PROCES VERBAL DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 6 NOVEMBRE 2017

Le Conseil Communautaire s’est réuni le 6 novembre 2017 à 20h30 sur convocation en date du 27 octobre 2017 signée de Jean-Louis BAUDRON, en salle « Thierry La Fronde » à Janville. Etaient présents : M. Jean-Michel GOUACHE (ALLAINES-MERVILLIERS ), M. Claude PIERRE (BAIGNEAUX ),M. Alexandre JAQUEMET () , M. Guy BILLAULT ( BAZOCHES EN DUNOIS ), M. Marcel PEIGNÉ ( BAZOCHES LES HAUTES ), M.Jean-Claude BAYARRI ( BEAUVILLIERS), M. Jean- Luc LEGRAND () , M. Dominique CROSNIER ( ), M.Bernad BOUCHER ( ), M. Philippe VOYET, M. Jean-François ROBERT, M. Marc VINCHON, Mme Michèle LEGRAND donne pouvoir à M.Philippe VOYET (EOLE EN BEAUCE ), M. Hervé HAMMON (FONTENAY SUR CONIE ), M. Francis BESNARD ( FRESNAY L’EVEQUE ), M. Xavier DORET, Mme Yolande LETORT ( GOMMERVILLE ), M. Eric COCHIN () , M. Benoît MESLAND ( ), Mme Marie-Ange BARON ( ), M. Jean-Pierre BOURRET (INTREVILLE) , M. Jean-Louis BAUDRON, Mme Inès NICOULLAUD-REIBELL, M. Christian NAOUR, M. Sébastien DAVID ( JANVILLE ), M. Denis CHEHET (LE PUISET ), M. Marc GUERRINI, Mme Véronique LHOSTE donne pouvoir à Mme Pascale FAUCONNIER, M. Patrick PARIS, Mme Pascale FAUCONNIER, M. Francis CHARTIER, M. Jacques TICOT, M. Didier ROQUET, Mme Lydia CHOUGNY, M. Philippe COSSAY donne pouvoir à M.Jacky GUEDOU, M. Alain ALLELY donne pouvoir à M.Patrick PARIS (LES VILLAGES VOVEENS ), Mme Sophie GUICHARD ( LEVESVILLE LA CHENARD ), M. Hugues ROBERT ( LOIGNY LA BATAILLE ), M. Jean-Pierre PORCHER (LOUVILLE LA CHENARD ), M.Marc LANGE ( ), M.Gérard COUTURIER (MEROUVILLE ), M.Patrick CHAPART (MOUTIERS EN BEAUCE ), M. Jacques COUTURIER (NEUVY EN BEAUCE ), M. Jacky TESSIER ( ), M. Alain DUPUIS (OINVILLE SAINT LIPHARD ), M. Gilles CROSNIER donne pouvoir à M. Roger HUDEBINE, M. Roger HUDEBINE (ORGERES EN BEAUCE ), M. Jean-Michel DUBIEF ( ), M. Jean-Paul DURAND ( ), Mme Dany BERTHEAU () , M. Olivier JORIS (PRASVILLE ), Mme Laëtitia VARET ( RECLAINVILLE ), M. Jean-Paul LACHAUME ( SANTILLY ), M. Benoît PELLEGRIN, M. Dominique BILLAULT ( ), M. Benoît CÔME (TILLAY LE PENEUX) , M. Laurent LECLERCQ, Mme Joëlle POMPON, M. Bruno GUITTARD donne pouvoir à Mme Joëlle POMPON, Mme Nathalie VALENTIN, M. François CLOUET, Mme Guillemine DELACHAUME-ECHIVARD ( ), M. Pascal JOUSSE () , M. Philippe GAUCHERON (VARIZE) , M. Jacky GUEDOU (VILLARS ), M. Philippe LIROCHON ( VILLEAU ), Mme Martine BAUVILLARD ( ).

Monsieur le Président ouvre la séance à 20h45. Il souhaite la bienvenue à la nouvelle déléguée communautaire pour la commune de Toury Mme Delachaume-Echivard. Mme Yolande LETORT est nommée secrétaire de séance.

Le compte-rendu du conseil communautaire du 2 octobre 2017 a été modifié ainsi. ATTENTION : dans le compte-rendu du 2 octobre 2017, délibération n° 2017-10- 254, la durée d’amortissement relative aux frais d’études a été ramenée à 5 ans, et non pas 40 ans comme indiqué au conseil. Les services du trésor public nous ont demandé de se conformer au texte en vigueur.

ARTICLE M49 Biens ou catégorie de biens amortis DUREE AMORT 2031 Frais d’études 5 ans

Il est adopté avec 67 voix pour.

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• Lecture des décisions du Président : Décision du Président 2017-08 Monsieur Legrand fait une remarque que dans cette décision, une phrase incohérente relative à un autre projet était présente. Le Président indique la correction a été apportée. OBJET : MUSEE DE LA GUERRE DE 1870- LOIGNY LA BATAILLE – ANIMATION Vu les compétences statutaires, Vu la délibération n°2017-01-0017 du conseil communautaire du 9 janvier 2017 relative à la délégation au Président pour les achats et les marchés de moins de 90 000 € HT, Le Président a décidé d’accepter l’indemnisation demandée par l’association des Arquebusiers de l’Est qui est venue animer les journées du patrimoine au Musée de la Guerre de 1870 à Loigny la Bataille, lors de sa réouverture, d’un montant de 337 €. Conformément aux dispositions de l’article L.5211-10 du Code Général des Collectivités Territoriales, la présente décision fera l’objet d’un compte rendu lors de la prochaine réunion du Conseil Communautaire et figurera au recueil des décisions.

Décision du Président 2017-09 OBJET : AFFAIRES SCOLAIRES- ECOLE JEAN MOULIN AUX VILLAGES VOVEENS- ACQUISITION D’UNE AUTO-LAVEUSE Vu les compétences statutaires, Vu la délibération n°2017-01-0017 du conseil communautaire du 9 janvier 2017 relative à la délégation au Président pour les achats et les marchés de moins de 90 000 € HT, Considérant qu’il est nécessaire d’acquérir une auto-laveuse pour améliorer les conditions de travail et la qualité du rendu, du personnel d’entretien affecté à l’école Jean Moulin aux Villages Vovéens, Considérant les tests effectués sur site auprès de deux fournisseurs, Le Président a décidé d’accepter l’offre de la société NILFISK pour l’acquisition d’une auto-laveuse SC 500 B Traction d’un montant de 5 964.75 € HT. Conformément aux dispositions de l’article L.5211-10 du Code Général des Collectivités Territoriales, la présente décision fera l’objet d’un compte rendu lors de la prochaine réunion du Conseil Communautaire et figurera au recueil des décisions.

• Lecture des délibérations du bureau communautaire du 23 octobre 2017

Délibération de bureau n° 2017-10-034 du 23/10/2017 - Objet : Musée de la guerre de 1870- Loigny la Bataille- avenant N°1 rénovation du musée et restauration de la chapelle commémorative Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ; Considérant que la commission MAPA a émis un avis favorable pour un avenant, dans le cadre du marché de travaux pour la rénovation du musée et la restauration de la chapelle commémorative, pour la fourniture et la pose d’une seconde verrière de doublage en façade de l’église d’un montant de 300 € HT (le montant de marché initial est de 4 068.45 € HT) avec M. Igor WOLINSKI. Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - D’approuver l’avenant proposé ci-dessus - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Délibération de bureau n° 2017-10-035 du 23/10/2017 Objet : Restauration scolaire- marché de service de fournitures de repas avec Yvelines Restauration- secteur Baudreville -avenant n°1 Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ;

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Considérant que pour la restauration scolaire de Baudreville, il a été demandé à Yvelines Restauration, titulaire du marché en cours de fourniture de repas, d’ajouter le pain avec les repas puisque le fournisseur de pain local ne fait plus pour ce site, Considérant que ce rajout induit une augmentation de 0.19 € HT par repas, ainsi le prix du repas est de 2.3928 € HT avec le pain, Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, D’approuver l’avenant proposé ci-dessus avec la société Yvelines Restauration D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Délibération de bureau n° 2017-10-035 bis du 23/10/2017 Objet : Restauration scolaire- marché de service de fournitures de repas avec API Restauration- secteur TOURY -avenant n°1 Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ; Considérant que pour la restauration scolaire sur le site Toury, le contrat doit faire l’objet d’une prolongation de 8 mois jusqu’au 31 août 2018 (ainsi la date d’échéance est commune avec d’autres secteurs pour organiser une consultation globale) avec la société API Restauration, titulaire du marché actuel. Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - D’approuver l’avenant de prolongation proposé ci-dessus avec la société API Restauration - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Délibération de bureau n° 2017-10-036 du 23/10/2017 -Objet : Environnement -Travaux du transformateur électrique à Réclainville : travaux complémentaires et convention avec la mairie Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 Considérant la délibération du bureau communautaire n°2017-06-015 du 19 juin 2017 relative à la prise en charge des travaux liés au transformateur électrique du forage à Réclainville, Considérant que des travaux supplémentaires liés au démontage du transformateur, à l’adaptation des installations électriques et au passage du consuel pour un montant de 5 753.20 € HT sont nécessaires ; Considérant qu’il est nécessaire de signer une convention avec la mairie de Réclainville qui sera maître d’ouvrage de l’opération, Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - D’approuver les travaux complémentaires d’un montant de 5 753.20 € HT - D’approuver la convention ci-dessous et la prise en charge à 50 % du reste à charge par la communauté de communes - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

CONVENTION DE REMBOURSEMENT DES TRAVAUX DU TRANSFORMATEUR ELECTRIQUE A RECLAINVILLE

Entre : La Communauté de Communes de la Beauce de Janville représentée par son Président, Monsieur Jean-Louis BAUDRON, habilité par délibération n° ……………… du bureau communautaire du ……………………….., Et : La Commune de Réclainville représentée par son Maire, Madame VARET Laëtitia habilitée par délibération du conseil municipal du

ARTICLE 1 : OBJET Le transformateur électrique privé alimentant la pompe du forage pour le château d’eau de Réclainville présente du PCB (pyralène), et qu’il est nécessaire d’effectuer des travaux pour se mettre en conformité avec la réglementation. La présente convention a donc pour but de définir les modalités de remboursement des dépenses des travaux engagés pour changer ce transformateur électrique. ARTICLE 2: REMBOURSEMENT DES FRAIS

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La Communauté de Communes Cœur de Beauce remboursera les travaux à hauteur de 50 % du reste à charge HT (subventions déduites) pour le changement du transformateur, à la commune de Réclainville. ARTICLE 3 : DUREE Cette convention est consentie et acceptée pour la durée de l’opération. ARTICLE 4 : JURIDICTION COMPETENTE CAS DE LITIGE Tous les litiges pouvant résulter de l’application de la présente convention relèvent de la compétence du Tribunal Administratif d’Orléans.

Délibération de bureau n° 2017-10-037 du 23/10/2017-Objet : Environnement - convention de remboursement de l’électricité avec la mairie des Villages Vovéens pour le forage au niveau du château d’eau Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ; Considérant que le forage à Voves est utilisé ponctuellement pour l’alimentation de Voves, faute de débit suffisant sur les forages d’interconnexion de Moutiers. Considérant que la commune de Voves demande le remboursement de l’électricité suite à l’utilisation du forage dans le cadre de l’interconnexion, il est proposé une convention ci-dessous,

CONVENTION DE REMBOURSEMENT D’ELECTRICITE A LA COMMUNE DE VOVES POUR LE FORAGE D’EAU POTABLE « DE SECOURS » SITUE A VOVES

Entre : La Communauté de Communes Cœur de Beauce représentée par son Président, Monsieur Jean-Louis BAUDRON, habilité par délibération n° ……………… du conseil communautaire du ……………………….., ci-après désignée, la Communauté de Communes Cœur de Beauce,

Et : La Commune « Les Villages Vovéens » représentée par son Maire, Monsieur Marc GUERRINI, habilité par délibération du conseil municipal du

Il a été convenu ce qui suit

ARTICLE 1 : OBJET Le forage d’eau potable situé à Voves est utilisé en cas de secours pour l’alimentation de la commune de Voves. Ce forage est communautaire, toutefois l’installation électrique est commune avec le château d’eau. Aucun système particulier de sous comptage n’a été mis en place et la Commune « Les Villages Vovéens » supporte donc l’intégralité des coûts d’électricité. La présente convention a donc pour but de définir les modalités de remboursement des dépenses d’électricité liées au fonctionnement du forage d’eau potable, en cas de secours. ARTICLE 2: REMBOURSEMENT DES FRAIS La communauté de communes Cœur de Beauce remboursera les frais d’électricité supportés par la commune « Les Villages Vovéens » sur présentation d’un état récapitulatif des factures des fournisseurs au prorata des périodes d’utilisation de ce forage de secours. ARTICLE 3 : DUREE Cette convention est consentie et acceptée pour une durée illimitée. Elle peut toutefois être dénoncée par l’une ou l’autre des parties tout en respectant un préavis de trois mois. ARTICLE 4 : JURIDICTION COMPETENTE CAS DE LITIGE Tous les litiges pouvant résulter de l’application de la présente convention relèvent de la compétence du Tribunal Administratif d’Orléans. Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - D’approuver la convention de remboursement de l’électricité pour l’utilisation du forage avec la commune des Villages Vovéens (cf pièce jointe). - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

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Délibération de bureau n° 2017-10-038 du 23/10/2017-Objet : Ressources Humaines- contrat d’adhésion avec l’URSSAF Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ; Considérant qu’il est nécessaire de conventionner avec l’URSSAF pour la nouvelle collectivité avec une adhésion rétroactive au 1 er janvier 2017, sans période de carence, sachant que la collectivité est d’ores et déjà à jour des cotisations Décide avec 15 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - D’accepter le contrat d’adhésion avec l’URSSAF aux conditions indiquées ci-dessus - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Délibération de bureau n° 2017-10-039 du 23/10/2017-Objet : Musée de la Guerre de 1870- Loigny la Bataille- remboursement d’un achat à Monsieur Hugues Robert Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 ; Considérant que Monsieur le Maire de Loigny, Hugues Robert a payé sur ses deniers personnels un barillet pour le portail du jardin du musée pour un montant de 146.03 € TTC, au vu de l’urgence de sécuriser les abords du musée, Décide avec 14 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - De rembourser Monsieur Hugues Robert de la somme de 146.03 € TTC pour l’achat d’un barillet pour le portail du jardin du musée. - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Délibération de bureau n° 2017-10-040 du 23/10/2017-Objet : Affaires scolaires/ Restauration scolaire : travaux sur des bâtiments- site de Prasville Le Bureau Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1 er janvier 2017 Considérant que la commune de Prasville a sollicité la communauté de communes pour une prise en charge des travaux de remise en état de la toiture de l’école (utilisée jusqu’en juillet 2017 par la communauté de communes), et également du remplacement du chauffe-eau de la salle de fêtes (utilisée comme cantine scolaire les jours de classe par la communauté de communes), Décide avec 14 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention, - De prendre en charge à hauteur de 50 % les deux devis présentés o pour la toiture de l’école (montant des travaux à 6 373.29 € HT) o pour le remplacement du chauffe-eau de la salle des fêtes (montant des travaux à 1 167.11 € HT) - De verser ces 50 % de prise en charge à la mairie de Prasville, maître d’ouvrage des travaux - D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

Mme Valentin demande pourquoi les dernières décisions du bureau sont votées avec une voix de moins ? Le Président précise que Monsieur Dubief, membre du bureau, avait quitté prématurément la séance, ce qui explique la voix manquante (14 au lieu de 15).

1/Affaires générales :

• Délibération n° 2017-11-288 : Réhabilitation de la Maison de Service au Public à Voves : mission d’architecte Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce »,

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Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017 ; Considérant que les services de la communauté de communes sont tous réunis au 4 rue Texier Gallas aux Villages Vovéens, formant un seul site depuis l’été 2017. ; Considérant qu’une aile de ce bâtiment avait été réhabilitée excepté les fenêtres il y a quelques années pour accueillir le Pays de Beauce et les services de permanence, et l’autre aile est restée tel que (chambres avec sanitaires..) ; Considérant que par ailleurs, à l’étage, se situe deux pièces qui pourraient être transformées en petit studio pour loger du personnels saisonniers ou stagiaires..., Considérant l’estimatif de travaux à 116 250 € HT effectué par Mme Claire Antoine du cabinet Archigone comprenant le changement de toutes les menuiseries dans les deux ailes, l’aile à réhabiliter isolation des murs, électricité, sols, et à l’étage création des deux studios.., Considérant qu’elle a rédigé une proposition d’honoraires à 10 % du montant de travaux, Décide avec 66 voix pour, 0 voix contre et 1 abstention De missionner le cabinet Archigone pour la réhabilitation de la Maison de Service au Public aux Villages Vovéens avec des honoraires à 10 % du montant de l’enveloppe de travaux HT d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

• Valorisation des Certificats d’Economie d’Energie dans le cadre du Territoire à Energie Positive pour la Croissance Verte (TEPCV)- Dans la continuité des actions initiées par le Syndicat du Pays de Beauce, lauréat TEPCV, pour réduire la consommation d’énergie dans les bâtiments publics, la Communauté de Communes Cœur de Beauce a signé une convention de partenariat avec la société PME (Penser Mieux l’Energie) afin de valoriser au mieux les certificats d’économie d’énergie (CEE). Les communes sont éligibles à ce dispositif de valorisation des CEE dès lors qu’elles présentent avant le 31/12/2017 des projets de travaux compris dans les thèmes affichés ci-dessous, et que ceux-ci soient réalisés, facturés et payés avant le 31/12/2018 : Rénovation de l’éclairage public - Isolation ou changement de chauffage pour les bâtiments publics (chaudières, isolation des murs ou des toits terrasses, menuiseries telles que fenêtres ou portes fenêtre (soumis à conditions particulières pour les fenêtres : pas éligible dans les logements communaux) ; - Isolation ou changement de chauffage pour les logements résidentiels individuels ; - Raccordement d’un bâtiment public ou d’un bâtiment résidentiel à un réseau de chaleur. La valorisation des CEE est intégralement prise en charge par PME à 100%.

Exemples concrets : 1 commune réalise des travaux d’isolation et change toutes les menuiseries. Coût des travaux : 32 000 € HT CEE reversés par PME directement à la commune = 32 000 €

1 commune remplace une chaudière fuel par une chaudière haute performance énergétique. Coût des travaux : 5 906 € HT CEE reversés par PME = 5 906 € Le territoire Cœur de Beauce peut prétendre à un financement jusqu’à 975 000 € HT ce qui équivaut à présenter pour 975 000 € de devis éligibles (répondant aux critères).

Marche à suivre : Adresser le plus vite possible les devis par mail à Stéphanie COEURJOLY : [email protected] qui les enverra à PME pour expertise. NB : Les dépenses éligibles peuvent être prises en rétroactivité à compter de la date de la signature de la convention TEPCV soit le 20/03/2017 (sous réserve que le projet respecte les critères techniques obligatoires) : donc même si les travaux sont déjà réalisés et qu’ils répondent aux critères, ils sont éligibles. Date butoir pour faire remonter tous les devis 31/12/2017. Passé cette date, nous ne pourrons plus valoriser les travaux présentés. 6

Date butoir pour avoir terminé et payé les travaux : 31/12/2018.

2/ Finances • Délibération n° 2017-11-289: Demande de dégrèvement de la taxe foncière non bâti pour les jeunes agriculteurs pendant les premières années d’installation Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Vu l’article 1647-00 bis du Code Général des Impôts permettant le dégrèvement de la Taxe foncière Non bâti sur un maximum de 5 ans en faveur des jeunes agriculteurs, Considérant la demande des jeunes agriculteurs d’Eure et Loir pour bénéficier de cette exonération, reçue le 8 septembre 2017, Décide avec 55 voix pour, 8 voix contre et 4 abstentions D’exonérer sur une période de deux ans les jeunes agriculteurs de la taxe foncière non bâti Que cette exonération sera applicable à compter du 1 er janvier 2019

NB : Les décisions d’exonération doivent être prises avant le 30 septembre de l’année, pour être applicable au 1 er janvier de l’année suivante Monsieur Doret demande si cette exonération est également appliquée sur la taxe foncière non bâti (part communale). Le Président a indiqué que cette exonération s’applique uniquement sur la part communautaire. Monsieur Gouache demande pourquoi une exonération de 2 ans alors que les textes permettent 5 ans. Le Président répond que cette exonération court jusqu’à la fin de la mandature.

3/ Marchés Publics : • Interconnexion/ environnement : o Délibération n° 2017-11-290 : Tranche 4 d’interconnexion-secteur d’Orgères-en-Beauce: attribution du marché de travaux Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant qu’un marché de travaux a été mis en consultation en décembre 2015 et n’a pas fait l’objet d’une délibération d’attribution car la collectivité était en expertise judiciaire dans le cadre de la tranche 3 pour les forages de Pruneville, Considérant que les entreprises du groupement dont le mandataire est EXEAU TP (avec deux co –traitants de les entreprises CISE TP et Marteau) maintiennent leur offre initiale soit 942 036 € HT,

Décide avec 66 voix pour, 0 voix contre et 1 abstention D’attribuer le marché de travaux de la tranche 4 d’interconnexion- secteur Orgères à l’entreprise du groupement dont le mandataire est EXEAU TP (avec deux co –traitants des entreprises CISE TP et Marteau) à un montant de 942 036 € HT d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires Le Président a précisé avoir fait parvenir l’acte d’acquisition des lieux de forages qui remontent à 2012.

o Délibération n° 2017- 11-291 : Attribution du marché de travaux pour la création des forages à Toury. Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant l’analyse des offres réalisées par la commission MAPA le 19 et le 30 octobre 2017 pour la création de deux forages à Toury, Décide avec 66 voix pour, 0 voix contre et 1 abstention 7

D’attribuer le marché de travaux à l’entreprise CISSE pour un montant de 292 747,94 € HT (solution INOX) D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires Monsieur Gouache demande si avec ce coût de travaux, le forage est équipé ? Le président indique que ce coût comprend le rebouchage des 2 forages d’essai et la création de 2 nouveaux forages avec un tubage en INOX. L’équipement des forages (pompes) est prévu dans le cadre du marché de travaux de la tranche 3. Cette phase vient de démarrer.

o Délibération n° 2017-11-292- Scolaire : Attribution du marché informatique portant sur : o L’achat de 15 ordinateurs portables o L’achat de 5 valises mobiles comprenant 12 tablettes chacune o L’achat de 8 vidéoprojecteurs interactifs EPSON EB 585 (ou équivalents) La commission MAPA a ouvert les plis le 28 septembre 2017. Les offres sont en cours d’analyse, elles sont nombreuses et diverses sur chaque lot. La commission MAPA finalisera son analyse le 30 octobre 2017.

Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant que l’analyse de la commission MAPA du 28 septembre et du 30 octobre 2017, Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstentions D’attribuer le marché de fournitures informatiques o à l’entreprise OGD pour un montant de 6 600 € HT pour l’achat de 15 ordinateurs portables ; o à l’entreprise TIC pour un montant de 17 420 € HT pour l’achat de 5 valises mobiles comprenant 12 tablettes chacune ; o à l’entreprise SIGNAL.FR pour un montant de 13 720 € HT pour l’achat de 8 vidéoprojecteurs interactifs EPSON EB 585 (ou équivalents) d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires .

4/ Ressources humaines :

• Délibération n° 2017-11-293 Création d’un poste à 24/35 ème d’adjoint administratif pour l’agence postale à Baudreville Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017 ; Considérant que le poste d’agent d’accueil à l’agence postale est un poste aidé de type CUI / CAE, qui arrive à son terme (deux ans) le 29 novembre 2017, Il a été proposé à l’agent un CDD d’un an avec un temps de travail en 24/35 ème sur un poste d’adjoint administratif Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstentions De créer un poste d’adjoint administratif à raison de 24/35 ème hebdomadaires à compter du 30 novembre 2017 d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires Question :

• Délibération n° 2017-11-294 : Suppression / création des postes de professeurs pour l’école de musique Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017,

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Considérant l’avis favorable du comité technique du 23 octobre 2017 relatif à la modification/ suppression- création de postes suivants,

Modification de la durée hebdomadaire de service (emplois permanents)

Grade actuel Suppression Création Date Assistant d’enseignement artistique principal 2 ème classe 15/20 18.25/20 01/12/2017 Titulaire Assistant d’enseignement artistique principal 2 ème classe 11/20 18.75/20 01/01/2018

Création de postes (emplois permanents)

Grade actuel Suppression Nouveau grade Création Date Assistant Assistant d’enseignement 3.75/20 d’enseignement 6.75/20 01/01/2018 artistique artistique principal 2ème classe

Assistant Assistant d’enseignement 13.50/20 d’enseignement 13.5/20 01/01/2018 artistique artistique principal 2ème classe

Assistant Assistant d’enseignement 17.75/20 d’enseignement 20/20 01/01/2018 artistique artistique principal 2ème classe

Assistant Assistant d’enseignement 12/20 d’enseignement 12/20 01/01/2018 artistique principal 2 ème artistique principal classe 2ème classe

Assistant Assistant d’enseignement 14.50/20 d’enseignement 14.5/20 01/01/2018 artistique artistique principal 2ème classe

Assistant Assistant d’enseignement 5.25/20 d’enseignement 5.25/20 01/01/2018 artistique artistique principal 2ème classe

Assistant d’enseignement 4.75/20 Assistant 8.25/20 01/01/2018 artistique d’enseignement artistique principal 2ème classe

Décide avec 65 voix pour, 1 voix contre et 1 abstention De modifier/ supprimer- créer les postes tels qu’indiqués ci-dessus pour l’école de musique intercommunale d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

9

• Délibération n° 2017-11-295 Indemnité des professeurs de l’école de musique en activité accessoire Pour mémoire : délibération du 2 octobre 2017 o un emploi non permanent, à titre d’activité accessoire, à raison de 1h par semaine (1/20 ème ) du 1 er novembre 2017 au 31 octobre 2018 pour dispenser des cours de tuba/trombone. o un emploi non permanent, à titre d’activité accessoire, à raison de 8h30 (8.5/20 ème ) par semaine du 1er novembre 2017 au 31 octobre 2018 pour dispenser des cours de harpe et faire de l’accompagnement au piano. o un emploi non permanent, à titre d’activité accessoire, destiné à assurer la coordination de l’Ecole de musique ainsi qu’un cours d’éveil musical, à raison de 5h25 (5,25/20 ème ) par semaine, du 1 er novembre 2017 au 31 octobre 2018.

Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant qu’il est nécessaire de délibérer pour fixer le niveau de rémunération des professeurs de l’école de musique en activité accessoire Décide avec 59 voix pour, 3 voix contre et 5 abstentions De rémunérer o L’emploi non permanent, à titre d’activité accessoire, destiné à assurer la coordination de l’Ecole de musique ainsi qu’un cours d’éveil musical, à raison de 5h25 (5,25/20ème) par semaine à hauteur d’une indemnité forfaitaire brute mensuelle de 341.25 € (65 € brut de l’heure mensuelle) o les deux emplois non permanents, à titre d’activité accessoire,  à raison de 1h par semaine (1/20ème) pour dispenser des cours de tuba/trombone. un emploi non permanent, à titre d’activité accessoire,  à raison de 8h30 (8.5/20ème) par semaine du 1er novembre 2017 au 31 octobre 2018 pour dispenser des cours de harpe et faire de l’accompagnement au piano. à hauteur d’une indemnité forfaitaire brute mensuelle de 850 € ( 100 € brut de l’heure mensuelle) d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires A la demande de Monsieur Pellegrin, la rédaction de la délibération a été modifiée pour apporter une clarification sur la rémunération qui n’est pas de 100 € de l’heure * 8 h 30 par semaine, mais 100 € de l’heure pour 8 H 30 sur le mois soit une rémunération brute mensuelle de 850 € et (non pas 850 € par semaine).

• Délibération n° 2017-11-296 : Convention de mise à disposition d’un agent de la commune de Toury au service restauration scolaire- Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant le transfert de la compétence de « restauration scolaire » de la Commune de Toury à l’EPCI précité à compter du 1er septembre 2017, Considérant l’avis préalable de la Commission Administrative Paritaire de catégorie C du 28 septembre 2017, Considérant que Madame Sylvie FILLON exerce partiellement ses fonctions dans un service concerné par le transfert de la compétence « restauration scolaire » à la CCCB ; que ces derniers ayant refusé le transfert n’ont donc pas fait l’objet d’un transfert à l’EPCI, Considérant qu’il résulte des dispositions du CGCT, qu’à défaut de transfert à l’EPCI, les agents ainsi concernés sont mis à disposition de l’EPCI, de plein droit, pour la partie des fonctions qu’ils exercent dans la compétence transférée, et sans limitation de durée.

Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention D’accepter la convention de mise à disposition individuelle de Madame Sylvie Fillon, adjoint administratif principal de 2 ème classe à raison de 21 heures par semaine pour une mission de facturation de la restauration scolaire (cf document ci-dessous pour les modalités). 10

D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

CONVENTION TYPE DE MISE A DISPOSITION INDIVIDUELLE D’UN AGENT EXERCANT UNE PARTIE DE SES MISSIONS DANS LE CADRE D’UNE COMPETENCE TRANSFEREE ENTRE UN ETABLISSEMENT PUBLIC DE COOPÉRATION INTERCOMMUNALE ET UNE COMMUNE MEMBRE

Sur le fondement de l'article L. 5211-4-1 I du Code général des collectivités territoriales (CGCT) Sur le fondement de l’article 61 loi du 26 janvier 1984

DE Madame Sylvie FILLON GRADE : Adjoint administratif principal de 2 ème classe

Entre la Communauté de Communes Cœur de Beauce (CCCB) – Z.A. de l’Ermitage – 1 rue du Docteur Lebel – 28310 JANVILLE - représentée par le Président M. Jean-Louis BAUDRON, autorisé par la délibération du conseil communautaire du …………………., à contracter cette présente convention, d'une part, La Commune de Toury – Mairie – 5 Place Suger – 28310 TOURY représentée par le Maire M. Laurent LECLERCQ, autorisé par la délibération n° 2017-051 du 6 juillet 2017 du conseil municipal à contracter cette présente convention, d'autre part, Vu la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 166-1, codifie à l'article L. 5211-4-1 I du Code général des collectivités territoriales (CGCT); Vu la loi n°84-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale, et notamment son article 61, Vu le décret n° 2008-580 du 18 juin 2008 relatif au régime de la mise à disposition applicable aux collectivités territoriales et aux établissements publics administratifs locaux, Vu le transfert de la compétence de « restauration scolaire » de la Commune de Toury à l’EPCI précité à compter du 1er septembre 2017, Vu l’avis préalable de la Commission Administrative Paritaire de catégorie C du 28 septembre 2017, Considérant que Madame Sylvie FILLON exerce partiellement ses fonctions dans un service concerné par le transfert de la compétence « restauration scolaire » à la CCCB ; que ces derniers ayant refusé le transfert n’ont donc pas fait l’objet d’un transfert à l’EPCI, Considérant qu’il résulte des dispositions du CGCT, qu’à défaut de transfert à l’EPCI, les agents ainsi concernés sont mis à disposition de l’EPCI, de plein droit, pour la partie des fonctions qu’ils exercent dans la compétence transférée, et sans limitation de durée.

Il est convenu ce qui suit :

PREAMBULE Avec la création de la Communauté de Communes Cœur de Beauce au 1 er janvier 2017, issue de la fusion des trois anciennes Communautés de Communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne, il y a lieu d’harmoniser les compétences à l’échelle du nouveau territoire. Considérant qu’au 1 er janvier 2017, seules les communes du secteur de Janville - dont les communes du regroupement pédagogique Toury, Barmainville, Poinville, Oinville-Saint-Liphard et Santilly -, n’avaient pas transféré la compétence « restauration scolaire » au niveau de la communauté de communes, les élus communautaires ont souhaité mettre en place, dès la rentrée scolaire 2017/2018, un schéma de fonctionnement homogène sur le territoire Cœur de Beauce, Considérant que juridiquement, le transfert de compétences emporte transfert de personnels,

ARTICLE 1 : Objet et durée de la mise à disposition : Depuis le 1 er septembre 2017, la Commune de Toury met Madame Sylvie FILLON, en qualité d’assistante administrative chargée notamment des « affaires scolaires », au grade d’adjoint administratif principal de 2 ème classe, à disposition de plein droit et sans limitation de durée , au profit de la Communauté de Communes Cœur de Beauce dont elle est membre, pour l’exercice des missions qu’il assure en partie pour le service concerné par le transfert de compétence en matière de restauration scolaire . Cette mise à disposition à titre individuelle prendra fin à la date de départ théorique de départ à la retraite de Madame Sylvie FILLON, à savoir le 1 er février 2018.

ARTICLE 2 : Conditions d’emploi : Le travail de Madame Sylvie FILLON est organisé par l’EPCI dans les conditions suivantes : du lundi au vendredi, de 8 h 15 à 12 h 30, soit sur la base de 21 heures hebdomadaires . L’agent demeure statutairement employé et rémunéré par la commune de Toury , dans les conditions de statut et d’emploi qui sont les siennes. 11

La commune de Toury gère sa situation administrative (avancement, discipline….) , en application des dispositions du décret n° 2008-580 du 18 juin 2008 relatif au régime de la mise à disposition applicable aux collectivités territoriales et aux établissements publics administratifs locaux. Il effectue son service, pour le compte de l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition, selon les quotités et les modalités prévues par la présente convention.

Cependant, pour l’agent mis à disposition pour une durée supérieure à un mi-temps, l’EPCI prendra les décisions relatives aux congés annuels et aux congés de maladie ordinaire ( à l’exclusion des congés prévus aux 3° à 11° de l'article 57 et à l'article 60 sexies de la loi du 26 janvier 1984 à savoir CLM et CLD, congés formation, mi-temps thérapeutique, maternité, présence parentale, et des décisions relatives au temps partiel ou d’aménagement de la durée de travail et au droit individuel à la formation), et en informe la commune. Cependant, en cas de pluralité des collectivités d'accueil, la commune prendra les décisions relatives aux congés précités après accord des organismes d'accueil. En cas de désaccord de ces administrations, la commune fera sienne la décision de la collectivité d'accueil qui emploie le plus longtemps le fonctionnaire en cause. Si deux ou plusieurs collectivités d'accueil emploient ledit fonctionnaire pour une durée identique, la décision de la commune s'impose aux organismes d'accueil. L’EPCI assure les dépenses occasionnées par les formations réalisées par l’agent à la demande de cette collectivité. L'autorité de la commune ayant pouvoir de nomination exerce le pouvoir disciplinaire Elle peut être saisie par l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition.

ARTICLE 3 : Rémunération de l’agent: L'agent mis à disposition continue à percevoir la rémunération correspondant à son grade ou à l'emploi qu'il occupe dans sa collectivité d'origine. Versement : la commune versera à l’agent, la rémunération correspondant à son grade d’origine (traitement de base, supplément familial, indemnités et primes liées à l’emploi) .

ARTICLE 4 : Remboursement de la mise à disposition: Remboursement : l’EPCI remboursera à la commune le montant de la rémunération et des charges sociales de Madame Sylvie FILLON au prorata du temps de la mise à disposition de l’agent. D’un commun accord entre les parties, l’EPCI remboursera également : - la rémunération versée en cas de congé maladie ou accident de service - la rémunération versée en cas de congé de formation Au prorata du temps de la mise à disposition.

ARTICLE 5 : Contrôle et évaluation de l’activité : Un compte-rendu d’évaluation annuel sur la manière de servir de l’agent sera établi suite à un entretien individuel par Monsieur Gilles SMAGUE, une fois par an et transmis à la commune, qui en établira un également. En cas de faute disciplinaire, la commune est saisie par l’EPCI.

ARTICLE 6 : Fin de la mise à disposition : La mise à disposition de l’agent visé en article 1 peut prendre fin : • avant le terme fixé à l’article 1 de la présente convention, ou de la commune ou de l’EPCI, sous réserve du respect d’un délai de préavis de 2 mois. • de plein droit lorsqu’un emploi budgétaire correspondant aux fonctions exercées par l’intéressée est créé ou devient vacant dans l’EPCI,

Si à la fin de sa mise à disposition Madame FILLON ne peut être affectée par la commune dans les fonctions qu’elle exerçait avant sa mise à disposition, elle sera affectée dans des fonctions d’un niveau hiérarchique comparable, après avis de la Commission Administrative Paritaire (pour les agents titulaires).

ARTICLE 7 : Contentieux : Tous les litiges pouvant résulter de l’application de la présente convention relèvent de la compétence du Tribunal Administratif d’ORLEANS.

ARTICLE 8 : Modification de la convention Par voie d’avenant, la présente convention pourra être modifiée, après avis de la CAP.

Ampliation adressée au Président du Centre de Gestion et au comptable de chaque partie.

• Délibération n° 2017-11-297 Convention de mise à disposition d’un agent de la commune de Janville au service restauration scolaire Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, 12

Considérant le transfert de la compétence de « restauration scolaire » de la Commune de Janville à l’EPCI précité à compter du 1er septembre 2017, Considérant l’avis préalable de la Commission Administrative Paritaire de catégorie C du 23 novembre 2017, Considérant que Madame Isabelle MOREAU exerce partiellement ses fonctions dans un service concerné par le transfert de la compétence « restauration scolaire » à la CCCB ; que ces derniers ayant refusé le transfert n’ont donc pas fait l’objet d’un transfert à l’EPCI, Considérant qu’il résulte des dispositions du CGCT, qu’à défaut de transfert à l’EPCI, les agents ainsi concernés sont mis à disposition de l’EPCI, de plein droit, pour la partie des fonctions qu’ils exercent dans la compétence transférée, et sans limitation de durée. Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention D’accepter la convention de mise à disposition individuelle de Madame Isabelle MOREAU, adjoint technique principal de 2 ème classe à raison de 8 heures par semaine pour une mission de préparation/nettoyage à la restauration scolaire (cf document ci-dessous pour les modalités). d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION INDIVIDUELLE D’UN AGENT EXERCANT UNE PARTIE DE SES MISSIONS DANS LE CADRE D’UNE COMPETENCE TRANSFEREE ENTRE UN ETABLISSEMENT PUBLIC DE COOPÉRATION INTERCOMMUNALE ET UNE COMMUNE MEMBRE Sur le fondement de l'article L. 5211-4-1 I du Code général des collectivités territoriales (CGCT) Sur le fondement de l’article 61 loi du 26 janvier 1984

de Madame Isabelle MOREAU Adjoint technique principal de 2 ème classe Entre la Communauté de Communes Cœur de Beauce, représentée par ……………., dûment habilité par délibération du Conseil communautaire en date du ……………à contracter la présente convention, d'une part, et La Commune de Janville, représentée par le Maire Monsieur Jean-Louis BAUDRON, dûment habilité par délibération du Conseil municipal en date du …………..à contracter cette présente convention, d'autre part, Vu la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 166-1, codifie à l'article L. 5211-4-1 I du Code général des collectivités territoriales (CGCT); Vu la loi n°84-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale, et notamment son article 61, Vu le décret n° 2008-580 du 18 juin 2008 relatif au régime de la mise à disposition applicable aux collectivités territoriales et aux établissements publics administratifs locaux, Vu l’arrêté préfectoral n° DRCL-BICCL-2016343-003 du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes Cœur de Beauce par fusion entre la Communauté de Communes de la Beauce de Janville, la Communauté de Communes de la Beauce d’Orgères et la Communauté de Communes de la Beauce Vovéenne à compter du 1er janvier 2017, Vu le transfert de la compétence de « restauration scolaire » de la Commune de Janville à la Communauté de Communes Cœur de Beauce à compter du 1 er septembre 2017, Vu l’avis préalable de la CAP de la commune en date du………………. Considérant que Madame Isabelle MOREAU exerce partiellement ses fonctions dans un service concerné par le transfert de la compétence « restaurant scolaire » à la CCCB ; que cette dernière ayant refusé le transfert n’a donc pas fait l’objet d’un transfert à l’EPCI, Considérant qu’il résulte des dispositions du CGCT, qu’à défaut de transfert à l’EPCI, les agents ainsi concernés sont mis à disposition de l’EPCI, de plein droit, pour la partie des fonctions qu’ils exercent dans la compétence transférée, et sans limitation de durée.

Il est convenu ce qui suit :

PREAMBULE Avec la création de la Communauté de Communes Cœur de Beauce au 1 er janvier 2017, issue de la fusion des trois anciennes Communautés de Communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne, il y a lieu d’harmoniser les compétences à l’échelle du nouveau territoire. Considérant qu’au 1 er janvier 2017, seules les Communes du secteur de Janville n’avaient pas transféré la compétence « restauration scolaire » au niveau de la Communauté de Communes, les élus communautaires ont

13 souhaité mettre en place, dès la rentrée scolaire 2017/2018, un schéma de fonctionnement homogène sur le territoire Cœur de Beauce, Considérant que juridiquement, le transfert de compétences emporte transfert de personnels, ARTICLE 1 : Objet et durée de la mise à disposition : Depuis le 1 er septembre 2017, la Commune de Janville met Madame Isabelle MOREAU, en qualité de d’agent de restauration scolaire au grade d’adjoint technique principal de 2 ème classe, à disposition de plein droit et sans limitation de durée , au profit de la Communauté de Communes Cœur de Beauce dont elle est membre, pour l’exercice des missions qu’il assure en partie pour le service concerné par le transfert de compétence en matière de restaurant scolaire.

ARTICLE 2 : Conditions d’emploi : Le travail de Madame Isabelle MOREAU est organisé par l’EPCI dans les conditions suivantes : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 11 h à 12 h et de 13 h 30 à 14 h 30, soit 8 heures par semaine (mise en place de la salle de restauration, nettoyage) . L’agent demeure statutairement employé et rémunéré par la Commune de Janville dans les conditions de statut et d’emploi qui sont les sienne. La Commune de Janville gère sa situation administrative (avancement, discipline….) , en application des dispositions du décret n° 2008-580 du 18 juin 2008 relatif au régime de la mise à disposition applicable aux collectivités territoriales et aux établissements publics administratifs locaux. Il effectue son service, pour le compte de l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition, selon les quotités et les modalités prévues par la présente convention.

Cependant, pour l’agent mis à disposition pour une durée supérieure à un mi-temps, l’EPCI prendra les décisions relatives aux congés annuels et aux congés de maladie ordinaire ( à l’exclusion des congés prévus aux 3° à 11° de l'article 57 et à l'article 60 sexies de la loi du 26 janvier 1984 à savoir CLM et CLD, congés formation, mi-temps thérapeutique, maternité, présence parentale, et des décisions relatives au temps partiel ou d’aménagement de la durée de travail et au droit individuel à la formation), et en informe la Commune. Cependant, en cas de pluralité des collectivités d'accueil, la Commune prendra les décisions relatives aux congés précités après accord des organismes d'accueil. En cas de désaccord de ces administrations, la Commune fera sienne la décision de la collectivité d'accueil qui emploie le plus longtemps le fonctionnaire en cause. Si deux ou plusieurs collectivités d'accueil emploient ledit fonctionnaire pour une durée identique, la décision de la Commune s'impose aux organismes d'accueil. L’EPCI assure les dépenses occasionnées par les formations réalisées par l’agent à la demande de cette collectivité. L'autorité de la Commune ayant pouvoir de nomination exerce le pouvoir disciplinaire Elle peut être saisie par l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition.

ARTICLE 3 : Rémunération de l’agent: L'agent mis à disposition continue à percevoir la rémunération correspondant à son grade ou à l'emploi qu'il occupe dans sa collectivité d'origine. Versement : la Commune versera à l’agent, la rémunération correspondant à son grade d’origine (traitement de base, supplément familial, indemnités et primes liées à l’emploi) .

ARTICLE 4 : Remboursement de la mise à disposition: Remboursement : l’EPCI remboursera à la Commune le montant de la rémunération et des charges sociales de Madame Isabelle MOREAU au prorata du temps de la mise à disposition de l’agent.

ARTICLE 5 : Contrôle et évaluation de l’activité : Un compte-rendu d’évaluation annuel sur la manière de servir de l’agent sera établi suite à un entretien individuel par son supérieur hiérarchique dans la collectivité d’accueil une fois par an et transmis à la Commune, qui en établira un également. En cas de faute disciplinaire, la Commune est saisie par l’EPCI.

ARTICLE 6 : Fin de la mise à disposition : La mise à disposition de l’agent visé en article 1 peut prendre fin : • avant le terme fixé à l’article 1 de la présente convention, ou de la Commune ou de l’EPCI, sous réserve du respect d’un délai de préavis de 2 mois. • de plein droit lorsqu’un emploi budgétaire correspondant aux fonctions exercées par l’intéressée est créé ou devient vacant dans l’EPCI,

Si à la fin de sa mise à disposition Madame Isabelle MOREAU, ne peut être affectée par la Commune dans les fonctions qu’elle exerçait avant sa mise à disposition, elle sera affectée dans des fonctions d’un niveau hiérarchique comparable, après avis de la Commission Administrative Paritaire (pour les agents titulaires).

ARTICLE 7 : Contentieux : Tous les litiges pouvant résulter de l’application de la présente convention relèvent de la compétence du Tribunal Administratif d’ORLEANS. 14

ARTICLE 8 : Modification de la convention Par voie d’avenant, la présente convention pourra être modifiée, après avis de la CAP. Ampliation adressée au Président du Centre de Gestion et au comptable de chaque partie.

• Délibération n° 2017-11-298 : Conventions de mise à disposition de service avec les communes de Bazoches en Dunois et de Nottonville Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant que les communes de Bazoches en Dunois et de Nottonville mettent à disposition un agent pour effectuer des travaux dans les écoles du secteur,

Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention D’accepter les conventions de mise à disposition de services avec la mairie de Bazoches en Dunois et de Nottonville (cf documents ci-dessous pour les modalités). d’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

**** CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DE SERVICES ENTRE La commune de BAZOCHES-EN-DUNOIS , représentée par le Maire,…………………, dûment habilité par délibération du Conseil municipal en date du ………………………à signer la présente convention, d'une part, ET La communauté de communes Cœur de Beauce , bénéficiaire, représentée par le Président, Monsieur Jean-Louis BAUDRON, dûment habilité par délibération du Conseil communautaire en date du………………, à signer la présente convention, d'’autre part. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Vu l’arrêté préfectoral n° DRCL-BICCL-2016343-003 du 8 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Cœur de Beauce par fusion entre la communauté de communes de la Beauce de Janville, la communauté de communes de la Beauce d’Orgères et la communauté de communes de la Beauce Vovéenne à compter du 1 er janvier 2017,

Vu la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 166-1, codifie à l'article L. 5211-4-1 du Code général des collectivités territoriales, Vu le décret n°2011-515 du 10 mai 2011 relatif au calcul des modalités de remboursement des frais de fonctionnement des services mis à disposition dans le cadre de l'article L. 5211-4-1 du code général des collectivités territoriales et insérant un article D 5211-16 au CGCT ; Vu le transfert partiel de la compétence de la commune vers l’EPCI, pour lequel il a été convenu de la conservation par la commune du service technique exerçant ses missions dans le cadre de la compétence transférée, Vu l’avis du Comité technique de l’EPCI en date du 23 octobre 2017 Vu l’avis du Comité technique de la commune en date du…… Considérant que dans l’intérêt d’une bonne organisation des services de la commune et de la communauté de communes Cœur de Beauce, il y a lieu de mettre à disposition de l’EPCI les services de la commune pour lui permettre d’exercer les missions dont la compétence lui a été transférée. II est convenu ce qui suit : Article 1 er Objet de la convention La présente convention a pour objet, conformément à l’article L 5211-4-1 II du CGCT, et dans un souci de bonne organisation des services, de préciser les conditions et les modalités de mise à disposition d’une partie des services de la commune au profit de l’EPCI dont elle est membre, pour l’exercice de la compétence 15

« SCOLAIRE » ou pour la réalisation de missions ou d'opération se rattachant à l’une des compétences transférées figurant dans ses statuts ou bien les délibérations relatives à l’intérêt communautaire.

A cet effet, en application de l’article L 5211-4-1 II du CGCT précité, dans le cadre de cette mise à disposition, le président de l’EPCI adresse directement au chef de service toutes instructions nécessaires à l’exécution des tâches qu'il lui confie. Il contrôle l'exécution de ces tâches. Il peut, sous sa surveillance et sa responsabilité, lui donner délégation de signature pour l'exécution des tâches qu'il lui confie, en application de l'alinéa précédent. Article 2 Services mis à disposition de la commune Par accord entre les parties, le service fait l'objet d'une mise à disposition de plein droit dans les conditions suivantes :

AFFECTE AUX TÂCHES Temps SUIVANTES complet, Cadre SERVICES Qualité à temps Catégorie d’emplois

(titulaire, non

contractuel complet A/B/C CDD, CDI, et à CAE….) temps partiel) Service Adjoint temps C Adjoint Travaux d’entretien courant des technique technique non technique bâtiments communautaires (cantine, municipal stagiaire complet territorial école, cour d’école…) Entretien des espaces verts accessoires aux bâtiments communautaires Interface entre la communauté de communes et les entreprises mandatées par l’EPCI Toute remontée d’information auprès de l’EPCI concernant les bâtiments communautaires Toutes missions liées aux nécessités de service dans le domaine des bâtiments communautaires La mise à disposition concerne donc un agent de la commune. La structure du service mis à disposition pourra, en tant que de besoin, être modifiée d'un commun accord entre les parties, et ce, en fonction de l'évolution des besoins respectifs constatés par les parties. La présente mise à disposition du service, s'agissant du personnel, s'exerce dans les conditions fixées par la présente convention et en vertu notamment des articles L. 5211-4-1 et D. 5211-16 du CGCT. La programmation de l’intervention de ce service au profit de l’EPCI est établie conjointement entre la commune et l’EPCI. L’EPCI sollicitera la mise à disposition auprès de la commune. Les quotités de mise à disposition seront fonction de l'évolution des besoins de l‘EPCI. Un état trimestriel des recours au service sera établi par la commune à chaque fois que l’EPCI aura besoin d’y faire appel. Celui-ci déterminera, entre autre, le nombre d’heures de mise à disposition nécessaires pour le remboursement des frais de fonctionnement ainsi que le domaine d’intervention. Article 3 Situation des agents exerçant leurs fonctions dans les services mis à disposition

L’agent territorial affecté au sein des services mis à disposition conformément à l’article 2, et ci-dessus répartis par catégorie, sont de plein droit mis à la disposition de l’EPCI bénéficiaire sans limitation de durée dans les conditions définies à l’article 2 de la présente convention. L’agent concerné en sera individuellement informé par la commune. 16

L’agent concerné demeure statutairement employé par la commune dans les conditions de statut et d’emploi qui sont les siens. Il effectue son service, pour le compte de l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition de service, selon les quotités et les modalités prévues par la présente convention. La commune continue de gérer la situation administrative du personnel mis à disposition (position statutaire et déroulement de carrière, discipline, congés…) et le rémunère directement. L'agent mis à disposition continue à percevoir la rémunération correspondant à son grade ou à l'emploi qu'il occupe dans son administration d'origine. En revanche, l’EPCI se réserve la possibilité d’indemniser directement l’agent pour les frais et sujétions auxquels ils s'exposent dans l'exercice de ses fonctions suivant les règles en vigueur en son sein. Durant le temps de la mise à disposition, l’agent est placé sous l’autorité fonctionnelle du Président de la communauté de communes Cœur de Beauce bénéficiaire ou de son représentant, qui contrôle l’exécution des taches demandées. Le Président de la communauté de communes Cœur de Beauce peut donner, sous sa surveillance et sa responsabilité, par arrêté, délégation de signature au chef de service pour l’exécution des missions qu’il lui confie en application de la présente convention. Le Président de la communauté de communes Cœur de Beauce pourra saisir le Maire de la commune pour mettre en œuvre une procédure disciplinaire. Les dommages susceptibles d’être causés dans le cadre de l’exécution des missions confiées par l’EPCI bénéficiaire à l’agent du service mis à disposition relèvent de sa responsabilité exclusive, dans le cadre des contrats d’assurance souscrits à cet effet. Article 4 Conditions de remboursement Conformément aux dispositions de l’article D 5211-16 du CGCT, les conditions de remboursement des frais de fonctionnement du service mis à disposition visés à l'article 2 de la présente convention sont fixées comme suit : Le remboursement des frais de fonctionnement du service mis à disposition s’effectue sur la base d’un coût unitaire de fonctionnement du service, multiplié par le nombre d’unités de fonctionnement comme suit : 1. La détermination du cout unitaire Le coût unitaire comprend les charges liées au fonctionnement du service comme suit : • les charges de personnel. Les charges de personnel : coût horaire brut de l’agent mis à disposition (traitement indiciaire brut, NBI, supplément familial de traitement, régime indemnitaire, charges patronales). 2. La détermination des unités de fonctionnement Une unité correspond à une utilisation horaire d’un agent du service mis à disposition de la communauté de communes Cœur de Beauce. 3. Délai de calcul du montant du cout unitaire et du remboursement Le remboursement des frais s’effectue sur la base d’un état trimestriel indiquant la liste des recours au service, convertis en unités de fonctionnement au regard des états mensuels précisés à l’article 3. Le coût unitaire est porté à la connaissance de la communauté de communes Cœur de Beauce, chaque année, avant la date d’adoption du budget. 4. Délai de remboursement Le remboursement à la commune s’effectue à l’issue de chaque trimestre. Article 5 Durée et dénonciation de la convention La présente convention est établie pour une durée de 1 an et entrera en vigueur à compter du 1 er janvier 2018. Elle pourra être dénoncée de manière anticipée à la demande de l'une des deux, pour un motif d'intérêt général lié à l'organisation de ses propres services à l'issue d'un préavis de 3 mois . Cette décision fait l'objet d'une information transmise à l’autre partie par lettre recommandée avec accusé de réception.

Lorsque cesse la présente mise à disposition, les fonctionnaires, s’ils ne peuvent être affectés aux fonctions qu’ils exerçaient précédemment dans leur service d’origine, reçoivent une affectation dans l’un des emplois que leur grade leur donne vocation à occuper. S'agissant des agents non titulaires de droit public, s’ils ne peuvent être affectés aux fonctions qu’ils exerçaient précédemment dans leur service d’origine, ils font l'objet d'une recherche de reclassement dans la limite de leur engagement en cours. 17

Article 6 Modification de la convention Par voie d’avenant, la présente convention pourra être modifiée, après avis préalable de chaque Comité technique. Article 7 Juridiction compétente en cas de litige Les parties s'engagent à rechercher, en cas de litige sur l'interprétation ou sur l'application de la convention, toute voie amiable de règlement avant de soumettre tout différend à une instance juridictionnelle. En cas d'échec de voies amiables de résolution, tout contentieux portant sur l'interprétation ou sur l'application de cette convention devra être porté devant le tribunal administratif d’Orléans.

**** CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DE SERVICES ENTRE La commune de NOTTONVILLE , représentée par le Maire, Monsieur Jacky TESSIER, dûment habilité par délibération du Conseil municipal en date du ………………………à signer la présente convention, d'une part, ET La communauté de communes Cœur de Beauce , bénéficiaire, représentée par le Président, Monsieur Jean-Louis BAUDRON, dûment habilité par délibération du Conseil communautaire en date du………………, à signer la présente convention, d'’autre part. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Vu l’arrêté préfectoral n° DRCL-BICCL-2016343-003 du 8 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Cœur de Beauce par fusion entre la communauté de communes de la Beauce de Janville, la communauté de communes de la Beauce d’Orgères et la communauté de communes de la Beauce Vovéenne à compter du 1 er janvier 2017, Vu la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 166-1, codifie à l'article L. 5211-4-1 du Code général des collectivités territoriales, Vu le décret n°2011-515 du 10 mai 2011 relatif au calcul des modalités de remboursement des frais de fonctionnement des services mis à disposition dans le cadre de l'article L. 5211-4-1 du code général des collectivités territoriales et insérant un article D 5211-16 au CGCT ; Vu le transfert partiel de la compétence de la commune vers l’EPCI, pour lequel il a été convenu de la conservation par la commune du service technique exerçant ses missions dans le cadre de la compétence transférée, Vu l’avis du Comité technique de l’EPCI en date du 23 octobre 2017, Vu l’avis du Comité technique de la commune en date du…… Considérant que dans l’intérêt d’une bonne organisation des services de la commune et de la communauté de communes Cœur de Beauce, il y a lieu de mettre à disposition de l’EPCI les services de la commune pour lui permettre d’exercer les missions dont la compétence lui a été transférée. II est convenu ce qui suit : Article 1 er Objet de la convention La présente convention a pour objet, conformément à l’article L 5211-4-1 II du CGCT, et dans un souci de bonne organisation des services, de préciser les conditions et les modalités de mise à disposition d’une partie des services de la commune au profit de l’EPCI dont elle est membre, pour l’exercice de la compétence « SCOLAIRE » ou pour la réalisation de missions ou d'opération se rattachant à l’une des compétences transférées figurant dans ses statuts ou bien les délibérations relatives à l’intérêt communautaire.

A cet effet, en application de l’article L 5211-4-1 II du CGCT précité, dans le cadre de cette mise à disposition, le président de l’EPCI adresse directement au chef de service toutes instructions nécessaires à l’exécution des tâches qu'il lui confie. Il contrôle l'exécution de ces tâches. Il peut, sous sa surveillance et sa responsabilité, lui donner délégation de signature pour l'exécution des tâches qu'il lui confie, en application de l'alinéa précédent.

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Article 2 Services mis à disposition de la commune Par accord entre les parties, le service fait l'objet d'une mise à disposition de plein droit dans les conditions suivantes :

AFFECTE AUX TÂCHES Temps SUIVANTES complet, Cadre SERVICES Qualité à temps Catégorie d’emplois

(titulaire, non

contractuel complet A/B/C CDD, CDI, et à CAE….) temps partiel) Service Adjoint temps C Adjoint Travaux d’entretien courant des technique technique non technique bâtiments communautaires (cantine, municipal stagiaire complet territorial école, cour d’école…) Entretien des espaces verts accessoires aux bâtiments communautaires Interface entre la communauté de communes et les entreprises mandatées par l’EPCI Toute remontée d’information auprès de l’EPCI concernant les bâtiments communautaires Toutes missions liées aux nécessités de service dans le domaine des bâtiments communautaires

La mise à disposition concerne donc un agent de la commune. La structure du service mis à disposition pourra, en tant que de besoin, être modifiée d'un commun accord entre les parties, et ce, en fonction de l'évolution des besoins respectifs constatés par les parties. La présente mise à disposition du service, s'agissant du personnel, s'exerce dans les conditions fixées par la présente convention et en vertu notamment des articles L. 5211-4-1 et D. 5211-16 du CGCT. La programmation de l’intervention de ce service au profit de l’EPCI est établie conjointement entre la commune et l’EPCI. L’EPCI sollicitera la mise à disposition auprès de la commune. Les quotités de mise à disposition seront fonction de l'évolution des besoins de l‘EPCI. Un état trimestriel des recours au service sera établi par la commune à chaque fois que l’EPCI aura besoin d’y faire appel. Celui-ci déterminera, entre autre, le nombre d’heures de mise à disposition nécessaires pour le remboursement des frais de fonctionnement ainsi que le domaine d’intervention. Article 3 Situation des agents exerçant leurs fonctions dans les services mis à disposition L’agent territorial affecté au sein des services mis à disposition conformément à l’article 2, et ci-dessus répartis par catégorie, sont de plein droit mis à la disposition de l’EPCI bénéficiaire sans limitation de durée dans les conditions définies à l’article 2 de la présente convention. L’agent concerné en sera individuellement informé par la commune. L’agent concerné demeure statutairement employé par la commune dans les conditions de statut et d’emploi qui sont les siens. Il effectue son service, pour le compte de l’EPCI bénéficiaire de la mise à disposition de service, selon les quotités et les modalités prévues par la présente convention. La commune continue de gérer la situation administrative du personnel mis à disposition (position statutaire et déroulement de carrière, discipline, congés…) et le rémunère directement. L'agent mis à disposition continue à percevoir la rémunération correspondant à son grade ou à l'emploi qu'il occupe dans son administration d'origine. En revanche, l’EPCI se réserve la possibilité d’indemniser directement l’agent pour les frais et sujétions auxquels ils s'exposent dans l'exercice de ses fonctions suivant les règles en vigueur en son sein. 19

Durant le temps de la mise à disposition, l’agent est placé sous l’autorité fonctionnelle du Président de la communauté de communes Cœur de Beauce bénéficiaire ou de son représentant, qui contrôle l’exécution des taches demandées. Le Président de la communauté de communes Cœur de Beauce peut donner, sous sa surveillance et sa responsabilité, par arrêté, délégation de signature au chef de service pour l’exécution des missions qu’il lui confie en application de la présente convention. Le Président de la communauté de communes Cœur de Beauce pourra saisir le Maire de la commune pour mettre en œuvre une procédure disciplinaire. Les dommages susceptibles d’être causés dans le cadre de l’exécution des missions confiées par l’EPCI bénéficiaire à l’agent du service mis à disposition relèvent de sa responsabilité exclusive, dans le cadre des contrats d’assurance souscrits à cet effet. Article 4 Conditions de remboursement Conformément aux dispositions de l’article D 5211-16 du CGCT, les conditions de remboursement des frais de fonctionnement du service mis à disposition visés à l'article 2 de la présente convention sont fixées comme suit : Le remboursement des frais de fonctionnement du service mis à disposition s’effectue sur la base d’un coût unitaire de fonctionnement du service, multiplié par le nombre d’unités de fonctionnement comme suit : 5. La détermination du cout unitaire Le coût unitaire comprend les charges liées au fonctionnement du service comme suit : • les charges de personnel. Les charges de personnel : coût horaire brut de l’agent mis à disposition (traitement indiciaire brut, NBI, supplément familial de traitement, régime indemnitaire, charges patronales). 6. La détermination des unités de fonctionnement Une unité correspond à une utilisation horaire d’un agent du service mis à disposition de la communauté de communes Cœur de Beauce. 7. Délai de calcul du montant du cout unitaire et du remboursement Le remboursement des frais s’effectue sur la base d’un état trimestriel indiquant la liste des recours au service, convertis en unités de fonctionnement au regard des états mensuels précisés à l’article 3. Le coût unitaire est porté à la connaissance de la communauté de communes Cœur de Beauce, chaque année, avant la date d’adoption du budget. 8. Délai de remboursement Le remboursement à la commune s’effectue à l’issue de chaque trimestre. Article 5 Durée et dénonciation de la convention La présente convention est établie pour une durée de 1 an et entrera en vigueur à compter du 1 er janvier 2018. Elle pourra être dénoncée de manière anticipée à la demande de l'une des deux, pour un motif d'intérêt général lié à l'organisation de ses propres services à l'issue d'un préavis de 3 mois . Cette décision fait l'objet d'une information transmise à l’autre partie par lettre recommandée avec accusé de réception.

Lorsque cesse la présente mise à disposition, les fonctionnaires, s’ils ne peuvent être affectés aux fonctions qu’ils exerçaient précédemment dans leur service d’origine, reçoivent une affectation dans l’un des emplois que leur grade leur donne vocation à occuper. S'agissant des agents non titulaires de droit public, s’ils ne peuvent être affectés aux fonctions qu’ils exerçaient précédemment dans leur service d’origine, ils font l'objet d'une recherche de reclassement dans la limite de leur engagement en cours. Article 6 Modification de la convention Par voie d’avenant, la présente convention pourra être modifiée, après avis préalable de chaque Comité technique. Article 7 Juridiction compétente en cas de litige Les parties s'engagent à rechercher, en cas de litige sur l'interprétation ou sur l'application de la convention, toute voie amiable de règlement avant de soumettre tout différend à une instance juridictionnelle. En cas

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d'échec de voies amiables de résolution, tout contentieux portant sur l'interprétation ou sur l'application de cette convention devra être porté devant le tribunal administratif d’Orléans.

• Délibération n° 2017-11-299 : Institution du régime de la journée de solidarité Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Vu la loi n°2004-626 du 30 juin 2004 modifiée par la loi n°2008-351 du 16 avril 2008 instituant une journée de solidarité en vue d’assurer le financement des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées et l’article 6 de cette loi qui expose, pour la fonction publique territoriale, la mise en œuvre de cette journée de solidarité : cette journée doit être fixée par délibération, après avis du Comité Technique. Considérant que cette journée de solidarité prend la forme d’une journée supplémentaire de travail non rémunérée, d’une durée de 7 heures pour les personnels nommés sur des emplois à temps complet ; pour les agents à temps non complet ou à temps partiel, cette durée est ramenée au prorata du temps de travail. Considérant que l’assemblée doit se prononcer sur les nouvelles modalités d’application de ce dispositif au niveau de la communauté de communes Cœur de Beauce créée au 1 er janvier 2017. Considérant que la journée de solidarité peut être accomplie selon les modalités suivantes :  soit le travail d’un jour férié précédemment chômé autre que le 1 er mai ;  soit le travail d’un jour de réduction du temps de travail tel que prévu par les règles en vigueur (RTT) ;  soit toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées, à l’exclusion des jours de congé annuel. Considérant l’avis favorable du Comité Technique en date du 23 octobre 2017,

Décide avec 66 voix pour, 1 voix contre et 0 abstention D’instituer la journée de solidarité à compter du 1er janvier 2018 selon les modalités suivantes : - le travail d’un jour de réduction du temps de travail (RTT) tel que prévu par les règles en vigueur, pour les agents bénéficiaires de jours de RTT. - par le travail de 7 heures supplémentaires dans l’année, pour les agents ne bénéficiant pas de RTT. Il est possible de fractionner ces 7 heures dans la limite d’une heure minimum par jour. D’autres part, les 7 heures seront proratisées selon le temps de travail de l’agent. D’autoriser le Président à signer les pièces nécessaires

• Délibération n° 2017-11-300: Modalités de mise en œuvre du Compte Epargne Temps Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant statut de la Fonction Publique Territoriale Vu le décret n° 2004-878 du 26 août 2004 relatif au Compte Epargne Temps de la Fonction Publique Territoriale Vu le décret n° 2010-531 du 20 mai 2010 modifiant certaines dispositions relatives au Compte Epargne Temps Vu l’avis favorable du Comité Technique en date du 23 octobre 2017 sur les modalités de mise en œuvre du CET,

Le Compte Epargne Temps est un dispositif qui ouvre aux agents des Collectivités et Etablissements Publics (statutaires et non statutaires de droit public) à temps complet ou non complet employés de manière continue et ayant accompli au moins une année de service (à l’exclusion des stagiaires, des non titulaires de droit privé et des enseignants artistiques) la possibilité de capitaliser du temps sur plusieurs années en reportant d’une année sur l’autre des jours de congés, d’ARTT et sous certaines conditions des repos compensateurs, qui n’ont pas pu être pris dans l’année pour raisons de service. La mise en place du Compte Epargne Temps s’impose à l’employeur dès lors que les agents en ont fait la demande.

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Le décret n° 2010-531 du 20 mai 2010 précité a notamment assoupli les conditions d’utilisation des jours épargnés et organisé un droit d’option au bénéfice des agents. Ce droit d’option est facultatif pour les collectivités et sa mise en œuvre est par conséquent soumise à délibération, pour l’utilisation des jours épargnés au-delà de 20 jours. Les options sont les suivantes : indemnisation, versement au RAFP pour les fonctionnaires affiliés à la CNRACL ou maintien sur le CET. Il revient ainsi au Conseil communautaire de délibérer sur les règles d’ouverture, de fonctionnement, de gestion et de fermeture du CET, ainsi que sur ses modalités d’utilisation, suivant la proposition ci-dessous :

Ouverture et alimentation du CET : Le Compte Epargne Temps est ouvert sur demande écrite de l’agent. L’agent est informé annuellement par l’autorité territoriale des droits qu’il a épargnés et consommés. L’information lui en est faite avant le 1 er février de l’année suivante. L’alimentation du Compte Epargne Temps est effectuée sur demande écrite de l’agent avant la fin de chaque année civile. Le C.E.T. peut être alimenté, dans la limite de 60 jours , par : - des jours de congés annuels. Toutefois, l’agent doit prendre au moins 20 jours de congés par an. - les jours de fractionnement - les jours de réduction du temps de travail (RTT) - les heures supplémentaires à hauteur de 7 h minimum par an

Utilisation du CET : L’agent peut utiliser tout ou partie de son CET dès qu’il le souhaite, sous réserve des nécessités de service. Ces dernières ne peuvent pas être opposées à l’utilisation des jours épargnés à l’issue d’un congé de maternité, d’adoption, d’un congé de paternité, d’un congé de solidarité familiale.

En cas de décès d’un agent ayant ouvert un CET, ses ayant-droits bénéficient de l’indemnisation des jours épargnés.

Compensations possibles à partir du 21 ème jour épargné : Les jours épargnés au-delà de 20 jours peuvent être, en tout ou partie, à la demande de l’agent : - indemnisés - et/ou pris en compte au titre de la retraite complémentaire (Régime de retraite additionnelle de la fonction publique - Rafp) - et/ou maintenu sur le CET. L’agent peut choisir une ou plusieurs options. Le choix de l’agent devra s’exercer au plus tard avant le 1 er février de l’année suivante. En cas d’option pour le versement de la compensation financière et/ou la prise en compte au sein du RAFP, l’option est mise en œuvre dans l’année au cours de laquelle l’agent a exprimé son choix. Précision : En l’absence de demande écrite de l’agent, pour les agents non-titulaires et les fonctionnaires non affiliés à la CNRACL, les jours excédant 20 jours seront automatiquement épargnés sur le CET.

En l’absence de demande écrite de l’agent, pour les fonctionnaires affiliés à la CNRACL, les jours excédant 20 jours seront automatiquement épargnés sur le CET.

Convention financière en cas d’arrivée ou de départ d’un agent en possession d’un CET : L’autorité territoriale est autorisée à fixer, par convention signée entre les deux employeurs, les modalités financières de reprise ou de transfert des droits accumulés par un agent au titre de son Compte Epargne Temps.

Décide avec 67 voix pour, 0 voix contre et 0 abstention D’instituer le Compte Epargne Temps D’approuver les modalités d’utilisation et de gestion du Compte Epargne Temps telles que présentées ci-dessus.

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o Délibération n° 2017-11-301 : Adoption du règlement du temps de travail des agents et de leur droit à congés annuels Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Vu l’avis favorable du Comité technique du 23 octobre 2017 relatif au règlement du temps de travail des agents exposé ci -dessous, I - Temps de travail des agents

La durée annuelle du travail des agents publics dont l’emploi est créé à temps complet ne doit pas être inférieure à 1607 heures. La base légale du travail effectif hebdomadaire est fixée à 35 heures pour un emploi à temps complet. Pour les cadres d’emplois des assistants d’enseignement artistique, il est de 20 heures. La durée hebdomadaire de travail effectif ne peut excéder, heures supplémentaires incluses, - Ni 48 heures au cours d’une même semaine - Ni 44 heures en moyenne sur 12 semaines consécutives - Le repos hebdomadaire, en principe le dimanche, ne peut être inférieur à 35 heures consécutives (24 heures + 11 heures de repos quotidien) Des dérogations sont limitées à 2 hypothèses : - Une dérogation générale, lorsque l’objet du service public l’exige en permanence, notamment pour les agents affectés à la protection des personnes et des biens - Une dérogation limitée, lorsque des circonstances exceptionnelles le justifient sur décision du chef de service. Dans ce cadre, le Comité technique doit en être immédiatement informé. Les prescriptions minimales quotidiennes sont les suivantes : - La durée quotidienne de travail ne peut excéder 10 heures. - L’amplitude maximale de la journée de travail entre l’arrivée le matin et le départ le soir est fixée à 12 heures. - Le repos quotidien est au minimum de 11 heures - Le travail de nuit comprend au moins la période comprise entre 22 heures et 5 heures ou une autre période de 7 heures consécutives comprises entre 22 heures et 7 heures. - Aucun temps de travail quotidien ne peut atteindre 6 heures sans que les agents bénéficient d’un temps de pause minimal de 20 minutes. Ce temps de pause est rémunéré si l’agent reste effectivement à la disposition de l’employeur

Les heures supplémentaires Tout temps de travail effectué au-delà de 1607 heures, ou le cas échéant, du cycle de travail défini dans la collectivité, constitue des heures supplémentaires. Ces dernières seront soit récupérées, soit indemnisées. L’indemnisation implique une délibération ayant mis en place les IHTS. Le taux de l’heure supplémentaire est égal à la rémunération horaire de l’agent, multiplié par un coefficient variable selon la catégorie d’heure supplémentaire concernée. Le nombre mensuel d’heures supplémentaires est limité à 25 heures, toutes catégories d’heures supplémentaires confondues. Les heures complémentaires Les agents à temps non complet qui effectuent des heures en plus de leur temps de travail effectuent des heures complémentaires jusqu’à hauteur d’un temps complet. Ces heures sont rémunérées sans majoration. En cas de dépassement du cycle de travail prévu pour les agents à temps complet, les agents à temps non complet effectuent alors des heures supplémentaires, dans les mêmes conditions que les agents à temps complet. La durée de service des agents à temps non complet étant strictement définie dans la délibération créant l’emploi, les heures supplémentaires qui leur sont demandées doivent présenter un caractère exceptionnel. Travail le dimanche et les jours fériés Le repos dominical ou les jours fériés ne constituent pas une garantie statutaire accordée aux agents publics, qui peuvent être amenés à exercer leurs fonctions le dimanche ou un jour férié si les nécessités de service le

23 justifient. De plus, le 1 er mai ne connaît pas de traitement particulier en matière de rémunération ou de récupération, et doit être considéré au même titre que les autres jours fériés. Le travail normal du dimanche concerne les cas où l’agent accomplit son service dans le cadre de son temps de travail normal (hors astreintes et interventions), un dimanche. La rémunération de ces heures est sujette au versement de l’indemnité horaire pour travail du dimanche et jours fériés. Celle-ci doit être instaurée dans la collectivité par délibération et son montant est de 0.74 € brut par heure de travail. Le travail supplémentaire un dimanche ou un jour férié concerne les heures supplémentaires effectuées par l’agent un dimanche ou un jour férié dans le cadre ou non d’astreinte. La rémunération de ces heures consiste en des heures supplémentaires majorées des 2/3. Les majorations relatives à l’indemnisation des heures supplémentaires de nuit, et de dimanche ou de jour férié ne peuvent se cumuler. Cycles de travail Pour l’organisation du temps de travail dans la collectivité, il revient au Conseil communautaire, après avis du Comité technique, de fixer les conditions de mise en place des cycles de travail, qui peuvent être définis par service ou par fonction. La délibération précise la durée des cycles, les bornes quotidiennes et hebdomadaires, les modalités de repos et de pause. La périodicité sera choisie en fonction du service ou des fonctions, afin d’être au plus près de l’intérêt du service et de l’intérêt général. Les horaires de travail sont définis à l’intérieur de ces cycles de façon à garantir le respect des 1607 heures annuelles et les prescriptions minimales, ce qui correspond à une moyenne hebdomadaire de 35 heures. Aménagement et réduction du temps de travail (ARTT) Lorsque le cycle de travail hebdomadaire dépasse 35 heures, c’est-à-dire que la durée annuelle de travail dépasse 1607 heures, des jours d’aménagement et de réduction du temps de travail (ARTT) sont accordés comme suit : Durée hebdomadaire 36 h 37 h 38 h 39 h Nombre de jours ARTT 6 12 18 23

Départ en retraite Les agents désirant faire valoir leurs droits à la retraite, doivent en informer par courrier l’autorité territoriale au moins 9 mois avant la date de leur départ, et se rapprocher du service des Ressources Humaines.

II - Règlement des congés annuels

Les agents de droit public en activité ont droit, pour une année de service accompli du 1 er janvier au 31 décembre, à un congé annuel d’une durée égale à 5 fois les obligations hebdomadaires de service. Cette durée est appréciée en nombre de jour ouvrés (jour de la semaine effectivement travaillés). La durée des congés annuels est calculée au prorata de la durée des services accomplis. Sont considérés comme service accompli par détermination des droits aux congés annuels, l’ensemble des congés de l’article 57 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, liés à la position d’activité précisée notamment comme suit : - les congés de maladie (ordinaire, de longue maladie, de longue durée, pour accident de service ou maladie professionnelle) - les congés de maternité, d’adoption, de paternité - le congé de solidarité familiale - les congés de formation (congé de formation professionnelle, congé pour CAE, congé pour bilan de compétence, congés pour formation syndicale…) En revanche, l’agent n’acquière pas de droit à congé au titre des périodes pendant lesquelles il n’exerce effectivement pas ses fonctions, telles que les périodes de suspension et d’exclusion temporaire des fonctions. Jours de fractionnement Lorsque les droits à congés annuels sont utilisés en dehors des périodes du 1 er mai au 31 octobre, des jours de congés supplémentaires sont octroyés de droit comme suit : - droit à 1 jour supplémentaire, lorsque 5, 6 ou bien 7 jours de CP sont posés par l’agent entre le 1 er novembre et le 30 avril

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- droit à 2 jours supplémentaires maximum, lors 8 jours et plus de CP sont posés par l’agent entre le 1 er novembre et le 30 avril Pour un agent exerçant ses activités à temps partiel ou à temps non complet, il n’y a pas de calcul au prorata. Ces jours sont attribués dans les mêmes conditions que pour les agents travaillant à temps complet. Droits à congés annuels - Congés de maladie Si un agent dont le cycle de travail est annualisé est placé en congé maladie, trois situations peuvent se présenter : - maladie sur une journée normalement travaillée : les heures initialement prévues sont considérées comme faites - maladie sur une journée non travaillée : aucune incidence - maladie sur un jour de congé annuel posé et validé : l’agent a droit au report de son congé Modalités de calcul des droits à congé à la CCCB ( proposition au CT) Les agents en activité ont droit, pour une année de service accompli du 1 er janvier au 31 décembre, à un congé annuel égal à 5 fois leurs obligations hebdomadaire de service. Les agents annualisés (par exemple, les agents du service scolaire) bénéficient du régime des congés annuels dans les conditions du droit commun. Le calendrier des congés annuels est établi par le responsable du service après consultation des agents, compte tenu des nécessités de service, puis validé par l’autorité territoriale. Les droits à congé sont établis en heure de congé à poser. Procédure relative à la demande de congé ( proposition au CT) Une feuille des congés annuels établissant les droits à congé pour l’année N est remis par le service RH à chaque agent. Pour formuler sa demande de congé, l’agent remplit sa fiche de congé et la soumet pour signature à son chef de service qui la transmet pour visa à l’autorité territoriale. Les périodes de demande de congés annuels sont les suivantes : - Du 1 er janvier au 31 août - Du 1 er septembre au 31 décembre

Les congés annuels feront l’objet d’une note de service pour préciser la date limite de dépôt des dates prévisionnelles.

Madame Nicolleau-Reibel estime que 23 jours de RTT pour une durée hebdomadaire de travail de 39 H lui paraît beaucoup. Mme BARON indique que peu d’agents bénéficient de régime de RTT , seuls les cadres sont concernés.

Décide avec 65 voix pour, 2 voix contre et 0 abstention D’approuver le règlement du temps de travail des agents et de leurs droits à congés annuels

5/ Affaires scolaires/Transports Scolaires :

• Délibération n° 2017-11-302 : Désaffectation de l’école de Prasville : Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant que la classe d’ecole à Prasville a été regroupée sur le site d’Ymonville à la rentrée scolaire 2017-2018, Le Président propose d’émettre un avis favorable à ce déclassement tout en précisant qu’en application de l’article L.2121-30 du C.G.C.T., il appartient à la commune de Prasville de décider de la désaffectation de cette salle de classe après avoir sollicité l’avis de Mme la Préfète. Décide avec 66 voix pour, 0voix contre et 1 abstention : - D’émettre un avis favorable à la désaffectation de l’ancienne classes à Prasville - De préciser qu’il appartient à la commune de Prasville de décider de la désaffectation des salles de classe après avoir sollicité l’avis de Madame la Préfete.

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6/ Culture/Tourisme :

• Délibération n° 2017-11-303 : Salle culturelle Eole : partenariat CNAS- tarif réduit comme pour le musée de Loigny la Bataille Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant qu’un tarif préférentiel a été validé en Conseil Communautaire pour le musée de la Guerre de 1870 avec un partenariat CNAS, Considérant que la commission propose d’étendre ce partenariat à la salle culturelle « L’EOLE », Décide avec 66 voix pour, 1 voix contre et 0 abstention : - D’appliquer une réduction uniquement sur le tarif orange (tout public) et sur le tarif famille, le tarif vert étant déjà très attractif (4€) : - Plein tarif : 10 € - Tarif réduit : 5 € - Tarif famille (2 adultes et 2 enfants) : 30 €

Pour mémoire : Tarifs actuels :  Tarif orange : plein tarif 12 € / tarif réduit 6€  Tarif vert (jeune public) : 4 €  Tarif famille (2 adultes et 2 enfants) : 32 € (au lieu de 36€) et 4€ par enfant supplémentaire (tarif vert jeune public appliqué)  Exposition : entrée libre  Stage pratique artistique : 30€/stagiaire/semaine

• Ecole de musique intercommunale : o Présentation du nouveau fonctionnement de l’école de musique : Information : 188 élèves inscrits pour cette année 2017-2018 (contre 222 inscrits en 2016-2017) :  Les effectifs sur le pôle de Terminiers sont un peu en baisse : 87 inscrits (contre 97)  Les effectifs sur le pôle de Voves sont en forte baisse : 86 inscrits (contre 125)  Le nouveau pôle de Janville comptabilise 15 inscrits

Une réorganisation de la direction de l’école de musique intercommunale a été menée. Un appel à candidature en interne a été lancé sur un poste de direction et de coordination. Tous les professeurs ont été invités à prendre connaissance des 2 offres. 3 candidatures ont été réceptionnées dont 2 pour le poste de direction et 1 pour le poste de coordination. Après entretien devant un jury avec les 3 candidats Madame Virginie Birre a été retenue sur le poste de direction et Madame Ana Hebert sur le poste de coordination. La nouvelle gouvernance sera effective à partir du 6 novembre 2017.

• Projet Artistique et Culturel de Territoire : présentation du dispositif régional De quoi s’agit-il ? Un projet culturel de diffusion artistique qui s’appuie sur une stratégie de développement culturel d’une intercommunalité et qui s’adapte aux spécificités territoriales.

2 types de contrats possibles :  Un contrat de PACT « Soutien aux manifestations culturelles » ;  Un contrat d’accompagnement PACT « Contrat d’émergence et de développement » : uniquement si le dossier PACT déposé n’est pas suffisamment abouti et qu’il est nécessaire d’y retravailler.

3 axes d’intervention prioritaires :  Soutien à la diffusion culturelle et artistique comme levier de : - Développement territorial - Attractivité territoriale 26

 Soutien à la création artistique régionale et à la mise en réseau d’acteurs régionaux ;  Implication des habitants dans la mise en œuvre du projet de territoire.

Un contrat PACT est signé pour 3 ans mais contractualisation annuelle (année civile) pour le soutien aux manifestations.

Critères d’éligibilité :  Programmation pluridisciplinaire de 3 manifestations minimum et composées de plusieurs catégories (festivals, spectacles, résidences…), sur au moins 1 mois et maximum 12 mois ;  Le territoire concerné ne peut être situé dans les chefs lieu départementaux ;  L’aide accordée au titre du PACT ne peut être cumulable avec d’autres dispositifs régionaux.

Modalités de calcul de la subvention :

Typologie de territoire Budget artistique plafonné Subvention plafonnée Population entre 10 000 et 45 000 220 000 € 100 000 € habitants

Un PACT porté par une CdC peut comporter une ou des manifestations artistiques organisées par une/des associations ou structures publiques partenaires (moyennant signature d’une convention de partenariat) >>> les animations « hors les murs » sont fortement encouragées.

Le taux d’intervention est fixé en fonction du nombre de demandes de PACT déposé chaque année : environ 40% ou 45% d’aide.

Le territoire de l’Eure et Loir est prioritaire car très peu couvert par des PACT.

Le Président précise que le projet peut également concerner les communes pour un projet global afin de les inscrire dans le projet communal.

7/ Habitat : • Délibération n° 2017-11-304 : Vente terrain « Les Euréliales » à Janville avec la SA Eure-et- Loir Habitat: Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Considérant que l’ex communauté de communes de la Beauce de Janville a acquis un terrain en 2016 pour une valeur de 83 992.92 € (81 993 € de terrain et 1 999.92 € de frais notariés) pour la création de 6 logements dans le cadre des « Euréliales » (logements adaptés pour séniors) Considérant que cette opération est subventionnée par la Région Centre Val de Loire (acquisition et viabilisation) à hauteur de 51 000 €, Décide avec 64 voix pour, 0voix contre et 3 abstentions : - De rétrocéder les parcelles AB 490, 492, 494 situées au 11 rue Charles Péguy à Janville de 1 695 m² avec un prix de vente à l’euro symbolique à la SA Eure et Loir Habitat, - D’autoriser le Président à signer tous les actes

8/ Urbanisme : • Rappel sur la taxe d’aménagement : le conseil communautaire se réunira le 27 novembre 2017 pour délibérer sur ce sujet. Les communes doivent délibérer pour le transfert de la taxe d’aménagement (cf modèle de délibération). Par courrier, les communes communiquent leur souhait de leur taux de taxe d’aménagement. Le conseil communautaire votera alors les taux souhaités par commune. La communauté de communes délibérera également sur le taux de taxe d’aménagement applicables aux zones d’activités. Il est rappelé que seule cette taxe d’aménagement collectée sur les zones d’activités est 27

conservée par la communauté de communes. La taxe d’aménagement perçue pour les habitations ou autressera reversée aux communes, déduction faite des frais de gestion. Seules les exonérations sont harmonisées sur l’ensemble du territoire communautaire.

Monsieur Baudron rappelle que ce transfert de taxe d’aménagement a un impact que sur quelques communes qui ont des zones communautaires sur leur territoire. Monsieur Dubief demande si toutes ces zones sont communautaires ? Le Président éclaire le sujet en rappelant d’abord que la compétence économique et que toutes les zones d’activités sont communautaires depuis la loi NOTRE et effectif au 1 er janvier 2017 est obligatoirement dévolue à la Communauté de Communes. La non réponse des communes de prendre des délibérations de transfert de la taxe d’aménagement à l’EPCI a pour conséquence une réponse négative.

• Information sur les déclarations d’intention d’aliéner (DIA) reçues :

• DPU n°2017-TERM-10-063 / Bâti sur terrain propre / 28 bis Faverolles à Terminiers /170 000 € • DPU- n°2017-FRES-10-064 / Non bâti / parcelles YA 135, 141, 153, 158 à Fresnay l’Evêque / 38 000 € • DPU-n°2017-FRES-10-065 / Bâti sur terrain propre / Parcelles YA 136, 140 à Fresnay l’Evêque / 31 000 € • DPU n°2017-FRES-10-066 / / Bâti sur terrain propre / 18 rue Bel air à Fresnay l’Evêque / 185 000 € • DPU n°2017-FRES-10-067 / Non bâti / Parcelles YA 132, 144, 152, 159 à Fresnay l’Evêque / 41 000 € • DPU n°2017-FRES-10-068 / Non bâti / Parcelles YA 137, 139 à Fresnay l’Evêque / 31 000 € • DPU n°2017-GOUI-10-069 / Bâti sur terrain propre / 11 rue de la petite campagne à Gouillons/ 161 000 € • DPU n°2017-LESV-10-070 / Bâti sur terrain propre / 22 rue Jules Langlois à Les villages Vovéens / 143 400 € • DPU n°2017-LESV-10-071 / Bâti sur terrain propre / 2 impasse St parc à Les villages Vovéens / 70 000 € • DPU n°2017-ALLA-10-072 / Non bâti / 3 rue des gâtines à Allaines Mervilliers / 37 000 € • DPU n°2017-TOUR-10-073 / Bien à usage uniquement commercial / 92-94 rue nationale à Toury / 850 000 € • DPU n°2017-TOUR-10-074 / Bâti sur terrain propre / 1 rue de pithiviers à Toury / 172 000 € • DPU n°2017-LEPU-10-075 / Non bâti / Les vignes à Le Puiset / 9 300 € • DPU n°2017-LEPU-10-076 / Non bâti / Les vignes à Le Puiset / 3 300 € • DPU n°2017-TOUR-10-077 / Bâti sur terrain propre /7 rue du château à Toury – 38 000 € • DPU n°2017-LESV-10-078 /Non bâti / Saint Mesmain à Les villages Vovéens / 144 782. 40 € • DPU n°2017-LESV-10-079 / Bâti sur terrain propre /7 rue du calvaire à Les villages Vovéens / 82 000 € • DPU n°2017-MERO-10-080 / Bâti sur terrain propre / 3 impasse des coordonniers à Mérouville / 142 000 € • DPU n°2017-TERM-10-081 / Bâti sur terrain propre / 5 rue de charville à Terminiers / 38 000 € • DPU n°2017-ALLO-10-082 / Non bâti / L’arbre de Puiseau XC 45 à Allonnes / 1 000 € • DPU n°2017-EOLE-10-083 /Bâti sur terrain propre / 19 rue de l’Eglise Baignolet à Eole en Beauce / 68 000 € • DPU n°2017-POIN-10-084 /Bâti sur terrain propre / 9 grande rue à Poinville / 56 000 € • DPU n°2017-TILL-10-085 /Bâti sur terrai propre / 8 rue des Tilleuls à Tillay le Peneux / 50 000 € • DPU n° 2017-TOUR-10-086 / Bâti sur terrain propre / 27 rue des franchises à Toury / 141 000 € • DPU n°2017-POUP-10-087 /Non bâti / rue de la mare à Poupry –/30 000 € • DPU n°2017-OINV-10-088 / Bâti sur terrain propre / 12 places des tilleuls à Oinville saint Liphard / 83 000 €

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9/ Environnement : • Délibération n° 2017-11-305 : Lancement de la démarche « Plan Climat » : Le Conseil Communautaire « Cœur de Beauce », Vu l’arrêté préfectoral n°2016343-0003 en date du 8 décembre 2016 portant création de la Communauté de Communes « Cœur de Beauce » par fusion des communautés de communes de la Beauce de Janville, de la Beauce d’Orgères et de la Beauce Vovéenne au 1er janvier 2017, Vu la loi n°2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte édicte : « Les EPCI à fiscalité propre existant au 1er janvier 2017 et regroupant plus de 20 000 habitants adoptent un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) au plus tard le 31 décembre 2018 ». Cette loi fixe par ailleurs des objectifs à atteindre au niveau national : • Réduire de 40% les émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990, et les diviser par 4 en 2050 ; • Diviser par 2 la consommation énergétique finale en 2050 par rapport à 2012, avec un palier de 20% en 2030 ; • Baisser la part des énergies fossiles de 30% en 2030 ; • Utiliser les énergies renouvelables à hauteur de 23% de la consommation finale brute en 2020 et de 32% en 2030.

Le PCAET que va mettre en œuvre la Communauté de communes Cœur de Beauce doit donc contribuer à répondre localement à ces objectifs, en les adaptant à l’échelle de son territoire et en étant compatible avec le Schéma Régional Climat Air Energie (SRCAE) et le futur Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Egalité des Territoires (SRADDET) Centre Val de Loire. L’EPCI est le coordinateur de la transition énergétique sur son périmètre : il doit animer et coordonner les actions du PCAET en lien avec les partenaires du territoire.

Le PCAET vise 2 enjeux : • L’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, pour diminuer l’empreinte écologique du territoire et notamment son impact sur le changement climatique ; • L’adaptation du territoire au changement climatique, afin de réduire sa vulnérabilité.

Le PCAET définit à l’échelle du territoire les actions à mettre en place pour atteindre les objectifs fixés. Il est basé sur un diagnostic et définit un plan d’actions partagé, mis en œuvre notamment grâce à l’engagement des acteurs du territoire, associés à cette démarche. Il doit être rendu public et révisé tous les 6 ans. Le PCAET doit être constitué de : *Un bilan des émissions de gaz à effet de serre du territoire ; *Des objectifs stratégiques et opérationnels en matière d’atténuation du changement climatique et d’adaptation au changement climatique ; *Un plan d’actions portant notamment sur : - L’amélioration de l’efficacité énergétique ; - Le développement coordonné des réseaux de distribution d’électricité, de gaz et de chaleur ; - L’augmentation de la production d’énergies renouvelables ; - La valorisation du potentiel d’énergie issue de la récupération ; - Le développement du stockage et l’optimisation de la distribution d’énergie ; - Le développement de territoires à énergie positive ; - La limitation des émissions de gaz à effet de serre ; - L’anticipation des impacts du changement climatique ; - La mobilité sobre et décarbonée ; - La lutte contre la pollution atmosphérique. *Un dispositif de suivi et d’évaluation.

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Le PCAET est soumis à évaluation environnementale. Elle rend compte des effets prévisibles et permet d’analyser et de justifier les choix retenus au regard des enjeux identifiés. Elle vise ainsi à prévenir les dommages. Elle participe également à la bonne information du public et des autorités compétentes.

Décide par 64voix pour, 1 voix contre et 2 abstentions : D’approuver le lancement de la démarche d’élaboration du Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) à l’échelle du territoire de la Communauté de communes Cœur de Beauce ; D’approuver la mise en place d’une démarche de projet transversale basée sur : o La désignation d’un élu pilote de la démarche ; o D’un comité de pilotage du PCAET, composé d’élus et de partenaires techniques et financiers ( Chambre d’Agriculture, ADEME, ENEDIS, DDT….. ; o D’un comité technique du PCAET, constituée de référents PCAET de chacun des services de l’EPCI et d’agents communaux et de partenaires techniques ; D’autoriser le Président à solliciter toutes les structures ou dispositifs susceptibles d’allouer une subvention à l’élaboration du PCAET, De mandater le Président à engager toute démarche de mutualisation des travaux de diagnostic et d’élaboration de la stratégie PCAET qui pourraient se présenter avec les EPCI voisins ou autres syndicats (exemple : Energie Eure et Loir, SICTOM ….) De soumettre, durant sa phase d’élaboration, le projet de PCAET à la connaissance et à la concertation auprès des acteurs économiques locaux, des associations locales, des habitants et de toute autre personne concernée, selon les modalités suivantes : o La parution d’un journal du projet, informant de l’état d’avancement de la démarche et des grandes conclusions; o La parution d’articles sur le site Internet de la Communauté de communes, dans les magazines municipaux et dans la presse locale, informant également de l’état d’avancement de la démarche et des grandes conclusions ; o La création d’instances de travail et d’échanges sur le projet, associant les décideurs publics et économiques du territoire ; o L’organisation de réunions publiques dédiées ou participation de la population à travers de quizz interactif ; o L’information lors d’événements grand public organisés sur le territoire, à laquelle cette thématique puisse se raccrocher.

De Charger le Président, conformément à l’article R.229-53 du Code de l’environnement, de notifier la présente délibération : o Au Préfet du département d’Eure et Loir ; o Au Préfet de la Région Centre Val de Loire ; o Au Président du Conseil Régional Centre Val de Loire ; o Au Président du Conseil Départemental d’Eure-et Loir, o Aux maires des 51 communes du territoire ; o Aux autorités organisatrices de réseau public de distribution d’électricité et de gaz mentionnées à l’article L.2224-31 du CGCT présentes sur son territoire ; o Au Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Eure-et-Loir ; o Au Président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat d’Eure-et-Loir ; o Au Président de la Chambre d’Agriculture d’Eure-et-Loir;

10/ Santé : • Contrat Local de Santé : la synthèse du diagnostic local de santé est jointe à ce document ainsi que les axes de travail retenu par le COPIL.

La 1 ère réunion du comité de pilotage a eu lieu le 6 juillet afin de valider le diagnostic local de santé réalisé par l’Observatoire Régional de Santé (ORS). Celui-ci est composé de : - L’Agence Régionale de Santé (ARS) - La Caisse d’Allocations Familiales (CAF) - La Communauté de communes

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- Le Conseil départemental - Le Conseil régional - Le Conseil territorial de santé - La Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations (DDCSPP) - La Direction des Services Départementaux de l’Education Nationale (DSDEN) - Les organismes de l’Assurance maladie - Les représentants de l’Union Régionale des Professions de Santé (URPS)

La 2 ème réunion du comité de pilotage qui s’est déroulée le 2 octobre a permis de valider les axes stratégiques du CLS :

Axe 1 : Améliorer le parcours de santé des populations vulnérables (enfants, jeunes, personnes âgées) • Améliorer le parcours de santé de la mère et de l’enfant (-6 ans) o Renforcer les actions de prévention à destination des parents (vaccination, nutrition, usage des écrans…) o Améliorer l’accès aux services de périnatalité • Améliorer le parcours de santé des jeunes (11-20 ans) o Améliorer la prévention des conduites à risque (vie affective et sexuelle, addictions…) o Améliorer la prise en charge des jeunes confrontés à des conduites à risque (MDA : Maison Départementale des Adolescents, MILOS : Mission Locale Ouest Sud, MAJ : Mission Avenir Jeunes de , CICAT : Centre d'Information et de Consultation en Alcoologie et Toxicomanie, CAARUD : Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des risques pour Usagers de Drogues…) • Améliorer le parcours de santé des personnes âgées o Prévenir la perte d’autonomie (logement, chute, nutrition…) o Favoriser le maintien à domicile (recenser l’ensemble des actions…) o Accompagner les personnes âgées dans la sortie de soins (services à domicile…) Axe 2 : Promouvoir des environnements favorables à la santé • Sensibiliser aux facteurs de risque en santé environnement (air intérieur, eau, habitat) • Faciliter le déplacement en milieu urbain pour favoriser la santé (déplacements doux, aménagement des communes…) • Lutter contre l’isolement et favoriser la proximité des services (renforcement du lien social, accessibilité, transports, permanences…) Axe 3 : Développer l’interconnaissance et la coordination des acteurs et des structures ressources • Accentuer la communication autour des ressources présentes sur le territoire • Favoriser le partenariat et la mise en réseaux des acteurs du territoire (communication, coordination, co-construction de projets de santé)

Cette deuxième réunion a également permis de définir les membres du comité technique : - L’ARS - La communauté de communes - La Région - Le Département - La DSDEN - La DDCSPP - La CPAM - La MSA - Un représentant associatif : Familles Rurales - Un représentant des habitants - Un représentant des professionnels de santé : par exemple un binôme médecin généraliste/infirmier

Le comité technique se réunira à la fin octobre pour définir les modalités des fiches actions (méthodologie, nombre d’actions maximum par objectif) et ajouter les acteurs qui auraient pu être omis dans le démarchage des groupes de travail.

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Les acteurs du territoire (élus, professionnels du social, scolaire, périscolaire, médico-social et de la santé, associations, habitants) souhaitant participer aux groupes de travail de réalisation des fiches actions pourront s’inscrire lors du forum santé du 10 octobre ou en ligne sur les 5 thématiques suivantes : - Petite enfance - Jeunes - Personnes âgées - Environnements favorables à la santé - Communication

Le comité technique se réunira une seconde fois en janvier pour finaliser le programme d’actions. Celui-ci sera validé en comité de pilotage fin février. Avant signature, le CLS sera validé en conseil communautaire du mois de mars. Une fois le CLS signé pour une durée de 3 ans, les actions mentionnées devront être réalisées et évaluées avant la date anniversaire de celui-ci.

Ci-dessous le lien du formulaire d’inscription aux groupes de travail - Petite enfance - Jeunes - Personnes âgées - Environnements favorables à la santé - Communication https://goo.gl/forms/zJjS6DImK9OGvfKb2

Vous pouvez également vous inscrire auprès de Julie BOURNAZEL, chargée de mission Santé au 02 37 99 97 87- MSAP à Orgères en Beauce/ Mail : [email protected]

11/ Questions diverses : • Dates à retenir : o Conseil communautaire : 27 novembre et 18 décembre o Commission environnement : 16 novembre o Commission travaux : 2 décembre

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 22 H 30.

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