The Velvet Underground New York Extravaganza Dossier

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

The Velvet Underground New York Extravaganza Dossier THE VELVET UNDERGROUND UNE EXPOSITION NEW YORK EXTRAVAGANZA rum iliquib usaperis vel eost, qui dollabo rernatem ea dolores ma aligendae volorae nobis apereris suscilicide comniae venis ipsanie nientiam quam nis sin nus. ipsanie nientiam suscilicide comniae venis nobis apereris volorae ma aligendae qui dollabo rernatem eost, ea dolores vel rum iliquib usaperis du 30 mars au 21 août 2016 philharmoniedeparis.fr - 01 44 84 44 84 - Porte de Pantin DOSSIER DE PRESSE 1 DES ANNÉES 60 JUSQU’À AUJOURD’HUI, la trajectoire du Velvet Underground est l’une des plus fascinantes de l’histoire des arts, de la musique et de la culture populaire : comment un groupe boudé par le succès durant sa brève existence (1965-1970) s’est-il progressivement révélé, jusqu’à devenir la légende rock par excellence ? Trop novateur, trop transgressif, trop frontal et trop frondeur pour son époque, il devient un indépassable modèle pour les mouvements des décennies suivantes, de l’explosion punk à nos jours. Avec le temps et à l’aide de quelques admirateurs de luxe (David Bowie, Kurt Cobain, Étienne Daho…), le fameux « album à la banane », qui fête ses cinquante ans cette année, s’est imposé comme matrice du rock moderne. À l’origine, la rencontre improbable de Lou Reed et John Cale, faux frères surdoués, au sein de la seule ville susceptible de les faire grandir ensemble : le New York interlope du début des sixties, où l’élite des artistes décide que tout est permis. Autour du poète rocker et du musicien d’avant-garde s’agrège une équipe de francs-tireurs – Sterling Morrison, étudiant en littérature et fan de rock’n’roll ; Moe Tucker, banlieusarde androgyne éprise de rythmes tribaux ; Nico, l’iceberg blond dont Andy Warhol va faire la chanteuse du Velvet Underground. De la rue aux plus hautes sphères de la société new-yorkaise, de l’univers de la musique pop à ceux du cinéma, de la peinture et de la littérature, cette exposition retrace le parcours du Velvet Underground. Un groupe qui, un demi-siècle après la rencontre de ses membres fondateurs, reste le plus moderne et le plus mystérieux de l’histoire du rock américain. 2 THE VELVET UNDERGROUND une chronologie… 16 octobre 1938 Naissance de Christa Päffgen – la future Nico – à Cologne, en Allemagne. 2 mars 1942 Naissance de Lewis Reed à Brooklyn, New York. 9 mars 1942 Naissance de John Cale à Garmant, Pays de Galles. 29 août 1942 Naissance de Sterling Morrison à East Meadows, New York. 28 août 1944 Naissance de Maureen Tucker dans le Queens, à New York. 25 février 1947 Naissance de Doug Yule à Long Island, New York. Décembre 1964 Lou Reed et John Cale font connaissance à New York. Les deux musiciens commencent aussitôt à jouer ensemble ; trois mois plus tard, Lou Reed emménage dans l’appartement du Lower East Side où réside John Cale. Printemps 1965 Le guitariste Sterling Morrison se joint à Lou Reed et John Cale. Ensemble, ils répètent longuement et, en compagnie du percussionniste Angus MacLise, fournissent l’accompagnement musical de films d’avant-garde. Décembre 1965 Maureen « Moe » Tucker remplace Angus MacLise à la batterie. Le Velvet Underground est né ; pour son premier concert officiel, le groupe se produit dans un lycée du New Jersey. 16 décembre 1965 Au Cafe Bizarre de New York, Andy Warhol assiste à son premier concert du Velvet Underground. Séduit, il propose de prendre en main la carrière du groupe. Janvier 1966 À l’occasion des premières répétitions organisées à la Silver Factory d’Andy Warhol, Nico devient la chanteuse du Velvet Underground. Le 12 janvier, elle monte pour la première fois sur scène avec le groupe, lequel joue durant le dîner annuel d’une société de psychiatres new-yorkais. Février 1966 À la Film-Makers’ Cooperative de New York, le Velvet Underground participe à un spectacle multimédia intitulé Andy Warhol – Uptight. 1er avril 1966 Le Velvet Underground entame à New York une série de concerts donnés dans le cadre de l’Exploding Plastic Inevitable, spectacle multimédia conçu par Andy Warhol et mêlant light show, improvisations instrumentales, danse et projections de films. 16 au 23 avril 1966 En quelques jours, le Velvet Underground enregistre à New York son premier album. Mai 1966 Certaines chansons de l’album sont réenregistrées à Los Angeles. 12 mars 1967 Sortie du 33 tours The Velvet Underground & Nico. Sa pochette, conçue par Andy Warhol, lui vaudra d’être baptisé par les fans « l’album à la banane ». Échec commercial en 1967, le disque va, au fil des ans, changer le cours de l’histoire du rock. 30 janvier 1968 Sortie du deuxième album du Velvet Underground, White Light/White Heat. Nico, qui a entamé une carrière solo, ne fait alors plus partie du groupe. 1er octobre 1968 Doug Yule remplace John Cale au sein du Velvet Underground. 12 mars 1969 Sortie du troisième album, simplement intitulé The Velvet Underground. Le son du groupe a changé : aux déferlantes d’électricité succède le charme discret de l’intimisme. 23 août 1970 À la fin d’un concert donné au Max’s Kansas City de New York, Lou Reed annonce qu’il quitte le Velvet Underground. Septembre 1970 Sortie du quatrième album du Velvet Underground, Loaded. Deux de ses chansons, Sweet Jane et Rock’n’Roll, définiront les canons du rock urbain. 18 juillet 1988 Décès de Nico sur l’île d’Ibiza, en Espagne. Juin 1990 John Cale, Lou Reed, Sterling Morrison et Moe Tucker interprètent Heroin à la Fondation Cartier (Jouy-en-Josas) à l’occasion d’une exposition consacrée à Warhol. 1993 Tournée du Velvet Underground pour la première fois en Europe avec deux concerts à l’Olympia. 30 août 1995 Décès de Sterling Morrison à Poughkeepsie, New York. 27 octobre 2013 Décès de Lou Reed à Southampton, New York. 3 COMMISSARIAT DE L’EXPOSITION CHRISTIAN FEVRET Parallèlement à des études de droit et de philosophie, Christian Fevret fonde à 22 ans le magazine Les Inrockuptibles, dont il est directeur de la rédaction pendant vingt-cinq ans. Il crée également le festival du même nom, la revue littéraire L’Immature, le mensuel Volume et réalise de longs entretiens avec de nombreux musiciens et artistes. CAROLE MIRABELLO Diplômée de l’École supérieure de design industriel de Paris, Carole Mirabello a commencé sa carrière comme directrice artistique. En 2005, elle fonde sa société de production audiovisuelle « Un Monde Meilleur » au sein de laquelle elle s’attache à défendre des films documentaires exigeants. Elle collabore depuis 2013 avec Christian Fevret sur des projets musicaux. © Gerard Malanga, Courtesy Galerie Caroline Smulders, Paris 4 SCÉNO GRAPHIE MATALI CRASSET Designer et scénographe, matali crasset aime s’aventurer sur des domaines variés, de l’hôtellerie à la musique électronique, de l’artisanat à la réflexion sur la ville. Interrogeant les codes qui régissent la vie quotidienne, son œuvre s’organise autour de principes tels que la modularité, l’appropriation, la flexibilité… Pour l’exposition « The Velvet Underground - New York Extravaganza », elle ancre sa proposition dans la verticalité de New York. La scénographie propose un pas de côté, joue sur des symboles, donne des repères : de l’architecture de la ville à la Factory d’Andy Warhol – repère de la contre-culture. Les visiteurs sont entraînés dans cette antre, qui devient lieu de vie dans l’exposition, invités à regarder et réfléchir : en quoi le son, l’esprit du Velvet Underground nous sont-ils contemporains ? © matali crasset NICOLAS ROUVIÈRE Graphisme de l’exposition © matali crasset 5 UNE EXPOSITION DES CENTAINES AUDIOVISUELLE : D’IMAGES prises par les • Six films produits et réalisés spécialement pour photographes qui ont été témoins de l’exposition la carrière éclair du groupe : Nat • Des films d’art underground (Edward English, Finkelstein, Donald Greenhaus, Lisa Alexander Keewatin Dewdney, Gerard Law, Fred W. McDarrah, Gerard Malanga, Marie Menken, Barbara Rubin, Malanga, Billy Name, Adam Ritchie, Andy Warhol, Danny Williams) Steve Schapiro, Stephen Shore… • Des archives télévisuelles Et les ARCHIVES RARES de nombreux prêteurs et collectionneurs. UNE EXPOSITION IMMERSIVE et impressionniste, racontée au présent par les témoins et acteurs de l’époque. LES PORTRAITS des DES ŒUVRES membres du groupe : Lou Reed, D’ARTISTES John Cale, Sterling Morrison, Maureen Tucker, Nico. Mais aussi CONTEMPORAINS de ceux qui ont fait le New York inspirés par le Velvet Underground : underground : Candy Darling, Antoine d’Agata, Léo Dorfner, UNE Allen Ginsberg, Piero Heliczer, Nan Goldin, Douglas Gordon, EXPOSITION Angus MacLise, Gerard Malanga, John Giorno, João Louro, Guy MUSICALE : Jonas Mekas, Barbara Rubin, Edie Peellaert, Alain Séchas, Jean-Luc • Des espaces de musique live Sedgwick, Andy Warhol, Danny Verna, Gus Van Sant… • Une écoute avec casque Williams, La Monte Young… audio (fourni) permettant de se « plugger » pour offrir le confort d’une écoute personnalisée. 6 LES FILMS DE L’EXPOSITION Loin des codes classiques du documentaire, 6 films racontent au présent l’expérience du Velvet Underground : • Un film « dyptique » de 4 minutes réalisé par JONATHAN CAOUETTE, réalisateur américain très proche du cinéma indépendant. Monté à la façon d’un « cut-up », il propose un double regard sur l’Amérique des sixties : culture vs contre-culture. • Le visage et la voix de JONAS MEKAS accueillent les visiteurs à la Film-Makers’ Cooperative en parallèle d’un montage d’extraits des films les plus emblématiques de l’avant-garde cinématographique. • Un film de 12 minutes réalisé par Allan Rothschild, consacré à la jeunesse et à la rencontre de John Cale et de Lou Reed. Jonas Mekas, 2013 Trois voix se mêlent : les incarnations de JOHN CALE © Liz Wendelbo et de LOU REED et celle de Merrill, la jeune sœur de Lou, qui s’exprime pour la première fois.
Recommended publications
  • Boo-Hooray Catalog #10: Flyers
    Catalog 10 Flyers + Boo-hooray May 2021 22 eldridge boo-hooray.com New york ny Boo-Hooray Catalog #10: Flyers Boo-Hooray is proud to present our tenth antiquarian catalog, exploring the ephemeral nature of the flyer. We love marginal scraps of paper that become important artifacts of historical import decades later. In this catalog of flyers, we celebrate phenomenal throwaway pieces of paper in music, art, poetry, film, and activism. Readers will find rare flyers for underground films by Kenneth Anger, Jack Smith, and Andy Warhol; incredible early hip-hop flyers designed by Buddy Esquire and others; and punk artifacts of Crass, the Sex Pistols, the Clash, and the underground Austin scene. Also included are scarce protest flyers and examples of mutual aid in the 20th Century, such as a flyer from Angela Davis speaking in Harlem only months after being found not guilty for the kidnapping and murder of a judge, and a remarkably illustrated flyer from a free nursery in the Lower East Side. For over a decade, Boo-Hooray has been committed to the organization, stabilization, and preservation of cultural narratives through archival placement. Today, we continue and expand our mission through the sale of individual items and smaller collections. We encourage visitors to browse our extensive inventory of rare books, ephemera, archives and collections and look forward to inviting you back to our gallery in Manhattan’s Chinatown. Catalog prepared by Evan Neuhausen, Archivist & Rare Book Cataloger and Daylon Orr, Executive Director & Rare Book Specialist; with Beth Rudig, Director of Archives. Photography by Evan, Beth and Daylon.
    [Show full text]
  • Art & Culture 1900-2000 : Part II
    WHITNEY MUSEUM OF AMERICAN ART The American Century: Art & Culture 1900-2000 Part 11: 1950-2000 The Cool World: Film & Video in America 1950-2000 Curated by Chrissie Iles, curator of film and video, Whitney Museum of American Art. Film Program for the 1950s, 1960s, and early 1970s co-curated with Mark Webber; 1970s, 1980s and 1990s programs co-curated with Mark MacElhatten, Brian Frye, and Bradley Eros. The Cool Worldsurveys the development of avant-garde film and video in America, from the Beats of the to the 1950s recent innovations of the 1990s. The exhibition includes experiments in abstraction and the emergence of a new, "personal" cinema in the 1950s, the explosion of underground film and multimedia experiments in the 1960s, the rigorous Structural films of the early 1970s, and the new approaches to filmmaking in the 1980s and 1990s. The program also traces the emergence of video as a new art form in the 1960s, its use as a conceptual and performance tool during the 1970s, and its exploration of landscape, spirituality, and language during the 1980s . The Cool World concludes in the 1990s, with experiments by artists in projection, digital technology, and new media. The series is divided into two parts. Part I (September 26-December 5, 1999) presents work from the 1950s and 1960s . Part II (December 7, 1999-February 13, 2000) surveys the 1970s, 1980s, and 1990s. Each month is devoted to a specific decade. All films are 16mm. Those marked (v) are shown on videotape. Asterisked films are shown in both the repeating weekly programs and the Thursday/weekend theme programs.
    [Show full text]
  • The Dialectic of Obscenity
    University of Kentucky UKnowledge Law Faculty Scholarly Articles Law Faculty Publications Winter 2012 The Dialectic of Obscenity Brian L. Frye University of Kentucky College of Law, [email protected] Follow this and additional works at: https://uknowledge.uky.edu/law_facpub Part of the Constitutional Law Commons, Entertainment, Arts, and Sports Law Commons, and the Legal History Commons Right click to open a feedback form in a new tab to let us know how this document benefits ou.y Recommended Citation Brian L. Frye, The Dialectic of Obscenity, 35 Hamline L. Rev. 229 (2012). This Article is brought to you for free and open access by the Law Faculty Publications at UKnowledge. It has been accepted for inclusion in Law Faculty Scholarly Articles by an authorized administrator of UKnowledge. For more information, please contact [email protected]. The Dialectic of Obscenity Notes/Citation Information Hamline Law Review, Vol. 35, No. 1 (Winter 2012), pp. 229-278 This article is available at UKnowledge: https://uknowledge.uky.edu/law_facpub/264 229 THE DIALECTIC OF OBSCENITY Brian L. Frye* I. INTRODUCTION 230 II. A BRIEF HISTORY OF OBSCENITY 231 A. WHAT IS OBSCENITY? 231 B. THE RISE & FALL OF THE PANDERING TEST 232 C. THE MILLER TEST 234 D. THE AFTERMATH OF MILLER 235 III. FLAMING CREATURES 236 A. THE MAKING OF FLAMING CREATURES 237 B. THE INTRODUCTION OF FLAMING CREATURES 238 C. THE PERSECUTION OF FLAMING CREATURES 242 IV. JACOBS V. NEW YORK 245 A. FLAMING CREATURES IN NEW YORK STATE COURT 245 B. FLAMING CREATURES IN THE SUPREME COURT 250 C.
    [Show full text]
  • The Velvet Underground New York Art
    300 Park Avenue South Tel. (212) 387-3400 New York, NY 10010 Telefax (212) 387-3535 Rizzoli International Publications, Inc. FOR IMMEDIATE RELEASE CONTACT: Joshua Machat 212.387.3410 / [email protected] THE VELVET UNDERGROUND NEW YORK ART Edited by Johan Kugelberg Introduction by Lou Reed and Maureen Tucker Preface by Vaclav Havel with text contributions by Doug Yule, Sterling Morrison, John Wilcock, and Jon Savage Timeline by Salvatore Mercuri THE VELVET UNDERGROUND: NEW YORK ART (November 2009) is the first monograph devoted to a Rock and Roll band. The Velvet Underground were among the New York avant-garde who closed the gap between the popular arts and the fine art movement of the 20th century. With Andy Warhol at the helm, the band contextualized the hi-art/low-art medium of the dysphoric Sixties with a unique mixture of sound experimentation, performance art, and pop sensibility. With an astonishing assembly of rare objects and artworks and the first book of its scale to document the formative years of the band, The Velvet Underground: New York Art, is not only a testament to one of the greatest New York City bands, but also a visual document of how music can influence the history of fine art and vice versa. From never-before-seen photographs of the band’s first live show in New York to Andy Warhol’s cover and poster designs, Lou Reed’s and John Cale’s handwritten music and lyrics, underground press clippings and controversial reviews, flyers, handbills, and posters, the materials comprise a uniquely comprehensive survey of the first rock group ever to transcend the genre and embrace underground popular culture.
    [Show full text]
  • The Velvet Underground By: Kao-Ying Chen Shengsheng Xu Makenna Borg Sundeep Dhanju Sarah Lindholm Group Introduction
    The Velvet Underground By: Kao-Ying Chen Shengsheng Xu Makenna Borg Sundeep Dhanju Sarah Lindholm Group Introduction The Velvet Underground helped create one of the first proto-punk songs and paved the path for future songs alike. Our group chose this group because it is one of those groups many people do not pay attention to very often and they are very unique and should be one that people should learn about. Shengsheng Biography The Velvet Underground was an American rock band formed in New York City in 1964. They are also known as The Warlocks and The Falling Spikes. Best-known members: Lou Reed and John Cale. 1967 debut album, “The Velvet Underground & Nico” was named the 13th Greatest Album of All Time, and the “most prophetic rock album ever http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTpZBIJzRM1H- made” by Rolling Stone in 2003. GhQN6gcpQ10MWXGlqkK03oo543ZbNUefuLNAvVRA Ranked #19 on the “100 Greatest Artists of All Time” by Rolling Stone. Shengsheng Biography From 1964-1965: Lou Reed (worked as a songwriter) met John Cale (Welshman who came to United States to study classical music) and they formed, The Primitives. Reed and Cale recruited Sterling Morrison to play the guitar (college classmate of Reed’s) as a replacement for Walter De Maria. Angus MacLise joined as a percussionist to form a group of four. And this quartet was first named The Warlocks, then The Falling Spikes. Introduced by Michael Leigh, the name “The Velvet Underground” was finally adopted by the group in Nov 1965. Shengsheng Biography From 1965-1966: Andy Warhol became the group’s manager.
    [Show full text]
  • NEW YORK APRIL 1 - JUNE 30, 2018 the First Ever Global Exhibition Dedicated to the Velvet Underground and Its Influence on Modern Music, Art & Popular Culture
    THE VELVET UNDERGROUND EXHIBITION + CONCERT SERIES + EVENTS EXPERIENCE NEW YORK APRIL 1 - JUNE 30, 2018 The first ever global exhibition dedicated to the Velvet Underground and its influence on modern music, art & popular culture. The Velvet Underground and Andy Warhol became one Music-related art exhibitions see growing success—the of the most iconic artistic collaborations of all time, David Bowie exhibit saw 1.1 million visitors to date. merging counter-culture and the mainstream in one Thus, this exhibition is preparing to expand beyond the gigantic creative explosion and bringing the world of 100,000 visitors mark. arts and communication into the modern era. The first show to ever receive the official support and exclusive contributions of the band’s three surviving members - John Cale, Moe Tucker and Doug Yule - as well as the official representatives THE VELVET of Velvet Underground Estate. UNDERGROUND EXPERIENCE It all started in New York City in the early 1960s, with an improbable encounter between Brooklyn born singer/songwriter Lou Reed and Welsh avant-garde musician John Cale. Lou and John soon were joined by Sterling Morrison—a literature student and rock-and-roll fan—and Moe Tucker—an androgynous- looking drummer from the suburbs driven by tribal rhythms. In 1965, Andy Warhol became the Released in band’s manager, offering them March 1967 shelter in his famous silver Factory. and recorded 1960s New York City, Music, in 1966 during Warhol brought in Nico, a blonde Andy Warhol’s Andy and Pop Culture fashion model, actress and “Exploding chanteuse, as the fifth member of P l a s t i c the band.
    [Show full text]
  • Scholars to Examine Queer Aesthetic in Films
    Scholars to examine queer aesthetic in films http://chronicle.uchicago.edu/060119/queercinema.shtml Scholars to examine queer aesthetic in films By Jennifer Carnig January 19, 2006 News Office Vol. 25 No. 8 Long before Brokeback Mountain hit the big screen, films such as Kenneth Anger’s current issue Scorpio Rising, Jack Smith’s Flaming Creatures and Andy Warhol’s Chelsea Girls archive / search brought queer imagery to the 1960s art house circuit. Now a new film series will contact bring these and other films from the genre to campus each Friday through Feb. 10. Chronicle RSS Feed Though these films are widely regarded as some of the most important and influential films of postwar underground cinema, only recently have cinema scholars begun to take seriously the fact that Anger, Smith and Warhol were filmmakers whose work delivered a “distinctly queer aesthetic,” said Ron Gregg, Lecturer and Director of Programming for Cinema & Media Studies. In an attempt to explore the idea of a queer aesthetic further, Gregg—along with George Chauncey, Professor in History and the College and Director of the Center for Gender Studies, and Michelle Puetz, a Cinema & Media Studies graduate student and coordinator of the Experimental Film Club—organized a film series that will offer screenings every Friday through Feb. 10. “Beyond Warhol, Smith and Anger: Recovering the Significance of Postwar Queer Underground Cinema, 1950-1968” will include two dozen films created by mostly New York-based filmmakers, performers, writers and artists. Not all of the filmmakers included in the series were gay, but “their creative energies came out of a highly gay influenced cultural world,” Gregg said.
    [Show full text]
  • The Velvet Underground
    Page 1 of 2 The Velvet Underground Indie/Alternative Under Review (MVD) Stoner/Hard Rock by Brian Varney Punk/Power Pop Metal/Hardcore Coming to you from the always-fine folks at MVD is the first in a pair of documentaries, apparently two entries in the Electro/Industrial same series (the other covers the career of Captain Compilations Beefheart). These documentaries were of special interest to me because, despite my status as a full-blown geek more or less dictating that I love or at least pay lip service to these bands, I've never enjoyed listening to the music of either very much. Well, I take that back: I did undergo a brief Velvets phase during my teenage years, but I discarded them pretty quickly. However, the continued importance attributed to The Velvet Underground compels me to re-examine their legacy at somewhat regular intervals, and Under Review gave an opportunity to do just such a thing. Each film follows the band's career more or less chronologically, with a bit of background information on the main players provided when necessary, and tells the stories through a combination of voiceover narration, critical comments from band members (though it should be noted that main players Lou Reed and John Cale are not interviewed for this volume), friends, producers, fellow musicians (band members Moe Tucker and Doug Yule are interviewed), artists, and a few rock critics, along with a nice selection of rare performance footage. The films provide a reasonably in-depth analysis (this volume runs about 85 minutes), and even if there isn't much new information for the hardcore geeks, the performance footage is enough to make these films worthwhile.
    [Show full text]
  • El Quinqui Exploitation Como Fenómeno Cinematográfico En España Entre 1978-1985
    EL QUINQUI EXPLOITATION COMO FENÓMENO CINEMATOGRÁFICO EN ESPAÑA ENTRE 1978-1985. ASPECTOS FORMALES, TEMÁTICOS Y TÉCNICOS Rafael Robles Gutiérrez Tesis Doctoral dirigida por la Profª. Dra. Dª. Rocío de la Maya Retamar Departamento de Comunicación Audiovisual y Publicidad Facultad de Ciencias de la Comunicación Universidad de Málaga Málaga, 2016 AUTOR: Rafael Robles Gutiérrez http://orcid.org/0000-0001-8698-8395 EDITA: Publicaciones y Divulgación Científica. Universidad de Málaga Esta obra está bajo una licencia de Creative Commons Reconocimiento-NoComercial- SinObraDerivada 4.0 Internacional: http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/legalcode Cualquier parte de esta obra se puede reproducir sin autorización pero con el reconocimiento y atribución de los autores. No se puede hacer uso comercial de la obra y no se puede alterar, transformar o hacer obras derivadas. Esta Tesis Doctoral está depositada en el Repositorio Institucional de la Universidad de Málaga (RIUMA): riuma.uma.es AGRADECIMIENTOS A mi directora de tesis Dra. Rocío de la Maya Retamar, por su labor, no solo en la dirección de esta investigación, sino además por ser un referente en los años de Facultad. Por sus conocimientos y su generosa manera de transmitírmelos. Y sobre todo por su confianza en mí y en mi trabajo. A los siguientes organismos y a las personas que en ellos trabajan: A la Facultad de Ciencias de la Comunicación de la Universidad de Málaga, de la que tan gratos recuerdos conservo. A Antena Media Andalucía, a Carmen del Río y Victoria Fernández; a la Filmoteca Nacional, a Margarita Lobo y Trinidad del Río; a los Cursos de Verano de El Escorial de la Universidad Complutense de Madrid, en especial a la secretaria administrativa Amparo Oliver; al curso Cine Español de la Transición, en especial a su director Dr.
    [Show full text]
  • Reviews & Press •
    REVIEWS & PRESS J. Hoberman. On Jack Smith’s Flaming Creatures (and Other Secret-Flix of Cinemaroc). Granary Books, & Hip’s Road, 2001. • Grubbs, David. "Review of On Jack Smith's 'Flaming Creatures.' " Bookforum 9.1: 15. It's a shame that Ted Turner dropped out of the film-colorization business before tackling Flaming Creatures. I'm trying to imagine Jack Smith's washed-out, defiantly low-contrast 1963 film being given the full treatment. Flaming Creatures is the work for which Smith is best known, a film that landed exhibitors in a vortex of legal trouble and quickly became the most reviled of '60s underground features. As J. Hoberman writes, "Flaming Creatures is the only American avant-garde film whose reception approximates the scandals that greeted L'Age d'Or or Zéro de Conduite." Smith's self-described comedy in a "haunted movie studio" is a forty-two-minute series of attractions that include false starts, primping, limp penises, bouncing breasts, a fox-trot, an orgy, a transvestite vampire, an outsized painting of a vase, and perilous stretches of inactivity. The sound track juxtaposes Bartók, Ali Baba and the Forty Thieves, the Everly Brothers, and an audience-baiting minutes-long montage of screams. Still, one suspects that the greatest trespass may have been putting Smith's queer "creatures" on display. If Hoberman's monograph makes Smith's filmic demimonde less other-worldly—colorizes it, if without the Turner motive—it does so in a manner more akin to the 1995 restoration of Jacques Tati's 1948 Jour de Fête. Tati's film was shot simultaneously in color and in black and white; had the experimental Thomson-Color process worked at the time, it would have been the first French full-length color film.
    [Show full text]
  • Warhol Underground
    WARHOL UNDERGROUND WARHOL UNDERGROUND SOMMAIRE 1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE L’EXPOSITION ……………P.3 2. PORTRAIT D’ANDY WARHOL………………………… P.5 3. REPÈRES CHRONOLOGIQUES………………………....P.7 4. PARCOURS DE L’EXPOSITION………………………....P.11 5. BIOGRAPHIES DE PHOTOGRAPHES…………………….P.33 6. CITATIONS……………………………………….P.35 7. INFORMATIONS PRATIQUES………………………… P.37 2 WARHOL UNDERGROUND 1.PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE L’EXPOSITION WARHOL UNDERGROUND 01.07 > 23.11.15 GALERIE 1 Commissaire : Emma Lavigne, directrice du Centre Pompidou-Metz Une relecture inédite de l’œuvre du pape du pop art à travers ses liens avec la scène new- yorkaise underground : musique, danse, cinéma... L’exposition met en lumière l’influence de la scène musicale, du cinéma underground et de l’avant-garde chorégraphique new-yorkaise dans l’œuvre d’Andy Warhol (1928-1987). Elle est l’occasion de célébrer les cinquante ans de la rencontre de Warhol avec le groupe de rock new-yorkais The Velvet Underground, dont il devint le producteur. « Je n’ai jamais voulu être peintre, j’ai toujours voulu être danseur de claquettes », déclarait Warhol, alors même que l’œuvre de l’artiste du pop art est souvent réduite à sa dimension picturale. « Je ne peins plus. J’ai abandonné la peinture il y a à peu près un an et maintenant je ne fais plus que des films. La peinture était seulement une phase que j’ai traversée », ajoutait-il. Nombre de déclarations de l’artiste montrent combien son œuvre, extrêmement protéiforme, a dépassé la peinture, ainsi qu’il aimait lui-même à le penser. La musique, présente tout au long du parcours, guide le visiteur dans une redécouverte de l’œuvre de Warhol, à travers plus de 150 photographies de Nat Finkelstein, Hervé Gloaguen, Fred W.
    [Show full text]
  • V E N D R E D I 9 D É C E M B R E Drouot-Richelieu Salle 6
    VENDREDI 9 DÉCEMBRE DROUOT-RICHELIEU SALLE 6 EXPERT : CLAUDE OTERELO 9, rue de Duras - 75008 Paris | tél. : +33 (0)1 40 06 06 08 | fax : +33 (0)1 42 66 14 92 SVV agrément N° 2008-650 - www.AuctionArtParis.com - [email protected] 158 199 VENDREDI 9 DÉCEMBRE 2011 DROUOT-RICHELIEU, SALLE 6 9, RUE DROUOT - 75009 PARIS VENTE À 11H DOCUMENTATION BEAUX-ARTS - LOTS 1 À 101 MOUVEMENTS. AVANT-GARDES - LOTS 102 À 116 VENTE À 14H15 LITTÉRATURE ET ARTS DU XXème - LOTS 117 À 318 LITTÉRATURE AMÉRICAINE. BEAT GENERATION - LOTS 319 À 438 LITTÉRATURE ALLEMANDE CONTEMPORAINE - LOTS 439 À 461 ÉDITIONS ORIGINALES. LIVRES ILLUSTRÉS. DESSINS. COLLAGES.PHOTOGRAPHIES. EXPOSITION PRIVÉE AuctionArt, 9 rue de Duras 75008 Paris Lundi 5 & Mardi 6 pour les lots 117 à 461 de 11h à 18h. EXPOSITION PUBLIQUE Drouot Salle 6 Jeudi 8 décembre de 11h à 18h EXPERT Claude OTERELO Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés +33 (0)6 84 36 35 39 - [email protected] 9, rue de Duras - 75008 Paris | tél. : +33 (0)1 40 06 06 08 | fax : +33 (0)1 42 66 14 92 SVV agrément N° 2008-650 - www.AuctionArtParis.com - [email protected] Rémy Le Fur & Olivier Valmier commissaires-priseurs habilités 1 VENTE À 11H 3 ARP Jean. Hommage à Arp. Galerie du Perron. Genève. 1962. In-8. DOCUMENTATION BEAUX-ARTS ARP Jean. Graphik 1912-1959. Klipstein & Kornfeld. Berne. 1959. In-8. 1 ADAMI Valerio. Fuentès Carlos. Righe per Adami. Schwarz 1968. ARP Jean. Schwarz. Milan. 1963. In-8. In-8. Biennale de Venise. ARP Jean.
    [Show full text]