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AMIGA NEWS TECH : LES PRINCIPES DE L'AMIGADOS

: LE 3792483028004 00110 REPORTAGE CEBIT DE HANOVRE ICO^MODORE 6" S //* ë V É I EDITO iCOMÉMODORE

Comme convenu dans notre dernier numéro, vous N° 11 découvrirez dans Commodore Revue de ce mois-ci, plus AVRIL 1989 de deux pages consacrées au previews jeux. Mais là ne s'arrêtent pas les nouveautés, puisque nous vous avons concocté un véritable cahier technique, bourré de recet- tes diverses pour mieux utiliser votre Amiga. De ce fait, la pagination augmente pour atteindre les 92 pages, ce qui ne sera pas pour vous déplaire, j'en suis persuadé. Un fastueux dossier de neuf pages attend les passion- nés de la 3D en page 26, réalisé par un maître en la matière : Frédéric Louguet, Mips pour les intimes. MUSIQUI Encore un petit mot avant que vous ne partiez à la décou- AUDIOMASTER, verte de cette mine d'informations : Commodore Revue sera présent au Sicob à partir du 17 avril sur un stand attenant celui de Commodore France. Venez nous voir SCULPT nombreux, une surprise vous y attend. En effet, nous pré- ANIMATE 4D L'imaae de synthèse prend parons à cette occasion un « Guide de l' Amiga, logiciels une nouvelle dimension. d'application et hardware », de plus de 250 pages au for- mat livre (15x21). Pour en savoir plus référez-vous à HARDWARE la page 86. En ce qui concerne le service minitel « Com SCANNER PRINT TECHNIK Rev », cela se précise, il devrait, si tout se passe bien, être ouvert à tous pour le premier Avril {non, non, ce n'est pas une farce...). A bientôt pour de nouvelles TROISIEME DIMENSION aventures. SUR AMIGA Georges Brize L'embarras du choix.

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(1] 12.46 92.90. Directeur de la p ublica-

| APPLICATION tlon : Jean-Yves Primas Red

- Rédacteur en chet : Georges 3rl*e JSI p. 7 LA TUBE INTRO (troisième partie) Secrétaire de rédaction : Franco Point 8 p. 9 Ont collaboré: Jean Baudlot Espace Micro p. 11 I DOMAINE Elhardy. Bernard Sarrat, Micha6 Tecsoft p. 23 de Mil, Larry Trlck. Jacques de Schriver, Little Zeus, Centaure, The loos Kimatek p. 39 ner. Dominique Poulain, Frédé Mad p. 53 Scap p. 56 Chanel (Bouledogue français). Photo- LE CEBIT DE HANOVRE CIS p. 58 graphie: Bernard Martlnez. 1

tion : Conception générale : Jos' Micro Application p. 59 - Conception maquette: Alair Vidéos hop p. 66 DIVERS

Photocomposition : Compograr Bus + Pans. Photogravure : Chromovis in Gra- RESULTATS DU CONCOURS Amie phique, 94 Vltry. Impression : L « DESSINE MOI UN MOUTON » les-Mureaux, 78, Les Mureau> Cases shopping p. 77

cité : au support. Tél. (1) 42.47.12 16. Dlf- Run p. 85

2" trimestre 1969. Commodore p. 92

Commission paritaire : en cours COMMODORE de ce numéro : 35 000 ex. REVUE N° 11 Commodore Revue décline to

Tirage : 35 000 exempl. ponsabillté quant à la teneur t

des publiés, qui n engage qi Diffusion : 28 000 NMPP auteurs. C64, C128 et Amiga s 3 500 pays francophones marques déposées par Com Date de parution International. Commodore Re dépen- prochain numéro : dante de la société Commodore mai, sortie fin avril PARIGRAPH 89, ports divers et variés : papier AMIGA FAIT DES (étude de packaging et de logo), diapo, brochure qua- BULLES... dri (quatre pages décrivant Commodore nous l'avait l'ensemble des activités en bien dit, cette année serait un cours), vidéo (réalisation très bon millésime pour d'un spot publicitaire) et bien l'Amiga, Pour le prouver, la évidemment micro, via un société, et plus précisément dessin animé à base de Nicolas Hanssen, directeur III, ainsi qu'une de la division VAH Amiga, a animation réellement impres- eu la merveilleuse idée de sionnante sous Soulpt Ani- s'associer avec un produc- teur, de ce qui symbolise si different.es activités était, et c'est là l'originalité bien la iéte : le Champagne. toute de BLASTEROIDS, C'EST I Nouvelle structure, nouvelles la démarche, le même, c'est idées, qui laissent présager le à dire le Champagne Pannier. POUR BIENTOT meilleur. En effet, cette pres- Les divers postes de travail Voici une première photo étaient animés par la société tation de Commodore, et 3EME CONFERENCE du célèbre jeu de café t Blas- Atelier Numérique pour particulièrement de l'Amiga, DEVELOPPEURS teroïds « dont la sortie ne fut réellement basée sur un l'infographie, par Arnaud devrait plus tarder sur concept des plus originaux. Ribadeau Dumas pour la AMIGA Amiga. Enfin, tout est rela- Jusqu'à présent, l'ordinateur, qu'elle soit ou I CAO, 2D 3D Après le DevCon de tif Avec Ubi Soft, il faut quelqu'en soit la marque, (il faut savoir au passage Francfort (voir Commodore s'attendre à tout... était toujours montré sous son qu'Arnaud, tout nouvelle- Revue n°9), Commodore meilleur jour, sûr, entré bien mais ment à Commodore France a voulu permettre a sans jamais dévoiler la plus France, est le créateur de tous ceux qui n'avaient pu s'y de petite parcelle de ses secrets. CAO 3D, ainsi que rendre pour des raisons pra- fait, le Commodore En constructeur (Com- Design 3D, voir tiques, de profiter des der- D modore ne faisant pas excep- Revue n 10), par Michel Cri- nières nouveautés en matière tion) se contentait toujours bélier graphiste et maquet- d'Amiga, Les produits pré d'une présentation des appli- tiste, pour la PAO, par la sentes ou annoncés étaient cations morcellée. Commo- société Imacombo pour les mêmes, seuls les invités l'imaqe dore innove aujourd'hui de dsUf.'Mic'nt. Ce.' lut néanmoins totalement avec un type de mation et sons, par les socié- une grande journée pour les tés et la démonstration jamais vu, Inelco Kimatek pour assoiffés r;e nouveau- es qui dénommé « la chaîne créa- vidéo et enfin par INforma- ont vu à cette occasion, se tive ». Cette chaîne avait tion et a nouveau Kimatek, concrétiser certaines de leurs ^ but, interactive pour principal de pour la borne aspirations les plus folles. démontrer aux visiteurs les choisie pour assurer la pro- capacités de l'Amiga tout au motion des ventes. Une mul- long des différentes étapes de titude de produits nouveaux la création. Cela allait de la étaient présentés à cette conception à la production, occasion, sur lesqueli en passant par la réalisation, vous proposons de le tout en utilisant des sup- dans les mois gui suivent

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roid, la mei I !eu re ma rené A?i)i» A501 A2058 KIT PC parmi les générateurs de dia- 3" 1/2 512K 2MEGS CARTE iN-Ri il n pos et transparents, directe- EXT INTER. A500 A2000 5 1/4 +20 MEGS ment connectée a l'arrière de 139Q 1640 1490 NC Amiga. Après une expé- 5600 6150 ience malheureuse, la der- A2300 CARTE CARTE CARTE Disquettes E GENLOCK AT 22B6 A2620 FLICKER 3"1/2MF °iS INTERNE >DD Koriic; Burocare, connue sous le FIXER de « Polaroid Palette UNE FORMATION 2550 2190 10600 14220 4950 120F/10 Computer Image Recorder » COMPATIBLES A PRIX MICRO ! peut produire 12 diapos PERIPHERIQUES CONNECTABLES OU Pour vous permettre de 35mm, ou transparents en LECTEUR ircTniR FILTRE CODbUH PERFECT ELECTR. GENLOCK toutes is d'une demi-heure. Ce SATELL. SOUND profiter pleinement de 5" GST30 3"tffl DF 1/4 PAL les possibilités offertes par temps comprenant l'exposi- 'otre Amiga, Videoshop tion, le développement et le 1290 2190 2540 2750 4050 B50 assure une formation collec- montage. La gualité du résul- MPS1500 PAINTJET MRS 1230 DESKJET MONIT. EMULAT la pratique tai ohienu est telle, qu'il est tive d'initiation à COULtUli HP JET 9AIGUIL. 300 DPI MUTISYN. FLAM possible do produire des pos de votre appareil, par groupe AIGUILLE ENCRE N/B A1432 MITEL personnes, au prix au taux d'agrandisse- voulu. Travaillait 3390 15390 2090 10200 5560 760 exceptionnel de 350 F la ment dans tous les modes, P.P.C.I.R. . Pour tous renseigne- SOFTS DES NOUVEAUTES CHAQUE SEMAINE pfcul évidemment uiiliser le ments, appeler Madame lai": GRAPHICS/VIDEO SON MUSIQUE DIVERTISSEMENT quesson au (1) 42.86.03.44_ mode spécifique à l'Amiga —HAM (Hold And Modify)- qui offre 4096 couleurs. r, IKChij Très certainement en vente CHESSMASTER 2{ TITUS + VIRGIN = en France dans les prochai- nes semaines, le prix de HOCKET RANGER SUCCES l'ensemble comprenant SCENARY EUROPE ULTIMAIV ' - - -. ' . notre dernier ! 1 1 I r" I i . Amiqa, le- Polaroid Dans numé- DRAGON'S LAIR Pale-lie Image Recorder, la

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ciaux principaux : A VOS PINCEAUX ! rotation de Magazine de Février, l'image autour des axes x,y Specs 3D de Haitek Reso AmiExpo désire exposer particulior l'effet « dents de ; sphères sur laquelle l'image ces permet de générer du vos œuvres d'art pour son scie a et « mosaïque ». Son se déforme comme un ballon u vrai 3D », qui devra être second » Art and Video Con- mode d'emploi pourrait servir que l'on gonfle ; mosaïques et regardé avec des lunettes test », gui comporte cinq d'exemple à bien d'autres. kaléidoscopes, scrollinq r éo se o piques. Livrées ave catégories : Images 2D, Ima- — TV'Show (Brown-Wagh logiciel, ces lunettes seront ges 3D, Images Digitalisée:-., Publishing ; $ 99,95). Envi- symétries pixellisation reliées à l'interface à ï'î Animation et Mixed Media ron 50 effets spéciaux. ; ; effet fish-eye simulant un d'un câble de 2 m. L'image Video. On peut participer à — Video Effects 3D (Inno super-grand angle, etc. On passera d'un œil à l'autre, autant de catégories que l'on Vision Technology ; $ 199). réalise ces manipulations en accentuant, par les décalages désire, dans la limite de trois VF! 313 permet des rotations cliquant sur des icônes, en produits, l'impression de diapositives ou œuvres, par sur les trois axes x,y,z, des utilisant des lichiers Script, à relief. Chaque œil se verra catégorie. La remise doil êlre tfxi rusions de logos en 3D, er travers le langage ATL (A donc atribuer une image dif- efi e et uée avant le 1 Février des perspectives. Parmi les Toaster Language), ou direc- férente et indépendante. Le 1990. Les formats vidéo doi- effets les plus originaux, -emenl en langage machine. cerveau reconstruira alor; vent être en 3/4 de pouce ou l'image 31) peut être compres- K'owTek entend bien sophis- lui-même l'image, en en 1/2 pouce. Les standards sée, laminée, jusqu'à ac-vonir tiquer son Toaster en lui accordant un relief maxi- PAL sont acceptés. Les prix u rie plaque de verre. Celle-ci incluant les caractéristique:-, mum. Les lunettes seront seront décernés débui Mars est alors cassée comme par un de la de Quantel et fixées par un bandeau frontal. 1990. Le jury s coup de marteau et les éclats en y rajoutant des program- Elles seront entourées de de membres des écoles se dispersent diagonalement mes 3D. Mais le prix de la caoutchouc, ce qui empê- Beau* Arts et des collèges de aux quatre coins de l'écran. RAM .iiuera un grand rôle chera de voir à l'extérieur. New York, Contacter Ami- I.a plupart de ces program- clans le prix el la disponibilité Certains jeux, dont Spac Expo, Ari/Video Cornpeli mes exigent 1 Mo Ram. du Toaster. Selon la baisse du Buds, donnent déjà ur tion, Zttn : Stephen lacobs prix de la RAM, ce dernier intense impression de piloter 221 E 43rd St., Suite 301 réellement un vaisseau spatial New York, NY 10017. $ 1 500 et $ 900. Pour plus on plein espace. Les étudiants d'informations, contactai en chimie et biologie pour- NewTek, 115 West Cran* ront réaliser des molécules

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que son passage. On peut aller laire le plein d'essence et même rentrer dans les magasins. Place maintenant à Ulti- mate Golf qui est une bonne simula-

tion de golf ; bulletin météo, choix des clubs, menus déroulants, tout y est. auraient peut-être du être davantage Attention les yeux I!! les sprites font soignés. Du nouveau, toujours, avec plus de la moitié de l'écran. Le seul Space Harrier qui sera sorti lorsque reproche qu'on peut lui faire, est le vous lirez ces lignes. Après Billiards, léger temps de latence d'apparition des paysages. Enfin, Gremlin annonce Foït "•- pour Avril. Plus de deux ans de pro- MM: grammation auront été nécessaires pour ce jeu, ou vous piloterez (un peu Commençons tout d'abord avec Slips- comme dans Starglider) un vaisseau tream, qui est le dernier né de chez équipé d'un ordinateur programmable Microdeal. Vous êtes aux commandes et d'une surface de jeu équivalente à d'un avion, largué de votre vaisseau 350 m 2 (huit millions de planètes). et à tout les mère devez prix remplir Après Eliminator, Heson frappe fort, quinze missions qui vont vous permet- avec trois nouveaux jeux. Astaroth. the tre de prendre le contrôle de la planète. angel of dealh, est un jeu aventure- Pour cela, vous devez abattre les avions arcade. Vous vous promenez dans ennemis, et éviter les immenses pyra- divers labyrinthes, en ramassant de Exxos est de retour avec un nouveau hit mides qui se dressent devant vous. Ce multiples objets. [Je très beaux qraphis- intitule temple oi the flying sau- jeu en 3D est une réussite complète, au mes mais, malheureusement, aucune The cers. L'action se situe à la fin du troi- niveau du son et de l'animation. Les musique. Mais attention, voici Custo- graphismes laissent a désirer, mais je sième millénaire terrestre, après The dian. Il s'agit d'un shoot'em up à scrol- last big bang. Plusieurs espèces vivent n'ai eu qu'une pré- version et on peut ling multi-directionel. Le jeu ressemble

tout la version finale. alors sur la terre : des humains dégé- encore espérer de un peu à Cybernoid, mais la qualité est nérés et supersticieux, Gremlin nous a conconté ce mois-ci de nettement supérieure. Vous progressez réunis en villa- très bons jeux. Fusion est clas- ges ; des mutants physiques, vivant en Dark un dans trois levels de 250 tableaux. Il est bandes nomades et des tuners, ou sique shoot'em up à scrolling horizon- bon de souligner que la musique mutants psychiques. tal. Vous allez anéantir de géniale est de David Whittaker et gue Surdoués et télépathes, ces derniers fis- les programmeurs n'en soinf pas à leur sent à travers le monde un réseau premier jeu, puisqu'ils ont déjà réali- de communication secret. Parfois, des ^"^ enfants mutants naissent parmi les humains. Dès qu'on soupçonne leur état, ils sont pourchassés et tués, sur- tout si ce sont des mutants psychiques. Pour protéger ces enfants, des Tuners les sauvent de cet enfer et les insèrent dans le network, gigantesque société secrète qui s'est attibuée un rôle d'observateur du monde, un rôle de police au sein des différentes commu- sés Verminator. Enfin, voici Stormlord nautés. En fait, le network n'a qu'un desaliens...Unbon; m mais le dépla- de Haffaelle Cecco. Oui I c'esf l'auteur seul but : arriver à gouverner toute la cernent de l'appareil 'est pas à la hau- de Cybernoid, qui revient en force sur planète. Bon, alors gu'est ce gu'on fait teur de celui de Dena is ou de R'Typo. notre machine. Vous êtes un brave che- dans tout ça ? Vous tenez le rôle de Après ça, droit de jo valier qui doit préserver la paix du Raven, gui doit sauver sa compagne,

S Motor Massacre. Vous pilotez une royaume. De toute façon une seule Sifai, enlevée par un groupe de sorte de petite buggy , équipée de chose importe : tuer. Les graphismes mutants physiques : les Protozorks. A canons, pour détruire tout ce qui bles- sont sublimes, mais les bruitages son tour, il est fait prisonnier et il va wv^us

11 participer à différentes épreuves. jeux. Le prix reste le seul point faible votre bolide spacio-temporel, a subi Après cela, il lui reste beaucoup à (excusez le jeu de mots) puisgu'il est une surchauffe et une sur- faire, puisqu'il doit encore délivrer quand même de 350 1. Vous aurez les consommation de votre précieux car- Sifai et détruire Zork, le maître des Pro- premières photos d'écran de la der- burant (ce scénario me rapelle, jusque tozorks. Pour jouer, un peu comme nière producion de Chip, dans le pro- là, étrangement celui du film Back to dans Blood, vous vous servez d'icônes chain numéro. Ce jeu permet de faire the future). Vous êtes alors propulsé que vous sélectionnez à l'écran. Les une transition facile avec Explora II, dans un monde inconnu et devez bien qraphismes sont superbes, tout comme sûr récupérer le métal carburant pour les bruitages. En fait, Temple apparaît rentrer dans votre château familial. Les comme un très bon jeu d'aventure, dessins du deuxième volet d'Explora avec un scénario super- structuré et des sont superbes, l'énigme est toujours qraphismes plus qu'envoûtants. Que aussi formidable et les bruitages qui dire de plus, sinon qu'il vous en coû- ponctuent l'action ont été davantage tera 249 F. Préparez vos tirelires III soignés. Notons enfin que la version The temple of the ilying saucers d'Explora III .;?: déjà en préparation et arrive sur vos écrans pour la fin Avril. que Rockslar arrive à toute allure. Grande nouvelle dans le monde fran- Dans ce jeu, vous jouez le rôle d'un

çais de la micro : Chip est de retour. chanteur hard et devez survivre dans Cette fois-ci, il s'agit d'un jeu d'aven- = par In: le dur milieu des artistes. Le jeu ture, dont l'action se déroule en 16/32 diffusion et gui a reçu, à Ca exploite à fond les capacités qraphi Egypte. Les programmeurs se sont l'As d'or du meilleur jeu informatique. ques et sonores de l'Amiga. Jugez plu- encore améliorés et les illustrations du Vous avez enfin retrouvé le meurtrier tôt, vous pouvez magner à la souris les jeu sont si belles, qu'on dirait presque de votre père et vous vous apprêtez à curseurs des tables de mixage qui se de la digit retravaillée. Chip a soigné rentrer chez vous ; nous sommes alors trouvent dans les studios (effet l'ertibi-illrige et est digne des plus beaux en 1922. Malheureusement, Explora, garanti...). Toujours distribué par

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; bonne nouvelle, sachez que les scores sont sauvegardés et que l'on peut jouer à deux simultané ment. Avec Chop Flash arrive un jeu de haute qua- lité, sur lequel vous allez user un bon nombre de vos nerfs. Le prix est de 235 F et Supercopier n'est pas prévu pour ST et c'est tant mieux pour les yeux et les tympans. Restons dans le milieu aérien, avec SUk Worm, où vous pilotez une jeep et un mégacopter. Le joystick du premier joueur gère l'hélico, et le clavier, sous le contrôle

16/32 diffusion, Skrull montre le boul des doigts sensuels (il est complètement de son nez. Les effets sonores ont été cinglé!!!) du deuxième joueur,, horizontale- nettement améliorés depuis la version s'occupe de la jeep. Au cours des cosmonaute, qui avance ST, tout comme les dessins dont vous douze tableaux du jeu de Tecmo LTD. ment en tirant sur tout ce qui bouqe : pouvez juger vous-mêmes en regardant Vous allez affronter des avions super- aliens, plantes carnivores, vaisseaux... et les bruitages font les photos. Je pense qu'il n'est pas la sonics, des hélicos qui font le 1/4 de L'animation en un dessins ont la peine de parler du scénario, qui est l'écran, des tanks parachutés qui vous must, mais les besoin de jeu maintenant hyper connu, n'est-ce pas ? tombent dessus en véritable rafales, des touche finale. La sortie de ce super Restons dans les soft français. Après n'est pas prévue avant Juin, alors

avait un hit, '!' patience et économisez votre argent en Meurtre à Venise qui été bouclier, q.u vV.i.ï, r >tôqe de vos onne Corbra Soft prévoit la sortie de Action attendant. Boadblasters vient après n tiré Service II — The mission. Heureuse- , C I£St ftS"Sb*M»k 8re"i»,WS Led Storm, avec son bolide de Mad ment, le jeu ne sera pas un clone du Max. L'animation et les bruitages sont premier volume qui avait été un véri- parfaits, mais on peut regretter la qua- table échec. En fait, The mission lité des dessins qui laissent à désirer. pourra servir de complément à la pre- The Deep est maintenant disponible mière version. sur Amiga. Cette conversion du coin- lade, première production de MBC, up de Woodplace Inc. vous met aux arrive enfin sur Amiga. Vous allez pou- ides d'un navire de combat. Le voir créer vos propres jeux, avec ce soft scrolling horizontal vous permet de voir plus que génial. Il est ainsi possible de m mmn ce qui se passe au dessus et en dessous stocker plus de 10 000 sons et de tra- mis pendant un bref moment et vous de l'eau. Il va vous falloir rattraper les vailler en détail le scénario. De permet de progresser librement... Les bombes, et les torpilles, larguées par l'arcade, maintenant, avec Chop Flash graphismes sont plus gue correctes et hélico pour détruire des sous-marins, la prochaine production de Digitech. il aurait peul-êlreélé prélérable d'avoir mais aussi des pieuvres géantes et une Vous pilotez un hélico équipé d'une une musique style Hybris, plutôt que de multitude de monstres marins. Un artillerie très imposante. Jugez plutôt : se retrouver avec des bruitages quasi- bonus vous permet de vous transformer lance-roquettes, mitrailleuses, bom- ment constants du fait du nombre en sous-marin et de descendre affron- bes... Le joystick va chauffer mes important d'ennemis que vous devez ter l'ennemi en face. Ce jeu, très origi- enfants. Le but est simple : survivre en tuer. Passons maintenant à Leisure nal, m'a agréablement surpris. Les tuant tout ce qui arrive devant vous (kill Genius qui nous prévoit trois nouveaux dessins sont magnifiques et l'animation est ultra-rapide. offre là, or die ha ! ha I), Des ennemis il y en jeux. Commençons par Rïsq qui un est US-Gold nous a, DCA, avions, hélicos, enfin tout ce jeu de stratégie. Le scénario est bien une très bonne conversion A acheter à qu'il faut pour que votre balade du brodé, mais la programmation est vrai- tout prix. dimanche se transforme en un vrai cal- ment nulle. Toujours dans le stratège L'article s'achève maintenant et il est vaire. En tout, c'est de plus de douze voici Scrupules. Il s'agit de l'adapta- tant de se quitter. Ah ! notons la nais- tableaux qu'il va falloir sortir vivant et tion du jeu de société de Parker. On sance de Composite, qui est un nou- croyez-moi, c'est pas du gâteau !!! pouvait s'attendre à un écran très soi- veau journal sur disquette dédié à Question graphisme, Patrick Willems a gné, reproduisant le plateau du jeu, et TAmiga. Vous y trouverez guelques bien travaillé, comme son collègue bien il n'en est rien. En fait ces deux écrans de jeux et parfois même des pré- chargé du son. Tout au cours du jeu premiers jeux sont bons à mettre à la views. Le prix du numéro est de 25 f une superbe musique et des bruitages poubelle, si vous les achetez. pour ce soft médiatique, gui sera bien- à tomber par terre. Au niveau de l'ani- Heureusement, Genius se reprend tôt disponible chez les revendeurs. mation, c'est du rapide. Le program- avec Alien Légion, dont vous aurez les Pour tous renseignements écrire à meur, Lars Nap nous fait cadeau de premiers clichés le mois prochain. Composite 2, rue du Leu, 80132

quatre scrollings horizontaux. Ah ! Vous êtes aux commandes d'un petit Buigny-L'Abbé. INTERVIEW DE

13 n , Bri- rer des pinceaux ou des por- ses voisins. J'espère que Corn tlsh Acaciemy of iilm and Te tions d'écrans, pour les utiliser inodore développera un mode

vision Arts : Electronic Arts 512 couleurs ce serait géant ! dans un autre dessin ; dans organise une conférence de DAN cette version, il est possible de Mieux vaut un mode a partie presse pour la promotion de réutiliser une do l'anima , qui iHai

Deluxe Paint III. Dan Silva, son tion et de l'insérer dans un CR : A propos du marché de créateur, venu spécialement autre. Il est donc possible de l'Amiga que vous évoquiez des Etats-Unis, présente le récupérer l'animation et l'écran dans votre réponse précé-

logiciel. SILVA dans son entier et de faire un dente : comment se comporte

14 mars 1989, 17 h 45, Paris : merqe, à condiion d'avoir assez la machine face à ses concur- Dan nous accorde une inter- de mémoire... rents aux États-Unis ?

view par téléphone. CR : C'est-à-dire ? DS : Je pense que depuis ces

: : Commodore Revue Dan, DS (Un silence. . . Un éclat de pourriez-vous iaire un rapide rire). Je dirais qu'il faut au ''ésumo ce votre carrière infor- minimum 2 Mo... En ajoutant un spjécia liste markettinq) If: matique ? encore de la mémoire, on marché de l'Amiga a pris de

Dan Silva : Le début de ma pourra réaliser de plus longues l'importance aux États-Unis. carrière dans le domaine de la animations. Je déconseille C'est en particulier dû au déve- micro informatique, commence d'essayer avec seulement lo| >pi -ment ce l'idée do Desktop

avec mon arriver.1 à Electronics 1 Mo... Video par Apple, dans ses

Arts, je travaille pour eux CR : Combien de temps a-t-il publicités pour le Mac. Cela depuis six ans. Je travaillais fallu pour réaliser Deluxe Paint intéresse beaucoup de gens,

avant pour Xerox, mais j'ai III ? Ouel lanqage avez-vous mais le? Mac- est trop) cher, alors

démissionné : ils s'intéressaient réalisé ? Quels son' les princi- ils se tournent vers l'Amiga au PC et pas aux micros... paux problèmes rencontrés ? pour ce type d'applications.

CR ; Deluxe Paint III sortira en DS : Nous avons commencé à Oui, je pense que le marché Avril, quelles sont les prinoipa travailler, un an après la sortie Amiqa est en pleine expansion.

les différences avec la seconde de Deluxe Paint II. La plupart CR : Quels reproches ferle/ des routines étaient écrites en vous à l'Amiga ?

DS : La principale diiférence, C. L'animation a posé des pro- DS : (Après quelques minutes c'est la possibilité de faire de blèmes au niveau de la création de reflexions). Il est vraiment l'animation. Il existe, bien sûr, el du stockage des séquences. dommaqe que les puces gra- De nombreux tests ont permis

an req. .lester plus rapide- por d'affiner la qualité du pro- 512 Ko, c'est insuffisant, il fau-

mettant l'accès à n'importe gramme. drait au minimum 1 Mo adres-

- que-, le:; font* '•:,, .-;ty joi . ou former!. CR : Quels sont vos projets ? sable. La gestion des interlaces Il est désormais possible de DELUXE PAINT Un Deluxe Paint IV ? lais peindre en overscan. Dans DS : Dans les mois à venir, il CR : Quel est votre- qraphis'e Deluxe Paint II, on pouvait stockage de chaque séquence n'y a pas de projets en cours, préféré ?

visualiser une image plein utilisera oec de mémoire, envi- l'ai tends la réaction des utilisa- DS : Jim Sachs est celui que je

écran, mais pas cie ia moaliie: ron 1 Ko. Avec 2 Mo de teurs, leurs critiques, leurs sug- préfère sur Amiqa. Il s'est sous ce .nom de. Nous avons mémoire, une animation de gestions. Personnellement, occupé de Derender of the

- aussi créé un extra halfbrite plus d'un millier de séquences d'autres travaux dans le Crown et travni.le actuel lomont mode, qui permet de travailler sera envisageable. D'un autre domaine de l'animation, m'inté- sur 20 000 lieues sous les Mers, en 64 couleurs, particulière côté, la séquence d'une scène resseraient. Peut-être un l'adaptation d'un roman de ment utile pour peindre des ou tout est en mouvement, Deluxe Paint IV, peut-être un Jules Vernes. nécessitera ombres, créer des dégradés et beaucoup pais rie autre logiciel totalement diffé- CR : Pensez-vous que, dans bien d'autres choses. Certaines mémoire... Fa ire de l'animal ion rent. Si le marché de l'Arnica quelques temps, des expos! parties du programmes ont avec 512 Ko n'est pas envisa continue à se développer avec tiens d'à -livres d'arts créées sur :'aussi été accélérées, d'autres geable, il serait prélérablo la même force, nous pourrons ordinateur, verront le jour ? Il ré' 1 p.ll t\;pp< -fi à iU d'avoir plus d'1 méga. envisager d'aller beaucoup DS : L'ordinateur est en train

CR : Combien peut-il y avoir plus loin dans le domaine de de modifier le concept de la

de séquences à la seconde- ? l'animation. peinture ; avec Deluxe Paint

DS : On peut atteindre trente CR : Avez-vous envisagé de III, vous pouvez créer un transformations à la seconde, faire de l'animation en mode tableau el l'animer. Vous peu

DS : C'est bien plus compliqué mais cela dépend, comme pré- Ham? vez Iaire bouger les teuides d* :s

c (.ilt : r r 1 1 1 ii : r qu'une simple histoire de nom- ,1 , de .a complexité DS : Développer ce type de arbres secouées par le vent, bre d'images. Pour l'animation, de l'animation. Une image ou programme ne m'intéresse faire se lever le soleil, modilier

nous siockons uniquement les tout est en mouvement pourra pas : beaucoup) trop> de difficul- la luminosité du ciel, iaire cou

dit lé renées entre chaque dili i cilement être animée à tés à surmonter pour un résul- 1er l'eau d'une source... Dans séquence, pas l'Image dans son cette vitesse... tat gui n'apporterait rien de les musées du futur, j'espère

entier. Si vous choisisse? une- CR : Peut-on (aire un merqe de plus par rapport à Deluxe Paint qu'il y aura des œuvres d'arts scène, don; la majeur;; partie plusieurs animations ? III. Vous savez, ce modo n'uti qui s'animeront devant les

reste stutionnairo alors qu'un DS : Bien sûr. Dans Deluxe lise pas réellement '109e' cou Peut-être dans moins Paint II, vous pouviez récupé- leurs, chaque p;ixe. dépend de d'ui déce wv*us

NEWS D'AMÉRIQUE

Si l'on fait le bilan premier tri- — Habillage complet o' de ce de graphisme APRES LES FONTES, LE RESEAU... mestre, l'actualité a été très riche en objets par du texte. L 'ex-rédateur en chef d'Amazing Com- annonces sur les produits Amiga. Les — Césure intégrée (en américain). puting dirige la société Syndesis. Spé- expositions américaines où l'Amiga Correcteur orthoqraphique (e: cialiste de la conversion d'objet 3D aux était présent, deviennent de plus en ). formats des différents programmes du plus nombreuses. On y compte, le CES marché, Syndesis nous annonce de de Chicago, le COMDEX et l'AmiExpo MYPAINT, UN DPAINT nouveaux produits. Tout d'abord, de New-York. Nous y avons touvé une POUR LES PLUS PETITS... Interchange échange des fichiers entre multitude d'informations sur de nou- Développé par Centaur Software, Videoscape 3D, Scufpt 3D, Forms in veaux logiciels ou matériels, qui prou- Mypaint est un logiciel qui s'adresse Flight et Turbo Silver. Interfont est un vent que l' Amiga possède un avenir des aux jeunes enfants. Moins puissant que logiciel gui permet de créer des plus heureux... poli- Dpaint III, il est plus utilisable par des ces de caractères en 2D ou en 3D. petites mains innocentes... Enfin, Syndesis développe actuelle- DPAINT III, ENFIN... ment un système de connexion de La révolution Amiga avait démarré FIF 2 UNE ALTERNATIVE OU l' Amiga sur un réseau DECnet, ce qui principalement grâce à un logiciel À SCULPT-ANIMATE 4D lui autorise l'accès à la puissance de appelé Deluxe Paint I, développé par stockage et l'utilisation Micro Magic s'était lancé il y a deux ans d'un VAX du Dan Silva et édile par Electronic Arts. dans le développement de F or m s in système VMS. Ce génialissime Dan Silva, après avoir Flight, un logiciel de graphisme en 3D fait évoluer Dpaint I en Dpaint II, a et d'animation. Aujourd'hui sort la ver- récidivé avec le tout nouveau Dpaint sion IL Elle comprend de nouvelles III. Les nouvelles fonctionnalités sont SPIRIT fonctionnalités comme les surfaces TECHNOLOGY, DE MIDI les suivantes : incurvées en 3D, le lissage par l'algo- À QUATORZE HEURES... -- Logiciel de dessin et d'animation. rithme PHONG et l'habillage d'un objet Spirit Technology, après s'être imposé — Supporte l'EHB (64 couleurs simul- par une image. Situé à 1 19 US$, FIF 2 développeur de carte tanées à l'écran). comme de est un produit rapide d'utilisation et se mémoire interne pour A500 et — Supporte l'Overscan {704x470 A1000, positionne comme concurrent direct à sort deux nouveaux produits : un dis- points). la fois de Sculpt-Anirnate 4D et Videos- que dur ST506 et une interface MIDI — Enveloppe la brosse autour de cape 3D. (2INset 6 0UTs). n'importe quelle forme.

— Affichage dey pol i ces de caractères dans un « Requester » et non plus dans un menu (DPaint II). — Support des Color Fonts en standard (livré avec une police KARA fonts). — Génération d'animation, image par image. — Charge, édite et sauve les images des animations ANIM. DPaint III sera disponible en Avril aux Etats-Unis et coûtera 130 US$.

A BAS PUBLISHING PARTNER, VIVE PAGESTREAM... Après plus d'un an de retard, la société Softlogik sort enfin son logiciel de PAO sur Amiga. Il ne s'appelle plus Publis- hing Partner, mais Pagestream. Cette HéSBbw * longue attente est cependant pardon- née, car le logiciel parait tenir ses pro- messes d'origine. Voici les points forts qui le différencie de Professional Page

(en attendant un bac d'essai complet) : 15

en images fixes ou animées et en musi- que, sous ses doigts. A l'aide du cla- vier, le créateur pourra commander en temps réel l'effet visuel ou sonore de l'Amiga qu'il veut. LAZER X PRESS, SUPERBE MAIS SANS LOGICIEL... Le projet ambitieux de C Ltd de créer un réseau d'Amiga partageant la même imprimante laser graphique vecto- rielle, a abouti au niveau matériel. Scu

lement, il n'y a que très peu de logiciels, pour ne pas dire aucun, exploitant ce système. Bref, c'était un projet intéressant mais non GVP QUI MONTE, QUI MONTE... produit est composé d'une carte et d'un logiciel. La carte se connecte à l'arrière Great Valley Product, société de du dernier lecteur externe de l'Amiqa. Pennsylvanie fondée par un ancien de GOLD DISK A LE VENT Elle possède elle-même un connecteur, Commodore Etats-Unis, est la société EN POUPE... afin d'y brancher un lecteur Macintosh qui réussit le mieux dans le domaine Après avoir sorti Professional Page et deux supports de ROM vides. Le des extensions disques durs pour A500 (référence de fait en logiciel de PAO), système est simple, il faut se procurer et A2000. Leur gamme de produits va Gold Disk sort enfin Professional Draw des ROMs de Macintosh 64 K ou 128 K du lecteur SCSI 20 Mo équipé de 2 Mo (logiciel d'illustration) et Comic Setter gue l'on pose sur la carte. Le logiciel de RAM pour Amiga 500, à la carte dis- (générateur de bandes dessinées). Pro- permet ensuite au 68000 de communi- que dur 80 Mo (19 ms) pour Amiga fessional Draw est le complément indis- quer avec celle-ci et d'utiliser les res- 2000. Leurs nouveaux produits com- pensable de Professional Page, car il sources de l'Amiga. Utile ou prennent des cartes accélératrices permet de générer des graphismes vec- incohérent, ce produit n'en vaut pas 68030 pour l' Amiga 2000 (à partir de toriels pour une meilleure impression moins de 149,95 US$ et sera disponi- 849 US$) et un lecteur de disques rimo- PostScript. En plus de ces nouveaux ble dans le courant du mois d'Avril. vible 44 Mo (25 ms) pour 1299 $. produits, Gold Disk annonce la sortie

prochaine de Design 3D (Cocorico : IVS TRUMPCARD, voir Commodore Revue 10), d'un logi- — Recherche et remplacement de mot SCSI... CARTE COURTE ciel de scanning sur scanner NSB dans le texte. Une nouvelle sociélé cvilifomienne, IVS — Numérotation automatique des Canon IX 12 (300 dpi), de Movie Set- entre dans la course des cartes contrô- pages. ter (animation en 2D), Transcript (trai- leurs de disques durs pour Amiga 2000. — Générateur de macros commandos. tement de texte simple avec correcteur Le produit qu'elle a développé, orthographigue) et Desktop Budget — Edite et modifie plusieurs docu- s'appelle Trumpcard : c'est une carte (gestion de budget personnel). ments en même temps par couper, courte qui se place dans un connecteur coller. d'Amiqa 2000 et qui doit se relier à un GRAND ÉCRAN — Nombreux raccourcis au clavier. disque dur SCSI. Possédant des fonc- — Possibilité de placer le texte dans EN PETITE SUANTITË... tionnalités standards et une ROM Auto- n'importe quel sens (rotation). Moniterm livre ses grand é s Viking boot en standard, son principal — Gère des fichiers EPS (Encapsula- 1 ( 1 008 X 800 points en 4 r avantage est son prix : 199,95 US$. ted PostScript). gris) en petite quantité. Rappelons gue — Génère des polices « maisons » cet écran ne. nécessite pas de carte pour une impression parfaite. SON ET LUMIÈRE SUR AMIGA... additionnelle puisqu'il possède toute

— Prix : 199,95 US$. Logiciels deslinés dux créateurs vidéas- l'intelligence de codage dans sa car- tes « Live », les produits d'Elan Design EMULATEUR MACINTOSH tirent complètement partie de la rapi- dité d'affichage vidéo de l'Amiga. Déjà DES JEUX, ENCORE DES JEUX... PAR READYSOFT présenté en 1988, Invision est toujours L'Amiga ne manque pas de logiciels Après avoir développé l'émulateur C64 le meilleur générateur d'effets spéciaux ludiques et n'en manquera pas. Parmi pour Amiga et le très célèbre Dragon s « temps réel ». Son principal défaut est ceux-ci, un prochain hit, le TV Sports

Lair, la société ReadySoft a créé A- gu'il n'utilise que LIVE I comme digi- Football (américain) de Cinemaware. MAX. Ce nom quelque peu étrange, taliseur temps réel. Performer, en Ce logiciel est graphiquement remar- est celui du premier émulateur Macin- revanche, est un logiciel qui permet quable et on doit y faire preuve d'action tosh pour Amiga 500/1000/2000. Ce d'avoir toute:.; les ressources de l'Amiga aussi bien que de stratégie... MUSIQUE

AUDIOMASTER, LA METHODE

Que ceux qui Audiomaster est donc un éditeur de originaux avec des noms précis sons (Audiomaster II est arrivé, je l'ai, (« DrumOrig », « Druminst »). Même veulent obtenir les j'en parlerai prochainement). Voici si leurs tailles originelles sont importan- quelques conseils à suivre scrupuleu- tes, il convient malgré tout de les gar- meilleurs sement : der précieusement. avant de sauver une forme d'onde, Assurez-vous « sampling » du d'avoir bien choisi le rappelez-vous : type de * Waveform » désiré, avant monde, d'Europe, l'accord est-il correct : toujours accor- d'ajuster les repeats points, car ils sont der l'instrument sur le Do médium (C) ? affectés par les différentes formes de France, du Val le « sample rate » est-il correct ? Sinon, d'ondes (1 octave, 3, 5, IFF ou Sonix). utiliser Resample Rappelez-vous que le début d'une par- d'Oise ou de la les « repeat points » sont-ils corrects ? tie choisie (avec RANGE), est aussi le - lorsque vous éditez un son, placez- joint d'insertion. Par exemple, vous Porte d'Orléans, vous sur NO LOOP, car les markers pouvez créer un super son en « RAN- peuvent éventuellement vous empêcher GEant » toute une forme d'onde, la lisent ce qui suit... de voir précisément la forme d'onde. copiant et la mixant avec un peu de Les autres n'auront Plus votre son est court (- de 10 K), « Flange ». Il n'est pas utile de reposi- plus vous pourrez employer d'instru- tionner le curseur avant d'effectuer le plus que leurs ments dans un programme de musique. mixage dos deux formes d'onde. Avant de créer des changements Vous pouvez, à l'aide de la fonction beaux yeux bleus importants sur une forme d'onde, pen- CHANGE VOLUME, faire commencer sez à utiliser la fonction SNAPSHOT vos instruments (sur une petite portion délavés (s'ils sont qui vous permettra de « récupérer » de l'onde), par une valeur minimale (2

votre son initial si vous vous plantez ! ou 6), de façon à ce que ces derniers bleus) pour pleurer ! Sauvegardez toujours vos « samplmq « ne commencent bas trop brutalement. Même chose pour la fin de vos sons. Il est toujours difficile de trouver le point idéal, pour « Looper » un son, sans avoir de ° Clocs ». Pensez à zoomer l'endroit adéquat (celui ou la iorme d'onde est a 0).

partir d'un synthé ou d'une autre source, faites en sorte d'avoir le maxi- mum de puissance cour éviter le souf- fle. En revanche, pour éviter les distortions éventuelles, « samplez » à un niveau assez bas (si votre a sam- pler » le permet, ce qui n'est bas tou-

D'une manière générale, il est tou- jours préférable d'insérer une petite table de mixage entre la source et le « sampler ». Cela permet d'influer sur les niveaux entrées/sorties et de pou- voir ajouter quelgues effets, style réver- bération, corrections paramétriques

(graves, médium, aigus... ). Tascam, fey^M^^^^^-^^M^^^; MUSIQUE

17

sée ». « Samplez » une partie de drums d'après un de vos disques préférés

(trouvez l'endroit où il n'y a que ça, évi-

demment... ) et faites-en un instrument, sans dépasser, si possible, 9,9 K, car Soundtracker, par exemple, limite les

« sampling >> à cette taille. Sauvegar- dez cette séquence en la LOOpant cor- rectement (tenez compte du tempo). Vous pourrez ainsi, sur les 3 autres voies, laisser libre court à votre imagi- nation débordante, sans vous soucier de la base rythmique.. Voilà. C'est tout pour aujourd'hui, j'espère que ces petits trucs vous per- mettront d'obtenir des sons d'une qua- lité certaine. On annonce de l'autre côté de la Manche, des « sampler » et des éditeurs plus performants. A véri- fier. L'idéal serait un « sampler » 16 Bits (au lieu de 8), avec un Amiga 32 Bits. Georges, vois ce que tu peux faire à ce niveau, pour accélérer la Fostex ou autres, sont parfaits en ce qui Un petit truc pour simuler un écho concerne ces tables. répété sans passer par la fonction nor- manœuvre PS. Castle Warrior et Bio-Challenge Utilisez beaucoup la fonction TUNE male : créez des petites zones avec

! mes frères. WAVEFORM. Cela permet, à partir Range, espacées selon votre désir et arrivent Réjouissez-vous Toute personne qui aura piraté les sons d'un son normal, d'en faire beaucoup cliquez sur la fonction ZERO RANGE de ces jeux, sera passible d'une d'autres, en jouant sur la tonalité. Par de EDIT. La forme d'onde, à ces allant d'un abonnement obli- exemple, à partir d'un bruit de chasse endroits, est maintenant « vierge » de amende gatoire à Revue, a d'eau, on obtient a coup sûr, en abais- tout son, ce qui provoque un genre Commodore une peine de prison n'excédant pas 50 sant de 2 octaves, le plus beau raz-de- d'écho assez sec, qui fonctionne bien ans... marée jamais entendu. C'est important avec des instruments style batterie Jean BAUDLOT. pour ceux qui veulent sonoriser leurs (Avant de faire ce genre de manipula- jeux d'arcade, avant de les apporter tions, n'oublie/ bat; de sauver votre son chez Delphine Software. original...). La fonction BACKWARDS La taille mémoire de:; instruments est permet d'inverser la forme d'onde. Fai- k BIENTÔT fondamentale. Lorsque vous avez tes l'essai avec une caisse claire ou une

'• samplé » un son d'enfer, à partir d'un cymbale l'effet est garanti. Ajoutez un Ml Korg par exemple, vous pouvez feu de Flange (25 par exemple) et c'est SUR diminuer la taille du son de moitié, génial ! grâce à la fonction UPSAMPLE (il suf- A propos de la fonction Flange, le fit pour cela, d'abaisser la tonalité d'un fait d'employer cette dernière « com- octave). Cependant, et la personne n'y presse » la forme d'onde. Votre son 3615 peut rien, il arrive parfois que le son, verra son niveau sonore diminuer. ainsi transformé, soit un peu différent Avec la fonction CHANGE VOLUME, COMREV de l'original. . . Aussi, une autre solution vous pourrez récupérer en grande par- peut être envisagée. Toujours avec tie, de la dynamique. TUNE WAVEFORM, montez le son L'Amiga ne possédant que 6 canaux 'Jjg&BlÊÊ d'un octave et appuyez sur Resample son (c'est déjà extraordinaire) il est par- Data. Il vous suffit ensuite de « redes- fois nécessaire, lorsqu'on utilise un "Iïsës^ ^ cendre » le nouveau son d'un octave. séquenseur du genre Soundtracker ou \ Lc ~> Cela donne parfois, de meilleurs Fx Sound, d'avoir par exemple, toute — résultats. une piste de batterie déjà « compo-

ËÉ amiga GRAPHISME

L'IMAGE DE SYNTHESE PREND UNE NOUVELLE DIMENSION GRAPHISME AMlGA LPT-ANIMATEips4UA w\

lonctionnalités nouvelles sont apparues et une optimisation certaine des temps de calculs a été effectuée. Le produit est surtout plus complet et inclut tout ce qui est nécessaire à une production d'imaqos do qualité, même en dehors de I'Amiqa, grâce au support de péri- phériques d'affichages spécialisés, les fameux Framc-Bulfers. Entrons maintenant dans le détait. La présentation extérieure a beaucoup évoluée. Une épaisse boîte cartonnée contient un manuel d'une taille respec- table. Ce manuel en anglais (sera-t-il traduit ?) a été considérablement amé- lioré, par rapport à celui de Sculpt- Animate 3D. Les explications y sont souvent plus claires (pour les anglicis- tes évidemment) et plus complètes.

Trois disquettess sont fourmes : une pour le programme principal, la deuxième pour des exemples et utilitai-

1 était une fois un petit Amiga qui lion, du moins un systèi e de création res et la troisième pour la version spé-

voulait jouer au Ray-Tracinq comme les d'images de synthèse inégalé sur ciale 32 bits : c'est la première grosses stations. Mais le petit Amiga innovation. Vu le développement crois- n'avait qu'un pauvre 68000 et les gros Cette bcllo histoire, très morale d'ail- sant des cartes accélératrices (carte ses stations le méprisait. Pourtant, un leurs, est typique de l'évolution que A2620 de Commodore, de C. S. A. et de jour, un développeur bienveillant (le connaisse les micros (et en particulier Finally Technologies- Hurricane) et le Dr Graham), créa un loqiciel d'image- l'Amiga) face aux systèmes dits spécia- support par le Workbench 1.3 de rie de synthèse qui tournait sur 68000. lisés. Ils deviennent plus puissants, plus librairies mathématiques pour copro- Le petit Amiga, raqaillardi, montra rapides, mais conservent une convivia- cesseurs, c'est une bonne chose de dis- alors ce qu'il savait faire et le sourire lité et un prix qui les mettent à la por- poser en standard de versions adaptées ironique des grosses stations se mua en tée de beaucoup de gens. L'image de à ce type de cartes. sourde inquiétude... Le petit Amiga synthèse est une des applications les La version 68020 de Sculpt-Animate devint grand

jour : cartes accélératrices munies de de calcul et l'Amiga dispose d'atouts évidemment pas sur 68000. Il aurait été coprocesseurs mathématiques, disques 1res importants en ce domaine. possible de créer une version unique durs de grandes capacités. Les grosses Cela étant dit, Sculpt-Animate 4D est pour tous les processeurs, en utilisant

stations ne riaient plus du tout. un monument de programmation. Il lait les librairies 1 .3, mais le gain en vitesse partie de ces quelques rares logiciels aurait été peu important. L'optique LA QUI TRIEME DIMENSION qui font la réputation d'une machine, retenue par Byte by Byte est, dans le Puis ur s nouvelle version du logiciel au même titre que DeluxePaint pour le cas présent, la plus intéressante, car du Dr Graham arriva sur le marché. Il dessin 2D. Par rapport à Sculpt- chaque version exploite au maximum s'agissait de Sculpt-Animate 4D et Animate 3D, testé dans le numéro 5 de les spécificités des processeurs sur les- i'Amiqa devint, sinon une grosse sta- Commodore Revue, de nombreuses quels elle tourne. GRAPHISME

DEUX FOIS PLUS CHER... petits bijoux. Ceux qui UTILISENT le bas de l'arbre s'enfonçait dans le sol La deuxième constatation que peut vraiment Sculpt-Animate à longueur de et le recours à une fonction de dépla- faire l'utilisateur de Sculpt-Animate 3D, journée, poussent déjà des soupirs cement était nécessaire pour reposi- est l'accroissement du prix. 4 990 F, d'aise. Les fonctions hélicoïdales font tionner l'arbre à la surface du sol. Dans cela représente deux fois le prix de leur entrée en fanfare ! Toute une nou- Sculpt-Animate 4D, une seule manipu- l'ensemble Sculpt-Animate 3D et il ne velle catégorie d'objets deviennent lation est suffisante. Saluons aussi la semble pas qu'une politique officielle faciles à concevoir : amortisseurs, fonction qui positionne le curseur au de mise à niveau soit effectuée en gueues de cochons (si !) et autres tire- centre d'un objet, que ce soit son cen- France, contrairement à ce qui se passe bouchons. tre de gravité ou le centre de la portion aux Etats-Unis. D'un autre côté, Sculpt- Animate 4D est résolument tourné vers une utilisation professionnelle et ce prix est très peu élevé comparé à des logi- ciels équivalents sur PC AT et 386.

Autre avertissement : il est physique- ment impossible d'utiliser Sculpt- Animate 4D avec 512 Ko, puisque le programme principal fait lui-même

460 Ko ! Avec 1 Mo, ne rêvez pas trop non plus, les scènes que vous pourrez construire ne pourront pas dépasser le stade infantile du Ray-Tracing, c'est-à- dire quelques sphères et cubes ! En fait, le sentiment d'être à l'aise ne com- mence qu'avec 3 Mo. Mettons cepen- dant au crédit des développeurs une option très utile, qui permet de ne pas charger l'intégralité du programme en une fois, un peu comme Dpaint. Le logiciel étant entièrement seqmenté (voilà de la belle programmation), des parties de code peuvent être chargées à partir du disque, au moment seule- ment où l'on en a besoin. Un Amiga 500 gonflé à 1 Mo ou un 2000 de base, peut donc aspirer à plus de grandeur dans les réalisations, au prix bien sûr d'un ralentissement, lors du chargement des segments de code nécessaires à telle ou telle fonction.

DIX FOIS PLUS FORT Le logiciel une fois chargé, les habi- La fonction SPIN, apte à générer d'espace qui l'englobe. tuelles fenêtres Tri- View apparaissent, n'importe quelle forme symétrique à On se rappelle gu'un reproche sou- avec une différence qui n'a l'air de partir d'un profil de révolution, devient vent fait à Sculpt-Animate 3D, était rien, mais qui en fait change tout (ou paramétrable. Vous pouvez donc spé- l'impossibilité de travailler en temps presque !) : la couleur a changé. Jadis cifier un angle entre et 360° : idéal réel à l'aide de coordonnées spatiales. marron, les tri-view sont maintenant pour les camemberts en trois Sculpt-Animate 4D apporte ici la d'un bleu reposant, ainsi que le fond : dimensions. réponse. On peut combiner à loisir un bon point pour l'ergonomie. A pre- Autre progrès, les changements de conception des objets à main levée et mière vue, les menus déroulants sont taille ne sont pas obligatoirement cal- travail sur coordonnées, en contrôlant plus fournis et les ienêtres semblent se culés à partir du centre de l'objet. Ils précisément (et en pouvant modifier a rafraîchir un peu plus vite. Quels tré- peuvent aussi prendre effet à partir de tout moment) leurs positions exactes sors recèle donc Sculpt-Animate 4D ? la position du curseur. Un exemple dans les trois dimensions de l'espace. Les fonctions de modélisation, déjà frappant, d'ailleurs évoqué dans le La réalisation de formes architectura- impressionnantes dans l'ancienne ver- manuel, est le cas où l'on veut agran- les à partir de plans, devient beaucoup sion, sont complétées par guelques dir un arbre. Dans l'ancienne v plus évidente. GRAPHISME

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cepteur, d'optimiser au mieux le rendu et le temps passé à la réalisation. Une opération intéressante est la pos- sibilité de calculer l'image sans l'affi- cher en même temps, afin d'économiser du temps et de la mémoire. Sculpt- Animage 4D affiche alors une fenêtre donnant le pourcentage du travail accompli, ainsi que des informations sur les phases de calcul successives pendant l'élaboration de l'image. Il est bien sûr possible de visualiser l'image en cours de calcul, comme par le passé, tout en se réservant la possibi- lité d'arrêter les calculs en route.

ET ANIMATE DANS TOUT CELA? La partie Animate n'a pas été oubliée. Les hiérarchies s'enrichissent de puissantes fonctions Couper/Coller, qui agissent sur les objets, comme le Couper/Coller d'un traitement de texte

INUTILE S'ABSTENIR ! de résolution (vidéo) est disponible. Il agit sur des blocs de caractères. Il sem- Un des problèmes que 1' permet l'incrustation en Full Overscan blerait néanmoins que quelques pro- tre, dès lors que l'on travaille sur de (704x580 pixels en 16 couleurs ou blèmes subsistent au niveau de la qros objets (plus de 1 000 polyqônes), 352 X 580 points en 4 096 couleurs fluidité des qrosses animations. Ani- est le temps de rafraîchissement des HAM). mate utilise une technique de compres- fenêtres tri-view. Sculpt-Animate 4D y sion particulière, dans laquelle sont a pensé, en apportant une fonction qui calculées les différences entre les ima- retire de l'affichage d'un objet, tous les ges successives d'une séquence. Ce points dont on n'a pas besoin, tout en DEBRIDAGE ALGORITHMIQUE sont ces fichiers Delta qui sont décom- les conservant en mémoire. Supposons Deux nouveaux algorithmes de cal- pressés en temps réel, pour former une que l'on travaille sur un moteur com- cul font leur apparition : le Scanline animation. Dans certains cas, quelques portant de nombreuses pièces et que Painting, algorithme de calcul des par- saccades apparaissent en mode entre- l'on s'intéresse particulièrement à un ties cachées dont le rendu est analogue lacé overscan. Ceci n'est pas forcément piston. Il est tout à tait possible de à l'ancien mode painting. L'améliora- lié à un bug de Sculpt, sachant que la cacher toutes les parties du moteur, à tion concerne la vitesse de calcul pour mémoire vidéo de l'Amiga est souvent l'exception du-dit piston. On pourra à les objets complexes, qui ont beaucoup à la limite du décrochage (attendons le un autre moment travailler sur une d'intersections entre les polygones les nouveau Chip Set...). Nous verrons bielle en cachant le piston et ainsi de composant. Alors que le mode Painting dans une prochaine version si ce petit suite. Les tracés lors du rairaîchisse- s'escrime à calculer des triangles de point noir existe toujours. ment des fenêtres ne concernent alors plus en plus petits et perd un temps fou On retrouve avec plaisir la création que la pièce sélectionnée. Le gain de (essayez avec de longs cylindres très de trajectoires par Splines et le contrôle productivité qui en découle est très fins en intersection les uns les autres), parfait qui lui est associée (voir à ce important. le Scanline Painting procède ligne par sujet le précédent article sur Sculpt- Passons aux améliorations concer- ligne, un peu comme en Ray-Tracing. Animate 3D), ainsi que les animations nant le rendu. Tout d'abord une décep- Sur les objets simples, le Painting reste globales (par trajectoires) et Key- le tion de taille : il n'existe pas de la meilleure solution, car temps de Frame (par interpolation entre deux générateur de nappage de textures balayage de l'écran du Scanline Pain- scènes). Le fait le plus marquant, est dans la version actuelle. Autrement dit, ting est alors plus long que le tracé l'effort consacré à l'interfaçage de péri- vous ne pouvez toujours pas enrober le direct des polygones. phériques professionnel!; et... coûteux. portrait diqitalisé de votre petite amie Dans le même ordre d'idée, le Scan- Des exemples ne fichiers sources en C, sur une sphère brillante... Pour faire line Snapshot est plus véloce gue le décrivant divers moyens de communi- passer la pilule, une nouvelle texture Snapshot (Ray-Tracing sans les ombres quer avec des Frame Bufferts et Single- métallique est disponible. Son effet est portées), mais ne prend en compte que Frame Controllers intéresseront les globalement un mélange des textures les objets brillants ou mats. Ces nou- programmeurs. Sculpt-Animate 4D brillante et miroir. Un nouveau mode veaux algorithmes permettent au con- contient un algorithme de calcul sur 16 GRAPHISME

22 millions de couleurs simultanées, soit rnarks (tests et performances) montrés 24 bitplanes produisant trois fichiers dans les publicités prennent en compte RGB, destinés à être relus sur stations des valeurs théoriques, qui ne sont graphiques haut de gamme ou Frame absolument pas représentatives d'une Buffers. Le temps de calcul devient utilisation courante. N'accordez aucun insupportable sur 68000, évidemment. crédit à des lests comme le Savage, qui Une reprogrammât ion des touches A calcule à n'en plus finir des opérations à Z en macro-instructions, permet de trigonométriques complexes et donne personnaliser les commandes et d'accé- un facteur de 100 à 200 en accélération, lérer le choix des options, en se passant par rapport à un 68000, et pour cause ! de la souris dans bien des cas. Les com- C'est le coprocesseur 68881 qui mou- mandes batch qui constituent des line les sinus plus vite que son ombre scripts, sont complètes et puissantes. et donne ce résultat. Dans un logiciel Elles sont souvent réservées aux incon- comme Sculpt-Animate 4D, le calcul en ditionnels de DBW Render ou de pro- virgule flottante (pris en relais par le duits équivalents sur VAX ! coprocesseur mathématique) occupe Néanmoins, constituer de gros fichiers une grande place, mais les entrées- batch est utile, dans les cas où l'auto- sorties, le calcul sur des entiers, les matisation de la création d'animation ne appels de sous-programmes, les bou- nécessite pas d'intervention de l'utili- cles, les tests et branchements sont sateur. Cela vous donne en plus encore plus nombreux ! l'impression de travailler sur un très Les tests les plus sérieux effectués sur gros syslème ! Sculpt-Animate 4D l'on été dans le

Des indications sont données en cadre suivant : annexe sur la structure C des fi- -- Scènes complexes (plusieurs textu- chiers/images/produits par Sculpt- En résumé, un package d'une qua- res représentées), plusieurs sources Animate 4D, ainsi que des précisions lité presque sans reproche (à part lumineuses (2 est un bon chiffre), une sur la compatibilité du logiciel avec un l'absence de texture mapping el quel- image Plein-écran Overscan (les tests Genlock. Les vidéastes apprécieront. ques plantages dans l'animation). Les sur de petites images peuvent être faus- temps de calcul sont divisés par deux sés) et le mode Photo pour un réalisme LE NOMBRE MAGIQUE sur les scènes complexes, par rapport maximum. Ridou illeurs et fouineurs, réjouissez à Sculpt-Animate 3D. Néanmoins, ne Dans ces conditions, le plus impor- vous car nous avons gardé le meilleur vous faites pas d'illusion, la carte accé- tant facteur d'accroissement relevé sur pour la fin. Il existe dans Sculpt- lératrice s'impose pratiquement pour la carte CSA comportant un 68882 à Animate 4D une fonction spéciale, une utilisation vraiment sérieuse. La 25 MHz et 384 Ko de RAM statique est nommée MAGIC NUMBER, que l'on carte A2620 de Commodore, d'un prix 10 fois, chrono en main. Si l'on vous fait actionne par CTRL-D. L'appui sur cette raisonnable (autour de 14 000 F TTC miroiter des chiffres plus importants, séquence de touches, provoque l'appa- avec 68020 MHz, 68881-14 MHz et vérifiez-les ! Sur la carte A 2620 de rition d'une petite fenêtre, dans 2 Mo de RAM 32 bits), pourrait consti- Commodore, un facteur 6 est courant. laquelle vous êtes invité à taper un tuer un achat en rapport avec un Notez qu'on est loin des 30 à 60 fois, nombre. Suivant ce dernier, des fonc- emploi professionnel de Sculpt- mais c'est tout de même très apprécia- tions nouvelles, d'ailleurs non docu- Animate 4D. Pour des performances ble, à condition d'y mettre le prix. mentées, sont disponibles. Ces encore plus grandes, il reste les CSA fonctions ne sont vraisemblablement (malheureusement très chères), ou les LE CULTE DE SCULPT pas iinalisées et parfaitement lestées, vu hurricanes (d'un excellent rapport Dans tous les cas de figure, Sculpt- leur absence de la documentation et qualité-prix mais très difficiles à trou- Animate 4D est LE standard incontesté des fichiers d'explications sur disquet- ver en France). en conception-animation 3D, même si tes. Elles seront sans doute proposées les calculs sont longs et même si en standard dans une prochaine ver- CARTES... PAS DE CREDIT... l'apprentissage l'est parfois aussi. Le sion. En attendant, essayez les valeurs Concluons sur un avertissement qui jeu en vaut largement la chandelle. 7, 13, 99, 100, 101 et 102. Vous pour- ne peut qu'être utile à tous les utilisa- Vous en voulez une preuve ? Sculpt- rez par exemple paramétrer le taux des teurs potentiels d'Amiqa et notamment Animate 4D est en cours d'adaptation rayons réfléchis par rapport aux rayons de Sculpt-Animate : les cartes accélé- sur Macintosh II (mais d'après les pre- réfractés, l'aspect de la texture métal- ratrices ne font pas de MIRACLES I Ne mières estimations, vous irez plus vite lique, modifier précisément les valeurs croyez pas les individus (vendeurs ou avec une carte 68020 sur votre Amiga des couleurs de la palette, etc. Vous vantards, parfois les deux) qui vous que le Mac II, si ! si !). Bref, si vous découvrirez d'autres valeurs en fouil- affirment que votre machine tournera aimez la 3D, seule votre tirelire pourra

lant un peu plus dans les méandres de 40 fois plus vite avec leurs cartes : Il vous retenir de l'acheter....

Sculpt-Animate 4D. n'en est rien ! La plupart des bench- Frédéric Louguet S)î * METZ ^ Roe du pont des morts <** g^32 .W& HARDWARE

SCANNER A4 PRINT-TECHNIK Outil indispensable de la chaîne PAO, le scanner est un produit qui permet de saisir rapidement des graphismes et de les intégrer dans ses documents. L'offre de Print- Technik en la matière, se positionne comme le bas d'une gamme qui ne cesse de s'enrichir.

Vomme vous avez pu le découvrir sous la forme d'une barre lumineuse, dans Commodore Revue n° 7, l'Amiga le document reposant sur une plaque possède déjà un scanner à main de verre coulissante. Cela oblige l'uti- (Handy -Scanner). Ce périphérique est lisateur à laisser une place assez impor- certes peu coûteux, mais peu pratique tante autour de sa machine et nécessite pour une utilisation réellement « pro- donc un plan de travail spacieux. fessionnelle ». Contrairement à celui- A l'intérieur de ce boîtier a été rajou-

ci, le scanner de Print-Technik est un tée une carte électronique, qui offre, à scanner de taille normale (A4), qui per- l'arrière, un connecteur de type paral- met de saisir une feuille A4 en une lèle Centronics. La connexion à l'Amiga se fait par un simple câble. On relèvera ici, un plus qui peut parfois être une faiblesse de ce système, dans la mesure où la connexion parallèle a été préférée à une connexion série. PRESQUE UNE Bien que ce choix soit pourtant judi- PHOTOCOPIEUSE... cieux, quant à l'accroissement de la vitesse du parallèle, ce port est souvent Le produit de Print-Technik est un utilisé par l'imprimante. Ainsi, l'utilisa- scanner qui fonctionne sur tout Amiqa. teur est amené à déconnecter son La partie matérielle est basée sur une imprimante, pour utiliser le scanner et photocopieuse dont on a ôté le géné- inversement. Périphérique externe, ce rateur de copies. Ainsi, on n'utilise que produit possède, bien sûr, sa propre la partie « scanner » qui se présente alimentation intégrée 220 Volts. HARDWARE amiga

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En somme, il y a peu de choses à dire Cette manipulation n'est malheureu- aujourd'hui une telle puissance qraphi- de plus sur l'aspect matériel de ce scan- sement pas automatique, dans la que pour un prix si attractif. Cela dit, ner, hormis un détail amusant. Un mor- mesure où l'utilisateur doit appuyer sur l'environnement de cette machine ne ceau de scotch trompe la machine en le bouton Start du scanner. Etonnant, répond pas au même concept. Il en est bloquant un mécanisme qui permet de non ? De plus, une fois le document tout à fait vrai pour ce qui est de la sai- l'exploiter sans rouleau de papier ! digitalisé, on doit remettre le scanner sie des informations et plus particuliè- Cependant, que le lecteur dans sa position initiale, en faisant cou- rement des images. trompe pas, l'utilisation de ce s lisser la vitre et son rabat, jusqu'à la Le Digiview de Newtek, est une inter- en photocopieur est impossible.. butée initiale. Encore plus étonnant face de digitalisation peu coûteuse, pour un système informatique dit auto- mais la caméra qui saisira l'image n'est matisé... pas encore à la portée de toutes les Bref, on a quand la joie de bourses. Et encore moins celle gui vous POUR LE LOGICIEL, LE STRICT même découvrir, au bout de quelques secon- donnera des images parfaites (caméras MINIMUM... des, son document digitalisé sur tri-tubes de type professionnel). ' que nous avons l'écran. On pourra choisir de « zoo- Mais le problème spécifique du scan- testé, livré loqiciel nous a été un en mer » ou s'éloigner de celui-ci, par ner que nous traitons ici, est principa- anqiais dans sa version 1 0. trois échelles différentes (1:1, 1:2 et lement lié à un besoin de saisie Cette version, bien que très jeune, 1:4). Des options de déplacement de la d'images en vue d'être éditées sur comprend les fonctionnalités de 1 fenêtre dans le document et de renver- papier. L'Amiga peut gérer des cou- Ainsi, au démarraqe, on a la i sement d'image sont aussi disponibles. leurs dans son utilisation en PAO, mais lité de choisir entre plusieurs mode On sélectionnera enfin, tout ou partie les périphériques de sortie profession- d'utilisation : 640 x 512 sans gadget, de l'écran, pour le sauver ensuite dans nelle (accessibles) éditent encore en 640 X 512 avec les gadgets et 640x256 un fichier IFF ou l'imprimer en trames Noir et Blanc, voire en différents avec gadgets. On choisit l'un de ses de gris. La réexploitation de ces niveaux de gris. Même si une saisie en modes en fonction principalement de la fichiers se fait ensuite sans encombre, couleur d'une irnaqe est plus en accord mémoire dont on dispose. Si l'on est sous des logiciels comme Dpaint ou avec le concept de l'Amiga, le scanner l'heureux possesseur de 3 Mo de Professional Page. en niveaux de gris correspond plus à mémoire, on pourra sans problème une utilisation efficace et rentable de accéder à un écran de 640 x 512 cette machine en environnement d'édi- points, avec tous les qadqets d'utilisa- tion. Même si les scanners couleur A QUAND LA SUITE... tion du programme sur le côté de seront bientôt disponibles (Sharp JX s'arrêtent les fonctionnalités du l'écran. Mais si on n'a qu'un 1 Mo de Là 450...), ces produits se positionnent sur 1.0. Bien RAM disponible, on se limitera à un logiciel Printer-Technik V un marché encore mal défini, qui se gue cela soit le strict nécessaire (scan- écran 640 x 256, en s' exposant parfois positionne entre l'édition traditionnelle ning, sélection, sauvegarde), on aime- à des plantages dûs à une grosse- et l'illustration graphique. d'autres options l'on a demande de mémoire du programme. rait trouver que Pour en revenir au scanner de profession- Une fois la totalité du programme dans des systèmes plus Printer-Technik, ce produit possède Mais positionné à 7 990 F TTC, chargé, on se retrouve sous une inter- nels... certes un problème de jeunesse sur un ce système correspond plus à une uti- face assez simple d'utilisation qui rap- marché naissant : celui de la publica- semi-prnie:;sionnelle. D'autre pelera, à certains, l'écran de lisation tion professionnelle sur Amiga. Pion- part, le logiciel va sans doute évoluer. Professional Page. Cependant, les nier sans aucun doute sur le segment pourra peut-être trouver plus fonctions présentes sont en nombre On y des scanners A4, le produit de Printer- tard, un mini-éditeur graphigue, ou un beaucoup plus restreint. Technik a le principal intérêt d'exister OCR (système de reconnaissance de Tout d'abord la configuration du et de combler un mangue qui subsis- caractères), ou plus simplement une scanner est assez simple et assez tait à un prix accessible. réduite. Qu'on le veuille ou non, le meilleure précision guant aux réglages Eric Lux scanner numérise 1664 points à l'hori- fins de contraste et de lumière. zontal. Seul le nombre de lignes est modifiable et a pour maximum 2048. FINALEMENT, EST-CE SUE ÇA Avec une bonne calculatrice, on véri- fiera que la densité de digitalisât ion de SERT? ce système approche bien 200 x 200 Les puristes de l'Amiga diront rapi- DPI (point par pouce carré). A cela dement que sur cette superbe machine, s'ajoute le choix d'une valeur de con- tout ce qui ne gère pas 4096 couleurs traste, qui oscille entre et 15, ce qui n'a pas lieu d'exister. En bon normand, ne saute pas aux yeux à l'utilisation. nous nous devons de dire « c'est cer- Une fois que l'on a choisi ces valeurs, tes vrai, mais quand même ». on ordonne le « scanning » en cliquant L'Amiga est en effet une machine sur te gadget Scan. superbe, qui est la seule à proposer ajvuga DOSSIER

TROISIEME DIMENSION L'EMBARRAS DU DOSSIER aauga

SUR AMIGA CHOIX.

m& ans un premier temps, i de séparer en catégories, les différents produits, afin de s'y retrouver un peu mieux et de permettre au débutant de choisir le logiciel gui lui convient. En gros, quatre catégories de logiciels

peuvent être dégagées : les utilitaires de modélisation, les utilitaires destinés à améliorer le travail avec les gros logi- ciels {" add-ons » en grand-brelon), les outils complots animation-modélisation avec calcul des laces cachées et les Ray -Tracera, Celte sous-division est évidemment un peu arbitraire et est basée sur uni.: différenciation au niveau

du rendu visuel de:; images. Il aurait été possible de classer suivent la présence ou l'absence de capacités d'animation,

ou encore sur le prix, mais il fallait faire un choix plausible et celui retenu, a le mérite d'être directement « visible » suivant les images produites par les

LA THEORIE AVANT LA PRATIQUE

Un peu de théorie ne iaii de mal à personne (on principe). Penchons-nous donc un peu sur la guestion. La fasci- nation exercée par l'imagerie en trois dimensions, tient essentiellement à sa capacité à simuler le monde réel, ou au contraire, à créer des univers n'existant pas dans la réalité. Plus prosaïquement

et si l'on ne considère que le côté « utile » de la chose, la 3D permet de réaliser des simulations d'objets desti- nés à être conçus plus tard, a l'aide de méthodes plus traditionnelles. C'est le but suivi pur la Conception Assistée par Ordinateur (CAO), depuis longtemps adoptée par les oonslrucleurs aéronau- liques ou automobiles. L'architecture devient elle aussi une cliente de choix pour ces outils et les architectes d'aujourd'hui disposent de logiciels spécialisés (souvent complexes) pour visualiser en perspective leurs projets de constructions. DOSSIER

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LE MARCHE DES PME Que dire de l'imagerie médicale qui a accompli de formidables progrès ces dernières années, grâce aux techni- ques de modélisation du corps humain. Les domaines dVipplication deviennent en fait innombrables, un marché énorme s'ouvre avec les petites et moyennes entreprises qui peuvent, grâce aux micros, réaliser des logos ou des mini- clips de promotion. Ne par- lons même pas de la Défense Nationale, qui dispose de moyens énormes en matière de simulateurs de combat.

Chaque domaine d'application demande souvent un type particulier de du Ray-Tracing avec Seul pi 4 réalisation et de visualisation, c'est ce que l'on appelle le « rendu ». Le siques de la simulation que sont Inter- objets. On peut citer des méthodes 1res modèle le plus simple, qui fut d'ailleurs ceptor ou Falcon. connues comme- k-s lissages de Gou- pendant longtemps le seul susceptible Bien que plus précis, ce modèle de raud ou de Phong. de tourner sur micro en raison de leurs visualisation n'est pas ce qu'on peul faibles capacités de calcul, est le célè- appeler réaliste. 11 manque beaucoup bre Fil de Fer (« Wire Frame »). Dans de paramètres pour prétendre à un réa- RAY-TRACING, LE MUST ce type de représentation, seuls les lisme correct. Les effets de matières, de Pour aller encore plus loin, une tech- points et les arêtes composant l'objet luminosité ne sont pas présents. L'étape nique nouvelle sur micro et récente de sont représentés, ce qui lui donne cette suivante consiste à appliquer des algo- manière générale (apparue au début apparence « squelettique » caractéris- rithmes de lissage, destinés à gommer des années 80), est le suivi de rayons tique. Les micros actuels sont capables les défauts par trop apparents, à ren- ou Ray- Tracing. Cette méthode de d'effectuer toutes sortes de manipula- dre plus ronds des objets anguleux (par rendu représente ce qui se fait de plus tions en temps réel sur ce type de exemple une sphère simulée par un réaliste en imagerie de synthèse, et modèle, qui ne sert plus à produire une maillage de polygones) et à reproduire pour cause. Il s'agit ni plus ni moins de image finale, mais a accélérer le pro- des effets de lumières sur la surface des calculer à rebours le trajei de tous les cessus de réalisation de formes en rai- son de la vitesse de manipulation. Le Wire Frame ne manque d'ailleurs pas de charme et reste extrêmement utile dans un but d'étude de la perspective. Au fur et à mesure de la montée en puissance des micros, d'autres types de rendu leur sont devenus accessibles. L'étape suivante vers le réalisme de la représentation, est l'élimination des faces cachées. Ce modèle permel une visualisation plus fidèle, en n'affichant pas à l'écran les parties de la scène qui seraient invisibles dans la réalité. A ce principe de base correspondent de multiples algorithmes, plus ou moins rapides, gourmands en mémoire, pré- cis... Ce type de rendu devient la norme dans les simulateurs de vol sur micro et a maintenant remplacé le Fil de Fer dans tous les logiciels de pointe en ce domaine. La vitesse d'animation est tout à fait respectable dans les clas- .iirtil célèbre DUW Kender DOSSIER

29 rayons lumineux frappant une scène, Cela étant dit, les logiciels de 3D sur ques défauts, Modeler 3D apportera en prenant en compte les caractéristi- Amiga dévient évidemment plus vers le aux utilisateurs de VideoScape 3D un ques de réilexion, de réfraction, de spectaculaire et l'imagerie proprement outil plus agréable que ceux dont ils couleurs des objets qui la composent. dite, que vers la CAO. Il n'existe pas disposaient jusqu'alors. En revanche. Les deux première:; sphères de Whit- de « monstre » en architecture, comme Modeler n'offrira aucun intérêt pour les ted en 1980 ont fasciné plus d'un cher- le sont ArchiCAD ou Architrion sur PC habitués des Tri-View de Sculpt 3D ou cheur et les logiciel" do Ray-Tracing se AT et Mac II, mais les outils de Ray- 4D. sont développés rapidement. Il est vrai Tracing sont les plus nombreux dispo- que cette méthode permet de donner nibles sur tous micros confondus ! NOM : MODELER 3D un réalisme quasi-photographique à EDITEUR : AEGIS DEVELOPMENT une scène (compte tenu évidemment VERSION : 1 la des caractéristiques techniques de PRIX : ENVIRON 700 F machine sur laquelle tourne le logi- TYPE : MODELEUR D'OBJETS 3D ciel), en introduisant des effets de MODÉUSAfflON CONFIGURATION : 512 Ko matières complètement fous, comme le MINIMUM bois, le cuivre, le chrome, les surfaces UTILISATION OPTIMALE : métalliques, le verre, bref tout est CREATION D'OBIETS A UTILISER La première catégorie que nous possible. DANS VIDEOSCAPE 3D allons aborder, est celle des outils de POINT FORT : BIEN ADAPTE A modélisation séparés et donc pas des- VIDEOSCAPE 3D tinés à priori à la production d'images AECIS POINT FAIBLE : ERGONOMIE réalistes, ni à l'animation. Deux repré- PLUS OUE CONTESTABLE sentants principaux figurent au pro-

gramme : MODELER 3D et 3 DEMON. 3-DEMON MODELER 3D Modeler 3U est né pour ainsi dire afin Cet éditeur d'objets est quasi- de pallier aux défauts en matière d'édi- inconnu en France, ce qui est un scan-

tion d'objets de Vidéoscape 3D. Il s'agit dale I II s'agit en effet du seul éditeur d'un éditeur d'objets tout ce qu'il y a d'objets capable de charger et de sau- de plus classique, doté d'une vitesse de vegarder aux formats VideoScape et travail honorable et de fonctionnalités Sculpt. Il est aussi capable de sauver Vidéosirapo fut k- nivmier milil r:elk'iuem efficace complètes. On y retrouve des comman- (mais non de charger) aux formats sur, Amiga. des de zoom et de réflexion (pour créer Forms in Flight et Turbo Silver. Il cons- Le Ray-Tracinq est devenu synonyme des objets symétriques). La possibilité truit les objets à l'aide de la primitive de haut de gamme et tout logiciel n'en de travailler sur huit écrans de travail de base utilisée par beaucoup de logi- disposant pas, devient aux yeux de cer- est appréciable (à condition d'avoir pas ciels 3D : le triangle. La manipulation tains, un produit moins intéressant. Ne mal de mémoire, bien sûr) et l'utilisa- des on; élu esl à Li 'ois simple el ms'irs.' tombez pas dans ce piège. N'oublions teur à le choix entre travailler en mode tive. La représentation de la forme en pas que cette technique est la plus entrelacé ou non. Une petite bibliothè- cours d'édition, peut se faire en fil de gourmande qui soit en temps de calcul que de formes prédéfinies (sphères, Fer ou en polygonal, avec remplissage et gue dans beaucoup de cas, un réa- parallélépipèdes, cylindres) facilite la des faces. lisme absolu ne s'impose pas. Sachez conception de volumes simples. En Les rotations et translations peuvent aussi que pour exploiter professionnel- outre, Modeler 3D offre la possibilité de être annulées immédiatement après lement sur Amiga des animations en récupérer des objets modélisés avec avoir été effectuées, à l'instar de la Ray-Tracing, mieux vaut avoir une Sculpt 3D, rrifiis pas de les sauvegarder fonction Undo présente sur bon nom- bourse bien remplie, car l'achat d'une à ce même format. Pas question d'aider bre de logiciels 2D. Un des aspects les carte accélératrice est quasi- les concurrents... plus performants de 3-Demon est sa obligatoire. Un lissage peut très bien Tout n'est cependant pas rose (en capacité à traiter différents types de suffir dans la plupart des cas. Evidem- lait, on en est même loin). L'ergonomie surfaces. Même s'il n'est pas capable de ment, si vous avez absolument besoin du logiciel laisse souvent à désirer et produire des images réalistes, il peut d'une bouteille en verre dans votre la logique des manipulations n'est pas exporter directement les paramètres de scène, difficile de s'en passer. D'un toujours évidente. La moindre sélection surfaces dans un logiciel de Ray- autre côté, gui peut le plus, peut sou- d'une sphère passe par la définition de Tracing. L'utilisateur peut donc contrô- vent le moins (guoique pas toujours...) ses paramètres au clavier. D'autre pari, ler la couleur, les réflexions diffuses et et un produit comme Sculpt-Animate même si le logiciel propose: un mode de spéculaires, la lumière émise par 4D contient une dose massive d'algo- rendu avec faces cachées, sa vocation l'objet, la réfraction ou la transparence. rithmes divers, adaptés à toutes les n'est pas de produire des images, ni de 3-Demon supporte aussi les hiérarchies situations. réaliser dos animations. Malgré quel- d'objets, dans lesguelles plui aMiga DOSSIER

30 niveaux de dépendances existent, entre ARCHITECTURAL DESIGN, lisables sous Sculpt 3D, VideoScape 3D, Aegis Draw Plus et Professional les solides composant une scène. FUTURE DESIGN, HUMAN 3- Démon ne fonctionne qu'en NTSC, Page. Cet outil unigue convertit les DESIGN, MICROBOT DESIGN. ce qui est dommage. Il est assez rapide polices de caractères bitmap Amiga et ses possibilités sont très intéressan- Ces bibliothèques d'objets prédéfinis (dont celles que l'on trouve dans le tes. Jetez-y un coup d'oeil si vous n'êtes pour Sculpt 3D, Modeler 3D ou répertoire Fonts) en vectoriel. Vous leurs pas déjà habitué à un modeleur parti- VideoScape 3D, ne cachent pas avez bien lu ! Il est parfaitement possi- origines Atariennes. Les objets résul- ble de modifier Garnet 9 pour en faire tent en fait d'un transcodage hâtif, à une police vectorielle, que l'on affi- partir de librairies adaptées à CAD 3D chera directement dans Professional NOM : 3-DEMON sur Atari ST. Si certains objets sont l'on utilisera sous Sculpt- EDITEUR : MIMETICS Page ou que intéressants, ils ne sont pas du tout opti- VERSION : 1.0 Animate pour égayer une scène en misés pour les logiciels Amiga et con- Ray-Tracing. D'un coût assez élevé PRIX : 750 F tiennent beaucoup plus de points qu'il (plus de 1 000 f), cet outil est néan- TYPE : MODELEUR D'OBJETS 3D

est nécessaire. Résultat : la moindre réaliser titrage CONFIGURATION : 512 Ko moins unique pour du MINIMUM forme prend plusieurs centaines de (aces et l'utilisation sous Sculpt 3D n'est UTILISATION OPTIMALE : CONCEPTION D'OBJETS POUR envisageable sérieusement, qu'avec SCULPT 3D, VIDEOSCAPE pas mal de mémoire et une carte accé- tfsovnns 3D, TURBO SILVER, FORMS lératrice... Si vous avez du courage, IN FLIGHT essayez de « dégrossir » certaines for- mes (notamment dans le disque consa- POINT FORT : COMPATIBILITE comn^L AVEC TOUS LES LOGICIELS 3D cré au squelette humain) qui en valent CONNUS la peine. Sinon, mieux vaut s'abstenir. entre 200 et 300 frs pour cha- POINT FAIBLE : NE MARCHE Comptez QU'EN NTSC que lib:

Dans la catégorie des outils complets d'animation avec calcul des parties cachées, trois logiciels sont actuelle- ment disponibles. VideoScape 3D ne se présente plus. Design 3D est l'évolution tfSADD^Ni attendue de CAO 3D et Forms in Flight II, même s'il n'est pas réputé dans notre pays, offre des possibilités qui valent le

Seconde catégorie, les « Add-ons » qui permettent d'optimiser l'utilisation de tel ou tel logiciel. On y retrouve des VIDEOSCAPE 3D v2.0 3D, des outils polices de caractères Au début était VideoScape. Ainsi des fichiers permettant d'échanqer peut-on résumer la carrière de ce logi- biblio- entre plusieurs logiciels, ou des ciel d'animation, qui fut longtemps le thèques d'objets. Nous ne nous éten- seul à pouvoir produire des animations drons pas très longtemps sur ces 3D de qualité sur notre machine. La produits, efficaces certes, mais dont récente version 2 corrige bon nombre l'utilité ne se rapporte souvent qu'à un INTERCHANGE ET INTERFONTS de défauts de son ancêtre, mais ne très précis. but Ces deux logiciels de l'éditeur amé- s'éloigne pas de la philosophie ricain Syndesis sont réellement très VideoScape. 3D FANCY FONTS productifs. Interchange permet la con- Commençons par les reproches.

Il s'agit de deux disquettes contenant version d'objets entre VideoScape 3D L'édition d'objets avec les utilitaires des polices de caractères 3D, destinées et Sculpt 3D en version de base. Avec D3D ou EGG est PENIBLE. Soyez prêt à être utilisées avec les principaux logi- des modules complémentaires, il réa- à vous servir intensivement du clavier, ciels 3D. D'excellente qualité, elles lise ces mêmes conversions avec Turbo si vous voulez des résultats précis. Bien comprennent des alphabets majuscules Silver et Forms in Flight. Simple sûr, rétorgueront les fanatiques, on s'y et minuscules, italiques, chiffres el d'emploi, il constitue un outil indispen- fait en travaillant. Il est vrai qu'on se fait signes de ponctuation. Leur importa- sable à ceux gui travaillent régulière- à tout, même à l'édition de scènes sous

tion dans Sculpt se fait sous la forme ment avec les logiciels concernés. DBW Render ! (voir plus loin). Il n'en

d'objets standards. Il existe aussi des Interfonts est très ambitieux puisqu'il reste pas moins que Modeler 3D a cons- modules pour Turbo Silver et VideoS- s'agit ni plus ni moins d'un générateur titué un apport important de ce point cape 3D. Leur prix est de 600 frs. de caractères en trois dimensions, uti- de vue. Alors pourquoi ne pas l'inté- DOSSIER amiga

31 grer à VideoScape dans un seul et l'apprentissage peut ANIMATIONS AVEC HIERARCHIES même package ? POINT FORT : PUISSANTE Cela dit, c'est au niveau du rendu FONCTION DE TEXTURE 2 a fait le plus pro- que VideoScape de NOM : VIDEOSCAPE 3D MAPPING grès. Alors que la première version POINT FAIBLE : UTILISATION EDITEUR : AEGIS DEVELOPMENT n'autorisait le calcul faces que des VERSION : 2.0 COMPLEXE, NE GERE PAS LE cachées avec un nombre limité de cou- PRIX : 1 400 F HAM leurs, nous sommes maintenant devant TYPE : ANIMATION 3D produit le un capable de qérer mode CONFIGURATION : 1 MEGA HAM et l'extra- half-bright 64 couleurs. MINIMUM DESIGN 3D est satisfaisant grâce lis- Le rendu au UTILISATION OPTIMALE : On se souvient de CAO 3D, premier sage de Phong qui, combiné à une TITRAGE 3D, MINI-CLIPS logiciel français de 3D à sortir sur le et la palette plus étendue à possibilité POINT FORT : RAPIDITE, marché. Design 3D (voir essai dans de placer 4 sources de lumière indé- COMPRESSION DES IMAGES POINT Commodore Revue n° 10) est la ver- lisses pendantes, donne des objets plus FAIBLE : FACILITE D'UTILISATION sion « internationale » et améliorée de et restitue des effets de matières. Néan- TRES RELATIVE CAO 3D. moins, il ne s'agit pas de Ray-Tracing L'écran de travail présente quatre et les ombres portées ne peuvent être vues différentes dans l'espace et les simulées qu'avec un style particulier de outils sont complets. On remarquera polygones. FORMS IN FLIGHT II une fonction de génération automati- VideoScape 2.0 reconnaît automati- Voici encore un produit pratique- que de texte en 3 dimensions, ainsi que quement les formats NTSC américain et ment inconnu dans l'hexagone. Pour- la possibilité de dessiner a main levée, PAL européen et s'ajuste en fonction de tant, ce logiciel ne mangue pas de ce qui est assez rare pour un logiciel la norme. Toutes les résolutions de qualités. Il utilise des courbes, comme ce type. chapitre des regrets, la ver- de Au l' Amiga sont supportées, y compris le primitives 3D et dispose, dans une lenteur certaine et l'absence de mode overscan. Au niveau algorith- sion 2, de caractéristiques de pointe, réalisme, le logiciel se limitant à 16 mes, constatons avec satisfaction la pré- comme le mappaqe de texture. On peut couleurs affichables simultanément sence d'un Z-Buffer. Cette méthode, parfaitement plaquer plusieurs imaqes En revanche, certaines fonctionnali- souvent implantée en « hard » sur les IFF sur une forme (jusqu'à 15), quelque tés sont très pratiques. Il est, par exem- grosses stations et utile à l'élimination soit sa complexité. Un point faible : le ple, possible de sauvegarder un dessin des parties cachées, consiste à garder mode HAM n'est pas reconnu et le sous forme vectorielle, afin de le réuti- en mémoire une somme d'informations nombre de couleurs à l'écran est donc liser sous Aegis Draw 2000 ou Profes- sur les coordonnées de l'axe Z (la pro- limité. On notera la présence d'un lis- sional Page, ou de sortir un fichier au fondeur). Ainsi, il est plus rapide de sage de Phong gui améliore notable- format HPGL, reconnu par toutes les déterminer les positions relatives des ment le rendu, mais pas de module de tables traçantes compatibles avec cette objets les uns par rapport aux autres sur Ray-Tracing. norme. Enfin, la sauvegarde au format cet axe et donc, augmenter la précision L'animation bénéficie de hiérarchies VideoScape 3D est un plus de plus ! et diminuer le temps de calcul. Seul d'objets puissantes, mais le format L'édition des caractères bénéficie d'un problème, mais il est de taille, le Z- d'animation ne se conforme pas au stan- mode spécial, dans leguel la concep- Buffer est d'une gourmandise gargan- dard ANIM, ce qui oblige l'utilisateur tion d'un alphabet 3D est assez facile- à le Fast Fliqht pro- tuesque ! Comptez un méga de Ram employer module ment réalisable. Le module d'anima- 3n que pour l'utiliser en pre au logiciel. Le gros point faible du tion, simple mais efficace, est compa- programme, est sa facilité d'emploi... tible avec celui de VideoScape. Côté animation, VideoScape 3D inexistante ou presque. Il faut jongler Le prix de Design 3D en fait un bénéficie d'une méthode de compres- avec les requesters lors de la concep- excellent choix pour débuter en 3D et sion améliorée qui permet de réaliser tion de scènes et l'utilisation du mode s'exercer au dessin technique. Beau- des séquences assez longues. Le con- entrelacé n'est, de ce fait, pas recoin coup de fonctionnalités intéressantes, cept des hiérarchies a été introduit et mandée. En somme, des fonctionnali- mais une lenteur vite exaspérante sur une fonction de suivi automatique d'un tés intéressantes, mais difficiles de gros objets, sont les points les plus objet pendant son déplacement, facilite d'accès. marquants de Design 3D. Le système le travail en éliminant des calculs fas- de protection portant sur la documen- tidieux. NOM : FORMS IN FLIGHT tation se révèle assez énervant. En résumé, un logiciel bien au point, EDITEUR : MICRO MAGIC idéal pour réaliser dow séquences de VERSION : 2 titrages ou de petits films. Sa rapidité PRIX : 120$ U.S (RARISSIME NOM : DESIGN 3D de calcul est un bon point, même s'il EN FRANCE) EDITEUR : INFOGRAMES n'utilise pas d'algorithmes très gour- CONFIGURATION : 1 MEGA VERSION : 1 mands en temps CPU. En revanche, il MINIMUM PRIX : 800 F n'est pas à conseiller pour un débutant, UTILISATION OPTIMALE : TYPE : MODELISATION- DOSSIER

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ANIMATION 3D ombres portées, les eifets de matières de SA-4D a atteint un niveau très CONFIGURATION : 1 MEGA et de textures, sont à des années- impressionnant, avec des fonctions MINIMUM lumières du graphisme fil de fer et qu'aucun autre logiciel ne propose,

UTILISATION OPTIMALE : l'impact visuel est évidemment sans comme la modélisation automatique INITIATION A L'IMAGE 3D, comparaison. d'hélices et de spirales. Les modes de DESIGN Néanmoins, voici un avertissement : rendu ne comptent pas moins de 7

POINT FORT : UTILISATION soyez sûrs d'avoir réellement besoin du algorithmes différents, du fil de fer au FACILE, COMPATIBILITE AVEC Ray-Tracing avant de vous y lancer à Ray-Tracing avec ombres portées et D'AUTRES STANDARDS corps perdu, car le temps de calcul et l'animation propose aussi bien des tra- POINT FAIBLE : LENTEUR, la taille mémoire recommandée, sont jectoires parfaites par courbes splines, ABSENCE DE REALISME sans commune mesure avec les autres ou par interpolations entre plusieurs méthodes de visualisation. Cela dit, scènes. Le seul reproche que l'on peut trois produits permettenl de réaliser les formuler à Tencontre de ce logiciel, est fantasmes délirants des infographistes son prix élevé pour la moyenne des -TRACERS, avides de sensations. Parmi ceux-ci, possesseurs d'Amiga mais également LES RM une siar incontestée (vous aurez l'absence de mappage de textures, reconnu Sculpt-Animate), un outsider alors que plusieurs autres logiciels le (Turbo Silver) LEPRt?1!^ et un monstre, dont la proposent déjà. l.,a prochaine version complexité d'emploi n'égale que sa devrait répondre à cette attente, en puissance (DBW Render), bien qu'il introduisant un mode de mappage très soit d'une diffusion limitée. pratique l'utilisateur La dernière catégorie (la plus pres- pour et donc plus tigieuse ?) est celle des Ray- Tracers. long à développer... La maîtrise Elle comprend les logiciels les plus fas- SCULPT-ANIMATE 3D ET 4D de cet outil n'est pas immédiate, mais tout est logique et bien cinants, car les plus spectaculaires au Plus encore que ses capacités de cal- pensé au niveau ergonomie. Sculpt niveau du rendu . Cela ne veut pas dire cul, c'est peut-être grâce à .son ergono- Animale 4D améliore considérablemen' que ce sont les meilleurs pour toutes les mie que Sculpt-Animate est parvenu à l'ancienne version 3D (d'ailleurs applications. Le titrage 3D ne passe pas la première place des logiciels de tou jours en vente) sur ce point et obligatoirement par le Ray-Tracing et modélisation et d'animation en 3D sur com prend, en plus, lout ce qui heureusement d'ailleurs... L'engoue- Amiga. Nous vous invitons à vous réfé- nécessaire à une utilisation réellement ment pour ce type de logiciel s'expli- rer à l'article sur Sculpt-Animate 4D professionnelle. Dernier que par la relative nouveauté de dans ce numéro pour une description point, pré- voyez 3 pour travailler confortable- l'implantation de telles méthodes de détaillée. Dans le cadre de ce dossier, MO ment et ne négligez pas l'achat rendu sur micro. L'hyper -réalisme, les force est de reconnaître que l'éditeur d'une carte accélératrice si vous comptez pas- ser du temps sur ce logiciel. Pour les moins fortunés, ou pour ceux qui ne veulent pas investir tout de suite dans la version professionnelle, sachez que Sculpt 3D et Animate 3D, vendus sépa- rément, vous permettront de vous ini- tier à moindre frais (900 1rs pour le modeleur et 1400 frs pour le module d'animation) à l'imaqe de synthèse.

NOM : SCULPT ANIMATE 4D

EDITEUR : BYTE BY BYTE

VERSION : 2.03

PRIX : 5 000 F (ou SCULPT 3D :

:juu F, ANIMATE 3D : 4 4ii(j FI

TYPE : RAY-TRACING, ANIMATION 3D

CONFIGURATION : 1 MEGA STRICT MINIMUM, 3 MEGA RECOMMANDE UTILISATION OPTIMALE : RENDU ET ANIMATION REALISTES

POINT FORT : MODELEUR, QUALITE DU RENDU, SUPPORT COPROCESSEURS

POINT FAIBLE : PRIX, PAS DE MAPPAGE DE TEXTURE DOSSIER

TURBO SILVER 3.0 Turbo Silver n'est pas très répandu, peut-être à tort. Il s'agit en effet d'un JX± logiciel puissant et, qui plus est, très rapide. Son module de Ray-Tracing est sensiblement différent de celui de Seu lpt- Anima te. Comme nous l'avons déjà précisé, il existe une multitude d'algorithmes, chacun ayant plusieurs variantes pour générer des images en Ray- Tracîng. La méthode utilisée dans Silver est le modèle « Octree » . Il permet de décou- per l'espace en plusieurs zones plus petites, dans chacune desquelles s'exé- cutent les procédures de Ray- Tracing. Un avantage de cette méthode est la vitesse de calcul, au moins deux fois plus rapide que celle de Sculpt- Ani- mate. A titre d'information, l 'Octree est un algorithme idéal pour les machines

parallèles : de type Transputer, chaque Imagine 4D risque d processeur se voyant confier une région de l'espace 3D. Le revers de la médaille est une fia- bilité incertaine. Turbo Silver rend DBW RENDE» 2.0 NOM : DWB RENDER assez souvent visite au gourou sur des public, est Ce produit, du domaine EDITEUR : DOMAINE PUBLIC scènes complexes. Il ne dispose pas disponible le plus puissant Ray-Tracer VERSION : 2.0 non plus de plusieurs types de rendu sur Amiga. A cela, une explication sim- TYPE : RAY-TRACING « intermédiaires » et le choix est limité ple : ce logiciel tournait à l'origine sur CONFIGURATION : 512 Ko STRICT au Ray-Tracing, ou au fil de fer. Enfin, mini-ordinateurs VAX. Spécialement MINIMUM, 1 MEGA l'éditeur d'objet, même s'il a fait de gros réécrit pour l'Amiga, il permet de réa- RECOMMANDE progrès, est loin de valoir celui de liser des effets extraordinaires. Il est, UTILISATION : ESSAIS Sculpt-Animate. OPTIMALE par exemple, le seul à pouvoir modéli- DE TEXTURES, EFFETS SPECIAUX Turbo Silver est un très bon outil ser des vagues, dispose de textures fan- POINT FORT : REALISME, pour ceux qui veulent expérimenter, tastiques comme le bois, le marbre, RAPIDITE, TEXTURES car il permet un réglage précis des combinés à une rapidité de calcul très POINT FAIBLE : APPRENTISSAGE paramètres de réflexion des surfaces et impressionnante. TRES LONG, PAS D'ANIMATION incorpore une fonction de mappage de Ou est le problème, dans ce cas ? Il textures. Un module d'animation, sim- n'y a pas d'éditeur d'objets. En consé- ple mais efficace, complète le tout. quence, TOUS les paramètres compo- sant une scène sont entrés à la main dans un fichier texte, qui sera relu par le programme. Vu le nombre très important de valeurs gue l'on peut attri- buer à chacun des paramètres de cha- que fonction, la folie guette les moins ANIMAT! courageux. Définitivement pas destiné au débutant, DBW Render vous per- MINIMUM mettra de créer des mondes inconnus et inexplorés par Sculpt et autres Sil- ver, mais au prix d'une ténacité sans bornes et d'un courage sans limites. Si vous ne savez pas où le trouver (le logi-

ciel, pas votre courage 1, allez faire un tour du côté du serveur SM1 sur 36-15 gui le propose en téléchargement, mais attention, la note sera salée... DOSSIER

Vidéoscape commandes^éral de panneau de , e

semble qu'il ne pourra produire des animations, qu'en étant couplé à un maqnétoscope image par iraaqe (Single-Frame Controller) qui, seul, coûte le prix de pas mal d'Amiga. NOUVEAUX Son avenir commercial paraît donc pour le moins incertain.

Avant de conclure, un mot de deux logiciels qui font parler d'eux avant même leur sortie officielle.

IMAGINE 4D Beaucoup plus proche de nous, puis- que sa sortie est maintenant très pro- che, Imagine 4D, produit par Disc Company et développé en France, ris- que de rallier à la 3D pas mal de pos- sesseurs d'Amiga rebutés par la complexité générale des logiciels de cette catégorie. Disposant d'une inter- face utilisateur « à la Caligari », c'est- à-dire avec édition des objets directe- ment en perspective, le petit nouveau est accessible à tous. Le module d'animation est tout aussi simple d'accès, tout en permettant de réaliser des séquences qui n'ont rien à envier à pas mal de ses concurrents. Au prix auquel il sera commercialisé (aux alentours de 700 ou 800 f). Imagine a- t-il vraiment des concurrents ? Il dis- pose en outre d'un mode fil de fer, d'un mode avec faces cachées, et d'un mode de rendu réaliste. La primitive de base n'est pas le polygone, mais les Splines, En guise de conclusion, sachez gue ce qui permet entre autre la réalisation les logiciels d'imagerie 3D sont tous de sphères parfaitement rondes. plus ou moins gourmands en mémoire. Imagine 4D n'est pas destiné à con- Si vous désirez utiliser Sculpt-Animate currencer Sculpt-Animate 4D, mais sa 4D professionnellement, pensez à facilité d'apprentissage et ses capaci- acquérir une configuration Amiga 2000 tés avancées, devraient lui permettre avec disque dur d'au moins 20 Mégas, de se tailler une bonne part du marché 3 MO de mémoire et carte accélératrice des logiciels 3D. (voir à ce sujet l'article séparé sur le logiciel). VideoScape vous demandera CALIGARI moins d'investissement pour le même C'est l'arlésienne de la 3D. Disposant temps de calcul, mais pas avec la même d'une interface utilisateur fantastique qualité. Avant de faire votre choix, avec édition des objets directement en essayez les logiciels, faites- vous con- perspective et en 3D, ce logiciel mythi- seiller et évitez les écueils du style que (on en parle depuis deux ans) apprentissage sur DBW Render... Cela verra-t-il enfin le jour ? Il semblerait dit, tous ces logiciels vous permettront, que le rendu pose quelques problèmes. à divers dégrés, de repousser assez loin De toute façon, sa diffusion devrait res- les limites de votre Amiga ainsi que cel- ter limitée, vu son prix annoncé (autour les de votre imagination. de 20 000 F !, qui le destine unique- ment aux professionnels. De plus, il Tout ce que vous avez jamais voulu savoir sur le démarrage d'un AMIGA

accélératrices... Si la carte nécessite une initialisa- tion, c'est ce programme qui devra la mener. En Nous sommes heureux de vous accueillir dans ce cahier dernier lieu, le programme va indiquer à la carte, technique qui est destiné à vous informer de manière précise l'adresse à laquelle elle devra répondre. En d'autres sur des points spécifiques. Cette rubrique, qui se veut à la mots, les cartes sont initialisées une à une, la pointe, se doit de traiter de la dernière version du système mémoire morte d'auto-configuration d'une carte d'extension répond à d'exploitation. Sachez aussi que la version 1.3 apporte tant $000000, que lorsque la carte est en train d'être initialisée, la carte d'extension de petites choses qu'elle finit par vous simplifier grandement ne repond que après avoir été initialisée à l'adresse i'Amiga. Si vous n'avez pas encore votre copie du Workbench indiquée par le système. Ainsi en présence d'une 1.3, courrez chez votre revendeur agréé, car il doit vous réali- carte d'extension mémoire A2052 ou A2058-2 et ser la copie sur présentation de vos originaux des systèmes d'une carte passerelle PC A2088D, la première sera précédents (1.1 ou 1.2). Si vous souhaitez la documentation logée de $200000 à S3FFFFF, alors que les 64 Ko française, sachez qu'elle sera disponible sous la (orme d'un de mémoire partagée de la seconde occuperon manuel de 150 pages. Il est impératif de réaliser avant toute l'espace de $400000 à $5FFFFF. chose une copie de travail de cet original pour éviter tout Il donne la main au premier programme « utilisa incident. teur » qu'il rencontre, c'est-à-dire qu'il cherche une disquette le Nous avons conçu ce cahier pour qu'il puisse autant ser- démarrable dans premier lecteur de dis-

quettes, et si il la trouve, il charge et passe le con- vir de référence, qu'apporter un complément à vos connais- trôle au programme sances. contenu dans les deux premiers secteurs de cette disquette (dits « sec Que vous soyez débutant ou expert, ces rubriques sont pour teurs de boot »). vous. Si ce petit programme est absent, I'Amiga se trouve en présence d'une disquette soit totalement

vierge d'informations, soit tout juste initialisée (« for- fait I'Amiga lorsqu'il ^lue est allumé ? mattée »), il ne peut que (ré)afficher la main deman-

Il se teste : des programmes vérifient, notam- dant l'introduction d'un WorkBench. ment, l'intégrité des processeurs spécialisés et le Si ce programme est un programme de charge- bon comportement de la mémoire. En cas de pro- ment spécialisé (typiquement pour un jeu ou une blème, l'ordinateur se bloque en affichant à l'écran démo pirate), il va lui-même lancer des program- une couleur déterminée : si c'est bleu, ce sont les mes qui vont prendre le contrôle de l'ordinateur en co-processeurs qui sont en cause, si c'est vert, utilisant plus ou moins les routines du système. c'est soit la mémoire, soit Agnus (qui gère une par- Si ce programme est un virus, AIE, AIE, AIE, il tie la de mémoire) qui est défaillante, si c'est jaune, a l'occasion de s'installer dans la mémoire et de une exception a empêché le traitement d'une inter- perturber le fonctionnement des programmes ruption au niveau du 68000, et si c'est rouge, c'est système et utilisateurs. le KickStart qui est incorrect. Si ce programe est présent (il est la marque de Il se configure : un programme va accéder à une toutes les disquettes qui peuvent servir de Work- adresse mémoire spécifique $E80000, qui est Bench, mais peut être installé par l'intermédiaire

l'adresse par défaut des cartes d'extension. Si il y de la commande CLI INSTALL), il passe le relais aux a une réponse à cet endroit, et aux endroits sui- routines de la bibliothèque AmigaDos (une biblio- vants, alors ce programme va lire les informations thèque est un ensemble de fonctions d'interfaçage de configuration qui y sont contenues, et construire entre les programmes et la machine). Cela se tra- une liste des extensions, en spécifiant, outre le nom duit de manière visible par l'ouverture d'une fenê-

et la il marque de la carte, si s'agit de mémoire, de tre de l'interpréteur de commandes CLI sur le fond système auto-boot, de carte réseaux, de cartes bleu de l'écran Workbench. Par ailleurs, l'Amiga-

35 IMIGRÏ

Dos a aussi déjà exploré un petit peu la disquette — pour sauvegarder votre œuvre, tapez sur la tou- puis la de démarrage car il a quelques à priori sur l'orga- che ESC, sur touche X ; nisation logiques des répertoires et des program- — pour abandonner, tapez sur ESC, puis sur Q.

il les : et Pour donner un exemple concret, imaginons que mes ; a repéré entre autres, répertoires S C: (voir l'encadré sur les principes de l'Ami- vous utilisez le programme de mise en page « Pro- gawDos). fessionnal Page » sur un Amiga 2000 avec un dis- dur. fonctionner Le répertoire S : des séquences de commandes que Ce programme, pour contient un fichier dénommé Startup-sequence, qui correctement, a besoin d'accéder à des fichiers est constitué d'une suite de commandes CLI à exé- contenus sur les disquettes dénommées PPage et cuter au démarrage. Ce fichier permet donc la con- PPageUtil, en conséquence, il les recherche tou- figuration de notre ordinateur. Mais il est fortement jours sur les périphériques PPage : et PPAgeUtil :. recommandé de ne pas modifier ce fichier stan- Nous souhaitons rassembler tous les programmes dard, qui concerne le système en général. On modi- de texte dans un répertoire TEXTES sur notre dis-

: dupli- fiera, en revanche plus aisément, le fichier que dur DHO ; pour créer ce répertoire, nous complémentaire Startupll qui apporte des complé- quons le tiroir EMPTY, grâce à la commande du ments a la configuration. menu du WorkBench.

Pour visualiser ces fichiers et les modifier, il faut De la même manière, nous faisons un répertoire recourir à un éditeur de texte (comme ED, MicroE- MiseEnPage dans lesquels nous copions tous les macs, DME, AZ...), et non à un traitement de texte fichiers de la disquette PPage par la commande CL! » Prowrite...), « : ;TEXTES/MiseEnPAge ALL (comme Notepad, Textcraft + , car ces COPY DFO JHO derniers, à moins de sauvegarder les textes en et tous ceux de la disquette PPageUtil par ». codes ASCII, insèrent des informations de mise en « COPY DF2 : JHO :TEXTES/MiseEnPage ALL page (comme les polices de caractères, les mar- On remarquera que de nombreux fichiers sont ges, les gras-soulignés-italiques et autres artifices les mêmes que ceux du WorkBench, et constituent de présentation), informations qui peuvent empê- de bons candidats pour le nettoyage de printemps. cher l'exploitation de ce fichier par le système. Cependant, les polices de caractères de Profession- Si vous n'avez pas encore exploré votre disquette nal Page contenues dans le tiroir FONTS de PPa- EXTRAS 1.3, vous n'avez pas découvert le pro- geutil doivent impérativement être conservées, car gramme MEmacs, qui est dans le répertoire elles sont nécessaires à son bon fonctionnement.

TOOLS ; ii est fort agréaPle et propre à satisfaire Il faut d'ailleurs noter que ProPage va chercher ses

bon nombre de programmeurs par son adaptation polices dans le tiroir FONTS : et qu'il sera néces- à récriture de texte pur (sans codes de présenta- saire de déplacer, soit les polices de ProPage dans sur dis- tion). Comme ce programme est situé une le répertoire FONTS, soit le pointeur FONTS ; vers

quette différente du Workbench, il peut être le répertoire qui contient ces polices.

ennuyeux de l'utiliser sur un Amiga avec un seul En conséquence, il faut insérer dans le fichier S :

lecteur, mais il existe un programme encore plus Startupll, juste avant la dernière ligne « BREAK 1

simple (pour ne pas dire minimaliste car il ne recon- C », les trois lignes suivantes :

naît même pas la souris) qui s'appelle ED et qui se ASSIGN PPAGE : JHO : TEXTES/MiseEnPage

trouve dans le répertoire C du Workbench. ASSIGN PPAGEUTIL : PPAGE :

Nous utiliserons par conséquent ED de la ASSIGN FONTS : PPAGEUTIL : FONTS

manière suivante : En raccourci, voilà quelques assignements qui — ouvrez une fenêtre SHELL en cliquant sur l'icône peuvent vous rendre de grands services (si vous

SHELL de votre copie de travail WorkBench (on possédez le logiciel, évidemment) : peut se contenter d'une fenêtre CLI, mais attention pour DeLuxe Paint II : ASSIGN DF1 : JHO : fautes lors la commandes) aux de frappe des ; pour WordPerfect : ASSIGN WP : JHO: — lorsque vous voyez l'indicatif 1.SYS:> de la TEXTES/WP fenêtre Shell, vous y tapez (après l'avoir sélection- ASSIGN PRINT: JHO: TEX- « née) : «ED S:STARTUP-SEQUENCE» ou ED TES/PRINT

S/STARTUPII » (fichier spécialement destiné à la pour le compilateur Lattice C5.0 :

configuration l'utilisateur) : : LC/C pour ; ASSIGN LC SYS

— pour vous déplacer dans le texte, utilisez les tou- ASSIGN LIB : SYS : LC/UB curseur ASSIGN INCLUDE: SYS: ches du ; — pour insérer du texte, positionner le curseur et LC/INCLUDE

: : donnez libre cours à votre inspiration ; ASSIGN OUAD RAM

— pour effacer une ligne, faites la combinaison des PATH LC : ADD

deux touches CTRL et B ; PRINCIPES DE L'AMIGADOS

Il y a deux principes que l'on ne peut ignorer lors- qu'il le permette. Ainsi, on peut associer le surnom

l'on : il est que considère l'AmigaDos pensé éco- PERSO : au sous-répertoire « t » de la disquette con- nomique, c'est-à-dire qu'il ne charge que ce qui est tenue dans le premier lecteur par la commande CLI nécessaire, grâce à une construction et « modulaire : » ASSIGN PERSO dfO :t ; cela permet de rempla- il est virtuel, car il a une approche identique, quel- cer toutes les références à dfO :t par un renvoi sur ques soient les entités qu'il manipule (disquettes, PERSO :. L'AmigaDos exploite à fond cette possi- disques durs, disques virtuels, réseaux, ports bilité pour retrouver ses petits, car il est bâti sur de d'entrées-sorties,..). nombreux fichiers qu'il a fallu répartir entre plu- Cette modularité extrême peut se révéler sieurs répertoires. Les commandes du système : gênante et bon nombre de nos « trucs » viseront à DIR, COPY, TYPE,., ont été regroupées dans un mieux configurer nos ordinateurs. répertoire C : (C comme commandes), les fichiers L'AmigaDos gère essentiellemnt des périphéri- qui contiennent des suites de commandes à exé- ques (« devices ») de manière standard, au travers cuter sont dans le répertoire S : (S comme de gestionnaires (« devices drivers ») qui ont pour séquence de commandes), les bibliothèques char- rôle d'adapter les commandes aux spécifités du à la sont gées demande dans les répertoires LIBS : périphérique : ainsi, copier un fichier d'un répertoire et L :, les gestionnaires de périphériques sont dans dans un autre, l'envoyer sur l'imprimante ou le répertoire DEVS : (DEVS corne devices), les poli- l'envoyer dans une fenêtre, fait appel à la même ces de caractères sont dans le répertoire FONTS : commande et les utilitaires avec une icône pour l'utilisation

COPY COPY dfO :s/startup-sequence RAM : depuis le WorkBench, sont dans le répertoire

COPY dfO :s/startup-sequence PRT : SYSTEM. Si l'utilisateur n'utilisait qu'une seule dis- COPY dfO :s/Startup-sequence quette, l'AmigaDos pouvait se contenter d'aller CON :20/20/400/100 chercher les fichiers nécessaires dans les réper- puisque c'est le destinataire (Ram-Handler, prin- toires de la disquette, mais il lui fallait en fait con- ter.device ou AmigaDos) qui fera le boulot. Cette server des indices sur la disquette de démarrage organisation permet une très grande flexibilité, par- (supposée contenir les informations nécessaires au faitement illustrée par l'ajout dans la version 1 .3 du système) et ses répertoires, pour pouvoir y faire gestionnaire de console NEW-CON :, qui ajoute aux appel : c'est l'explication de ces requêtes « Please

fenêtres :, possibilités d'éditions banales CON des insert volume copy of WorkBench in any drive ». à l'aide des touches de curseurs. D'une certaine Pour construire ces indices, l'AmigaDos procède manière, on peut dire que l'AmigaDos repose sur comme suit : la disquette de démarrage se voit cette standardisation des entités qu'il manipule (il munie du surnom « SYS : », puis c'est au tour des est en cela extrêmement proche des systèmes répertoires nécessaires au système c, I, libs, devs, UNIX). Ainsi l'AmigaDos connaît le port série sous fonts, s, 1, qui gagnent les surnoms C :, L :, LIBS :, le nom de :, le port paralèlle sous celui de SER DEVS :, FONTS :, S :, T :. On a vu plus haut que PAR :, l'imprimante sous celui de PRT :, les lecteurs l'AmigaDos savait appeler les gestionnaires spéci- de disquettes sous ceux de DFO :,DF1 :,DF2 :,DF3 : fiques série, parallèle,., lorsque les surnoms SER :, et les disques durs :,.. :,... sous ceux de DHO et JHO RAM :,.. étaient présents dans un nom de fichier. Il connaît aussi deux disques virtuels en mémoires De manière similaire, lorsqu'il sera en présence de

RAM : et :, un système d'intercommunication RAD surnoms SYS :, C :,.. il les remplacera par les réfé-

PIPE :, un port série non bufferisé AUX : et des ton- rences complètes de la disquette ou des répertoi- nes d'autres choses que vous pouvez découvrir, en res. Pour vous en persuader, examinez les tapant la commande CLI « INFO». J'espère que informations fournies par la commande CLI vous avez remarqué que chacun de ces noms est « ASSIGN », vous y trouverez à la fois les raccour-

» : ï> , la terminé par un c'est marque qui permet cis des répertoires (« directories ») et les périphéri- à l'AmigaDos de faire appel au gestionnaire appro- ques {« devices »). Si vous m'avez suivi jusqu'ici, prié (qu'il soit inclus dans l'AmigaDos ou présent vous comprendrez que la commande CLI « DIR C : » de manière séparé). Le principe de ces : a NOMS est équivalente à « DIR SYS :C » (ou à « DIR C », si été étendu à l'utilisation de périphériques virtuels, votre répertoire par défaut est votre disquette Work- en sorte peut associer quelque on un surnom bench). En utilisant la commande CLI « INFO », vous TOTO : à un périphérique déjà connu, ou plutôt à découvrirez que l'AmigaDos, non content de con- un endroit précis de ce périphérique. C'est-à-dire naître les lecteurs de disquettes comme les devi- en fait à un répertoire d'un périphérique pour autant ces DFO :, DF1 :,.., connaît aussi les disquettes par leurs noms, car il transforme le nom d'une disquette C:DIRICOPYDELETEICDIED RAM :test » et de en surnom, en lui suffixant le » : ». rajouter ce répertoire au chemin de recherche par Ainsi, même avec un lecteur, vous pouvez obte- la commande CLI « PATH RAM test ADD ». nir le contenu de la disquette « Extras 1.3», en En ce qui concerne l'utilisation d'un disque dur, tapant la commande CLI DiR « EXTRAS 1.3:» la commande ASSIGN permet de rattacher les depuis votre Workbench, car l'AmigaDos vous noms des répertoires systèmes (C :, S :, DEVS :, I :, demandera d'insérer le volume EXTRAS 1 .3 (atten- LIBS :, FONTS :,..) aux répertoires correspondants tion, les guillemets sont impératifs en raison du du disque dur (bien plus performant qu'une simple caractère espace contenu dans le nom). disquette). Tout ceci acquiert une grande utilité avec les De même, la commande CLI « EXECUTE », qui extensions mémoires et les disques durs. En effet, permet de faire exécuter les commandes CLI con- imaginez que vous copiez toutes les commandes tenues dans un fichier (à l'instar du startup-

: exploite la virtuels du répertoire C : dans le disque virtuel RAM (à sequence), technique des noms l'accès instantané) par la commande CLI « COPY pour trouver le fichier à exécuter dans le répertoire

par : fichiers-séquence. Ainsi les C : # ? RAM :test », il suffit alors de compléter S des commandes « » « STARTUP- » et « ASSIGN C : RAM :test pour qu'aussitôt les com- EXECUTE SEQUENCE EXECUTE mandes du CLI s'exécutent depuis la mémoire vive. S :STARTUP-SEQUENCE » sont strictement équiva-

Il faut préciser cependant le rôle de l'interpréteur lentes. commande « », qui pro- CLI : lorsqu'on tape un nom de commande, le CLI La CLI RUN lance un va d'abord demander à l'AmigaDos de charger gramme en multi-tâches en créant un CLI juste pour cette commande depuis le répertoire courant et, en l'exécuter, tire parti des possibilités du chemin de

cas d'échec, il va recommencer en ayant trans- recherche (PATH), puisqu'elle explore tous les formé le nom, en lui préfixant l'indicatif du réper- répertoires spécifiés a la recherche du programme l'utilisateur. toire des commandes C :. désiré par Ainsi, si nous utilisons un pro- De manière plus générale, on peut taper sans gramme antivirus (par exemple VirusX) contenu remord des noms tels que DIR, COPY, INFO, LIST,... dans le répertoire UTIL, nous pourrons l'utiliser de puisque le CLI va chercher à trouver ces comman- manière fort simple, en ajoutant le répertoire UTIL des dans toute une liste de répertoires, qui définis- au chemin de recherche par la commande « PATH

sent une sorte de chemin de recherche faisant au SYS : UTIL ADD » et le garder disponible en perma-

minimum référence au répertoire courant et à C :. nence, en le lançant en multi- tâches par la com- C'est la commande PATH qui permet de visualiser mande « RUN VirusX ». et de modifier ce chemin. Si nous reprenons notre Ces deux commandes peuvent être tapées uni- idée de copier les commandes en mémoire, on peut quement lorsqu'elles sont nécessaires, mais elles se contenter de ne copier que les commandes les se révèlent d'une telle utilité, qu'elles mériteraient plus utilisées par la commande CLI « COPY d'être inscrites dans les fichiers de démarrage.

LE STARTUP SEQUENCE

Voici le contenu de ce fichier mystérieux startup- écho « A500/A2000 F Workbench disk. Release sequence, faisant partie du répertoire S de votre 1.3 version 34.20*N » les WorkBench 1 .3 : (les commentaires (précédés d'un ; affiche la chaîne de caractères contenue entre point virgule) ont été ajoutés pour une meilleure guillemets (elle peut contenir des caractères de compréhension). contrôle, comme la combinaison *N qui insère une

Addbuffers dfO : 10 ;ajoute 10 buffers de 512 ligne supplémentaire). octets pour la gestion du premier lecteur de disquet- Sys :System/FastMemFirst Réordonne la liste tes (en règle générale.on ne dépasse pas les 22 buf- des espaces disponiples, afin de rendre prioritaire

fers, car ils consomment de la mémoire vidéo). les extensions réellement rapides (peut se révéler gestion durs) c :SetPatch > NIL : ;corrige des erreurs dans les très importants pour la des disques ; routines de la mémoire morte, de plus, la redirec- c'est la mémoire en COOOOO qui, ni vidéo

tion vers NIL :, fait disparaître les messages du pro- (« chip »), ni rapide {« fast ») est concernée. gramme. Bind Drivers ;informe le système de la configura- cd c: ;le répertoire des commandes devient le tion matérielle, en faisant le lien entre les cartes répertoire courant, ce qui permet de gagner du d'extensions et les bibliothèques contenues dans temps en raccourcissant le parcours du chemin de le tiroir Expansion (par exemple, entre les cartes recherche. contrôleurs A2090/A2090A et le gestionnaire ; ;une ligne de commentaire pour aérer listing. HdDisk, ou entre les caries passerelles le failat 11 ;modifie le niveau d'erreur qui provoque A2088XT/A2286AT et la bibliothèque Janus.Library. l'arrêt de l'exécution de ce fichier, en d'autre ter- SetClock load ;met le système à l'heure à partir mes, si des commandes renvoient des codes de l'horloge sauvegardée par batterie. d'erreurs non fatales (inférieurs à 11), l'éxecution FF > NIL : —0 ;accelère l'affichage des polices de se poursuivra. caractères non proportionelles. run exécute s :Startupll ;on lance un résident CLI L :Shell-Seg SYSTEM pure add second pro- cessus CLt pour exécuter le fichier S :Startupll, ;charge le super- interpréteur de commande SHELL mais comme on a remplacé le CLI par le en résident, c'est-à-dire qu'il n'en existera qu'un SHELL avec la commande RESIDENT, les commandes seul exemplaire, quelque soit le nombre de proces- contenues dans ce fichier pourront profiter des sus qui y font appel et qu'il ne sera pas nécessaire avantages du SHELL, (en fait, elles pourront être de le charger depuis une disquette, puisqu'il est pré- rendues résidentes sent en mémoire. de manière à être extrêmement rapides). résident c :Execute pure ;la comande EXECUTE wait >NIL : 5 mins ;déclenche une attente de (déclarée PURE car réentrante et réexécutable), est 5 minutes- pour laisser les autres processus mener elle aussi installée dans la liste des programmes à bien la suite du démarrage avec en particulier résidents pour rendre l'exécution des fichiers la configuration logicielle du système au goût de l'uti- scripts plus rapide et plus facile (grâce à la com- lisateur ; heureusement cette attente va être inte- mande PROTECT, on peut indiquer qu'un fichier de rompue par un signal envoyé à la fin de la séquence de commandes est à EXECUTEr configuration par le fichier lorsqu'on tape son nom). S :Startupll, en consé- quence, WAIT va retourner un code d'erreur 10 qui mount newcon : ;charge le gestionnaire de fenê- ne sera pas pris en compte en raison de la com- tre avec éditeur de ligne incorporé, il permet en mande FAI LAT 1 (il 1 , ne sera pas non plus affiché autre le rappel des lignes précédentes et leur modi- en raison de la redirection vers le périphérique nul fication (très pratique pour corriger les erreurs de NIL :) et l'exécution reprendra avec frappe). la commande suivante.

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: : path ram c sys :utilities sys rsystem s : SHELL). sys :prefs add .ajoute de nombreux répertoires assign ENV : ram :env ;ce répertoire reçoit le nom (presque trop) au chemin de recherche, ce chemin ENV:

étant indiqué dans le premier processus CLI, il sera makedir ram :clipboards ;création d'un répertoire pris par défaut pour tous les suivants. pour permettre les échange de données entre appli- LoadWB delay ;charge l'interface graphique Work- cations. Bench avec menus déroulants et icônes, l'option assign CLIPS : ram :clipboards ;il reçoit en con- delay force une attente de 3 secondes pour permet- séquence un nom logique CLIPS : pour devenir une tre la fin des accès au lecteur (les performances sorte de périphérique virtuel (les applications qui sont dégradées lorsque plusieurs programmes ten- souhaitent échanger leurs données, mettent les tent d'accéder au lecteur simultanément). données issues d'un Couper/Coller dans un fichier endcli > NIL : ;termine le processus qui exécutait sur ce vrai-faux périphérique accessibles à tous. ce fichier de commandes, fa fenêtre CLI disparaît. mount speak : ; informe le système que le périphé- identique, voici le De manière contenu de son rique SPEAK : (qui vocalise le contenu des fichiers compagnon, le fichier startupll, qui est l'endroit qu'on lui expédie) existe, les paramètres sont con- idéal pour effectuer des modifications (d'une tenus dans le fichier DEVS :MountList. manière générale, il n'est pas conseillé de modifier mount aux : ;de manière identique, c'est le péri- le fichier : premier s :startup-sequence phérique AUX : (port série non bufferisé) qui sera résident c:Resident pure ;mëme la commande désormais reconnu (à noter que les gestionnaires RESIDENT est rendue résidente, en conséquence décrits dans MountList ne seront chargés que elle aussi sera exécutée depuis la mémoire. lorsqu'on accédera aux périphériques). résident c :List pure ;les commandes LIST, CD, mount pipe : ;ici, il s'agit de l'installation des tubes MOUNT, ASSIGN, MAKEDIR sont rendues rési- qui permettent les communications entre pro- dentes. cessus. résident c :CD résident Mount remove :les commandes MOUNT, pure résident c :Mount pure ASSIGN, MAKEDIR sont retirées de la liste des pro- résident c :Assign pure grammes résidents, car elles ne seront plus a-priori résident c :Makedir pure utilisées intensivement. iresident... IF, ENDIF, ELSE, SKIP, ENDSKIP, résident Assign remove.' ECHO ;optionnellement, si on a beaucoup de résident Makedir remove mémoire on rendre (surtout ligne vierge peut ces commandes ; censée améliorer la lisibilité break 1 C utilisées les résidentes. dans séquences) ; envoie un signal d'interruption complet (C) au pre- makedir ram :t : le répertoire t est crée dans le dis- mier processus CLI {celui du fichier S :Startup- que virtuel, ce qui a aussi comme conséquence de Sequence), a pour résultat de stopper la commande charger le gestionnaire correspondant, et provo- WAIT et de permettre la poursuite de l'exécution quera l'apparition de l'icône associée. fichier du . pas d'autre commande, la Commande assign T : ram :t ;ce répertoire nouvellement crée EXECUTE s'arrête donc là et le processus qui avait devient le répertoire des fichiers temporaires (par été crée par la commande RUN disparaît.

HISOFT BASIC, LE LANGAGE HI-TECH

L'un des tous premiers gestes d'un possesseur familial. Cependant, les premières heures écoulées, d'Amiga, est d'insérer la disquette Extras dans le la population se scinde en trois parties, le premier lecteur ; après tout, elle est fournie avec le système groupe est composé de personnes qui, pour des rai- et son nom laisse présager un contenu passionnant. sons diverses, abandonnent la programmation, le Si l'utilité de certains fichiers n'est pas toujours très deuxième groupe de personnes découvre l'Amiga- claire, on comprend vite qu'en cliquant sur l'icône Basic et s'en trouvent satisfaits (souvent, leur pre- de f AmigaBasic, on se trouve plongé dans le monde mier langage est le Basic) et les membres du de la programmation. L'apprentissage de celle-ci troisième s'irritent des contraintes et des imperfec- est un alibi souvent avancé lors de l'achat d'un ordi- tions de l'AmigaBasic. nateur, surtout lorsqu'il est acheté dans un cadre LE PASSAGE AU NIVEAU SUPERIEUR compilés. Evidemment, on peut s'interroger sur

Le Basic HiSoft Basic intéressera principalement l'intérêt d'acheter deux logiciels (il est vrai que le les participants des deux derniers groupes, même débugger n'est absolument pas indispensable), si on peut penser qu'il pourrait réconcilier les plus cependant il est fort agréable de disposer d'un envi- timides avec l'informatique. Avant de le décrire, il ronnement similaire pour apprendre ou développer me faut expliquer brièvement ce à quoi on peut le dans deux langages vedettes sur Amiga (le Basic comparer. Il ne faut pas chercher à démolir l'Ami- et l'Assembleur). Examinons tout d'abord les diffé- gaBasic, car ce n'est pas la base du langage qui rences au niveau du langage, qui peuvent gêner la doit être mis en cause, mais plutôt son implémen- transition entre l'interpréteur AmigaBasic et le com- tation il ; après tout, a de très vastes capacités dans pilateur Hi-Soft, Comme, le compilateur ne peut tra- l'interface avec le système (gestion des menus, de vailler que sur des fichiers ASCII sans caractères la souris, fonctions graphiques), il dispose de struc- de contrôle, il faut donc décompacter les fichiers tures permettant une écriture propre et une mise issus de l'AmigaBasic en les sauvant avec l'option au point rapide, ses instructions appartenant à la ASCII. En contrepartie, l'utilisateur est libre de pren- norme Microsoft. On peut lui adresser trois repro- dre l'éditeur de son choix (même si l'environnement ches : l'absence de fiabilité (certaines opérations intégré éditeur-compilateur est très attirant). Les ont pour conséquence une séance forcée de médi- instructions concernant la gestion de l'interpréteur, tation transcendentale), une lenteur pénalisante et sont le plus souvent absentes, car elles n'ont pas

l'absence de certaines fonctions (si on a pris des de sens dans un programme compilé ; ainsi LOAD, habitudes avec un autre langage). Il importe de dis- SAVE, LIST, CONT, DELETE ne sont pas reconnues. tinguer les produits « Basic » en fonction de leur L'oubli des instructions COMMON (pour le partage caractère innovateur par rapport à l'AmigaBasic. des données entre programmes chaînés) et

En effet, il y a deux options : soit vous cherchez à RESUME NEXT (pour la gestion des erreurs) est rendre l'AmigaBasic plus rapide et plus agréable à légèrement ennuyeux, sans plus. Des instructions

utiliser (c'est l'optique AC-Basic/HiSoftBasic), soit ont été modifiées ou ajoutées ; en voici la liste réa- vous cherchez à le remplacer par un Basic diffé- lisée par votre serviteur : BIN$ (fournit la représen- rent (optique de True Basic et de GFA-Basic). L'AC- tation en numérotation binaire d'un entier), BLOAD Basic est un compilateur destiné à transformer les (charge un fichier binaire), BSAVE (sauve une zone programmes interprétés de l'AmigaBasic en pro- mémoire dans un fichier binaire), CALL LOC (com- gramme à part entière. Moyennement efficace, il plémente la fonction CALL pour l'appel de sous- apporte fiabilité et rapidité en étant compatible, programmes), CLEAR (qui remet les variables a mais sans proposer des fonctionnalités supplémen- zéro, n'a pas tout à fait le même sens, puisqu'elle taires. Le langage True-Basic est un Basic efficace, ne peut redéfinir les espaces mémoire disponibles), qui a la particularité d'exister sur d'autres machi- COMMAND$ (fournit les arguments de la ligne de nes et d'offrir, en conséquence, une bibliothèque commande qui a lancé le programme), COMMON de fonctions identiques pour chaque système, au SHARED (déclare que les variables et tableaux spé- détriment d'un vocabulaire qui lui est propre, il cifiés, sont accessibles par les sous-programmes), n'exploite pas en conséquence toutes les capaci- CONST (associe des noms de variables à des tés de l'Amiga, mais peut être le choix pour un por- valeurs entières), CVFFP/MKFFP$ (convertit les tage d'une machine à l'autre. Le GFA-Basic est un réels simple précision en chaîne de caractère et langage à part, car c'est un dialecte de Basic (avec vice versa pour le stockage dans des fichiers à sa syntaxe et son vocabulaire), totalement struc- accès direct), DECR/INCR {incrémente et décré- turé, extrêmement étendu et hyper-rapide. Les per- mente une variable de un), DEF FN (définit une fonc- formances sont époustouflantes, mais requièrent tion (sur plusieurs lignes si nécessaires avec l'accès une plus grande finesse dans la programmation. aux variables globales), DO..LOOP (sorte de super L'interface avec le système est encore un peu ban- structure WHILE/UNTIL..WEND. Permet de tester cal, car elle est trop inspirée encore du programme au début ou à la fin de la boucle, ou d'en sortir très Atari. Le produit d'Hi-Soft se range dans la catégo- proprement par EXIT DO), EXIT ?? (permet de sor- rie des clones de l'Amiga-Basic, il se veut résolu- tir de n'importe quelle définition, block ou instruc- ment compatible avec son aîné, mais à la différence tion structurée, par exemple EXIT DO, EXIT de l'Ac-Basic, il a été conçu pour en prendre la FUNCTION, EXIT IF, EXIT FOR, EXIT SELEC), place. Il s'agit en réalité d'un environnement com- FEXISTS (teste l'existence d'un fichier), FILL (opère plet, car à côté du package Basic, qui contient un un remplissage d'une zone par une couleur, éditeur avec le compilateur intégré et le compila- LCASE$/UCASE$ (convertit une chaîne de carac- teur sous forme indépendante, Hi-Soft propose tères en minuscules ou en majuscules), LOCAL aussi un kit pour le développement en langage (définit une variable comme automatique dans un assembleur (Devpac2) qui fournit un débuggeur sous-programme, à chaque appel récursif , une nou- (Monam2), utilisable sur les programmes Basic, velle variable est créée), LOG10/LOG2 (complètent

41 la fonction LOG en donnant les logarithmes en base sont sélectionnâmes dans un menu. L'éditeur,

il 10 et en base 2), MDIR/RMDIR (crée et supprime rapide, est limité : reconnaît à peine la souris pour un répertoire depuis un programme). PCOPY positionner le curseur, il fa ît appel exclusivement (envoie le contenu de l'écran sur l'imprimante sous au clavier pour les manipulations de blocs de tex- la forme d'un dump graphique), REDIM (redimen- tes, il n'a pas assez de fonctionnalités dans les sionne un tableau). REPEAT..END (structure de bou- menus- Cependant, on arrive à s'accomoder de ses cle extrêmement générale sans condition, mais différences, car il y a de nombreux raccourcis de dotée d'une issue par EXIT), RESET (constitue un menus au clavier et les requeslers sont superbes équivalent de CLOSE pour les fichiers), (ils proviennent de la bibliothèque de routines ARP, SELECT..CASE..END SELECT (structure de test dont le but avoué est de remplacer l'AmigaDos). Le pour une variable), STATIC (permet de spécifier si compilateur comprend un nombre impressionnant une variable persiste entre les appels, ou si un sous- d'options, mais dans la réalité, on utilisera toujours programme n'est pas récursif), SYSTAB (retourne les mêmes. Il otfre, entre autre, la possibilité l'adresse d'un tableau contenant des pointeurs sur d'inclure, au moment de la compilation, un fichier des données systèmes, à manipuler avec précau- à l'intérieur du programme (très utile si vous avez routines), ou celle tion !). VARPTRS (fournit l'adresse du sous- déjà mis au point un ensemble de programme, à utiliser avec CALLS), WINDOWS de générer des programmes, soit indépendants, soit (permet la création de fenêtres avec beaucoup plus nécessitant la bibliothèque du Hi-Soft Basic pour de paramètres que dans l'AmigaBasic). fonctionner (dans le premier cas. vous êtes libres de distribuervotre chef-d'œuvre). Il est même pos- En résumé, le Hl-Soft Basic dispose d'instructions sible de produire un code totalement indépendant, structurées, plus nombreuses et plus cohérentes ou des modules, qu'une édition de liens ultérieurs, (avec la possibilité de sortir par un EXIT dans tous permettra de lier à des programmes en C ou en les cas), les plus agréables étant, à mon avis, le assembleur. Il propose notamment de nombreuses SELECT CASE qui remplace avantageusement des vérifications de la correction des opérations, des quantités de IF.. THEN.. ELSE et le DEF FN multi- aux tableaux, un débordement de la pile, lignes, qui sont une autre sorte de sous- accès l'overflow des variables, ou l'ajout de numéros de programmes. Il dispose aussi de quelques fonctions lignes de symboles pour faciliter le débuggage. pour l'interface avec les programmes en langage et En raison de la vitesse du compilateur, on dispose machine, puisqu'il simplifie le chargement et l'appel aussi d'un pseudo-interpréteur, car il suffit de des sous-programmes écrits dans ce langage. Il compiler en mémoire pour exécuter le programme. offre enfin une plus grande liberté de plusieurs parta- manières et dans celle des sous-programmes qui Les programmes qui utilisent la bibliothèque peuvent être récursifs (s'appeler eux-mêmes). En gée de Hi-Soft, permettent d'économiser la règle générale, les fonctions acceptent exactement mémoire et puisque cette bibliothèque est présente

le il est conserver le les mêmes paramètres, à l'exception notable de dans compilateur, possible de CALL/CALLS pour l'appel de sous-programmes en compilateur, l'éditeur, l'éditeur et la source lors de langage machine. L'HI-Soft Basic diffère tout spé- l'exécution d'un programme (ce n'est pas le cas cialement dans sa gestion des nombres réels en avec le compilateur AC-Basic, plus gourmand). L'interface avec le système fait appel au même simple précision pour lesquels il utilise un format mécanisme l'AmigaBasic, on déclare au préa- moins précis, mais beaucoup plus rapide (il utilise de lable les bibliothèques et fonctions systèmes utili- le format des Fas Floating Point de Motorola au lieu

pouvoir effectuer ; du format IEEE). De cette différence pourraient sées, pour des CALL en découler des différences subtiles entre les versions conséquence, le passage des paramètres est tou- débrouille (on interprétées et compilées, mais je n'ai pu le mettre jours aussi peu pratique, mais on se est loin de la pléthore de fonctions du GFA-Basic). en évidence dans des programmes courants. Il res- sort de cette étude approfondie, qu'il es! aisé Le manuel en anglais, de près de 350 pages, est

il décrit produit, il d'écrire des programmes Basic qui tourneront à la exemplaire, car le donne des

conseils, il complet et raf- fois sous l'interpréteur et sous forme compilée. commente un exemple Cependant, l'usage des fonctions nouvelles appor- finé (les tours de Hanoi), il fournit un descriptif exhaustif et alphabétique de toutes les fonctions et tées par le Hi-Soft Basic, est tout à fait compréhen- contient, pour le programmeur chevronné, des sible s'il concerne l'interface avec des routines en langage machine, ou des structures de contrôle annexes fort intéressantes sur le portage des pro- l'assembleur. Il plus évoluées. grammes et l'interfaçage avec est, de plus, livré avec le livre « AmigaBasic Inside and L'ENVIRONNEMENT INTEGRE Oui», la version anglaise de l'excellent « Grand produit est l'environnement Un des atouts de ce Livre de l'AmigaBasic » des éditions Micro- intégré, dans lequel on trouve un éditeur de texte Applicalion. et un compilateur, dont les nombreuses options B _ dfi m INITIATION AMIGA

[ASSEMBLEUR 68000 N° 8

le « chose promise, Octets Description à définir mode de représentation de l'écran. Voici la siqnification et le nom 0,1 Fosi'Lon l de l'écran chose due », aussi des différents bits utiles de ce mot 2,3 PoailiOT: Y ce l'écran

lorsqu'ils sont positionnés : allons-nous voir 4,5 Largeur 6,7 Hauteur bii 15 : HIEŒS (mode haute résolution, 640 ï 400) de plus près 8,9 Nombre de plans de bits biilhHAM (mode Hold And Modify) 10 Détail pen bit 10 : DBLPE (mode Dual PlayField) comment sont 11 Black pen bii 8 : GENLOCK (l'image provient d'une source vidéo 12,13 View modes construites externe) \ 14,15 Screen Type bit 7 : EXTRAHALFBRfÇE (mode extra halfbrite, eh oui 16, 17, 18, 19 Font les structures madame) 20, 21, 22, 23 Défailli Title bii 3 : LPEN (mode Stylo Optique, branché sur le port 1) d'écran 24, 25, 26, 27 Gadgeis et de bit 2 : LACE (mode Interlace). 28, 29, 30, 31 Bitmap fenêtre, nécessaires Les autres bits devraient, pour bien faire, être mis à dans la structure, à toute ouverture Voyons maintenant tout cela de plus Intuition se chargeant toute seule d'un quelconque près. comme une grande de les positionner Les deux premiers mots indiquent la à sa guise. de ces éléments. position en X et en Y du nouvel écran, Le mot « Screen Type » gui vient par relativement au coin supérieur gauche la suite, définit le type de l'écran. de l'affichage (bref, le moniteur). Seule Apparemment, personne ne sait exac-

la position en Y a ici une importance, tement à quoi il sert, mais une valeur un écran ne pouvant être que a monté » standard de 15 fonctionne toujours. ou « descendu » (à l'aide de la souris Et on arrive aux quatre derniers mots ou par programme). La position en X longs qui compose cette structure n'a été implémentée par les concep- NewScreen. Avec en tête du peloton, teurs de l'Amiqa, que dans un souci de « Font », qui détermine l'adresse de la

compatibilité avec d'éventuelles futures fonte à utiliser dans le nouvel écran. Il versions du système. suffit pour cela de définir une structure Les deux mots suivants indiquent res- TxtAttr décrivant la nouvelle fonte et de pectivement la largeur et la hauteur de placer ici son adresse. Comment ? Vous préférez la fonte « Topaz » par r^ vant tout, deux petites préc: Il faut ensuite définir le nombre de défaut ? Pas de problème, il suffit de premièrement, n'est une structure rien couleurs que notre écran sera capable mettre ce mot long à 0. Facile, non ? d'autre qu'un bloc de paramètres en d'afficher, ce qui revient à définir un « Default Title » est l'adresse du titre de mémoire (le vient nom du langage C, certain nombre de plans de bits. Plus l'écran (par exemple, le titre de l'écran où les structures sont couramment ce nombre est élevé, plus le nombre de du WorkBench est « WorkBench employées). Et deuxièmement, ne con- couleurs représentables simultanément Screen »). Si vous ne voulez pas de titre fondez pas « structure Screen » et l'est aussi. La relation est la suivante : particulier, indiquez 0. « structure ». NewScreen La seconde nombre de couleurs = 2 puissance « Gadgets » doit pour l'instant, dans est la structure dont vous allez effecti- nombre de plans de bits. Le nombre l'état actuel d'Intuition, être fixé sur 0. vement passer l'adresse à Intuition pour maximum prévu par Intuition est de 5, Il sera peut-être utilisé plus tard... l'ouverture d'un nouvel écran, la pre- ce qui permet d'afficher 32 couleurs. Et finalement « Bitmap » désigne mière étant la structure qu'Intuition Les octets « Détail Pen » et « Block l'adresse d'une Bitmap personnelle, si s'est bâtie elle-même pour gérer votre Pen » indiquent respectivement le le flag CUSTOMBITMAP du mot écran. La remarque est également vala- numéro du registre de couleur à « Type » est fixé. Comme ce n'est appa- ble les structures pour Window et New- employer pour dessiner la ligne de titre remment jamais le cas, autant le met- Window. et les gadgets, ainsi que la couleur tre à (c'est même impératif). d'écriture et le numéro du reqistre de Voilà, notre structure NewScreen est Un structure d'écran (NewScreen) se couleur, à employer pour les gadgets complète. On transmet son adresse à compose de 32 octets, arrangés comme sélectionnés et le fond du texte. Intuition via la fonction OpenScreen suit : Le mot appelé « View Modes » sert (cf. le mois dernier) et le tour est joué, . GA A j\U INITIATION

52

notre écran est ouvert. En retour, Intui- sage Ports) méritent plus d'attention. Il $000200 : REPORTMOUSE (annoncer les coordonnées de la tion renvoie un « handle * d'écran, s'agit d'un mot long, destiné a deman- souris) c'est-à-dire un gestionnaire, qui sera der à Intuition, de prévenir le pro- $000400 : GEMMEZEROZEBO (séparation entre les lignes de utilisé lors de chaque accès à notre gramme « père » de la fenêtre, des menu et la fenêtre) écran. Ce « handle » est en [ait un divers événements qui peuvent surve- BORDERLESS (fenêtre sans bord) pointeur sur une structure Screen. Elle nir. Seuls les vingt premiers bits ont ACTIVATE (la fenêtre est activée dès sont ouverture) est composée de quelques 342 octets, une signification. Voici les valeurs pos- WMDOWACTTVE (la fenêtre peut être activée) aussi vous ne m'en voudrez pas de la sibles : 3004000 : INREQUEST (la ienètre contient un reguester) passer sous silence. D'autant plus MENUSTATE (reporter les sélections de menu)

qu'elle est entièrement détaillée dans 5010000 : RMBIRAP (lorsgue la Ienètre est active, le bouton $000001 : S1ZEVERIFÏ pas mal de bouquins et, notamment, droit de la souris n'appelle pas de menu) ÎÛ0O0Û2 : NEWSIZE (modification de la taille de la fenêtre) "-'' 1 dans « Le livre du Graphisme •> chez : ''-^H^'ï ^ ! :hmz r-..fesni ÎC00004 : F.EFRESHW1NDOW (redessin du contenu de la

Micro- Application. $100000 : WINDOW REFRESH [c'est Intuition qui redessinera fenêtre)

elle-même la ienètre) $000008 : MOUSEBUTTONS (un des boutons de ia souris est

; WBENCHWINDOW (la ienètre appartient l'écran enfoncé) Ï2OQ00Q à du OUVRE UN PEU LA FENETRE WortBench) $000010 : MOUSEMOÏE (la souris a été déplacée) L'opération est quasi-identique pour 3000020 : GADGEÎDOWN (un gadget a été appelé) ouvrir une fenêtre : passage de ÎOC0040 : GADGETUP (idem) Là encore, les valeurs peuvent être l'adresse de la structure NewWindow à Î000080 : REQSET (un requesler a été appelé] cumulées, et là encore, je ne connais Intuition, appel de la fonction Open- JWOiffl : MENUPICK (une entrée du menu a été sélectionnée) pas la signification de certaines Window et sauvegarde du handle $000200 ; CLOSEWWDOW (la fenêtre a été lermée) valeurs. Veuillez pardonner mes retourné. Voyons de plus près la struc- $000400 : RAWKEY (une touche du clavier est enfoncée) excuses. ture de la structure (Excusez-moi pour $00080) : REGVER1FY Le mot long « FirstGadget » permet les répétitions, mais bon, on fait ce 5001000 : REQCLEAR de placer ses gadgets personnels dans qu'on peut...) NewWindow. Elle est 5002000 ; MENUVER1FÏ la fenêtre ; il s'agit donc d'un pointeur composée de 48 octets : $004000 : NEWPREFS (modification des préférences) sur la structure de ces gadgets. Si

$008000 : DISKINSERTED (une disquette est mise dans un dnre) aucun gadget particulier n'est utilisé,

COCO : DISKREMOVED enlevée SOI (une disquette est d'un drive) il faut le mettre à 0. rrets Description ; (le Workflench n'est pas content ÏO20WG WBENCHESSAGE !) Le mot long " CheckMark » est un Position V X Î040000 : ACT1VEWMDOW (actrtata de la fenêtre) pointeur sur une structure graphique,

2.3 Position Y SQ80000 : 1NACTIVEWINDOW (désacuvation de la fenêtre) permettant de représenter les points de 4,5 Largeur $100000: DETAMOVE(annonceriesdéplacementsdelasou- menus sélectionnés. Si l'on met 0, c'est 6,7 Hauteur ris en coordonnées relatives). le crochet stantard qui est utilisé. 8 Détail Pen WindowTitle pointe sur le titre la 9 Bloci Pen Ces valeurs sont, bien entendu, fenêtre en mémoire, Screen est le poin- 10, 11, 12, 13 Flaqs 1DCMP cumulables (vos esprits acerbes auront teur sur la structure Screen de l'écran 14, 15, 16, 17 Flans remarqué que certaines valeurs ne sont auquel la fenêtre appartient (vous 18,19,20,21 FirstGadget pas décrites... C'est tout simplement savez, le s handle » renvoyé par 22, 23, 24, 25 CheckMark parce que — je l'avoue — j'en ignore OpenScreen) et Bitmap sert de poin- 26,27,20,29 W'jidowTiile la signification intrinsèque... Mon méat teur sur une bitmap personnelle !e cas 30, 31, 32, 33 Screen coule pas, comme dirait un copain à échéant (cf. la structure NewScreen). 34, 35, 36, 37 Bitmap moi). Les quatre mots suivants indiquent les 3B, 39 Largeur minimale Le mot suivant définit encore des tailles minimales et maximales de la 40,41 EJatdeui nÉÉule fenêtre en pixels et le dernier mot indi- flags, mais qui caractérisent la fenêtre : 42,43 Largeur maïimale que le type d'écran auquel appartient 44,45 Hauteur maïimale notre nouvelle fenêtre (encore une fois, $000001 : WWDOWSEING (ia taille de la fenêtre peut être 46,47 [ype d'écran cf. NewScreen). modifiée)

$000002 : WINDOWDRAG (la fenêtre peut être déplacée)

Ï000004 : WINDOWDEPTH (la fenêtre peut être « empilée >

Et c'est reparti pour l'étude de détail. sous ou sur les autres) STOOOOOP !

Les quatre premiers mots parlent d'eux- 8 : WINDOCLOSE (la ienètre peut être fermée) Voila, ça n'a pas été sans mal, mais

i mêmes, il s'agit de la position et de la kxX'ji ] : SIZEBRIGHT le plus dur est fait. Le mois prochain, taille de la fenêtre lors de son ouver- ):SKEBOTT0M nous verrons comment réagir aux dif- ture. On trouve ensuite les deux octets $000040:] : SIMPLE REFRESH (redessiner manuellement) férents messages qu'Intuition peut

Détail Pen et Block Pen qui se compor- $000090:) : SUPER BITMAP (stocker le contenu entier de la envoyer à un programme, ce qui sera tent de la même manière que dans la fenêtre) l'occasion de devinez quoi ? Un listing, structure NewScreen. Les flags IDCMP $000100 : BACKDROP (la fenêtre peut être amenée en arrière oui. A bientôt. (Intuition Direct Communication Mes- plan) Max DES PRODUITS EXCLUSIFS SYNERGY 500® Contrôleur SCSI + Disque

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(PETITE) INITIATION AU GFA BASIC

DRAW xl, yl TO x2, y2 TO x3, Puisque ce numéro GRAPHISME EN 6FA y3 TO... trace une série de droites des Voilà qui aurait pu être le titre d'un points (xl, yl) a (x2, y2), puis de (x2, 11 de Commodore livre... D'ailleurs, C'EST le titre d'un y2)à(x3, y3), etc., encore une fois dans livre, mais pas sur Amiga. Bon, pas- est l'occasion la couleur définie par COLOR. Le Revue sons. Dans ce premier chapitre, nous nombre de couples coordonnées pos- allons rapidement voir les fonctions que d'un super-concours sibles n'est limité que par la longueur le GfA-Basic met à notre disposition d'une ligne dans l'éditeur (255 carac- pour faire du graphisme (l'animation concernant le GfA- tères). Notez gue DRAW x, y est équi- viendra juste après). valent à PLOT x,y alors que DRAW TO Basic, il nous a Pour fixer les couleurs, nous avons x, y trace une ligne du dernier point tout d'abord l'instruction SETCOLOR. semblé judicieux de tracé à celui de coordonnées (x, y). Il en existe deux variantes : SETCO- Enfin, DRAW xl, yl TO x2, y2 équi- LOR registre, rouge, vert, bleu fixe la vous présenter un vaut à LINE xl, yl, x2, y2, mais dans proportion des couleurs (RVB pour les ce dernier cas, je vous conseille d'uti- intimes) pour le registre de couleur peu mieux ce liser LINE, sa mise en œuvre étant plus numéro « registre ». L'intensité de RVB rapide (l'éditeur sait en effet combien langage, est fixée d'après une échelle allant de nouveau de paramètres il doit trouver après l'ins- (très faible) à 15 (très forte). SETCO- truction LINE, ce qui n'est pas le cas afin que les petits LOR registre, valeur donne au registre avec DRAW). Pour les amoureux du de couleur numéro « registre » la LOGO, une variante de DRAW permet nouveaux ne soient valeur « valeur » (merci, m' sieur Lapa- d'utiliser une sorte de macro-langage, lisse). Le paramètre « valeur » est cal- mais elle n'est pas du tout adaptée à un pas trop * culé comme suit : (rouge 512) + (vert jeu. * 16) + bleu. Etant donné que chaque découragés à tester la point écran peut avoir sa propre palette, Quant couleur d'un d'écran donné, c'est très simple avec la dès le départ. l'instruction SETCOLOR n'agit que sur l'écran en cours. fonction POINT(x, y). Rien qu'avec cela, vous devriez déjà Pour déterminer la couleur avec laquelle on va écrire un texte à l'écran pouvoir faire un Quix. . . Comment ? Ca ne vous suffit pas ? Qu'à cela ne tienne, (un score, etc.), il faut utiliser l'instruc- figures géométriques. tion COLOR, suivie de trois paramè- passons aux

tres : COLOR caractères, fond, bord. GfA-Basic sait dessiner tout seul, Le paramètre « caractères » fixe la cou- pour peu gu'on le lui demande, quand leur d'écriture des caractères, « fond » quelques r^ Attention toutefois, ceci n'est pas, même, faut pas exagérer, mais alors là pas du tout, une initiation la couleur du fond (représenté unique- unes des figures géométriques de base, au GfA-Basic en général. Encore une ment en mode GRAPHMODE 1 — voir à savoir le carré (en règle générale, le « » parallélogramme quelconque), le cer- lois, cet article et ceux qui vont suivre, plus loin), et bord celle de la bor- se placent dans le cadre du concours dure des figures remplies (PBOX, cle et l'ellipse : PCIRCLE, PELLIPSE et POLYFILL - BOXxl, yl, x2, y2 dessine un parallé- ci-dessus mentionné ; le but recherché les haut- est de montrer, à partir de moultes voir aussi plus loin). logramme dont sommets explications et quelques exemples sim- Nous pouvons maintenant tracer des gauche et bas-droit ont pour coordon- instructions nées (xl, yl) et (x2, y2). ples mais concrets, comment utiliser le points et des lignes ; les GfA-Basic pour faire du graphisme, de PLOT, LINE, et DRAW vont nous y CIRCLE x, y, c trace un cercle de cen- l'animation, de la musique et des brui- aider. PLOT x,y place un point aux tre (x, y) et de rayon r. tages, bases essentielles de tout jeu. Ce coordonnées x et y spécifiées, dans la ELLIPSE x, y, rx, ry trace une ellipse rx sera également l'occasion de présenter couleur définie par COLOR. LINExl, de centre (c, y), de rayon horizontal quelques utilitaires pouvant vous aider yl, x2, y2 dessine une ligne du point et de rayon vertical ry. à concrétiser votre projet. Ainsi, tout (xl, yl) au point (x2, y2), toujours dans Chacune de ces commandes trace c'est-à-dire justement le monde part avec des chances égales. la couleur définie par COLOR. Enfin, une figure vide, INITIATION AMIGA

55 son contour. Pour obtenir une figure le remplissage (avec PBOX, PCIRCLE, Le clipping est désactivé (c'est-à-dire pleine, il faut ajouter un P devant le PELLIPSE, POLYFILL et FILL) avec la que les sorties qraphiques se feront à nom de la commande, afin d'obtenir couleur « couleur », le style « style » et nouveau sur la totalité de l'écran cou- PBOX, PCIRCLE et PELLIPSE. Les le motif « motif ». « couleur » indique rant, grâce à CLIP OFF). paramètres sont bien entendu iden- un numéro de registre de couleur et Finissons en beauté ce tour d'horizon tiques. « type » peut prendre les valeurs sui- des instructions graphiques avec PUT,

Maintenant, il est possible que vous vantes : GET, DISPLAY et VSYNC. désiriez dessiner des polygones quel- 0= vide PUT et GET permettent respective- conques. Cela est réalisable en GfA- 1 = rempli ment de capturer dans une chaîne de Basic grâce aux commandes POLY- 2 = pointillé caractères, des sections rectangulaires LINE et POLYFILL. 3= hachuré d'écran et de les replacer par la suite. « motif à lui, permet choi- POLYLINEn, x(), y() trace un polygone », quant de Leur syntaxe est : vide de n côté, dont les sommets sont sir entre l'un des 24 motifs de points ou GET xl, yl, x2, y2, portion$ définis dans les tableaux x() et y(). Le l'un des 12 motifs de ligne prédéfinis. PUT x3, y3, portion$, mode. premier sommet a pour coordonnées Avec la seconde variante de DEF- Là encore, (xl, yl) et (x2, y2)sont les (x(0), y(0)), le dernier (x(n-l), y(n-l)). FILL, on peut même définir soi-même, coordonnées des coins opposés en dia-

Le premier et le dernier sommets sont le motif de remplissage : gonale du rectangle à capturer dans la automatiquement reliés entre eux. DEFFILL couleur, motif$ où le rôle chaîne portion$, tandis que (x3, y3) POLYFILL n, x(), y() agit de même, de « couleur » ne change pas et où la indique les coordonnées où déposer mais en remplissant le polygone ainsi chaîne de caractères mot if$ contient le cette même chaîne portion$. Le para- dessiné. Tout ceci rappelera sans nul motif de bits désiré. mètre a mode », facultatif, indigue la doute quelque chose aux habitués de En informatique, et plus particuliè- combinaison logique de bits à appli- l'instruction AREA de l'AmigaBasic... rement en dessin sur ordinateur, il quer dans la source (portionS) et la des- Dans tous les cas de figures pleines, existe plusieurs modes de tracés de tination (le dessin présent à l'écran). l'instruction BOUNDARY empêche le points. L'Amiga n'échappe pas à la DISPLAY OFF permet de suspendre dessin du cadre, alors que BOUN- règle (il aurait du mal) et propose qua- provisoirement l'affichage de l'image,

DARY 1 l'autorise. tre modes distincts : IAM1 (transpa- en désactivant le DMA. Cela permet de Il est possible de définir le style des rent), IAM2 (remplacer), COMPLE- dessiner et de n'afficher le résultat, lignes employées pour dessiner le con- MENT (xor) et INVERSVID (inversion qu'une fois le travail terminé. DISPLAY tour des figures, grâce à l'instruction vidéo). Le mode peut être choisi grâce ON, au contraire, ré-active le DMA et DEFLINE. Cette instruction est suivie à l'instruction GRAPHMODE, suivie donc l'affichage. d'un paramètre dont les 16 bits déter- d'un nombre de à 4 indiquant le mode Enfin, VSYNC permet d'attendre le

minent l'aspect de la ligne : un bit posi- choisi. retour du faisceau vertical servant à la tionné correspond à un point tracé. Pour écrire du texte à l'écran, on représentation sur le moniteur de Reste maintenant à remplir une sur- peut utiliser l'instruction PRINT. C'est l'écran. En d'autres termes, VSYNC face quelconque. L'instruction FILL est bien, mais elle possède un défaut permet de synchroniser la construction texte : le là pour ça ! majeur on ne peut pas placer de l'écran, et d'éviter ainsi, de désa- FILL x, y opère donc une opération au pixel près à l'écran. Pour ce faire, gréables parasites lors d'animations

de remplissage d'une surface, à partir il faut passer par l'instruction TEXT : avec PUT et GET. du point de coordonnées (x, y) spéci- TEXT x, y, texte$ affichera la chaîne de fié. Un troisième paramètre permet de caractères « texte$ » à la position gra- ANIMATION EN GFA définir une couleur de délimitation du phique (x, y). remplissage (couleur donc, qui ne sera Une fonction sympathique, lorsqu'on Cela aussi, pourrait être le titre d'un pas affectée par l'opération, alors que désire n'afficher du graphisme que livre... Bon, tout ce qu'on vient de voir n'est les autres, si). dans une fenêtre d'écran donnée (par est bien joli, mais ce pas avec cela « » d'écran que vous allez faire le shoot'em up du Chouette ! On peut commencer à fenêtre, entendez section ; dessiner quelques trucs mignons, sur- il ne s'agit pas des fenêtres d'Intuition) siècle, genre Hybris en mieux. Il faut tout que la rapidité du GfA d'une part, est CLIP. Le « clipping » est une tech- maintenant commencer à utiliser les et celle du Blitter d'autre part, autori- nique permettant de limiter les sorties sprites et les bobs. sent, même avec ces commandes sim- graphiques à une zone rectangulaire GfA-Basic dispose de l'instruction les spri- ples, quelques effets spéciaux de l'écran. Il faut indiquer comme SPRITE, qui permet de gérer amusants... Oui mais voilà, toutes les paramètre À l'instruction CLIP les coor- tes du hardware. Si l'Amiga dispose de sprites, le figures remplies sont uniformes et de la données des coins haut-gauche et bas- 8 GfA ne permet d'en gérer que 7, le premier, de numéro 0, étant même couleur. Ne peut-on rien y droit du rectangle de clipping : faire ? CLIPxl, yl TOx2, Y 2 réservé au pointeur de la souris. Un Bien sûr que si, l'instruction DEF- Ceux qui préfèrent spécifier la hau- sprite a obligatoirement une largeur de FILL n'a pas été implémentée pour teur et la largeur du rectangle de clip- 16 pixels, mais sa hauteur peut être quelconque et il ne peut avoir que qua- rien. Il en existe même deux variantes : ping peuvent le faire avec : DEFF1LL couleur, style, motif force CLIP x, y, larg, haut tre couleurs. Avant d'utiliser un sprite, ami&V INITIATION

bobl, il faut définir son aspect. Ceci se fera BOB OBIECT.SHAPE bob2

la commande : et copier ainsi la définition du Bob par Le moins que l'on puisse dire, c'est numéro « bobl « dans celui de numéro que le manuel d'utilisation du GIA- SPRITE n, s$ - bob2 ». Basic Amiqa est plufôf avare en rensei- où « n » est le numéro du sprite à défi- Cela suffit-il pour animer un ou plu- qnements sur les Bobs... Voici qui, nir et s$ la chaîne de caractères conte- sieurs Bobs à l'écran ? Malheureuse- j'espère, comblera ce manque. Un nant sa définition. ment non, car il convient encore de BOB (Blitter OBject) esf une forme par- Si vous n'avez plus besoin d'un sprite réqler tout un tas de paramètres pour ticulière de sprites, gérés par le Blitter particulier, vous pouvez l'effacer de la chaque Bob défini. Premièrement, il Leur nombre est limifé à 32767, ce qui, mémoire simplement en spécifiant pour faut définir la priorité des Bobs, c'est- dans la plupart des cas, suffira ample- s$ une chaîne vide (s$= « » ). à-dire un ordre dans lequel les diffé- ment ! Toute une série d'instructions, il Pour déplacer un sprite, faudra uti- rents Bobs seront dessinés : empruntées il est vrai à l'AmigaBasic, liser la commande : OBJECT.PRIORITY bob, prior existe dans le GfA-Basic pour les gérer où « bob » est le numéro du Bob con- SPRITE n, x, y efficacement. cerné, et « prior » sa priorité, comprise qui a pour effet d'effacer le sprite de sa Comme pour les sprites, il convient entre et 32767. Les Bobs, de priorité position actuelle pour le ré-afficher à de commencer par définir la forme du plus élevée, seront dessinés en pre- la position {x, y). (des) Bobs. Cela se fait très simplement mier, donc SOUS ceux de priorité plus grâce a la commande : Enfin, SPRITE OFF désactive TOUS faible. les sprites en cours, y compris le poin- OBJECT.SHAPE bob, de($ Il faut également déterminer dans teur de souris, tandis que SPRITE ON où « bob « représente le numéro du quel plan de bits, c'est-à-dire dans les ré-active à nouveau. Bob a définir et « def$ » sa chaîne de quelle(s) couleur(s) chaque Bob sera Notez quand même que les sprites ne définition (utiliser pour cela le pro- dessiné, et si les plans de bits non uti- sont pas souvent utilisés dans le jeux, gramme lFF_TO_BOB.GFA fourni lisés devront être effacés ou laissés tels les programmeurs donnanf la préfé- sur la disguette originale du GfA- quels. Cela se fait avec la commande : rence aux BOBs, que justement, ça Basic). On peut également utiliser cette OBJECT.PLANES bob, PlanePick, tombe bien, voici venir. commande d'une autre manière : PlaneOnOff

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où « bob », encore une fois, représente nir des vitesses différentes pour l'axe OBIECT.START bobl, bob2, bob3,... le numéro du Bob concerné. PlanePick des X et celui des Y. Le paramètre mis en mouvement ; le Blitter les anime el PlaneOnOff (ce sont « les noms don- bob » est, ça devient une habitude, tout seul, comme un grand, il n'y a plus nés par Commodore à ces variables) le numéro du Bob concerné, tandis que qu'à le reqarder faire. On arrêtera le sont un peu plus difficiles mettre « » « » à en accel et vitess sont exprimés en mouvement avec : œuvre. Vous avez déjà certainement pixels/seconde (on n'arrête pas le OBJECT.STOP bobl, bob2, bob3,... entendu dire que l'imago que vous progrès). La même remarque que précédem- voyez sur votre moniteur est composée, On a presque terminé, on peut main- ment est valable guant à l'absence de en mémoire, de plans de bits. Le prin- lenant afficher notre (nos) Bob(s). Cela paramètres cette cipe est que bits derrière commande. plusieurs sont néces- se fait avec la commande : Mais si l'on préfère déplacer soi- saires pour définir la couleur d'un OBJETC.ON bobl, bob2, bob3,... même un ou plusieurs Bobs, en indi- point. Plus le nombre de plans de bits Si aucun paramètre ne suit guant au fur et à mesure ses coordon- (on dit aussi : la profondeur) utilisés es! OBIECT.START, ce sont tous les Bobs

nées, cela peut se faire avec : grand, plus on peut avoir de couleurs définis qui seront affichés... mais pas simultanément à l'écran (jusqu'à 5 encore animés. Il nous faut pour cela OBJECT.X bob, x plans, soit couleurs), plus utiliser 32 mais on la commande ; OBJEXT.Y bob, y consomme de mémoire. Le Blitter, pro- cesseur graphique de l'Amiga, permet d'afficher des Bobs ayant une profon- deur inférieure à celle de l'écran. Dans Ce? programme utilise le Bob

: ce cas, il faudra déterminer quels plans ' €> d u -f i. c h i r m a. g i c . b o b s u. r la disquette bits de du Bob seront écrits dans quels [ originale du G-f A--Basi c . plans de bits l'écran. C'est à cela de 7 1 1 ! v r e 1. 1 n ê c. r a. n ( 3 20 ;: , que servent les valeurs PlanePick et 2 00 32 roulpur ;) Ml I HS 1 ,0 0. 00, î .0 PlaneOnOlf. Ces valeurs peuvent être ' Ouvre une -fenêtre calculées " avec la formule suivante : (sinon, salutations du GOUROU !) Plane= bl + (2 * + (4 * b2) b3) + 01 \ NW 1,0,0, > ÏO, 00,0,0 (8 * b4) + (16 * b5) ' où bl à b5 représentent les numéros Charge la palette des couleurs OPEN "i",i*l,"GFnBABi:C:l)^mos/r|r-mo.pal" des cinq plans de bits possibles. Si un FOR v?,-0 10 PREDO. DFH+i ) /;..•} plan doit être utilisé par le Bob, mettre SFICULUR y&,CVI < I NPUT* < 2 , Il 1 ) son numéro, dans la formule ct-dessus, NE XI vit à 1 et, à û, dans le cas contraire. On CLOSE #1 obtient ainsi la valeur de PlanePick. On " Charge le Bob utilise la même formule pour calculer . OPEN "i ",#1 "GFABASIC: Démos/m agi r: . bob" PlaneOnOff, à ceci près qu'il faut ici i I Ifll 01 l (I 01 U III définir faire ' quoi des plans de bits de Mllï*=CHR*

nu. il i;i ..hiiapi- i .,-,t numéro par 0) ou les laisser tels quels " I eus les plans sont utilisés ! (remplacer leur numéro par 1). OB.JECT. PLANES 1 Maintenanl que le Blitter sait à 7 ' quoi .1 Zone de c i ppi nn (toi it ] tVr an ) nos objets ressemblent, dans quel ordre OBJECT . CL 1 P 0,0, 320 , 200 et de quelle manière les afficher, il faut RRPFA f lui dire comment il devra les déplacer, ' Dessine le Bob c'est-à-dire, principalement, définir (Il m I.HN leur vitesse. Il existe sortes ' deux de à 1 a poiiîi t i on X vitesses possibles, qu'il faut définir tou- OB.ÏFCy,. X I ,N0HSFX tes les deux. La première concerne ' et Y de la souris l'accélération au démarrage du Bob OBJEOT.Y 1 ,MDUSEY ' F i n avec: un cl ic (un peu comme une voiture qui monte UNTIL MOUSEK. de à 100), la seconde son déplace- ment effectif (sa vitesse croisière). ' de Ci an 1 os huhs

On utilise pour cela les commandes : iihiii:i .Cl GSF

' ' OBJECT.AX bob, accel Ci .m 1 éc r .m Cl OSF S l OBJECT.AY bob, accel 1 Bon iout CIO ' OBJECT.VX bob, vitess I ni l OBJECT.VY bob, vitess Comme vous le voyez, on peut défi- . 2 INITIATION

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Les habitués l'ArnigaBasic regret- qui ira placer le Bob de numéro permet de détecter les collisions de de l'absence ins- : teront certainement des « bob » aux coordonnées x et y spé- Bobs entre eux. La commande tructions COLLISION ON, COLLI- cifiées. Pour effacer temporairement de ON COLLISION GOSUB procédure SION OFF et COLLISION STOP. l'écran un ou plusieurs Bobs, on utili- permet en effet de se brancher sur la « » sera judicieusement la commande : procédure de nom procédure en OBJECT.OFF bobl, bob2, bob3,... cas de collision entre deux Bobs. C'est décider, au OUUUUUFFF ! tandis que la commande : ensuite au programme de à Eh bien ma foi, tout cela est plutôt . . collision, la marche OBIECT. CLOSE bobl , bob2, bob-3, sein de cette de dur à digérer d'un seul coup... Pour effacera définitivement un ou plusieurs suivre, en interrogeant le tableau COL- indique mieux illuster l'animation des Bobs, un Bobs de la mémoire. LISIONO : COLLISION(O) est le responsable de la colli- petit programme suit cet exposé ma foi Reste la commande : quel Bob touffu. Décortiquez-le dans tous OBJECT.CLIPxl, yl, x2, y2 sion, tandis que COLLlSION(COLLl- bien les sens et modifiez-le à loisir, c'est qui, tout comme son quasi-homologue SION(O)) indique le Bob partenaire du encore le meilleur moyen d'apprendre vu plus haut, permet de définir un rec- carambolage. Si cette valeur est infé- de comprendre. Comme dit la tangle de clipping duquel les bobs ne rieure à 0, c'est que le Bob est entré en et sagesse populaire : « c'est en se mou- pourront sortir, quitte à être « tron- conflit, soit avec le bord de l'écran, soit chant qu'on devient moucheron... » qués » avant d'être affichés. Cette com- avec le rectangle de clipping définit mande affecte tous les Bobs en place et par OBJECT.CLIP. En ce cas, une est réglé sur l'écran entier par défaut. valeur de — 1 indique que c'est en haut Enfin, et puisqu'il faut bien que tout de l'écran qu'à eu lieu la collision, — ait une fin, même cette suite intermina- indique la gauche, —3 le bas et —4 la ble de OBJECT.xxxxx, le GfA-Basic droite. Skyline SHD30 Disque Dur 30 Mo pour Amiga*

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La Tube-lntro de Little Zeus

Wait et Move. Nous allons Ce mois-ci, à travers instructions donc combiner le jeu des instructions f% appelons brièvement où nous nous la routine qui vous Wait et Move et l'utilisation des regis- étions arrêtés au précédent numéro : tres pointeurs des bitplanes, ce qui avions affiché notre logo, l'avions est proposée, nous nous nous permettra d'entraver le fonction- animé d'un scrolling de couleurs et nement normal de l'Amiga ! ! ! J'en vois d'une ondulation au moyen du Copper. allons user d'un qui commencent à se lever et s'indigner Nous avions également préparé le ter- car ils craignent d'endommager leur pour la suite des événements, en subterfuge rain cher ordinateur... Pas de panique, le « mitoc » que nous tapant la routine fonctionnement anormal de l'Amiga concernant les n'avions pas expliquée, puisque son s'arrêtera dès la fin du déroulement de explication ne devient possible que ce la routine et il n'y aura aucune réper- pointeurs-biplane, Nous ne terminerons malheu- mois-ci. cussion fâcheuse sur le Hardware. reusement pas la routine de danse dans afin de faire danser Avant d'aller plus loin, expliquons numéro-ci, pour la simple et bonne ce l'intérêt d'avoir recopié notre logo dans raison que nous ne pourrions être notre cher logo. le bitplane 6 : c'est simple, cela nous exhaustif en deux pages sur cette phase évite d'avoir à recopier la partie de Attention de la tube-intro qui est assez pointue ; poids fort du contenu du pointeur- mais qui dit « pointue », dit « puis- bit plane. l'explication de sante » M! Car le procédé ici mis en Nous allons procéder ainsi : l'ordina- avant, se révèle être d'une grande uti- cette routine teur incrémente automatiquement la lité dans de nombreux domaines, car valeur des registres poi ni eurs -bitplanes il présente une grande vitesse d'exé- requiert de votre du nombre d'octets de chaque ligne, cution. chaque fois que le Raster passe en ligne part, chers lecteurs Avant d'entamer l'explication, fai- (en fait les registres sont incrémentés sons un peu de théorie sur les registres 16 pixels) ; nous allons chan- débutants ou des Bitplanes, sans laquelle les expli- tous les ger les « habitudes » de l'ordinateur en cations de la routine apparaîtront quelquefois ces regis- moyens en incompréhensibles. L'Amiga possède décrémentant tres, afin d'annuler l'affichage de la six paires de registres-machine corres- nous aurons ainsi programmation pondant respectivement aux pointeurs ligne-IFF suivante, plusieurs fois la même ligne-IFF à de lignes des six bitplanes, en d'autres 68000, une très l'écran, quand nous le souhaiterons, mots, chacune de ces paires de regis- bien entendu. attention et tres contient normalement, j'ai bien dit grande phé- normalement, lorsque le spot de Nous allons donc jouer sur ce répétition d'affichage de la nécessité de la balayage de l'écran est à la ligne 1, nomène de telle telle par- l'adresse du début de la ligne 1 de ligne, pour allonger ou une retire plusieurs fois, l'image IFF. Quand le spot passe à la tie du logo, mais nous agrandirons différente à chaque balayage, ligne 2, chacune possède l'adresse du partie (c'est en effet la déformation mou- début de la ligne 2 de l'image IFF et afin de créer une

vante ; la combinaison de cette routine partie la plus ainsi de suite jusqu'à la fin de l'écran. Pour plus de facilité de compréhension, ajoutée à celle du scrolling des cou- et à celle de l'ondulation, créera complexe de la nous adopterons ici les conventions sui- leurs notre fantastique danse céleste. vantes : " ligne-écran n » signifie ligne Tube-lntro). Quant numéro n apparaissant à l'écran et Commençons enfin l'explication de a ligne-IFF n » signifie ligne numéro n fond. Tout d'abord, voyons ce sur quoi aux programmeurs de l'image IFF. se fonde le principe de la routine : le Rappelons que l'Amiga, grâce au mois dernier, j'avais évoqué en pas- avancés, ils n'en Copper, offre un privilège particulier, sant, un futur tableau dans lequel s'ins- possibilité, comme nous criraient les poids faibles (le poids fort feront qu'une il donne la constant) avons déjà pu l'entrevoir précédem- est inutile car il est des adres- dans l'ordre bouchée. ment, d'effectuer telle ou telle opéra- ses de début de lignes-IFF, Ainsi, recopiant plu- tion suivant la position du spot de des lignes-IFF. en balayage à l'écran et ce, à l'aide des sieurs fois de suite une même adresse :

APPLICATION amiga a

61 en provenance du tableau dans la Cop- écran 29 et 30 où nous aurons fois deux O0E4 : parlie de poids faible du poin- perlist, nous changeons la forme du la ligne-IFF n+16. teur bitplane 2 pour la ligne xx

logo ! Bien évidemment, le fait de reco- Enfin, la routine « empline » efface bbbb : adresse de base de la ligne- pier plus ou moins fois de telle ou telle les lignes, c'est-à-dire que lorsque nous IFF à afficher à la ligne-écran xx, bbbb base de ligne-IFF à partir du tableau, reproduisons notre logo en une propo- provient du tableau ne se fait pas spontanément, il faut faire sition intérieure ou supérieure à la pré- 0OE8 : partie de poids faible du poin- appel à des routines ; dans notre pro- cédente, nous devons effacer les teur bitplane 3 pour la ligne xx gramme, elles se présentent toutes SOUS traînées de l'emplacement des Biipla- cccc : adresse de base de la ligne- la forme « EFFn ». nes, Chacune de ces l'adresse du début d'une ligne-IFF IFF à afficher è la ligne-écran xx, cccc routines — elles sont huit au total — vide. provient du tableau. combinera de manière différente les Un petit détail. Vous avez certaine- Si vous avez parlaitement compris et routines « Oneline », « » Twolines et ment pu remarquer que pour effectuer assimilé le présent article, alors vous " Empline ». « Oneline » offre deux unjmpeneffl puiseff2..., nous subs- pouvez vous considérer comme un pro- paramètres d3 et d5. Si d5 est différent tituons dans le proqramme. la valeur de grammeur confirmé. de 0, on annule l'incrémentation des dest + 2. Sur ce, je vous quitte et vous donne pointeurs des Bitplanes et si d5 est égal Enfin, voyons une ligne type de la rendez-vous le mois prochain pour la à 0, tout se pase normalement, c'est-à- Copperlist de ce proqramme et fin de l'explication de la routine de dire que l'image est IFF : affichée nor- expliquons-là danse et de déformation de notre logo, malemenl à l'écran ; d'A correspond aux xx09 : seul xx change, il correspond ainsi que pour une étude du Blitter, ce nombres de lignes-écran 1 + (rappelez- au numéro de ligne-écran cher coprocesseur graphique, qui nous vous ce que j'avais dit le : mois dernier FFFE test flags permettra bientôt d'animer notre scrol- concernant l'instruction dbra) que nous 0102 : regisire de décalage bitplane linq en tube. désirons afficher ; en : prenant par yyyy valeur du décalage sur cette Little Zeus. exemple 5 pour d5 et 10 pour d3, nous ligne afficherons 1 1 fois la même ligne-IFF à 0182 : registre couleur utilisé partir de la position initiale du spot. zzzz : valeur de la couleur utilisée « Twolines » ne propose qu'un seul sur cette ligne PS : cette routine doit être placée où paramètre, elle d3 : ; reproduit d3 fois 0OE2 partie de poids faible du poin- bon vous semblera et doit être appelée plus 1 deux lignes-IFF identiques. teur bitplane 1 pour la ligne xx à partir de la principale, à l'aide d'un Ainsi, en prenant par exemple 15 pour aaaa : adresse de base de la ligne-IFF jsr effets2 que vous mettrez dans la rou- d3, on aura aux lignes-écran 1 et 2, à afficher à la ligne écran xx, aaaa pro- tine de test de la souris, c'est-à-dire en deux fois la ligne-IFF n, aux lignes- vient du tableau

; Tube intro de Little Zeus Phase 1 troisième partie

max-108

poslist: de . 1 efflist-4 ; pointeur dans la table dans laquelle figure les routines EFFn à appeler

efflist: de . 1 effl ; table des adresses des animations dc.l eff2 dc.l eff3 dc.l eff4 de. 1 eff5 de. 1 eff4 dc.l effo dc.l eff4 de. 1 eff5 dc.l eff7 de. 1 ef f6 de. 1 eff8 eff listf \jMlGA DOMAINE

DOMAINE PUBLIC AMIGA

Le domaine public une icône, pour pouvoir le réutiliser ^^n peut se procurer les disquettes par la suife. On peut ainsi se construire se divise en deux du domaine public de diilérenles toute une bibliothèque de pointeurs.

[ndiii'' i":', soit "ri lùl'Vhiimeani il p.ir auteur : Alex Livshits, catégories : le

tir d'un serveur minitel (SM 1 , Deep et Pilot

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auteur : Dirk Reisig. blocks non standards. Pour les posses- Un petit utilitaire pour convertir les seurs d'Amiga 1000, peut s'installer sur fichiers du processeur d'idées « Flow », le disque KickStart à la place de la en fichier Unix « Troff » pour les impri- très fonction peut utilisée Debug ( ). mer sur FRED FISH 153 une quelconque imprimante auteur : Leonardo Fei. laser compatible avec « Troff ». DME PriniSpool auteur : Daniel Barrett. Version 1.30 de l'éditeur textes de pour Un spooler d'imprimante. Imprime en Labyrinth II programmeurs WYSIWYG (What You tâche de fond sans immobiliser votre Un jeu de rôle textuel (en anglais) assez See Is What You Get). Ne remplace pas Amiga. semblable aux jeux Infocom. Les un traitement de textes, mais autorise auteur : François Gagnon. fichiers sources sont inclus. Ce jeu est les points de repères. Les scrollings Utilities du ShareWare, si vous aimez, envoyez sont très rapides et des informations Cal, DClock, Undelete et Whereis : sont affichées en permanence. Possibi- guatre petits utilitaires à lancer de la auteur : RusseH Wallace. lité d'icônifier les fenêtres* CLI seulement (limpide pour les angli- Iffor auteur : Matt Dilon cistes). Pour archiver vos fichiers Iff , Form, Cat HP 11 auteur : Dan Schein. et List. Fichiers sources inclus. Pour les fanas de la notation polonaise VirusX' auteur : Karl Lehenbauer. inversée. Une émulation du calculateur Version 1.21. Un autre programme SetPalorNTSC de chez HP. L'interrupteur marche- pour détecter les virus. Les fichiers Deux utilitaires pour vérifier si un pro- arrêt transforme la calculatrice en sources sont inclus mais je préfère gramme peut fonctionner en PAL et en petite icône. Pas sur le de Doc HP 11, Guardian. NTSC. Les fichiers sources sont inclus, donc à réserver a ceux gui le connais- auteur : Steve Tibbett. ainsi qu'un exemple. sent bien. Virus-Alert auteur : Peter Kittel.

auteur : David Gay. Eh si, encore un programme TES HPMAN pour détecter les virus. Vérifie si aucun virus o The Electronic Slave ». Rajoute une Rien à voir avec le précédent pro- ne se trouve en mémoire. Si un virus ligne d'icônes dans la barre de titre gramme. Celui-ci sert à manipuler les s'installe sur le disque, fe BootBlock d'une fenêtre CLI, pour effectuer rapi- polices de caractères HP, ainsi qu'à spécial disparaît et vous êtes prévenu dement certaines fonctions : directo- modifier les réglages des imprimantes du danger. ries, list... Les fichiers sources sont HP Laserjet + et compatibles, auteur : Foster Hall. auteur : Steve Robb. Wicon auteur : Joerg Anslik. Synthemania Un icônificateur de fenêtre. Transforme UnknowGirl Un morceau de musique assez court, les fenêtres en icônes pour gagner de Petit morceau de musique fait à partir mais qu'on ne peut arrêter que grâce la place sur l'écran. Ce programme est de SoundTracker. au CTRL-AmigaG-AmigaD. associé à MacWin, gui fait ouvrir les auteur : Holger Lubitz. auteur : Holger Lubnitz. fenêtres a la mode Macintosh.

auteur : Steve Sweeting.

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Ada FRED FISH 162 : VOTRE DOMAINE Utilitaire pour vérifier la syntaxe en Avi Ne laissez pas vos géniales créations Ada. Très peu utile. Une version de l'éditeur Vi Unix pour dormir au fond d'une disquette. : auteur Herman Fisher ; Mise à jour l' Amiga. A déconseiller aux débutants. Envoyez-les nous sur disquette 3" 1/2, William Loftus. Plutôt pour ceux qui connaîtraient les accompagnée d'une documentation AssemblyDemos commandes de l'éditeur Vi sur le bout précise et si possible avec les sources. Quelgues démos en assembleur pour le des doigts. Nous nous chargerons de citer les meil- plaisir des yeux et des oreilles. auteur : Peter Nestor. leures réalisations dans cette rubrigue auteur : Fosier Hall. CLI-Utilities et de les faire rentrer dans le domaine Disklib Ce répertoire contient de petits utilitai- public. Deux utilitaires pour ceux gui transfè- res, utilisable de la CLI seulement (si, rent beaucoup de fichiers d'une dis- si). quette l'autre. à Les fichiers sources auteur : Various. Envoyez à : Corimodore Revue sont inclus. Dark 1 (Domaine public), , bis rue de Para- auteur : Wilson Snyder. Une petite animation. Les fichiers sou- - dis, 75010 Pans. Guardian ces sont inclus. Le célèbre programme, qui permet de Utiles pour les débutanls. se protéger efficacement des virus. auteur : Phil Robertson. Larry Trick. REPORTAGE

Commodore au CeBit 1989 (Hanovre): La stabilité

Comme choque année au mois de Mars, a lieu à Hanovre le CeBit. Cette manifestation, rappelons-le, est la première exposition européenne, bien plus que strictement allemande, entièrement dédiée à la bureautique, l'informatique et la ^^ r.-ind frère du S1COB français, le 800 m 3 et sur deux étages. Là, au rez- télécommunication. CeBif est le rendez-vous européen du de-chaussée, plus d'une centaine de monde de l'informatique, au même titre postes présentaient des applications que le COMDEX pour les Etals- Unis. professionnelles pour la plupart. On La plupart dt-s sociétés internationales pouvait voir fonctionner des Amiqa 500 choisissent d'ailleurs cette occasion et 2000, côtoyant des PC 10/20, PC 40 pour y faire des annonces mondiales et PC 60, avec quelques « bons vieux » majeures (Apple y a présenté son nou- C64, toujours très actiis dans cette par- veau Mac llcx). Pendant une semaine tie du monde. Bien que le stand fut

(du 8 au 15 Mars), plusieurs dizaines immense, il était parfois très dur de se de milliers de personne;; se bousculonl frayer un chemin dans le public attiré donc dans quatorze halls, pour décou- par la multitude et la diversité des

vrir plus de 1 700 sociétés. Parmi applications présentées. Heureuse- celles-ci, Commodore Allemagne est ment, le deuxième étaqe, accessible loin de passer inaperçue. uniquement aux proiessionnels, nous permettait de nous rafraîchir et d'y ren- GIGANTESQUE... contrer des personnes plus libres, pour Ceux qui ne connaissent du monde nous parler de la situation de Commo Commodore que le marché français, ne dore en Allemagne et dans le monde. peuvent être qu'étonnés par l'énormité COMMODORE PRÊT du CeBit, d'une part, et par l'impor- tance de Commodore sur le marché POUR LES ANNÉES 90... allemand, d'autre part. Situé dans le La première conférence de presse de plus grand Hall, le stand principal de Winfried Hoffmann (PDG de Commo- Commodore s'étendait sur plus de dore Allemagne ei Vice- Président de REPORTAGE

65

Commodore Europe), nous permit chiffre représente- en tiers des ventes du devrait être inférieur à celui de son d'apprendre que Commodore était prêt monde entier. Pendant ces six derniers concurrent direct qui est... le Mac II pour affronter le chalienqe des années mois, ont été vendus 326 440 C64, d'Apple. 90, grâce à sa gamme de produits et sa C128D et Amiga 500 (dont 81 440 Dans le même concept, Commodore a structure d'organisation. En organisant A500) et 53 460 PC et Amiga 2000 créé une configuration Vidéo pour l'Europe en réqions de même langue, (dont 16 000 A2000). Aujourd'hui, il y Amiga 500, gui intègre un boîtier il est plus aisé de subvenir directement a donc en Allemagne plus de 150 000 Video BOX (digitaliseur Diamond aux besoins des marchés et d'oflrir un utilisateurs d'Amiga. . . En globalité, Scan, filtre RVB, Genlock, kit de câble) support plus flexible aux utilisateurs. cela représente une croissance des ven- et un ensemble de logiciels (logiciel de Seulement, l'ouverture du marché tes de 20 % par rapport a 88. dessin et de digitalisation, qénérateur européen de 1992 pose un problème d'effets, titreur et Quick Silver). sur leguel Wilfried Hofirnan répond : DES APPLICATIONS Cette configuration, positionnée à

« fabricants d'ordinateurs à 1 Les auront &UI FONCTIONNENT 595 DM (équivalent à 5 400 FF) , sera prendre en compte, que les revendeurs ET SANS GOUROUS... distribuée en Allemagne par un réseau pourront plus facilement élargir leurs de revendeurs sélectionnés parmi les Sur son stand, Commodore présentait sources d'approvisionnement, pour un spécialistes de la vidéo. une foule d'applications professionnel meilleur profit. Avec la disparition des Pour ce qui est de la disponibilité de les plus ou moins verticales. Pour les frontières, il n'y aura plus de préfé- ces solutions en France, aucune préci- PC, des applications « classiques » rence pour son pays d'origine. Jusgu'à sion ne nous a été apportée. (réseaux, Windows, Tableurs...) assu- maintenant, non seulement les prix, Au niveau des logiciels de sociétés tier- raient le public d'une compatibilité mais aussi les disponibilités des pro- ces, on pouvait redécouvrir les désor- parfaite avec des performances duits, étaient des raisons importantes mais habituels Maxiplan, Superbase, accrues. pour pousser à acheter à l'étranger. Sur GFA-Basic 3.0 et DPaint II... Du côté Amiga, les applications ce point, notre nouvelle structure En revanche, pour les matériels, des démontrées étaient plutôt présentées d'organisation, nous assure que chaque produits plus récents étaient présentés. sous forme de package. Correspondant ordinateur Commodore est disponible Ainsi, le très attendu moniteur 1008 x à une volonté de ' professionnaliser où il est derririndé en Europe, chez la 800 de Moniterm était présenté dans l'image de l'Amiga (voir encadré filiale locale, par les réseaux de distri- une configuration PAO, offrant une lisi- « Interview de Gail Wellington »), bution Commodore », bilité des plus efficaces. Videocomp, Commodore a décidé de vendre des En matière de gamme de produits, Wil- une société de Francfort, faisait fonc- « packages » comprenant le matériel, fried Hoffmann considère que Commo- tionner un Genlock PAL Broadcast, le logiciel ei les périphériques, néces- dore est déjà en route pour l'avenir. En dans une régie complète éguipée saires à une application précise. Ainsi, Allemagne Fédérale, les ordinateurs d'Amiga. On pouvait aussi apercevoir on pouvait découvrir la solution P.A.O. personnels (PC MS-DOS et Amiga des applications spécifiques, comme un 2000) représentent près de 33 % du professionnelle destinée à remplir toute CD-ROM contenant une banque de marché. Cette part de marché devrait les fonctions de la chaîne d'édition. données BTX (système d'information Cette solution est basée autour d'un évoluer vers la hausse, qrâce à la nou- allemand) connectée sur Amiga, ou

Amiga 2000, équipé de : velle génération de PC (PC 40 série III) une interface de diqitahsation, reliée à et aux nouveaux Amiga 2000 (A 2500 — 3 Mo de RAM un microscope pour l'affichage et UX et Station de travail équipé de — disque dur de 40 Mo l'analyse, graphique, d'entités micros- Transputer). — carte contrôleur A 2090A copiques, ou encore, une application Plus précisément, la volonté de Com- — lecteur de disque 3" 1/2,880 Ko de téléconférence, contenant un modore est de bien distinguer deux — carte interface FI icker- Fixer de Amiga, un Genlock, une caméra pour types de marché et deux types de dis- MicroWay (permet un affichage non- l'image « Live » et une autre pour la tribution. D'un côté, Commodore vend entrelucé en 640 xbd2 points) diqiidliS'iihon do documents... ses PC et ses Amiga 2000 en configu- — carte d'interface IEEE d'ASDG Après avoir vu l'intégralité des maté- rations professionnelles (.par l'intermé- — Moniteur Couleur Multisynchrone riels Commodore (voir encadré Pro- diaire de Revendeur;-. Partenaires), et — Scanner couleur SHARP (300 dpi, duits Commodore : les nouveaux et les

il de l'autre, veut satisfaire les besoins 24 bitplanes) autres. . . ), le stand Commodore laissait du marché domestigue avec ses Amiga, — Imprimante laser PostScript Silentw- une impression de stabilité et de son C64 et les PC. Pour terminer avec riter de NEC sérieux, tant dans la multitude d'appli- les chiffres, on pouvait apprendre que — - Logiciel Prolessional Page (mise en cations présentées, que dans leur fonc- Commodore se portait à nouveau très page) tionnement, réellement sans encombre. bien financièrement, c'est-à-dire, gu'il — Logiciel Professional Draw (illustra- La position de Commodore, comme était plus stable à la hausse. Pour ce qui tion vectorielle) challenger du marché professionnel, est de l'Allemagne, la filiale de Com- — Logiciel pour le scanner peut maintenant être mieux défendue, modore y a réalisé de Juin à Décembre Bien que la disponibilité de cet ensem- car les armes (les applications) devien- 88, un CA de 297 millions de DM (soit ble soit imminente en Allemagne, son nent plus précises et plus efficaces. un peu plus d'1 milliard de FF). Ce prix n'a pas encore été fixé, mais il Eric LUX VIDEOSHOP VIDE l'informatique de loisir

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Interview de Gaii Wellington

Gail Wellington est, chez Commodore PC 40 ITT, qui est sans nul doute une qui devront être bientôt disponibles. International, la Directrice Générale machine très- bien positionnée sur le Ce produit permettra de transformer

' ,'300 pour le support des logiciels et produits créneau des AT de table, au rapport 1 A en une machine surpuissante, au niveau mondial. Nous l'avons ren- qualité/prix très attractif et qui connaît avec un disque dur de 20 Mo et une contrée pour lui poser quelques ques- déjà un franc succès. mémoire de 3 Mo (2 Mo pourront se tions, sur l'étal fier; développements dès- Nous développons aussi cette gamme loger dans l'A590). produits Commodore. vers le haut, avec le PC 60 série III, un C.R. : L'Amiga 2500 UX est donc dis- « » surpuissanl. autre 80386 Tower Un ponible, mais allez-vous aussi fournir Eric LUX pour Commodore Revue ; modèle de 80386, dans un concept de Commodore se restructure au niveau des cartes Ethernet pour la connexion » petite » station de travail devrait aussi international. Pouvez- vous nous à des minis ou à d'auires stations de voir le jour sous le nom de PC 50. décrire plus précisément ce qu'il en est. travail. Enfin, comme il semblerait que l'AT

G.W. : Nous travaillons à fournir ce Gail Wellington ; Tout d'abord, notre 80286 soit en passe de devenir le stan type de carte. En attendant, nous allons organisation a été restructurée au dard, tant au niveau d'une utilisation sortir dans peu de temps une carte niveau des hommes. Récemment, un bureau qu'à la maison, nous somme multi série (7 ports RS 232 C) pour une nouveau Présider.! Mondial a été l'étude d'un modèle PC 30. Il devrai- connexion directe .'vjec sept terminaux, nommé aux Etats-Unis. Il s'appelle être moins puissant que le 40 III (20 Mo Amiga ou aulre. Mehdi ALI et a été nommé à ce poste et EGA uniquement) mais encore plus

par Irvin GOULD, actuel CEO, pour accessible au niveau prix. Ces derniè- C.R. : Pas d'Amiga 3000 à l'horizon ?

s'occuper des opérations de Commo- res machines n'ont pas leur spécifica- G.W. : Nous y travaillons mais nous ne dore au niveau mondial. tions complètement arrêtées, mais elles donnerons des spécifications exactes En Europe, l'ancien responsable euro- devraient voir le jour avant la lin de gue peu de temps avant sa sortie. péen, Harald SPEYER, vient de quitter l'année. C.R. : Revenons maintenant sur le mar- Wilfried Hoffman a été ce qui concerne i'Amiqa, des déve- Commodore. En ché Grand Public. Ouelleest la straté- Président pour l'Europe loppements sont en cours, en matière promu Vice gie de Commodore en ce qui concerne Occidentale, en plus de son poste de de cartes additionnelles {PVA, carte ce marché, plus particulièrement Directeur Général de Commodore haule-résolution, carte 68030...), mais depuis la récente montée en puissance Allemagne. Il est secondé par Chris nous ne nous avancer sur une pouvons des consoles de jeu ? ANDERSEN qui est Directeur Général date de sortie. Notre intérêl est que le G.W. ; Pour Commodore, le marché pour le support européen et la public sache dans quelles directions Grand Public est son marché d'origine logistique. Commodore va faire évoluer ses pro- et représente encore une grande par- Ces promotions, ou nominations, cor- duits mais nous ne voulons pas promet- tie de son activité. L'Amiga 500 est respondent à une phase de construction tre des choses qui ne verront pas le jour actuellement en passe de devenir le au sein de Commodore : construction à la date prévue, comme il était de cou- standard des micro-ordinateurs fami- en terme de personnel, en terme tume auparavant. liaux dans le monde, avec près d'un d'objectifs, d'image et de ventes. million d'exemplaires vendus. Mais le : les produits qui La stratégie actuelle de Commodore, C.R. Ouels sont donc sont ofliciellemenl C64 reste une machine non est d'attaquer le marché inslitutionnel annoncés par Com- disponibilité négligeable, puisqu'il s'en vend encore grâce à des produits professionnels lia- modore pour une ? un million d'unité par an ! Mon senti hic; f>t hior, w.W™i ISmins 9000 et imminente ment envers le marché des consoles est 5Û0UXetlePC40-IÎI qu'il existera toujours un équilibre IMPRIMANTES disponibles. Rappe entre les gens qui veulent uniquement Toute une gamme d'imprimantes —«tX est un Amiga 2000 jouer et ceux qui désirent aller plus

; ; , ; d'Atari en exposition permanente ! CITIZEN t 6i^ï 6B88 loin. En 1982, les consoles VCS Imprimantes NEC, EPSON, CITIZEN. A 090 ' ^ e RAM, un disque se vendaient par milliers, mais cela n'a AMSTRAD, portables DICONIX. *' une sauvegarde sur pas empêché un ordinateur de devenir peut fonctionner un standard du marché Grand Public, I m primait! es Laser ... J*5Î COfeci V à des prix impressionnanis !!! . Unix System V, avec le C64. En ce qui concerne l'Amiga T âtrage développé par 500, cette machine est toujours en avance par rapport à ses concurrents directs et pourtant, ses possibilités ne de produire les sont pas encore exploitées au INTELC pour l'Amiga 500, l'inform REPORTAGE

Produits Commodore : les nouveaux et les autres..

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Dessine-moi un mouton Commodore revue n° 7-10

Non ce n'est pas o The » pois- son d'Avril l Voici enfin les résultats du concours « dessine-moi un mouton » annoncé dans le numéro 7 de Janvier. Nombre d'entre- vous nous on « reproché » l'ambi- guïté des modalités du con- cours. Il s'agissait bien pour vous, de nous envoyer des des- sins fixes et non des animations. Que ceux qui nous on fait par- venir ces animations ne déses- pèrent pas, nous les gardons précieusement au chaud en vue d'un second et prochain concours • animation », où il ne s'agira plus là de plans fixes, mais bien de séquences ani- mées. Pour de plus amples détails reportez- vous à l'enca- dré « Clip, clap... o

CLIP, CLAP... Comme nous ne sommes pas » chiens » et que l'animation semble en attirer plus d'un, que de plus, Commodore Revue adore ses lecteurs (mais oui), bref nous offrons une seconde chance à cer- tains d'entre vous de passer à la postérité. C'est ainsi que nous attendons des anima- tions. Ces animations devront tourner sur Amiqa 500, 1000 ou 2000 (à spécifier dans votre courrier), nous parvenir sur disquette 3" 1/2, être obli- gatoirement en auto-boot et surtout, posséder une touche, ou fonction pause, afin que nous puissions en prendre des photos. De plus, n'oubliez pas do n

si que le n du ou des logiciels utilisés lors de la réalisation de vos ani- mations. Vos envois devront nous par- venir avant le 15.07.89 le cachet de la poste faisant foi. A0GA DIVERS

n simple outil graphi- que, au même titre qu'un burin, qu'un pinceau ou que des pastels, par exemple. Sachez tout de même, que « JUMELLES » ne récolta pas la totalité des suffrages de la rédaction. « BULLES», « PI- NOCCHIO » et » REBONDS » n'étaient pas très loin... Non seulement vous avez été nombreux à nous envoyer vos œuvres (plus d'une centaine et certaines arrivent encore !), mais de plus celles-ci furent de grande qualité. Le choix fut parfois difficile au sein de la rédaction, vous savez ce que c'est « les goûts et les

Nos critères de choix furent divers et variés. En premier lieu, bien sûr, ce que l'on peut appeler les coups de cœur. Ils interviennent en général lorsqu'une image est bien cons- truite, équilibrée, etc.. tant par les formes que par les cou- leurs. En second lieu vient le style, et là, certains d'entre vous en êtes incontestablement pourvus. Enfin une certaine marque d'esprit créatif et de caractère nous a semblé indis- pensable. Un petit groupe de plagias et perroquet savants nous ont également envoyé guelques images.

Comme il fallait un gagnant le voici. Il s'agit de Hann REVERSY. Sa création, exécu- tée à l'aide du logiciel Photon- Paint, a été intitulée « JUMEL- LES » par nos soins, ne possé- dant aucune appellation. De toutes les images que nous avons visionnées, elle est sans conteste celle où transparait le plus ce que nous avons appelé le style (doué de surcroît, d'un certain talent, pour ne pas dire

un talent certain !). De quasi- ment toutes les réalisations qui sont arrivées au journal, . JUMELLES » est l'une des images dans laquelle transpa- amiga

« BULLES » est l'illustration typique de l'utilisation réussie de la digit (numérisation), alliée à la création artistique. Choix du sujet, placement et mise en place de décors ou d'éléments graphiques assurant une mise en scène sans repro- che, La digit est souvent un piège, donc difficile à aborder. Combien d'entre -vous n'ont-ils pas bêtement reproduit telle ou telle carte postale et images de magazine sans recherche ni esprit inventif. Les micros ne sont pas de simple projecteur de diapos jusqu'à dernier ordre... Blandine TUAILLON avec Digi-Paint. - PINOCCHIO », ou quand l'Amiga se prend pour un cal- culateur d'images de synthèse. Les volumes, les lumières de oiitle marionnette atteignent la perfection. S'il vousplait J.-M. CHARETTE, animez-le nous pour le prochain concours « CLIP, CLAP .. « PINOC- CHIO . a été réalisé à l'aide du logiciel Photon- Paint.

« TIN TOY », une suite de clins d'œil au monde de l'animation. Des premiers cartoons avec Mortimer (premier Michey), jusqu'aux images de synthèse avec le bébé de Tin Toy, en passant pas le dessin animé le Roi et l'Oiseau ou les derniers Toons en vogue, Vincent BER- LIOZ survole plus d'un demi siècle d'animation, aidé par Deluxe Paint. Nous remercions Dominic FUSINA pour son clin d'œil,

comme nombre d'entre vous il nous a envoyé plusieurs ima- ges. Le dessin d'ouverture (Roger Rabbit, Digi paint) est, comme «COLLIER», de lui. Le fond de couleur sur leguel repose le collier, a une « tex- ture » pouvant presque faire penser à de la peinture, c'est

fai ; Delu; g.ttdhtlN us portespu temps

"Un* *

: d'aventure en parti le virus et les cherche in analyseur Un superbe équipement, qu'il ne à votre dis- svri':.-!>'.ique bien de chez : faut pas oublier, est mystérieux virus AX 415 a réussi position pour remplir votre à contaminer le laboratoire de tâche, dont dépend le sort du recherches expérimentales de monde. La porte 1 nous amène Pour tenter d'échap- préhistorique. per à l'affreuse épidémie, les La porte 2 vous transfère dii e de la base se sont tement au XII siècle, e enfuis par les 4 portes du temps, d'un superbe château Ec pour rejoindre une autre épo- La porte 3 vous téléporte cette

que. Mais, le mal est en eux, et fois au XVI" siècle, au pays du MODE DE JEU :

si ils répandent le virus à l'épo- Soleil Levant. Enfin, la dernière Textual : oui que et au lieu où ils se trouvent, porte vous mène au pays des

ils risquent bien de changer le Incas, que vous pourrez décou- explorer. « Les portes du I de l'histoire, ce qui pour- vrir et rait être catastrophique. Vous Temps » est u devez, avec votre robot RX 22, prendre pi a enrayer ce phénomène et resta- découvrir de nouveaux paysa- biliser le cours du temps. Pour ges, tellement ils sont beaux. De cela, vous devez vous diriger, plus, l'interactivité est un élé- passer des ordres par l'intermé- ment important du jeu qu'on ne diaire du clavier et prendre les peut négliger. Vous rencontrez objets dont vous avez besoin à la de nombreux personnages qui souris. Le scénario, que l'on vous questionnent et que vous pourrait qualifier de type mytho- questionnez. En fait, on peut logique, a été particulièrement même parler d'action avec cette travaillé. C'est dans 5 régions, en superbe production. Du côte fini- tout, que vous pouvez évoluer. tion, les bruitages sont superbes La première, où voi et les graphismes très fins. C'est ViV- au début du jeu, un des seuls jeux à utiliser plei- %{jgjy plement le laborat: nement la haute résolution. BL1CITE REVENDEURS pi) AGRÉÉS

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Clément Informatique m' AMIGA ELECTRONICS 216. rue de Créqui - 69003 LYON Spécialiste de l'informatique L'AMIGA AU SUD professionnelle DE PARIS 163, av. du Maine PC -AT 89-89 bis. rue de Chareni 75014 PARIS - 46, rue Paul Bert Tél. : 72.61.84.28 75012 PARIS Tél. : 45.41.41.63 HELP

RESCUE

Avant toute chose, je lance un appel POKE 35103,165 pour munitions l'héroïne. Vous avez désormais des vies à tous ceux qui ont des rescues de tous illin intimes. genres (plans, pokes, astuces...). POKE 34952,165 pour grenades BETTER DEAD THAN ALIEN—

Envoyez-les moi à ; illimitées ELEKTRA Commodore Revue/rubrique Help SYS 16960 pour reprendre le jeu. Des trucs pour un shoot'em up classi-

1 bis, rue de Paradis EMPIRE STRIKES BACK- DOMARK que. A l'écran de présentation, tapez

75010 Paris Tapez : ELV ou CHAMP. Ceci vous permet Je me ferai un plaisir de les publier POKE 37048,16 pour un nombre de d'avoir des vies infinies. De plus les tou- et peut-être même de les récompenser. câbles illimités ches de fonction vous donnent l'accès

Ce mois-ci, on commencera par le POKE 51917,173 pour des boucliers à des aides fort utiles : C64. Alors, si vous êies prêt, on peut FI scatterbolts, F2 multifire, F3 auto- y aller. SYS 32704 pour reprendre le jeu. fire, F4armour missile, F5 al iens stops, OUT US F6 neutron bomb, F7 double, F8 pro- THUNDERBLADE - US GOLD RUN— GOLD Tapez : tect shield, F9 change de niveau, Chargez le jeu puis faites un RESET. POKE 44049,96 pour stopper les F10 extra power. Tapez ensuite Le listing suivant : collisions EMPIRE STRIKES BACK- DOMARK POKE8500, 44:POKE 13135, 44:POKE POKE 34686,173 pour temps illimités Pressez la touche HELP puis tapez 13622, 44:SYS 4096. POKE 34320,174 : POKE 34187,174 : XIFARGROTCEV. C'est chouette Génial les vies infinies. FRIGHTMARE- CASCADE POKE 37188.x (x entre 1 à 5) pour choi- l'invincibilité quand même. En plus, si sir le niveau de départ vous pressez les touches L C ou D, vous Faites la même procédure qu'avec POKE 33398,32 pour des effets de cou- aurez droit à des images de Luke, THUNDERBLADE et tapez : leurs sur les bords C3PO et DARK VADOR POKE 21829,169 SYS 38045 pour reprendre le jeu. FUSION— ELECTRONIC ARTS 21830,0 POKE RAMPARTS— GO ! Commencez le jeu et allez à l'extrême

POKE 21831,234 Tapez : limite, en haut à gauche avec le vais- Tapez SYS 16384 pour reprendre le POKE 13931,96 invicibilité pour le seau. Arrivé sur place, quittez le vais- " jeu. joueur 1 seau et uiilisez la buggy pour vous Vous êtes désormais invincible. POKE 14091,96 idem mais pour le placer à l'intersection des murs. Tapez BATTLE ISLAND- NOVAGEN joueur 2 à ce moment STONKER et revenez au Toujours selon la même procédure que POKE 3498,x (x entre à 42) pour choi- vaisseau. Maintenant la touche D per- précédemment, tapez : sir son niveau de départ met de cycler les armes et la touche C POKE 50228,173 pour les vies iniinies SYS 3077 pour reprendre le jeu. de cycler les niveaux. POKE 64090,173 pour les bombes GUTZ— OCEAN/SPECIAL FX GIGANOID— SCA iniinies Tapez : A la page de sélection des joueurs, pour reprendre le jeu. SYS 24064 POKE 2048,120: POKE 2049,169: a touche CAPS LOCK et corn- ROBOCOP— OCEAN 48372,169: POKE 2050,53: POKE : a jouer. Le programme vous Pour les possesseurs de la version disk, POKE 48733, 127 : SYS 2048 pour éner- préviendra que vous avez désormais

tapez : gie illimitée 100 vies. Pratigue non ? POKE 35028, 173 pour accélérer le jeu POKE 2048,120: POKE 2049,169: POKE 33034,173 pour ne pas avoir POKE 2050,53: POKE 48406,169: HELTER SKELTER— AUDIOGENIC d'ennemis POKE 48407, 127 : SYS 2048 pour vies Quelques codes pour vous aider à pro- POKE 44179,96 pour une durée infinies. gresser dans ce jeu. illimitée POKE 44392,96 pour les vies infinies Et maintenant au tour de l'AMIGA. SYS 32768 pour reprendre le jeu. Préparez- vous, des trucs intéressants NIVEAU CODE Dommage qu'il ne fonctionne qu'au vont arriver sous vos yeux. 11 SPIN premier niveau. SWORD OF SODAN— DISCOVERY 21 FLIP OPERATION WOLF— OCEAN SOFTWARE 31 BALL - Des pokes pour cette très bonne adap- Voici déjà un truc pour avoir des vies 41 GOAL infinies sur le soft le plus beau existant 51 LEFT tation de jeu de café : sur AMIGA. 61 TWIN POKE 36007,165 pour temps infinis Faites une première partie avec le 71 PLAY

POKE 35107,173 pour cartouches héros et perdez toutes vos vies au pre- Bonne chance à tous 1 mier tableau. Puis choisissez ensuite m HELP

OBLITERATOR— PSYGNOSIS Lorsque le jeu vous demande de pres- PLANS DE BARD'S TALE II ser une touche pour commencer tapez 56-37-12 pour avoir des vies infinies.

STREET FIGHTER- GO !

Il n'y a pas un grand besoin de « cheat mode » pour finir ce jeu mais tout le monde n'est pas une bête en jeux vidéos donc : A la page de présentation, tapez STREET CHEAT, puis la touche HELP pendant le jeu. Je vous laisse le plaisir de découvrir ce qu'apporte ce truc. Bon c'est tout pour ce mois-ci et c'est déjà pas mal. A tous les AMIGAISTES, je suis en train de concocter un spécial listings pour le mois prochain. Donc ne ratez surtout pas le numéro 12 de votre rricitjazirie préfère qui parle ;;i bien du monde COMMODORE. Centaure

THESSOLONICA

Voici les six premiers plans de Bard's A = Armurerie Taie II. Ce sont les plans des six villes, = Banque irrTTTji B jeux. vous XDB proposées par le Alors que ^ C = Portes n aurez eu largement !e temps de décou- d'une clef rm-i nous publie- CD EEETJ D = Donjon vrir leur environnement, rons le mois prochain une liste de E = Entrée de la ville CEI ECEDJlEEn G = Cuildc détails et d'aide, permettant l'accès aux H = Hôtellerie niveaux supérieurs. Ed ETT-ri hn-TT J = Salle de jeux R = Roscôe T = Taverne Z = « Review Board » Fffffflffl

CORINTH SUD-OUEST TANGRAMAYNE COLOSSE NORD-EST

n n 1 1 n n J U Li_ .j u El J : matQ : se : a £" n :?DDDDDE1î :î ri n n ni l DDDDE1D ISlpJïa : b naja n m

M 1 1 II 1 1 i 1 M 1 JROÏt gjLTE -— ..U.1.W-•«x-r u B m a SUPER HANG ON REALM OF THE TROLLS

Healm ot the Trolls est un savant ' SYNOPSYS ,' ' . ! mélange d'arcade, d'aventure et " Àftng* 1 ^«j™ : j de jeu de rôle (points de magie. Oislrtfcuteut; 3ainCo«î * ; d'intelligence, etc.). Le but du a jeu est de récupérer des trésors T'V*â?i'' disséminés dans des grottes. La """* fromBrede ' ' durée de vie de ce jeu est illimi- tée, grâce é la présence d'un édi- an <"?v-, teur de tableau. Vous pourrez 'TT- ;; ainsi créer de nouvelles grottes TECHNIQUEMENT i à la manière de « Load Runner ». ," IBM»' j'oui' f Un jeu original, mais un peu Siliui. modi- ' . -,«" déroutant au début. Il est dom- ticalion : ' mage que les graphismes n'aient pas été plus soignés. Craptiisms!» . - ritualisée , iaa

Sp. - , mono . ,

Gl'll.UfgBB ; , » DENARIS

digitalisas «on i ' • Syhhèse _> ' voc(lS ' :Von Ht:u)MingH - , . SYNOPSYS i

', ' ' Machine : «mina Langue '*l , J I.'.iilaptation la plus attendu ' M/FW3 : A * Amiga est enfin à\y.\ lonibh tty^ e£,* « Super Hang on » est, sans con . ' "V Atfs . testalion possible (ou farielue), U î?* MODE DE JEU i ''Aoap'îat.o* .j jeu du premier trimeslre 1989 disquette* >ï '. Après avoir sélectionné le mode

(inique : oui joystick ou souris, réglé la sen- , TECHNIQUEMENT :

sibilité de la moto choisie, votre Souris - :-non '

Joystick : çuj TECHNIQUEMENT i circuit, retenu une musique

APPRECIATION ; ' ' parmi quatre, vous pouvez pous- ficatlon ; son fie hits : non ser le nitro et vous donner à fond ('irapiiis "moyen ' poftue ' IBtouleurs cette production. Graphlsntes • dans superbe Mode gw-

diniUUsés mon Après que le feu soit passé au i pftique ; 32ooulruis ( ' 1 Mbs'iquo. ! Son _ : oui - n&mni ' vert vous vous élancez. A une .Bruitages i moyens digitalisés , Mbstqv». _ * > : non

: "° n certaine vitesse, votre compteur -' ri° "' .•ÎÎSKÏ* : aa? ssu-* - 4 ' r* .' se bloque de lui-même il SyntnèBfl- . ; vous . dJoiiaiisé» : non. digitalisée : non ' t 1 vocali>-- : - Syrflh*5B faut alors appuyer sur le bouton . 1 ' 1 ' ' Ergonomie ,' vocale - : n* digitalise» inon' "" Fire, qui enclenche le turbo el SflOlliriq H ,'? . .Synthèse ' '. * "jouabi'ïnf-" bonno ' vous permet d'atteindre le mur •* -tert^j Langue . » ****. . 6crolljngiy'_ uihm6 iiA» du son... 324 km/h (c'est déjà , jf • » ' Age. , N~S. ( ,.i n »|»rli: • ' pas mal). Mais attention, vous ; '. ' i ' euijérs • , : ' . cooper Nst , MlFftUG . fA Duréedeviei illimitée . .'

. *. : ' t (édilcuidf MOOEDE JEU faul é S concurrents qui taeieauj \ ( NT*a^ l peuvent vous renverser à tout Kûnogi^ t , i il »" ^'ï"" ' ' ghique . non moment. De plus, faut parfois » ' 'r MODE DE JEU ;

' prendre les virages très très rv TeMuel \jnem ' ' »

. JoystjoR ' courts, sinon c'est le vol : «jl* i plané. phlquT ' Sn. 1 ' En haut de l'écran est indiqué Denaris, s'appelait auparavant Claviet ': non APPRECIATION : votre score, votre progression Katakis, mais sa trop forte res- /Souris :' nOn • Joysuck, : oui ^ sur le circuit, ainsi le temps semblance avec R-TYPE a obligé que ^ qui s Vit [raine trop vite. Les pay- Rainbow Arisà modifier lesgra- APPRECIATION,! ' . ' " sages défilent et défilent à toute phismes de ses tableaux. Dena- Stènarlo : - G^phismès t>onïï " allure et à l'arrivée, c'est la qloire ris, est un excellent jeu d'arcade ( ! Analyseur et l'ovation de la ioule. L'intérêt pure, un shoot them up comme Scrolling i'tlui* ' :,,Tilaxiiiue : 1 e " du jeu de bar se retrouve dans on les aime. A conseiller sans Synthèa» ' : ' •, 'erutwes *toiis '., ' ' VOCfl* . « . cette merveilleuse adaptation restriction à tous les enragés de Analyseur Eigonomle + r synlaimuo : —V d'Electric Dreams la manette, ils ne seront pas ' logicialle.i ', qui donne des Syntnèso /' / ' . h%9 brassant roues a l' Amiga. déçus. Denaris est sans conteste v- V>ur L'animation hyper rapide et les l'un des meilleurs jeux de ce , : '/ J

: b0,, - seul reproche qu'on peut lui faire 'même titre qu'Hybris. J'espère .". ajpa'rtirde' ; Sana ÎbÏ!5 partir , Dotée de tlei'ill.mdée est son manque de couleurs, que les

TECHNIQUEMENT :

APPRÉCIATION :

— Scrolllng :

Human Killing Machine est une nouvelle version de Street Figh- ter. Désormais les combats sont beaucoup plus durs, mais les graphismes sont nettement moins I 1 i i !;, i i jolis. Vous affronterez une garde soviétique, son chien et quelques

« ravissantes » est -a Demandes. Il est toutefois regrettable qu'en adoptant toujours la même tech- nouvelle transpo- 0" nique de jeu, on achève tous les adversaires à plus ou moins long ursion ST. Artura I J-Jl :;a jeux qui ne sont terme. La puissance des coups la qui ne sont pas , dépend de rapidité de pres- le tir. . Tout est dans la sion sur bouton de Un jeu

'ulemonl lous les sans grande prétention ; seule-

éditeurs faisaient c ment pour les déçus de Street Fighter. FISH TIGER ROAD

Ruy Ken C

TECHNIQUEMENT : royaume et terrorise toute la région. Il martyrise les pauvres enfanta et n'hésite pas à les kid- napper. Pour enrayer ce mal, le maître du temple, qui se nomme Oh Rio, charge son meilleur dis- ciple de tuer Ruy Ken O et de libérer, du même coup, les enfants du temple. Vous êtes Lee Wong et devez donc remplir Vous êtes an agent secret inters- :ette mbitie Et patial et vous venez d'arrêter un ï sont faits. Voi groupe de dangereux terroris- devez tuer tout ce qui se trouve Deadly Fins ». devant vous et qui fait baisser Aspirant à un peu de repos, w votre réserve- d'énergie. Vous ne entamez une procédure de War- devez pas oublier de prendre des ping (opération très délicate, qui clefs, des armes, des potiches, de consiste à se transporter dans un MODE DE JEU : l'or... pour progresser dans TECHNIQUEMENT : autre corps). Vous choisissez le l'enfer. Vous disposez de nom- règne des poissons, ceci afin de breuses armes et votre cape vous buller en toute tranguilité. A permet de voler comme Su per- peine avez -vous eu le temps de vous habituer à vos nouvelles APPRECIATION : du jeu en lui-même, on doit sou- écailles, qu'une main gigantes- digitalisés ligner les graphismes soignés, plonge dans le bocal et que y Graphisme : bon proche de la machine d'arcade. dépose un château en plastique. digilallsee Les tableaux sont très nombreux Persuadé que dans les profon- et les adversaires multiples. On deurs de cette demeure seigneu- peut tout de même reprocher la riale gît un message de votre petitesse des personnages, ainsi supérieur hiérarchique, vous gue de la surface de jeu. Néan- vous précipitez. Trois aventures moins, l'ambiance de la machine plus fantaisistes les unes que les de bar a été gardée et donne au autres vous attendent... jeu un intérêt certain. Je suis sûr Fish possède les même caracté- que « Tiger Road » trouvera sa MODE DE JEU : ristiques que » The Pawn » et place dans votre logithèque et « The guild of thieves *, menus Icftnogra- vous occupera pendant de lon-

: non sous formes de parchemins phlqua gues heures. déroulants, des images que l'on Souris : oui store et un très bon analyseur de syntaxe. La APPRÉCIATION : documentation est tout à fait réjouissante, si vous maîtrisez correctement la langue de Sher- lock Holmes (ça change de Sha-

kespeare), condition ; pour tenter de démêlei

fils d'un scénario tout à délirant. VICTORY ROAD BATMAN

Le sigle d'Océan est de retour

sur nos écrans avec, une fois de STNOPSVS :

plus, une superbe production : il Amloa Editeur s'agit de Batman. Océan avait Distributeur SFM! déjà fait sur 8 bits, un jeu du qui avait été hit, même nom un BD slàr .Je NombreSe 1er du scénario en français rentrer dans l'histoire... avez en fait deux missions sur la TECHNIQUEMENT : même disquette. Ainsi, lors de la superbe page de présentation, reproduisant fidèlement l'affiche Si oui. mod ticstlon soneigra- du jeu, vous pouvez choisir Mode d'affronter The Penguin, ou g'B 32 COuKUfl d'aller délivrer Robin resté pri- Graphlvnos sonnier chez le Joker. Vous Alors que certaines revues (on devez ramasser différents objets (iq.i^i^BH veut des noma !!!) ne se gênent pour pouvoir progresser dans le B'j :eges - pas pou. calomnier Sword o: b succèdent le? digitalises Sodan, nous ahons sera doute donner ir: .a palmr eu parfal" l'impression encouragea nie navet pour r.n jol: au: a été an dans le jeu. Mais S"*" r véritable hil sur C-64. Après une l'aventure laisse parfois (même * page de présentation er. deux souvent) place à l'action et vous csu couleurs [\) le |eu peut commen devez alors combattre les disci- cer. Vous avez alors le choix ples de îoker ou de Penguin. Le entre 1 fait o„ ^ joueurs simultanés. jeu ressortir l'atmosphère, MODI DE JEU :

Une fois ia touche 1 de mon cla- TECHNIQUEMENT : que l'on peut aussi retrouver Icûnogra- vier enfoncée brutalement, le dans la bande dessinée, grâce à carnage peut alors commencer. son système de fenêtres et à ses Clavier Ça débute sur l'escalier du para- superbes graphismes. L'anima- s dis, à travers un paysage égyp- tion du jeu est très fluide et n'a tien très bizarre, devant la tête aucun défaut. Enfin, Batman est APPRÉCIATION ; imposante d'une sorte de dieu un très bon jeu, gui ne devrait Scénario qu'il va falloir effrayer. Vous pas tarder à être aussi connu Animation allez ensuite progresser le long gu'Opération Wolf. Notons que Scrolllng 1:1 d'une route en détruisant les programmeurs de Batman « aliens » ou autres monstres. prévoient une suite, alors... - Attention à ne pas oublier de Syninèse prendre les bonus gui vous pro- i d'Océan 1 Ergonomie curent différentes armes, ou Manuel paralysent le déplacement de vos =„„„„, Age. ennemis. C'est le shoot'em up par exellence puisque vous OurSeûevIe 3 mois détruisez vampires, maisons, Testé par Trie Looser enfin tout ce qui peut se différen- cier de vous. A la fin du premier tableau vous éfes précipité, après une danse gestuelle, dans un immense puits qui vous amène dans une sorte de cave, en face d'un super scarabé géant. C'est là que mon voyage dans les ténè- bres s'est terminé. Après cela, retour à la case départ, puisque même les inséparables high- scores ont été oubliés. Les seuls points forts (moi aussi je suis balaise 11!} de Victory Road sont : la possibilité de jouer à deux simultanément et l'ambiance du jeu d'arcade, gui a été tout de même conservée tout au long du jeu. Mais la médiocre programmation et la réiîlifiation, gâchent tout. LIVE AND LET DIE MAD SHOW

Après que Leya, la speakri

' TV- 13, ait terminé le programme en compagnie de Orchidorack, une plante Carni- vore insupportable, le nain Miguelito arrive à l'écran et vous invite à participer à son jeu télé- visé. Vous avez alors le choix

entre deux modes : l'entraine- ment, ou la compétition (jusqu'à six joueurs à tour de râle). Il est alors temps de choisir l'épreuve ou l'on sera téléporté, après avoir gagné à la mad — roulette en devinant le nom de l'élément que

Ion pense v r sortir. Passons maintenant e quatres épre ives auxquelles Musique

dlolMllaee : >z peut-être participer (to Bru liages die or not to die). Au cours du Digitalise! Le Dr Kananga, premier minis Mad Space, vous affrontez un tre de San Monique, petite Île redoutable combattant du nom des Caraïbes, récolte ses pavots de Darky, sur un astéroïde plantés dans des champs u habité. Ce combat à l'épée est ses et camouflés captivant au possible et le moin- Kananga a décidi dre faux-pas vous fait tomber contrôle du marché des stupé- dans le vide. Vous êtes mainte- fiants, en distribuant gratuite- nant muni d'un bouclier impo- ment de !'héroïne aux USA. Plus sant, parez les coups et tentez tard, quand il aura pris le c d'assommer les différents robots trôle de la vente de drogue, qui vous fuient. C'est l'heure du l'argent récolté servira à payer mad machine que vous devez lliés l'Europe de détruire (Ouch I j'ai les boulons de l'Est. Kananga, plus connu qui s'encrassent). le passerai dans le milieu sous le nom de Mr volontairement les deux derniè- Graphisme Big, reste très prudent. Ainsi ses silence... res épreuves sous Un Sc'olllng situés sous quartiers généraux, peu de suspens que diable ! Pour un cimetière de la petite île, conclure, malgré ses graphismes envoient l'héroïne non raflinée excentriques et sa réalisation par bateau vers les usines de trai- simpliste, Mad Show est un jeu tement qui se Irouvent dans des fou que je conseille à tous de pos- endroits inaccessibles. Vous êtes séder (un hold-up chez votre James Bond 007, l'agent secret le revendeur est peut-être à envisa- plus connu du monde et êtes ger) même si on a l'impression de chargés de stopper les activités se trouver devant un ST. de l'inlâme premier ministre. Vous voyagez le long des diffé- au de la forèl vierge d'Amérique du sud, les Fjords norvégiens et du désert du Moyen-Orient, à l'aide d'une puissante vedette rapide. Vous allez devoir éviter toute sorte de torpille;

but final ; détruire l'usine de trai- tement de Kananga. • Live and let die > esl en fait un Bonne z fabuleux mélange de Off Shore Age Warrior et de Buggy Boy. Le )eu D..«e 3e est prenant au possible et la tes table, Tir d'accès au disk i 2Z* !1!) fait de t a chargé produit d'Elite, un véritable hit. u R U N I NFORMRT I Q U E 62, rue Gérard - 75013 PARIS

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syNOPivs \ \ , i Après une paqe de présentation 1 "

' Dlr,'!'.!:';,:-,,,. i^''"' superbe, sous fond de New Beat, l'aventure dans le monde étrange NombiiMie » . * V. de « Baal » peut commencer. diîKSimttes 1 Des a rohéo loques ont osé dépla- Martaal : en français Pf(.- V: 260,? cer un monolithe sacré et en on fait sortir un monstre horrible, TECHNIQUEMINT .: dénommé Baal. Il avait été fait TiaWert •) < ' '. i

IBbits" : otli. ,' prisonnier par les dieux de l'anti- ' Si ouj, rnotH- i quité qui l'avaient placé dans le monolithe, pour protéger le phique : lecouleurs monde. Malheureusement, G.- a[i t„r ; m CS ., ! l'inlâme > Baal est libre et peut pj" . S;,!','""'" maintenant réaliser son Musique, V rêve le * Mlijlljl!'. I plus cher : gouverner la planète. Bruitago-i Heureusement, vous êtes sur ' Vrflgit#*<> : AOCi place avec vos iidèles compa- gnons et allez tout faire pour intervenir. Vous devez pour cela *' j du sérieux • de la librairie °& amener tous les Guerriers du Cr • des jeux (livres et magazines) S^ncipadi- i temps dans la demeure de Baal. • • des- tullers - : pagette accessoires • les dernières -; Mais ce n'est pa : chose simple, • des périphériques car le pays où il réside est plein nouveautés ' subite' / f , de monstres hideux et sanquinai 5"1/4 Double Face res, qui ne pensent qu'à vous MODE DE JEU : Double densité 48 TPI " intercepter dans cette par 10: 2,90 F l'unité par Textuel, : non course 10: 10,00 F l'unité " ' * [vu I00 2.80 Icononra . , contre le mal. Certes vous avez F l'unité par 100: 9,00 F l'unité phique ; non, • t pni i>00 ?..&.) i- l'unité . sûrement compris qu'il faut éli- gavier t : noh , Sou.is h3n ' 1 miner le Baal, mais votre mission 5"1/4 Double Face n'est pas pour autant terminée. Haute Densité 96 TPI Vous progressez par 10: 10.00 F limita par 10: 40,00 F l'unité APPRÉCIATION : "> à l'aide de votre par 100: 35,00 F l'unité .Saéffiifio" ' " irès'bon. laser et de votre bouclier protêt; teur, qu'il vous faut en perma- nence recharger en énergie. N'ACHETEZ PLUS JAMAIS Cette nouvel.e production de Psyqnosi? est une fois de plus un SANS NOUS CONSULTER ! hit, qui rappelle « Menace » i.VU !.',. t ' pour les graphismes et « Oblité-

' ' > l.rgo^oiiiif! . * ,! rator » pour le scénario. Les « jpolpfeliî <: „ Man.Gl biB.i 'ràNs* bruitages et l'animation sont 'Aoe.i- - " „ V superbes et le jeu est très pre- aparliMii: : 12ans - .--. .i-- L J I :! TELEPHONEZ :iiii!)is nant. Le seul reproche qu'on ECRIVEZ-NOUS peut lui faire, est son manque VENEZ NOUS VOIR ! ': 'Testf/par- Thel'ooser' : important de cou Leurs, qui ne le REGLEMENT EN 4 FOIS SANS FRAIS met pas à la hauteur de l'Amiga. L A R E F LE GUIDE DE L'AMIGA LOGICIELS D'APPLICATION

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LANGAGE MACHINE confrère ayant des démêlés avec d'accès du DD. Y a-t-il actuellement SUR CM... l'imprimante MPS 1500 C et l'Arnica- une carte 2090 (ou 2090 A) qui per- Basic. La solution de ce problème dans mette de bénéficier de l'Autoboot et du Possesseur d'un C64, je cherche un le prochain Commodore Bévue, rubri- FFS? livre qui traite du langage machine sur que Courrier ou Trucs et Astuces... — Y aura-t-il un kit 40 Mo avec inter- peut-on trouver celui-ci ? C64. Où Mais ce que nous pouvons déjà vous face PC pour le 2000/XT ? D'autre part j'aimerais utiliser la fonc- dire c'est que la MPS 1500 C, qui n'est — Yaura-t-il des disques à interface tion RND () du Basic en assembleur et qu'une Olivetti, a certaines fonctions RLL? pouvoir tester des collisions de Sprites documentées dans le manuel, mais non — Quand y aura-t-il une amélioration de la même façon. actives. Ainsi, il est impossible de pas- de l'affichage HR et un bon moniteur ? Y. LETOURNIER, LAVAL ser du mode Dralt au NLQ par logiciel. (Un PC VGA et un MAC II ont des Pour résoudre votre problème, il Etonnant, non ? Pour ce qui est de l'uti- écrans de qualité très nettement supé- existe plusieurs ouvrages, dont les lisation de i'AmiqaBasic, le fait est que indispensables sont « Le livre du C64 « ce logiciel a l'énorme avantage d'être — Par rapport aux PC, les périphéri- de Benoît Michel, paru chez PSI et « Le fourni gratuitement avec la machine et ques de l'Amiga sont beaucoup plus livre du Langage machine sur C64 » de peut utiliser toutes les fonctionnalités de coûteux... Pourquoi n'avoir pas pro- Micro-Application. Ces livres sont dis- l'Amiga. Mais rappelons que ce logi- posé immédiatement au niveau gra- ponibles chez ces éditeurs, ou chez ciel a été développé en 1985 et n 'a subi, phisme, un mode VGA ? ? Même AMIE. depuis, que peu d'évolutions transcen- chose pour la carte AT, aujourd'hui dantes. C'est certes un bon pro- norme du marché ? Aucun revendeur IMPRIMANTE REBELLE... gramme, qui convient à une n'a pu donner de renseignements sur Je butte actuellement sur un pro- programmation d'initiation. Pour les la venue de nouvelles ROM améliorant blème d'imprimante en programmation * accros ' du développement en Basic, sensiblement l'affichage et le DOS. AmigaBasic. J'ai une Commodore MPS d'autres offres sont d'ores et déjà dis- Au niveau Soft, il semblerait qu'il y ait des incompatibilités de 1500 C émulant une EPSON JX80 et j'ai ponibles (CF Dossier Langage Commo- AREAD, déjà passé quelques heures à tenter de dore Bévue 10). AWRITE, JLINK avec le WB 1.3. Qu'en recréer des caractères nouveaux grâce est-il ? Quand y aura-t-il une doc en Français pour ces utilitaires indispen- à l'ordre . ESC & » (DLL du manuel). AMIGA 2000/XT AVEC OU Malheureusement, rien ne fonctionne. SANS A2090 sables pour le 2000/XT ? si J'ai essayé de tout faire passer par Enfin, votre revue a un bon équi- Je viens d'acquérir un Amiga codes ASCII, insérer ces codes entre libre (pas trop de jeux), il faudrait 2000/XT, qui est une très belle des instructions de contrôle de couleurs devenir plus technique, proposer plus machine, mais dont les potentialités ou de modes d'écriture, qui, eux, fonc- de trucs Amiga sur les 500 et les 2000 n'ont pas l'air d'avoir le support néces- tionnent. J'ai même essayé de changer a'ussi et sur les cartes passerelles saire à son développement. Au niveau les options de Préférences pour passer XT/AT... Hard, il est impossible d'avoir des pré- S. BENCHERIET, GRENOBLE sur Generic. Toujours rien. Alors, est- cisions quant à la disponibilité des péri- questions restées sans répon- ce que l'Amiga peut réellement pren- Que de phériques. Je cherche actuellement un votre revendeur, selon dre en charge ce type d'ordre ? Est-ce ses de la part de disque dur et aimerait avoir quelques vos dires. Voici un conseil d'ami : si que l'explication des codes DLL est réponses a mes questions : — Quel est vous n'obtenez pas satisfaction chez incomplète ou aurais-)e mal compris le l'avantage d'une carte proposée par votre revendeur, changez-en... Hormis manuel ? Y aurait-il un utilisateur Commodore, lorsque l'on a le 1.3 détail, voici les réponses vos d'Amiga qui pourrait me donner un WB ce à et le Kickstart 1.3 par rapport à une questions. exemple de programmation du carac- « Filecard 32 Mo » pour PC (moins — En ce qui concerne la carte 2090 et tère du manuel de l'imprimante (fig 9.9, chère pour une plus grande capacité) ? 2090 A, reportez-vous à l'article de p9.23) ? — La carte 2090 A est-elle réellement Commodore Bévue n" 10 portant sur le De plus, j'aimerais avoir aussi un disponible avec l'autoboot à partir du KitA2090A/A2094. Pourles utilisateurs exemple d'insertion d'une routine nouveau de 40 ? de carte (ou nous rappelerons assembleur, toujours dans un pro- DD Mo XT AT) — Quel est la vitesse de transfert, juste qu'il est possible de gérer sur ce gramme AmigaBasic, surtout pour le produit passage de paramètre. d'écriture -lecture du Com- disque une partition MS-DOS (Cf le modore ? manuel d'utilisation en Français chez F. BAUDERE, MENNECY — Il y a de nombreuses informations tous les revendeurs agréés Commo- Voilà, l'appel est lancé et nous espé- contradictoires en ce qui concerne le dore). Les possesseurs de A2090 pour- rons gu'un lecteur pourra aider son FFS qui permet d'accélérer la vitesse ront, d'autre part, acheter une carte P.A.

additionnelle, qui permettra l'Autoboot PC, est lié aux dimensions respectives mais, pas uniquement sur le monde sur leur configuration, sans modifica- des marchés. Le marché des périphé- AT... tion de leur carte contrôleur, à condi- riques sur PC est plus important que — La nouvelle version S .3, disponible tion d'avoir un Kickstart 1.3, bien sûr. celui de l'Amiga et propose donc des chez tous revendeurs agréés Commo- — Pour ce qui est de l'affichage, des prix inférieurs. Quant à avoir un mode dore, comprend de nouveaux utilitai- améliorations sont en cours de finalisa- graphique de type VGA sur l'Amiga, res pour travailler avec la carte tion chez Commodore. Sent étudiées c'est une chose qui n'est pas encore passerelle. Renseignez-vous chez ceux- actuellement de nouvelles puces ECS choisi par Commodore. Pour mémoire, ci ou, en dernier recours, chez Com- (Enhanced Chip Set), qui permettront l'Amiga a été développé et commercia- modore France... d'avoir la résolution maximale (640 x lisé en 1985 et le mode VGA a succédé Enfin, merci pour votre critique 480) en non-entrelacé sur moniteur à l'EGA en 1987. Aujourd'hui l'Amiga constructive sur notre revue. Pour Multi- Synchrone. Mais d'ores et déjà, possède toujours les mêmes modes gra- répondre aux attentes d'une majorité de il est possible d'utiliser la carte Flicker- phiques et des améliorations sont nos lecteurs, nous avons conçu un Fixer de MicroWay (non encore dispo- actuellement étudiées pour ne pas se cahier technique qui ravira, nous nible en France) pour utiliser le mode limiter uniquement à 640 x 480 points l'espérons, les férus de programmation Haute-Résolution (640 x 512 points en avec 16 couleurs parmi 256. Enfin, ou de bidouilles. Ce cahier, pour ras- 16 couleurs), sur un moniteur Mul- l'intégration en standard de la carte AT surer les autres, ne pertubera pas le tiSynchrone toujours (type moniteur dans un 2000 est, certes, une idée non contenu du reste de la revue, que nous Commodore 1432). dénuée d'intérêt. Cela correspond essayons d'améliorer de jour en jour. — Le problème du prix des périphéri- d'autant plus au concept de l'Amiga ques de l'Amiga par rapport à ceux du 2000 qui se veut une machine ouverte,

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