnes – défense contre l’incendie, préventions risques naturels ou technologiques • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue • prévention d’actes terroristes • contrôle des températures des machines Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours. Article 5 – Monsieur Fabien SIMON, représentant la boulangerie SIMON, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Fabien SIMON, représentant la boulangerie SIMON et dont une copie sera adressée au maire de JARNY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110222 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à BAYON Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. RECUEIL N° 24 775 12 AVRIL 2017

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 1er août 2011, modifié le 20 juillet 2016, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection à la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES sise 23 Grande rue à BAYON (54290) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Madame Nathalie MEYER, Directrice de la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Madame Nathalie MEYER, Directrice de la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES, est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située à la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES, comportant 1 caméra intérieure et 3 caméras extérieures, sise 23 Grande rue à BAYON (54290), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110222. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras 1, 2, 3, 5, 6, 7, 8 et 10 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 1 août 2011 modifié, susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur : • le nombre de caméras intérieures qui passe de 4 à 5 • le nombre de caméras extérieures qui passe de 5 à 7 • le délai d’enregistrement des images qui passe de 12 à 30 jours • les finalités du système qui sont désormais les suivantes : ◦ sécurité des personnes ◦ prévention des atteintes aux biens ◦ Alzheimer Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Madame Nathalie MEYER, Directrice de la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de gendarmerie dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Colonel-Commandant le Groupement Départemental de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Nathalie MEYER, Directrice de la FONDATION SAINT CHARLES DE NANCY, Maison de Retraite EHPAD SAINT CHARLES, et dont une copie sera adressée au maire de BAYON ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110468 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; RECUEIL N° 24 776 12 AVRIL 2017

VU l’arrêté préfectoral du 9 janvier 2012, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au restaurant MAC DONALD’S, LUN’R SARL sis 5 rue du Pré Contal à LUNEVILLE (54300) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société LUN’R SARL, restaurant MAC DONALD’S; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société LUN’R SARL, restaurant MAC DONALD’S, est autorisé , pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, située au restaurant MAC DONALD’S, LUN’R SARL, comprenant 3 caméras intérieures et 3 caméras extérieures, sis 5 rue du Pré Contal à LUNEVILLE (54300), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110468. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras situées en zone privative (arrière, cuisines…) qui visionnent des parties non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 9 janvier 2012 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur : • le nombre de caméras intérieures qui passe de 13 à 9 • les finalités du système qui sont désormais les suivantes : ◦ sécurité des personnes ◦ prévention des atteintes aux biens La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras situées en zone privative (arrière, cuisines…) qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société LUN’R SARL, restaurant MAC DONALD’S, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société LUN’R SARL, restaurant MAC DONALD’S, et dont une copie sera adressée au maire ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de LUNEVILLE. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110313 du 18 janvier 2017 portant modification partielle d'un système de vidéoprotection à LUDRES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 30 septembre 2011, portant autorisation pour l'installation d'un système de vidéoprotection au restaurant MAC DONALD’S,ALLIANCES SARL sis 335 Boulevard des Technologies à LUDRES (54710) ; VU la demande de modification de ce système de vidéoprotection autorisé présentée par Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société ALLIANCES SARL, restaurant MAC DONALD’S; VU l'avis émis par la Commission Départementale de Vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société ALLIANCES SARL, restaurant MAC DONALD’S, est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier l’installation de vidéoprotection, comportant 7 caméras intérieures et 2 caméras extérieures, située au restaurant MAC DONALD’S, ALLIANCES SARL, sis 335 Boulevard des Technologies à LUDRES (54710), conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110313. RECUEIL N° 24 777 12 AVRIL 2017

La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras intérieures situées en zone privative (arrière, cuisines…), ni pour la caméra extérieure située à l’arrière de la cuisine qui visionnent des parties non accessibles au public, conformément au dossier présenté. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral du 30 septembre 2011 susvisé. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Les modifications portent sur également sur les finalités du système qui sont désormais les suivantes : ◦ sécurité des personnes ◦ prévention des atteintes aux biens Article 4 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 5 – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société ALLIANCES SARL, restaurant MAC DONALD’S, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 6 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 7 – Les délais et voies de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 8 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société ALLIANCES SARL, restaurant MAC DONALD’S et dont une copie sera adressée au maire de LUDRES. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110501 du 18 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure et notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 16 avril 2012, portant autorisation d’un système de vidéoprotection à l’IERL CHARAZEN COIFFURE, sise 24 BIS avenue de la Libération à VILLERUPT (54190) ; VU la demande présentée le 20 novembre 2016 par Madame Charaselle WASILEWSKI, représentant l’IERL CHARAZEN COIFFURE, pour le renouvellement de ce système de vidéoprotection autorisé ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 16 avril 2012 sus-visé, à l’IERL CHARAZEN COIFFURE sise 24 BIS avenue de la Libération à VILLERUPT (54190), est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110501. Ce dispositif comporte 4 caméras intérieures et poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours. Article 4 – Madame Charaselle WASILEWSKI, représentant l’IERL CHARAZEN COIFFURE, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. RECUEIL N° 24 778 12 AVRIL 2017

Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité. Article 9 – La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. Article 10 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 11 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Charaselle WASILEWSKI, représentant L’IERL CHARAZEN COIFFURE et dont une copie sera transmise au maire de VILLERUPT ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110573 du 18 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à ESSEY LES NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure et notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 6 mars 2012, portant autorisation d’un système de vidéoprotection au TABAC PRESSE VAUTRIN, sis 40 TER avenue Foch à ESSEY LES NANCY (54270) ; VU la demande présentée le 2 novembre 2016 par Madame Marie-France VAUTRIN, représentant le TABAC PRESSE VAUTRIN, pour le renouvellement de ce système de vidéoprotection autorisé ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 6 mars 2012 sus-visé, au TABAC PRESSE VAUTRIN sis 40 TER avenue Foch à ESSEY LES NANCY (54270) est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110573. Ce dispositif comporte 4 caméras intérieures et poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours. Article 4 – Madame Marie-France VAUTRIN, représentant le TABAC PRESSE VAUTRIN, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garante des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). RECUEIL N° 24 779 12 AVRIL 2017

Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité. Article 9 – La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. Article 10 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 11 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame Marie-France VAUTRIN, représentant le TABAC PRESSE VAUTRIN et dont une copie sera transmise au maire d’ ESSEY LES NANCY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20084138 du 18 janvier 2017 portant renouvellement partiel d'un système de vidéoprotection à MONT SAINT MARTIN Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure et notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 11 janvier 2008, modifié le 13 juin 2012, portant autorisation d’un système de vidéoprotection au magasin DECATHLON, sis avenue de l’Europe à MONT SAINT MARTIN (54350) ; VU la demande présentée le 11 octobre 2016 par Monsieur Romain LECUYER, Directeur du magasin DECATHLON, pour le renouvellement de ce système de vidéoprotection autorisé ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 janvier 2008 modifié sus-visé, comprenant 7 caméras intérieures et 1 caméra extérieure, au magasin DECATHLON, sis avenue de l’Europe à MONT SAINT MARTIN (54350) est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure N°5 située près des vestiaires du personnel, visionnant des parties privatives non accessible au public, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20084138. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens • lutte contre la démarque inconnue Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours. Article 4 – Monsieur Romain LECUYER, directeur du magasin DECATHLON, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Meurthe-et-Moselle. RECUEIL N° 24 780 12 AVRIL 2017

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité. Article 9 – La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. Article 10 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 11 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Romain LECUYER, directeur du magasin DECATHLON et dont une copie sera transmise au maire de MONT SAINT MARTIN ainsi qu'à Monsieur le Sous-Préfet de BRIEY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110310 du 18 janvier 2017 portant renouvellement partiel d'un système de vidéoprotection à VANDOEUVRE LES NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure et notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 30 septembre 2011, portant autorisation d’un système de vidéoprotection au restaurant MAC DONALD’S, VAREST SARL, sis Boulevard des Aiguillettes à VANDOEUVRE LES NANCY (54500) ; VU la demande présentée le 9 novembre 2016 par Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société VAREST SARL, restaurant MAC DONALD’S, pour le renouvellement de ce système de vidéoprotection autorisé ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 30 septembre 2011 sus-visé, comportant 8 caméras intérieures et 2 caméras extérieures, au restaurant MAC DONALD’S, VAREST SARL, sis Boulevard des Aiguillettes à VANDOEUVRE LES NANCY (54500) est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras intérieures et la caméra extérieure situées à l’arrière, ne comportant pas de numéro, qui visionnent des parties privatives non accessibles au public, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110310. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • prévention des atteintes aux biens Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur Ikhlef HADJCHIKH représentant la société VAREST SARL, restaurant MAC DONALD’S, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité. Article 9 – La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. Article 10 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. RECUEIL N° 24 781 12 AVRIL 2017

Article 11 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur Ikhlef HADJCHIKH, représentant la société VAREST SARL, restaurant MAC DONALD’S et dont une copie sera transmise au maire de VANDOEUVRE LES NANCY. Nancy, le 18 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH ______

Arrêté préfectoral n° 20110472 du 20 janvier 2017 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection à JARVILLE LA MALGRANGE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure et notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ; VU la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; VU le décret du 27 janvier 2012 modifiant le décret n° 96926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection pris pour l'application de la loi du 21 janvier 1995 et portant application de l'article L.126-1-1 du code de la construction et de l'habitation. VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n°2015-489 du 29 avril 2015 relatif à la vidéoprotection aux abords immédiats des commerces et modifiant le code de la sécurité intérieure (partie réglementaire) ; VU la loi n° 2016-1767 du 19 décembre 2016 prorogeant l'application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence. VU l'arrêté préfectoral n°15.BI.47 du 13 août 2015 accordant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARCH, Sous-Préfète, Directrice de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 23 janvier 2012, portant autorisation d’un système de vidéoprotection à la CAISSE D’EPARGNE LORRAINE CHAMPAGNE ARDENNE, sise 16 rue de la République à JARVILLE LA MALGRANGE (54140) ; VU la demande présentée le 21 octobre 2016 par Monsieur JEREMY BEAUDENUIT, responsable du Département Sécurité des Personnes et des Biens, représentant La CAISSE D’EPARGNE LORRAINE CHAMPAGNE ARDENNE, pour le renouvellement de ce système de vidéoprotection autorisé ; VU l'avis émis par la Commission Départementale de vidéoprotection en sa séance du 30 novembre 2016 ; SUR proposition de la Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet ; A R R E T E Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 23 janvier 2012 sus-visé, à la CAISSE D’EPARGNE LORRAINE CHAMPAGNE ARDENNE sise 16 rue de la République à JARVILLE LA MALGRANGE (54140) est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n°20110472. Ce dispositif comporte 6 caméras intérieures et poursuit les finalités suivantes : • sécurité des personnes • protection Incendie/Accidents • prévention des atteintes aux biens • prévention d’actes terroristes Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Article 2 – Le public sera informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la per- sonne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - l’affichette mentionnera les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours. Article 4 – Monsieur JEREMY BEAUDENUIT, responsable du Département Sécurité des Personnes et des Biens représentant La CAISSE D’EPARGNE LORRAINE CHAMPAGNE ARDENNE, responsable de la mise en oeuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 5 – Les fonctionnaires des services de police dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 4 et 5 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. Article 6 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images). Article 7 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Article 8 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité. Article 9 – La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. Article 10 – Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. Article 11 – La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur JEREMY BEAUDENUIT, responsable du Département Sécurité des Personnes et des Biens, représentant La CAISSE D’EPARGNE LORRAINE CHAMPAGNE ARDENNE et dont une copie sera transmise au maire de JARVILLE LA MALGRANGE. Nancy, le 20 janvier 2017 Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet, Marie ARGOUARCH RECUEIL N° 24 782 12 AVRIL 2017

DELAIS ET VOIES DE RECOURS Si vous souhaitez contester les présentes décisions administratives, vous avez la possibilité de former : Soit un recours administratif dans les 2 mois courant à compter de leur notification sous une des deux formes : – soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX. – soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous- direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 PARIS CEDEX 08. NB: En l’absence de réponse de l’administration dans un délai de deux mois à compter de la date de réception du recours, celui-ci doit être considéré comme implicitement rejeté. Soit un recours contentieux , dans ce même délai : Ce recours sera adressé au Président du Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY CEDEX. NB: Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l’expiration du 2 ème mois suivant la date de notification des décisions contestées. Ce délai est prorogé de 2 mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux ou hiérarchique.

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau de la coordination interministérielle

Arrêté préfectoral n° 17.OSD.05 du 6 avril 2017 accordant délégation de signature de l'ordonnateur secondaire et de la personne exerçant le pouvoir adjudicateur en matière de marchés publics à Mme Emmanuelle GAY, directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, VU le code des marchés publics ; VU la loi n° 68-1250 du 31 décembre 1968 modifiée relative à la prescription des créances sur l’État, les départements, les communes et les établissements publics, VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'État dans la région et dans les départements ; VU le décret n° 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHÉ préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l'arrêté ministériel du 1er janvier 2016 nommant Mme Emmanuelle GAY en qualité de directrice régionale de l'environnement, de l’aménagement et du logement de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E DELEGATION DE SIGNATURE DE L’ORDONNATEUR SECONDAIRE Article 1 : Délégation de signature est accordée à Mme Emmanuelle GAY, directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, à l’effet de procéder à l’engagement, au mandatement et à la liquidation des dépenses imputées sur le budget ministériel et programme suivant : Budget du ministère des finances et des comptes publics : programme 724 gestion du patrimoine immobilier de l’État, pour l’opération immobilière : installation de l’unité départementale de la DREAL de Meurthe-et-Moselle sur le site domanial de l’Ile de Corse à Nancy (54). Un compte-rendu d'utilisation des crédits pour l'exercice budgétaire ainsi qu'un tableau de bord des indicateurs de réalisation des opérations me seront adressés mensuellement. Article 2 : Délégation de signature est également donnée à la directrice régionale pour opposer la prescription quadriennale aux créances sur l'État intéressant les dépenses visées à l'article précédent, ainsi que pour relever, après avis du comptable, les créanciers de l'État de la prescription quadriennale. Article 3 : La présente délégation ne concerne ni les éventuels ordres de réquisition du comptable public, ni les éventuelles propositions de passer outre aux avis défavorables du directeur des finances publiques, qui restent soumis à ma signature. Article 4 : Mme Emmanuelle GAY peut, sous sa responsabilité, subdéléguer sa signature dans les conditions fixées par les arrêtés interministériels portant règlement de comptabilité publique pour la désignation des ordonnateurs secondaires et de leurs délégués. La décision de subdélégation me sera adressée pour information et sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Article 5 : La signature des agents habilités dans les conditions prévues à l'article précédent est accréditée auprès du directeur régional des finances publiques. DELEGATION DE SIGNATURE DE LA PERSONNE REPRESENTANT LE POUVOIR ADJUDICATEUR Article 6 : Délégation de signature est accordée à Mme Emmanuelle GAY, directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, à l'effet d'exercer en mon nom la fonction de personne représentant le pouvoir adjudicateur en matière de marchés dont la dépense est imputée sur le programme visé à l’article 1er du présent arrêté. Les niveaux d'évaluation des besoins et les procédures suivies seront conformes au règlement départemental en vigueur. Elle s'applique à toutes les pièces nécessaires à la procédure de passation du marché. Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur régional des finances publiques sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Nancy, le 6 avril 2017 Le Préfet, Philippe MAHÉ ______

Arrêté préfectoral n° 17.BCI.05 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l’action locale Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU la loi du 28 pluviôse An VIII relative à la division du territoire de la République et à l’administration du territoire ; VU la loi n°82-213 du 2 mars 1982 modifiée, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets à l'organisation et à l'action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHÉ préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 février 2017 portant organisation des services de la préfecture ; RECUEIL N° 24 783 12 AVRIL 2017

VU la décision préfectorale portant nomination à compter du 1er avril, M. Olivier BECKER, conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre- mer en qualité de directeur de la citoyenneté et de l'action locale à la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1 : Délégation est donnée à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l'action locale à l'effet de signer dans le cadre des attributions de la direction : 1-0 – POUR l’ENSEMBLE DES BUREAUX - la saisine des différents services pour la constitution des commissions et les notifications des décisions portant nomination individuelle au sein des commissions, - les lettres de convocation aux réunions et les envois des procès-verbaux correspondants, - les lettres adressées en réponse aux demandes de documentation ou de renseignements formulées par des élus ou des particuliers, - les lettres adressées aux différents services pour la rédaction de rapports, d’études ou d’avis, - les lettres de notification de décisions administratives, arrêtés préfectoraux et conventions. 1-1 – SERVICE IMMIGRATION ET INTÉGRATION 100- Premiers récépissés (toutes demandes) et renouvellements de récépissé (uniquement dans le cadre de l’asile) 101- Autorisations provisoires de séjour (hors titre humanitaire) 102- Demandes d'enquête 103- Demandes de complément de dossiers relevant des attributions de la réglementation du droit des étrangers 104- Télécopies de documents ne comportant pas de décisions 105- Convocations aux entretiens 106- Remise de titres de séjour des étrangers 107- Titres de séjour des étrangers 108- Documents de circulation pour étranger mineur et titres d'identité républicains 109- Renouvellement de récépissés (hors asile) 110- Autorisations provisoires de séjour (à titre humanitaire) 111- Récépissés de dépôt de dossier de demande de naturalisation, procès-verbaux d'assimilation relatifs à la demande de naturalisation et documents relatifs à l’acquisition de la nationalité française par déclaration à raison du mariage. 112- Refus de délivrance d'autorisation provisoire de séjour 113- Titres de voyage des réfugiés et apatrides 114- Prolongation des visas des passeports 115- Attestations constatant des faits ou des droits 116- Courriers accompagnant la délivrance des autorisations provisoires de séjour suite à l'annulation d'un arrêté de reconduite à la frontière ou d'une obligation de quitter le territoire français par le Tribunal administratif 117- Toutes décisions favorables aux demandeurs 118. Laissez-passer 119- Décisions relevant des articles L511-1 à L511-3-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, les décisions de placement en rétention administrative visées au titre 5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, les demandes de prolongation de rétention formulées auprès des juges des libertés et de la détention des tribunaux de grande instance, les mémoires dans le cadre du contentieux d’urgence lié à la rétention et sa prolongation ainsi que les décisions d'assignation à résidence visées au titre 6 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. 120- Toutes décisions défavorables concernant notamment le refus de regroupement familial, le refus de la carte de résident ou de certificat de résidence d'Algérien valable dix ans, le refus de l'admission au séjour, la confirmation des arrêtés de refus de séjour avec obligation de quitter le territoire français. 121- Abrogations d’arrêtés de refus de séjour assortis de l’obligation de quitter le territoire français. 122- Représentation de l'État devant les juridictions, dans le cadre du contentieux administratif et judiciaire des mesures d’éloignement. 123- Signature de tous les contentieux d’urgence liés aux procédures d’éloignement. 1-2 – SERVICE DE LA CITOYENNETÉ ET DE L’ACTION LOCALE Citoyenneté 200- nomination des délégués de l’administration au sein des commissions administratives chargées de la révision des listes électorales pour les communes de l’arrondissement de Nancy 201- conclusion de marchés publics dans le cadre des échéances électorales 202- déclaration de mandataires financiers dans le cadre des élections 203- récépissé de déclaration de candidature provisoire 204- récépissé de déclaration de candidature définitif 205- liquidation financière des élections politiques et professionnelles (factures, frais d’assemblée électorale, subvention aux mairies pour l’achat d’urnes et d’isoloirs, remboursement des procurations et des frais de déplacements des OPJ, remboursement des frais de campagne….) à l’exception des états de rémunération liés à la mise sous pli et des indemnités pour travaux supplémentaires 206. déclaration d'option pour le service national 207- récépissé de déclaration de revendeurs d'objets mobiliers 208- récépissés de création, modifications et dissolution des fonds de dotation 209- récépissés de création, modifications et dissolution des associations loi 1901 et loi 1905 210- récépissés de création, modifications et dissolution des associations syndicales libres 211- accusé réception de transmission des comptes annuels et rapport d’activités des associations reconnues d’utilité publique, des fonds de dotation et des fondations 212- décision de non opposition en cas de legs ou donation à des associations, congrégations… 213- signature des cartes nationales d'identité 214- attestations constatant des faits ou des droits 215- statistiques mensuelles et comptabilité matière 216- correspondances relevant des attributions du bureau de la citoyenneté, hors décisions défavorables 217- demandes de complément de dossiers relevant des attributions du bureau de la citoyenneté 218- bordereaux d'envoi y compris pour télécopies de documents pour toutes les attributions du bureau de la citoyenneté 219- demande d'inscription d'opposition de sortie de territoire des mineurs (OST) à titre conservatoire (durée 15 jours) 220- Opérateurs funéraires : 2201- Habilitations, suspension et retrait d'autorisation d'exercer 2202- Agrément, suspension et retrait d'agrément des chambres funéraires 2203- Instruction de ces procédures, y compris les mises à enquête publique 2204- Autorisations de transports de corps à l'étranger, dérogation des délais d'inhumation et de crémation 221- Foires commerciales : récépissés de déclaration 222- Autorisation d'appel à la générosité publique 223- Délivrance de cartes de guide-conférencier RECUEIL N° 24 784 12 AVRIL 2017

224- Tourisme : 2241- Classement des offices de tourisme et des communes touristiques 2242- Autorisation d'exploitation des trains touristiques 225– Réglementations diverses : 2251- Hippodromes : agrément des commissaires de courses, demande d’ouverture annuelle, approbation des comptes et du budget 2252- Délivrance de titres de maître restaurateur Action locale 226- Les arrêtés attributifs du fonds de compensation pour la T.V.A., 227- Les accusés de réception des demandes de subvention, 228- Les certificats de service fait pour les dossiers de subventions d’État. 229- Les arrêtés préfectoraux fixant le montant des indemnités à verser aux commissaires enquêteurs à la suite d'enquêtes publiques réalisées dans des domaines relevant de la compétence du bureau. 1-3 – USAGERS DE LA ROUTE 300- Taxis - VTC: 3001- Toutes correspondances et décisions relatives à la préparation et l'organisation de l'examen professionnel de conducteur de taxis ainsi que celui de conducteur de voiture de transport avec chauffeur 3002- Nomination du jury d'examen 3003- Délivrance, suspension et retrait de la carte professionnelle de conducteur de taxis et celle de conducteur de voiture de transport avec chauffeur 3004- Commission départementale des taxis et véhicules de petite remise et commission locale des transports publics particuliers de personnes : nomination des membres et présidence de séance 301- Dépanneurs sur autoroutes non concédées et voies expresses : 3011 - Agrément, suspension et retrait d'agrément des dépanneurs sur autoroutes non concédées et voies expresses. 3012 - Présidence de la commission départementale des dépanneurs sur autoroutes non concédées et voies expresses. 302 - Certificats d'Immatriculation : 3021- Télécopies de documents ne comportant pas de décisions 3022- Bordereaux d'envoi de documents 3023- Demande d'enquêtes 3024-Correspondances relevant des attributions de la section des certificats d'immatriculation. 3025- Conventions d'habilitation des professionnels de l'automobile 3026- Suspension des conventions d'habilitation des professionnels de l'automobile 3027- Annulation des conventions d'habilitation des professionnels de l'automobile 3028- Convention d'agrément des professionnels de l'automobile 3029- Suspension ou annulation des conventions d'agrément des professionnels de l'automobile 303 - Permis de conduire : 3031- Télécopies de documents ne comportant pas de décisions 3032- Bordereaux d'envoi de documents 3033- Demande d'enquêtes 3034- Correspondances relevant des attributions de la section des permis de conduire. 3035- Délivrance des titres permis de conduire + échange et refus d'échange de permis étrangers 3036- Échange et refus d'échange de permis étrangers 3037- Arrêtés concernant les permis à points : REF 44, récépissé de remise d'un permis de conduire invalidé pour solde de points nul REF 47, reconstitution de points du permis de conduire REF 3F, suspension provisoire immédiate du permis de conduire REF 1F, suspension provisoire du permis de conduire REF 3E, interdiction temporaire immédiate de conduire en France REF 1E, interdiction temporaire de conduire en France REF 4F, modification ou confirmation d'un précédent arrêté REF 4E, modification ou confirmation d'un précédent arrêté 3038- Arrêtés concernant la commission médicale : REF 61, mesures administratives consécutives à un examen médical 3039- Arrêtés relatifs aux agréments : Agrément, refus, suspension, retrait d'agrément, et toutes décisions relatives à ces agréments pour les : - centres de tests psychotechniques - centres de récupération de points - médecins de la commission médicale - médecins exerçant en cabinet médical - centres de contrôle technique - contrôleurs techniques - gardiens de fourrières 3040- Arrêtés relatifs aux immobilisations et mises en fourrière de véhicules : - signature des arrêtés d'immobilisation et/ou de mise en fourrière des véhicules au titre de l'article L.325-1-2 du code de la route 3041- Signature, suspension ou annulation des conventions d'agrément avec les établissements d'enseignement de la conduite automobile et les centres de sensibilisation à la sécurité routière. Article 2 : 2-1 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, la délégation de signature consentie aux articles 1-0 et 1-2 dans les domaines de la citoyenneté et des collectivités territoriales sera exercée par Mme Marie-Line BOULANGER, attachée principale, adjointe au directeur, cheffe du service de la citoyenneté et des collectivités territoriales. 2-2 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et aux domaines 226 à 228 à Mme Christine SARTELET, attachée, adjointe à la cheffe du bureau des affaires budgétaires et financières des collectivités territoriales. 2-3 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et au domaine 229 à M. Alexandre BONARDEL-ARGENTY, attaché principal, chef de bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités territoriales ou, en son absence, à Mme Brigitte DEDISSE, attachée principale, adjointe au chef de bureau. RECUEIL N° 24 785 12 AVRIL 2017

2-4 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, à l’exception du domaine indiqué en 200, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et les domaines 201 à 225 à M. Alban OLMEDO, attaché, chef du bureau de la citoyenneté ou, en son absence, à M. Alex BAILLY, attaché, chef de bureau adjoint. En cas d'absence ou d'empêchement de M. Alban OLMEDO et de M. Alex BAILLY, délégation de signature est donnée à : - Mme Claude PEIGNER, adjointe administrative, pour les domaines désignés en 206 et 207, 209 à 212 et 2204. - Mme Odile SBUTTONI, secrétaire administrative de classe supérieure, pour les domaines désignés en 202, 203, 205 et 216 à 218. Article 3 : 3-1 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, la délégation de signature consentie aux articles 1.0 et 1-3, dans le domaine des usagers de la route sera exercée par Mme Laurence PIEKARSKI, attachée principale, cheffe du bureau des usagers de la route, ou en son absence, à Mme Elina GREINER, attachée, adjointe à la cheffe du bureau des usagers de la route. 3-2 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, de Mme Laurence PIEKARSKI et de Mme Elina GREINER, délégation de signature est donnée à Mme Evelyne FEESER, secrétaire administrative de classe normale, pour les domaines désignés en 303, à l'exception des domaines 3036, 3039, 3040 et 3041 et à Mme Isabelle HETHEIER, secrétaire administrative de classe supérieure, pour le domaine 302. A rticle 4 : 4-1 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, la délégation de signature consentie aux articles 1-0 et 1-1 dans le domaine de l’immigration et de l'intégration sera exercée par Mme Sabine CHOGNOT, attachée principale, adjointe au directeur, cheffe du service de l'immigration et de l'intégration ou, en son absence, par Mme Caroline BASSIERE, attachée, adjointe à la cheffe du service. 4-2 La délégation de représentation du préfet visée au domaine 122 est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Sabine CHOGNOT, à M. Christian MENDY, attaché, chef du bureau du séjour irrégulier et de l’éloignement, Mme Claire TRANDAFIR, Mme Ghislaine ESMEZ, M. Yannick JOSEPH-ALEXANDRE, M. Philippe WEINSBERG secrétaires administratifs, et M. Florian SCHMITT, adjoint administratif. 4-3 Délégation de signature est donnée, dans le cadre des astreintes des week-ends et jours fériés à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 122 à 123 à Mme Sabine CHOGNOT, attachée principale, Mme Caroline BASSIERE, et M. Christian MENDY, attachés, Mme Claire TRANDAFIR, Mme Ghislaine ESMEZ, M. Yannick JOSEPH-ALEXANDRE, M. Philippe WEINSBERG, secrétaires administratifs, et M. Florian SCHMITT, adjoint administratif. 4-4 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Sabine CHOGNOT, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 103 à 106 à Mmes Jennifer POZUETA, Edith GASSMAN, Sophia LAMPERTI, Gwenaëlle ROY, Sabine , Sakina LABIED, Lydia VIEIRA-RODRIGUEZ, Maité ROYER, Séverine COUZOT, Afisa SOUDANI, Valérie QUEDREUX et MM. Yann CECILE, Fabrice ELOPHE, Athman VOIRIN, adjoints administratifs. 4-5 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Sabine CHOGNOT, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 100 à 115 et 117 et 120 à Mmes Caroline BASSIERE et Inès GREGORIO et de 100 à 115 et 117 à M. Christian MENDY, attachés, et de 100 à 110 à Mme Christelle SCHONI, secrétaire administrative, Mme Florence COFFIGNY et M. Bruno GUILLEMIN, adjoints administratifs. M. Christian MENDY est en outre autorisé à signer, dans le cadre du 119, les demandes de prolongation de rétention adressées au juge des libertés et de la détention. 4-6 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Sabine CHOGNOT, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 103 à 105 et 111 à Mmes Nésiri BORA, attachée, cheffe du bureau de la plate-forme régionale de naturalisation, Emilie ORY, secrétaire administrative de classe supérieure, adjointe à la cheffe du bureau, Mme Catherine ZOUI et M. Abdelghani KETLAS, secrétaires administratifs, Mmes Catherine CERVA-PEDRIN, Gwenaëlle DUCHENE, Stéphanie DURET, Christine HOLLARD, Brigitte SALET et Martine VAUQUOIS-ROUQUIER, adjointes administratives. Article 5 : Pour tout ce qui concerne les documents et pièces comptables se rapportant aux crédits de fonctionnement de l’administration territoriale (BOP 307), délégation de signature est donnée à M. Olivier BECKER, en sa qualité de prescripteur, aux fins de signer : - la décision de dépenses en validant des expressions de besoins, - la constatation du service fait. En cas d’absence ou d’empêchement, la délégation est donnée à Mme Marie-Line BOULANGER, adjointe au directeur, cheffe du service de la citoyenneté et des collectivités territoriales, et Mme Sabine CHOGNOT, adjointe au directeur, cheffe du service de l'immigration et de l'intégration. Article 6 : Demeurent réservées en toutes matières à la signature du préfet les correspondances adressées : - à la présidence de la République et au Premier Ministre, - aux ministres, - aux parlementaires, ainsi que les correspondances adressées sous forme personnelle : - au préfet de Région et au président du Conseil Régional, - au président du Conseil Départemental, - au président de la Métropole du Grand Nancy. Article 7 : L’arrêté préfectoral n°16.BI.27 du 23 août 2016 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur des libertés publiques et l’arrêté n°15.BI.54 du 25 août 2015 accordant délégation de signature à M. Francis GIROUX, directeur de l’action local sont abrogés à compter de l’entrée en vigueur du présent arrêté. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture et M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l'action locale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché pendant 15 jours dans les locaux de la préfecture et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et à la directrice des archives départementales. Nancy, le 10 avril 2017 Le Préfet, Philippe MAHÉ ______

Arrêté préfectoral n° 17.BCI.06 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à M. Jacques SABLAYROLLES, directeur des ressources humaines et des moyens Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU la loi du 28 pluviôse An VIII relative à la division du territoire de la République et à l’administration ; VU la loi n°82-213 du 2 mars 1982 modifiée, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; RECUEIL N° 24 786 12 AVRIL 2017

VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets et à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n°2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHÉ préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 février 2017 portant organisation des services de la préfecture ; VU la décision du préfet portant nomination de M. Jacques SABLAYROLLES, conseiller d’administration de l’intérieur et de l'outre-mer, en qualité de directeur des ressources humaines et des moyens de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, à compter du 1er avril 2017 ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle , A R R E T E Article 1 : Délégation de signature est donnée à M. Jacques SABLAYROLLES, directeur des ressources humaines et des moyens, à l’effet de signer : I – Pour l’ensemble des bureaux de la direction : - la saisine des différents services pour la constitution des commissions et les notifications des décisions portant nomination individuelle au sein des commissions, - les lettres de convocation aux réunions et les envois des procès-verbaux correspondants, - les lettres adressées en réponse aux demandes de documentation ou de renseignements formulées par des élus ou des particuliers, - les lettres adressées aux différents services pour la rédaction de rapports, d’études ou d’avis, - les lettres de notification de décisions administratives, arrêtés préfectoraux et conventions. II – Pour le bureau du pilotage budgétaire, de la logistique et du patrimoine : - au titre des BOP 216-06, 216-10, 307, 333-02 et 724 : l’engagement des dépenses dont le montant est inférieur à 1 500 € et l’engagement des dépenses correspondant à une programmation ayant fait l’objet d’une décision préalable, - les arrêtés d’admission en non-valeur du directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle, - les documents relatifs à l’ordonnancement des titres et recettes de l’État, en application de l’article 15 du décret N° 82-389 du 10 mai 1982, - les documents et pièces comptables se rapportant aux crédits de fonctionnement de l’administration préfectorale dont le bureau assure la responsabilité de gestion, - le budget déconcentré de la préfecture (préparation, exécution, contrôle des centres de coûts), - la tenue des inventaires du mobilier des bureaux et des résidences, - les arrêtés autorisant de façon permanente d’utiliser son véhicule personnel pour les besoins du service et les autorisations temporaires d’utiliser son véhicule personnel, - le rôle de prescripteur qui comprend : * la décision de dépenses et recettes en validant des expressions de besoins, * la constatation du service fait, * le pilotage des crédits de paiement incluant la priorisation des paiements. III – Pour le bureau des ressources humaines et de l’action sociale : a) dans le domaine des ressources humaines : - la gestion du personnel titulaire et contractuel relevant du ministère de l’intérieur et affecté en préfecture, dans les sous-préfectures et les juridictions administratives, - les arrêtés portant octroi de congés de maladie, congés de maternité et accidents du travail sur présentation des certificats médicaux réglementaires, - les procès-verbaux de la commission départementale de réforme des fonctionnaires de l’État concernant les agents de la préfecture et des sous-préfectures, - le secrétariat et la préparation des travaux du comité technique, des commissions administratives paritaires et du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, - l’organisation locale des concours et des recrutements du personnel, - la paie et les rémunérations accessoires (liquidation, liaison-rémunération), - le recrutement des agents contractuels occasionnels, - dans le domaine de la formation : au titre des BOP 307, 216 et 148, tous actes et documents relatifs à la gestion logistique (transport, hébergement, frais de déplacement) des personnels administratifs, techniques et de service de la préfecture et des sous-préfectures placés sous l’autorité du préfet de Meurthe-et-Moselle, ainsi que des formateurs intervenant dans le département. b) dans le domaine de l'action sociale : - la gestion de l’action sociale du ministère de l’Intérieur (ordonnancement secondaire au titre des BOP 216 et 307), - le secrétariat permanent de la commission départementale d’action sociale, - le logement des fonctionnaires, - la présidence de la commission départementale de secours. Article 2 : Pour tout ce qui concerne les documents et pièces comptables se rapportant aux crédits de fonctionnement de l’administration territoriale, délégation de signature est donnée à M. Jacques SABLAYROLLES, en sa qualité de prescripteur, aux fins de signer : - la décision de dépenses en validant des expressions de besoins, - la constatation du service fait. Article 3 : En cas d’absence ou d’empêchement de M. Jacques SABLAYROLLES, la délégation visée à l’article 1 et 2 ci-dessus est exercée par Mme Frédérique BELLO-LAPANNE, attachée principale, chef du bureau des ressources humaines et de l’action sociale, ou par Mme Anne PIERRE, attachée principale, chef du bureau du pilotage budgétaire, de la logistique et du patrimoine. Article 4 : En cas d’absence ou d’empêchement simultané de M. Jacques SABLAYROLLES, de Mme Frédérique BELLO-LAPANNE et de Mme Anne PIERRE, les délégations visées à l’article 1 ci-dessus, sont exercées, dans le domaine de responsabilité de leur bureau, par les personnes désignées ci-après : Bureau du pilotage budgétaire, de la logistique et du patrimoine : - Mme Flore MARTIN, secrétaire administrative de classe supérieure Bureau des relations avec les usagers : - Mme Sylvie MALENFERT, secrétaire administrative de classe normale Bureau des ressources humaines et de l’action sociale : - Mme Martine CHENG, attachée principale - M. Hervé FROMENT, secrétaire administratif de classe exceptionnelle - Mme Anne-Lise LURON, secrétaire administrative de classe exceptionnelle - Mme Valérie HOFFART, adjointe administrative principale de 1ère classe, uniquement pour les procès-verbaux de la commission départementale de réforme des fonctionnaires de l’État concernant les agents de la préfecture et des sous-préfectures. Cellule performance : - Mme Marion OUDIN, attachée. Article 5 : Demeurent réservées en toutes matières à la signature du préfet les correspondances adressées : - à la présidence de la République et au Premier ministre, - aux ministres, - aux parlementaires, RECUEIL N° 24 787 12 AVRIL 2017 ainsi que les correspondances adressées sous forme personnelle : - au préfet de région et au président du Conseil régional, - au président du Conseil départemental, - au président de la Métropole du Grand Nancy. A rticle 6 : L’arrêté préfectoral n° 15.BI.53 du 25 août 2015 modifié par les arrêtés 15.BI.83 du 1er septembre 2015, 15.BI.89 du 9 octobre 2015 et 16.BI.12 du 21 mars 2016 accordant délégation de signature à M. Jacques SABLAYROLLES, directeur de la coordination interministérielle et des moyens est abrogé. Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et M. Jacques SABLAYROLLES, directeur des ressources humaines et des moyens, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché pendant 15 jours dans les locaux de la préfecture et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et à la directrice du service départemental d’archives. Nancy, le 10 avril 2017 Le Préfet, Philippe MAHÉ ______

Arrêté préfectoral n° 17.BCI.07 du 10 avril 2017 accordant délégation de signature à Mme Hélène DURAND, cheffe du service de la coordination des politiques publiques Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU la loi du 28 pluviôse An VIII relative à la division du territoire de la République et à l’administration ; VU la loi n° 82.213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n°2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHÉ préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 février 2017 portant organisation des services de la préfecture ; VU la décision préfectorale du 30 mars 2017 nommant Mme Hélène DURAND, attachée hors classe, cheffe du service de la coordination des politiques publiques à compter du 1er avril 2017 ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E Article 1 : Délégation de signature est donnée à Mme Hélène DURAND, attachée hors classe, cheffe du service de la coordination des politiques publiques, à l’effet de signer : I - Pour les bureaux de la direction : - tous actes et documents n’entraînant ni avis, ni décision et notamment : * les lettres de convocation aux réunions et les envois des procès-verbaux correspondants, * la saisine des différents services de l’État pour la constitution des commissions et les notifications des décisions portant nomination individuelle au sein des commissions, * les lettres adressées en réponse aux demandes de documentation ou de renseignements formulées par des particuliers ou des élus, * les lettres adressées aux différents services pour la rédaction de rapports, d’études ou d’avis, * les lettres de notification des décisions administratives, des arrêtés préfectoraux et des conventions. II - Pour le bureau de la coordination interministérielle : - les actes, documents et copies conformes correspondant à une décision d’autorité en matière de gestion et de conservation du domaine public national et du domaine privé de l’État. III - Pour le bureau des procédures environnementales : - les preuves de dépôt des déclarations au titre de la réglementation sur les installations classées pour la protection de l'environnement, - les récépissés pour l'activité de transport, courtage et négoce de déchets. Article 2 : Pour tout ce qui concerne les documents et pièces comptables se rapportant aux crédits de fonctionnement de l’administration territoriale (BOP 307), délégation de signature est donnée à Mme Hélène DURAND, en sa qualité de prescripteur, aux fins de signer : - la décision de dépenses en validant les expressions de besoins, - la constatation du service fait. Article 3 : En cas d'absence ou d'empêchement de Mme Hélène DURAND, la délégation visée aux articles 1 et 2 ci-dessus est exercée par Mme Edith CHARRIAU-CORON, attachée principale, chef du bureau de la coordination interministérielle ou par M. Dimitri BOCQUET, attaché, chef du bureau des procédures environnemenales. Article 4 : En cas d'absence ou d'empêchement simultané de Mme Hélène DURAND, de Mme Edith CHARRIAU-CORON et de M. Dimitri BOCQUET, les délégations visées à l’article 1 ci-dessus sont exercées, dans le domaine de responsabilité de leur bureau, par les personnes désignées ci-après : - pour le bureau de la coordination interministérielle, par M. Paul GEORGE, attaché, Mme Concetta DI BLASI, secrétaire administrative de classe normale, Mme Lydie-Anne FRITZSCH, secrétaire administrative de classe normale ; - pour le bureau des procédures environnementales, par Mme Martine GILLET, attachée, et M. Francis PIEKARSKI, secrétaire administratif de classe exceptionnelle. Article 5 : Demeurent réservées en toutes matières à la signature du préfet les correspondances adressées : - à la présidence de la République et au Premier ministre, - aux ministres, - aux parlementaires, ainsi que les correspondances adressées sous forme personnelle : - au préfet de région et au président du Conseil régional, - au président du Conseil départemental, - au président de la Métropole du Grand Nancy. Article 6 : Les arrêtés préfectoraux n° 15.BI.53 du 25 août 2015 modifié par les arrêtés 15.BI.83 du 1er septembre 2015, 15.BI.89 du 9 octobre 2015 et 16.BI.12 du 21 mars 2016 accordant délégation de signature à M. Jacques SABLAYROLLES, directeur de la coordination interministérielle et des moyens et l’arrêté préfectoral n°15.BI.54 du 10 août 2015 accordant délégation de signature à M. Francis GIROUX, directeur de l'action locale, sont abrogés. Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et Mme Hélène DURAND, cheffe du service de la coordination des politiques publiques, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché pendant 15 jours dans les locaux de la préfecture et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et à la directrice du service départemental d’archives. Nancy, le 10 avril 2017 Le Préfet, Philippe MAHÉ RECUEIL N° 24 788 12 AVRIL 2017

Arrêté préfectoral n° 17.BCI.08 du 11 avril 2017 accordant délégation de signature à l’agent de permanence pour le week-end prolongé de Pâques

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU la loi du 28 pluviôse An VIII relative à la division du territoire de la République et à l’administration ; VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions et les textes pris pour son application ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets et à l’organisation et à l'action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHÉ préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU la décision nommant M. Dominique DELOPHONT, attaché, chef du bureau des polices administratives ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E Article 1 : Délégation de signature est donnée, à l'effet de signer : - les décisions de suspension provisoire immédiate du permis de conduire, - les décisions d’interdiction temporaire immédiate de conduire en France, - les arrêtés d'immobilisation et/ou de mise en fourrière des véhicules au titre de l'article L.325-1-2 du code de la route, dans le cadre de la permanence du week-end de Pâques du 14 avril 2017 à 18h00 au mardi 18 avril 2017 8h00 à M. Dominique DELOPHONT, attaché, chef du bureau des polices administratives ; Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture et M. Dominique DELOPHONT, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché dans les locaux de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Nancy, le 11 avril 2017 Le Préfet, Philippe MAHÉ

SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

SECRETARIAT GENERAL

Arrêté n° 2017/DDT/SG/004 du 6 avril 2017 portant subdélégation de signature en matière d’administration générale

La Directrice départementale des territoires, ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts,

VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements, et notamment l’article 38 4e, VU le décret n° 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux directions départementales interministérielles, VU l’arrêté préfectoral n° DDT/SG/2009/12/01 du 31 décembre 2009 portant organisation de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle, VU l’arrêté du Premier Ministre du 22 avril 2015 portant nomination dans les directions départementales interministérielles, et nommant Madame Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER, ingénieure générale des Ponts, des Eaux et des Forêts, en qualité de directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle, VU l’arrêté préfectoral du 25 août 2015, accordant délégation de signature à Madame Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER, directrice départementale des territoires et notamment son article 5, A R R E T E Article 1 : Subdélégation de signature est donnée à Monsieur Laurent MARCOS, directeur adjoint, à l’effet de signer, dans le cadre de ses attributions, les décisions mentionnées à l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé à l’exception des numéros 107, 122 et 134. Article 2 : Subdélégation de signature est donnée à l’effet de signer, dans le cadre de leurs attributions et compétences, aux personnes suivantes : Monsieur Jean VINSON, secrétaire général, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - 100 à 141 à l’exception des numéros 107, 122, 134 et 135 Monsieur Frédéric THORNER, chef du service "Aménagement Durable, Urbanisme, Risques", pour les décisions des articles 1 et 2 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 200 à 218 - 329 - 601, 604 et 618 Madame Séverine LABORY, chef du service "Agriculture, Forêt, Chasse" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 500 à 526 à l’exception des numéros 510, 514 et 515 Monsieur Fabrice ARKI, chef du service "Environnement, Eau, Biodiversité" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 400 à 426 - 219 à 224 Madame Isabelle ROUYER-VANNIER, chef du service "Habitat et Constructions Durables" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 300 à 331 à l’exception du numéro 306 Monsieur Francis MALLET, chef de service adjoint au chef du service "Aménagement Durable, Urbanisme, Risques", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 200 à 218 - 329 - 601, 604 et 618 RECUEIL N° 24 789 12 AVRIL 2017

Madame Catherine NICOLEY, adjointe au chef du service "Agriculture, Forêt et Chasse", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 500 à 526 à l’exception des numéros 510, 514 et 515 Madame Nathalie CAEL, adjoint au chef du service "Environnement, Eau Biodiversité" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 400 à 426 - 219 à 224 Madame Emmanuelle PORTEMER, adjoint au chef de service "Environnement, Eau, Biodiversité" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 400 à 426 - 219 à 224 Monsieur Eddy SABANOVIC, adjoint au chef du service "Habitat et Constructions Durables" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 300 à 331 à l’exception du numéro 306 Madame Nicole SIEFFER, chef du Pôle "Education et Sécurité Routières", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 605 (sauf pour la délivrance du diplôme de moniteur d’auto-école) à 612 Monsieur Florian STREB, chef du Pôle "Prévention des Risques – Gestion de Crise" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 601, 604 et 618 Messieurs Patrice ARNAULT, chef du pôle relais du Pays Haut, et Christian NICOLLET, adjoint au chef du pôle relais du Pays Haut, dans leurs limites territoriales, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 600, 602 et 603 Madame Marie AGUAYO-BERTHIER, chef du pôle "Aménagement Ville Durable", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents lacés sous son autorité : 100 et 139 - 200 à 202 Madame Sylviane KERSTETTER, chargée de l’unité "Planification de l’Urbanisme", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 202 Madame Suzanne LÉCROART, chargé de l’unité "Application du Droit des Sols" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 204, 206, 207, 208, 210, 213, 215, 217 Monsieur Rémi HORES, chargé de l’unité "Parc de Logement Social Public" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 301, 302, 304, 307, 308, 309 Monsieur François HUPPERT, adjoint au chef de l’unité "Parc de Logement Social Public" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - 301, 302, 307, 308, 309 Monsieur Sébastien FAGOT, chargé de l’unité "Coordination et Sécurité Routière" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 613 Madame Marie-Claude GIROT, chargée de l’unité "Ressources Humaines" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - 100 à 106, 111, 112 (à l’exception des contrats annuels de l’architecte-conseil et paysagiste-conseil), 130 et 139 - 133 (à l’exclusion des chefs d’unité et de service) Monsieur Christophe COFFIGNY, chef de l’unité MEAD, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 - 500 à 513 à l’exception du numéro 510 Monsieur Nicolas TOQUARD, chef de l’unité Espace Rural, Forêt, Chasse, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence, - pour les agents placés sous son autorité : 100 - 516 à 526 Monsieur Alexandre ROUSSELET, chef de la mission "Juridique", pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 - 216 et 303 Monsieur Jean-Pol SCULIER, chargé de mission "Ingénierie, Gestion de Crise" pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - 601, 604 et 618 Mesdames et Messieurs Brigitte BOULANGER, Alain CHAPLIER, Audrey DONNOT, Ghislaine DOSSOU, Vincent FOUCAUT, Marie- Claude GIROT, Christelle HURNI, Angélique MASSON, Patrick MENOUX, Noëlle SCHMITT, Vincent THIRIET, Patrick VIARD, chargés ou adjoints des unités et pôles de la DDT, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 et 139 Madame Corinne BETIS, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - pour les agents placés sous son autorité : 100 - 206, 207 Madame Céline RAOULT, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : RECUEIL N° 24 790 12 AVRIL 2017

- pour les agents placés sous son autorité : 100 - 217 Mesdames et Messieurs Estelle ANDRE, Jean-Christophe ANCEL, Cécile DERON, David GRANDIDIER, Céline DEMESY-RAYBOIS, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros de référence : - 206, 207 Madame Catherine STOFFEL, pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant le numéro de référence : - 139 Article 3 : En cas d’absence ou d’empêchement des fonctionnaires désignés à l’article 2 du présent arrêté, la délégation de signature qui leur est confiée sera exercée par l’agent chargé de leur intérim, par décision de Madame la directrice départementale des territoires et, à défaut de cette décision : - en remplacement de Monsieur Jean VINSON : * par Mesdames Marie-Claude GIROT ou Audrey DONNOT - en remplacement des Messieurs Patrice ARNAULT et Christian NICOLLET : * par les fonctionnaires suivants : Mesdames et Messieurs Séverine LABORY, Fabrice ARKI, Frédéric THORNER, Francis MALLET, Jean VINSON, Isabelle ROUYER-VANNIER, Marie AGUAYO-BERTHIER, Florian STREB, Eddy SABANOVIC, Emmanuelle PORTEMER, Nathalie CAEL, Catherine NICOLEY pour les décisions de l’article 1 de l’arrêté préfectoral susvisé, portant les numéros 600 et 602 (circulation des poids lourds les week-ends et jours fériés) - en remplacement de Monsieur Fabrice ARKI ou de Madame Emmanuelle PORTEMER ou de Madame Nathalie CAEL : * par Madame Noëlle SCHMITT, Monsieur Alain CHAPLIER pour les décisions portant les numéros 400 à 402 Article 4 : Subdélégation de signature est donnée aux personnes suivantes à l’effet de signer, dans le cadre de leurs attributions et compétences, les ampliations des arrêtés relevant de leur service : Mesdames et Messieurs Séverine LABORY, Fabrice ARKI, Frédéric THORNER, Francis MALLET, Florian STREB, Marie AGUAYO-BERTHIER, Suzanne LECROART, Jean VINSON, Isabelle ROUYER- VANNIER, Eddy SABANOVIC, Emmanuelle PORTEMER, Nathalie CAEL, Catherine NICOLEY. Article 5 : L’arrêté de subdélégation de signature n° 2016/DDT/SG/021 du 20 septembre 2016 est abrogé Article 6 : Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et la directrice départementale des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture. Nancy, le 6 avril 2017 La directrice départementale, Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER ______

Arrêté n° 2017/DDT/SG/005 du 6 avril 2017 portant délégation de signature aux agents de la DDT de Meurthe-et-Moselle en matière de fiscalité de l’urbanisme

La Directrice départementale des territoires, ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts,

VU le livre des procédures fiscales, notamment son article L. 255-A ; VU le code du patrimoine, notamment ses articles L. 524-1 et suivants relatifs à la détermination de l’assiette et la liquidation de la redevance d’archéologie préventive ; VU le code de l’urbanisme, notamment ses articles L. 331-1 et suivants relatifs à la détermination de l’assiette et la liquidation de la taxe d’aménagement et du versement pour sous densité ; VU les articles R. 333-1 et suivants du code de l’urbanisme relatifs à la liquidation et à la détermination du versement résultant du dépassement du plafond légal de densité ; VU notamment l’article R. 620-1 du code de l’urbanisme qui autorise la directrice départementale des territoires à déléguer sa signature en ce qui concerne les matières relevant en propre de ses attributions ; VU l’arrêté du Premier ministre du 22 avril 2015 portant nomination dans les directions départementales interministérielles et nommant Mme Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER, ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts, en qualité de directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1 : Délégation de signature est donnée à : - Monsieur Laurent MARCOS, directeur adjoint - Monsieur Frédéric THORNER, chef du service Aménagement durable, Urbanisme, Risques - Monsieur Francis MALLET, adjoint au chef du service Aménagement durable, Urbanisme, Risques - Madame Suzanne LÉCROART, chef de l’unité Application du Droit des Sols - Madame Céline RAOULT, responsable de la cellule Fiscalité ADS à effet de signer les actes, décisions et documents de toute nature en matière de détermination de l’assiette et de liquidation : - de la taxe d’aménagement, - du versement pour sous densité, - de la redevance d’archéologie préventive. Article 2 : Délégation est en outre accordée à : - Madame Brigitte VIDVARD, instructrice fiscalité - Monsieur David GRANDIDIER, instructeur fiscalité - Madame Nathalie AMBERT, instructrice fiscalité - Madame Annick DABONVILLE, instructrice fiscalité à effet de valider la liquidation des taxes dans le logiciel ADS 2007. Article 3 : L’arrêté n° 2016/DDT/SG/022 du 20 septembre 2016 accordant délégation de signature aux agents de la DDT de Meurthe-et-Moselle est abrogé. Article 4 : Le présent arrêté prendra effet dès sa parution au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle. Nancy, le 6 avril 2017 La directrice départementale, Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER