revue de presse Compagnie Pégazz & L’Hélicon — Compagnie musicale Nationale

— Ping Machine : « Ubik » + « Easy Listening » — Ping Machine : « Encore » — Ping Machine : « Des Trucs Pareils » — Big Four : « Seven Years » — Schwab Soro : « Studio Konzert » h é l i c on — Schwab Soro : « Volons ! » — Schwab Soro : « Schwab Soro » égazz & L’ & p égazz a l e agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod ping machine « Ubik » / « Easy Listening » — sortie le 29 avril 2016 / Neuklang h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e

• COUP DE COEUR Académie Charles Cros • • COUP DE COEUR Académie Charles Cros • • „CHOC DE L’ANNÉE“ 2016 Magazine • • „CHOC DE L’ANNÉE“ 2016 Jazz Magazine • • „CHOC“ Jazz Magazine • • „CHOC“ Jazz Magazine • agnie musi c agnie • Disque Élu Citizenjazz • Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod extraits de presse « Ubik » / « Easy Listening »

« Une des musiques les plus intéressantes se jouant aujourd’hui dans « La musique de (...) Ping Machine compte parmi les plus audacieuses la sphère du jazz » et splendides que l’on peut entendre en 2016. Ubik, un monde — Jazz Magazine, Laurent Cugny, France décloisonné et beau. On est en vie. » — DJAM, Pierre Tenne, France « L’une des grandes formations les plus passionnantes de l’Hexagone. » « Easy Listening est une énième preuve de ce que Ping Machine est — Jazz News, Louis Victor, France un orchestre excitant comme on en compte sur les doigts de la main » — DJAM, Pierre Tenne, France « Fred Maurin rappelle que la musique ne sert pas qu’à faire battre les cœurs ou taper des pieds. Cet art, plus grand que nous, suscite « Que ce soit sous forme d’irruptions violentes ou de coulées l’admiration » indolentes, c’est la richesse des timbres, leur équilibre, la rigueur de — Jazz Magazine, Thierry Quénum, France la mise en place, le chatoiement des couleurs qui saisissent. (...) Une réussite saisissante. Un pur émerveillement. » « J’aime les musiciens qui ont des ambitions artistiques. Avec Ping — Jazz à Paris, Guy Sitruck, France Machine, je n’ai jamais été déçu » — Jazz Magazine, Ludovic Florin, France « Un orchestre qui est aujourd’hui l’un des grands ensembles les plus h é l i c on novateurs du jazz européen. » « Dans Easy Listening, je me sens chez moi. Et j’y retourne avec une — Fono Forum, Karl Lippegaus, Allemagne excitation croissante, happé par ces couleurs orchestrales et ces scénarios polyphoniques. » « Si l’on ne veut acheter qu’un seul disque ce mois-ci, tout est dans — Jazz Magazine, Franck Bergerot, France celui-ci.» — Jazz Thing, Allemagne

« Le résultat n’est pas l’illustration inesthétique d’un esprit qui serait

égazz & L’ & p égazz a l e accaparé par la question de la technique d’écriture. Bref, disons-le clairement : c’est beau. » — Citizen Jazz, Gilles Gaujarengues, France

« C’est tout simplement remarquable. » — Citizen Jazz, Gilles Gaujarengues, France agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod Jazz magazine (mensuel) — 05/16 choc — « Easy Listening » et « Ubik » Jazz magazine (mensuel) — 05/16 choc — « Easy Listening » et « Ubik » Jazz magazine (mensuel) — 01/17 musicien de l’année — Ping Machine choc de l’année — « Easy Listening » et « Ubik » Jazz news (mensuel) — 05/16 jazz magazine (mensuel) la terrasse (mensuel) telerama sortir (mensuel) top mezzo (web) — 05/16 http://www.mezzo.tv/top/2016-05 la terrasse (web) — 09/16 http://www.journal-laterrasse.fr/ping-machine-easy-listening-ubik/

JAZZ / STUDIO DE L’ERMITAGE

Double actualité pour l’une des plus excitantes « grosses machines » du jazz contemporain hexagonal.

Ping Machine a fait parler de lui avant l’été en sortant simultanément deux albums. L’un plutôt fun, un brin ironiquement titré « Easy Listening », qui agrège trouvailles sonores, effets de répétitivité et plaisirs polyrythmiques dans une écriture véloce pour big band de jazz décalé ; un second, « Ubik », nommé en clin d’œil à Philip K. Dick, dont les aspérités phoniques préfigurent le caractère plus labyrinthique, une suite qui emprunte ses techniques d’écri- ture aux théories de la musique spectrale et à d’autres principes savants de composition contemporaine. Sous la direction du guitariste Fred Maurin, l’orchestre présente à deux mois d’intervalle ces deux répertoires au Studio de l’Ermitage, servis par des solistes qui comptent parmi la jeune génération du jazz français. Deux aventures en marche.

Vincent Bessières culturebox (web) — 05/16 https://culturebox.francetvinfo.fr/musique/jazz-blues/ping-machine-fait-coup-double-avec-easy-listening-et-ubik-238871

Ping Machine fait coup double avec «Easy Listening» - Frédéric Maurin : Je pense qu’on n’aurait pas eu le courage de faire une et «Ubik» deuxième sortie de disque à six mois ou un an d’intervalle. Une fois que la musique a été enregistrée, mixée, c’était plus simple de travailler à une Aussi créatif dans l’écriture qu’effervescent sur scène, Ping Machine sort deux double sortie vu les moyens dont on dispose. Et finalement, je n’avais pas albums, «Easy Listening» et «Ubik». Des pièces oniriques aux rythmes so- envie de faire du réchauffé ! Cette double sortie correspond à la musique phistiqués pour le premier, une suite mystérieuse inspirée de Philip K. Dick telle qu’on l’a enregistrée à ce moment. pour le second, nous plongent dans l’univers d’un groupe évoluant entre jazz, électro et contemporain. Son leader Frédéric Maurin présente ce nouveau - Sortir ces disques simultanément, l’un renfermant des morceaux relati- répertoire. vement courts, l’autre une longue suite, n’est-ce pas aussi l’occasion de Plus de deux ans et demi après leur excellent album live «Encore», les présenter deux facettes du groupe ? quinze musiciens de Ping Machine sont de retour avec deux nouvelles pro- - C’est vrai aussi. Après l’enregistrement, il y a eu aussi des questions de ductions discographiques sorties simultanément le 29 avril. Il y a d’abord choix. Sachant qu’on ne pouvait pas couper la commande d’État pour la ré- «Easy Listening», ses ingéniosités partir sur deux disques, et qu’on avait aussi des pièces plus courtes avec une polyrythmiques, ses explorations électro, l’écriture virtuose de Frédéric Mau- forme un peu plus simple, il y avait matière pour deux programmes. L’un, rin, fondateur, compositeur et guitariste du groupe, sans oublier ce titre iro- «Ubik», comprend la facette un peu hardcore du groupe. L’autre propose la nique (qui désigne la musique d’ambiance et la variété «facile d’écoute») qui facette plus soft avec les morceaux les plus courts. On l’a appelé volontaire- semble interpeller les programmateurs de salles et de festivals bien frileux ment «Easy Listening», un peu comme une provocation, même si pour ma avec la création musicale - des groupes comme Ping Machine et le MegaOc- part, je le trouve facile à écouter ! «Ubik», pièce de musique contemporaine tet, pour ne citer qu’eux, en savent quelque chose. qui comporte de l’improvisation, a pour principale différence son format. En Il y a ensuite «Ubik», une suite d’une heure composée sur une commande musique, le format est important. Une pièce d’une heure ne demande ni la d’État. «Ubik», c’est à l’origine le titre d’un roman de science-fiction de Philip même disposition, ni le même type de présentation au public, qu’une série K. Dick, l’un des auteurs de prédilection de Frédéric Maurin. À la complexi- de plusieurs pièces. té des niveaux de lecture de l’œuvre de Dick, le compositeur de Ping Ma- chine fait écho par une suite sciemment labyrinthique dont les mystères ne Extrait de «Kodama» (album «Easy Listening», sorti le 29 avril 2016 chez demandent qu’à se dévoiler au fil des écoutes. Complémentaires, les deux Neuklang) disques, sortis chez Neuklang, ont été enregistrés aux studios allemands - «Easy Listening» comprend trois compositions originales et une version Bauer grâce à une souscription en ligne et étrennés au Triton, aux Lilas, où live d’un titre de 2011. Le morceau d’ouverture s’appelle «Kodama». le compositeur-guitariste est en résidence. Au moment où ce dernier s’inter- Pourquoi ce titre ? roge sur l’avenir du groupe, «Easy Listening» et «Ubik» ont reçu un accueil - Traditionnellement, ce terme désigne les petits esprits de la forêt au Japon. enthousiaste dans le «Jazz Magazine» de mai. J’y ai fait un voyage il y a dix ans. Dans la façon d’aborder le mysticisme via la nature, j’avais trouvé quelque chose d’assez humain, plus en adéquation - Culturebox : Ping Machine a enregistré en septembre un nouveau réper- avec l’essence profonde des choses que dans la façon dont on l’aborde dans toire. Vous saviez qu’il y aurait matière pour deux disques. Pourquoi les avoir le monde colonisé par les religions monothéistes. Le titre d’un nouveau mor- sortis en même temps plutôt que d’échelonner leur parution ? ceau arrive toujours en fin de processus. Les premières fois où on le joue, ça me fait réfléchir à différentes choses. Ici, c’est l’idée des esprits de la forêt qui Même si les gens l’entendent moins, cette fois, le principe est presque plus m’a inspiré. Au Japon, j’ai visité un cimetière shintoïste dans une forêt, dans proche de certaines techniques utilisées par Steve Reich en particulier dans des montagnes où il n’y avait que des monastères. Dans cette forêt, j’ai tripé des morceaux écrits pour des ensembles avec instruments électriques. Il y terriblement, exactement comme quand j’étais enfant dans la forêt près de a un motif rythmique qui fonctionne sur une mesure et qui est décalé sans chez moi, en Normandie, ou pendant mes vacances chez mes grands-pa- arrêt, étant amené par des instruments qui se superposent successivement rents, dans les Alpes Suisses où je passais mon temps à lire des livres et rêver en se décalant. Ça crée un jeu de réponses dans tous les sens rythmiques. sous les arbres... Dans «Kodama», il y a tout un jeu. J’y trouve une forme de Quand le morceau a été terminé, ça m’a fait penser aux premiers petits jeux légèreté en dépit du contexte rythmique complexe à réaliser pour les mu- électroniques, les petites consoles, que j’avais dans mon enfance, il y avait siciens. Il paraît simple, on a l’impression d’un morceau globalement en la ce petit truc de mouvement mécanique. Il y a un clip de King Crimson avec majeur, avec un tas de couleurs harmoniques en dehors du système tonal et des machines- outils qui font des petits mouvements. Sur «Pong», il y a aussi des systèmes modaux traditionnels, tout cela étant mis par petites touches... une grosse influence de ce groupe dans sa période «Discipline». J’ai appelé Même si ça peut paraître un peu étonnant, je trouve que ce morceau a une ce morceau «Pong» car c’était le nom du jeu que l’on avait avec des petites dimension assez joyeuse, lumineuse. raquettes sur les consoles Hatari. Plein de gens ont fait le rapprochement entre «Pong» et «Ping», même si ça n’avait rien à voir ! - Et il y a ce motif éthéré, répétitif, au vibraphone... Toute la première partie, jusqu’à la fin du solo de vibraphone, a un système - C’est drôle, à cause de ce motif qui est répété, beaucoup de gens pensent tempéré à douze tons, au piano, et toute la deuxième partie du morceau à Steve Reich. Mais la construction, les techniques utilisées, n’ont rien à voir. est spectrale, c’est-à-dire qu’elle est écrite avec des échelles d’harmoniques Il y a bien un petit jeu sur les décalages avec le piano et le vibraphone. Mais naturels. On entend alors que certaines notes ne sont pas dans l’échelle tem- la pensée est plus polyrythmique. Il y a une superposition de couches très pérée, sont trop hautes ou trop basses par rapport aux notes du piano. identifiables orchestralement. J’ai trouvé ce motif à la guitare, il forme un ac- cord suspendu - un accord pour lequel on a masqué sa vraie fonction tonale Extrait de «Février» et qu’on peut donc utiliser de façon ambigüe. C’est quelque chose de pas- - Je crois que «Février», le morceau le plus long de «Easy Listening», est sionnant que je travaille sous d’autres formes depuis que j’ai appris l’écriture aussi le plus ancien... tonale. Chez Frank Zappa, on trouve ces accords en permanence, comme - En effet, il a été écrit en 2012 - au mois de février - à une période assez chez Herbie Hancock, dans le jazz... compliquée tant sur le plan personnel que professionnel. On avait fait une ré- sidence d’une semaine en Normandie durant laquelle il y avait beaucoup de - Le morceau s’achève sur une troublante sensation de ralentissement... choses à gérer. C’était la première fois que j’utilisais de l’électronique sur des - Techniquement, ce n’est pas facile à réaliser. Notre batteur Rafaël Koerner pièces mais je n’étais pas satisfait, c’était compliqué artistiquement. Je faisais a fait un travail formidable. Je lui avais d’ailleurs écrit, à la fin de sa partition : également des essais en musique spectrale, mais il y avait des choses que je «Si tu es arrivé jusqu’au bout, alors tu es vraiment très fort et on a beaucoup n’avais pas encore trouvées... À la même époque, j’écrivais aussi «Trona» qui progressé au niveau de l’orchestre.» La sensation de ralentissement vient de a été enregistré sur l’album live «Encore». «Février» ressemble plus à ce qu’on la batterie qui, en jouant de façon de plus en plus étirée, donne l’illusion faisait sur les disques «Random Issues» et «Des Trucs pareils». Mais harmoni- que le rythme freine et que l’orchestre joue de plus en plus lentement. En quement, il s’inspire de Messiaen et possède encore une couleur modale, à concert, ça marche très bien et dans le public, les gens - musiciens compris - la Gil Evans par certains aspects, et compte une ou deux parties spectrales, ressentent aussi cette impression de ralenti. dans une orchestration un peu plus jazz. Aujourd’hui, je ne le réécrirais pas de la même façon. Mais il marche et j’ai beaucoup de retours très positifs, y Extrait de «Pong» compris de la part de musiciens. - Parlez-nous de «Pong». On a mis du temps à jouer ce morceau sur scène. Il est paradoxalement très - «Pong» est un morceau qui reposait à l’origine sur un motif rythmique. dur à faire. Ici, les difficultés ne sont pas d’ordre technique, elles sont d’ordre purement musical, dans le sens de l’intention artistique. Pendant longtemps, pièces peuvent prendre des semaines, des mois, parfois des années. C’est on n’arrivait pas à l’exécuter, à trouver l’intention. un processus assez long qui ne me garantit pas d’être satisfait au final. Trois mois après l’enregistrement d’»Ubik», il y a des choses que je réécrirais et «6», extrait de «Ubik» dirigerais différemment. Il y a tout un aspect que je n’ai pas exploité dans ses - Venons-en à «Ubik», morceau de bravoure de 65 minutes inspiré par idées fondatrices. J’y travaillais cet hiver et je me suis demandé sérieusement le roman éponyme de Dick. Comment retranscrit-on ses émotions litté- pourquoi je ne l’avais pas fait. Le travail de composition, c’est quelque chose raires en musique ? de très long pour moi. Notre grande chance, c’est qu’artistiquement, on fait - Pour ma part, je ne fais pas nécessairement de lien direct, formel, entre ce profondément ce qu’on souhaite faire. Les problèmes qu’on rencontre sont que je perçois d’un livre, d’un film ou d’autres musiques, et ce que j’écris. Il d’ailleurs liés à cette chance... y a une forme de travail inconscient qui se fait. Cela faisait longtemps que je voulais écrire quelque chose en lien avec Philip K. Dick. Lors de la dernière - L’avenir de Ping Machine est donc devenu une vraie source de préoccu- interview pour Culturebox, alors que je n’avais pas vraiment de titre pour la pation. commande d’État qui était quasiment finie, on avait parlé un peu du roman - Je ne sais pas si le groupe existera encore dans deux ans. Mais ce n’est «Ubik». À l’époque, j’avais envie d’incorporer de la musique vocale en travail- pas l’avenir de Ping Machine qui me préoccupe le plus. Ce que je vois sur- lant avec le texte. Je me suis demandé aussi si j’allais glisser du texte entre tout, c’est qu’il n’y a plus la capacité, pour la société dans laquelle on vit certaines pièces. Finalement, c’est compliqué pour des questions de droit. aujourd’hui en France, d’absorber la création musicale. Plus on propose des Et c’est très difficile de mélanger du texte à de la musique. Il y a un équilibre choses différentes, qui s’éloignent de «l’image qu’on s’est fait» d’un genre, très complexe à trouver. Et puis, prendre les mots de quelqu’un d’autre, ce d’un style, d’une esthétique, plus on se heurte à ce problème. Il n’y a aucune n’est pas évident. Le sens que je leur trouve n’est que le mien. Je ne me sens articulation entre les politiques de l’État d’aide aux ensembles, donc d’aide à aucune légitimité, aucune compétence à le faire. la création musicale, et les scènes labélisées par l’État, donc les scènes natio- Ensuite, en réfléchissant à la façon dont j’avais travaillé, je m’étais dit que le nales et conventionnées qui, dans leur immense majorité, ne programment titre «Ubik» correspondait bien à la pièce que j’avais écrite : dans le livre, il y aucune musique de création. Donc on n’a pas de concert. Les festivals de a une dimension labyrinthique avec cet aspect souvent présent chez Dick et jazz ne veulent pas prendre de risques. Beaucoup sont ruinés et vivent parfois particulièrement dans cette œuvre, ces espèces de deuxièmes parties des ro- sous la pression de maires qui ont leurs propres priorités. Pourtant, jamais mans, ces chemins qui n’en sont pas, une sorte de folie sous-jacente. Certains personne n’est venu nous voir après un concert pour nous dire : «Vous êtes auteurs ont une capacité à ouvrir complètement la narration et à développer des salauds, c’est horrible ce que vous avez fait à mes oreilles !» un imaginaire beaucoup plus fort, à perdre le lecteur... C’est ce que j’aime en littérature, en musique... La pièce que j’ai écrite n’est pas non plus linéaire. - Pour finir sur une touche positive, un mot sur Paul Lay, le pianiste du Même s’il y a des récurrences qui sont parfois de l’ordre du son, du motif groupe, qui a reçu cet hiver le prix Django Reinhardt de l’Académie du rythmique, harmonique, spectral, elles sont entrecoupées de cassures et de Jazz ? changements, et toute la troisième partie est volontairement assez décon- - C’est super pour lui ! D’abord, Paul, c’est une belle personne. Et comme struite. C’est vraiment une narration abstraite. souvent dans ces cas-là, c’est très agréable de travailler avec lui. Il est fonciè- rement à l’écoute de la musique, il est très respectueux du travail des autres - La composition d’»Ubik» a dû nécessiter beaucoup de temps. et il est très talentueux. Dans toutes les musiques qu’il joue, il se concentre - Oui. Le travail s’est échelonné sur un peu plus de deux ans, avec des pé- toujours sur les choses positives. Je suis très content qu’il rencontre ce succès. riodes tres différentes. J’ai beaucoup modifié la pièce en fonction d’envies que j’avais pour l’orchestre. La mise en place, à un moment, d’un quintette > Ping Machine présente tout le nouveau répertoire en concert à la Maison de cuivres a été motivée par le fait que les cuivres avaient envie de jouer des de la Radio, à Paris, le samedi 14 mai 2016 à 17H30, dans le cadre de l’émis- choses particulières. Je travaille beaucoup sur le matériel musical. Certaines sion Jazz sur le Vif Annie Yanbékian djam (web) — 05/16 http://www.djamlarevue.com/blog/2016/5/17/ping-machine-ubik

Ping Machine : Ubik

Ubik, ce monde où l’on ne sait pas : est-on en vie ? Est-on mort ? Ubik, cette collectivement et individuellement à la source même de la richesse prodigue musique comme on entend peu, comme on n’en entend pas. Est-on perdu ? de cette pièce en forme de chiliogone de splendeur - aka chef d’oeuvre. A la maison ou dans l’inconnu ? La baguette ferme et profondément sensible de Fred Maurin (aussi à la gui- J’ai grande envie de trouver le fin mot d’Ubik, puisque c’est là semble-t-il tare) guide l’orchestre et le public dans les méandres d’une musique qu’en- la tâche et la tache du critique. Mais point de fin mot face à la suite- or core aujourd’hui je peine à comprendre entièrement, et que j’écouterai donc chestrale dégénérée de Ping Machine, un tantinet sans pourquoi. Dégé- longtemps. La perfection en art (vous avez quatre heures) revient sans doute nérée : quelles influences ? Quel genre ? Quelle innovation ? Toutes les à cette incompréhension face à l’évidence qu’il fallait que cette musique traditions ? Les questions de fausse éternité qui doivent faire silence, ce soir. soit ainsi, soit telle ; bien qu’on puisse se demander si ces hommes de jazz, Fred Maurin compose avec un talent toujours plus étincelant une musique parfois, ne se désolent pas du peu de place pour la prise de parole exubé- qui s’impose d’emblée comme puissamment singulière. Au cours d’Ubik et rante qu’ils savent magnifier par ailleurs. Bien qu’on puisse douter qu’un de sa grande heure se produit une infinité de choses, de trucs, d’idées tip- public aux attentes apprivoisées par le swing trouve son bonheur dans une top, d’éclats, d’embarras et de joies, comme peu de musiciens savent en musique qui ne revendique jamais autre chose que de faire ce qu’elle fait, et façonner. C’est d’abord un rythme d’entourloupe et de sables mouvants qui qui par bonheur et par travail se trouve être irrémédiablement géniale. hypnotise. C’est aussi l’articulation des soli dans l’architecture très écrite de l’ensemble, qui fait entendre tout le talent des nombreux musiciens de ce Ubik, il se passe quelque chose. Quelques choses même, tout le temps. Une grand orchestre. C’est la création d’effets puissamment efficaces (je monte, énième preuve de ce que Ping Machine est un orchestre excitant comme j’angoisse, je m’ébahis, je descends, je tombe, j’exulte, je pleure, en un mot on en compte sur les doigts de la main gauche de Django dans la scène je suis très sensible) que le compositeur aime à agencer comme des pièges française actuelle. Le succès critique jamais remis en cause de la troupe de pour son auditeur, des trompe-l’oeil qui jamais ne font advenir ce que l’on Fred Maurin est encore actualisé par cet album - ainsi que par son double nous a habitués à attendre. Ping Machine, et c’est bien l’un de ses premiers Easy Listening sorti en même temps, chronique à venir, prochainement, mérites, confond l’oreille apprivoisée en lui désignant ses mille cages. bientôt, sous peu, dans ces colonnes. On aimerait qu’il soit le signe qu’un public élargi (on inclut bien sûr les programmateurs et diffuseurs, déso les Au cœur de cette confusion des sentiments et cette évidence du propos, gars) saura reconnaître qu’à défaut de faire consensus, ce qui n’a jamais été brille également une orchestration magistrale qui fait de Ping Machine cet le propre des musiques les plus belles, celle de Ping Machine compte parmi orchestre fascinant dans sa capacité à faire émerger le beau sous toutes les plus audacieuses et splendides que l’on peut entendre en 2016.Ubik, un facettes impensées. Car quoi qu’on en dise parfois, Fred Maurin jouit et monde décloisonné et beau. On est en vie. sait jouir d’un orchestre de musiciens de ouf, auxquels le seul reproche à faire serait de les accuser, et on ne s’y risquera jamais, de n’être pas des Pierre Tenne stars. Paul Lay (‘’Ubik 8’’...), Julien Soro, Andrew Crocker, Rafaël Koerner, Florent Dupuit, Jean-Michel Couchet, le vibraphone de Stéphan Caracci, le trombone basse (!!!) de Didier Havet, et pardon pour les six autres, tous sont djam (web) — 05/16 http://www.djamlarevue.com/blog/2016/5/20/ping-machine-easy-listening

Ping Machine : easy listening

Bon en fait, je m’étais emballé : Ping Machine c’est tout pourri. (rires) talent pour en extraire une forme de synthèse aboutie des expérimentations orchestrales du moment, d’une générosité et d’une force immédiatement C’te blague... (bouh!!) sensible et sentie.

Soyons précis : l’orchestre sort simultanément deux disques, le premier fort Easy Listening donc : parce qu’en dehors de mes élucubrations, il y a de ça ambitieux et ubiquiste, le second plus accessible sans doute, plus mutin et beaucoup de plaisir pris avec, de la part des musiciens (toujours au top, certainement avec ce titre qui dénonce mieux que bien des discours la bien- évidemment) comme des auditeurs. Mais le fameux supplément d’âme, di- pensance musicale du moment.1 Easy Listening, et les ascenseurs résonne- sons plutôt la force supérieure de l’album, réside à mon sens d’abord dans ront-ils enfin d’une musique à écouter ? sa capacité déshopilée à proposer toujours deux, trois, quatre, tout un tas de niveaux de lecture jusque dans chaque solo de chaque musicien. Court Easy Listening, comment dire... Le flirt constant avec l’exercice de style, (49minutes) et en forme de kaléidoscope, Easy Listening doit séduire (c’est comme cette magistrale superposition de claves rythmiques qu’est ‘’Pong’’ un ordre) un grand public, non pas parce que l’orchestre se fait démagogue, (de Ping), agençant l’impossibilité mathématique comme d’autres enfilent du mais parce qu’il pose les bonnes questions d’une musique savante en même binaire. Policée, Ping Machine s’arrête au flirt et retire sa main : pas d’exer- temps qu’oecuménique et belle. Alors oui, à ce compte, Easy Listening, je cice de style, l’hypnose des reptations du naja. Oui monsieur. Easy Listening, veux bien. je veux bien... J’ai pourtant du mal à croire que les 13 minutes d’ « Alors, chut... » recueillent l’asile de RTL, soudainement conquise par les intros Pierre Tenne basse/percus de 3 minutes.

Du coup du coup du coup, une question est posée par Ping Machine. Ou pas, mais posons-la : cet Easy Listening plus fidèle à une certaine (et bonne) actualité de la musique orchestrale contemporaine, lorsqu’on le met en rap- port avec son gémeau Ubik, que nous dit-il ? Qu’il y a une part de trompe- rie : la facilité d’écoute revendiquée est tout à la fois indéniable et reposant sur des fondations d’argile. Celui des cellules rythmiques, celui du traite- ment des timbres qui révèle une maestria rare dans l’intégration à la sono- rité d’ensemble (cohabitation de riffs très rock avec du spectral, des frag- ments d’électro, une divagation très dans le ton du piano : il se passe plein de trucs), des phrases mélodiques toujours inattendues... Easy Listening, je veux bien... Alors appelons un chat un chat : un chat ; et Ping Machine nous raconte moins une musique accessible que l’étonnante facticité du forma- tage de nos oreilles, où Fred Maurin et ses ouailles se vautrent avec envie et citizenjazz (web) — 07/16 http://www.citizenjazz.com/Ping-Machine-3473341.html

Ping Machine : Ubik

Ping Machine disposait de deux heures de musique écrite entre 2013 et Dans cet album qui ques- 2015. Or, pour Fred Maurin, leader de ce big band, « un disque est l’image tionne le format musical, l’uni- d’un groupe à un instant T ». Il était donc indispensable de publier au même té est programmatique. Car moment l’ensemble de cette musique, qui a par ailleurs fait l’objet d’une le découpage en quatorze commande du Ministère de la Culture. Un double album fut d’abord envi- plages ne correspond pas sagé. Mais le format est économiquement peu viable et le choix s’est donc au projet de Ping Machine. porté sur la publication simultanée de deux disques. Ubik est une seule pièce qui s’écoute d’un bout à l’autre Sans ces informations, on croirait (l’auteur de ces lignes inclus) deux projets des 65 minutes qui la com- différents dont un, Easy Listening, qui est effectivement plus facile d’accès. posent. La division en pistes Peut-être parce que Ubik sort en grande partie des canons de l’écriture mu- est une concession afin que sicale ? Fred Maurin est, à cet égard, on ne peut plus explicite : « avec des les radios puissent en diffuser techniques qui permettent de sortir du tempérament égal à douze tons, on des morceaux, mais ceux-ci peut entrevoir l’infini qui existe entre les éléments de cette grille [les cou- sont des extraits d’une enti- leurs associées à l’écriture tonale] et faire apparaître des couleurs totalement té non fractionnable. Cette inhabituelles ». concession à la forme n’a au- cune incidence et le projet initial n’en est pas affecté puisque, à l’écoute Le projet révèle une vivacité intellectuelle assez géniale sans que nos oreilles de l’album, les différentes pistes se succèdent sans que nous y entendions souffrent de cette étrangeté. D’abord parce que l’usage des techniques la moindre rupture. Ce continuum débute par un maelström de sons eux- spectrales n’est pas nouveau et, de Gérard Grisey à Tristan Murail, nombreux mêmes doublés par un mouvement de très longues notes murmurées. Ces compositeurs les ont adoptées. Ensuite parce que l’harmonie n’est pas ré- murmures, omniprésents, constituent une grande part de l’identité de ce servée au tempérament en douze tons. D’ailleurs, si on s’émerveille devant disque qui peut être vu comme une grande respiration. Ce n’est pas non le chant des oiseaux, on conviendra qu’il n’est traduisible dans les douze plus sans un psychédélisme doux, fait de transe et de mouvements oniriques tonalités qu’au prix de son appauvrissement. C’est pour éviter ce carcan que auxquels il faut s’abandonner. Murmures, respirations, rêve, tout ici évoque Fred Maurin a composé cette œuvre en s’affranchissant des codes d’écriture une grande sérénité et le systématique va-et-vient entre dissonances et qui constituent la norme depuis le XIXe siècle. Mais au bout de ce chemi- consonances stimule la narration. Pour le coup, il faut accepter de laisser al- nement intellectuel, le résultat n’est pas l’illustration inesthétique d’un esprit ler son imaginaire car rien n’est prescrit. Il y a des moments plus brusques, à qui serait accaparé par la question de la technique d’écriture. Bref, disons-le l’image d’une grande partie de la quatrième piste qui donne à voir un mou- clairement : c’est beau. vement crescendo mené par une trompette fureteuse, ou encore du final qui clôt cet album qui déstructure pour construire autrement.

Gilles Gaujarengues citizenjazz (web) — 06/16 jazzaparis (web) — 05/16 http://www.citizenjazz.com/Ping-Machine-3473257.html http://jazzaparis.canalblog.com/archives/2016/05/04/33751599.html

Ping Machine : easy listening Ping Machine «U-bi__K»

Ping Machine est une formation maintenant bien en place dans le paysage jazz Un nouvel enregistrement de Ping Machine est français. Menée par Frédéric Maurin, guitariste mais surtout leader de ce big toujours un évènement. A fortiori lorsqu’il s’agit band hors du commun, elle s’inscrit très clairement dans le registre des musiques de deux sorties simultanées (Neuklang Future) : improvisées et du jazz moderne. Sans surprise, les deux albums qui viennent de «U-bi__K» et «easY listen_-ing ...». sortir simultanément sont faits de cette étoffe qui ne supporte ni le clinquant Deux intentions différentes, à traiter peut-être sé- ni l’esbroufe. Deux albums donc, et deux esthétiques différentes dont celui-ci, parément. intitulé Easy Listening, qui est d’approche effectivement plus facile. Mais, ainsi Aujourd’hui, «U-bi__K». que le souligne Louis Victor dans Jazz News, malgré l’intitulé, on est « loin de Plus qu’un simple hommage au grand romancier l’esthétique jazz FM » et, si besoin était, on ajoutera qu’il s’agit d’un disque ex- de science fiction qu’est Philip Dick, ce titre place trêmement beau. la musique dans le domaine du merveilleux, de l’étonnement («sens of wonder»). De même que « Kodama », qui ouvre l’album, est une transe ce visage partiel d’enfant sur la pochette, avec sa de dix minutes, fulgurante mécanique sur la- fragilité et son extrême pureté, porte un regard fasciné ... sur notre monde ? sur un quelle surfe un solo de Julien Soro au saxo- ailleurs qui nous échappe ? 14 plages et aucun titre (1, 2 ...). Cet enregistrement phone ténor tandis que l’orchestre, crescendo, est un tout, une suite cohérente, un long et merveilleux voyage imaginaire, aux se met en branle jusqu’à prendre le dessus. matières sonores d’une précision extrême. C’est cette même transe qui traverse intégra- Un sentiment de perfection orchestrale qui interpelle. Que ce soit sous forme d’ir- lement ce disque au gré des quatre pistes qui ruptions violentes ou de coulées indolentes, c’est la richesse des timbres, leur équi- le composent. Car les morceaux - trois enregis- libre, la rigueur de la mise en place, le chatoiement des couleurs qui saisissent. trés en studio et un dernier en live au Petit Fau- Ce sont aussi les errances dans un espace de sons ténus, éclatés, dans ce qui peut cheux à Tours - sont longs. Et c’est tant mieux s’apparenter à un tachisme fragile, épars, qui font découvrir la richesse de timbres puisque ce choix permet à la narration musicale de se mettre tranquillement travaillés, qui ouvrent les imaginaires. en place. La musique s’installe, sereine, s’étire dans un sens puis dans l’autre et dessine un imaginaire quelquefois psychédélique, toujours onirique. Les chorus Et dans cet univers millimétré, une part est laissée sont tantôt plaintifs à l’instar de celui que Fabien Debellefontaine prend à la à chaque musicien pour ciseler son cristal propre clarinette sur « Février », tantôt rêveurs comme celui de Bastien Ballaz au trom- dans un écrin sonore fait pour lui. Il faudrait citer bone sur ce même morceau. Mais de manière plus générale, tout est fait d’une chacun d’eux pour leur part de poésie, de sensi- multitude de touches pointillistes déposées ici et là pour composer l’ensemble. bilité, de lumière. De fait, la fresque qui en ressort est souvent évoquée, création évanescente, Ce n’est que vers la fin que cette architecture se avant d’apparaître soudain au gré de la juxtaposition de ces innombrables élé- révèle pleinement, tant elle est naturellement ins- ments tous ajustés comme autant de vilebrequins usinés à la main. C’est tout crite toute cette suite durant. simplement remarquable. Une réussite saisissante. Un pur émerveillement.

Gilles Gaujarengues Guy Sitruk chroniques de concerts

culturejazz — 10/17 http://www.culturejazz.fr/spip.php?article3203

Sans oublier le vidéaste et la technicienne Lumières.

Donc U­bi_K. Résumons l’inrésumable : de la musique résolument contem- poraine avec de gros bouts de jazz dedans. Une intro bruitisto­ souffleuse qui joue/se joue des masses sonores et mène au quin- tet à vent ( tp, bugle, tb, tuba ). Quintet à vent choyé par Maurin qui lui donne le temps de dé- velopper une histoire en plusieurs épisodes. Sur fond de fantas- PING MACHINE (à Ris Orangis) magories visuelles faites maison à la main en temps réel, entre aquarelles de ZAO WOU KI et photos de brai de Jean Dieuzaide joue U­bi_K en mode animé. Le PLAN, ce haut lieu essonnien des musiques djeun’s (soulblues­ ­ rock­pop­metal­hip­hop­reggae­etc) s’ouvre à des musiques enjazzées Les gros bouts de jazz sont le fait des solistes et de quelques en- et accueille le grand ensemble PING MACHINE pour son œuvre volées puissantes du band, sur fond de volutes, coulées douces et U­bi_K. autres anamorphoses. On n’est pas sur un plateau de télé tant les effets lumières sont discrets et appropriés : de fins pinceaux ici ou h é l i c on Il y avait foot, il faisait crachineux, les aficionados locaux du jazz n’ont pas encore pris l’habitude de se déplacer tout prés de chez là, une rotation évanescente. eux et donc petite assistance : heureusement, Ping est un grand L’architecture de U­bi_K inclut des silences qui résonnent bien au­ format. delà. Au-delà de quoi ? vous demanderez­ vous. Au-­delà.

Sur scène autour de Fred MAURIN compo, direction et guitare, Sinon quoi ? Cette œuvre requiert une attention sans faille du de gauche à droite : Florent DUPUY sax ténor et flûte, Fabien spectateur, une patience infinie et l’abandon définitif de ses caté- égazz & L’ & p égazz a l e DEBELLEFONTAINE sax alto, flûte et clarinette, JeanMichel­ COU- gories « musicales » usuelles. Donc une prise de risque en sortant CHET sax alto, Julien SORO sax ténor et clarinette, Guillaume de son confort de répétition. Et, partant, pose la question de la CHRISTOPHEL sax baryton et clarinette basse, Raphael SCHWAB place de ses émotions à l’écoute de cette musique. Jubile-t-­ ­il ? contrebasse, Rafaël KOERNER batterie, Andrew CROCKER trom- S’entriste-­-t­il ? S’enthousiasme­-t-­il ? S’évade-­t-­il ? pette, Fabien NORBERT trompette et bugle, Quentin GHOMA- agnie musi c agnie RI trompette et bugle, Bastien BALLAZ trombone, Didier HAVET À chacun de s’y retrouver. trombone basse et tuba et au milieu Paul LAY au piano et Stephan CARACCI marimba, vibraphone et autres percus. Alain Gauthier Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod le parisien (mensuel) — 12/17 tsf jazz (radio) — 12/17

france musique (radio) — 12/17 open jazz : alex duthil france musique — 12/17 — l’invité du jour : saskia deville http://www.culturejazz.fr/spip.php?article3203

Ping Machine ouvre les portes du pénitencier Programmation musicale dans un concert-lecture à la Maison de la Poésie des invités : le 16 décembre 2017 — Claude DEBUSSY «Regards croisés autour d’Ubik» donne à entendre et à voir la restitution Petite suite : I. En bateau d’une série d’ateliers menés à la maison d’arrêt de Nanterre. Un concert Orchestre de chambre de Paris, littéraire qui fera intervenirdes détenus qui liront leurs textes avec éga- Thomas Zehetmair (direction) lement sur scène l’auteur Thomas B. Reverdy et Florence Cosnefroy. NAIVE RECORDS

Ping Machine par Ping Machine — Frédéric MAURIN «Au fil des créations nous nous résolvons à arrêter d’essayer d’affilier Ping Ubik : Ubik 7 Machine à un genre musical. On parlera d’énergie, de puissance, et puis Ping Machine bien sûr d’émotions. NEUKLANG FUTURE

Ce grand ensemble de 15 musiciens arrive aujourd’hui à maturité artistique — Philippe HERSANT avec des compositions musicales exigeantes et une interprétation pleine- Instants limites : Portes et Ballon ment maîtrisée. Dans ses nouvelles compositions, Fred Maurin n’hésite pas à prisonnier transporter l’auditeur au coeur d’une architecture musicale pleine de poésie Ensemble Aedes, Mathieu Romano (direction), Régis Pasquier, Jean-Luc et de contrastes. Menet, Pascal Gallois AEON

Le lien entre le jazz et la musique populaire d’une part et la musique contem- — Bela Bartok poraine d’autre part, a toujours été très fort et a permis de nombreuses Musique pour cordes percussion et célesta BB 114 Sz 106 : III. Adagio évolutions. Orchestre de Chicago, Pierre Boulez (direction) DGG

C’est dans cette recherche permanente que Ping Machine prend plaisir à jouer en repoussant les règles : explorations mélodiques et harmoniques, utilisation de techniques d’écriture spectrales, développement microtonaux L’équipe de l’émission : Saskia de Ville - Production, Pauline Boisaubert ou sériels, confrontations de blocs de sons, imbrication de l’écriture et de - Production Déléguée, Eric Lancien - Réalisation, Marjolaine Por- l’improvisation, le tout porté par une véritable énergie rythmique. tier-Kaltenbach - Collaboration, Sandrine Dalmar - Collaboration, Max L’auditeur se trouve ainsi projeté au sein de véritables suites d’images-so- Dozolme - Collaboration nores propices à l’évasion.» france bleu — 12/17 http://www.culturejazz.fr/spip.php?article3203

Des détenus franciliens vont se produire sur une scène parisienne

Incarcérés à la maison d’arrêt de Nanterre, ils vont s’échapper pour sur du jazz contemporain et des arts plastiques. Le but est de les ouvrir le quelques heures ce samedi le temps d’un spectacle à la Maison de la plus possible pour qu’à la sortie ils puissent découvrir et faire découvrir des Poésie à Paris. Ces détenus vont présenter au public leur création, un choses». Une initiative très appréciée par Iliès (prénom modifié) : «il y a une concert littéraire conçu entre les murs de leur prison. vie avant et après la prison, c’est bien de se remettre dans le bain petit à pe- tit avec des activités comme ça. Ça permet de sortir de la cellule, du milieu Nanterre, Hauts-de-Seine, France carcéral et de découvrir de nouvelles choses». Ils attendaient ça depuis plusieurs semaines. Ce samedi est un jour pas comme les autres pour un groupe de détenus de la maison d’arrêt des Un espace de liberté Hauts-de-Seine. Ils sont cinq à avoir obtenu une autorisation de sortie ex- Les ateliers de pratique artistique (douze séances de trois heures) leur ont ceptionnelle pour l’aboutissement d’un projet artistique et culturel. Alex s’en permis de développer leur créativité à travers l’écriture ou la peinture. «C’est réjouit d’avance. «Ça va faire six mois que je n’ai pas pris les transports, que un espace de liberté, une ouverture sur l’extérieur» explique la plasticienne je n’ai vu personne d’autre que les gens de la prison donc ça va faire un peu Florence Cosnefroy. Qui raconte que les détenus sont «étonnés de voir qu’ils bizarre, mais c’est bien !» arrivent à entrer en création, ils sont bluffés par eux-même. Ce sont des Casser les à priori bulles de joie dans un quotidien pas forcément facile». Douze détenus volontaires ont participé à la création d’un spectacle, enca- drés par trois professionnels : un musicien, un auteur et une plasticienne. Faire entrer la culture en prison est essentiel pour Frédéric Maurin, le com- Tous ont écrit un texte qu’ils liront sur scène, accompagnés en musique par positeur des musiques qui seront jouées en live ce samedi. «C’est même une l’orchestre Ping Machine. Alex, qui a choisi de «slamer» une poésie, espère nécessité, tout le monde doit avoir l’accès à l’art. C’est une forme d’expres- contribuer à changer l’image de la prison. «On a envie de faire ça bien, pour sion pour les détenus, et ça les met en valeur tout simplement. Ça met en casser un peu ces à-priori. On a encore du cœur, malgré nos conneries. valeur leur capacité à ressentir des choses et à les partager avec un public». Plutôt que de regarder la télé et des émissions qui abrutissent, nous on fait Un vrai public : 200 personnes sont attendues ce samedi à 18h pour cette ça pour ouvrir notre esprit, rencontrer des gens, même si on est enfermés». représentation unique «Regards croisés autour d’Ubik». Les dernières places peuvent être réservées sur le site de la Maison de la Poésie à Paris. Le lieu accueille aussi une exposition des œuvres réalisées par les détenus. Les détenus de Nanterre sont soit des prévenus en attente d’un procès, soit des condamnés purgeant de courtes peines. C’est pour préparer leur réinsertion que le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) pro- gramme ce genre d’actions culturelles, en lien avec le responsable d’établis- sement. A Nanterre, c’est Marie Langrée qui est chargée de la coordination culturelle. «L’idée c’est de leur proposer de nouvelles façons d’appréhender l’art et la culture, et pas forcément ce dont ils ont l’habitude. Là on a travaillé paris-normandie — 03/18 http://www.paris-normandie.fr/loisirs/lillebonne--le-jazz-du-cru-avec-frederic-maurin-et-ping-machine-DG12637657 Compagnie musicale pégazz & L’hélicon Presse & Booking : Marianne Clair / [email protected] / +33 650 13 87 99 Com & Prod : Juliette Dubus / [email protected] / +33 632 33 84 23 presse étrangère

fono forum (mensuel) — 07/16

jazz podium (mensuel) — 06/16

jazz thing (mensuel) — 06/16 stereo (mensuel) — 07/16 „ audiophiles Highlight “

sonic (mensuel) — 05/16

jazzthetik (mensuel) — 03/16 http://www.stuttgarter-nachrichten.de/inhalt.bauer-studios-in-ludwigsburg-aus-liebe-zur-musik.082a189f-6f56-498a-b8a3-abf38cb1dd51.html stuttgarter nachrichten (QUOTIDIEN) — 10/16

Bauer Studios in Ludwigsburg Aus Liebe zur Musik

hochkonzentriert vor dem Mischpult und folgt der unsere Musik und kann sogar Französisch.“ Ein großer komplexen Musik, die das französische Ensemble im Vorteil, findet auch der gebürtige Belgier Heck, früher großen Studio zum Klingen bringt. Nach der Aufna- selbst als Trompeter in Bigbands aktiv:­ „Wenn man hme bespricht er mit Maurin, ob etwas wiederholt dieselbe Sprache spricht, geht alles viel schneller als werden muss. „Ich bin Toningenieur, Tonmeister und in gebrochenem Englisch.“ Produzent in einem“, erklärt Heck. „Ich kann Partitu- ren lesen und höre jede Ungenauigkeit, das erspart Der Bauersche Studioraum ist groß genug, um alle den Musikern langwieriges Abhören zwischen den Musiker einer Bigband zu fassen – eine Rarität und Takes. Nur wenige Studios bieten das.“ wichtig für Formationen wie Ping Machine, bei denen es um konzentriertes Miteinanderspielen und Aufei- Im Grenzgebiet zwischen Avantgarde-Jazz und Neuer nanderreagieren geht. „Es gibt eine Partitur, aber die Musik bewegt sich das Stück, das „Ubik“ heißt wie ein enthält an vielen Stellen nur rhythmische und harmo- Zukunftsroman des US-Autors Philipp K. Dick („Mino- nische Vorgaben, die die Musiker frei füllen“, erklärt rity Report“) von 1969. Der dreht sich um Menschen Maurin. „Im Mittelpunkt steht die offene Interak- Toningenieur, Tonmeister, Produzent: Philipp Heck im Regieraum mit außersinnlichen Wahrnehmungsfähigkeiten, und tion des Orchesters, die Musiker sollen ihre Persön- der Bauer Studios. Foto: Bauer Studios die Metapher passt zu einer Musik, die wie alle Kunst lichkeiten einbringen.“ Die Folge: Stücke von Ping abseits des Mainstreams nicht existieren könnte ohne ­Machine klingen ­bei jeder Aufführung anders. Keith Jarrett, Udo Jürgens und Ernst Mosch verdan- Unterstützung – „Ubik“ ist eine Auftragsarbeit für die ken den Bauer Studios große Alben, sogar Miles französische Staatsregierung. Das Zwillingsalbum, Heck setzt beim Mischen­ Akzente, holt Instrumente Davis hat 1991 eine Aufnahmenacht in Ludwigsburg das Ping Machine parallel aufnehmen, trägt den iro- passagenweise in den Vordergrund und nimmt andere verbracht. Vor allem große Ensembles schätzen die nischen Titel „Easy Listening“. Es ist zwar klarer im zurück. So wird der dichte Klang transparent, Details Qualitäten des Studios – zum Beispiel die französische Jazz verortet, fordert aber seine Hörer ebenfalls auf treten hervor. Dass diese Musik ihre Hörer fordert, war Avantgarde-Bigband Ping Machine. virtuose Art heraus. Maurin schon bei der Namenswahl der Band bewusst: „Ich habe in der Tat an Monty Python­ gedacht. Die Stuttgart - Ein Organismus breitet sich aus im Studio- haben in einem Sketch ein Gerät, das nichts anderes saal, greift mit seinen Klangtentakeln aus in unend- Der Studioraum fasst alle Mitglieder macht als ,Ping‘ und vollkommen nutzlos erscheint.“ liche Weiten. Der Bandleader und Gitarrist Frédéric einer Bigband Auch die Macher von Jazzfestivals haben da Schwie- Maurin lenkt sein 15-köpfiges Blasorchester, während rigkeiten: „Es klingt wie Neue Musik, aber wir im- es ausgeklügelte Harmoniegebilde aufschichtet, Selten verlassen französische Bands ihre üppige För- provisieren nach wie vor, das irritiert viele. Wir sitzen Rhythmen entfalten. In einer separaten Kabine into- derlandschaft, Ping Machine sind schon zum dritten zwischen den Stühlen.“ niert Saxofonist Jean-Michel Couchet mit Verve ein Mal hier. „Ich habe in Frankreich kein Studio gefunden Solo, als gäbe es kein Morgen. für unsere Anforderungen“, sagt Maurin. „Dann bin ich auf Platten von Bauer gestoßen, habe den Klang Im Regieraum der Bauer Studios sitzt Philipp Heck gemocht und mit Philipp gesprochen. Der versteht jazz’n’more (mensuel) — 11/16 br —04/16 rohrblatt —06/16 Jazzbrunch XL - Version byte FM — 05/16 radio lora, zürich (97.5) — 05/16 PLAYLIST (11.00 bis 14.00 Uhr) MPS – Aufnahmen: in between ears Interpret Titel CD Label (...) — Why And How 2:57 Airto ANDEI (I Seeds On The Buddah Records Mark Murphy Walked) Ground t — 05/16 — Denn Liebe ist stark wie der Tod 5:38 Wolfgang Lauta — Love In Summer 4:05 Hackensaw Boys Happy For Us In Charismo Free Dirt Records Wolfgang Dauner Trio The Down Hackensaw Boys The Sweet Charismo Free Dirt Records ———————————— — Live@EMO (13.09.2013) 7:46 The Sweet Remains Don`t Look Close Trio Live In Demo CD Germany The WisselTangCamatta The Inspector Cluzo Lost In Tradition Rockfarmers Fuckthebassplayer — Beyond Records The Inspector Cluzo ABU Rockfarmers Fuckthebassplayer (live Im Bau, 20.06.2016) 5:41 Records Jürg Wickihalder / Barry Guy / Lucas Niggli Jochen Distelmeyer Let`s Stay Songs From The Four Music Together Bottom Vol.1 — On Your Own 3:52 Daniel Stelter Quartett feat. Jochen Distelmeyer Turn, Turn, Turn Songs From The Four Music Fola Data Bottom Vol.1 ————————————— Die Seilschaft Grüne Armee Gundis Lieder Cultus UG — Sugar And More 6:06 Eisbrenner Nackt Gundis Themen Cultus UG — Do You Know What It Means To Miss New Orleans 4:47 Thomas Natur Blues Arr ju launsam Mokshamusic — More Sugar 6:38 Rabenschlag & Max tuneit? Philipp Stauber Lässer ————————————- Freie s Ra dio f ür S t u ttga r

Ein.Horn Gerlamoos Gerlamoos Mokshamusic http://www.freies-radio.de/search/node/jazzbrunch%202016%2005?page=2 XL – Bonus — Kodama 9:55 A Presenca das Que serei? A Presenca das CPL Music Formigas Formigas — Pong 9:12 A Presenca das Senhora do A Presenca das CPL Music — Alors; Chut…. 13:04 Formigas Almortao Formigas Mari Kalkun & Soalaul Tii ilo Nordic Notes — Track 1 5:56 Runorun RIM Hulderslatten RIM Nordic Notes — Track 2 5:01 Williams Wetsox S`Gsicht vo meim Wohi? Wohi? BSC Music — Track 3 7:11 Voda Zwoastoa Woidrand Woidrand BSC Music Ping Machine Republik Ich bin schmutzig Elements LADTK Pulsar Trio May Waltz Cäthes Traum T3 records Pulsar Trio Ganga Surf Cäthes Traum T3 records Günther Bajtl

Ping Machine Pong Easy Listening Neuklang ping machine « Encore » — Sortie : 2013 / Neuklang h é l i c on

• Meilleur album de l’année Jazzthing 2014 (Michael Stürm) • égazz & L’ & p égazz a l e • Victoires du Jazz 2014 • • Nomintation „album de l’ANNÉE“ • • „meilleur album de l’ANNÉE“ 2013 Jazz Magazine •

agnie musi c agnie • „CHOC de l’ANNÉE“ 2013 Jazz Magazine • • Finaliste du „Meilleur album de l’année“ • Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod Académie Française de Jazz Jazz facts —10/14

jazz podium (mensuel) — 11/13 Jazzthetik (mensuel)—11/13 jazz thing (mensuel) — 01/14 s oni c (men ue l ) — 01/14

Der Kurier — 10/13 Der Kurier, Karlsruhe, 18.10.2013 jazz’n’more (mensuel) — 11/13 1 von JazzFacts - Pure Imagination Deutschlandradio ©2009-2014 Paris. bei Fresnes in Gastspiel mehrtägigen einem bei Band die besuchte Lippegaus Jazz den die frei, Energie kreative eine setzt Machine Ping haben. beschert Genre dem Evan Gil die Innovationen, an Kollegen seine und Gitarrist agierende diskret der sich liege Jazz orchestralen des Rahmen konventionellen im noch durchaus Besetzung die Mag wähltenvieleKritiker inFrankreich2013 zumJazzalbum desJahres. "Encore" Plattenverkäufe), hattesichFredMaurinseinen Traum einesOrchesterserfüllt.Diea funktioniert. Um2005,mittenindervielzitiertenKrise (weniger Publikum,weniger erstaunlicher istes,wiesubtil,transparentundminimalistischderlebendigeOrgani Rhythmusgruppe, wobeifastjederder15Spielernochüberein Zweit-odergarDrittin Mit einemsoriesigenKlangkörperlässtsicheineMenge machen:dreiTrompeten, zwei und John Scofield begeisterten Gitarristen. "großen Formate" entstanden. "Learning by doing" lautet die Devise für Fred Maurin, e Frankreich große Kollektive. Inwenigen Jahren ist so eine verblüffende, neue Improvi Ausgerechnet alsdieZeiten fürdenJazzwiederhärterwurden,gründeten viele junge Band Ping Machine. Ping Band der Mitgliedern den von Bilder URL dieserSeite:http://www.deutschlandfunk.de/jazzfacts-pure-imagination.748.de.htm Vorgestellt Lippegaus Karl von Die französischeGroßformationPingMachine Imagination Pure JAZZFACTS 1 von JazzFacts - Pure Imagination jazzfacts (web)—08/05/14 http://www.deutschlandfunk.de/jazzfacts-pure-imagination.74 Beitrag vom 08.05.2014 21:05 Uhr 21:05 08.05.2014 vom Beitrag Deutschlandfunk – Jazz Lippegaus besuchtedieBandbeieinemmehrtägigenGastspielinFresnes bei Paris. dem Genrebescherthaben.PingMachinesetzteinekreativeEnergiefrei,die den Jazz sich derdiskretagierendeGitarristundseineKollegenanInnovationen, die GilEvan Mag dieBesetzungdurchausnochimkonventionellenRahmendesorchestralen Jazz liege wähltenvieleKritiker inFrankreich2013 zumJazzalbum desJahres. "Encore" Plattenverkäufe), hattesichFredMaurinseinenTraum einesOrchesterserfüllt.Diea funktioniert. Um2005,mittenindervielzitierten Krise(weniger Publikum,weniger erstaunlicher istes,wiesubtil,transparentundminimalistisch derlebendigeOrgani Rhythmusgruppe, wobeifastjederder15Spielernochüber einZweit-oder garDrittin Mit einemsoriesigenKlangkörperlässtsicheineMenge machen:dreiTrompeten, zwei und John Scofield begeisterten Gitarristen. "großen Formate" entstanden. "Learning by doing" lautet die Devise für Fred Maurin, e Frankreich große Kollektive. Inwenigen Jahren ist so eine verblüffende, neue Improvi Ausgerechnet alsdieZeitenfürdenJazzwiederhärterwurden,gründetenviele junge Deutschlandradio ©2009-2014 Machine. Ping Band der Mitgliedern den von Bilder URL dieserSeite:http://www.deutschlandfunk.de/jazzfacts-pure-imagination.748.de.htm http://www.deutschlandfunk.de/jazzfacts-pure-imagination.74... Vorgestellt vonKarlLippegaus Die französischeGroßformationPingMachine Imagination Pure JAZZFACTS Spielstätten, sinkende smus mitdemNamenPingMachine s, FrankZappaundCarlaBley ktuelle, viertePing-Machine-CD strument verfügt.Umso derJetztzeitbeflügelt.Karl l?dram:article_id=280775 Posaunen, fünf Saxofone plus Saxofone fünf Posaunen, n –musikalischorientieren sationsmusik der sationsmusik Jazzmusiker in inem vonBillFrisell Beitrag vom 08.05.2014 21:05 Uhr 21:05 08.05.2014 vom Beitrag Deutschlandfunk – Jazz http://www.deutschlandfunk.de/jazzfacts-pure-imagination.74... 02.04.14 16:29 Spielstätten, sinkende smus mitdemNamenPingMachine s, FrankZappaundCarlaBley ktuelle, viertePing-Machine-CD strument verfügt.Umso derJetztzeitbeflügelt.Karl l?dram:article_id=280775 Posaunen, fünfSaxofoneplus n –musikalischorientieren sationsmusik der sationsmusik Jazzmusiker in inem vonBillFrisell 02.04.14 16:29 böblinger bote — 12/13 http://www.jazzthetik.de/index.php/archiv/24-live/828-live-jazz-festival-2014-suedtirol JazzThetik (mensuel) — 2014

Live: Jazz Festival 2014 - Südtirol

Selten hat man von Musikern so von Herzen kom- TaL-O-PhoNe unterhielt mit Experimentierlaune mende Dankesworte gehört dafür, dass sie zu einem und multistilistischer Kompetenz. Pech hatte der Festival eingeladen wurden. Die vielen jungen Bands Keyboarder von Papanosh. Er saß noch im Flie- aus Frankreich, etwa zwei Drittel des gesamten Line- ger, als der Rest seines Quintetts schon auf einer ups, konnten es kaum fassen, dass Klaus Widmann Bühne der Kellerei Meran im doppelten Sinne seinem Publikum so viele unbekannte Namen „zumu- improvisierte. Statt der geplanten Eigenkomposi- tete“, um zu zeigen, was sich derzeit an Neuem tut tionen gab’s Jazzklassiker von in der französischen Szene. Und obwohl die meisten oder . Elend gut müssen junge ein munteres Verwirrspiel zwischen Freejazz und Rock, Instrumentalisten für solchen Jazzjazz sein, und HipHop und Elektronischem betrieben, kam nicht nur Papanosh wurde der Tradition gleichermaßen die eingängigere Musik diverser Formationen des gerecht wie dem Anspruch, einen zeitgemäßen, fantastischen Akkordeonspielers Vincent Peirani gut ganz persönlichen Zugang zu finden. an. Besonders starken Tobak bot ausgerechnet eine Harfenistin: Rafaëlle Rinaudo, die ihr elektronisch ma- Zum Finale dann maximaler Kontrast: hochal- nipuliertes Instrument schon mal mit Schlägen trak- pin vor der Pederü-Hütte südlich von Bruneck tierte, um progressiven Lärm zu erzeugen – dabei die Spaßkapelle Fischermanns Orchestra aus aber undogmatisch auch für Eingängiges offen war Luzern; in einer leergeräumten Produktionshalle wie die ebenfalls zum Collectiv Coax zählende Forma- für „Kabinen- und Sesselbahnen, Pendelbahnen, tion Radiation 10. Das ohne Dirigent auskommende Standseilbahnen, Schrägaufzüge und fixgeklem- Ensemble versteht sich auf lange Spannungsbögen, mte Skilifte“ spielten sich Chick Corea („These setzte kollektive Improvisationen gegen vertrackte machines are wild. I want one!“) und Stanley Clark Unisono-Passagen – mal meilenweit, mal nur haar- durch unverwüstliche Klassiker der Return-to-Fo- scharf am Tanzbaren vorbei. rever-Ära. Bei im Original soundbetonten Fu- sion-Hymnen wie „Romantic Warrior“ fiel das Am folgenden Abend kamen die 15 Franzosen von schon schwerer. Als Zugabe: „Spain“ mit Passa- Ping Machine vergleichsweise kopflastig daher. Beim gen zum Mitsingen. US-Giganten als Höhepunkt von der Kritik viel gerühmten Ensemble wird dirigiert eines bis auf Now vs. Now mit dem fantastischen und immer wieder ein Kunstwille deutlich, den am Vor- Rapper Baba Israel europäischen Spezialitäten- tag niemand vermisst hatte, als vier Pingmaschinisten buffets der Sonderklasse? Ganz ohne große als Big Four im Hinterhof eines Kinos entspannten Namen mochte selbst Klaus Widmann offenbar Modern Jazz spielten, originell besetzt mit Vibra- und nicht auskommen. Sousafon. Vibrafon, aber meist via Ringmodulation oder anderweitig verzerrt, gab’s auch in optimaler Klaus von Seckendorff Unterm-Baum-Akustik im Park des Jugendstilhotels Holzner in Oberbozen am Ritten. Das Coax-Trio Me- http://www.m945.de/interpret/.html?getalternate=1 radio lora, zürich (97.5) — 05/16 afk (M94,5) — 10/13 Interpret Titel CD Label LC-Code / Website bPlaylistasement Basement Jazz vomjazz 9. Oktober 2013 - afk M94.5 http://www.m945.de/playlist/playlist_basement_jazz_vom_9_... Airto ANDEI (I Seeds On The Buddah Records NEX CD 129 Walked) Ground

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Jetzt läuft: Teststrecke am Nachmittag (Musik) Robert Wyatt Strange Fruit Nothing Can Rough Trade Rough 35 (Vinyl) Stop Us afk M94.5 - einfach anders Selda Almanya Aci Songs Of Trikont LC04270

ab 16 Uhr: Hörbar am ... Vatan Gastarbeiter Vol.1 Home Musik Themen Sendungen Nachhören M94.5 unterstützen Über M94.5 Cem Kavaca Es kamen Songs Of Trikont LC04270 Menschen an Gastarbeiter Vol.1 Home > Playlist > Playlist Basement Jazz vom 9. Oktober 2013 Willy Michl Fliag Vogl fliag Die Freiheit #1 Trikont LC04270 Playlist Basement Jazz vom 9. Oktober 2013 Mitmachen bei M94.5

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Autor(en): Martin Bürkl am Sonntag, 13. Oktober 2013 Kasperltheater Covered Wagon Napalm Sticks To …Next Stop Is Bear Family LC05197 Musician Neuer Jazz aus unterschiedlichen Ecken Europas: Von der verträumten Gitarren aus Kidsth Vietnam Norwegen bis zur musikalisch ausufernden Bigband aus Frankreich. Big&Rich 8 Of November …Next Stop Is Bear Family LC05197

mit Christian Bartl und Martin Bürkl Vietnam tUnE- Lady Spex CD 113 / Spex /Knitting CD113 Quelle: Empirical – The Prophet (Album: Tabula Rasa, VÖ: 13.09.2013) [Naim Jazz] mehr WWW.TOMBARNESPHOTO.COM k.A. // Tom Farmer (b), Nathaniel Facey (as), Shaney Forbes (dr), Lewis Wright (vb), Zara yArDs, ?uestlove, Red Hot + Fela Factory/ Rough Benyounes (vl), Emily Holland (vl), Sara Roberts (va), Kim Vaughan (clo) Angelique Kidjo + Trade Welchen Song willst du öfter hören? Empirical – Studies in Time: The Healer (Album: Tabula Rasa, VÖ: 13.09.2013) [Naim Akua Naru Jazz] Ulf Wakenius Mandela Ulf Wakenius ACT LC07644 k.A. Anna Calvi - Love Of My Life Holy Ghost - I wanna be your hand Signature Edition Astro Sonic – Orbiter (Album: Come Closer And I’ll Tell you, VÖ: 15.10.2013) [Hubro] DCVDNS - Eigentlich wollte Nate Slettevoll/Nergaard/Nilssen // Erlend Slettevoll (keys) Rune Nergaard (b, electr, dr machine), Dogg die Hook singen Gard Nilssen (dr, gongs, bow, tablamachine, vib, electr) Fei Scho Abendstille WeltenSprung Galileo LC12661

Astro Sonic – No Satisfaction At All (Album: Come Closer And I’ll Tell you, VÖ: M94.5 präsentiert 15.10.2013) [Hubro] Slettevoll/Nergaard/Nilssen Permanente Handy gwaschn Permanente BSC Music LC07681 Astro Sonic – Analogue Karma (Album: Come Closer And I’ll Tell you, VÖ: 15.10.2013) [Hubro] Bluesmaschin Bluesmaschin Slettevoll Harri Stojka Harri Theme India Express Gipsymusic GP 002

Gisle Torvik – Endelaus Veg (Album: Tranquil Fjord, VÖ: 06.09.2013) [Ozella] production Torvik // Gisle Torvik (git), Audun Ellingsen (b), Hermund Nygård (dr) KT Tunstall Feel It All Invisible Empire / Jaydone Ltd / LC03098

Gisle Torvik – Arv (Album: Tranquil Fjord, VÖ: 06.09.2013) [Ozella] Crescent Moon Virgin Fat Freddy's Drop Torvik // Gisle Torvik (git), Audun Ellingsen (b) Elin Kaven Dream Of Maizan Thaw BrokenSilence / LC14502 Sonntag, 20. Oktober Muffathalle Fortune Nordic Notes Carole Veal – H’way of Love (Compilation: Feeling Nice Vol. 2, VÖ: 06.09.2013) [Tramp] k.A. Ghost Train Elvis Is A Daze Jack + Sunshine BrokenSilence / LC19104 M94.5 @ Neuhauser Musiknacht Samstag, 26. Oktober Beste! Unterhaltung Gizelle Smith & Mighty Mocambos - Coffe High (Album: This Is Gizelle Smith & The Freiheizhalle Mighty Mocambos, 2009) [Légère] Gurdan Thomas When I`m King This Beautiful BrokenSilence / LC19104

k.A. Sound of Munich Now World Of Beste! Unterhaltung Freitag, 8. & Samstag, 9. November – Wanna Be Startin’ Somethin’ (Album: Grand River Crossings. & Feierwerk Ugliness Motor City Inspirations, VÖ: 27.09.2013) [Motéma] Aino Venna Trouble Of the Marlene Stupide Records / LC19104 // Geri Allen (p) Billy Bragg Donnerstag, 14. November World Beste! Unterhaltung Geri Allen – Inner City Blues (Album: Grand River Crossings. Motown & Motor City Strom Sutcliffe Ever Wonder III Beste! Unterhaltung LC19104 Inspirations, VÖ: 27.09.2013) [Motéma] Sutcliffe The Mexican Kopfkino Beste! Unterhaltung LC19104 mehr Ping Machine Encore 1 Encore Neuklang / Bauer LC13834 Petrucciani Louis & Michel – Turn Around (Album: Flashback, VÖ: 30.08.2013) Studios [Association Adac55] Coleman // Michel Petrucciani (p), Louis Petrucciani (b) Veranstaltungstipps

Slavin-Eldh-Lillinger – Starlight (Album: Starlight, VÖ: 13.09.2013) [Unit] Brossa // Wanja Slavin (sax), Petter Eldh (b), Christian Lillinger (dr)

1 von 2 15.10.13 15:01 radio ara — 19/09/13 radio dreyeckland — 19/09/13

l’émission qui fait jazzer NEUE CDS DER LABEL TRAUMTON + NEUKLANG pascal DORBAN JAZZ MATINEE - RADIO DREYECKLAND, SONNTAG, DEN 24.11.2013

1. Playlist Neue CDs der Label Traumton + Neuklang Jazz.com L'émission qui fait jazzer émission du 19/09/13 avec Pascal2. Dorban Jazz Matinee am Sonntag, den 24.11.2013 Artist Title CD/LP Label Composer THE IMPOSSIBLE GENTLEMEN BARBER BLUES INTERNATIONALLY RECOGNISED ALIENS BASHO RECORDS GWILYM SIMCOCK KIT DOWNES WHAT'S THE RUMPUS LIGHT FROM OLD STARS BASHO RECORDSMelt Trio – HymnoliaKIT DOWNES Penny wise 6:27 JOHN FUNKHOUSER HOUSE OF THE RISING SUN STILL JAZSYGY RECORDS TRAD. KANJI OTHA & THE JAZZ FAMILY THERE WILL NEVER BE ANOTHER YOU OUR JAZZ FAMILY JZAZ RECORDSTio SchmetterlingHARRY – Globus WARREN/MACK GORDON Zauberwald 5:29 LAIA GENC LIAISON TONIQUE NAZMIYE TALISMAN WISMART LAIA GENC FRITZ HEGI TRIO GFRITZT IMPRO-VISIONEN UNIT RECORDSTobias Christl – VerschmelzungRETO SENN Ballon 6:06 WINTERSCHLADEN/LUDEMAN UBER DEN SELBSTMORD HEAVY HEARTS AJAZZ HANS EISLER MEIKE GOOSMANN QUINTET WHAT HAPPENS NEXT TENDER TALES AJAZZ MEIKE GOOSMANN ANDRE CIMIOTTI BREEZE OF HOME THIS IS WHERE I COM FROM AJAZZ Marc Mangen TrioANDRE – Strains CIMIOTTI Of Delight And Despair Not Yet 7:06 SHOOT THE MOON JOHNNY RIDES AGAIN BIG BLACK DOGS WISMART ALMUT SCHLICHTING FIELD MELODIE LET ME GO WITH YOU UNIT RECORDSPing Machine – EncoreULI KEMPENDORFF Encore Premiere Partie 6:50 KAAMA DO MORE - DO LESS SILENCE UNIT RECORDS KATJA MAIR ANYA MALKIEL INVITATION FROM THE HEART ANYA MALKIELThe Ropesh – dto.BRONISLAW KAPER NeuB 7:08 JERI BROWN ALL THE THINGS YOU ARE ECHOES JONGLEUR PROD. JEROME KERN MARIE SEFERIAN QUARTETT ISABELLE LA PRINCESSE DE FERRAILLE AJAZZ Hellmüller / RissoJ.BREL/F.RAUBERT / Papaux – Waiting For You Nick CD 1 5:15 EMRAH KOTAN ANATOLIA THE NEW ANATOLIAN EXPERIENCE OJANU RECORDS EMRAH KOTAN CENK ERDOGAN ANIZIN PARCALAR BAYKUS MUZIK CENK ERDOGAN PING MACHINE GRRR… LIVE AU PETIT FAUCHEUX (ENCORE) NEUKLANGRamón Valle TrioFREDERIC – Playground MAURIN Zwana 6:33 ESTRELLAS DE LA BAHIA EL ESPIRITU DEL MAMBO SALSA DE LA BAHIA PATOIS RECORDS TREVOR ANDERIES SHADES OF TRUTH SHADES OF TRUTH TREVOR ANDERIES TREVOR ANDERIES

Weiter geht es mit der Band Ping Machine und ihrem Album „Encore“, das Ende März 2013 im Club Le Petit Faucheux in Tours / Frankreich aufgenommen wurde.

Nach zwei Studioalben haben Ping Machine mit „Encore“ am 22. und 23. März 2013 im Petit Faucheux ihr erstes Live - Album aufgenommen. Es ist lebhaft, undestiliert, leidenschaftlich und kompromisslos. Der Gitarrist Frédéric Maurin ist der Kopf dieses 15 Musiker zählenden Ensembles. Er untermauert seine Vorliebe zu Risiken und entfaltet auf der Bühne neue, glänzende und anspruchsvolle Kompositionen voll von Zwischentönen und Überraschungen. Seine Musiker spielen am Limit und übertreffen sich selbst beim Spiel dieser zum Wettstreit angelegten Stücke. Die geteilten Freuden und Emotionen sind auf diesen Live - Aufnahmen deutlich zu hören nach dem Motto - „Vor Publikum kommt das Wildeste und Drängendste am besten zum Vorschein“.

Hören Sie als Ausschnitt aus der groß angelegten Komposition „Encore“ den 1. Teil (6:50) mit dem Tenorsaxophonisten Julien Soro als Solisten.

Michael van Gee ping machine « Des Trucs Pareils » — Sortie : 2011 / Neuklang h é l i c on

• „CHOC“ Jazz Magazine • égazz & L’ & p égazz a l e • „DÉCOUVERTE“ Jazz News • • Disque Élu Citizenjazz • agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod Jazzthetik (MENSUEL) — 11/11 f ono orum ( MEN S UE L) — 12/11 jazz’n’more (MENSUEL) — 11/11

stereo (MENSUEL) — 12/11

Jazzthing (MENSUEL) — 09/11 http://diekopfhoerer.eu/2011/09/tontrager-der-woche jazz zeitung — 08/11 -ping-machine-%E2%80%93-des-trucs-pareils/ Die Kopfhoerer (web) — 09/11 S. 16–17

S e i t e 16 dvds, bücher 4 2 011 jazzzeitung b ü c h e r j a z z ze i t u n g 4 2 011 S e i t e 17

d v d , n o t e n en (!) ausgüss hen - nSie, mit Küc Sben, Stö tikrohre t Stä pielen un Plas rn , mi Flip reinige Zei- S Stäbe, Stöcke, Stühle er lied... S it gen, m tten eu fnahme und Toile Feuerz sion-Au tik hältern, he Ses Akus PlastikNeuesbe vomlen, Dosen, Jazz-Büchermarkt usätzlic unter der cken, sketbäl Scheffner z etwas rlich hlen, Ba samt Das world music label Neue DVDs – durchgesehen Sum- am Tenor von atüJoe VieraStü lltonnen Phillips tungen, Mü e der jazzwerkstatt V beeinträchtigt n keiner Tom Nola es n eu Aber das U in n: Threer gibt C hords for Beauty Kenny Davern & Bob Wilber leidet. eils der D Tüten, mit Fässern undied e ’s gang zu bereits etablierten The Hauptt ativen SakImmer w n witzige Musikern und stand mehrere ert des in form keln… e – The Lifkomme of Arte ie Shaw, W. W. Jahre. Er selbst fungierte mit 1994-1996 VD-3 den W Dec Dazu machte Aufnahmen mit Wingy Vinylarchi huNonrtongen. & r der Manone, als Gastdirigent und MC ml 7001 Sonderlob dem c C RECORDS ARD enny Da- e. Ein rras o. Newdenen York/ eineLondon, 430 R … ARBORS beiteten K Weis Übe gen, bei e- ed Norvo und Frank Trumbauer. 1978 ar g SeitEinenla e besond Man stelle sich vor, Art 973 bis esetzun klet ! szenische ” ein Der 2 ie Shaw hätte An- Von 1 mit einer B e Boo enseiter die 4. Mai 1936 brachte einen W on Wilber obei si rec. sDe „Außr Streit, wer wie ende- fang der 60er Jahre wieder zu terin“ v en, w Hal l/ acht al tdeernnessant, nun der größere Kla- punkt in üben ange- pe vern und Bob axophon ehr in leben- seiner Karriere. Bei einer „Die Trom Ge- ns e w ech- Carnegie rin spieettilt.st S war, Benn ierung Veran- fangen und ein neues oman der zwei Sopra tt re Rolle ythmiys Goodman oder Artie staltu Ensemble gegrün- er den R von zur Klarine Count Basie at die Rh - sie ng namens „New York-s First W und ch och ein- , Sarah Shawh, ist müßig rhöht Swing det (Artie Shaw Conce y gelesen hat, war vonnnen d , und n 1981 Klänge durc dem. Je übeder von beiden hatte Music C rt Orches tra) mit ckie Ka , spa gelegentlich au mit) ny 20.3. und z u oncert” trat er mi t e iner Ja - – Ken Williams, Tony Bennett seine S tärke ck. STOMP Rhyth- Arrangeuren wie Gi l Evans, cher fasziniert lappen eunion) Joe Benson dig werden n,nd A Ausdrurtie Shaw den voller en Gerry Mulli- selten (Soprano Summmit R uf mit ge u n Zu- musgruppe plus vier Streichern auf und schichte si Jazz-Feeling. Im K die (Su ganz a und Geor Ton,e nvo Tier alfel herige gan und George Russe e am ich l ab 1990 dann aughan bekomm em inder de vr oroberen Lage, Benny l. Es wäre ein Kapi- ehr nah t, dass s ma aber ält V Tod aus nd spielte sein „Interlude in B- s erwähn Mu- rte sich it enth DL019D Basiers Goodman1991 flat”: ei ne tel der Jazzgeschicht zwar n des ‚ zentrie Ze hre vor entstand mehr swing, vor allem be-i sehr e entstanden, das es ext wird e kon ie- INSPIRE DV drei Ja m. t d er beiden Gründer u ungewöhnliche Bes etzung und für die t vom Leb er Aus dieser h guter For schnellrbeien Te leider nie gegeben e Autorin ließ, ab K larinette. Aufgenommen sammena mepill. und Steve McNicho hat. Zeit genug hätte englisch rieren die Titel mit vier versc end Ba nd in sehr Cressw on (Eng- damalige Zeit ei n sehr ung ewöhnlich inspi Leser 14 e währ sich die en (e rkrankt) eArtr Liueke S haw wa n Bright er Artie Shaw gehabt, auc Tipton‘ gsten nsere DVD a ll zeigt Gre Leit r oh ine Frage ein glänw - h später. Er wurde sikers Billy weni u usgruppen, reddie w ar Titel. Er bekam viel Zuspruch, Tonträger der Woche: - da außer w ohl die To n Mat Dom- ohne F aber inzender einer MStreetusiker Band nem Intervie dem 94 Jahre alt und starb am 3 pauL brody composition, onnten dem denen Rhythm rtys vo Gewiss, liches, , las len, in ab eier kein g eduldigerg das A 0. Dezember das k ch als 1989, - Jazz”-Pa ORS wesent d drive e e rzäh icklun ngebot d es Agenten Tommy R xopho of 89 A RB e etwas g un Mensch, wie und Entw ock- 2004. trumpet, programming vollziehen. Au ier Sa der „March r 19 fehlt orme swin r land). Si seineept Karrierebrücheit t unde wel nach Tipton, v men, de den der en de usschn l, seine Big Band zu managen CHristian dawid clarinet, bass clarin lly pton enom . Die bei noch Tempi, sevonine u ndsiebe über Konz kurze A – wenn Tom No lan hat ei n et e Billy Ti ber aufg hatte immer mittleren da n gibt Ehe nes zeigen . So nst hätte bemerkenswert ein- desjahr von Bi ppe „Th n ründet den azu ge- . Dazu auch er d enn e ine hätte. Zög ernd CHristian koeGeL guitars re Gru te S geg chen Einfäl- m in die d erSh naowch 1 rungen und willig te er fühlsames und hoch nen ih artet“ nann RECORD melodis vor alle ng, der 954, al Auffüs erh sich mit nur 44 Jahs - informatives Buch nistin e Qu x n mit em semblekla erstklas- tra, da ein. MiCHaeL Griener drums on ons Sa nze makellos te En os, die renPr ausoben der und Musik zurückzd O rches geschrieben. Sehr e Saxoph ipt Bläser glä nz und kompak äsersol t aus Foun og, noch seres mpfehlenswert. jan roder bass Marti Memorial Brilla diger den Bl ch in größe hr Zunächst arbeitete er mit n LiLLiCH bass nur noch „The T le origi- hnischer en e die es ni vielesber das e Lost & den: e einer K ombi- wischen her vie . Diane Wood len, tec Wilber als wür nau pass s, ohn - ü rreichen können. Aber er hatttege zu- (inz egen piel: Bob echet, angement rojekt der bei elbs nation v on Bläsern und Streichern m d ieser hat geschwi von Billy ney B n Arr r, sondern über nhoeueshe Atenspr P Teil a uch s , mit Max Wilk: They’re artet“), fanden das sic waru amilie das Leben Zusammens ehrers Sid - sige te üche anm s ich selbst und fühlöte- playing our song - Qu kaum, es F über ge- eines L ach un asie-Orches e – und das zu Tonh wenig Erfol g. E in Jahr später ten aber t ook hat s Busch olger s r kein B s gäb sichEnse imble,m Sho wbu definierten machte Conversati Tipton ha iddlebr nte Nachf mer noch vielf . nu Big Band - siness nicht wohl… h die ons with America’s Classic ml 7002 nell, wuss de. Billy h- M r interessa chen rn – im usiker oßen Fills Mini auc er dar aus ein normal be wur hic in seh euts y Dave diger M keine gr und Erbaute Instrumente mit ns sind setztes Orch e- Songwri gewählt nd die Gesc ipton e in e iner d Kenn haupt Solos wurde am 23. Ma i 19 10 in New UT ters, Da Capo Press New Name n u T auch als ei genstän Sweet- dessen beiden rwendet. Übrige MP (OYork ster. Aber e s dauerte h gegebe Lebens , das hätzt – ’s sie selbst, ein die hen v e von STO noch e in weiteres York, r wirklic seines ben en ist. tersc Ba e sind. All geboren. Der Vaahmeter nstammte aus R der 294 Seiten abe te n- schrie rschien Solos in „Nobody tere low Tone” n Aufn ssette inus- Jahr, bis er mi t Auf als abe e e nug. Wei -Meisterwerk a Mel frühere Videoka nahmen wie „Bac k Eine hervor mehr Übersetzung e schon erwähnt, Allein ihr chon ge l atur von „In Da sland, di e Mutter ausals Öster reich. Er bhee- n) ragende Idee, aus zumeist ist n a- eisen s o), „Al itzen. - BROOMS, Bay Shuffle” und vo r n gibt es, wi Trio, die ” bew ios ten Chorusse bes gannLOUD i 1999 besproc allem „Begin th e persönlichen Kontakten teuerlich. Immerhi pton heart dustan” (fur letz se DVD zu - mit e inevomm MC-Melodya -Saxophon,RNER heraus ein B uch ind Hin wert, die die Span tung lich (WA Beguine” Ben ny Goodman zemver LPs vom Billy Ti nkte: „ inetten), „Some- d es timing Jazz-Zei erhält Paroli bieten über 28 Am 12. De zwei hren vergriffen s Höhepu Klar sin iles n wechselte zum AlDVDtsaxop hon über -2). Komponisten beziehungsweise. y st 50 Ja mit zwei „As n, wie subt en steiger schen auf 84 24768und konnte. Sein zumeis Doroth seit fa urden. Auch yself” ( o di nuovo), t ma Zerreiß inzwi t sehr juge ndliches Textdicht 1914 als türlich gelegt w by m ” (furios - erleb um ch war 1925 ber eits Profi al s Mi ern z u schreiben, denen w - f uchte my gal „Co NTERNATIONAL 39 tglied v on Publikum geriet in ir Tipton ge wieder au s gebra ngin”) und ung fast bis z iges Zwiegesprä VISION I Begeisterung, wo im- einen Lucille und nie lten al body stole eally swi z n in wit z Johnny Cavallaro’s Band. n großen Tei l des Gr eat American erte s ehr se ind sie ive” („r über gan t Cleveland ive i mer er auftrat , w orienti s ie s as I l Solos kann. Auch e Bassis Stars l ie zuvor be i Goodman Song boren, tauchen enn, dann long höne ine ie und denEi n Jahr später kamme aufry W Allunsch des B books verdanken. Worin lag ihre Be- Ping Machine – Des Trucs Pareils d w lich ehr sc ss e Bas zu and- und e m änn- n auf un in ziem e” (s da en hört später bei Frank Sinatra. Aber er in di e und mes lov . Schade, zwisch s Blues” ge leadeWesrs di eMo Klntgo war deutung? Eine wichtige ehr früh Scheib ucht“ rmonien) Booty’ chten zu- arig 1965nette hinzu. Bald begann – keineswegs die a ber s gebra Ha in „ 9 skeptisch: „The only guy who can /er s ich g ab er/sie sich einfachen Eaton ie S änger bra oner: aucHamburh, Arr , ein- really einzige – A ntwort ist: w Leon sie b 1933 n wirklich „ nd. Hi- e Bens angements zu schreiben.s Beenis eil sie eine über- GurvitCH piano, ung. A a a ten Zusta ys nkten. D Georg SHOTS 286908 appreciate a fine m usician – is another von d chlech Höhepu s auf eJoen CantJAZZor ys in aus sinnvolle Arbeitst fender rhodes liche Richt und lebte e s illy Tipton Pla Glanz, bi l hatt machStarste dieser,er 192 meines8 seine Wisetgomersten r eilung betrieben. , melodica lly sikalisch zlichen arrenspie Die All s M on fine musician“ (S.128). Frank Londo men Bi u L 1534 B . sät it Aufnah n We oller, Entweder schrieben n trumpet, flugelhorn den Na m seine m • TOPS wollen me noch G men (füurfna GENNhmeETT). 1931 wurdeans K sie die Musik o der as ih machte. o ; Dick ren zu r Stim ein e Filmdoku- zigen A us H Am 14. November 1939 tat i M ann, w leichter i On Pian kopie wede s Bonus eie”r .Mi tglie bestehen a Ross, er dann das die Texte; nur we nna vysotska vocal als ichtlich F gust , ohne ihn lung. Al d des C BS-Radio OrchesteRonniers nige wie Cole Porter ta- fens ich schwer (p); Ron Kilde(b) s, Au ört hat sstrah to Count Bas Deutschland fin, in für die meisten Unbegreifli vLadiMir karpar fbahn of s zieml ly Tipton Angele u h der Zeit, wie „You Go Au te New ohnny Grif onnie che: Nach ten beides. Und alle miteinan ov tenor & Lau damal Bil Los rn „A t ribu angaben York, verd iScenteott , gJutes Geld (d R der überlie- tten es (Alibi-) (rec. n Klassike Beguine“ und tion etzungs Ronnie amals einem Se t im Hote soprano saxophone, c uen ha ie w aren eal(dr); Nebe menta ine Bes ichel Gaudry und ie l Pennsylvania ver- ßen sie larinet Fra s ng O‘N ie „Begin The n aber ke für Musiker w egeolan del, Mr wirtsch ng, d das Aufführen denen, die es viel oMar rodr s sei denn, en Swi / Mar Hea d“, öre in Booklet, Martial S aftliBecsehetzun sammelte er di e iGuez CaLvo double bass Jazz, e ich Man To My “, geh Ke eine starke e Band in seiner G ar- besse im den zahlre te 1956) sh T hings he Sun- Depression eine Selte -nhe it), war spielt. Di r konnten. diMitris CHristides dru en in spiel / e Fooli For T r Band. Warum? Stephenson e aruberng mit derobe und er ms, percussion gerinn on • Can‘t Help Lovin‘ Datoli sh Things „Thes Waiting r de Begeist oller klärte s einen sofor tigen Das h Sän ete e Fo for orld Is , ehe seiner Arbeit unzufreier den („They usedst Hans K eißt: Songkomponisten – und- tex rn. Der Pianist Tipt h / Thes aiting he W mit hörbar bei i Rücktritt. Widerspruch - cheste ds u nd gründ / Delila s W auch „T r Columbus“ . ng da le an- war zwecklos. Te- ter Or Ban o, The World I / „Christophe Live the best musicianÜbers inr aschuNew York for some Hül waren hochkarätige Spezialisten. hiedenen nes Tri epertoire MP: große ie auf der norsax ophonist und Sän ein eige What‘ll I Do / o My Head rise“ oder zu seinem R STO KAL 8011 DVD p- enor, w Solos ger Tony Pastor Heut in versc Jahre en he e Titel, Trio ssionosgf truhe worst musi c”,(nich (St. T41)). esten e glauben die meisten Sänger/innen, ml 7003 1950er ers ise / You Go T in T ionell Billy Tipton am Alt er b übernahm die Leitung bis zum Jahre in div The Sunr us / Beg tradit war als - KALEIDOSCOPEenale Perku Sie t einigen d ohl je Ende des sie kön Mitte der zehn La- Columb / wird z nige Duo wieder.Er las viel und wollte m eiigentl nten das alles auch. Ein weiterer für das er atte auch ei Die phänom immer gegeben), ichen Schrit, die ftm-an wEngageme nts. mit dem er über Christoph You / Blue Skies Die Pl aber s rt nur nstrum lal zeigt Nach nd zwei Platten öchte I Had es sind Bas faszinie Musistellek, r werden. Ainesderemerse I So teil: we nn jede r nur sei ne eige uftrat u von m ne / If gestellt, iano und pe ST OMP hen auf d its fandte. eMar Zrtuia-l Aber schon im März 19 nen Clubs a ine da Begui a vor ur mit P g m Möglic t- ren konn lem 40 hatte Shaw ein Son ahm. E ss er am Jazz n, n Stimmun it alle enten, en ihm hö , vor al gs sing t, dann gibt es k eine n llen. Da ielunge die macht m nstrum von eder einmal neues On rchest frucht- bel TOPS auf vorste Stars Fell On Alab 0er Jahren der Einsp machen iel- malen I was von „O er, wes entlich größer als olumne ial en 195 in . Sie das v t nor ss alles, bare interpretatorische Auseinanderse in d West Coast h thalten werden nicht mi is, da seine Weltklasse wi Trio-Fassungd as alte - t- konnte er gen Obwohl und en risten ber tung vollen er wie, und mi t “Frenesi” auch gleich ich in dieser K rau war, Bebop sich r. P u en, a der Erkenntn Gestal er glanz nd imm zung d urch ander e mehr – ei eine F den orientiert ntime ezeichn sprechend ignete in ein et” (u einen n g roßer igentlich sich über kelte, - noch i ch gee in St re ngereneuen, Hit, dem ein halbes Jahr sp e rte entwic Groß Kamin-Musik b erkt man, dur den kann. Dolph m jü ä- Verlust. Denn die Geschicht ken. nd füh rdbop m Swing. icht als rt, m hörbar ist, wer Green te, vor alle ter „Star D e des Great verstec eiratet u zum Ha g a s le h inhö der ng zu Musik tmaß- Leu ust” folgte, nicht zu vergessen l verh - el eindeuti nz eine n genau ragen dnu dieu m uu le nicht erreichen.treffe Als ich B aupt noch nie American Songbooks ist ja au ma es Familien s Spi e Elega ma nz hervor und Zuor der onusn üTrackberhs der „Summi ch eine Er w ar fünf lt Tipton r di s wenn ein ga nis- zugleich auf sie- Nam e ry selbst t Ridge Drive” der Gramerc r hat siche brigen y Tipton sie Rgibthyth emis sieben se sei nen tgome y der zahlreichen unterschiedl ußen ein gerege ptiert). Nu fluss ü ss Bill h sein geheim Dabei stößt Musik: diehr ei ndrucksvolles TitelMon Five”, e n- ichen In- nach a den ado en Ein f der LP (wie L da r durc ge der hung n!). We sammiener „Band in the Band” mit Joh er wur dem TOP S ar, de Geheimnis Anfän mit dem Wes Mon abe Zu n- terpretationen bi s hi n zum (Kind e hat er Wilson. Au heibe: nist w wig ei n lichen Hörbarmac gethörgomeryt h Quartet,per einfektn es ny Guarniek,r i am Ce regelrechten leben arrier Teddy deren Sc Pia cht e e heraus rch ein hmi mbalo (!). 1941 sche K llplat- der an eben ni dass sein Klängen bzw. Monnat zuvo r ticht du klang, Rhyt löste Um- und N eukomponi uwe kropinski acoustic guitars, vocal usikali Scha auf ur Standards lles L ancen, rung von Bewegunge in beLons don aufgenommementanl, er as eren, vor allem seine m . Weitere auch iti- vo Di e C h eröf- Instru ledine –se d Band auf. Eine weite re Ma pfert it Ve r- lt Billy Tipton n os ollte. ls CD v ythmen – aus enundd, al einso S mitüct on Einfäl Beset- durch Jazzmusiker/inne jid bekkas oud, gembri, vocal geo gs m ), spie ne Komp iben s a von Rh ös i k v owni r 196ken7 v aus einer Feurnnd- n und Jazzsänger/ Geheimnis allerdin 1522 f e ige ble einmal r ge- ngen ausl zwe rmonik zungen fasolndlte, ihr En de An fang 19 MiCHaeL HeupeL flut n, die erten htet au thisch uch noch gs seh wegu nsenerhsendu und lodik, Ha er hab 42 durch innen. Max Wilks es aLy keita balafon fnahme renomi verzic ehr sympa tten a allerdin und Be hs Mä ng in LosMe A ngeles mi t einem u Arbeit zu lese n macht tenau und mich s - Pla n, sind n den. Sec VD mit jeder hat od einen Eiunb erufungsbefehl für ih Auftritten in , hat er ihn für de n be werde h den alte verbun sStudioorerer D che l, da s doch vie- n – einen großen Spaß. Er br d wären was in fentlicht ur, n ac Tanz auf un ster. EZies wegzulassen w ärdaes ingt uns diese Gruppe trägen un - onen, ndet auch also n ig zieren pielt, und Monat, nachdem Nazideutschl nden gewesen e wa h ber e r fi bleibt as mühsel en musi denkein u Vnderlust Füßen g azz s and den von Künstlern sehr verbu ss sein cht. A n eigenen Touch ring. Es wenn d Frau it Hän de wesen.der J nahe, ihr Leben, ihr Clubs fahr, da ma ne Musik besen, m ln un USA den Krieg erklärt hatte. ml 7004 Ge m zu fahrung suchen, auch e die gs Schachte Werk, und nicht lehnt. Die ien ih nten Melodien ei r große Er LPs zu räusch Reinigun , mit zu vergessen ihren Hu- abge nt wird, sch ei- kan dass e V or n Nebenge Stimmen Artie Shaw kam z ur Marine und ab ekan mit s spürt, elt hat. d dere d ihren Mel Thorm sol- mor. Pflichtlektüre für ntität b eiterhin und man amm ist un un é/Jimmy Witherspoon/ alle, die ihre Songs re Ide aber w lubs ges utes n sollten. vierte zunächst ein e hart e Grundau ielte führte ein rsen C trübe Carmen McRa sbil- singen oder spielen. ß. E r sp in dive igen sein absol etwas fner e/Lambert-Hendricks- im gro n Clubs, und Tod en ze n Schef dung mit Deckschruppen und äh in lokale einem Ballad äufe lasse anfred Bavan (r lt hat. Das wirkt nlichem. Trio s allem die nden L M ec.1962-64) gespie ine nem ib- e perle u r Jahre Danhacht wie musst e e er eine “ Leben. Erst nach nen we und sein m ge- IDEM J Lauf de g ni c 14-Mann-B and Michael Garrick wi males sei Timing h Art Tatu DVD 10 Im51 an t- th Trevor Bannister: „nor ebung von s er auc tzusammenh leiten, s dieehr für werchterlich e Umg te davon en, das Ei Gesam sondern schlecht war. Auf Dusk Fire – Jazz in E hr sein nd hat vermut , Sammyne gFainute Gu.a.elegennhe it, einige der lung, rd im nglish Hands (m erfu ma erlin rla Stel großen seinec Besches wihwerde hi it zeln. Nie rankte Pa Zur-Schau- n bekam er endlich, einer ne urs prüngliche , chael, Irving B ahren Jaz erkzsänger auch v-isuell kennen rn des Bu ut komprimierten Diskographie), lichen Wur d sei son“ fünf J e körper nd.zul Deerrnen Ke. was er wollte: den un Hud schwer schätze Auftrag, eine erstklas- Sp jazz heute, education, radio/tv,ng on the Alter von g, w asMel Thfarewellormé besticht. durch se nnt: „This book is abowith ringdale Publishing, England, twas bemerkt omi zog ine jungen hip 260 e „C „Straight erlähmun ch sich ort so bena - sige Navyns Big B and zusammen Sake“, tions“, an Kind heafnt en aS Vorw his musicia zustellen Seiten „Brake‘s „Reflec timmef,t v eeinrb-unden mit einer übern and ties a nd Dream“, eeinträchtigung uerha ce Parla - und fürson dieali Soldaten an der Fr s dieser CD ‘s liche B aus souverända Hora azz per es ont zu spie- Michael Garrick FLor P3-Track „Monk C D Hand blieb en Phrasierung.e Er hätteat j wurde am 30. Mai 1933 os FLoridis flute, soprano-, alto s te de r M n D rum- .a. ten rec hte gen, ein se gre len. axophone, clarinet, bass clarinet ne ingespiel Seine auc geh alzwuns Musik all the bout the bright sid.” in Enfield ( Englan niCky seitigen Lis no Chaser“ u ks war er erl zu Karri ere m achenrs k. öItn -is a d) geboren. Frühes In- skopeLitis electric guitar, elec n o t e n gen zu den einzel hwindlig, r hervorragend e zwei Trac eziellen Sti y othe Mit ed ieserworld kamof Jazz er über Hawaii tric 12 string guitar t Übun nem sc Auf d e ls geschränkt; so nnenen sp: in eine man of th nach Gua- teresse am Jazz d okay teMiz drums, el mi d ei en. el in jewei usiker nik, ei m PaStücrlakns b egleitet er sichrk s esihrdes urch Platten und Boogie ectric berimbao, quica, electronic pyramid, Buch wir zu hab ch die Tit Die M ch Musik e da dalcanal (Salomoninseln), wo er of Jazz rührt finden si pielen. eigene Te eiünfühlsamr die - and th sich bei Woogie, mit de metal saw, dümbüka, tal lution mern im Stick be ä- Mits thews isch f am Klavier, in einem ander n pur m er seine Klavierlehrerin king drums, bells, calimba The Evo e einen tionsf nie Ma ckeln. Typ tionen, mit de en einem Bombardement dur ttlieb: Hudson ohn Koordina zum Hören bzw. ), R on entwi mit Akkordeo ch jap anische irritierte. Danny Go noch d u nd eso er (tpt Riley Re-Harmoniesianer Bariton-Ukulelelodie (!), zudem her Kölz: en, Workbook), dul r sowi Sic kl nd Ben eine annte Me nt war Flugze,uge 32 Seiteinen lebenslange nd CD si nd Ge umme sind Don b) u sind s tlicher - bek il- Hans-Gü schuh n Hörscha- Nach dem Wehrd Drumming (A incl. DVD u Hier ( für Dr und wa ( eigen hier leider nilecht St zu hören - a uch s, Holz ienst (als Pilot) begann efragt hi Kitaga er eine ividuel Christmaein den zuzog. Im Februar 1 219 Seiten, h it g beim Suchen (p), Kiyos nen bemer – oller 944 w urde er er, in London bei T ml 7005 Music, isc ck higke d bitte nicht tionen und indkenswerter Schlagzeuger.Jim H eft v anzveranstaltungen ,50 €, engl ich), un “ my entlassen; Tenorsaxophon odds, Chi nerläßl d „Exercise (dr). durch Altera Wiiethert. 12 € Jahreszeit ein te- ist Sam Do na- und Hochzeiten (MP3), 33 auf Baby D u de“ un li- nterpret rspoons Stimn:m „Mye ist (wie die von Jiltem- in h ochin zu spielen. Daneben stu- sich u ig komp Edition neu i e Parla Für d ie ka hue übernahm für e die Band. uen Sie Rich, Louis ds richt ook, kniffe my rte, dierte er engl Fre pa, Buddy ich Zuordnen „Et wir bei- lbin- ographie:Rushi Horacng und Joe Williams) dur Wo tztes In- ische Literatur (bi s 19 59). e Kru zugle seln, sonst enfalls lan: Songb Spira u die Bi c, h ohne und In deunn t USerschäA ar beite bb, Gen llo ( erwech ie eb Horace Par Seiten, Daz e- Noten o ft te A rtie Shaw mit 1957 g We y, Joe More vin v itenflut. D hlag- 67 Book“durch Blues-geprägt. Da zu pas es u nd sich da- ründete er sein erste s eigene Blake , El 22 S c le brown ressst,an t da ss neuen Bese Wertzungen, zu den s on, Art y Gottlieb) ert in der Se it Wilhelm Hansen, glisch litt hes, angenehm zu l t deon. en zeitweilig Quat Bells - zi eigt C lips m n little zum Vince Guaraldihn Triis iso, das rdem eine ett (Vorbild: Mo dern Jaz z Quartet). Autors Dann in Wieder D VD z bes prochen , ca. 17 €, e arlan: My u ngewöhnlic sverzeic stihrunment: beglei das- Aku.kora. Anl t C ohaun,ße Zoot Si r des v.a. E gelegte Buc h dung ace P Ein Inhalt t, k en teilsms, Dodo Marma- Schon damals Lehre nette u. im ich: Hor art, 220 uch. Dteast, noch Be n Wmebsterengrup hinz- u schäftig strebte er nach Original k DeJoh ößen des (die auch z.T. echt hi- erhältl Sax ndes B The kommt,mit b e der rosa undssp rachlBarneyichen, ität Jac eugern n sind Dazu ography, se r mgang Kessndenl gehö rten. Da- Jones, mit den Gr m- z ufnahme her – a Bi € eauczügeh znwei und Tite l alleinejede mi l a n u . Zu fi und schrieb auch Stücke für Joe Buchform D ru . Die A kustisc ebensb raphie t der RVielzahhythmus- mit warung er e beni Harriott in b hat die werden) er a brown Book englisch, 16,99 - nach L iskog chreib m Beb linopg, a ngelangt und sehen tlie sprechend chub A5, und Bi iert, g erupine p De spielt, daruntentsrpre die- Ums der/K und Shake Keane. ing. Got „... musi- mit ent Eins n, ca. DIN book sort h dem e wundoriginellenerbare vieles Jaklanhre wie rumm ge nach storisch glicher Seite us Song pen os Alle g sehr üb erzeugend (siehe Jazz D a e tisch-klan eug- aket a tag des ndet S sichtray nhoacrn-Ballade s“Chelsea/w-Fot Titel 1959 folgten erste Aufnahmen (1 eigener Auss nsider th op Schlagz Doppelp rts ase fi ntische Bridge”.sind d Dieer dazu etwead ley zusammen- 984 ver- laut itors co Patina. Ein s Ein . Ph . Authe ay- die Aufnahmenn v on 1949 au mer e ed hi- en Zeiten de .u.) zum 80. Gebu 1931) apiBteeiltrag von Carmedan s L n (als Kurzm z-Variatione f öffentlicht). Se in In teresse t I and th ith the passiv ie (s an (Jg. n K lockern McRae ist G dlöeckcher Hö- LIMELIGHTd, Jaz an Lite ratur s tha für die ograph arl chende ngen Navida 820817-2). Abeh,r es ging Mesut Lekesiz cian associated w ace P folge abhepunktbildu der D in den nnte „A ihm führte ab 1961 zu zahl saxophones, clarinet, bendir vators Schmöker isten Hor er wa r in d Cover VD. Sie ist in großerge pFoackrmt),, Felizauf eka reichen Konzerten Hub HiLdenbra nno Jazz-Pian sik un den Leser tiefer . ondie Moz Nerveartn b, immer no “, nd electric guitar, main i ählt. Ein - Übens. ische Mu allem ebelassnsen uchen ch v ch jeden Abend mit „P oetr fretless classical guitar, fretless m rikan vor nd o ihr Trio mietint Naorman r das au Let it snow y & Jazz ”. A uch die V jazz“ ausgew Nicht-Trom 10 time- e ark out auf u itt Simmüboens p, „Beginm than“,e B egui „ erbin- acoustic octave guitar diMitris CHristides dru story of er als Der am nach Dänem ak- abschn ng von i-je, Ma ne” s p„iStielenlle zu m üssen dung ms, percussion n (od einen onk Classics – mzugs zzszene llen LebensVictor Sproles b uflindst uWalter s dir a still“, religiöser Musik mit Jazz be , die nebe auch lonious M e Jazz eines U en Ja aktue rt der Au P erkinvous dm. (irgendeiStill,ner st ill, n- schäf- für alle elen The s nisch doch die A t nac h , „ war immeund „Wir im Publikum, tigte t) dem Spi die n der dä je ssantA isucht ihr e P hrasierungetrenn ist bestec ta Claus“ Song“ ihn („Jazz pr aises”).Neben r: sta t k über ed Tunes (aus der Reih Intere „Sanhend, der sichist dimas e seiner ler ga Überblic honor ab 1972 i tionen kannten ok itionen: g utor eses Stücckh riwttenünschte), u nd ischen alten , Vol. 90), Hal Leonard,17 €67 Koopera Songbo Komposihre Sti mme k raYeftvaollrs“. A „The Chr fortges wachsenden Bedeut ung a ls K histor ng erh .), ca. , seine . Das Parlans opean und b erührNacht“,end. er w ollte n- omponist ml 7006 ersten Drummi play-along tiv enzen ead ur ge l ieber auf K onkozertrdaen auftr eten des Jazz , ni cht CD (76 Min Ländergr die als L ars“Si eund spi „Eelt zum Schluss eben darf aber s ein K lavierspiel nicht ung acht b und C sowie ine men, „US ye ine sehr lan fal-ls Klatervier, Wonde alrland“.s bei Fürxte, mit Ak rte üb er- Entwickl aufgem Seiten, incl. Bb , E el ke el zusam verbindet e e ha LiedTantezveranstaltungeefächen – doch mi axisnah gu ter te in der Tit Barlefodider nur sehr k r; beid ler, ohne breit g t sehen w erden: imm er k lar r st je rägt ca. 50 Tit iert sind. Verein- Hans Musikeurz. Da h ätte manS bpeies- dies ch strukturiert, möchten. P rocknet, ein Für Instrumen . Deshalb i n t not ) t dem in fast estmilis Wunsctis h w ar ertlerweil 20 Jahree zu früh lich v ert e The- hlüssel poniste für Könner e ( englisch dschsearft d meni A uftritt ein Jahr Die ist mit voll rhyth mischer Spannung und aft ander c om lzitat Freun ezuvon Lambert-He ndrgaickbens- . dran. u Ph an- wissensch oder im Basss ten und K l Sheets ug. über nah ungen 1952 erschien seineh r A zutobio rteilt in nis ma und Origina s BBuchavan kürzen Begegn „Akkordeon pur“ orden, me gra- tasie – se inem g roßen Landsmann Stan ieg, um das eine n. Unte ebop-Pia sächlich vier e Fotos ben da können, die leider nichtReihe die gew . Einst efe des B hier tat - zelt n persönlichen Bez en Gesprächs- phiaengreich m it dem b ezeichnendewnww Titel „The dig zu verti 1982) reichen de Stücke enErwartuntlich ge anterweise be- ht u mf Tracey durchaus ve lbstän ard Bop. bis eets für fortge nterst ich nicht nur wöch n tererfüllen,ess die man an- diesesrec Ausgaben unter rgleichbar. 1975 bis ma se d Bebop & H (1917 Lead Sh u n s ssen. In n Vor trouelblenen with Cinderella – an wing un aufnah- Die mmen mit book finde ehbeenrühmt la e m kurze z outline of 1977, schon läng zz, S ent n zusa Im Song tiert auch Melodien entst Gehsa engstine rio stel len k ann. deYo-n ein de. st etab liert, be suchte Early Ja os, Mom abgedruckt. r biete um präsen sei- ac it einer identity”.g. 1954 beendete er he F ot ypische sike erial, lan, er im Lauf dalans d Beuch n text m lzschuh-verla seine Karrie- er zweimal das Berkl ahlreic Text, t rittene Mu smat Par die ihn ginnt Bavan, diHae upNatchfolgerin von- Annieho ee College in Boston Die nachtDazu z hischer sch s Übung en Dvon isten, er und d em berGitarrire und widmete sich for sten ap m n on tet vor tan seinen Frau r zu jed e intensive die eige rer Komp beglei t uRnosds, ist hörbar fgeteilten Ü Monika Krämer en („Americans work harder, n, musikbiog gen der CD itionen ande t und wor en a übu erford ert, un d Pony und s so they get me Ü bun m Fähig- beeinfluß rag zum Parlan im einen Freunden, interessierte si iele und eten Kompos chen arriere Poindexter, de en ch better q uicker” (S.93)). eisp Tipps rund u an konkr ner K ri nach Instrument rmit z um den B egleittrio h inzu- für P Er gründete i m- Notenb mer. ne sch-musikalis infach r Musiker, olitik, las viel, lebte eine Zeitlang in ten Drum allgemei e igenen anerkannten Beit kommt, hätte besser Al mer neue G ruppen und w stilistisch-techni ihren e sicht jene t (sein Haupt- Spanie ar ständ ig am roMeo sCaCCia vorgestell Hörtipps, n, handelte mit Filmdrehbü chern, piano / koCani orkestar ausdrück- instrument) s tatt Sopr Schreiben, bis heute. Seine Aut das Thema Auftritt, e die keiten zu verbessern.tritt Oder mit um einem span- Jazz geleistet haben: Miles Davis, Dimit an gespielt. Aber übernahm kleine Rollen in T obiografie uches en Auf A nge- V-Filmen und steckt voller Gedanken und Geschichten. den nächst fzuwarten. Tiomkin, Jimmy McHugh, Hoagy Carmi- wegen der anderen drei Gruppen ist Übungs-Hinweise sowi für die- gründete 1983 unter se se DVD inem Namen eine Wenn man damit durch kundig ab. nenden Repertoire au sehr empfehlenswert. ist, liest man das liche Definition deso k“Ziels dieses B neue Big Band, deren Leitung er dem Kla- das „Workbo Joe Viera Buch am besten www.records-cd.com gleich noch einmal. runden - boten werden die Songs „Ask me now“, rinettisten Dick Joh der mehr nson übergab. Sie be- Joe Viera Beigefügt ist eine CD mit umfangreichem Paulo Morello, HelmutÜbematerial. Beim Anschauen Kagerer, Andreas Dombert und Stargast Larry Correll auf einer CD

Wenn sich vier Jazz-Gitarristen zu reichen Spannungsbogen für den Hörer Hommage an den Saxophonisten Eddie ben. Vor allem sind sie hervorragend einem Quartett zusammentun, kann ergeben – ob er nun besonders Gitarren- Harris – beruht motivisch auf dessen aufeinander eingespielt. Kagerer und dabei leicht ein Album herauskom- interessiert ist oder nicht. Stilistisch hat „Freedom Jazz Dance“; „Tender Tears Morello sind vielleicht etwas mehr im men, das sich nur Gitarren-Nerds an- das Album alles zwischen aufwendig Theme & Variations“ klingt nicht nur wie Bebop-gesättigten Jazz-Mainstream zu hören möchten. Paulo Morello, Helmut arrangierten Standards („Like Someone ein Streichquartett – es war ursprünglich Hause. Dafür wartet Andreas Dombert Kagerer, Andreas Dombert und ihr in Love“; Arrangement: Dave Plate) und auch als ein solches komponiert. Außer- mit einem tollen Ohr für neue, im besten Stargast Larry Correll ist das Kunst- Larry Coryells durchkomponierter „Fusi- dem gibt es von Larry Coryell, dem Kom- Sinne poppige Klänge auf: Etwa im träu- stück gelungen, das Gegenteil eines on-trifft-Neue-Musik“ zu bieten. Da gibt ponisten und Solisten, noch einen leb- merisch leichten Instrumental-Kammer- solchen Albums aufzunehmen. Wes- es amtlichen Gitarren-Bebop in Close haften Gefängnisausbruch („Jailbreak“) Pop von „Koala“. Coryell wiederum hat mit Nylsonsaiten über halbakustische halb? Weil sie sich nicht ausschließlich Harmony-Arrangements („Tadd‘s Delight“ und eine weitere, sehr schöne Version schon lange nicht mehr so gut geklungen Archtops bis hin zur Acoustic Steel String. auf ihre gitarristischen Fähigkeiten und „Cookin‘ at the Continental“), aber seiner Solo-Bearbeitung von Maurice Ra- wie auf „Night of Jazz Guitars“, einem Hervorragend abgemischt hat dies alles verlassen. Die nämlich sind – ästhe- auch brasilianischen Chorinho – Jacob Do vels „Bolero“ zu hören. transatlantischen Projekt, das damit an- Joerg Mayr. Wer sich jemals mit nur einem tisches Paradox! – sekundär für ein Bandolims wunderbare „Noites Cariocas“ Jeder der vier Gitarristen steuert soli- fing, dass man sich gegenseitig über You- verzweifelt klangnarzistischen Gitarristen Gitarren-Album, das tolle, spannende – zu hören, bei dem die Gibson-Gitarren stische Glanzlichter bei. Besonders ein- Tube „auscheckte“, um in einer gemein- darüber unterhalten hat, ob er nun die- Musik und keine Gitarristik als Selbst- auf einmal hell und klar wie Mandolinen drucksvoll ist Helmut Kagerer mit seinem samen Live-Tour mit anschließendem se oder jene aus einem halben Dutzend zweck bieten möchte. klingen. „All The Things You Are“ löst das an Kosta Lucaks angelehnten, Flageolett- Studioaufenthalt zu münden. verschiedener Abmischungen verwenden Quartett in ein kontrapunktisch struktu- reichen Intro zu „Like Someone in Love“. All das würde nicht so gut – und das heißt soll, wird ermessen können, welch im- ichtiger hierfür sind ausge- riertes Kollektiv-Solo aus sich überkreu- Larry Coryell wiederum glänzt mit Lega- bei vier Gitarren vor allem transparent – mense Studioarbeit hinter dieser begei- feilte Arrangements, Kompo- zenden Lines auf – in Andreas Domberts to-Figuren und nutzt Morellos Einladung, klingen, wenn alle vier ständig ihr Lieb- sternden Quartett-Aufnahme steckt. Wsitionen und stilistische Viel- Arrangement lassen aus der Ferne der am Ende von „I Think It’s Too Late Now“ lingsinstrument, eine Gibson L5, spielen Claus Lochbihler falt – der Rahmen also innerhalb dessen Jazzgeschichte Lennie Tristano und Or- über einen e-Moll-Vamp sehr gekonnt und würden. Deswegen wurde bei den Auf- sich virtuose Soli und hohe Gitarrenkunst nette Coleman grüßen. virtuos alles zu spielen – außer e-Moll. nahmen ständig gewechselt. Zu hören CD-Tipp sinnvoll abspielen können. Und in dieser Eindrucksvoll abgedreht und technisch Im Kern sind sich alle vier ausreichend sind deswegen in verblüffender Klangviel- „Night of Jazz Guitars“ fea. Larry Co- Hinsicht bietet „Night of Jazz Guitars“ extrem herausfordernd geht es in Larry ähnlich und doch individuell genug, um falt – zwischen elektrisch verstärkten und ryell, Paulo Morello, Helmut Kagerer, eine Überfülle an gelungen Einfällen, Coryells labyrinthischen Kompositionen ein gleichermaßen homogenes wie ab- rein akustischen Klängen – unterschied- Andreas Dombert die als Ganzes einen abwechslungs- zu: „They Loved You More In Paris“ – eine wechslungsreiches Statement abzuge- lichste Gitarren: Vom Klassikinstrument In + Out Records 77108-2 Ping Machine ist eine französische Bigband, deren critics choice Sound äußerst experimentell und dennoch zugän-

Martin Hufner, Taktlos – glich geraten ist. Man denke an Magma aber auch an das Musikmagazin von BR und nmz Stefan Schultze – Large Ensemble: Run (Double Moon Records), 2011 traditionelle Bigbands aus Amerika oder Deutschland. 1 2 3 4 5 1 2 3 4 5 1 2 3

1 2 3 Nicht zu Unrecht hat im letzten Jahr Stefan Schultze den WDR Jazz- Nils Landgren Steffen Schorn s Achim Kaufmann Howard Alden – Helmut Nieberle Preis für Komposition erhalten. Mit Dennoch ist der Sound hier stark am französischen The Moon, The Stars And You Universe of Possibilities Verivyr jazz guitar stories dem „Large Ensemble“ hat er die ACT 9505-2 Jazzsick Records JS 5044 Pirouet PIT3057 Bobtale Records BT 042011 Musiker gefunden, alles Bekannte Zeuhl orientiert, brettert aus den Boxen, ist aber nicht Was war „Paint It Blue“ doch für ein fa- „Quack quack – quack quack quack Nichts ist Zufall, die geheimnisvolle Zwei Cracks, ein deutsch-amerikanisches der jüngeren deutschen Jazzmusi- moses Statement! Da behauptete in der quack!“ Will hier jemand seine Höre- Struktur gefallener Holzstäbchen auf Gitarrenduo, das entspannt und spiel- ker-Generation, um seine musika- zweiten Hälfte der 90er Jahre ein hier- rinnen vergackeiern? Ein Ei legen? Ein dem Cover so wenig wie die Musik von freudig 14 „jazz guitar stories“ auf zwei lischen Streiche in die Tat umzuset- so pseudoreligiös, wie man ihn von Magma und Co. zulande noch wenig bekannter schwe- dickes, womöglich? Mit einem mageren, Achim Kaufmanns Pianotrio mit dem Is- siebensaitigen Instrumenten erzählt. Ho- zen. Packende, seriöse, kalkulierte discher Posaunist, Funk wäre auch eine verhungerten würde sich Steffen Schorn länder Valdi Kolli am Bass und dem Ame- ward Alden ist ein bekannter Instrumen- Big Band-Kompositionen. Das klingt skandinavische Erfindung, und machte auch gar nicht erst abgeben. Aber nein! rikaner Jim Black am Schlagzeug. Ganz talist, der sich durch seine Zusammen- neu, erfrischend, quicklebendig. kennt. Anstelle der repetitiven Gesänge treten Bla- seine Sache so gut, dass man ihm einfach Kaum ist das angsterfüllte Gequake leise zunächst, fast unhörbar entspinnen arbeit mit Bud Freeman, Ken Peplowski recht geben musste. Hört man nun „The (welches Instrument muss unbeantwor- sich aus ersten Tönen eine Melodie, har- und dem Posaunisten Dan Barrett einen Bert Noglik, MDR Moon, The Stars And You“, könnte man tet bleiben) beendet, setzt die fröhliche monische Elemente, ein rhythmisches Namen vor allem im Bereich des Main- Michel Portal: Baïlador (Emarcy/ sinstrumente und diverse Soli. Das titelgebende Stück daher richtig nostalgisch werden. Denn Jagd zwischen Kontrabassklarinette, Gefüge, vielgestaltig, fein ineinander ge- streams gemacht hat. Nach seiner Über- Universal Music 275 376 6) dieser Nils Landgren hat kaum noch etwas Flöte, Altsax und schließlich Drums ein. schachtelt, mit Impressionen spielend, siedlung 1982 nach New York hat der Er zählt zu den Wegbereitern eines mit dem Jungspund von damals zu tun. Bläst sich in gieriger Hatz durch Dickicht, aus deren pastellfarbener Grundstim- Kalifornier mit Red Norvo, Dizzy Gillespie, Jazz mit europäischer Identität. erstreckt sich auf gut 30 Minuten Spielzeit, klingt frisch Sicher, es handelt sich bei seinem aktu- Unterholz und mächtig groovendem Ge- mung immer wieder kräftige Signale he- Joe Williams und Ruby Braff gespielt. Vor Doch während andere in abstrakten ellen Album um eine Balladensammlung, strüpp – bis die Ente ihren letzten, hei- rausstechen. Kaufmann will Konsistenz 20 Jahren veröffentlichte das Concord La- Klanggefilden forschten, ging es und lebendig. Ping Machines Album Des Trucs Pareils das, strukturell an ein inhaltliches Motto seren Seufzer tut. „Der Wildbotz“ hat und Klarheit, weiß dabei, dass Ordnung bel ein Duoalbum, das der Gitarrist Geor- dem Klarinettisten und Saxopho- gebunden, Lieder zum Thema Mond und gesiegt – und mit ihm der musikalische nur sein kann, was der Freiheit Raum ge van Eps, Aldens Lehrer, mit seinem nisten stets um die sinnlichen Quali- Sterne in wechselnden Besetzungen prä- Humor des Professors an der Nürnber- gibt. So ist das Trachten des Kompo- 33-jährigen Schüler auch auf zwei Sie- täten von Melos und Rhythmus. Mit macht einen heidenspaß und sollte definitiv in keiner sentiert. So gesehen hat es konzeptuell ger Hochschule für Musik. Neben dieser nisten darauf angelegt, gestalterische bensaitern eingespielt hatte – Thirteen „Baïlador” beschwört er Gesten des wenig mit dem satten Sound und kernigen köstlichen kreativen Humoreske, die in Kreativität freizusetzen: „Können wir un- Strings. Tanzes, Momente der Meditation Esprit der Funk Units zu tun, deren Kon- ihrer pulsierenden, 40-sekündigen Kom- abhängig voneinander phrasieren und Jetzt erscheint die in Abensberg im Bob- und das Feuer der Ekstase. Mit dem Jazzsammlung fehlen. zerte inzwischen zu einem Markenzeichen plexität bereits das musikalische Konzept dennoch an einer bestimmten Stelle zu- tale Studio entstandene Aufnahme mit Trompeter Ambrose Akinmusire niveauvoll partytauglicher Unterhaltung von Schorns leuchtfeuerndem „Universe sammenkommen? Ein Tempo andeuten, dem Regensburger Helmut Nieberle, der und dem Gitarristen Lionel Loueke geworden sind. Und doch ist es Landgren, of Possibilities“ offenbart, beinhaltet das aber auch dehnen, strecken, stauchen? sich ebenfalls schon seit vielen Jahren mit versammelt er Musiker mit afrika- der seine Posaune oft zur Seite legt, um neue Album mit „more cowbell“ oder „wo Das Ende eines Taktes ist zugleich An- dem siebensaitigen Instrument beschäf- nischen Roots um sich. Der Pianist im Kreise internationaler Stars von João kommt denn des her“ weitere launige fang des nächsten? Kann man ein Ding tigt und es zur Meisterschaft gebracht Bojan Z schlägt die Brücke zum Bal- Bosco bis Joe Sample und alternierender Statements, die Raum für allerlei Gedan- gleichzeitig auf zwei verschiedene Arten hat. Wenn Alexander Schmitz in seinen kan, und Scott Colley am Bass so- Subjektiv : Ensembles vom Quartett bis zum Sym- kenverknüpfungen bieten – zusätzlich hören?“ aufschlussreichen und wissenswerten wie Jack DeJohnette an den Drums phonieorchester mit sanfter Stimme die zu den ganzen musikalischen Verflech- Die Antwort ist unzweifelhaft, wenn Linernotes meinungsstark feststellt, dass bringen das Ganze zum Kochen. ••••• Melodien entlang zu kuscheln. Er hat sich tungen und Obsessionen. Das Konzept drei herausragende Musiker so hörbar die aktuelle Aufnahme, die berechtigter- sanfte Lieder von Kollegen wie Cat Ste- der hochkarätig mit herausragenden konzentriert sich einlassen auf das ge- weise auch „fourteen strings“ betitelt Beate Sampson, BR-Klassik Jazz- vens oder Henry Mancini geborgt, sie um Solisten besetzten Band ist offen in viele meinsame Erleben von freien Räumen, sein könnte, „…das Zeug für eine kleine, redaktion eigene Melodien ergänzt und daraus ein Richtungen, Samba hat Platz, Groove so- auf das filigran erhörte und erspürte Ei- große Sensation vor allem für Jazzgitarre- Ping Machine: Des Trucs Pareil Programm der Nachtgedanken entwickelt, wieso, kammermusikalische Ideen mün- gentliche des Songs, mal kristallin und Aficionades beiderseits des Atlantik“ hat, (Neuklang NCD4059) das sich in zwölf Etappen akustisch an die den in kühnen Improvisationen. Anklänge transparent, dann von fast irritierender dann steckt da tatsächlich ein Stück her- In der Tradition von George Russell Objektiv : Seele schmiegt. Das klingt so freundlich, an Neue Musik erweisen sich als geistige Konsequenz und kaum nahbarer, kni- ber Wahrheit mit drin. Das musikalisch und Bob Brookmeyer schreibt der so versöhnlich, so wunderbar professio- Scharniere, womit bisher unentdeckte sternder Spannung, rätselhaft wie der komplexe, exzellente Album eignet sich Gitarrist Frédéric Maurin für sein nell vom Arrangement über den Sound bis Türen aufgestoßen werden. In Steffen Name des Trios, das ganz gewollt un- vorwiegend, wenn nicht fast ausschließ- 14-köpfiges Ensemble Miniatur- ••••• zur Verpackung, dass man sich fragt, wo Schorns raumerforschendes Universum terschiedliche Assoziationen freisetzt, lich für Aficionades, denn die beiden aus- Symphonien in Jazz. Spannende Mr. Redhorn geblieben ist, der einst der einzutauchen ist eine abenteuerliche, ohne solche einfach dem Zufall zu über- gezeichneten Musiker schwelgen vorwie- Musik jenseits des Mainstreams! Jazzwelt den Funk blasen wollte… gelegentlich atemberaubende Reise. lassen. gend im eigenen Saft ihrer Meisterschaft. Ralf Dombrowski Michael Scheiner Tobias Böcker Michael Scheiner Seite 13 » Sendung http://o94.at/radio/sendung/klassik-um-3/1153344/ radio ostfriesland — 16/10/11 http://o94.at/radio/sendung/klassik-um-3/1153344/ orangeLIVE (94.0) STREAM – Zoom — 28/09/13 NACHHÖREN jazz corner Über ORANGE 94.0 FreierRadioBeitrag Kontakt Partner_innen Presse Suche 19:05 Uhr ORANGEklassikum 94.0 » Sendung um 3 http://o94.at/radio/sendung/klassik-um-3/1282006/ samstagsRadio » 15:00 - 16:00 Uhr Orangerie » Ausbildung »

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SONDERREIHEN. ]+$5("63")I+""J&:?++*+$B&'%?"&K8J*%$&3"6&L*(E(8&K$3<<+$.&M873&@%<<#&"%>?&6(+&9M&6+; & E%" & '877 & 3"6 & C8;# & @*8;;(;>? & 8"<3#+"6+$ & P8$<%"(+83CC8;;3"). & G;& & +"#;#8"6+"&685+(&@*+("+&8$>?+#+@#%"(;>?&C+("&)+<+(O+*#+&D+*%6(+"&E%**+$&h8$5+"&3"6D%"8#;. & 4< & D(@$%C%" & 5+)$NO# & ;(+ & P+$<8"" & D+""+")8B & 3"6 & 6+$ & ?8# & 83>? & 6(+& & RADIO SAMSTAG 28.09.2013 15:00 - 16:00 SENDETERMINE I%"#$8;#+.Q+68@#(%"&6(+;+$&=+"63").& &[M+;&#$3>; &V8$+(*;\&?+(O#&(?$+ &<(##*+$X+(*+&6$(##+ &9MB&6(+&5+(&^+3@*8")& +$;>?(+"+"&(;#.&,c.c01 ,ck./01 Mitmachen ÜBER DIE SENDUNG 14.09.2013 D3;(@R&K%@&K%@&K%@&S&=>?%@%*86+&,/.T01 ,-T.U-1 21.09.2013 Programm D3;(@R&H(")&D8>?("+&S&M+;&#$3>;&V8$+(*;&,0.U-1 ,UU.001 KLASSIK UM 3 The Evolution of an Artist 28.09.2013 G("&V%VV()W*+(>?#+$&G(";#(+)&("&6(+&?+3#()+&'877&9%$"+$&<(#&+("+<&X(#7()+"&K(#+*& Sendereihen 05.10.2013 Jazz-Standards von gestern & heute 12.10.2013 E%"&K%@&K%@&K%@B&6+$&("&6+$&"Y>?;#+"&:%>?+&8*;&=(")*+83;@%VV*3")&("&6(+&ZY6+"[M+;&#$3>;&V8$+(*\&E%"&H(")&D8>?("+.& & KLASSIK UM 3 KLASSIK ALLER EPOCHEN. SONDERREIHEN. M8;&"Y>?;#+&G";+<5*+&(;#&X(+6+$&+#X8;&@*+("+$.&M8;&=+d#+##&3<&6+"&h$8"7%;+"@%<<#R&[=>?%@%*86+\&(;#&+("&]%$)+;>?<8>@&83C&6(+&(<&^%E+<5+$&+$;>?+("+"6+&9M& & The Evolution of an Artist Standards: Alle Sendetermine D(>?+*&2%68$6&;#+**#&6(+&9M&6+;&D%"8#;&<(#&+("+$&G(";V(+*3")B&6(+&;(>?&(<&I+$"&6+$[:8;&?+(O#&68;&6+""_\B&6+<&+$;#+"&83C&M+3#;>?&E+$C8;;#+"&4*53<&E%"&K%@&K%@&K%@& & 4*#+"&D3;(@&X(6<+#B&68$N5+$&`+6%>?&X3"6+$58$&(+&%C& Alle Sendetermine - Thelonius Monk & Chet Baker (frühe Aufnahmen in den Serien "The 3<&6(+&D8;#+$<("6;&D%$#+"&I*+("&3"6&=Y")+$("&K%@3"5%&4@("$%.& RADIO SAMSTAG 17.05.2014Evolution 15:00 of an Artist", - 16:00 erschienen beim Label ZYX) SENDETERMINE )$8>+\&?+(O#&6(+;+&?+$E%$$8)+"6+&9M.&M8$83;&)(5#&+;&+("+"&+$;#+"&K(#+*R&[H3$&#(&<($%\.:+<&68;&73&*+(>?#&X8$B&6+$&;%**#+&"(>?#&)*+(>?&85;>?8*#+"B&6+""&`+#7#&"(<<#&6(+& Radiomacher_innen Mitmachen ÜBER DIE SENDUNG 02.08.2014 ,-.U-1=+"63")&+("+"&+#X8;&8"6+$+"&]+$*83C.&,-.U01 ,U/.c01,-T.T01 Live Stream - Miles Davis (frühe Aufnahmen, erschienen beim Label MEMBRAN 09.08.2014 o94 App in der FabFour-Box "Miles Davies: The Legend"; späte Aufnahmen, Nachhören no new song 16.08.2014 D3;(@R&D(>?+*&2%68$6&S&H3$&#(&<($%&,T.T-1 ,Uk.001 erschienen beim Label WARNER-Classics in der Box "Miles Davies D3;(@R&F$8"C%$6&D8$;8*(;&S&a+;&8"6&"%&,b./-1 ,cc.c01 SupportProgramm 23.08.2014 1986-1991: The Warner Years") without an old one 30.08.2014 Sendereihen [H3$[a+;&8"6&"%\&E%"&F$8"C%$6&D8$;8*(;.&M+$&=8d%V?%"(;#&3"6&Y*#+$+&F$36+$&6+; & #( & <($%\ & E%" & D(>?+* & 2%68$6 & 3"6 & ;+("+< & =+d#+## & 83; & I*8;;(@+$" & 3"6& & '877<3;(@+$"&E%"&6+$&9M&[D%"#+E+$6(&S&8&#$8>+&%C&)$8>+\B&6+$&9M&6+;&D%"8#;&("&6+$& Standards neu:: K$%?&(;#&6(+;+&9MB&6(+&83;)+?+"6&E%"&6+$&D3;(@& - Keith Jarrett (Ausschnitt aus einem Livekonzert aus dem Theatro '877)+"$+;&+("&X+"()&73$+>?#&)+$N>@#.&eIA""+"&X($&+("+&D3;(@&X($@*(>?&8*;&fX(>?#()f& no new song D%"#+E+$6(;&+("+"&X+(#+"&F%)+"&;>?*Y)#&73$&!?"+"B&6(+&6(+&<+(;#+"&D+";>?+"&N5+$?83V#&"%>?&"(+&)+?A$#&?85+"_eB&C$8)#+&+$& - Omer Avital: New Song (2013); Omer Avital, doublebass & band; <%6+$"+"&I%?&C3"@#(%"(+$#&?8#B& Alle Sendetermine ECM unter dem Titel "Rio") ("&6+$&g+(#3")&=+8##*+&:++@*J.&:+""&PA$+$&D3;(@&+$;#&+("<8*&8"8*J;(+$+"&?+*&2%68$6;&)+;>?3*6+#.&M$+(&I*8;;(@+$B&68$3"#+$& Radiomacher_innen 3< &;(+& 73 &E+$;#+?+"B & ?Y##+" &6(+& D3;(@+$ &+("& H$%5*+<.&D8$;8*(;& ;#+**#+ &83>? & 6(+& Neu: 6(+&=Y")+$("&23(**+<+##+&Z83$+";B&6(+&5+$+(#;&;+(#&'8?$+"&73&6+"&5+;#+"&D%"#+E+$6(& - John Cage: In a landscape (1948); Steffen Schleiermacher, piano; e!**3;(%"e&6+$&683+$"6+"&^+3+$C("63")&(<&'877&("&h$8)+.&G;&<8>?+&@+("+"&=(""B&"3$& Live Stream - Ping Machine (Ausschnitt aus dem Album "Des Trucs Pareils", !"#+$V$+#(""+"&)+?A$#B&3"6&6$+(&'877+$B&68$3"#+$&6+$&;(")+"6+&F8;;#%"&E%"&=#+E+& Label: MDG erscheinen 2011 beim Label NEUKLANG [Bauer Studios]) =X8**%XB&+$)+5+"&73;8<<+"&<(#&6+<&I*8")$83<&+("+;&8*#+"&g(;#+$7(+";+$@*%;#+$;3< &6+$ &]($#3%;(#Y# & X+)+" & E($#3%; & 73 &;+("B& ;8)#+ & +$.& =+("& '%5 &;+(& +;B& =%"); && 73& Nachhören ;>?$+(5+"B&6(+&CN$&(?"&;+*5;#&+("+&+<%#(%"8*+&F+6+3#3")&5+;YO+".&M+""&"3$&X+""& Support - Ketil Bjørnstad & David Darling: The River (1997, excerpts); Ketil <(##+"&(<&P+$7+"&h$8"@$+(>?;&+("&PA$+$*+5"(;&6+$&5+;%"6+$+"&4$#.&M(+&]+$5("63")& - radio.string.quartet.vienna (Ausschnitt aus dem Album 6(+&=%");&+("+&+<%#(%"8*+&F+6+3#3")&?Y##+"B&XN$6+&;(>?&68;&83>?&+("+<&)$AO+$+"& Bjørnstad, piano; David Darling, Cello; Label: ECM E%"&D%68*(#Y#&3"6&P8$<%"(@&("&X+(>?&C*(+O+"6+"&i5+$)Y")+"&C8;7("(+$#&E%<&+$;#+"& "radiodream", erscheinen 2011 beim Label ACT/edel) 5(;&73<&*+#7#+"&K%"&6(+;+$&9M.&P(+$&(;#&"%>?&+("&X+(#+$+$&K(#+*&83;&[D%"#+E+$6(\&E%"H35*(@3<&<(##+(*+".& & D(>?+*&2%68$6R&6(+&G()+"@%?(+"+"&(;#&6(+&9M&5+(<&I*8;;(@i5+$&6(+;+&43;;8)+"&*%?"#&+("&*Y")+$+;&^8>?6+"@+".&!;#&6+$&'877&"%>?&+("+& & Anregungen- Miles Davis: & Anfragen: No Line [email protected] (1956); Miles Davis, trumpet & his Quintet; Z85+*&98$V+&M(+<.&,c.-01X(>?#()+B&)8$&#%"8")+5+"6+&D3;(@$(>?#3")_&j"6&X8;&5+6+3#+#&N5+$?83V#&X(>?#(),Ul.--1 & Label: Membran %6+$&E($#3%;_& Eine Sendereihe von: Horst Putz D3;(@R&D(>?+*&2%68$6&S&Q%<8&,k.U01!"&6+$&?+3#()+"&'877&9%$"+$&)(5#&+;&68$3<&X(+6+$&+("+&5$+(#+&H8*+##+&6+;,/b.U01 & - Traditional: A Tisket A Tasket; SWR Big Band, Fola Dada (voc.); Label: hänssler CLASSIC D3;(@R&I+""J&:?++*+$&S&H?$8;+&/&,b.c-18@#3+**+"&'877)+;>?+?+";B&3"6&=(+&@A""+"&;(>?&;+*5;#&+("&F(*6&<8>?+"B&%5&6(+;+,TU./01 & D3;(@)8##3")&X($@*(>?&X(>?#()&(;#&3"6&+#X8;&5+X+)#&57X.&83;;8)#.&,c.c-1 ,cU.U01 NÄCHSTER SENDUNGSTERMIN - Steve Reich: Piano phase (1967); Kevin Griffiths, piano; Label: cpo M+$&+("V$Y);8<+B&(<<+$&?8$<%"(;>?+&3"6&;(")+"6+&F8;;&E%"&=#+E+&=X8**%X& Samstag 05.10.2013 15:00 - 16:00 +$ACC"+#D3;(@R&45;%*3#+&G";+<5*+&S&M8&I%$6&,/.001 & 83>? & 6(+ & 9M & [L"+ & %C & <8"J\ & 6+; & 8<+$(@8"(;>?+" & K$%?&6+$&H(8"(;#& VORIGER SENDUNGSTERMINSinfónica Simón Bolívar, leader: Thomas Clamor; Label: GENUIN '%?" & K8J*%$M8;&)$%OC%$<8#()+&45;%*3#+&G";+<5*+&<(#&[M8&I%$6\&E%"&6+$&5+$+(#;&U--k&*(E+ & 8")+?A$#+. & M8;; & 6(+;+ & 9M & +$;# & `+#7# & +$;>?+("#B & (;# & 8")+;(>?#; & 6+$& & X3"6+$E%**+"("&6+$&^+X&a%$@+$&K%X"&P8**&83C)+"%<<+"+"B&85+$&+$;#&`+#7#&5+(&G"`8&+$;>?(+"+"+" & D+*%6(+"B & 6(+ & ;(+ & +"#?Y*#B & @83< & "8>?73E%**7(+?+" & 3"6 & 68?+$ & +("& & Samstag 21.09.2013 15:00 - 16:00 - Leon Spencer: You talk that talk (1971); Eric Alexander, tenorsax & )$%O+;&2*N>@.&I8<<+$`877&83C&8**+$?A>?;#+$&G5+"+&X($6&?(+$&7+*+5$(+$#&E%"&6$+(&,(<9M&[4$85(8"&^()?#;\.&'877_&:+*#<3;(@_&M8;&45;%*3#+&G";+<5*+&3"#+$&6+$&Z+(#3")& & band; Label: Highnotes/ZYX 5+;#+"&:%$#;(""+1&4*#<+(;#+$"B&6+""&I+""J&:?++*+$B&6+$&(<&'8"38$&U-cU&nU&'8?$+E%"&I$(;#`8"&'Y$E(&;(+?#&?(+$&@+("+&K$+""*("(+.&G"#;#8"6+"&(;#&68;&H$%`+@#&[4$85(8"& & 8*#&X+$6+"&X($6B&X8$&73<&g+(#V3"@#&6+$&43C"8?<+"&83>?&;>?%"&kb.&[L"+&%C&<8"J\&(;#^()?#;\&8*;&^8>??8**&83C&lmcc&3"6&X3$6+&+$;#<8*;&5+(<&D3;(@C+;#&F$+<+"&("&+("+<& & FEEDBACK / KONTAKTFORMULAR- Raphael Schwab: Marche vers l'avant (2013); Julien Soro; tenorsax; 685+(&$+("+;&j"6+$;#8#+<+"#B&6+""&8*;&;(>?+$*(>?&+("+&3"#+$&E(+*+"&9M&5+;#(>?#&;(+*++$+" & h*3)7+3)?8")8$ & E%$)+;#+**#. & M(+ & ]+$5("63") & E%" & A;#*(>?+$ & 3"6 & X+;#*(>?+$& & Raphael Schwab, doublebass; Label: Neuklang 6%>?&63$>?&6(+&+"%$<&?%?+&;V(+*+$(;>?+&I$+8#(E(#Y#&6(+;+;&K$(%;.&D3;(@&X8$&685+(&+("&7(+<*(>?+;&H$%5*+?+&D3;(@&@+""#&@+("+& Name: - Duo Catch-Pop String-Strong: Phil´s Tune (2010); Jelena Popržan & 9?$%<8#(@.&=%<(#&<3;;#+&6(+&D3;(@&("&8$85(;>?+"&=@8*+"&)+;>?$(+5+"&X+$6+"B&X8;'%?"&K8J*%$&;#+?#&83>?&(<&D(##+*V3"@#&6+$&"Y>?;#+"&9M.&43C&[Q+o3(+<&C%$&8& & Rina Kaçinari, violin and cello; Label: col legno 6$+8<+$\&+$X+(#+$#&+$&;+("&3$;V$N")*(>?+;&K$(%&73<&p38$#+##&<(#&=8d%V?%".&M(+;X(+6+$3< & CN$ & 6(+ & 5+#+(*()#+" & X+;#*(>?+" & D3;(@+$ & +(" & H$%5*+< & X8$. & I+("+ & *+(>?#+& & Email: * 5$(")#&73;Y#7*(>?+&I*8")C8$5+"&(";&=V(+*&3"6&+$X+(#+$#&;%&68;&#%"8*+&=V+@#$3<&6+$& - Iannis Xenakis: Waarg (1988, excerpt); Contempoartensemble, F8"6.&43>?&?(+$&+"#;#+?#&+("&C+("+$&I8<<+$`877&+d7+**+"#+$&2N#+&3"6&E%"&?%?+$! & Nachricht: * leader Mauro Ceccanti; Label: ARTS <3;(@8*(;>?+$&p38*(#Y#B&CN$&6(+&'%?"&K8J*%$&;+(#&'8?$+"&5+@8""#&(;#.&!";V($(+$+"&*(+O& " - radio.string.quartet.vienna: Cannonball (nach dem 1966 für Cannonball Adderley komponierten Hit "Mercy, Mercy, Mercy" von Joe Zawinul); live 2012 in Warsaw; Label: ACT/edel

Anregungen & Anfragen: [email protected]

Eine Sendereihe von: Horst Putz

1 von 2 NÄCHSTER SENDUNGSTERMIN 03.09.13 16:19 Samstag 24.05.2014 15:00 - 16:00 time will tell

1 von 2 28.07.14 15:06 vodafone.de (web) — 09/14 radio ara — 14/07/11

l’émission qui fait jazzer pascal DORBAN

Jazz.com L'émission qui fait jazzer émission du 14/07/11 avec Pascal Dorban

Artist Title CD/LP Label RICHIE BARSHAY CLOUDS HOMEWORK AYVA MUSIC ALAIN PEREZ DESCANSA EL SOL EN EL AIRE AYVA MUSIC GERARDO ROSALES CUBANA BE, CUBANA BOP CHANO POZO'S MUSIC CHALLENGE RECORDS TENSY KRISMANT/MIGUEL NUNEZ SON EN SOL PACIFICO AYVA MUSIC JANE BUNNETT&HILARIO DURAN LAGRIMAS NEGRAS CUBAN RHAPSODY ALMA RECORDS JACOB KARLZON 3 NEWBIE THE BIG PICTURE STUNT RECORDS ACHIM KAUFMANN E JINX VERIVYR PIROUET RECORDS GERALD CLAYTON BOOTLEG BRUISE BOND EMARCY JAMES CARTER TENOR INTERLUDE CARIBBEAN RHAPSODY EMARCY NICOLA CONTE TEMPLE OF FAR EAST LOVE & REVOLUTION UNIVERSAL MUSIC THE NEW GARY BURTON QTET LATE NIGHT SUNRISE COMMON GROUND MACK AVENUE PING MACHINE EARLY MORNING PARTY DES TRUCS PAREILS NEUKLANG FRANK CARLBERG DON'T RUSH ME UNCIVILIZED RUMINATION REDPIANO RECORDS RICH HALLEY SQUEAKER REQUIEM FOR A PIT VIPER PINE EAGLE RECORDS PAULA MORELENBAUM & JOAO DONATO A RA AGUA SKIP RECORDS musicstar.de (web) — 09/14 CHARLIE PARKER BIRD OF PARADISE ANTHOLOGY/ORNITHOLOGY RECORDING ARTS ERNIE KRIVDA MORE THAN YOU KNOW BLUES FOR PEKAR CAPRI RECORDS FABIEN MARY IT'S ABOUT TIME QUARTET + ONE ELABETH TRICIA EVY ROUND ABOUT MIDNIGHT BEGINNING INTEGRAL MUSIC

napster.de (web) — 09/14 big four « Seven Years » — sortie en 2017 / Neuklang h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e

• „CHOC“ Jazz Magazine • • Sélection Les Inrockuptibles • „10 albums de jazz à écouter d’urgence“ agnie musi c agnie • Playlist Openjazz • France Musique Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod extraits de presse « Seven Years »

« La prise de son live restitue l’énergie du groupe, cette sonorité brute « Disons-le tout net, une très belle vitalité, réjouissante. […] Big 4 + 1 : et sans effet, ce mélange de tension extrême, de lâcher-prise et de des « sauvageons » pétris d’humour et de talent. Un jazz hors les dépassement de soi. […] A l’image de la pochette footballistique, clous, tonique, amusé, plein de sève. » la musique circule comme un ballon dans les pieds d’une équipe — Jazzaparis 04/17, Guy Sitruk conquérante, avec un jeu à la fois structuré et ouvert, qui donne toute la place aux talents individuels des joueurs, tout en soulignant leur « L’improvisation collective est une corne d’abondance de laquelle remarquable complicité. » jaillissent bien des surprises sonores, décoiffantes, d’autant que — Jazz Magazine, CHOC, 04/17, Lionel Eskenazi ce quartet assez spécial dans son instrumentation […] fournit une palette riche, des textures soyeuses et inouïes. La trompette de « Comme les mômes, les musiciens jouent et disent la vérité. […] Ghomari fait des siennes et colore finement l’ensemble. […] Ce qui Exigeant autant qu’œcuménique, Seven Years est ce monde où le frappe et ce qui plaît dans cette musique, c’est l’esprit de partage, de binaire côtoie à merveille des échappées vers l’abstraction collective, divertissement, cette entente cordiale, rafraîchissante, ce sens aigu du dans l’expressionnisme magistral des solistes. […] Entre lyrisme discours musical. » insolent et écriture époustouflante,on y trouve cette sagesse — Les Dernières Nouvelles du Jazz 04/17, Sophie Chambon sonore qui habite d’ordinaire les rires des enfants.» — Jazz News 04/17, Pierre Tenne « Un Sax alto, un sousaphone, un vibraphone et une batterie, ça h é l i c on fonctionne ? Julien Soro explore les possibilités de ce line-up « Quelle était l’atmosphère au Triton durant ces deux soirs de mai inhabituel avec son groupe Big Four depuis 7 ans déjà. 2016 ? A l’écoute de ce live tout de frénésie, de tripes brûlantes, […] c’est pourquoi le quartett sonne […] mûr, compact et évident. » de cris éperdus et d’oppressions renversées, elle dût paraître — Jazzthing 04/17, Uli Lemke exaltante autant qu’étouffante. On se sent là comme dans une serre chaude et on retrouve tout ce qui fait de Big 4 […] un groupe « Un jeu plein de fantaisies avec formes et structures, une musique si singulier et nécessaire : de l’urgence, du vif, du cru, une bonne vivante de turbulences et de joie de jouer débordante, enthousiaste

égazz & L’ & p égazz a l e dose de loufoquerie et d’irrévérence, de la pertinence musicale et et engagée, mais toujours cohérente et terre-à-terre, avec une grosse aucun souci des lignes toutes tracées, bref, tous les caractères d’une portion d’humour. Encore un bel exemple du potentiel créatif dans démarche véritablement aventureuse, donc précieuse. » le Jazz français. » — Jazz Podium 04/17, Benno Bartsch — Les Inrocks, 05/17, Louis-Julien Nicolaou agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod jazz magazine (MENSUEL) — 05/17 choc — « Seven Years »

jazz news (MENSUEL) — 04/17

la terrasse — 04/17 Seven Years est un disque à la joie communicative, un instantané de ce qu’est Big https://www.citizenjazz.com/Big-4-3474771.html 4 aujourd’hui, et ne laissera personne indifférent. Le quartet est sur une telle lancée que la suite ne devrait pas être triste. citizenjazz (web) — 10/17 Raphaël Benoit BIG 4 SEVEN YEARS [LIVE]

Quatrième disque pourBig Four, qui choisit de marquer le coup et d’en faire une https://www.citizenjazz.com/Tetes-de-Jazz-5-manufacture-de-decouvertes.html fête d’anniversaire : sept ans déjà (huit désormais, l’album ayant été enregistré l’an dernier) que ce quartet pas comme les autres nous régale avec son jazz pas sage, citizenjazz (web) — 10/17 qui remue tout le temps, qui répond aux adultes et a « oublié » ses devoirs. C’est en 2009 que Julien Soro (saxophones et compositions) a l’initiative de cette formation TÊTES DE JAZZ #5, MANUFACTURE DE DÉCOUVERTES atypique, composée deStéphan Caracci (vibraphone),Fabien Debellefontaine (sou- saphone) etRafaël Koerner (batterie), qui, depuis lors, nous régale d’une musique Tout au long de l’année, l’AJMI propose une programmation visant l’émergence du inventive, bouillonnante et réellement passionnante. jazz d’aujourd’hui dans toutes ses déclinaisons. Mais l’association organise égale- Quatrième disque pour Big Four qui opte ici pour un live. Présenté ainsi, ça peut ment depuis 2012 un festival intitulé « Têtes de Jazz », programmé cette année du faire un peu peur, sentir le réchauffé, le best-of ou pire, la commémoration. Mais 7 au 16 juillet. rien de tout cela avecSeven Years. Le groupe ne propose pas une rétrospective mais Dix jours pour pas moins de 40 concerts, 18 groupes, 6 ciné-concerts, une expo, des célèbre sept années de bonheur partagé, et le fait avec ce qu’il est aujourd’hui. En- créations, des rencontres, débats, workshop... Intégré au festival Off d’Avignon et registré lors de deux soirées consécutives au Triton, l’album est composé de 9 titres ses quelque 1450 spectacles, TDJ a su se faire une place de choix par sa singularité, dont un seul figurait déjà sur la discographie du groupe. C’est donc bien un nouvel offrant une alternative musicale aux festivaliers qui sont de plus en plus nombreux album de Big Four, et un très bon. à graviter autour de la Manufacture et du Cinéma l’Utopia. Retour sur quelques-uns des beaux événements de cette édition d’un festival dans le festival, devenu incon- Quatrième disque pour Big Four, et un invité pour l’occasion, puisque le trompet- tournable. tiste Quentin Ghomari est de la fête - coéquipier de choix, très à l’aise dans l’univers du quartet. Il en ressort des conversations à plusieurs voix qui rappellent certaines Du 11 au 13 juillet : Big Four ambiances chères à Ornette Coleman. Une belle place lui est est faite sur le spa- Le quartet Big Four investit la scène de l’AJMI Jazz Club pour trois jours consécutifs, cieux « Zephyr », où il pose des sonorités envoûtantes et élégantes qui ont quelque à 15h30. Rien de mieux pour reprendre vigueur après une courte sieste sous les oli- chose en commun avec Jack Walrath, ce trompettiste qui fit des merveilles aux côtés viers. Dans une rythmique qu’on dirait calée sur le chant des cigales, retentissent les de Mingus. Comme quoi les belles collaborations créent des instants rares, précieux premières notes de « Voyou », issues du vibraphone de Stephan Caracci, très vitre et donc marquants. C’est le cas ici. « Voyou » ouvre le bal avec sa rythmique si ef- rejoint parJulien Soro au saxophone alto, Fabien Debellefontaine au sousaphone ficace qu’on tape du pied avant même d’avoir atteint une minute de musique. Le etRafaël Koerner à la batterie. Le quartet nous offre un concert intense, donne tout très beau et puissant « Pretty Much Henry », dont l’interprétation ouvre le champ à et se donne à fond. Après la belle découverte d’un titre inédit, « Small Balloon », de multiples émotions, est un bel exemple des qualités de compositeur de Julien nous sommes invités dans une suite en trois temps, « Rêver - Marcher - Courir », Soro. La suite intitulée « Temps Libre », déclinée en quatre temps : « rêver - marcher magnifiquement interprétée, dans laquelle Big Four déploie la large palette de ce - courir - danser », jouée en quartet cette fois, est un petit chef-d’oeuvre qui donne langage qu’il cultive depuis maintenant huit ans, et dont on découvre encore l’éten- une idée du chemin parcouru en sept ans. On accélère avec « 160 bpm » et son ma- due des possibilités. Fanny Ménégoz à la flûte traversière rejoint la fête, et c’est un gnifique solo de vibraphone qui court sur la batterie de Rafaël Koerner, ce batteur quintet qui terminera le concert avec « Nos Sons Unis » et « Only Two ». Un groupe extraordinaire, souple et volubile, tandis que Fabien Debellefontaine nous prouve qui vit chacune de ses productions dans l’instant, ce qui lui procure une jeunesse et qu’on peut faire du slap sur un sousaphone ! une fraîcheur éternelle. Quatrième disque pour Big Four, au contenu riche et foisonnant d’idées, de rebon- dissements et de grooves dont le quartet a le secret, même quand il se fait quintet. Raphaël Benoit http://www.lesinrocks.com/2017/05/12/musique/les-10-albums-de-jazz-francais-quil- faut-ecouter-durgence-11942399/ la terrasse /hors-série avignon les inrocks (web) — 04/17 — 07/17

Les 10 albums de jazz français qu’il faut écouter d’urgence

Quelle était l’atmosphère au Triton durant ces deux soirs de mai 2016 ? A l’écoute de ce live tout de frénésie, de tripes brûlantes, de cris éperdus et d’oppressions renversées, elle dût paraître exaltante autant qu’étouffante. On se sent là comme dans une serre chaude et on retrouve tout ce qui fait de Big 4 (augmenté, pour la célébration de ses 7 ans d’existence, du trompettiste Quentin Ghomari) un groupe si singulier et nécessaire : de l’urgence, du vif, du cru, une bonne dose de loufo- querie et d’irrévérence, de la pertinence musicale et aucun souci des lignes toutes tracées, bref, tous les caractères d’une démarche véritablement aventureuse, donc précieuse.

Louis-Julien Nicolaou http://lesdnj.over-blog.com/2017/04/big-four-1-7-years-live-at-the-triton.html http://notesdejazz.unblog.fr/2017/05/15/les-vitalites-multiples/ dernières nouvelles du jazz (web) notes de jazz (web) — 05/17 — 04/17 les vitalités multiples

Terminons ce long panorama (une fois n’est pas coutume) par un enregistrement qui Seven Years est leur quatrième album enregistré live au Triton. Pour le premier set, vaut le détour et son pesant de courage musical ! Quand on parle ici de « courage » le quartet (bien nommé) BIG FOUR, emmené par le saxophoniste Julien SORO, est ce n’est pas de témérité qu’il faut entendre, même si, pourquoi pas, il pourrait y rejoint par le trompettiste Quentin GHOMARI, du quintet PAPANOSH. avoir de cela sans que il soit nuit pour autant à l’intelligence créatrice et au plaisir Cela fait 7 printemps que ces musiciens qui jouent aussi dans l’excellent big band et au bonheur réunis de l’écoute. « Courage » c’est pour dire que, malgré tout, ici Ping Machine, se sont rencontrés et ont commencé à œuvrer ensemble pour créer personne n’a vraiment peur de rien et que ces grands sauts dans le vide, ces grands une musique vive sans jamais être énervée, vibrante, joyeuse et bien construite. bonds en avant, ces cavalcades sont autant de bonheurs musicaux. Julien Soro (as), Un collectif qui travaille intelligemment, ouvrant son chemin dans la musique impro- Stéphan Caracci (vb), Fabien Debellefontaine (sousaphone) et Rafaël Koerner (dm) visée actuelle dont les limites se perdent à l’horizon. L’improvisation collective est se sont adjoints le talent de Quenti Ghomari (tp). Ils ont en quelque sorte investi Le une corne d’abondance de laquelle jaillissent bien des surprises sonores, décoiffan- Triton pour cet enregistrement en public qui est de bout en bout une grande réus- tes, d’autant que ce quartet assez spécial dans son instrumentation (2 vents dont site. (Neuklang/ Harmonia Mundi) un sousaphone et 2 percussions dont un vibraphone) fournit une palette riche, des textures soyeuses et inouïes. La trompette de Ghomari fait des siennes et colore fi- nement l’ensemble. La nuance qui manquait en quelque sorte, «une autre voix dans Michel Arcens le débat», l’opportunité d’un nouveau répertoire. Les ruptures de rythme sont fréquentes dans ce parcours jamais balisé où nous en- traînent ces joyeux drilles, à la complicité immédiatement perceptible. On se laisse faire, on les suit les yeux fermés, tant cette explosion de sons et d’inventivité donne http://www.lejsl.com/edition-macon/2018/03/31/basile-mouton-et-big-four-vendre- une sensation grisante de liberté. di-au-crescent Le second set, autour d’une suite de Soro, Temps présent, est (un peu) moins festif, ménageant même une sacrée respiration, après les poussées de fièvre : si « Seven le journal de sâone-et-loire (web) Years » a franchi un cap que certains ont traduit comme l’âge de raison, moi c’est la pochette de petits joueurs de foot que je ne saisis pas bien, Big four se joue plutôt — 03/18 au tennis, non ? Qu’importe…Julien Soro a écrit une belle partition où le premier mouvement est Magnifique soirée vendredi au Crescent avec tout d’abord le contrebassiste Basile empli d’une mélancolie certaine, propice à « rêver » comme s’il devenait d’un coup Mouton en trio constitué de Maxime Fougères, guitare et Frédéric Pasqua batterie. sérieux, voire introverti. Ce ne sera que provisoire, car ils se mettent bientôt à « cou- Que du bon avec des mélodies superbes qui ne sont pas sans rappeler celles de Pat rir » aidés du vibraphone et du sousaphone en grande forme, avec cette façon de Metheny. Un bon moment à l’occasion de la sortie du 1er CD. s’accorder les uns tout contre les autres. Le final est plus étonnant, une « danse » un Vint ensuite le BIG Four quintet avec trois cuivres, vibraphone et batterie, un jazz peu triste, hypnotique et chavirante. dynamique qui explore les compos de la formation. Un répertoire atypique qui a Ce qui frappe et ce qui plaît dans cette musique, c’est l’esprit de partage, de diver- réjoui l’auditoire. tissement, cette entente cordiale, rafraîchissante, ce sens aigu du discours musical. Marc BONNETAIN Sophie Chambon http://jazzaparis.canalblog.com/archives/2017/04/04/35132935.html http://jazzaparis.canalblog.com/archives/2017/04/04/35132935.html jazzaparis (web) — 04/17 jazzaparis (web) — 04/17

Jazzaparis.canalblog.com dolphys d’or 2017

Deux vents (Julien Soro au sax et Fabien Debellefontaine au sousaphone) et deux Comme chaque année, voici venu le moment de signaler les albums qui méritent percussions (Stephan Caracci au vibraphone et Rafaël Koerner à la batterie) : une un arrêt des horloges pour prendre le temps d’aiguiser notre sensibilité, lui faire formation assez inhabituelle. Tel est le Big Four. Et pour pimenter la chose, une découvrir parfois des chemins de traverses, pour parcourir de nouveaux labyrinthes trompette est invitée (Quentin Ghomari). imaginaires. Disons-le tout net, une très belle vitalité, réjouissante. Quelques impressions fugi- Comme je ne chronique que très peu, ces albums sont ceux qui ont bousculé ma tives, juste pour vous donner envie de parcourir cet album à votre tour. paresse, m’ont obligé à trouver à nouveaux des mots pour dire l’émotion, malgré Un premier thème, «Voyou», au rythme lancinant interrompu par des éclats acidulés l’usure des manières de dire, de partager. Tenter de dire l’indicible bonheur. aux cuivres. Un thème haché où le sax et la trompette s’entrelacent. La fête d’em- A vous de vous laisser jouer par ces magiciens. blée. «Pretty Much Henry» : un très beau thème digne des perles du hard bop, introduit Guy Sitruk par un vibraphone funambule avant que le tandem de cuivres en fasse éclater toute la saveur. Un puissant solo de Quentin Ghomari. Un Julien Soro particulièrement lyrique et facétieux. Un «Zephir» délicat introduit par un tandem trompette-batterie s’épanouit en de lentes et multiples efflorescences sonores, qu’on quitte à regret. france musique (radio) — 04/11/17 «Boule de Neige» commence par un sax a cappella tout d’humour aux pulsations sèches avant que chaque musicien apporte sa couleur. Des rythmes qui se dérèglent open jazz : alex duthil délicieusement et de superbes alliages sonores. Un surprenant solo de sousaphone, chanté-joué, ponctué de frappes légères à la batterie. «160bpm» comme un chapelet égrainé frénétiquement et aux chants acidulés rap- pelant le jeune Ornette. Enfin, une suite «Temps Libre» en 4 mouvements. «Rêver», aux textures riches, au lyrisme Aylerien. «Marcher» qui, comme de juste, est introduit au sousaphone, vite rejoint par le sax et la batterie. Un chant à trois tout de fractures, saisissant. «Cou- rir» ou les syncopes savamment décalées, avec un vibraphone aux avant-postes et un sax à la verve folle. Et pour finir, «Danser», tout seul pour commencer, avec un sax free au vibrato assez ample, rejoint par la seule batterie . Des pièces courtes et succulentes qui arrachent la joie du public. Big 4 + 1 : des «sauvageons» pétris d’humour et de talent. Un jazz hors les clous, tonique, amusé, plein de sève .

Guy Sitruk presse étrangère

jazzpodium (MENSUEL) — 04/17 jazzthing (MENSUEL) — 04/17 h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod http://musikreviews.de/reviews/2017/Big-Four/Seven-Years/ musikreviews.de (web) — 03/17

Big Four: Seven Years (Review)

«Seven Years» ist bereits deshalb eine spannende Menge von der Produktion ab, und in dieser Hinsicht Angelegenheit, weil es von einer interessanten, lassen BIG FOUR nichts anbrennen. Die Interaktion da ungewöhnlichen Musikerbesetzung eingespielt der Protagonisten ist hautnah spürbar, als würde man wurde, denn wo hört man heutzutage (oder hörte in mit ihnen im Raum stehen, was dieser beileibe nicht Hinblick auf die Vergangenheit) eine Verschmelzung verkopften Musik (wie gesagt: it’s jazz, baby) zu einem von Vibra- und Susafon mit Saxofon? Bei so viel «-fon» Mehr an Emotionalität gereicht. Danke dafür! denkt man vielleicht auch an Phonstärke, und die be- sitzt das Quartett BIG FOUR zuweilen auch ... aber FAZIT: Musikalische Kommunikation auf hohem Ni- selbstverständlich auch mehr. veau mit ungewöhnlichen und dennoch irgendwie vertraut wirkenden Klangfarben - BIG FOUR sind sel- Immerhin reden wir hier über Jazz, und den spielen bst für Jazz-Veteranen ein verhältnismäßiges Novum vier abgeklärte wie experimentierfreudige Musiker. in Bezug auf ihren Sound und werden dem auch kom- Es handelt sich bereits um ihre vierte Scheibe nach positorisch gerecht. Innovation ist weiterhin mach- siebenjähriger Aktivität, wobei erstmals mit einem bar, und so soll’s auch sein, wenn man sich diesen außenstehenden Trompeter zusammengearbeitet Genre-Terminus ans Revers heftet. wurde - Quentin Ghomari von PAPANOSH und PING MACHINE, sollte jemand die Gruppen kennen. Andreas Schiffmann

«Seven Years» gewinnt aufgrund der Tatsache an Viel- falt, dass alle Instrumentalisten Stücke geschrieben haben, wodurch ein ganzheitlicher wie facettenrei- cher Eindruck entsteht. Das Album klingt buchstäblich wie aus einem Guss, weil anscheinend auch inhaltlich klare Konzepte hinter den Kompositionen stecken. In Hinblick darauf dürften die Titel nicht willkürlich aus- gesucht worden sein, auch wenn man spekulieren darf, was dem frühen Highlight ‘Pretty Much Henry’ zugrunde liegt.

Bei der vierteiligen Suite ‘Temps Libre’, deren Parts jeweils für Träumen, Gehen, Laufen und Tanzen ste- hen, dürfte der Fall hingegen klar sein - genauso wie beim rasanten ‘160 bpm’ oder hinsichtlich des lufti- gen ‘Zéphyr’.

Da es sich um eine Liveaufnahme handelt, hängt eine jazzhalo.be (web) — 03/17 http://www.jazzhalo.be/reviews/cd-reviews/b/big-4-seven-years/

big 4 : seven years einen solchen Windhauch spürt man schon, ange- sichts des sensiblen Spiels von Quetin Ghomari. Auffallend an dem Quartett Big Four ist die Instru- Teilweise hat man beim Zuhören auch das Bild von mentierung. Es ist ein bassloses Ensemble, sprich auf Windwirbeln im Kopf, wenn Trompete und Saxofon den Kontrabass verzichten die Musiker und vertrauen das Klangbild dominieren. ganz und gar auf das tieftönige Sousafon, dem Fabien Debellefontaine Leben einhaucht. Zur Band gehören Ein hektisch aufgelegtes Saxofon erscheint zu Beginn zudem Stephan Caracci (vibrafon), Rafaël Koerner von „Boule de neige“ auf der Bildfläche. Da scheinen (drums) und schließlich Julien Soro (alto saxofon). Schneeflocken wild in der Luft zu tanzen und kein Sch- Zugleich ist Julien Soro auch für die Kompositionen neeball geworfen zu werden. Oder fängt Soro ... zuständig, angefangen bei „Voyou“ über „Pretty ... Much Henry“ und „Zéphyr“ bis zu der vierteiligen da nicht doch im weiteren Verlauf eine wilde Schnee- Suite Temps Libre. Diese beginnt mit „Rêver“ und en- ballschlacht ein? Soros Spiel wird stetig wilder und det mit „Danser“. umtriebiger. Schneefall setzt ein – man lausche mal auf das kristallin klingende Vibrafon, das sich von den Julien Soro ist der Kopf des Quartetts, zu dem für die Bläsern absetzt und in den Vordergrund drängt. Bei- aktuellen Live-Aufnahmen noch der Trompeter Quen- nahe hat man den Eindruck, das Quintett fange einen tin Ghomari dazustieß. So erscheint das Quartett als Tumult ein, so bewegt erscheint die Melodielinie. Quintett mit der Strahlkraft eines stimmgewaltigen Klangkorpus. Wir haben auf der Skala von Hoch nach Zum Schluss präsentieren die Big 4 eine vierteilige Tief zu einem die metallischen Klangstäbe des Vibra- genannten Tonakrobaten schweben Trompeten- und Suite: Mit „Träumen“ beginnt diese Suite und mit fons und zum anderen das Sousafon. Wenn sich wie Saxofonklänge, gleichfalls in einem gewissen Stakka- „Tanzen“ hört sie auf. Dabei kommt dem Vibrafonisten bei „160 bpm“ die drei Bläser „verschwören“ dann to gehalten. Es klingt nach einem Hin und Her, nach eine besondere Rolle zu, ist er doch derjenige, der rollt über den Zuhörer ein ungeheurer Tonschwall Nervosität und Getriebenheit. Was das allerdings mit uns mit kurz nachhallenden Klangstäben einen Traum hinweg. Wie eine 30 Meter hohe Megawelle erscheint Gauner, Schlägertyp und Strolch – so die deutsche schenkt. Allerdings wird er dabei von Julien Soro auf das, was wir wahrnehmen. Doch in den wenigen Räu- Übersetzung von „Voyou“ zu tun hat, bleibt ein Ge- dem Altsaxofon begleitet, der den Klangfluss des men, die die drei Bläser freilassen, bewegt sich un- heimnis von Julien Soro. Vibrafons umspielt und uns mit kurzen Nebelhornein- gezwungen das Vibrafon, das lagen wohl auch einen kurzen Albtraum vermittelt. Bei hier und da hochstimmig hörbar ist, derweil die Bläser Nachhaltig ist der lyrische Klang der Trompete, die „Courir“ streiten das Vibrafon und die Bläser um die gänzlich ungestüm erscheinen. wir in der Eröffnung von „Zéphyr“ wahrnehmen. Dazu Festlegung der Hörfarben, sind sich aber in Rhythmus trommelt Rafaël Koerner mit Schlägeln auf seinem und Timing einig. Alle scheinen auf Rennen einges- In „Voyou“ eröffnet das Vibrafon mit redundanten Schlagwerk, das eher nach Pauke klingt. Klangse- tellt. Selbst das träge Sousafon hört sich kurzatmig Klangfolgen den musikalischen Reigen. Dazu hört quenz nach Klangsequenz schwebt dahin, dabei die und in Bewegung an. Derweil scheint das Vibrafon man das Sousafon als „tiefsinnigen“ Kommentator. griechische Windgottheit Zépyhr einfangend. Wenn für beinahe rasende Geschwindigkeit zu stehen. Das Irgendwie hat das auch etwas von House und Tech- man keinen Bogen zur antiken Mythologie spannt, Saxofon vermittelt uns ein stetes Rennen mit kurzen no jenseits von elektronischem Zauberkästlein. Tiefe dann kann man sich vielleicht mit Zephyros als der Pausenintervallen, um Luft zu schnappen. Doch wann Vibrationen sind deutlich spürbar. Über den beiden Bezeichnung für leichten Westwind anfreunden. Ja, ist endlich das Ziel erreicht? Vielleicht geht es aber http://www.jazzhalo.be/reviews/cd-reviews/b/big-4-seven-years/ radio lora, zürich (97.5) — 04/17 jazzhalo.be (web) — 03/17 Interpret Titel CD Label mehr um den Weg, den man bewältigen muss. Airto ANDEI (I Seeds On The Buddah Records Walked) Ground Zum Schluss werden wir zum Tanzen animiert, was Aufgabe von Julien Soro ist. Was wir hören, klingt dabei ein wenig nach 24-Stunden-Marathontanz-Wettbewerb und nicht nach beschwingtem Walzer oder nach Jive. Egal, das vorgelegte Album ist erfrischend und voller Dynamik, präsentiert eine ungewöhnliche Instrumentierung, Tedeschi Trucks Midnight In Revelator Sony Music lässt den Kontrabass und das Piano als klassische Elemente einer Rhythmusgruppe Band Harlem John Prine Color Of The For Better, Or Oh Boy Records nicht vermissen, eröffnet neue Klangnuancen, vor allem dank Vibrafon und Sousa- Blues + Worse fon. Bitte mehr davon! Just Waitin` John K. Samson Select All Delete + Winter Wheat Epitaph, ANTI- Postdoc Blues Ferdinand Dupuis-Panther The McIntosh Blessed Are The Spirituals & Smithsonian Country Shouters Poor In Spirit Shout Songs Folkways From The Recordings Georgia Coast Michael Hurley Dialogue Of Love Love Is My Only Veracity Crime

The Blech Don`t Touch My Liebeslieder JARO Bicycle – Only freies radio für marburg (90.1) — Kiss My Umbrella Groovers Combo Koa Cadillac Koa Cadillac Earthquake 08/17 Productions Sparifankal Minga Bluus Dahoam is wo Schneeball andas Dieser Podcast der Jazz-Zeit ‚Neues aus Frankreich, Teil 2‘ geht bis Sonntag. Brachmond Blick ins Nichts Die Saat Brachmond This podcast is online until Sunday:

Okra Playground Rautasuu + Rautasuu Nordic Notes Jean-Jaques Avenel: Solo Live Pol at Sud Strasbourg, 15.11.2011 (Jazzdor) Kaunokieli Big Four +1: Seven years (Neuklang) Endless: Lost lake (Neuklang) Pakko Käppi & Mun vereni + Sanquis meus, Nordic Notes Papanosh: A chicken in a bottle (Enja) K:H:H:L Rakastatka mama! minua? + Hubert Dupont Golan: Al Joulan Vol. 2 (Ultrack) veri veresta Naissam Jalal & Rhythms of Resistance: Osloob hayati (Les Couleurs Du Son) Maija Kauhanen Sinisilmä Raivopyörä Nordic Notes Jass: Mix of sun and clouds (Yolk Bio) Big Four Voyou + 7 Years Neuklang Courir Naissam Jalal & Rhythms of Resistance: Almot wala wazala (Les Couleurs Du Son). Kilian Brock Trio Scandinavian Paradiesgarten Kilian Brock Trio Dream schwab soro « Studio Konzert » — Sortie : 2017 / Neuklang h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod jazz magazine (mensuel) — 05/17 pochette « gatefold»,commeilsedoit. gravure. Belle sa de donc Et son. du plastique la de profiter pleinement de permet bien balancéeselonlesmomentsetpièces,uneécouterépétée etattentive peu courant. La contrebasse de Raphaël Schwab est captée de façon très douce, où lesdeux complices témoignent d’une juste diversité d’approche decethème aérienne. Relevonsencore unetrès belleversionde« Ba-LueBolivarBa-Lues-Are », Eyes » oùJulienSoro faitentrer envibrationsonaltod’unefaçonàlafoisdenseet cents très cool(LeeKonitz),« Jitterburg W https://www.citizenjazz.com/Raphael-Schwab-Julien-Soro.html vera des versions de standards dont ils ont l’habitude, « Alone À côtédequelquesreprises dethèmesissusleursdisquesprécédents, ontrou- que dubonheur, etexemplaires numérotés. déjà Bref, dématérialisés. préalablement fichiers de matérielle faussement version les conditionsdeprisesonetfabrication des vinylesvintage,etnondansla ont donc accepté les risques du direct, règle du jeu de ces concerts enregistrés dans Schwab etJulienSoro endate :V estunhabituédecelabel(dernier Ducret etV desmusiciensfrançais)auT qui concerne Attention, 33 tours!Le22°StudioKonzert de chezNeuklangfaitsuite (pour ce RAPHAËL SCHW citizenjazz (web)—07/17 LP 4081). Le duo que forment Raphaël incent Peirani(SudioKonzertNLP4081).Leduoqueforment AB &JULIENSORO rio Journal IntimeaccompagnéparMarcrio Journal altz », ouencore « SmokeGetsInYour T ogether Philippe Méziat olons !),etils » aux ac- presse étrangère

stereoplay (MENSUEL) — 04/17 h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod https://www.hifitest.de/test/schallplatte/neuklang-raphal_schwab_und_julien_ hifistars (trimestriel) — 06/17 soro_-_studio_konzert_14421 hifitest.de (web) — 09/17

Raphaël Schwab & Julien Soro - Studio Konzert

Was großartige Aufnahmetechnik auszurichten vermag, ist bei den Studio-Konzerten von Neuklang schon immer zu bewundern gewesen. Sie tritt umso deutlicher zutage, je weniger Instrumente an der Aufnahme beteiligt sind. Die aktuelle Veröffentlichung beschränkt sich auf derer zwei, nämlich den Kontrabass von Raphaël Schwab und das Altsaxofon von Julien Soro. Das französische Duo spielt schon seit einigen Jah- ren zusammen, so dass sich zwischen ihnen ein blindes Verständnis füreinander en- twickeln konnte. Die Idee eines Duos aus Bass und Saxofon trugen sie seit 2011 mit sich herum, drei Jahre später konnten sie sie erstmals in eine Aufnahme umsetzen. Diese hat inzwischen einen Nachfolger bekommen, bevor nun die Königsdisziplin anstand: ein Livekonzert, das analog mitgeschnitten wird und jedes Detail unver- fälscht an den heimischen Hörer weitergibt. Sie stellen sich dieser Herausforderung mit klassischen Jazzstandards, in die sie drei eigene Nummern von ihrem ersten Album einstreuen. Für die Komposition dieser Stücke ist Raphaël Schwab zuständig, dessen Kontrabass hier in seiner ganzen Wärme akustisch eingefangen wurde. Das Altsaxofon ertönt mit reichlich Schmelz und komplettiert den Dialog, der aufgrund seiner Intimität bei manchem Zuhörer dazu führt, dass er vergisst, einzuatmen.

Wie sie den Kompositionen von Thelonious Monk, Fats Waller oder Miles Davis mit ihrer reduzierten Art auf den Leib rücken, das begeistert nachhaltig, ebenso die Qualität der Aufnahme, die jede Nuance konserviert hat und dem heimischen Hörer das Gefühl vermittelt, als hätte sich das Duo zu einem Hauskonzert eingefunden. Als Favorit habe ich den „Jitterbug Waltz“ ausgemacht, der Intimität und Lebendigkeit miteinander verbindet. Das Finale mit „Smoke Gets in Your Eyes“ ist der ideale Ab- sacker für dieses tolle Konzert.

Fazit Eines der delikatesten Konzerte, deren man habhaft werden kann!

Ralf Henke schwab soro « Volons ! » — Sortie : 2016 / Neuklang h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e

• Disque Élu Citizenjazz • • Lauréats Jazz Migration 2016 • agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod extraits de presse « Volons ! »

« Un tournemain qui a gagné en adresse au fil des concerts, « Même un titre tel que „Jéroma“, dans lequel le saxophone alto nombreux en 2016 grâce au dispositif Jazz Migration. » tournoie comme un martinet dans un ciel étoilé et dans lequel les — Jazz Magazine 11/16, Franck Bergerot notes de la basse s’aplatissent comme des gouttes de pluie au ralenti avant d’éclater tout doucement sur un sol en bois, suffit à lui seul « Promesse tenue pour ce deuxième album d’un duo tout à la l’acquisition de ce CD.“ — Jazzthing 11/16, Reiner Kobe fois tapageur et d’une inouïe maturité. Deux instrumentistes incandescents, planant sur des courants où nul n’a jusqu’ici plané. » « Un humour plaisant, jamais envahissant, qui se ballade tel un fil — Jazznews 12/16, Pierre Tenne rouge le long des neuf titres. Le fait que les deux musiciens maitrisent leur instrument d’une main de maitre est peut-être superflu, le duo « Volons !, c’est (..) ce magnifique album à la prise de son magistrale, l’ayant déjà prouvé pour leur premier album » où s’entendent deux musiciens qui fascinent au sein de Ping Machine — Jazz Podium 11/16, Rainer Bratfisch ou ailleurs, dans une formule singulière mais qui marche terriblement. Volons ! s’ils le veulent, nous les suivons, jusqu’au bord du précipice « Il y a une habitude de jeu entre les deux, bien sur, mais ici elle au-dessus duquel ils nous élancent.“ — DJAM 10/16, Pierre Tenne est réellement transcendée. Il en découle un disque apaisé et immédiatement agréable. Le genre qui fait du bien, sans autre forme « Le point d’orgue est peut-être cette « Jolie valse joyeuse » qui, à de débat. C’est appréciable. » h é l i c on elle-seule, définit parfaitement l’esprit d’une musique en liberté » — Franpisunship.com 11/16, Franpi Barriaux — Citizenjazz 10/16, Denis Dessassis « Julien Soro et Raphaël Schwab ont (..) largement fait la preuve de la « Qui veut voler avec eux est chaleureusement invité » réussite de leur petite entreprise commune et ce disque le confirme — Jazzthetik 11/16, Thomas Kölsch brillamment. » — Culturejazz 12/16, Thierry Giard

« Le duo Schwab Soro prend son envol et l’on ne peut que vouloir

égazz & L’ & p égazz a l e l’imiter, tant on a besoin de légèreté. Raphael et Julien prennent leur élan et l’on accompagne ce grand saut, un deuxième album, vers la renommée hors frontières qu’ils n’auront pas volée. » — Citizenjazz 11/16, Anne Yven agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod jazz magazine (mensuel) — 11/17

jazz news (mensuel) — 12/17 http://www.citizenjazz.com/Schwab-Soro-3473906.html http://www.djamlarevue.com/blog/2016/10/7/schwab-soro-volons citizenjazz (web) — 11/16 djam (web) — 10/16

Volons ! Volons !

Le duo Schwab Soro prend son envol et l’on ne peut que vouloir l’imiter, tant on Dans le jazz d’aujourd’hui, on sort rarement d’un album ou d’un concert avec une a besoin de légèreté. Raphael et Julien prennent leur élan et l’on accompagne ce ritournelle en tête, qu’on sifflote, chantonne, tape du pied ; seul et abruti moqué par grand saut, un deuxième album, vers la renommée hors frontières qu’ils n’auront pas les enfants dans les rames du métro. C’est dommage. Prenez les standards : c’est volée. Lauréats de la dernière tournée Jazz Migration, ceux dont on a déjà ici souli- bien joli. Mais dans le jazz d’aujourd’hui, on trouve aussi des compositeurs comme gné la grande complicité et la fraîcheur redoublent encore de tendresse. Il n’est pas Raphaël Schwab qui ici fait pousser la chansonnette, d’une « Jolie Valse Joyeuse » vain de le dire, car il est assez rare qu’un duo acoustique au son si nu, accompagné entêtante ou d’un « Volons » pénétrant. Rien que pour ça, Volons ! donc d’une grande exigence, détienne un tel potentiel de séduction. Ici l’aisance et la joliesse sont maîtresses et assumées. Pourtant, il serait absolument injuste et désinvolte de réduire ce duo à cette sorte de quintessence mélodique qu’il trouve bien souvent, tant les deux compères furètent « Jolie valse joyeuse » n’a rien d’une publicité mensongère, même si les prota- dans tous les coins mis à leur disposition par une formation saxophone alto/basse gonistes échappés de Ping Machine, très joueurs, manient bien le second degré. qui laisse maints espaces, autant de libertés. Julien Soro et Raphaël Schwab mettent Cette composition bonbon agit sur le cerveau comme une ritournelle déclenche des tout leur talent, qui est grand voire extraterrestre, au service de compositions et envies de printemps. Attention, il est question de sucre lent : ça tourne encore long- d’une expressivité proprement stupéfiantes par l’équilibre singulier qu’ils dénichent temps en tête après l’écoute. « Jérôma » possède aussi ce gimmick puissant, une entre le contrôle prédestiné de l’écriture et une candeur improvisée qui émeut. Le mélodie chargée d’une sensualité que l’on n’osait entrevoir dans ce duo. Le timbre canevas de cette musique est sauvagement beau, brutalement polyglotte et sage- de l’alto de Soro n’a en effet jamais été si velouté, si charmeur, en un mot si beau. ment doux sans que jamais l’on ne se demande si ces deux musiciens ont vieilli, ont compromis, ont tergiversé, ont manigancé. Non, c’est franchement chouette. Contrebassiste élémentaire - car prouvant sa force dans l’épure - et non rudimen- taire, Raphaël Schwab, par modestie, se paye le luxe d’éviter moult soli gonflés, Plus que chouette, ça déchire. Parce qu’au-delà d’un propos maîtrisé et original, il alors qu’il signe presque toutes les compositions. Il sollicite toujours son compa- fait entendre une entente rien moins que fusionnelle entre deux musiciens à l’iden- gnon, lui offre la rampe de lancement idéale pour de belles échappées, chargées de tité tout plus que prononcée et forte, qu’on n’aurait pu croire qu’ils s’entendissent subtils clins d’œil à d’autres altistes, loin de ses habitudes cependant. Solidifié, sur (dissent dissent) tant dans cette formule complexe du duo s’il n’en faisait la preuve ce disque, ce dialogue basse-saxophone sonne comme une évidence, prenant des sans cesse depuis longtemps. L’économie de la basse de Raphaël Schwab et le dé- airs de déjà-vu sans pourtant rejouer aucun standard. ferlement de Julien Soro, l’onirisme de l’alto tout contre la plénitude d’une ligne de basse réduite à son plus substantiel squelette : c’est une ‘’Lente Progression’’ qui Les références - du M-Base de que Julien Soro, habituellement au nous a tout retournés, vidés, emplis, caressés, malaxés, envolés. ténor, tutoie sur d’autres projets, au jazz-rock des groupes Kami Quintet et Light Blazer dans lesquels il a su se rendre indispensable - le saxophoniste les troque ici Volons !, c’est alors ce magnifique album à la prise de son magistrale, oùs’en- pour des mélopées issues des musiques populaires dites « à danser » (valse, mambo) tendent deux musiciens qui fascinent au sein de Ping Machine ou ailleurs, dans une ou un doux minimalisme qui n’aurait pas déplu à Satie (sur « Lente progression »). formule singulière mais qui marche terriblement. Volons ! s’ils le veulent, nous les En réalité, cette envolée de Schwab Soro, c’est une propulsion vers plus de fond. suivons, jusqu’au bord du précipice au-dessus duquel ils nous élancent.

Anne Yven https://www.citizenjazz.com/Les-voyages-de-NJP-au-chapiteau-de-la-Pepiniere.html citizenjazz (web) — 10/16

Les voyages de NJP au chapiteau de la Pépinière

Il est venu présenter son dernier disque, Red & Black Light, en grande formation. Le public a répondu massivement à l’appel d’Ibrahim Maalouf qui lui a offert un grand spectacle pendant deux heures. Ce qui ne saurait faire oublier le jazz ludique et intimiste du duo Schwab Soro ni même l’esprit voyageur d’Ilhan Ersahin et ses « Istanbul Sessions ».

Dans un tel contexte, on imagine bien que la mission du duo composé de Raphaël Schwab (contrebasse) et Julien Soro (saxophone alto) n’était pas des plus aisées. Un sacré défi en effet que d’ouvrir la soirée et de concilier un jazz funambule, ludique et intimiste, avec la présence massive et bruyante du public qui n’avait par avance d’yeux et d’oreilles que pour Ibrahim Maalouf. Tirons notre chapeau à ces magni- fiques artistes, car voilà bien deux musiciens aguerris (notamment du côté de Ping Machine) qui s’en sont sortis haut la main pendant près de quarante-cinq minutes : après avoir ouvert leur set par Thelonious Monk (« Ba-Lue Bolivar Ba-Lues-Are »), ils ont exploré avec beaucoup de légèreté et de virtuosité les compositions de Ra- phaël Schwab, celles qu’on peut découvrir sur Volons !, leur deuxième album qui verra très bientôt le jour chez Neuklang. Une écoute vivement recommandée et un disque, tout comme le concert, dont le point d’orgue est peut-être cette « Jolie valse joyeuse » qui, à elle-seule, définit parfaitement l’esprit d’une musique en liber- té. Bravo Schwab Soro, nous avons bien volé avec vous !

Sur la platine : Volons ! (Neuklang - 2016)

Denis Dessassis http://www.culturejazz.fr/spip.php?article3237 http://www.culturejazz.fr/spip.php?article3006 culture jazz (web) — 01/18 culturejazz (web) — 10/16 Les Pérambulations Du Pérégrin - 82 la nouvelle année civile, ce 13 janvier dernier, avec le duo de Raphael Schwab et Julien Soro. Dans la pe- Cent trente troisième épisode tite salle du Pêle- mêle café de Montmerle sur Saône, Volons ! les deux musiciens offrirent deux sets de grande fac- Or donc, après l’hibernation officielle due aux fêtes ture architecturés autour de leurs compositions et de Dans l’article qu’il avait consacré à ce duo en mai qui vida de leur substance la programmation de divers standards parfaitement choisis (Stardust, I let a song 2014 à propos de leur premier disque, Pierre Gros lieux que le pérégrin fréquente usuellement, la lumière go out of my heart, Monk’s dream, Subconcious Lee, pointait les difficultés (et les pièges) de la formule revint cette fin de semaine avec un bien beau et bon Solar, Sentimental journey). Nous notâmes à cette contrebasse-saxophone. Il mettait ainsi en évidence concert. Au fait, le barbu hippie, lui, a fait ses 2018 occasion que leur duo (six ans d’âge), issu de Ping les qualités de ce duo qui a pris son envol (Volons !) ans. Mais qui paye sa retraite ? Putain de question, Machine, possède des caractéristiques assez inhabi- et parcouru les scènes de France et d’ailleurs dans n’est-ce pas ? Enfin bref, finie la capitolade festive, tuelles dans cet espace discret de dialogue musical le cadre du dispositif Jazz Migration. Julien Soro et plus de fruits de mer en vue, plus de génocide volail- intense. Fort charpentée et puissante, leur musique Raphaël Schwab ont donc largement fait la preuve ler, plus de marrons glacés ou non, le sapin au feu, le s’affranchit avec brio du théorème selon lequel le duo de la réussite de leur petite entreprise commune et foie au clou, plus rien, nada, sinon du jazz et, éventuel- est par essence doux, paisible et intime (bref, qui fait ce disque le confirme brillamment. (lire « Histoire de lement de l’eau gazeuse pour les plus atteints. Il faut pas de bruit). Impétueux et lyriques, poétiques et mé- potes » sur CultureJazz -...ici...). savoir pérambuler léger. Nous vous prions d’apprécier lodieux, Schwab et Soro évoluèrent sur des structures ces temps nouveaux et prometteurs où les jours ral- régulièrement atypiques où l’harmonie et la sponta- Thierry Giard longent timidement mais sûrement, de les savourer néité tinrent une place de choix. De la belle ouvrage, avec la musique que l’on très expressive, non dénuée d’onirisme, pour une soi- aime. A ce propos, nous avons reçu en partage le cof- rée non exempte d’humour et de convivialité avec un fret de cinq disques, avec un livret de qualité, couvrant public joyeusement participatif. Mais nous étions en une période allant de 1974 à 1982, sorti à l’occasion terre beaujolaise. Ceci explique peut-être cela. C’était de soixante-quinze ans du guitariste Philip Catherine. un 13 janvier donc, jour qui vit hélas en 2007 la dispa- Quatre albums anciens et introuvables en CD plus rition de Michael Brecker. Pour vous consoler, sachez un concert inédit. L’occasion pour celles et ceux qui que c’était aussi « la journée mondiale sans pantalon » pensent que l’anglo-belge est juste mainstream de à laquelle nous n’avons pas participé, ignorant que s’apercevoir qu’il a été par le passé, à l’époque où nous étions de cet événement poilant. Mingus l’appelait « Young Django », plus aventureux qu’il ne l’est aujourd’hui. Oui, on aime, c’est la petite Yves Dorison phrase consacrée dans l’espace culturejazzien où nous sévissons. Ah ! Toute une époque dirions-nous éga- lement si n’avions pas peur de passer pour un vieux con (trop tard...). Mais une période assurément foison- nante dont l’influence est encore palpable en ce dé- but hésitant de XXIème siècle merdique dans lequel se démènent encore des associatifs enragés au service de la culture et du jazz en particulier ; le Chien à Trois Pattes de Michel Dugelay, par exemple, qui débuta http://www.franpisunship.com/archives/2016/11/18/34543731.html franpisunship (web) — 11/16

Raphaël Schwab & Julien Soro - Volons !

On retrouve non sans un certain plaisir les aventures pas. Les deux musiciens travaillent le thème, diver- cartoonesques de Raphaël Schwab et Julien Soro, gent, puis s’entrecroisent de nouveau. Soro sautille sur respectivement contrebassiste et saxophoniste de les cordes dures mais bondissantes de Schwab. C’est Ping Machine. Nous les avions quitté avec l’orchestre dense, comme un élan final avant de sauter la falaise, en Juin. Easy Listening et Ubik sont un des coups de sans peur de la chute. force de l’année en cours où le contrebassiste avait Le grand Douglas Adams l’avait théorisé : pour vo- une place centrale. ler, il suffit de rater le sol en tombant ; jamais le duo C’est lui qui signe l’ensemble des titres de de Volons n’a contact avec la terre ferme. Quand la contrebasse !, le nouvel album du duo après Schwab & Soro, que semble proche de l’heurter, il remonte dans un féraille- nous avions à juste titre salué. Tous les morceaux, à ment qui ressemble à un battement d’aile. C’est ainsi l’exception du très tortueux «De Conserve», que l’on qu’il faut envisager «Posément», morceau beaucoup doit aux deux musiciens et qui semble en improvisa- plus complexe qu’il y parait au premier abord. En réa- tion pure, qui se rapproche d’une tradition free que le lité, c’est le saxophone qui replace son comparse dans duo avait observé de plus loin dans le premier album. les nues : dans ce morceau, l’alto ne touche pas terre. Mais ce n’est qu’un vol en approche : le reste est très Ce n’est pas lyrique, c’est une sorte de mousseline écrit et fait large part au talent de Schwab. poétique qui nimbe l’ensemble de l’album. Le premier album montrait en quelques sorte Elle permet tous les loopings possibles sur «Jolie valse l’exosquelette des orchestres auxquels les deux joyeuse» qui est assurément le sommet de l’album, hommes participent (il y a aussi Big Four). Volons ! est du moins son point le plus haut qui donne des ailes plus personnel, moins pudique. à Schwab. C’est une véritable fraternité qui est montrée ici, sans Son solo, au centre du morceau est un temps suspen- fard, et avec une humanité qui éclôt de chaque mor- du... ceau, en douceur, sans heurts. En l’air toujours, même lorsqu’il y a des montagnes Ainsi «Jérôma» est un moment de douceur où la russes et des trous d’air comme sur «Volons» où les contrebasse très boisée est caressante, même quant vents sont tournants et les climats changeants. les pizzicati enflent en même temps qu’un alto devenu C’est fou ce qu’il faut comme écoute pour être en telle plus clair que dans le disque précédent. Il y a bien sur proximité. Il y a une habitude de jeu entre les deux, ce léger son trainant qui laisse quelques scories sur bien sur, mais ici elle est réellement transcendée. Il en son passage, mais la pâte musicale est très amalga- découle un disque apaisé et immédiatement agréable. mée. Le genre qui fait du bien, sans autre forme de débat. Il y a une intimité évidente entre les deux, plus qu’une C’est appréciable. amitié, une légèreté qui de fait, permet de s’envo- ler. C’est tout ce qu’on entend dans le «Mambo» très Et une photo qui n’a strictement rien à voir... mutin qui ouvre l’album et qui semble répondre à la «Valse-Farandole» du premier album. Il y a un élan qui se nourrit d’une jolie mélodie mais ne s’en contente Compagnie musicale pégazz & L’hélicon Presse & Booking : Marianne Clair / [email protected] / +33 650 13 87 99 Com & Prod : Juliette Dubus / [email protected] / +33 632 33 84 23 presse étrangère

jazzpodium — 11/16

jazzthing (MENSUEL) — 2016 bad alchemy — 09/16 rohrblatt — 12/16

SCHWAB SORO Volons !

Lust zu fliegen haben viele, und landen als Melodie, die Soro so zartbitter anbläst, dass Flughörnchen im Graben, als Fressen für die man mitseufzen möchte. Ganz sanftes Paul Raben. Julien Soro und Raphaël Schwab flie- Desmond-Feeling, der Ton zerbrechlich wie ein gen auf andre Weise. Dabei nutzen sie den Soprano. Dem Fliegen wird aber doch noch Auftrieb durch Ping Machine, wo Soro Alto- ‚Volons‘ als Geschmacksverstärker zugeführt, sax spielt und Schwab den Kontrabass. Soro der Laune macht auf Loopings. Doch gemach, hatte auch schon in Big Four, einem Able- auch Vögel waren erst mal Echsen, viele kleine ger aus lauter Ping-Maschinisten, zur Vorsi- Schritte sind nötig, um leichter zu werden als cht gemahnt: Mind the Gap. Mit den Armen Luft. Während der Bass geduldig läuft, verliert rudern, bringt nichts, Sprungkraft ist ange- das Alto zwischen Sehnsucht und Resignation sagt und noch besser mindert Tanzen die die Bodenhaftung. Um zuletzt auf Sanges Flü- Schwerkraft. Zwei Mambos und ein Walzer geln ein usw. zu flattern, in einem Takt, zu abs- animieren hier dazu, sich leicht und locker trakt für Hüftschwünge, dafür gut zu erkennen zu machen. Schwab hat derart schnelle und als sanfte Ironie. kraftvolle Finger, dass er mit den Luftschlan- gen seines Partners so fix mithält, wie der [BA 92 rbd] Schatten zum Tänzer. ‚Posément‘ nimmt sich selber wörtlich, mit bedächtigen, tagträu- merischen Lyrismen unter dunklem Vorbe- halt. Umso quicker und fröhlicher sticht das Walzerchen davon ab. Das Alto wirbelt, dass der hellen Saum fliegt, das Pizzikato krab- belt melodisch die Tonleiter rauf und runter, muss aber mit ohrwurmigen Kringeln etwas aus dem mathematischen Tran gebracht werden. ‚Groupes‘ taucht so tief in Tristesse, dass es fast stillsteht. Bei ‚De conserve‘ zirpt und federt Schwab mit dem Bogen und singt auch schön arco mit. Für ‚Jérôma‘ pickt er die Noten einzeln und scrabblet daraus eine jazzthetik — 11/16 byte.fm (web) — 29/10/16

playlist in between ears

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7 . Michael Fix / A Day In The Life — Bending Air / Acoustic Music

8 . The Beatles / A Day In The Life — The Blue Album / Apple

9 . Schwab Soro / Volons! — Volons! / Neuklang

10 . Schwab Soro / Mambo — Volons! / Neuklang

11 . Twelfth Day / Noise Show — The Devil Makes Three / Tasal

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radio ara — 11/09/14

l’émission qui fait jazzer pascal DORBAN

Jazz.com L'émission qui fait jazzer émission du 13/10/16 avec Pascal Dorban

Artist Title CD/LP Label Composer YUSUF LATEEF THE BEGINNING MILESTONES OF A LEGEND 10 CD BOX MEMBRAN YUSUF LATEEF HANK MOBLEY WHEN I FALL IN LOVE THREE CLASSIC ALBUMS PLUS AVID HEYMAN/YOUNG CELINE BONACINA TRAILS IN THE SKY CRYSTAL RAIN CRISTAL RECORDS CELINE BONACINA BEN WENDEL FALL WHAT WE BRING MOTEMA BEN WENDEL CATHERINE RUSSELL BLUE TURNING GREY OVER YOU HARLEM ON MY MIND JAZZ VILLAGE FATS WALLER/ANDY RAZAF CAROLL VANWELDEN COMECAR DE NOVO PORTRAITS OF BRAZIL ENJA YELLOWBIRD IVAN LINS EMPATHIA JAZZ DUO GUARDE NOS OLHOS INSIDE MPI I. LINS/U. MARTINS MARIA SCHNEIDER ORCHESTRA feat. TOOTS/LINS LEMBRA DE MIM THE THOMPSON FIELDS ARTISTSHARE IVAN LINS ANTONIO ONORATO & FRANCO CERRI BLUESETTE ANTONIO ONORATO & FRANCO CERRI ABEAT RECORDS T. THIELEMANS GIOVANNI SCASCIAMACCHIA QTET TARTARUGA MY ROMANCE ABEAT RECORDS GIOVANNI SCASCIAMACCHIA EMANUELE CISI THE SILVER HOUSE CLEAR DAYS, WINDY NIGHTS ABEAT RECORDS EMANUELE CISI MASSIMO VALENTINI FANOLLA BONISTE JUMBLE ABEAT RECORDS MASSIMO VALENTINI CLAUDIO FILIPPINI VOILA OVERFLYING CAM JAZZ CLAUDIO FILIPPINI VITTORIO MEZZA TRIO TU VUO FA' L'AMERICANO NAPOLI JAZZ SONGS ABEAT RECORDS RENATO CAROSONE JOEY ALEXANDER CITY LIGHTS COUNTDOWN MOTEMA JOEY ALEXANDER STEPHAN PLECHER TRIO THE TANGO THEORY JUNGFERNBALLETT TCB STEPHAN PLECHER RAY CHARLES ORCHESTRA GEORGIA ON MY MIND ZURICH 1961 TCB H.CARMICHAEL/S.GORRELL ALLAN HARRIS A LITTLE BIT SCARED BLACK BAR JUKEBOX MEMBRAN ALLAN HARRIS JON LUNDBOM & BIG FIVE CHORD ENFANT MAKE THE CHANGES HOT CUP RECORDS ORNETTE COLEMAN M.E.A.N. WALZE CLARA PARK JHM MARTIN LUDWIG AUER PILZ/COGNARD LES TRAVEES BASSES DES FACADES RESSUAGE JHM PILZ/OKI/DUBOC/COGNARD SCHWAB/SORO MAMBO VOLONS NEUKLANG RAPHAEL SCHWAB schwab soro « Schwab Soro » — Sortie : 2014 / Neuklang h é l i c on égazz & L’ & p égazz a l e

• Meilleur album de l’année • • „CHOC de L’ANNÉE“ 2014 Jazz Magazine • • „DÉCOUVERTE“ Jazz News • agnie musi c agnie Com p Presse & Booking : Marianne C lair / [email protected] +33 650 13 87 99 Presse : Juliette D ubus / [email protected] +33 632 33 84 23 C om & Prod jazzthetik (MENSUEL) — 11/14 jazz podium (MENSUEL) — 10/14 jazz zeitung — 09/14 rohrblatt — 10/14

http://www.hr-online.de/website/radio/hr2/ jazz now (web) — 11/14

montags + donnerstags:montags Jazz Now + 22:30-23:00 donnerstags Uhr | hr2 | hr-o... : http://www.hr-online.de/website/radio/hr2/index.jsp?rubrik=... jazz now 22:30 - 23:00 Uhr

02 Label / Nummer: Rough Trade / Whirlwind Records WR4658 Labelcode / web: LC keine Angabe www.whirlwindrecordings.com Interpret: JOCHEN RUECKERT Cut / Titel / Comp: #006 The Cook Strait (Jochen Rueckert) Album / CD: We Make The Rules

03 Label / Nummer: Edel:kultur / Neuklang Records NCD4090 Labelcode / web: LC 13834 www.neuklangrecords.de Interpret: SCHWAB SORO (RAPHAËL SCHWAB & JULIEN SORO) Cut / Titel / Comp: #008 Confirmation (Charlie Parker) Album / CD: Schwab Soro

04 Label / Nummer: Rough Trade / Skycap Music eNR023 Labelcode / web: LC keine Angabe www.janklare.de Interpret: 1000 + 1 (JAN KLARE / BART MARIS / WILBERT DE JOODE / MICHAEL VATCHER feat. EUGENE CHADBOURNE) Cut / Titel / Comp: #006 Silvery Blue (Eugene Chadbourne) Album / CD: Butterfly Garden

05 Label / Nummer: New Arts International / Intuition Records INT3441 2 Labelcode / web: LC 08399 www.intuition-music.com Interpret: ROLF KÜHN Cut / Titel / Comp: #011 Leeaison (Rolf Kühn) Album / CD: Timeless Circle ¬– Remastered / 85th Birthday Edition (Compilation)

06 Label / Nummer: In-Akustik / In & Out Records IOR CD 77120-2 Labelcode / web: LC 07588 www.inandout-records.com Interpret: CHRISTIAN MUTHSPIEL & STEVE SWALLOW Cut / Titel / Comp: #007 (F)all Blues (Christian Muthspiel) Album / CD: Simple Songs

Donnerstag 16.10.14 22:30-23:00 Uhr

Musik und Moderation: Guenter Hottmann

01 Label / Nummer: Edel:kultur / ACT 9627-2 Labelcode / web: LC 07644 Interpret : RITA MARCOTULLI & LUCIANO BIONDINI DUO ART Cut / Titel / Comp: #001 Aritmia (Luciano Biondini) Album / CD: La Strada Invisibile

02 Label / Nummer: Universal Music / ECM Records 2400 Labelcode / web: LC 02516 Interpret: MARCIN WASILEWSKI TRIO w/ JOAKIM MILDER Cut / Titel / Comp: #008 Still (Joakim Milder) Album / CD: Spark Of Life

03 Label / Nummer: Harmonia Mundi / Sennheiser Media SENMECD/DVD001 Labelcode / web: LC keine Angabe www.sennheiser.com Interpret: A BU TRIO Cut / Titel / Comp: #006 A Night In Tunesia (Dizzy Gillespie / Frank Paparelli) Album / CD: 88 Tones Of Black & White

04 Label / Nummer: Edel:kultur / ACT 9579-2 Labelcode / web: LC 07644 Interpret: MICHAEL WOLLNY TRIO Cut / Titel / Comp: #007 Gorilla Biscuits (Eric Schaefer)

7 von 27 24.11.14 15:04 radio ara — 11/09/14 http://o94.at/radio/sendung/klassik-um-3/1282006/ ORANGEor 94.0 » Sendungange (94.0) — 17/05/14http://o94.at/radio/sendung/klassik-um-3/1282006/

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RADIO SAMSTAG 17.05.2014 15:00 - 16:00 SENDETERMINE

Mitmachen ÜBER DIE SENDUNG 02.08.2014 09.08.2014 o94 App no new song 16.08.2014 Programm KLASSIK UM 3 23.08.2014 without an old one 30.08.2014 Sendereihen

KLASSIK UM 3 KLASSIK ALLER EPOCHEN.influences beetween SONDERREIHEN. musical styles in modern times Alle Sendetermine no new song - Omer Avital: New Song (2013); Omer Avital, doublebass & band; Alle Sendetermine RADIO SAMSTAGLabel: 17.05.2014 abeille musique/harmonia 15:00 - 16:00 mundi SENDETERMINE Radiomacher_innen

LiveMitmachen Stream - John Cage: ÜBERIn a landscape DIE SENDUNG (1948); Steffen Schleiermacher, piano; 02.08.2014 Label: MDG 09.08.2014 Nachhöreno94 App no new song 16.08.2014 Support - Ketil Bjørnstad & David Darling: The River (1997, excerpts); Ketil Programm 23.08.2014 Bjørnstad, piano; David Darling, Cello; Label: ECM without an old one 30.08.2014 Sendereihen - Miles Davis: No Line (1956); Miles Davis, trumpet & his Quintet; KLASSIK UM 3 Label: Membraninfluences beetween musical styles in modern times Alle Sendetermine no new song - Traditional: A- OmerTisket AAvital: Tasket; New SWR Song Big Band,(2013); Fola Omer Dada Avital, (voc.); doublebass & band; Alle Sendetermine Label: hänsslerLabel: CLASSIC abeille musique/harmonia mundi Radiomacher_innen - Steve Reich: Piano phase (1967); Kevin Griffiths, piano; Label: cpo Live Stream - John Cage: In a landscape (1948); Steffen Schleiermacher, piano; Label: MDG Nachhören - Pérez Prado: Qué Rico Mambo & Mambo No.8 (1950); Banda Sinfónica Simón Bolívar, leader: Thomas Clamor; Label: GENUIN Support - Ketil Bjørnstad & David Darling: The River (1997, excerpts); Ketil - Leon Spencer:Bjørnstad, You talk thatpiano; talk David(1971); Darling, Eric Alexander, Cello; Label:tenorsax ECM & band; Label: Highnotes/ZYX - Miles Davis: No Line (1956); Miles Davis, trumpet & his Quintet; - Raphael Schwab: Marche vers l'avant (2013); Julien Soro; tenorsax; Label: Membran Raphael Schwab, doublebass; Label: Neuklang

- Duo Catch-Pop- Traditional: String-Strong: A Tisket Phil´s ATune Tasket; (2010); SWR Jelena Big Popr Band,žan Fola& Dada (voc.); Rina Kaçinari,Label: violin andhänssler cello; Label:CLASSIC col legno

- Iannis Xenakis:- Steve Waarg Reich: (1988, Piano excerpt); phase Contempoartensemble, (1967); Kevin Griffiths, piano; Label: cpo leader Mauro Ceccanti; Label: ARTS - Pérez Prado: Qué Rico Mambo & Mambo No.8 (1950); Banda - radio.string.quartet.vienna: Cannonball (nach dem 1966 für Sinfónica Simón Bolívar, leader: Thomas Clamor; Label: GENUIN Cannonball Adderley komponierten Hit "Mercy, Mercy, Mercy" von Joe Zawinul); live 2012 in Warsaw; Label: ACT/edel - Leon Spencer: You talk that talk (1971); Eric Alexander, tenorsax & Anregungen &band; Anfragen: Label: [email protected] Highnotes/ZYX

Eine Sendereihe von: Horst Putz - Raphael Schwab: Marche vers l'avant (2013); Julien Soro; tenorsax; Raphael Schwab, doublebass; Label: Neuklang

NÄCHSTER SENDUNGSTERMIN - Duo Catch-Pop String-Strong: Phil´s Tune (2010); Jelena Popržan & Samstag 24.05.2014 15:00 - 16:00 Rina Kaçinari, violin and cello; Label: col legno time will tell - Iannis Xenakis: Waarg (1988, excerpt); Contempoartensemble, leader Mauro Ceccanti; Label: ARTS

- radio.string.quartet.vienna: Cannonball (nach dem 1966 für Cannonball Adderley komponierten Hit "Mercy, Mercy, Mercy" von 1 von 2 Joe Zawinul); live 2012 in Warsaw; Label: ACT/edel 28.07.14 15:06

Anregungen & Anfragen: [email protected]

Eine Sendereihe von: Horst Putz

NÄCHSTER SENDUNGSTERMIN

Samstag 24.05.2014 15:00 - 16:00 time will tell

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