Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

1. Arrêtés ...... 2 1.1. Préfecture - DCSE ...... 2 2011-DCSE-SEC-08 — Arrêté préfectoral portant déclassement du domaine public d'un immeuble domanial sis à , en vue de son aliénation ...... 2 1.2. Préfecture - Direction de la coordination des services de l'État ...... 3 11/PCAD/158 — Arrêté préfectoral du 4 juillet 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Patrick VINCENT, directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre des Yvelines, chargé de l’intérim des fonctions de directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne...... 3 11/PCAD/159 — Arrêté du 4 juillet 2011 Modifiant l’arrêté n°11/PCAD/113 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Madame Elisabeth ROLLAN-LAUNAY, directrice de la coordination des services de l’Etat...... 5 2011/DCSE/M/009 — Arrêté préfectoral autorisant le Syndicat Mixte pour la Géothermie à Coulommiers (SMGC) à rechercher un gîte géothermique à basse température sur le territoire des communes de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le-Chatel, Chailly-en-Brie, , Saint- Germain-sous-Doué et autorisant l’ouverture de travaux miniers sur le territoire de la commune de Coulommiers...... 6 1.3. Préfecture - Direction des services du cabinet et de la sécurité ...... 13 2011/DSCS/PA/034 — Arrêté préfectoral n° 2011/DSCS/PA/034 autorisant le fonctionnement de l'entreprise privée de surveillance et de gardiennage dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP sise à Champs Sur Marne et portant agrément de M. Sié Ignace LATH en qualité de gérant...... 13 1.4. Collectivités territoriales ...... 14 16/11 — REGLEMENT LOCAL DE PUBLICITE SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE D’OZOIR-LA- FERRIERE ...... 14 1.5. DDT - Direction départementale des territoires (équipement - agriculture) ...... 23 2011/DDT/SADR/91 — AP modifiant l'arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SAVRN/117 modifié relatif au 4 ème programme d'action à mettre en oeuvre en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d'origine agricole ...... 23 2011/DDT/SEPR/287 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M.GAVELLE, lieutenant de louveterie...... 70 2011/DDT/SEPR/288 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Alain TOUTANT, lieutenant de louveterie...... 74 2011/DDT/SEPR/289 — arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. DUVERNE, lieutenant de louveterie...... 79 2011/DDT/SEPR/290 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Pierre-François PRIOUX, lieutenant de louveterie...... 83

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

2011/DDT/SEPR/291 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Jacques DELOISON, lieutenant de louveterie...... 87 2011/DDT/SEPR/292 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Charles CRAPARD, lieutenant de louveterie...... 92 2011/DDT/SEPR/293 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. BONTOUR Frédéric, lieutenant de louveterie...... 38 2011/DDT/SEPR/294 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. WILLEMS Frédéric...... 40 2011/DDT/SEPR/295 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Gilbert DREVET, lieutenant de louveterie...... 105 2011/DDT/SEPR/296 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. PICAUD Robert, lieutenant de louveterie...... 109 1.6. DGFIP ( dont trésorerie générale) ...... 114 delegation derop-paoli_brie — ...... 114 délégation grolleau_nangis — ...... 47 délégation Hespeel_SIP Ouest — ...... 116 délégation Fernandez_SIP Meaux Est — ...... 48 2. Décisions ...... 119 2.1. Cliniques et centres hospitaliers ...... 119 03/2011 — avenant a la décision portant nomination d’un regisseur titulaire, de mandataires suppléants et de préposes a l’encaissement POUR LE SERVICE DES ADMISSIONS, DES CONSULTATIONS EXTERNES ET DE L’IRM ...... 119 2.2. DRIEE - Direction régionale et interdépartementale de l'environnement et de l'énergie ...... 121 — DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC PRESLES EN BRIE ...... 121

1. Arrêtés

1.1. Préfecture - DCSE

2011-DCSE-SEC-08 — Arrêté préfectoral portant déclassement du domaine public d'un immeuble domanial sis à FONTAINEBLEAU, en vue de son aliénation

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

DIRECTION DE LA COORDINATION DES SERVICES DE L’ETAT

Arrêté préfectoral n° 2011-DCSE-SEC-08 portant déclassement du domaine public d’un immeuble domanial sis à FONTAINEBLEAU, en vue de son aliénation

Le Préfet de Seine-et-Marne, Chevalier de la Légion d'honneur,

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU le code général des propriété des personnes publiques (partie législative) et notamment son article L. 2141-1 ; VU le code du domaine de l’Etat et spécifiquement le titre II du livre III (partie réglementaire) relatif à l’aliénation des biens du domaine privé de l’Etat ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements ; VU le décret n° 2008-1248 du 1 er décembre 2008 relatif à l’utilisation des immeubles domaniaux par l’Etat et ses établissements publics ; VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ; VU la correspondance du chef du bureau des affaires immobilières de la gendarmerie nationale du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration en date du 24 juin 2011 ; Considérant que l’emprise de la gendarmerie nationale dénommée "Parc des Subsistances sise Avenue du Maréchal de Villars, 77300 FONTAINEBLEAU, cadastrée section AT, parcelles n° 135 et 141 pour une surface cumulée de 20 827 m² (inscrite au référentiel du parc immobilier de l’Etat sous le n° Refx 153-014) est devenue inutile aux besoins des services du ministère de l’intérieur de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ; Considérant que son déclassement est un préalable indispensable pour assurer la parfaite validité de la cession d’un bien immobilier de l’Etat ; SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture de Seine-et-Marne ;

ARRETE

Article 1 er : Est prononcé le déclassement de l’immeuble ci-dessus référencé. Article 2 : Le Secrétaire Général de la Préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture et dont une ampliation sera adressée à Monsieur le Directeur Départemental des Finances Publiques de Seine-et-Marne.

Fait à , le 5 juillet 2011 Le Préfet Pierre MONZANI

1.2. Préfecture - Direction de la coordination des services de l'État

11/PCAD/158 — Arrêté préfectoral du 4 juillet 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Patrick VINCENT, directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre des Yvelines, chargé de l’intérim des fonctions de directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction de la coordination des services de l’Etat Pôle de la coordination de l’administration départementale

Arrêté préfectoral n°11/PCAD/158 du 4 juillet 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Patrick VINCENT, directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre des Yvelines, chargé de l’intérim des fonctions de directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne.

Le Préfet de Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre,

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU la loi n°82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ;

VU la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires ;

VU la loi n°84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat ;

VU la loi d'orientation n°92-125 du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la République ;

VU l’ordonnance n°59-69 du 7 janvier 1959 instituant, dans chaque département, un service départemental de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre ;

VU le décret n°59-166 du 7 janvier 1959 déterminant la composition, l’organisation, le fonctionnement de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre ;

VU le décret n°90-437 du 28 mai 1990 modifié fixant les conditions et les modalités de règlement des frais occasionnés par les changements de résidence des personnels civils sur le territoire métropolitain de la lorsqu'ils sont à la charge des budgets de l'Etat, des établissements publics nationaux à caractère administratif et de certains organismes subventionnés ;

VU le décret n°92-604 du 1 er juillet 1992 portant charte de déconcentration ;

VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, modifié par le décret n° 2005-1621 du 22 décembre 2005 ;

VU le décret n°2008-158 du 22 février 2008 relatif à la suppléance des préfets de région et à la délégation de signature des préfets et des hauts commissaires de la République en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la prefecture de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le livre V, titre 1 er , chapitre II, section 5 et notamment les articles D 495 à D 501 du Code des anciens combattants et victimes de guerre relatifs au fonctionnement des services départementaux de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre ainsi qu’aux attributions du secrétaire général de l’office ;

VU l’arrêté ministériel en date du 23 février 2009 portant mutation, à compter du 1 er mars 2009, de Monsieur Dominique BUTTE en qualité de directeur du service départemental de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne

VU la décision du préfet, directeur général de l’Office des anciens combattants et victimes de guerre, en date du 20 avril 2011 nommant Monsieur Patrick VINCENT, directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre des Yvelines, chargé de l’intérim des fonctions de directeur du service département de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne ;

SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,

ARRETE :

Article 1er – Délégation de signature est donnée à Monsieur Patrick VINCENT, directeur du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre des Yvelines, chargé de l’intérim des fonctions de directeur du service département de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne, à l’effet de signer dans la limite des attributions du service, à l’exception des circulaires aux maires et de la correspondance avec les ministres, les parlementaires, le président du conseil général, le président du conseil régional, les chefs des services régionaux, les décisions suivantes : a) attestations officielles, décisions d’attribution ou de rejet de cartes :

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

- de combattant, - de combattant volontaire de la Résistance, - de réfractaire, - de personne contrainte au travail en pays ennemi, - d’invalidité, - de titre de reconnaissance de la Nation aux anciens militaires ayant participé aux opérations d’Afrique du Nord ; b) autorisations de congés annuels et autorisations spéciales d’absence du personnel du service départemental de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre de Seine-et-Marne ; c) correspondances relatives au fonctionnement de la commission départementale de l’information historique pour la paix et de son secrétariat ; d) tous les documents relatifs à la manutention des deniers pupillaires, en application des articles D 361 à D 381 du Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre ; e) toutes correspondances courantes relevant de l’activité du service départemental.

Article 2 – Le secrétaire général de la préfecture et le directeur par intérim du service départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Melun, le 4 juillet 2011 Pierre MONZANI

11/PCAD/159 — Arrêté du 4 juillet 2011 Modifiant l’arrêté n°11/PCAD/113 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Madame Elisabeth ROLLAN-LAUNAY, directrice de la coordination des services de l’Etat.

PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

DIRECTION DE LA COORDINATION DES SERVICES DE L’ETAT Pôle de la coordination de l’administration départementale

Arrêté n°11/PCAD/159 du 4 juillet 2011 Modifiant l’arrêté n°11/PCAD/113 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Madame Elisabeth ROLLAN-LAUNAY, directrice de la coordination des services de l’Etat.

Le préfet de Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d'honneur

Vu la loi n°82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ;

Vu la loi d'orientation n°92-125 du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la République ;

Vu la loi organique n°2001-692 du 1 er août 2001 relative aux lois de finances modifiée par la loi n° 2005-779 du 12 juillet 2005 ;

Vu le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et les départements ;

Vu le décret n°2008-158 du 22 février 2008 relatif à la suppléance des préfets de région et à la délégation de signature des préfets et des hauts-commissaires de la République en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie ;

Vu le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la prefecture de Seine-et-Marne ;

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Vu le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

Vu l’arrêté du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration n°11/0083/A en date du 1er février 2011 portant réintégration d’un conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer, mutation, nomination et détachement dans un emploi fonctionnel de conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer (Madame Elisabeth ROLLAN-LAUNAY) ;

Vu l’arrêté préfectoral n°DRHM 2010-3 du 25 novembre 2010 portant organisation des services de la préfecture de Seine-et- Marne et des sous-préfectures,

Vu l’arrêté n°10/PCAD/105 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Serge GOUTEYRON, secrétaire général de la préfecture et organisant sa suppléance ;

Vu l’arrêté n°11/PCAD/113 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Madame Elisabeth ROLLAN-LAUNAY, directrice de la coordination des services de l’Etat ;

ARRÊTE :

Article 1er : L’article 4 de l’arrêté n°11/PCAD/113 du 6 juin 2011 susvisé est rédigé ainsi :

« Article 4 : Délégation de signature est donnée à Madame Maryse PECQUENARD, secrétaire administrative de classe normale, responsable de la cellule « information administrative et diffusion de l’information » rattachée au « pôle de la coordination de l’administration départementale », à l’effet de signer, au titre de l’information administrative et de la diffusion de l’information et en cas d’absence ou d’empêchement à Madame Michèle PRADAYROL, adjointe administrative de 1 ère classe, son adjointe :

1 - les certifications des factures avant paiement (service fait) concernant le domaine de compétence du bureau, 2 – dans la limite des compétences de son affectation : les demandes de renseignements, communications, transmissions aux ministères, aux services et aux particuliers, les décisions d’attribution de congés annuels, les ampliations et notifications d’arrêtés préfectoraux, 3 – l’instruction et la délivrance des attestations et des récépissés relevant des associations syndicales libres et les associations foncières urbaines libres. ».

Article 2 : Le secrétaire général est chargé de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et affiché à la préfecture de Seine-et-Marne et dans les sous-préfectures du département.

Fait à Melun, le 4 juillet 2011 Le préfet, Pierre MONZANI

2011/DCSE/M/009 — Arrêté préfectoral autorisant le Syndicat Mixte pour la Géothermie à Coulommiers (SMGC) à rechercher un gîte géothermique à basse température sur le territoire des communes de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le- Chatel, Chailly-en-Brie, Mouroux, Saint-Germain-sous-Doué et autorisant l’ouverture de travaux miniers sur le territoire de la commune de Coulommiers.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture Direction de la coordination des services de l’Etat Pôle du pilotage des procédures d’utilité publique

Arrêté préfectoral N° 2011/DCSE/M/009 autorisant le Syndicat Mixte pour la Géothermie à Coulommiers (SMGC) à rechercher un gîte géothermique à basse température sur le territoire des communes de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le-

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Chatel, Chailly-en-Brie, Mouroux, Saint-Germain-sous-Doué et autorisant l’ouverture de travaux miniers sur le territoire de la commune de Coulommiers.

Le Préfet de Seine-et-Marne, Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le code minier, notamment ses articles L 112-1 et L 161-1 ;

VU le décret n°78-498 du 28 mars 1978 relatif aux titres de recherches et d'exploitation de géothermie ;

VU le décret n°80-331 du 7 mai 1980 modifié portant règlement général des industries extractives ;

VU le décret n°2006-649 du 2 juin 2006 relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, Préfet de Seine-et-Marne,

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, Sous-Préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne,

VU l’arrêté préfectoral n° 10/PCAD/105 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Serge GOUTEYRON, secrétaire général de la préfecture et organisant sa suppléance,

VU la demande présentée le 06 décembre 2010 par le SYNDICAT MIXTE POUR LA GEOTHERMIE A COULOMMIERS (SMGC), domicilié Mairie de Coulommiers Avenue Charles de Gaulle- 77120 Coulommiers, sollicitant une autorisation de recherche de gîte géothermique sur le territoire des communes de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le-Châtel, Chailly-en-Brie, Mouroux et Saint-Germain-sous-Doué et une autorisation d’ouverture de travaux miniers pour la réalisation de deux forages de recherche d’un gîte géothermique dans la nappe du Dogger sur le territoire de la commune de Coulommiers ; VU les avis émis au cours de l’instruction de la demande conformément à l’article 11 du décret n°78-498 et à l’article 12 du décret n°2006-649 ;

VU l'arrêté préfectoral n° 2010/DCSE/M/022 du 15 décembre 2010 portant ouverture d’une enquête publique conjointe du 19 janvier 2011 au 18 février 2011 ;

VU les registres d'enquête ;

VU le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur reçus en préfecture le 10 mars 2011 ;

VU le rapport et les propositions du Directeur régional et interdépartemental de l'Environnement et de l’Energie d'Ile de France (DRIEE) en date du 03 mai 2011 ;

VU l’avis du Conseil départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques de Seine-et-Marne en date du 26 mai 2011 ;

VU le projet d’arrêté préfectoral statuant sur la demande notifié pour observations au pétitionnaire le 30 mai 2011 en application des dispositions de l’article 15 du décret n° 2006-649 du 2 juin 2006 relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains ;

Considérant l’absence d’observations du pétitionnaire au terme du délai fixé à l’article 15 du décret n°2006-649 du 2 juin 2006 ;

Considérant les mesures prévues pour assurer la protection des eaux souterraines et de surface et le respect de l’environnement ;

SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la préfecture ;

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ARRETE

CHAPITRE 1 : AUTORISATIONS

ARTICLE 1 : AUTORISATION DE RECHERCHES Le Syndicat Mixte pour la Géothermie à Coulommiers (SMGC), ci-après dénommé le titulaire, est autorisé à rechercher par forage le gîte géothermique à basse température du Dogger dans une zone dont la représentation en surface est un quadrilatère dont les coordonnées Lambert II des sommets sont :

Coordonnées des angles du périmètre Coordonnées Lambert II étendu sollicité

X(m) Y(m)

Nord-Ouest 655 333 2 428 433

Nord-Est 658 906 2 426 610

Sud-Ouest 656 627 2 422 157

Sud-Est 653 054 2 423 966

Ce périmètre porte pour partie sur le territoire des communes de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le-Châtel, Chailly-en-Brie, Mouroux, Saint-Germain-sous-Doué.

L’autorisation de recherches est accordée pour une durée de 3 ans à compter de la notification du présent arrêté.

ARTICLE 2 : AUTORISATION D’OUVERTURE DE TRAVAUX MINIERS Le titulaire est autorisé à exécuter les travaux nécessaires à la réalisation de deux puits de recherche (GCO-3 et GCO-4) situés sur le territoire de la commune de Coulommiers et dont les coordonnées prévisionnelles sont (Lambert II Etendu) :

Puits GCO-3(producteur) X(m) Y(m) Z(m NGF) Surface 655 987 2 425 298 + 135 (coordonnées prévisionnelles de la tête de puits) Toit du Dogger 655 731 2 424 741 - 1845 (coordonnées prévisionnelles de l’impact) Puits GCO-4 (injecteur) X(m) Y(m) Z(m NGF) Surface 655 997 2 425 298 + 135 (coordonnées prévisionnelles de la tête de puits) Toit du Dogger 656 231 2 426 047 - 1845 (coordonnées prévisionnelles de l’impact)

CHAPITRE 2 : TRAVAUX DE FORAGE

ARTICLE 3 : AMENAGEMENT DU CHANTIER Avant le début des travaux et pendant toute leur durée, l’emprise du chantier est délimitée et clôturée de façon que toute personne non autorisée ne puisse y pénétrer et avoir accès à une zone dangereuse.

Des pancartes signalant le danger sont placées sur la clôture ou à proximité de la zone clôturée. L’état des clôtures est régulièrement vérifié.

Les portes d’accès ouvrant ces clôtures sont fermées à clé.

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Une ligne téléphonique permettant l'appel des services de secours est présente sur le chantier.

ARTICLE 4 : DEROULEMENT DES TRAVAUX Les travaux de forage et d’équipement des deux puits sont réalisés conformément au dossier de demande et à ses compléments sauf en ce qui serait contraire aux dispositions du présent arrêté ou aux dispositions réglementaires.

Les travaux de forage des puits sont suivis par un géologue. Ils sont exécutés avec le plus grand soin et conformément à toutes les règles de l'art. Un échantillonnage de chaque terrain traversé est réalisé afin d'établir la coupe géologique des puits.

ARTICLE 5 : TRAVAUX DE TERRASSEMENT Les travaux de terrassement nécessaires à la mise en place du chantier de forage et à la remise en état de la parcelle à l’issue des travaux de forages s’effectuent de façon à minimiser le volume des terres déplacées.

Au cours des travaux de terrassement, le sol est maintenu suffisamment humide pour éviter l’envol des terres polluées.

ARTICLE 6 : AVANT PUITS ET CAVES DES TETES DE PUITS Avant la mise en place de la machine de forage, un avant puits de 30 m de profondeur est réalisé afin de mettre en place un tube guide cimenté aux terrains. Cet avant puits est réalisé par une technique de forage avec tubage à l’avancement ne mettant pas en œuvre de fluide de forage.

Les caves bétonnées des têtes de puits sont réalisées par excavation autour des tubes guides.

ARTICLE 7 : PROTECTION DES EAUX SOUTERRAINES Au cours du déroulement des travaux de forage, toutes les dispositions sont prises afin d’éviter de mettre en communication des nappes d'eau distinctes et de prévenir toute pollution des eaux de surface ou des eaux souterraines.

Afin d’éviter tout impact sur les aquifères traversés, le fluide de forage utilisé est une boue bentonitique (mélange d’argile et d’eau) ou une boue aux polymères biodégradables. Il ne sera pas utilisé de boue aux hydrocarbures.

Afin d’éviter la mise en communication des nappes les unes avec les autres, les puits sont isolés des terrains par des tubages métalliques cimentés aux terrains sur toute leur hauteur.

La qualité de ces cimentations est contrôlée par des méthodes appropriées (diagraphies de type CBL ou autre méthode au moins équivalente sous réserve de l’accord préalable de la DRIEE).

ARTICLE 8 : INFORMATION DE LA DRIEE Le titulaire ou le responsable des travaux qu’il aura désigné informera la DRIEE, deux jours à l’avance au minimum, des dates et heures de réalisation des opérations suivantes : début des travaux de forage ; poses des tubages ; opérations de cimentations ; opérations de mesures et de contrôles.

ARTICLE 9 : RAPPORTS D’AVANCEMENT DU CHANTIER Chaque semaine au minimum, le titulaire ou le responsable des travaux adressera au DRIEE un compte-rendu des travaux réalisés durant la semaine écoulée.

Tout incident survenu au cours des travaux lui sera immédiatement signalé. Son accord préalable est sollicité en cas de modifications de l’architecture du puits.

ARTICLE 10 : ATTESTATION DE CIMENTATION A l’issue de chaque opération de tubage et de cimentation de niveaux aquifères servant ou pouvant servir à l’alimentation en eau potable, et avant de passer à la phase suivante de travaux, le titulaire ou le responsable des travaux attestera à la DRIEE, par télécopie ou par messagerie électronique, que les contrôles effectués assurent un bon état de la cimentation.

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ARTICLE 11 : BRUIT Des mesures de niveau sonore seront réalisées avant le démarrage des travaux pendant les périodes diurne et nocturne à proximité des maisons les plus proches du site afin de déterminer le bruit de fond local. Ainsi que des mesures de niveau sonore dés le démarrage des travaux.

Les niveaux sonores des bruits aériens émis par les matériels de chantier ne doivent pas dépasser les limites fixées par les arrêtés ministériels du 11 avril 1972 modifié et du 18 mars 2002.

Les phases de chantier à l’origine des niveaux sonores les plus importants sont interdites entre 22h et 7h. Sont concernées en particulier : la manutention avec engin motorisé, les transferts de matériel, les opérations de citernage, les opérations de cimentation des puits.

ARTICLE 12 : STOCKAGES AÉRIENS Tout stockage aérien d’un liquide susceptible de créer une pollution des eaux ou des sols est associé à une capacité de rétention dont le volume est au moins égal à la plus grande des deux valeurs suivantes :

100% de la capacité du plus grand réservoir ; 50% de la capacité des réservoirs associés.

Lorsque le stockage est constitué exclusivement en récipients de capacité inférieure ou égale à 250 litres, la capacité de rétention peut être réduite à 20% de la capacité totale des fûts associés sans être inférieure à 1000 litres ou la capacité totale lorsqu’elle est inférieure à 1000 litres.

ARTICLE 13 : EAUX PLUVIALES L’emprise du chantier est ceinturée par un merlon ou un fossé périphérique, de sorte à ce que les eaux de pluies ne puissent entraîner dans le milieu naturel les éventuelles pollutions présentes sur la plate-forme.

Les eaux pluviales sont dirigées vers les bourbiers visés à l’article 14.

ARTICLE 14 : GESTION DES EFFLUENTS Les effluents du chantier sont recueillis dans des bourbiers parfaitement étanches afin de prévenir d'éventuelles infiltrations des effluents dans le sol. Les abords des bourbiers doivent être balisés et surveillés pendant la durée du chantier afin que le public ne puisse pas s'en approcher dangereusement.

Les effluents liquides contenus dans les bourbiers sont, après décantation, soit citernés et évacués conformément aux dispositions de l’article 17, soit rejetés au réseau d’assainissement avec l'accord du service gestionnaire de ce réseau, sous réserve du respect de la convention établie avec ce dernier, en particulier sur les valeurs limites de rejet.

Les boues de décantation sont éliminées conformément aux dispositions de l’article 17.

ARTICLE 15 : GESTION DE L’EAU GEOTHERMALE L'eau géothermale récupérée en surface à l'occasion de travaux est refroidie, le cas échéant traitée, avant d'être évacuée dans un réseau d'assainissement avec l'accord du service gestionnaire de ce réseau, sous réserve du respect de la convention établie avec ce dernier, en particulier sur les valeurs limites de rejet.

En aucun cas, il ne doit y avoir rejet d'eau géothermale en surface à même le sol.

L’eau géothermale issue des opérations de dégorgeage des puits peut être réinjectée dans le réservoir géothermal.

ARTICLE 16 : PREVENTION DES ÉPANDAGES ACCIDENTELS L’emprise du chantier est ceinturée par un merlon ou un fossé périphérique, de sorte à contenir un éventuel déversement accidentel survenant hors de l’emprise d’un dispositif de rétention.

Le demandeur met en œuvre des moyens suffisants d’intervention pour faire face à tout épandage accidentel.

En cas d’épandage accidentel, l’exploitant doit prendre immédiatement toute mesure possible pour l’interrompre ou à tout au moins le limiter.

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Les produits récupérés en cas d’incident ne peuvent être rejetés et doivent être soit réutilisés, soit éliminés comme déchets.

ARTICLE 17 : DECHETS Les déchets sont éliminés conformément aux dispositions du titre IV - livre V du code de l’environnement relatif à l'élimination des déchets et à la récupération des matériaux, et des textes pris pour son application. Ils sont acheminés vers un centre de stockage ou d'élimination adapté à leurs caractéristiques physico-chimiques.

ARTICLE 18 : PREVENTION DES ERUPTIONS Pendant toute la durée des travaux effectués sur des puits atteignant le réservoir géothermal, les têtes de puits sont équipées d'un système d'étanchéité adéquat pour prévenir toute éruption d'eau géothermale, ainsi que d'un flexible installé et branché sur une conduite latérale qui permet en cas de nécessité de neutraliser la pression en tête de puits par injection de saumure. Une réserve de sel en quantité suffisante est maintenue disponible sur le chantier.

ARTICLE 19 : SECURITE H2S Préalablement au début des travaux effectués sur des puits atteignant le réservoir géothermal, les appareils ou dispositifs permettant de détecter d'éventuelles émissions d'H 2S gazeux sont installés sur le chantier en tenant compte de la configuration des lieux, et de l’étendue de la zone spécifique de danger conformément aux articles RG29 et RG30 du règlement général des industries extractives.

Ces détecteurs déclenchent une alerte visuelle et sonore au-delà du seuil de 10 ppm. Le responsable du chantier fait alors appliquer les consignes de sécurité adéquates.

Lors d’opérations de stimulation du réservoir par injection d'acide, une chaîne de neutralisation de l'H 2S ou tout autre dispositif ayant la même fonction est installé sur le chantier en référence aux règles de l'art.

Des appareils respiratoires d'une autonomie suffisante sont mis à disposition du personnel intervenant afin de lui permettre d'intervenir en toute sécurité en cas d'incident.

Le titulaire informe le directeur du centre hospitalier de Coulommiers des risques liés au sulfure d’hydrogène et de la conduite à tenir en cas d’émanation.

CHAPITRE 3 : FIN DES TRAVAUX

ARTICLE 20 : REMISE EN ETAT DE LA PARCELLE A L’ISSUE DES TRAVAUX DE FORAGE A l’issue des travaux de forage, la plate-forme du chantier de forage est démantelée. Les bourbiers sont bouchés avec des terres saines une fois les effluents liquides et les boues de décantation éliminés conformément aux dispositions de l’article 14.

Les déchets sont éliminés conformément aux dispositions de l’article 17.

ARTICLE 21 : RAPPORT DE FIN DE TRAVAUX A l'issue des travaux et dans un délai de deux mois, le titulaire adresse au DRIEE un rapport de fin de travaux en deux exemplaires, synthétisant les opérations effectuées, les résultats des contrôles effectués et les éventuelles anomalies survenues.

Il comporte aussi : une coupe technique et géologique des puits, indiquant les coordonnées exactes des orifices, les cotes exactes des éléments constitutifs du puits, la profondeur et l’épaisseur des niveaux géologiques traversés et du réservoir recherché, en indiquant les niveaux productifs. La coupe fera apparaître clairement la position des niveaux aquifères traversés, notamment ceux servant ou pouvant servir à l’alimentation en eau potable ; un plan positionnant avec précision les têtes de puits, les fonds de trous de forage et le périmètre d’exploitation envisagé ; une analyse physico-chimique et bactériologique du fluide géothermal ; les diagraphies de contrôle de cimentation des tubages, accompagnées d’un commentaire quant à leur qualité.

ARTICLE 22 : BOUCHAGE DES PUITS

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En cas de renoncement à l’utilisation d’un puits à l’issue des travaux, le puits doit être bouché conformément à un programme technique, soumis à l’approbation préalable de la DRIEE Ile-de-France.

CHAPITRE 4 : DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE 23 : RECOURS La présente décision peut être déférée devant le Tribunal Administratif uniquement (Tribunal Administratif de Melun 43 rue du Général de Gaulle – 77000 MELUN) :

• par les demandeurs ou exploitants, dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où ledit acte leur a été notifié,

• dans les mêmes conditions de délai, par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leur groupement à compter de la publication de la décision.

ARTICLE 24 : AFFICHAGE L’arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et est déposé dans les mairies concernées.

Un extrait de l’arrêté est par les soins du préfet de Seine-et-Marne et aux frais du titulaire publié dans les deux journaux locaux où l’avis d’enquête a été inséré.

Un extrait de l’arrêté est affiché à la Préfecture et dans les mairies concernées pendant une durée minimum d’un mois. Cette formalité de publicité sera justifiée par un certificat des maires concernés.

ARTICLE 25 : EXECUTION Le Secrétaire Général de la préfecture et le Directeur régional et interdépartemental de l'Environnement et de l’Energie d'Ile de France à Paris sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié au pétitionnaire et dont copie sera adressée :

- aux Maires de Coulommiers, Aulnoy, Boissy-le-Châtel, Chailly-en-Brie, Mouroux, Saint-Germain-sous-Doue, - au Sous-Préfet de Meaux, - au Sous-Préfet de , - au Directeur départemental des Services d'Incendie et de Secours de Seine-et-Marne, - au Directeur départemental des Territoires de Seine-et-Marne - SEPR - au Directeur de l’Agence régionale de Santé d’Ile-de-France – Délégation territoriale de Seine-et-Marne - au Directeur Régional des Affaires Culturelles d’Ile-de-France – Service Régional de l'Archéologie, - au Commandement de la Région Terre Ile-de-France – Etat Major – Bureau Stationnement Infrastructure, - au Président de la Commission locale de l’Eau du SAGE des Deux Morins, - au Directeur régional et interdépartemental de l'Environnement et de l’Energie d'Ile de France à Paris, - au Chef de l’unité territoriale de Seine-et-Marne de la Direction régionale et interdépartementale de l'Environnement et de l’Energie d'Ile de France

Melun, le 05 juillet 2011 Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, La Sous-Préfète, chargée de Mission pour la Politique de la Ville Monique LETOCART

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1.3. Préfecture - Direction des services du cabinet et de la sécurité

2011/DSCS/PA/034 — Arrêté préfectoral n° 2011/DSCS/ PA/034 autorisant le fonctionnement de l'entreprise privée de surveillance et de gardiennage dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP sise à Champs Sur Marne et portant agrément de M. Sié Ignace LATH en qualité de gérant.

PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE Préfecture Direction des Services du Cabinet et de la Sécurité Bureau du Cabinet – Police Administrative

Arrêté préfectoral n° 2011 DSCS PA 034 autorisant le fonctionnement de l’entreprise privée de surveillance et de gardiennage dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE – PISP sise à Champs Sur Marne et portant agrément de M. Sié Ignace LATH en qualité de gérant.

Le préfet de Seine et Marne, Chevalier de la Légion d'honneur,

VU la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 modifiée, réglementant les activités privées de sécurité ; VU le décret n° 2005-1124 du 6 septembre 2005 fixant la liste des enquêtes administratives donnant lieu à la consultation de traitements automatisés de données personnelles mentionnés à l’article 21 de la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003 ; VU le décret n° 2009-137 du 9 février 2009 modifié, relatif à la carte professionnelle, à l'autorisation préalable et à l'autorisation provisoire des salariés participant aux activités privées de sécurité définies à l'article 1 er de la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 ; VU l'arrêté préfectoral 11/PCAD/109 du 6 juin 2011, donnant délégation de signature à M. Maurice TUBUL, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu'aux chefs de bureau et de service de la direction des services du cabinet et de la sécurité ; VU la demande en date du 13 décembre 2010 présentée par M. Sié Ignace LATH, en vertu des articles 5 et 7 de la loi susvisée, en vue d'obtenir : 1 - son agrément pour diriger la société dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP, 2 - l'autorisation de fonctionnement de la société privée de surveillance et de gardiennage POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE – PISP, sise 16 rue Albert Einstein à Champs Sur Marne ; VU le récépissé du dépôt de la demande susvisée, délivré le 2 mai 2011 ; CONSIDÉRANT que la société privée de surveillance et de gardiennage dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP est constituée conformément à la législation en vigueur ; CONSIDÉRANT que M. Sié Ignace LATH remplit les conditions pour être agréé en tant que gérant de l’entreprise privée de surveillance et de gardiennage POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP ; SUR PROPOSITION du sous-préfet, directeur de cabinet ;

A R R Ê T E

ARTICLE 1er - La société privée de surveillance et de gardiennage dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE - PISP sise 16 rue Albert Einstein - 77420 Champs Sur Marne, représentée par M. Sié Ignace LATH est autorisée à exercer des activités de surveillance et de gardiennage à compter de la notification du présent arrêté. ARTICLE 2 – M. Sié Ignace LATH est agréé en tant que gérant de la société. ARTICLE 3 - Cette autorisation est valable pour le fonctionnement du seul établissement dont l'intitulé et l'adresse du siège social figurent dans l'article 1er du présent arrêté. ARTICLE 4 - Cet arrêté préfectoral autorise la société dénommée POLE INTERVENTION SECURITE PRIVEE – PISP à exercer des activités de surveillance et de gardiennage uniquement sur le territoire national. ARTICLE 5 - L'activité de cette société est strictement limitée à la surveillance et au gardiennage à l’intérieur des bâtiments. Est exclue de l’activité de la société la protection des personnes non liées directement ou indirectement à la sécurité des biens liés aux activités visées à l’article 1 er . ARTICLE 6 - Cet arrêté autorise M. Sié Ignace LATH à exercer une activité de surveillance et de gardiennage. ARTICLE 7 - le numéro d'agrément N° 2011 DSCS PA 034, ainsi que les dispositions de l'article 8 de la loi : " L'autorisation administrative préalable ne confère aucun caractère officiel à l'entreprise ou aux personnes qui en bénéficient. Elle n'engage

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture) en aucune manière la responsabilité des pouvoirs publics " devront figurer sur tous les documents de nature informative, contractuelle ou publicitaire, y compris toute annonce ou correspondance, émanant de l'entreprise. ARTICLE 8 - Toute modification, suppression ou adjonction affectant l’un des renseignements constitutifs du dossier et tout changement substantiel dans la répartition du capital de la personne morale, devront faire l’objet d’une déclaration dans un délai d’un mois auprès du préfet. ARTICLE 9 - Le sous-préfet, directeur de cabinet, le sous-préfet de Meaux, le maire de Champs Sur Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine-et-Marne, le directeur de l'URSSAF de Seine-et-Marne - Département contrôle, le greffier du tribunal de commerce de Meaux, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à : - M. Sié Ignace LATH.

Melun, le 5 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, le sous-préfet, directeur du cabinet, Maurice TUBUL

1.4. Collectivités territoriales

16/11 — REGLEMENT LOCAL DE PUBLICITE SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE D’OZOIR-LA-FERRIERE

Commune d’OZOIR LA FERRIERE Direction Générale des Services

ARRETE DU MAIRE N° 16/11 Objet : REGLEMENT LOCAL DE PUBLICITE SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE D’OZOIR-LA-FERRIERE

Le Maire de la Commune d’OZOIR-LA-FERRIERE,

VU la délibération du Conseil Municipal du 14 mai 2009 sollicitant du Préfet, la constitution d’un nouveau groupe de travail chargé de l’élaboration d’un nouveau règlement local de publicité, des enseignes et pré-enseignes ;

VU la délibération du Conseil Municipal du 15 juin 2009 désignant les représentants au sein du nouveau groupe de travail en vue de l’élaboration d’un nouveau règlement local de publicité, des enseignes et pré-enseignes ;

VU l’arrêté de Monsieur le Préfet 09 DAIDD PUB 030 du 27 juillet 2009 portant constitution d’un nouveau groupe de travail en vue de l’élaboration d’un règlement local de publicité ;

VU l’arrêté de Monsieur le Préfet 010 DAIDD PUB 004 du 16 février 2010 modifiant l’arrêté préfectoral 09 DAIDD PUB 030 du 27 juillet 2009 portant constitution d’un groupe de travail en vue de l’élaboration d’un règlement local de publicité ;

VU le Code de l’Environnement applicable à la date de création du groupe de travail par Monsieur le Préfet de Seine-et- Marne ;

VU le vote favorable du groupe de travail au projet de règlement local de la publicité, en date du 9 mars 2011 ;

VU l’avis favorable de la commission départementale des sites et paysages réunie en formation de publicité en date du 27 mai 2011 ;

VU le vote favorable du Conseil Municipal au projet de règlement local de la publicité, en date du 17 juin 2011 ;

En outre, vu les codes applicables directement ou indirectement à la publicité, enseignes et pré-enseignes (Code Général des Collectivités Territoriales, Code Pénal, Code de la Route, Code de la Voirie Routière, Code de la Santé Publique, Code de l’Urbanisme) ;

A R R E T E

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ARTICLE 1 : Le règlement ci-après est applicable sur l’ensemble de l’agglomération de la commune telle que définie par mon arrêté du 18 octobre 2006.

ARTICLE 2 : Règlement applicable :

REGLEMENT LOCAL DE PUBLICITE

Il est instauré une seule zone de publicité restreinte qui couvre l’ensemble de l’agglomération (au sens du code de la route) d’Ozoir-la-Ferrière et qui est dénommée : Zone de publicité restreinte 1(ZPR 1).

Dispositions applicables à la Zone de Publicité Restreinte 1

Rappel : toutes les dispositions réglementaires du code de l’environnement qui ne sont pas modifiées par le présent règlement sont applicables sur tout le territoire communal, (et en particulier celles visées à l’article L 581-8).

1-Prescriptions réglementaires générales - tout type de dispositif ou matériel : 1-1 La publicité lumineuse autre qu’éclairée par projection ou transparence, est soumise aux mêmes dispositions réglementaires que la publicité non lumineuse (et par disposition légale, à l’autorisation du Maire). 1-2 En dehors du message publicitaire, pré-enseigne et des marquages identifiants de l’exploitation (société, réseau, référence…), tous les éléments du dispositif publicitaire (portatif, pied, cadre, habillage dos, moulures...) doivent avoir une couleur unique : brun foncé de type RAL 8014 ou gris foncé de type RAL 7006.

1-3 Les messages temporaires concernant des manifestations culturelles ou touristiques organisées ou patronnées par la Ville d’Ozoir-la-Ferrière ou l’EPCI et posés sur des bâtiments publics ou sur le domaine public sont traités au chapitre « enseignes ».

1-4 Les dispositifs annexes du type passerelles sont admis à la stricte condition d’être escamotables ou rabattables.

2-Prescriptions réglementaires relatives aux dispositifs sur support : 2-1 La publicité est limitée à une surface unitaire de 4 m². Sur une même unité foncière, il ne peut y avoir plus d’un dispositif sur support visible simultanément.

2-2 Le dispositif doit être écarté d'au moins 50 cm de tout bord du support et ne pas dépasser la hauteur de l'égout du toit de la construction support.

3-Prescriptions réglementaires relatives aux dispositifs scellés au sol : 3-1 Sous réserve des dispositions des articles suivants du 3, l’implantation de dispositifs scellés ou posés au sol n’est admise que sur une unité foncière ayant au moins une façade sur une voie ouverte à la circulation du public et comportant une construction immobilière principale (ou un permis de construire déposé en Mairie pour une telle construction) ou attenant à une unité foncière ayant une telle construction.

3-2 La publicité est limitée à une surface unitaire de 8 m². Sa hauteur hors tout, au sol ne doit pas dépasser 5 m et 4 m si sa surface est inférieure ou égale à 2m2.

3-3 L’implantation de dispositifs scellés ou posés au sol est soumise à l’observation des règles suivantes relatives à la longueur de la façade sur la voie de visibilité ouverte à la circulation du public pour chaque unité foncière : façade sur la voie de visibilité ouverte à la circulation du public inférieure à 25 m de linéaire = interdit. Toutefois ce linéaire est ramené à 20 m si la surface unitaire est inférieure ou égale à 2 m². sur une même unité foncière les dispositifs scellés ou posés au sol doivent respecter une inter distance de 60 m minimum de tout autre dispositif (publicitaire ou enseigne) scellé ou posé au sol d’une largeur supérieure à 1m et visible simultanément.

Précision pour les unités foncières présentant plusieurs façades sur voie (par exemple sises à une intersection de voirie): le calcul de la longueur du linéaire se fait segment de façade par segment de façade, et chaque segment ne peut être additionné à un autre pour atteindre le linéaire minimum de 25 m.

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3-4 Les dispositifs d’une surface supérieure à 2 m2 scellés ou posés au sol à l’abord d’intersection classique de grande dimension et d'intersection type « rond-point » de rayon supérieur à 20 m, doivent respecter les conditions d’implantation suivantes : la distance minimale d’implantation par rapport au centre de l’intersection (centre géométrique) est celle du rayon augmenté de 15 m. mode de calcul de la dimension de l’intersection : intersection classique : mesure du rayon d’un cercle inscrit dans l’emprise de la chaussée dont le centre est au centre géométrique de l’intersection ; rond point : le rayon est mesuré du centre du rond point au bord extérieur de l’emprise de la chaussée considérée ;

3-5 Les dispositifs (ou faces d’affichage) doivent être implantés perpendiculairement ou parallèlement à l’axe (ou à la tangente de la courbe) de la voie de visibilité. Les dispositifs d’une surface unitaire supérieure à 2 m² doivent être distants de plus de 20 m des baies d’une habitation sise sur un fond voisin.

3-6 Les dispositifs annexes ayant pour effet d’augmenter en surface l’impact visuel du panneau sont interdits.

3-7 Tout dispositif scellé ou posé au sol d’une surface supérieure à 1,5 m2 doit être de type caisson fermé, et de la couleur prescrite à l’article 1-2 ci-dessus.

4-Prescriptions réglementaires relatives aux publicités sur mobilier urbain : 4-1 La publicité à titre accessoire sur mobilier urbain, est admise pour une surface unitaire maximale de 2 m². (rappel) : indépendamment du code de l’environnement le mobilier urbain ne peut être installé dans le champ de visibilité d’un monument protégé ou dans une ZPPAUP sans l’avis de l’ABF qui porte sur l’implantation et l’aspect de ces éléments)

5-Prescriptions particulières pour l'affichage d'opinion : 5-1 L'affichage d'opinion est admis sur les emplacements réservés à cet usage.

Réglementation communale des enseignes

Les dispositions du code de l’environnement relatives aux enseignes qui ne sont pas modifiées dans le présent arrêté, demeurent opposables aux tiers.

RAPPELS :

Rappel : Article L581-3 du code de l’Environnement

«Constitue une enseigne toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble et relative à l’activité qui s’y exerce ». Ceci implique que la notion d’enseigne publicitaire n’existe pas et que tout message ayant un lien direct ou indirect avec une activité et situé sur l’immeuble bâti ou non bâti de cette activité constitue une enseigne au sens du code de l’environnement. L’ensemble du territoire urbain aggloméré de la ville d’OZOIR-LA-FERRIERE étant compris dans une zone de publicité restreinte, la pose de toute nouvelle enseigne ou la modification d’une enseigne existante est soumise à l'autorisation du Maire, éventuellement assortie de l'avis simple de l'Architecte des Bâtiments de France à l'intérieur des lieux visés à l’article L.581-8 du code de l’Environnement ou de l’avis conforme sur les immeubles classés ou inscrits.

Tout élément décoratif (autre que végétal) et n’intervenant pas dans la structure du bâtiment, constituant un signal de repérage d’une activité (bâtiment ou terrain) et visible d’une voie ouverte à circulation publique est une enseigne par destination. En outre, dans le cas où une enseigne existante aurait été autorisée tacitement ou en dehors de la procédure du code l’environnement (par exemple dans le cadre d’un permis de construire), sa mise en conformité avec le présent règlement pourra être exigée si elle se trouvait en infraction aux dispositions du décret du 82-211 du 24 février 1982 codifié aux articles R 581-55 à R 581-70 du code de l’environnement.

RAPPEL du code de l’environnement : Article R581-55

Une enseigne doit être constituée par des matériaux durables. Elle doit être maintenue en bon état de propreté, d'entretien et, le cas échéant, de fonctionnement, par la personne exerçant l'activité qu'elle signale.

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Elle est supprimée par la personne qui exerçait l'activité signalée et les lieux sont remis en état dans les trois mois de la cessation de cette activité, sauf lorsqu'elle présente un intérêt historique, artistique ou pittoresque.

Chapitre I - Principes généraux Sans préjuger des dispositions générales prévues par les articles R.581-55 à R.581-70 du code de l'environnement, et de celles du code de la voirie routière et du règlement général de voirie, pour recevoir l’autorisation, la pose d’une enseigne sur un immeuble doit respecter les principes suivants : L’insertion à l’architecture du bâtiment sur lequel sa pose est envisagée et notamment la composition architecturale de la façade concernée, ainsi que la prise en considération d’enseignes existantes. L’intégration dans le paysage urbain avoisinant le lieu de pose. Aucune enseigne ne peut obstruer totalement une fenêtre, vitrine ou baie. L'enseigne (forme, image, message et support) ne doit pas recouvrir : les éléments de structure du bâtiment qui la supportent, tant verticaux (par exemple, piliers, trumeaux) qu'horizontaux (par exemple, bandeau, allège des fenêtres du premier étage), sauf dispositions architecturales particulières ; les éléments architecturaux comme les éléments de détail (par exemple, sculpture, modénature, lambrequins, volets, traces archéologiques), les éléments ajourés ou de ferronnerie (par exemple, balcons, garde-corps, barres d'appui de fenêtre, claustra, impostes, clôture).

Dans le cas d’une activité installée sur deux ou plusieurs immeubles, bâtis ou non, à caractère différent, les dispositifs doivent respecter les particularités de chaque immeuble. Les projets qui seraient de nature à modifier la perception des lignes principales de l’architecture, des rythmes et de l’ordonnancement général de la façade, et d’une manière générale qui seraient de nature à porter atteinte à la lecture des éléments d’architecture, de décor et de modénature, seront pas autorisés.

En cas de modification d'enseigne existante, - les éléments architecturaux doivent être restitués - la réduction du nombre de message peut être imposée.

La dépose des enseignes implique l'enlèvement de tous les systèmes de fixation et d'alimentation correspondante ainsi que la remise en état du support. Au cas où les systèmes de fixation et/ou d'alimentation pourraient être réutilisés, un descriptif technique et esthétique détaillé devrait être fourni pour justifier leur maintien en place.

Les projets doivent respecter les règles de saillie sur le domaine public édictées par le règlement de voirie, ou à défaut par le code de la voirie routière.

Lorsque la demande d’autorisation d’enseigne coïncide avec un renouvellement de façade commerciale, le permis (de construire ou d’aménager) correspondant ou la déclaration préalable (au sens du Code de l’urbanisme) ne se substitue pas ni ne dispense de cette demande d’autorisation, mais les deux instructions peuvent être conjointes. Les enseignes temporaires présentant des commémorations ou des manifestations à caractère culturel ou touristique, ou des manifestations exceptionnelles organisées ou patronnées par la Ville d’Ozoir-la-Ferrière ou l’EPCI, qui sont posées sur le domaine public ou sur des immeubles publics, pourront être autorisées.

Chapitre II - Dispositions réglementaires détaillées Sous réserve d’adaptations mineures correspondant cas par cas à la recherche d’une meilleure intégration architecturale et paysagère, les demandes d’autorisation devront respecter les prescriptions suivantes :

1-Dispositions relatives aux enseignes parallèles (Aussi dénommées en bandeau ou en applique, apposées à plat sur un mur ou parallèlement à un mur). Principes de positionnement sur façade :

1-1-1 Est interdite toute enseigne qui, par ses dimensions ou sa position sur le support, serait de nature à modifier la perception des lignes principales de l’architecture, des rythmes de la façade, et d’une manière générale qui serait de nature à porter atteinte à la lecture des éléments d’architecture, de décor ou de modénature.

Il est également interdit de poser une enseigne sur un garde-corps, une barre d’appui de fenêtre et d’une manière générale sur tout élément de ferronnerie.

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Le positionnement de l’enseigne sur la façade du bâtiment comportant l’activité doit impérativement être en rapport avec l’emplacement de cette activité à l'intérieur des murs et en correspondance avec le niveau de planchers utilisés (pour les activités en étage).

1-1-2 Lorsque le projet architectural d’une construction prévoit des emplacements explicitement destinés à recevoir des enseignes en façade ou en toiture, seuls ces emplacements pourront être autorisés. Des emplacements complémentaires annexes destinés à recevoir des messages temporaires ou évolutifs pourront être autorisés sous réserve de cohérence technique et architecturale dans la façade et dans la limite de 20 % de la surface des enseignes principales.

Conditions de pose sur une baie :

1-2-1 Une seule enseigne parallèle peut être autorisée par baie (posée dans l’ouverture). Il est recherché l’inscription de l’enseigne dans la baie, à savoir à l'intérieur de l'ouverture sans déborder sur les parties pleines, dans la limite de 20 % de la surface de la baie (sauf enseigne temporaire).

Restriction technique : L’utilisation d’un système adhésif posé en extérieur à la vitrine (vitrophanie) peut être autorisé à condition que seule la partie vitrée soit recouverte (la surface de la vitrophanie sera mentionnée dans la demande d’autorisation) et aux conditions de surface ci-dessus. 1-2-2 Dispositions relatives aux enseignes des activités en étage : 1-2-2-1Nonobstant les contraintes de protection des éléments architecturaux et décoratifs, seules peuvent être autorisées les enseignes parallèles de dimension réduite : au plus 0,30 m de hauteur maxi incluses dans la largeur de la baie, et sans saillie par rapport au nu extérieur du mur.

1-2-2-2 Pour les activités à occupation unique de la totalité d’un bâtiment, les dimensions et l’emplacement des messages d'enseigne en étage doivent faire l’objet d’un projet détaillé qui sera apprécié cas par cas.

1-3 Conditions de pose sur mur : 1-3-1Dans les autres cas sur devanture et sous réserve d'intégration, l'enseigne doit s'inscrire au-dessus de la baie sans dépasser ses limites d’alignement vertical ou faire une composition avec les diverses ouvertures en privilégiant l’accès (ou les accès). Elle peut aussi constituer un ensemble continu s’intégrant dans la largeur de la façade, la surface support du ou des messages constitue la surface du dispositif d’enseigne pouvant être autorisé.

Taille du lettrage :

1-4-1 La hauteur du lettrage et des formes ou images (logotype) ne doit pas excéder 0.60 m ou ¾ de la hauteur du bandeau support pour les activités sises en rez-de-chaussée. L’inscription sera réalisée de préférence par lettres ou formes découpés sans fond, soit par peinture sur les éléments fixes rapportés (par ex. devantures en menuiserie à l’ancienne) de la devanture commerciale ou par impression ou gravure sur support annexe autorisé.

1-4-2 Cas particuliers des bâtiments industriels et commerciaux : La surface totale des inscriptions, formes ou images posés sur façade de ces bâtiments ne devront pas être supérieures à 20 % de la surface de la façade. Cette surface inclut tous les éléments définis comme enseigne. Parmi ceux-ci, les dispositifs fixes destinés à recevoir des messages temporaires ou évolutifs (type promotion) ne devront pas avoir une surface supérieure à 5 % de la surface de la façade. Les inscriptions ou formes en bandeau (avec ou sans lettrage) courant sur la façade devront être positionnés dans la partie supérieure de celle-ci et ne pas dépasser une hauteur de 0,75 m.

Saillie du message : 1-5-1La saillie de toute enseigne avec support, par rapport au nu du mur de façade, est limitée à 0,25 m. Les enseignes sur des supports en saillie qui sont conservés ne doivent pas présenter une saillie supplémentaire de plus de 0,05 m et une saillie globale de 0,30 m.

Message d’enseigne affiché dans un caisson fermé de petite dimension (dénommé micro affichage) :

1-6-1 Lorsqu’un message d’enseigne est disposé dans un caisson fermé extérieur sur la devanture, le nombre de ce type d’enseigne est limité par devanture commerciale à 4 et limité à 0,50 m2.

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Ce type d'enseigne sera disposé à plus de 0,50 m du sol et éventuellement une distance de 0,50 m minimum sera respectée entre plusieurs dispositifs.

1-6-2 micro affichage d’enseigne pour activités autorisées sur domaine public : En cas d’activité dans une construction rapportée sur domaine public (par exemple : kiosque), les enseignes de ce type seront quantifiées et positionnées dans le cadre de la concession d’occupation (nonobstant l’avis éventuel de l’ABF). En outre, deux dispositifs de ce type peuvent être autorisés sur les baies d’une occupation privative du domaine public en extension d’une activité (par ex. terrasse couverte), à condition qu’ils ne soient pas visibles simultanément. La surface maximale autorisée par dispositif est de 0,80 m².

1-6-3 Etablissements culturels : Lorsqu’un message d’enseigne d’un établissement à caractère culturel (cinéma, théâtre, musée, galerie …) est disposé dans un caisson fermé ou présenté par écran lumineux, le nombre de ce type d’enseigne n’est pas à priori limité. Chaque dispositif doit cependant par sa surface et sa position en façade, s’intégrer à l’architecture du bâtiment pour être autorisé. (rappel : ces messages sont exemptés de la TLPE) enseigne temporaire :

Tout type de calicot temporaire posé en façade ou sur une clôture doit faire l’objet d’une demande d’autorisation cf art 9 ci- dessous.

2- -Dispositions relatives aux enseignes posées en perpendiculaire (ou en forte saillie) dite « en drapeau » par rapport au mur qui les supporte

2-1 nombre autorisable : 2-1-1En ZPR 1 : Une seule enseigne en drapeau est autorisée par activité et façade sur rue. Toutefois, pour les linéaires d'une même activité supérieurs à 15 m linéaire ou séparés par la porte d'accès à l'immeuble ou en pluri-activités, il peut être autorisé 2 enseignes de ce type au maximum. Ce type d’enseigne peut signaler plusieurs activités sur un même dispositif.

2-2 Position de l’enseigne sur la façade : Les enseignes sont implantées à plus de 0,60 m de l'angle d’un bâtiment.

2-2-1En ZPR 1 et sous réserve des règles de voiries, ce type d’enseigne ne doit jamais dépasser le niveau de l’appui de fenêtre d’une ouverture du 1 er étage augmenté d’1m sauf pour les bâtiments à occupation et activité unique.

2-3 Possibilités de saillie par rapport au support et de dimension : 2-3-1 principes généraux de saillie sur domaine public: La saillie sur support à l’alignement est au plus égale au 1/10 ème de la largeur de la rue. Autres cas de saillie sur domaine public, (et sous réserve des dispositions du règlement de voirie) : - le point le plus saillant ne doit pas être à moins de 0,50 m de la bordure extérieure du trottoir ou de la limite matérialisée de circulation automobile, alors la partie basse de l’enseigne (tirant d’air) ne peut être située à moins de 2,50 m au-dessus du trottoir. - dans le cas des voies ne présentant pas de limite matérialisée de circulation automobile la partie basse de l’enseigne (tirant d’air) est de 3,5 m au-dessus du trottoir (sauf disposition explicite autre du règlement de voirie).

2-3-2 dimensions : - la surface maximale est de 2 m², et la largeur 1,5 m. La hauteur maximale admise pour les bâtiments à occupation et activité unique est de 6 m. En outre, les pattes de fixation n’excèdent pas 0.20 m.

2-4 Epaisseur : Les enseignes en drapeau doivent présenter une épaisseur réduite comme suit (indépendamment d’un éventuel dispositif d’éclairage par projection) :

2-4-1 Les caissons et formes géométriques découpées ne doivent présenter une épaisseur supérieure à 0,10 m.

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2-4-2 nonobstant les règles de voirie, les formes ou images provenant d’une création artisanale originale d’un métier d’art, doivent pouvoir s’inscrire dans une sphère d’un diamètre maximum de 1,5 m 3-Dispositions relatives aux procédés lumineux 3-1 systèmes interdits : Les procédés lumineux à défilement et les systèmes clignotants, autres que ceux signalant la disponibilité de services d’urgences ou de santé, sont interdits (Tout système ou positionnement d’un dispositif ne doit pas présenter de gène au voisinage ni de risque par rapport à la sécurité routière).

3-2 systèmes autorisables : Seuls peuvent être autorisés les dispositifs d’éclairage indirect, ou par projection, ou intégré à des lettres ou formes découpées, ou plaquées sur caisson sur fond opaque (Tout système à image numérique ne doit pas être utilisé pour des images animées cf 3-1 ci-dessus).

3-3 taille des dispositifs d’éclairage : Les dispositifs d'éclairage par spots destinés à éclairer une enseigne en applique doivent présenter des dimensions réduites : une saillie maximale de 0,25 m par rapport au support et une largeur unitaire de 0,15 m, et un nombre limité à 1 par 3m de linéaire de façade. L’utilisation d’une rampe d’éclairage ne devra pas présenter une saillie par rapport au fond de fixation supérieure à 0,15 m, ni une hauteur supérieure à 0,10 cm, la couleur du capot sera identique à la couleur de fond. La longueur de la rampe sera cohérente avec la largeur du message. Le capot devra totalement masquer la rampe d’éclairage à une distance supérieure à 1,5 m du nu de la façade de pose.

3-4 systèmes de surlignage architectural : Le surlignage lumineux par tube luminescent, réglettes type LED ou techniques équivalentes des formes d’un bâtiment qui serait destiné à faciliter son repérage ou son identification, est assimilé à un dispositif d’enseigne, dès lors qu’il n’est pas exclusivement destiné à la mise en valeur architecturale du bâtiment.

Ce type d’enseigne ne peut être autorisé que dans les quartiers à vocation économique principale (cf zonage du PLU) et pour les bâtiments à activité unique ; la surface murale comptabilisée pour la demande d’autorisation (et pour la TLPE) est celle encadrée par le dispositif lumineux.

Dans tous les cas il sera tenu compte de la mise en place de techniques propres à limiter les consommations énergétiques qui devront être précisés dans la demande d’autorisation.

4-Dispositions relatives aux enseignes en toiture ou en terrasse 4-1 conditions d’autorisation : La pose sur une toiture ou en terrasse d’une enseigne peut être autorisée sur un bâtiment d’architecture industrielle et à activité unique. une seule enseigne par façade d’établissement peut être autorisée sous réserve de son intégration architecturale et de constituer un ensemble homogène, elle ne doit pas dépasser la hauteur du faîtage de la toiture, elle ne doit pas être posée plus de 0,50 m au dessus de l’acrotère, et à moins de 0,50 du bord. Elle doit être réalisée par lettres ou signes découpés, sans dépasser 2 m de haut. (Une identification par un logo de marque peut être acceptée en complément d’une identification par lettrage, dans les mêmes limites de format).

4-2 enseigne sur une marquise ou auvent : 4-2-1 La pose d’une enseigne sur une marquise ou un auvent ne pourra être autorisée que si elle s’intègre parfaitement à l’aspect architectural de la marquise : en proportion, en technique et en graphisme, sa hauteur ne devra pas dépasser 0,50 m, la surface considérée sera l’ensemble du support vertical du lettrage.

4-2-2 Dans le cas des bâtiments anciens (antérieurs à 1914) il ne peut être autorisé que la restauration ou l’adaptation à l’identique du message d’enseigne sur la dite marquise. 5-Dispositions relatives aux enseignes scellées ou posées au sol Nota bene : Les enseignes posées sur des dispositifs extérieurs mais rattachés à un bâtiment et qui n’ont pour fonction principale que de constituer un signal de repérage et/ou de porter le message d’enseigne sont considérés comme dispositifs

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture) scellés au sol, leur surface prise en compte est celle du polygone inscrivant le dispositif chaque face étant cumulable (notamment pour le calcul de la TLPE).

5-1 possibilités d’autorisation selon les dimensions : 5-1-1 La surface est limitée à 8 m² et la hauteur est limitée à 5 m. Toutefois la hauteur maximale autorisable est portée à 8 m si la largeur hors-tout est inférieure à 1 m.

5-1-2 dispositif sur tissu fixe : Il peut être autorisé en lieu et place d’un dispositif classique.

5-2 incompatibilités : 5-2-1 L’autorisation de poser un message d’enseigne sur une même face ou au dos d’un dispositif posé ou scellé au sol en complément à une publicité (ou pré-enseigne) sur ce dispositif sera refusée, sauf pour les dispositifs sous caisson vitré.

5-3 possibilités d’autorisation selon la densité : 5-3-1 nombre : il ne peut être autorisé qu’un dispositif d’une surface supérieure à 2m2 posé ou scellé au sol par activité sur une même unité foncière. Toutefois, si l’enseigne est contenue dans un caisson vitré d’une surface supérieure à 2 m2 d’autres dispositifs identiques peuvent être autorisés s’ils sont distants d’au moins 60 m les uns des autres sur cette même unité foncière.

5-3-2 tailles : la hauteur maximale est limitée à 6,5 m et la largeur à 1,5 m. Toutefois, si l’enseigne est contenue dans un caisson vitré d’une surface supérieure à 2 m² la hauteur est limitée à 5 m, la largeur à 3,5 m et la surface du message à 8 m².

5-3-3 dispositif sur tissu flottant : Il peut être autorisé en lieu et place d’un dispositif fixe. Les enseignes sur tissu flottant (drapeau) sont limitées à une hauteur de 8 m et une largeur d’1 m, et à une quantité supplémentaire de 1 mat par 60 m de linéaire de façade (ils pourront toutefois être regroupés s’ils respectent une interdistance respective de H/2). Ils devront être écartés d’au moins 60 m de tout autre type d’enseigne au sol.

5-3-4 Les enseignes temporaires posées au sol ne devront pas avoir une surface unitaire supérieure à 8 m², une hauteur de 2 m et seront autorisées dans la limite de 2 par établissement, et devront être espacées de 30 m au moins. Le dispositif portant le message ne devra pas avoir de fixations au sol autres que celles nécessaires à sa stabilité.

5-4 possibilités d’éclairage : Les enseignes lumineuses posées ou scellées au sol, autres qu’éclairées par projection ou par transparence, posées ou scellées au sol sont interdites, sauf pour un lotissement commercial, ou pour limiter le nombre de dispositifs dans un même immeuble.

Dans tous les cas il sera tenu compte de la mise en place de techniques propres à limiter les consommations énergétiques qui devront être précisés dans la demande d’autorisation.

5-5 possibilités d’adaptation sur lotissement commercial : En vue de réduire le nombre de dispositifs scellés au sol, on recherchera le regroupement des enseignes des établissements implantés dans une même unité foncière, un même ensemble ou lotissement commercial. Le (ou les) dispositif(s) ainsi prévu(s) pourra(ont) être autorisé(s), s'il(s) a(ont) des dimensions et une technique (écran numérique) adaptées à cette fin et au nombre d’établissements signalés.

6-Dispositions relatives aux enseignes sur supports annexes

6-1 accessoires extérieurs :

Il est possible d’inscrire une enseigne sur des matériels accessoires de l’activité, tels que parasols, bancs, chaises, tivolis, bacs à végétaux, pour un message (quelle qu’en soit la nature : raison sociale, marque, téléphone..) par matériel et à condition qu’il soit disposé dans la partie privative de l’immeuble où se trouve l’activité.

6-2 accessoires extérieurs du bâti : Il est possible d’inscrire une enseigne sur des matériels accessoires du bâti tels que persiennes, stores, rideaux de vitrine, lambrequins etc, mais dans la limite d’un message (quelle qu’en soit la nature : raison sociale, marque, téléphone …) par matériel. La surface prise en compte sera la partie entière du dispositif portant le message.

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Rappel : ces matériels accessoires du bâti doivent aussi être autorisés préalablement à toute pose ou modification conformément au code de l’urbanisme, une autorisation d’enseigne ne peut en aucun cas en tenir lieu.

7-Dispositions relatives aux enseignes mobiles et posées au sol (chevalets) sur domaine public

7-1 possibilités d’autorisation : Dans le cas où une activité est autorisée par la commune sur un espace concédé du domaine public, et en dehors du Secteur Sauvegardé, il ne pourra être autorisé qu'une enseigne mobile temporaire posée au sol par établissement, d'une surface unitaire maximale d'1 m², d'une largeur maximale de 0,80 m, d’une hauteur par rapport au sol de 1,20 m et ce aux conditions suivantes : que ce dispositif temporaire soit effectivement posé à l'intérieur de l'espace concédé du domaine public et durant l'activité effective de l'établissement (horaires d'ouverture au public), ou qu'il soit effectivement autorisé par un acte de concession d'occupation privative du domaine public, (permission ou stationnement), et qu'il offre toute garantie de sécurité pour les usagers du domaine public (libre passage des piétons et des personnes à mobilité réduite, stabilité au sol du dispositif, protection électrique).

8-Informations minimales réglementairement requises pour l'instruction d'une demande d'autorisation (art R 581-62 à 70 du code de l’environnement) :

En l’absence de ces renseignements, ou si les informations sont incomplètes, le dossier de demande d’autorisation ne sera pas pris en considération conformément à l’article R.581-64 du code de l'environnement.

NOTA BENE : Le délai d’instruction est d’1 mois si aucun avis de l’Architecte des Bâtiments de France n’est requis, 2 mois si son avis simple est requis et 4 mois si son avis conforme est requis à l’exception du secteur sauvegardé où il reste de 2 mois. Passé ce délai l’autorisation de la demande est réputé acquise dans sa forme sous réserve toutefois de respecter les dispositions du régime général des enseignes.

8-1 informations générales : - nom ou raison sociale du pétitionnaire - raison sociale et adresse du fournisseur ou installateur - adresse des travaux envisagés (éventuellement niveaux ou étages concernés) - éventuellement date et n° du dossier de permis ou de déclaration préalable prévus au code de l’urbanisme (en cours ou accordé).

8-2 informations concernant le dispositif : (pour chaque dispositif) - toutes les dimensions et formes (plans et croquis cotés) - les matériaux constitutifs (visibles ou non) - les caractères du (des) message(s) et graphismes répétitifs - toutes les couleurs (références pantone ou R.A.L.) - les systèmes d’éclairage (détaillés par technique, consommation, puissance…) - les systèmes d’animation (détaillés par technique, consommation, puissance…) - les systèmes de pose et de fixation - en cas d'enseigne temporaire posée au sol : toute information sur la sécurité du dispositif vis-à-vis des tiers. - consommation énergétique du ou de systèmes.

8-3 informations concernant l’implantation : A détailler pour chaque dispositif permanent ou temporaire (si temporaire, indiquer les dates de pose et dépose prévues).

8- 3-1 enseignes sur support : - positionnement de chaque dispositif ou inscription sur une vue en élévation de la façade complète (5mm/m) - vue de profil de la façade pour enseigne en saillie

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- photographies du bâtiment (ou terrain nu) avec vue en perspective depuis la voie.

8-3-2 enseigne scellée au sol : Positionnement précis du dispositif sur le terrain (plan 1/50ème) par rapport : - aux limites séparatives du terrain - aux bâtiments du terrain - aux bâtiments d’habitation des fonds voisins - dimension des bâtiments voisins (principalement hauteur) - photographies (ou vues du projet en élévation) des bâtiments voisins.

8-3-3 enseigne posée au sol - positionnement envisagé sur le terrain - en cas d'enseigne temporaire sur partie concédée du domaine public : - positionnement par rapport à la devanture ou linéaire de façade de l'établissement - référence éventuelle de l'autorisation de voirie.

8-4 état des surfaces d’enseignes par activité 8-4-1 Toute demande d’autorisation devra présenter au préalable un état des surfaces d’enseignes existantes pour l’activité ou l’établissement concerné. L’état détaillera chaque enseigne selon son type (bandeau peint, caisson, drapeau, scellé au sol, chevalet, supports annexes…) et fera un récapitulatif des surfaces par type.

8-4-2 Les surfaces du projet seront détaillées selon le même principe.

8-4-3 Le bilan résultant des surfaces sera établi selon la même répartition en distinguant clairement les surfaces éventuellement maintenues et les surfaces nouvelles motivant la demande d’autorisation.

ARTICLE 3 : Toutes les personnes compétentes au titre du Code de l’Environnement sont chargées de l’application du présent règlement.

ARTICLE 4 : Monsieur le Maire et le Directeur Général des Services sont chargés chacun en ce qui les concerne de l’exécution du présent arrêté dont ampliation sera transmise à Monsieur le Préfet de Seine-et-Marne.

Fait à OZOIR-LA-FERRIERE, le 29/06/2011 Et signé par Monsieur Jean-François ONETO, Maire de la commune

« Certifié exécutoire » Transmission en Préfecture le 1 er juillet 2011 Publication le 1 er juillet 2011

1.5. DDT - Direction départementale des territoires (équipement - agriculture)

2011/DDT/SADR/91 — AP modifiant l'arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SAVRN/117 modifié relatif au 4 ème programme d'action à mettre en oeuvre en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d'origine agricole

Arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SADR/n° 091 modifiant l’arrêté préfectoral n° 2009 / DDEA / SAVRN / N° 117 modifié relatif au 4 ème programme d'action à mettre en œuvre en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d'origine agricole

Vu la directive n° 91/676/CEE du 12 décembre 1991 concernant la protection des eaux contre la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles, dite directive ‘‘nitrates’’, Vu la directive n° 75/440/CEE du 16 juin 1975 modifiée concernant la qualité requise des eaux superficielles destinées à la production d’eau alimentaire dans les Etats membres,

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Vu la directive n°2000/60/CE du 23 octobre 2000 établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau, Vu le code de la santé publique et ses articles R 1321-1 et suivants, Vu le code de l’environnement et ses articles L 122-4 et suivants, R 122-17 et suivants, R211-80 et suivants, Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ; Vu le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ; Vu le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ; Vu l'arrêté ministériel du 22 novembre 1993 relatif au code des bonnes pratiques agricoles, Vu l'arrêté interministériel du 6 mars 2001 relatif aux programmes d'action à mettre en œuvre dans les zones vulnérables afin de réduire la pollution des eaux par les nitrates d'origine agricole, Vu l’arrêté du 21 août 2001, modifiant l’arrêté du 6 mars 2001 relatif aux programmes d'action à mettre en œuvre dans les zones vulnérables afin de réduire la pollution des eaux par les nitrates d'origine agricole, Vu l’arrêté du 1 er août 2005 établissant les prescriptions minimales à mettre en œuvre en zone vulnérable et modifiant l’arrêté du 06 mars 2001, Vu l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine et Marne ; Vu l'arrêté du préfet coordonnateur de bassin du 20 septembre 1996 approuvant le SDAGE du Bassin Seine-Normandie, Vu l'arrêté du préfet coordinateur de bassin du 2 juillet 1997 portant délimitation des zones vulnérables dans le bassin Seine- Normandie et notamment concernant la totalité du département de Seine-et-Marne, Vu l'arrêté préfectoral du 10 mai 1983 modifié portant règlement sanitaire départemental, Vu l’arrêté préfectoral n° 2009 / DDEA / SAVRN / N° 117 relatif au 4 ème programme d'action à mettre en œuvre en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d'origine agricole en date du 10 juillet 2009 et l’arrêté modificatif n° 2010 / DDEA / SAVRN / N° 33 en date du 19 mai 2010 Considérant la valeur fertilisante des pailles enlevées dans le but de satisfaire les besoins des éleveurs suite à la sécheresse du printemps 2011 ; Après consultation du groupe départemental de suivi, Sur proposition du secrétaire général de la préfecture et du directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

ARRETE

Article 1er : A l'article 4 § 13° point c – dérogation à l'implantation des CIPAN, il est inséré un point C 7 tel que rédigé :

C7 – Pour la campagne 2011, les parcelles dans lesquelles les pailles auront été enlevées dans le cadre des opérations solidarité paille afin de satisfaire les besoins des éleveurs sinistrés par la sécheresse du printemps 2011, seront considérées comme implantées en CIPAN au titre du respect du taux de couverture automnale des sols. En cas de contrôle, l'agriculteur devra être en mesure d'apporter les preuves de l'enlèvement des pailles sur les parcelles concernées par cette dérogation.

Article 2 – Publicité et information des tiers Le présent arrêté sera inséré au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne. Une copie du présent arrêté sera transmise à l'ensemble des communes de Seine-et-Marne pour affichage. Les communes transmettront au Préfet de Seine-et-Marne une note sur l'accomplissement de cette formalité dans les deux mois à compter de la publication du présent arrêté. Le présent arrêté sera inséré sous forme d'un avis dans la presse professionnelle et dans un journal local ou par tout autre moyen approprié notamment électronique, à l'attention des agriculteurs de Seine-et-Marne. Il sera publié sur le site internet de la direction départementale des territoires de Seine-et-Marne et de la chambre d'agriculture de Seine-et-Marne.

Article 3 – Recours Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours dans un délai de deux mois à compter de sa notification à compter de sa publication ou de son affichage. Les recours peuvent revêtir les formes suivantes : - soit gracieux, adressé à M. le Préfet de Seine et Marne - Rue des Saints Pères – 77010 MELUN CEDEX,

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- soit hiérarchique, adressé au Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement Durable et de la Mer – Tour Pascal B 92055 LA DEFENSE CEDEX, soit au Ministère de l'alimentation de l’agriculture, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire– 78 rue de Varenne 75349 PARIS 07 , - soit contentieux en saisissant le Tribunal Administratif de MELUN - 43, rue du Général de Gaule - Case postale n° 8630 - 77008 MELUN CEDEX. Dans les deux premiers cas, le silence de l’administration vaut rejet implicite au terme d’un délai de deux mois. Après un recours gracieux ou hiérarchique, le délai de recours contentieux ne court qu’à compter du rejet implicite de l’un de ces deux recours.

Article 4 – Exécution Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental des territoires, le colonel commandant le groupement de gendarmerie, la directrice départementale de la sécurité publique, le directeur départemental de la protection des populations, le président de la chambre départementale d’agriculture de Seine-et-Marne, les agents visés à l'article L 216-3 du code de l’environnement, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l'application du présent arrêté dont une copie leur sera adressée.

Melun, le 05 juillet 2011 Le Préfet, Signé Pierre MONZANI

2011/DDT/SEPR/287 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M.GAVELLE, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale des territoires Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/287 Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de Service environnement renards et de ragondins et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

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VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Philippe GAVELLE, demeurant 1 ter route de Fontainebleau à (77370), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 1), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : , BOURRON-MARLOTTE, , , CHEVRY-EN-SEREINE, , , , ECUELLES, EGREVILLE, EPISY, , FLAGY, LA BROSSE-MONTCEAUX, , LORREZ-LE-BOCAGE-PREAUX, MONTARLOT, MONTCOURT-FROMONVILLE, MONTIGNY-SUR-LOING, , MORET-SUR- LOING, NANTEAU-SUR-LUNAIN, , NOISY-RUDIGNON, NONVILLE, PALEY, POLIGNY, , SAINT-ANGE-LE-VIEL, SAINT-MAMMES, SOUPPES-SUR-LOING, THOURY-FEROTTES, TREUZY-LEVELAY, VARENNES-SUR-SEINE, VAUX-SUR-LUNAIN, VILLEBEON, , VILLEMARECHAL, VILLEMER, VILLE-SAINT-JACQUES, , ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur, et sur les communes situées sur le trajet de son domicile à son secteur d'intervention NANGIS, , LA- CHAPELLE-RABLAIS, ECHOUBOULAINS, LAVAL-EN-BRIE et FORGES.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Philippe GAVELLE sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours.

Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 : M. Philippe GAVELLE est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

26

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Philippe GAVELLE et pour information à M. Pierre-François PRIOUX. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 JUILLET 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/288 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Alain TOUTANT, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/288 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

27

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Alain TOUTANT, demeurant 51, rue Grande Sorques à MONTIGNY SUR LOING (77690), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 2), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : ACHERES-LA-FORET, , ARBONNE-LA-FORET, ARVILLE, , AVON, BAGNEAUX-SUR-LOING, , BEAUMONT- DU-GATINAIS, BOIS-LE-ROI, BOISSISE-LE-ROI, BOISSY-AUX-CAILLES, , , BURCY, BUTHIERS CELY-EN-BIERE, CHAILLY-EN-BIERE, CHATEAU-LANDON, CHATENOY, , , DAMMARIE-LES-LYS, ,FAY-LES-NEMOURS, FLEURY-EN-BIERE, FONTAINEBLEAU, , , , GREZ-SUR-LOING, , , LA CHAPELLE-LA- REINE, LA MADELEINE-SUR-LOING, LA ROCHETTE, , LE VAUDOUE, MAISONCELLES-EN- GATINAIS, MONDREVILLE, NANTEAU-SUR-ESSONNE, NOISY-SUR-ECOLE, , ORMESSON, PERTHES, PRINGY, , RUMONT, SAINT-FARGEAU-PONTHIERRY, SAINT-GERMAIN-SUR-ECOLE, SAINT-MARTIN-EN-BIERE, SAINT-PIERRE-LES-NEMOURS, SAINT-SAUVEUR-SUR-ECOLE, SAMOIS-SUR- SEINE, , , URY, VENEUX-LES-SABLONS, VILLIERS-EN-BIERE, VILLIERS-SOUS-GREZ ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Alain TOUTANT sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 : M. Alain TOUTANT est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 :

Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Alain TOUTANT. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER.

2011/DDT/SEPR/289 — arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. DUVERNE, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/289 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

29

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Claude DUVERNE, demeurant 23, Voie aux Vins à CHALAUTRE LA PETITE (77160), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 3), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : BABY, , BARBEY, BAZOCHES-LES- BRAY, BRAY-SUR-SEINE, CANNES-ECLUSES, CESSOY-EN-MONTOIS, CHALAUTRE-LA-PETITE, , CHATENAY-SUR-SEINE, COURCELLES-EN-BASSEE, DONNEMARIE-DONTILLY, EGLIGNY, EVERLY, FONTAINE-FOURCHES, , , GRISY-SUR-SEINE, GURCY-LE-CHATEL, HERME, , , , LES ORMES-SUR-VOULZIE, , LONGUEVILLE, , MAROLLES-SUR-SEINE, MEIGNEUX, MELZ-SUR-SEINE, MISY-SUR-YONNE, MONS-EN-MONTOIS, MONTEREAU-FAULT-YONNE, MONTIGNY-LE-GUESDIER, MONTIGNY-LENCOUP, MOUSSEAUX-LES-BRAY, MOUY-SUR-SEINE, NOYEN-SUR-SEINE, PAROY, PASSY-SUR-SEINE, , SAINTE-COLOMBE, SAINT- GERMAIN-LAVAL, SAINT-LOUP-DE-NAUD, SAINT-SAUVEUR-LES-BRAY, SALINS, , SIGY, SOGNOLLES-EN-MONTOIS, SOISY-BOUY, , THENISY, VILLENAUXE-LA-PETITE, VILLIERS-SUR- SEINE, , ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Claude DUVERNE sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours.

Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

30

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 3 : M. Claude DUVERNE est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012. ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 :

Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur Départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Claude DUVERNE. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/290 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Pierre-François PRIOUX, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/290 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

31

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Pierre-François PRIOUX, demeurant 24, rue de la Tournerie à (77830), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 4), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : BREAU, CHAMPAGNE-SUR-SEINE, COUTENCON, ECHOUBOULAINS, FERICY, FONTAINE-LE-PORT, FONTAINS, FONTENAILLES, FORGES, GRANDPUITS-BAILLY-CARROIS, HERICY, LA CHAPELLE-GAUTHIER, LA CHAPELLE-RABLAIS, LA GRANDE- PAROISSE, LAVAL-EN-BRIE, LE CHATELET-EN-BRIE, LES ECRENNES, MACHAULT, NANGIS, PAMFOU, , SAINT-OUEN-EN-BRIE, , VALENCE-EN-BRIE, VERNOU-LA-CELLE-SUR-SEINE, VILLENEUVE-LES-BORDES, VULAINES-SUR-SEINE ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Pierre-François PRIOUX sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

32

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 3 : M. Pierre-François PRIOUX est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Pierre-François PRIOUX et pour information à M. Philippe GAVELLE. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/291 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Jacques DELOISON, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/291 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

33

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Jacques DELOISON, demeurant 4, Place L. Bullot à LIMOGES-FOURCHES (77550), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 5), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : , ARGENTIERES, AUBEPIERRE- OZOUER-LE-REPOS, BEAUVOIR, BERNAY-VILBERT, BLANDY, BOISSETTES, BOISSISE-LA-BERTRAND, BOMBON, BRIE-COMTE-ROBERT, , , CHAMPEAUX, , CHATILLON-LA- BORDE, CHAUMES-EN-BRIE, COMBS-LA-VILLE, , , COURTOMER, , EVRY-GREGY-SUR-YERRES, , GRISY-SUISNES, , LE MEE-SUR-SEINE, LIEUSAINT, LIMOGES- FOURCHES, , LIVRY-SUR-SEINE, , MELUN, , MOISSY-CRAMAYEL, MONTEREAU- SUR-LE-JARD, , NANDY, OZOUER-LE-VOULGIS, REAU, ROZAY-EN-BRIE, , SAINT- GERMAIN-LAXIS, SAINT-MERY, ,SAVIGNY-LE-TEMPLE, SEINE-PORT, SERVON, SIVRY-, SOIGNOLLES-EN-BRIE, , VAUX-LE-PENIL, VERNEUIL-L'ETANG, VERT-SAINT-DENIS, , YEBLES ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Jacques DELOISON sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours.

Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 : M. Jacques DELOISON est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Jacques DELOISON. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 JUILLET 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/292 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Charles CRAPARD, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/292 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Charles CRAPARD, demeurant Ferme de la Fontaine à VILLIERS-SAINT-GEORGES (77560), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 6), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : AUGERS-EN-BRIE, BANNOST- VILLEGAGNON, BEAUCHERY-SAINT-MARTIN, , ,CHALAUTRE-LA-GRANDE, , CHATEAUBLEAU, CHENOISE, CLOS-FONTAINE, , , CUCHARMOY, , JOUY-LE-CHATEL, LA CHAPELLE-IGER, LA CHAPELLE-SAINT-SULPICE, LA CROIX- EN-BRIE, LECHELLE, LES MARETS, LOUAN-VILLEGRUIS-FONTAINE, MAISON-ROUGE, , PECY, PROVINS, , , RUPEREUX, SAINT-BRICE, SAINT-HILLIERS, SAINT-JUST-EN-BRIE, VANVILLE, VIEUX-CHAMPAGNE, VILLIERS-SAINT-GEORGES, , VULAINES-LES-PROVINS ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 2 :

M. Charles CRAPARD sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 :

M. Charles CRAPARD est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 :

Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Charles CRAPARD. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 JUILLET 2011

Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires,

Jean-Yves SOMMIER

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

2011/DDT/SEPR/293 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. BONTOUR Frédéric, lieutenant de louveterie. . PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/293 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 1 : M. Frédéric BONTOUR, demeurant 2, Grande rue à (77320), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 7), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : , AULNOY, BEAUTHEIL, BELLOT, BETON- BAZOCHES, BOISSY-LE-CHATEL, , CHAILLY-EN-BRIE, CHARTRONGES, , , CHOISY-EN-BRIE, COULOMMIERS, , , FRETOY, JOUY-SUR-MORIN, LA CHAPELLE- MOUTILS, LA FERTE-GAUCHER, LE PLESSIS-FEU-AUSSOUX, , LEUDON-EN-BRIE, MAROLLES-EN-BRIE, , , MONTCEAUX-LES-PROVINS, , , , MOUROUX, , SAINT-AUGUSTIN, SAINT-BARTHELEMY, SAINT-DENIS- LES-REBAIS, SAINT-GERMAIN-SOUS-DOUE, SAINT-LEGER, SAINT-MARS-VIEUX-MAISONS, SAINT-MARTIN- DES-CHAMPS, SAINT-MARTIN-DU-BOSCHET, SAINT-REMY-LA-VANNE, SAINTS, SAINT-SIMEON, SANCY- LES-PROVINS, , VAUDOY-EN-BRIE, VERDELOT, VILLENEUVE-SUR-BELLOT, ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 :

M. Frédéric BONTOUR sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 :

M. Frédéric BONTOUR est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 :

Le Directeur Départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Frédéric BONTOUR. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Fait à Melun, le 7 JUILLET 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/294 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. WILLEMS Frédéric.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/294 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

40

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Frédéric WILLEMS, demeurant Lieudit "Les Olivettes" à (77450), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 8), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : , CHATRES, CHEVRY-COSSIGNY, CONDE-SAINTE-LIBIAIRE, COUILLY-PONT-AUX-DAMES, CRECY-LA-CHAPELLE, CREVECOEUR-EN-BRIE, DAMMARTIN-SUR-, , FAVIERES, FEROLLES-ATTILLY, FONTENAY-TRESIGNY, , GRETZ-ARMAINVILLIERS, GUERARD, , ISLES-LES-, LA CELLE- SUR-MORIN, LA HOUSSAYE-EN-BRIE, LES CHAPELLES-BOURBON, LESIGNY, LIVERDY-EN-BRIE, LUMIGNY- NESLES-ORMEAUX, MAISONCELLES-EN-BRIE, MAREUIL-LES-MEAUX, MARLES-EN-BRIE, , NEUFMOUTIERS-EN-BRIE, OZOIR-LA-FERRIERE, PEZARCHES, , PONTAULT-COMBAULT, PONTCARRE, PRESLES-EN-BRIE, QUINCY-VOISINS, ROISSY-EN-BRIE, TIGEAUX, TOURNAN-EN-BRIE, , VILLENEUVE-SAINT-DENIS, VILLENOY, VILLIERS-SUR-MORIN, ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur, et les communes suivantes : , , CUISY, SAINT SOUPPLETS, SAINT-PATHUS, , DOUY-LA-RAMEE, PUISIEUX, LE PLESSIS-PLACY, VINCY- MANOEUVRE.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Frédéric WILLEMS sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 : M. Frédéric WILLEMS est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 7 : Le Directeur Départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Frédéric WILLEMS, et pour information à MM. Robert PICAUD et Gilbert DREVET. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/295 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. Gilbert DREVET, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/295 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins,

42

Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture) porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Gilbert DREVET, demeurant 25, rue de Meaux à CHAMBRY (77910), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 9), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : ARMENTIERES-EN-BRIE, , , BOITRON, BOUTIGNY, BUSSIERES, CHAMBRY, , CHANGIS-SUR-MARNE, , , CONGIS-SUR-THEROUANNE, COULOMBS-EN-VALOIS, , CREGY-LES-MEAUX, CROUY-SUR- OURCQ, , DOUE, DOUY-LA-RAMEE, ETREPILLY, , GERMIGNY-L'EVEQUE, GERMIGNY- SOUS-COULOMBS, , ISLES-LES-MELDEUSES, , , LA FERTE-SOUS- JOUARRE, LA HAUTE-MAISON, LA TRETOIRE, LE PLESSIS-PLACY, LIZY-SUR-OURCQ, , MARCILLY, MARY-SUR-MARNE, MAY-EN-MULTIEN, MEAUX, MERY-SUR-MARNE, MONTCEAUX-LES- MEAUX, NANTEUIL-LES-MEAUX, NANTEUIL-SUR-MARNE, , ORLY-SUR-MORIN, PIERRE-LEVEE, , PUISIEUX, REUIL-EN-BRIE, SAACY-SUR-MARNE, SABLONNIERES, SAINT-CYR-SUR-MORIN, SAINTE-AULDE, SAINT-FIACRE, SAINT-JEAN-LES-DEUX-JUMEAUX, SAINT-OUEN-SUR-MORIN, , SANCY, SEPT-SORTS, SIGNY-SIGNETS, , , TROCY-EN-MULTIEN, USSY-SUR-MARNE, , , , , VINCY-MANŒUVRE ainsi que sur les communes limitrophes de ce secteur.

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Gilbert DREVET sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

ARTICLE 3 : M. Gilbert DREVET est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur Départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Gilbert DREVET. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

2011/DDT/SEPR/296 — Arrêté relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins à M. PICAUD Robert, lieutenant de louveterie.

PREFET DE SEINE-ET-MARNE

Direction départementale Arrêté n° 2011/DDT/SEPR/296 des territoires Relatif à l'organisation de chasses particulières de destruction de renards et de ragondins Service environnement et prévention des risques

Le Préfet de la Seine-et-Marne Chevalier de la Légion d’Honneur,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L.427-1, L.427-6 et R.427-1 ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements ;

VU le décret du Président de la République en date du 27 mai 2011 portant nomination de Monsieur Pierre MONZANI, préfet de Seine-et-Marne ;

VU le décret du Président de la République en date du 26 août 2010 portant nomination de Monsieur Serge GOUTEYRON, sous-préfet hors classe, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté du Premier Ministre en date du 1er juillet 2010 nommant Monsieur Jean-Yves SOMMIER, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2009/DDEA/SEPR/672 du 10 décembre 2009 portant nomination des lieutenants de louveterie pour le département de Seine et Marne ;

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/198 du 13 mai 2011 fixant la liste des animaux classés nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU l’arrêté préfectoral n° 2011/DDT/SEPR/199 du 13 mai 2011 fixant les modalités de destruction à tir des animaux nuisibles dans le département de Seine-et-Marne pour l’année 2011-2012 ;

VU la demande formulée par les lieutenants de louveterie constatant l’augmentation des populations de renards, notamment en milieu périurbain et urbain et les risques pour la santé et la sécurité publiques, ainsi que l’augmentation des ragondins, porteurs d’une bactérie pouvant contaminer le milieu aquatique, d’où risque de transmission pour les animaux et l’homme d’une maladie infectieuse (leptospirose), et portant atteinte à la stabilité des berges des rivières ou des berges et digues des étangs ;

VU l’avis favorable de la Fédération départementale des chasseurs ;

VU l’arrêté préfectoral n°11/PCAD/117 du 6 juin 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Jean-Yves SOMMIER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de Seine-et-Marne ;

CONSIDERANT les risques pour la santé et la sécurité publiques ;

SUR proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Robert PICAUD, demeurant 4, rue de la Source Crépoil à COCHEREL (77440), lieutenant de louveterie territorialement compétent (Secteur 10), est autorisé à pratiquer de nuit, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards et ragondins, sur les communes de : ANNET-SUR-MARNE, BAILLY-ROMAINVILLIERS, BROU- SUR-CHANTEREINE, BUSSY-SAINT-GEORGES, BUSSY-SAINT-MARTIN, , , CHAMPS- SUR-MARNE, CHANTELOUP-EN-BRIE, CHARMENTRAY, CHARNY, CHAUCONIN-NEUFMONTIERS, CHELLES, CHESSY, CLAYE-SOUILLY, COLLEGIEN, , ,CONCHES, , COURTRY, , CROISSY-BEAUBOURG, CUISY, DAMMARTIN-EN-GOELE, , EMERAINVILLE, , FERRIERES, FORFRY,FRESNES-SUR-MARNE, GESVRES-LE-CHAPITRE, , GRESSY, , IVERNY, , , JUILLY, LAGNY-SUR-MARNE, LE MESNIL-AMELOT, LE PIN, LE PLESSIS-AUX-BOIS, LE PLESSIS-L'EVEQUE, LESCHES, , , MAGNY-LE-HONGRE, MARCHEMORET, , MESSY, MITRY-MORY, MONTEVRAIN, MONTGE-EN-GOELE, , , MOUSSY-LE-NEUF, MOUSSY-LE-VIEUX, , , , , , , PRECY-SUR-MARNE, ROUVRES, SAINT-GERMAIN-SUR-MORIN, SAINT-MARD, SAINT-MESMES, SAINT-PATHUS, SAINT-SOUPPLETS, SAINT-THIBAULT-DES-VIGNES, SERRIS, THIEUX, THORIGNY-SUR- MARNE, TORCY, TRILBARDOU, VAIRES-SUR-MARNE, VILLENEUVE-LE-COMTE, VILLENEUVE-SOUS- DAMMARTIN, , VILLEROY, VILLEVAUDE, , ainsi que sur les communes limitrophes à ce secteur et sur les communes situées sur le trajet de son domicile à son secteur d'intervention (COCHEREL, CONGIS SUR THEROUANNE, COULOMBS-EN-VALOIS, DHUISY, ETREPILLY, JAIGNES, LIZY SUR OURCQ, TANCROU ET VENDREST).

Ces opérations se feront, hors jours fériés, de la date de signature du présent arrêté et jusqu’au 30 avril 2012 inclus.

ARTICLE 2 : M. Robert PICAUD sera assisté, de trois aides : deux portant chacun une source lumineuse mobile, le troisième conduisant le véhicule qui, au moment du tir de nuit, sera arrêté. Afin de faciliter les opérations de destruction, le lieutenant de louveterie aura également la possibilité de se faire assister d’un tireur, afin de permettre le tir de part et d’autre du véhicule si nécessaire. Ce tireur devra être titulaire du permis de chasser correctement validé pour la saison en cours. Pour les opérations de destructions nocturnes, la carabine devra être munie d’un silencieux.

L’usage d’un gyrophare vert de signalement est recommandé.

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

ARTICLE 3 : M. Robert PICAUD est également autorisé à pratiquer de jour, à l’aide d’une carabine munie de ses équipements, des opérations de destruction des renards. Ces opérations se feront - sauf les samedi, dimanche et jours fériés - sur les territoires de chasse non gardés par un garde chasse particulier, sous réserve de l’accord du détenteur du droit de chasse, de la date de signature du présent arrêté au 30 juin 2012.

ARTICLE 4 : Les renards et ragondins prélevés lors de ces chasses particulières, seront enterrés, sous réserve d’un éloignement suffisant de toute source ou ruisseau et en dehors des périmètres de protection des captages d’eau potable, après avoir été éventrés, recouverts si possible de chaux vive et d’au moins un mètre de terre.

ARTICLE 5 : Un compte rendu mensuel sera adressé à la Direction départementale des territoires, avec copie à la Fédération départementale des chasseurs.

ARTICLE 6 : Le présent arrêté préfectoral peut faire l’objet d’un recours administratif gracieux auprès du préfet de Seine et Marne dans les deux mois suivant sa notification. L’absence de réponse au terme du délai de deux mois vaut rejet implicite.

Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal administratif de Melun dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté préfectoral.

ARTICLE 7 : Le Directeur Départemental des territoires, le commandant du groupement de gendarmerie de Seine et Marne, la directrice départementale de la sécurité publique de Seine et Marne, le président de la Fédération départementale des chasseurs de Seine et Marne, le chef de la Brigade mobile d’intervention Ile de France Est de l’Office National de la Chasse et de la faune sauvage, le Directeur de l’Agence Interdépartementale de FONTAINEBLEAU de l’Office National des Forêts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une ampliation sera adressée à M. Robert PICAUD, et pour information à M. Gilbert DREVET. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 7 juillet 2011 Pour le préfet et par délégation, Le directeur départemental des territoires, Jean-Yves SOMMIER

1.6. DGFIP ( dont trésorerie générale) delegation derop-paoli_brie — délégation de signature

Monsieur Denis DAHAN, administrateur général des finances publiques, directeur départemental des finances publiques de Seine-et-Marne donne délégation de signature à Mme DEROP-PAOLI Dominique, Trésorier Principal de la Trésorerie de Brie-Comte-Robert, pour accorder une remise gracieuse portant sur des majorations de 10 %, des frais de poursuites ou des intérêts moratoires en matière de recouvrement de l’impôt, jusqu’à un montant de 30 000 €.

La présente délégation de signature sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

A Melun, le 01 juillet 2011 Denis DAHAN

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture) délégation grolleau_nangis — délégation de signature

Monsieur Denis DAHAN, administrateur général des finances publiques, directeur départemental des finances publiques de Seine-et-Marne donne délégation de signature à Madame GROLLEAU Valérie, Receveur Percepteur de la Trésorerie de Nangis, pour accorder une remise gracieuse portant sur des majorations de 10 %, des frais de poursuites ou des intérêts moratoires en matière de recouvrement de l’impôt, jusqu’à un montant de 22 500 €.

La présente délégation de signature sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

A Melun, le 01 juillet 2011 Denis DAHAN

délégation Hespeel_SIP Meaux Ouest —

Responsable de SIP

Gracieux relevant de la filière gestion publique

Délégation du directeur départemental des finances publiques

Arrêté portant délégation de signature

L'administrateur général des finances publiques de Seine-et-Marne,

Vu le code général des impôts, et notamment l’article 410 de son annexe II , Vu le livre des procédures fiscales, Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques,

Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 portant création des directions départementales des finances publiques, Vu l’arrêté du 9 juin 2010 portant création de la direction départementale des finances publiques de Seine-et-Marne, Vu la décision du directeur général des finances publiques en date du 21 avril 2011 fixant au 15 Mai 2011 la date d’installation de Monsieur Denis DAHAN dans les fonctions de directeur départemental des finances publiques de Seine-et- Marne, Vu l’arrêté du 08 juin 2011 portant création de services des impôts des particuliers de Meaux-Ouest dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques,

Arrête :

Article 1 er . – Délégation de signature est donnée à Monsieur HESPEEL Marc, Trésorier Principal, responsable du service des impôts des particuliers de Meaux-Ouest à l’effet de statuer sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10 % prévue par l'article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros. Article 2. – Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Melun.

A Melun, le 01 juillet 2011

L’administrateur général des finances publiques, directeur départemental des finances publiques de Seine-et-Marne

Denis DAHAN

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture) délégation Fernandez_SIP Meaux Est —

Responsable de SIP

Gracieux relevant de la filière gestion publique

Délégation du directeur départemental des finances publiques

Arrêté portant délégation de signature

L'administrateur général des finances publiques, de Seine-et-Marne, Vu le code général des impôts, et notamment l’article 410 de son annexe II , Vu le livre des procédures fiscales, Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 portant création des directions départementales des finances publiques, Vu l’arrêté du 9 juin 2010 portant création de la direction départementale des finances publiques de Seine-et-Marne, Vu la décision du directeur général des finances publiques en date du 21 avril 2011 fixant au 15 Mai 2011 la date d’installation de Monsieur Denis DAHAN dans les fonctions de directeur départemental des finances publiques de Seine-et- Marne, Vu l’arrêté du 08 juin 2011 portant création de services des impôts des particuliers de Meaux-Est dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques,

Arrête :

Article 1 er . – Délégation de signature est donnée à Monsieur FERNANDEZ Astério, Inspecteur Départemental, responsable du service des impôts des particuliers de Meaux-Est à l’effet de statuer sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10 % prévue par l'article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros.

Article 2. – Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Melun.

A Melun, le 01 juillet 2011 L’administrateur général des finances publiques, directeur départemental des finances publiques de Seine-et-Marne Denis DAHAN 2. Décisions

2.1. Cliniques et centres hospitaliers

03/2011 — avenant a la décision portant nomination d’un regisseur titulaire, de mandataires suppléants et de préposes a l’encaissement POUR LE SERVICE DES ADMISSIONS, DES CONSULTATIONS EXTERNES ET DE L’IRM

Centre Hospitalier de Fontainebleau avenant n° 03/2011 a la décision portant nomination d’un regisseur titulaire, de mandataires suppléants et de préposes a l’encaissement POUR LE SERVICE DES ADMISSIONS , DES CONSULTATIONS EXTERNES ET DE L ’IRM

Le Directeur du Centre Hospitalier de Fontainebleau,

Vu sa décision en date du 3 septembre 2007 modifiant la régie de recettes instituée pour le service des admissions, des consultations externes et du service d’IRM ;

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Vu sa décision en date du 3 septembre 2007 portant nomination d’un régisseur titulaire, de mandataires suppléants et de préposés à l’encaissement pour le service des admissions, des consultations externes et de l’IRM ;

Vu l’arrêté du 3 septembre 2001 modifié, relatif aux taux de l’indemnité de responsabilité susceptible d’être allouée aux régisseurs d’avances et aux régisseurs de recettes relevant des organismes publics et au montant du cautionnement imposé à ces agents ;

Vu l’avis conforme du Trésorier Principal de Fontainebleau, comptable public assignataire, en date du 14 juin 2011;

D E C I D E

Article 1 er : L’article 4 de la décision du 3 septembre 2007 est modifié et complété comme suit : Sous la responsabilité personnelle et pécuniaire de Mme Guislaine PHILOUZE ou de ses mandataires suppléants, est nommée préposée à l’encaissement sur le point d’encaissement de l’EHPAD, à compter du 20 juin 2011 :

Mme Isabelle PALMIERI

Fait à Fontainebleau, le 14 juin 2011 Vu pour avis conforme, Le Trésorier Principal Le Directeur P. DROMARD J. SECHER

Signatures précédées de la formule manuscrite « Vu pour acceptation »

Le régisseur titulaire Le mandataire suppléant Le mandataire suppléant G. PHILOUZE D. LE MAO F. GUILLEMIN

Le nouveau préposé à l’encaissement : Isabelle PALMIERI

2.2. DRIEE - Direction régionale et interdépartementale de l'environnement et de l'énergie

— DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC PRESLES EN BRIE

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC

(Établie en deux exemplaires originaux)

Réf. RFF : 20110137 Gestionnaire : RFF (DR/IDF)

LE PRESIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

Vu le code des transports ;

Vu la loi n°97-135 du 13 février 1997 modifiée portant création de l’établissement public “ Réseau Ferré de France ” en vue du renouveau du transport ferroviaire, et notamment son article 5 ;

Vu le code général de la propriété des personnes publiques, et notamment son article L. 2141-1,

Vu le décret n°97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau Ferré de France, et notamment son article 39 ;

Vu le décret n°97-445 du 5 mai 1997 portant constitution du patrimoine initial de l’établissement public Réseau Ferré de France ;

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Préfet de Seine-et-Marne Recueil des actes administratifs n° 27 bis du 07 juillet 2011 (Le recueil est consultable à l’’accueil de la préfecture)

Vu le décret du 7 septembre 2007 portant nomination du Président de Réseau Ferré de France ;

Vu la délibération du conseil d’administration de Réseau ferré de France en date du 29 novembre 2007 portant délégation de pouvoirs au président et fixant les conditions générales des délégations au sein de l’établissement ;

Vu la décision du 21 septembre 2009 portant organisation générale de Réseau ferré de France ;

Vu la décision du 7 janvier 2008 portant délégation de pouvoirs au Directeur Régional Ile de France;

Vu la décision du 8 juin 2009 portant délégation de signature du Président à Monsieur François-Régis ORIZET en qualité de Directeur Régional Ile de France;

Vu la décision du 30 Août 2010 portant délégation de signature par François-Régis ORIZET à Olivier MILAN en qualité de Chef du Service Aménagement du Patrimoine,

Considérant que le bien n’est plus affecté à un service public ou à l’usage direct du public,

DECIDE :

TERRAINS PLAIN-PIED :

ARTICLE 1 er

Les terrains agricoles en friche sis à PRESLES-EN-BRIE (Seine-et-Marne) tels qu’ils apparaissent dans le tableau ci-dessous et sur le plan joint à la présente décision figurant sous teinte , sont déclassés du domaine public ferroviaire.

Références cadastrales Code INSEE Commune Lieu-dit Surface (m²) Section Numéro

77377 LES BUIS SUD ZK 0063 121642

77377 LES BUIS SUD ZK 0064 3603

TOTAL 125245

ARTICLE 2

La présente décision sera affichée en mairie de PRESLES-EN-BRIE et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Melun ainsi qu’au Bulletin Officiel de Réseau Ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/ ).

Fait à Paris, le 10 juin 2011 Pour le Président et par délégation, Le Directeur régional d'Ile- de- France Le Chef du Service Aménagement - Patrimoine,Olivier MILAN

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